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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

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Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
par cocufieur2000
#2291586
C'était il y a longtemps. Avant Internet et le téléphone mobile. Nous utilisions les colonnes d'un magazine spécialisé pour échanger. J'ai été attiré par l'annonce d'un couple de bourgeois qui s'offrait à une grosse queue.
J'étais en forme et je passais mes weekends à dominer des couples pervers qui cherchaient un maître et une queue de mâle alpha.
Le couple habitait un bel appartement au centre d'une grande ville. J'avais exigé que la porte soit ouverte et que la femme se tienne à quatre pattes, nue dans le hall, les fesses tournées vers la porte. Imaginez le spectacle qui m'attendait.
Je passe devant la dame sans la toucher, ni lui parler. Je le traité comme une chose négligeable. J'avais également exigé que l'épouse s'habille d'une nuisette, débats noir et de jaretelles. Sous la nuisette, je voulais un string de couleur noire bien inséré dans la raie, laissant apparaître les deux lobes pales et lisses que j'avais entrevus dans la revue.
L'homme devait se tenir également à quatre pattes et se tenir prêt à être enculé, le cul bien lubrifié. En guise de bonjour, je lui donne une claque sur les fesses avant de lui mettre un collier autour du cou.
Je sors mon sexe sans me déshabiller et le met brutalement dans la bouche du cocu qui semble heureux de recevoir ce cadeau. Pendant qu'il me suce goulûment, je tends mes mains vers son beau fessier pour donner d'autres claques qui résonnent dans l'appartement vide. De l'endroit où je me trouve, je peux voir la tête baissée de la bourgeoise qui se lève au moment des claques. Je lui intime l'ordre de baisser sa tête et de demeurer dans sa position.
Maintenant que mon dard est dans sa forme maxi, je décide d'honorer la dame. Je tire sur la chaîne reliée au collier du gars et lui donne l'ordre d'avancer à quatre pattes vers son épouse. Je me mets derrière elle, pointr un tube de vaseline vers sa raie qui reçoit abondamment la pommade puis donne mon pénis à sucer à l'époux qui n'en demandait pas temps. Pendant ce temps, j'ouvre les fesses de la bourgeoise et admire le beau tableau.
Je suis au summum de l'excitation. Visiblement, la dame aussi. Elle halète alors que je ne l'ai pas encore touchée. Je tire ma verge de la bouche du cocu et la plante dans le cul brûlant de la bourgeoise qui hurle de douleur. Mais très vite, le plaisir prend le dessus et la voilà qui tangue du fessier, se collant à mon bassin tout en hurlant :
- baise-moi, maître ! Déchire-moi ! J'adore ta verge ! J'adore quand tu me dominés, quand tu me rabaisses, quand tu t'enfonces en moi !
De temps à autre, je retire l'on zob pour le fourrer dans la bouche du cocu...
A suivre
par cocufieur2000
#2292033
Merci pour vos encouragements. Voici la suite
SOUVENIRS 2
Après ce prélude, je traîne les deux esclaves à quatre pattes vers le salon. Je demande au cocu de me servir un jus (je ne prends pas d'alcool). Ensuite, je tiens le discours suivant au couple agenouillé devant moi :
" Vous avez demandé à ce que je viens chez vous pour vous dominer et vous baiser. Vous m'avez autorisé à vous mener vers des plaisirs intenses qui ne peuvent vous convenir que si vous êtes dans la position d'esclaves. Je suis votre maître. Je dispose de vos corps à ma guise. J'appelle et vous vous tenez prêts. Vous devez m'accueillir en tenue d'Eve et d'Adam, l'épouse dans le hall et le mari au salon. A quatre pattes. Le cul de mari tourné vers la porte d'entrée. Vous ne parlerez pas et vous ne me regarderez pas dans les yeux. Toujours têtes baissés, vous attendrez mes ordres.
Je viendrai quand j'en aurai envie. Je viens vous baiser et vous dominer puis je partirai. Il m'arrivera d'amener des amis pour vous faire la même chose. Vous n'aurez qu'à les subir. Vous n'avez aucun droit à la parole. Qu'ils soient deux ou quinze, jeunes ou vieux, noirs, arabes ou blancs, vous n'aurez qu'à ouvrir vos trois pour accueillir leurs verges. Vous serez à leur service.
Il m'arrivera d'amener madame dans des soirées spéciales et monsieur attendra calmement à la maison. Je l'emmènerai dans des bars arabes où elle fera la pute, dans des foyers d'immigrés, dans des parkings, des aires d'autoroutes, des forêts où elle sera offerte à des inconnus. Quand elle sera rodée, je l'enverrais au Maroc et dans le Golfe arabe où elle fera la pute. Quant à Monsieur, habillé en femme, il sera offert à des amateurs de lopes. Il sera traité comme la pire qu'il est et devra accepter tout de ses amants. Voilà ce que j'avais à vous dire pour ce premier rendez-vous. "
Ensuite je demande aux deux esclaves de de mettre à quatre pattes, côte à côte, les culs biens rendus à l'arrière. Je prends une cravache que le couple a préparé puis je commence à les fouetter. La dame semble prendre du plaisir à subir la flagellation. Quant au monsieur, il supporte mal les coups.
Excité, j'arrête et demande à l'épouse de s'occuper de mon sexe tendu à l'extrême. J'approche sa tête des fesses de son mari car mon objectif c'est encore le beau cul pâle et lisse de la lopette. Après avoir bien préparé, je lui donne l'ordre de mouiller le trou du cocu. Elle passe sa langue sur la raie plusieurs fois. Soudain, je m'arrête, car je n'en peux plus. Je plante ma verge dans le trou béant et soulevé l'épouse pour l'embrasser goulûment et lui malaxer les seins. Le cocu hurle de plaisir. Je le travaille énergiquement. Il est au paroxysme du plaisir. Je sens ma bite taper au fond de son sphincter et cela dédouble son ardeur à vouloir tout prendre. A un moment, je tire mon pénis et pousse l'épouse vers le bas. Elle comprend la manœuvre et avale le cobra. Elle suce bien la salope. Puis je le replanté dans le cul du cocu tout en m'occupant des seins de la salope. Quelques minutes plus tard, j'éclate et un torrent de sperme pénétre au plus profond du cul de la lopette. Quelques gouttes s'échappent à l'extérieur et je demande à la salope de s'en occuper. Elle lèche le cul de son époux qui s'est envoyé en l'air bien avant moi.
Je me repose un peu avant la suite. Les deux esclaves sont à quatre pattes devant moi, le visage collé au sol. Je leur donne chacun un pied à lécher :
- Lécher les pieds de votre maître. Vous êtes des moins que rien. De la chaire fraîche pour mon zob. Il vous dominera car c'est son rôle de mâle alpha. Toi le cocu, tu es né pour donner ton cul. Tu es une femme dans la peau d'un homme. Tu devras prendre des hormones pour gonfler tes seins et te donner des formes féminines. Tu devrais te raser de près et utiliser des pommades pour rendre encore ta peau plus belle qu'elle ne l'est. Allez leves-toi et mets-toi derrières la salope. Lèches-lui le cul, j'ai envie de la sodomiser.
Il se met aussitôt au boulot. Je fourre mon sexe dans la bouche de la pute qui l'avale presque entièrement. Ses lèvres sont pulpeuses. Elles enveloppent le pénis tendu dont les veines sont maintenant bien visibles. J'écarte le cocu tout en le maintenant à côté car il aura à tout nettoyer aprés. Je me mets derrière le beau fessier de la bourgeoise et lui passe plusieurs fois le sexe sur la vulve. Mais mon chemin n'est pas celui-là. C'est le cul que je vise. J'ai fait exprès de ne la baiser que de ce côté-là, manière de la rabaisser pour ce bon en ce premier rendez-vous
Je la chevauche longuement en n'oubliant pas le cocu qui reçoit la verge de temps à autre pour la nettoyer. La dame hurle. Elle tangue des fesses qu'elle poussé vers moi. J'éclate enfin. Je me retire à temps pour inonder son derrière de mon jus. Le cocu comprend ce qu'il a à faire. Il nettoie les fesses de son épouse avant de s'occuper de ma verge.
Avant de me retirer, je les fouette encore une fois et leur pose cette question : "maintenant que vous savez ce que j'attends de vous, acceptez-vous de me servir d'esclaves prêts à tout ? Vous pouvez refuser !
- Non maître, dit la dame, on ne refusera pas. Nous sommes vos esclaves. Nous ne sommes bons qu'à être baisés et maltraités par vous. Nous avons éprouvé un plaisir immense et la plus grande et impitoyable punition serait de nous priver de votre adorable pénis. Nous sommes à votre disposition et à celle de vos amis. Nous serons toujours prêts à satisfaire vos moindres désirs. Je parle en mon nom et à la place de la lopette qui n'a pas droit à la parole. Maître, puis-je vous demander un service ?
- Ne me regarde pas en parlant. Baisse les yeux. Je la gifle et lui demande ce qu'elle veut.
- Avant de partir, donnez-moi votre sexe à embrasser. Je rêverai de lui jusqu'à la prochaine rencontre.
Comme je m'étais habillé, j'ouvre ma braguette et sors le monstre. Elle l'embrasse avant de le serrer tendrement contre son visage. Le cocu s'approche et lèche la tête. Et c'est reparti. Je bande et la dame me fait une masturbation en règle. Je leur demande d'ouvrir leurs bouches car je sens le moment de l'éjaculation approcher. J'inonde leurs visages. Ils boivent mon jus. Je les doigte en leur donnant des claques aux fesses, me lave les mains et quitte les lieux en laissant à quatre pattes, les têtes collées au sol.
par cocufieur2000
#2292183
SOUVENIRS3
J'appelle les deux slaves pour leur dire de se préparer pour le weekend. J'ai deux amis Blacks bien membrés qui sont en manque et je crois que les deux putes feront leur affaire. J'ai bien compris que le couple préférait par dessus tout la baise dans la maltraitance. Et il va être servi car mes deux lascars sont des voyous peu attirés par les bonnes manières. Ils ont à leur service un bon troupeau de pétasses prêtes à tout pour recevoir leurs verges dans tous les trous. Ils ont aussi quelques cocus travestis qu'ils baisent à satiété avant de les offrir aux jeunes des cités qui leur font subir les pires outrages dans les caves dégoûtantes de leurs immeubles.
C'est que ces bourgeois qui ont tout sauf un pénis bien ferme à leur disposition, acceptent la descente aux enfers pour en trouver un ou plusieurs qui les font monter au septième ciel. Ils cherchent l'humiliation et la dégradation. Ils ne trouvent leur plaisir que lorsqu'ils sont en position inférieure, maltraités par un mâle alpha. Les dames veulent se comporter en putes prises par plusieurs hommes sans les bonnes manières qu'elles rencontrent dans leur monde habituel. Le plaisir est décuplé par cette humiliation, cet abandon de soi à quelqu'un qui ne vous respecte pas et ne pense qu'à vous abaisser. Elles s'abandonnent à plus fort et sont prêtes à tout pour satisfaire leurs maîtres. J'en connais quelques-unes qui ont commencé par jouer aux putes avant de devenir des professionnelles au service de leurs maîtres proxénètes. Elles n'avaient pas besoin d'argent mais satisfaisaient deux plaisirs immenses pour elles : se faire prendre par des inconnus contre de l'argent et se faire dominer par celui dont elles adorent le pénis et qui devient l'élément essentiel de leur vie sexuelle.
Quant au cocu lopette, il est juste là pour contempler sa femme, se faire dominer et servir de vide-couilles en cas de besoin. Mes copains blacks, arabes et turcs ne sont pas très tendres vis-à-vis de ces lopes mais je crois que c'est ce que préfèrent ces derniers. Ils aiment être fouettés, que l'on crache sur leurs visages, qu'on leur donne la fessée et qu'on leur pisse dessus. J'en ai connu beaucoup qui sont comme ça. Certains se font pisser dessus en couple. Les voyous qui les arrosent boivent beaucoup de bières pour avoir beaucoup du jus doré à leur servir.
Quand j'arrive à l'appartement du couple en compagnie de mes deux blacks, on trouve la dame à quatre pattes dans le hall, le cul tourné vers la porte. Les instructions sont respectés. Paul, l'un des deux gars, hurle :
- Putain ! Quel fessier ! De la classe bourgeoise. Une putain de la haute société, voilà ce que je cherchais depuis longtemps !
- Sers-toi, mon ami, et toi Abdoul, tu peux aussi utiliser cette moins de rien, ce cul de merde qui n'attend que vos sexes bien tendus.
Paul et Abdoul ouvrent leurs braguettes et sortent deux pénis géants qu'ils mettent devant la belle bouche de l'épouse impressionnée par la taille des engins.
-Comment s'appelle cette pute?
- Océane, mais, pour nous, ce sera Slave 18 car j'en ai déjà 17 comme ça dans les beaux quartiers de la ville. Toutes prêtes à me suivre au Sahara pour servir d'avaloird au jus des Africains.
- Allez, Slave 18, au boulot et vite.
Paul gifle la putain qui avale d'un coup le premier sexe avant de saisir les deux engins pour les embrasser et les lécher.
Abdou crache a la figure de la pute :
- Plus vite, salope ! Puis se tournant vers moi :
- Est-ce qu'il y a un fouet ici ? J'ai bien envie de lacérer ce beau cul. Qu'en dis-tu esclave?
- Je suis à votre disposition puisque maître le veut.
Il la gifle à son tour :
- Ce n'est pas ce que je t'ai demandé ! Je veux savoir si tu aimes te faire fouetter par maître Abdoul. C'est moi !
- Oui, j'adore être fouettée par maître Abdoul...
Paul se dirige vers l'arrière de la pute. Il lui fourre un doigt, puis deux dans la vulve. Elle s'agite et commence à couiner. Il lui palpe les fesses, leur donne quelques claques
- C'est de la belle marchandise ! Une bourge à plusieurs centaines d'Euros la nuit !
Puis, n'y tenant plus, il enfonce son pénis dans le vagin bien mouillé de la pétasse qui n'attendait que cela. Il la pénètre doucement, se retire, puis revient à la charge. Cela excite la dame au plus haut point. N'y tenant plus, elle hurle :
- Enfonce-toi en moi, chéri !
Abdoul arrête tout, gifle la dame et lui lance :
- C'est grave ! C'est quoi ça, dis !Pourquoi tu parles comme ça? Qui t'a autorisé à parler. Où est ce putain de fouet ?
Je vais chercher le fouet. Je te trouve au salon près du cocu qui se tient toujours à quatre pattes, suivant attentivement ce qui se passe à côté. Il a la verge bien tendu :
-Salaud! Tu en profites ! Il faudrait t'acheter un cage pour ton petit zizi !
Je tends le fouet à Abdul qui commence à flageller le cul de la dame. Il n'y va pas de main morte :
- C'est comme ça qu'il faut les dresser, ces putes de la haute !
Alors que Paul est toujours en train de se faire lécher la bite par l'épouse qui a du mal à se concentrer sur sa tâche avec tous les coups qu'elle reçoit, je reviens à la lopette
Tout cela m'a bien excité. Pas de préliminaire. Je crache sur la rondelle et le gars cambre son fessier qui reçoit aussitôt ma verge. Il hurle de douleur mais je m'en fiche. Je cherche mon plaisir et mon plaisir est de l'enfoncer au plus profond. Ensuite, je le laboure, le chevauche durant de longues minutes. La douleur se transforme en plaisir. Il couine comme une pute. Je me retire à temps et lui sers tout le jus sur la gueule :
- Avale, pute ! Tu me remercieras de t'avoir préparé pour les deux monstres qui vont te fouiller tout à l'heure !
Dans le hall et une fois terminée la flagellation, le vagin de l'épouse semble rassasié par l'immense pieu qui le pistonne. Elle hurle de plaisirs, ne tient plus, jouit une fois, deux... Ce n'est plus la dame que j'ai connue. Elle s'agite dans tous les sens, parle dans une langue inconnue, mais je saisis quelques mots :
- Je suis à vous, maître Abdul! Baisez-moi ! Labourez-moi! Faites de moi ce que vous voulez ! Je suis votre pute blanche ! Je ferai la pute pour vous ! Oui, oui, oui...
Abdul décharge puis se dirige vers le cocu pour se faire nettoyer. Paul prend sa place aussitôt :
- Je suis là, la pute. Ton vagin ne restera pas vide.
Il la pistonne un moment avant de doigter son autre trou qu'il ne tarde pas à envahir de son sexe conquérant. La dame se crispe avant de se libérer totalement. C'est la pute parfaite dans tous ses états.
Abdul se fait nettoyer la queue par le cocu. Il ne tarde pas à retrouver sa forme mais, pour bien se faire exciter, il va chercher le fouet pour rabaisser encore plus le travesti. Après quelques coups qui visent les fesses, Abdul abandonne le fouet et demande au cocu de lui mouiller le sexe pour faciliter l'introduction.
Il me regarde du coin de l'œil et me lance :
- c'est vraiment le plus beau cul que j'ai jamais vu ! Lisse, blanc opalin, bien cambré, j'en tirerai une fortune en le mettant au boulot.
- Tu sais Abdul, depuis que j'ai découvert ces larves, je me dis la même chose. Le fessier de ce cocu est la plus belle chose qui me soit arrivé depuis longtemps. C'est pour ça que je pense féminiser davantage cette pute. Il est plus femme que toutes les femmes. Tu verras en jouissant de son trou du cul.
Abdou était déjà en train de fouiller le cul avec son immense verge qui met mal à l'aise le cocu. Puis, ce dernier trouve enfin son plaisir. Il couine et, du hall, nous parvient un autre hurlement de plaisir. La dame est aux anges. Elle est maintenant étendue dos au sol, les jambes repliées, subissant les assauts de Paul. Ce dernier a le visage collé à celui de la pute. Il l'embrasse sauvagement. Leurs langues se mélangent dans un échange de bave impressionnant.
Abdul décharge dans le cul du travesti. Il se fait nettoyer la verge par ce dernier qui semble très heureux. Paul décharge à son tour. Puis, nous dirigeons le couple vers la salle de bain, toujours à quatre pattes, le collier bien accroché aux laisses que nous tenons de main ferme.
Nous les faisons s'asseoir dans la baignoire. Abdoul gifle la dame, lui cracher au visage. Paul se fait nettoyer la bite encore dégoulinante de sperme par la lopette. Il le gifle également et lui crache au visage. Ensuite, nous dirigeons nos sexes vers leurs corps pour les inonder de jus doré. Ils semblent adorer cette douche. Je regarde la pute s'abreuver carrément de pisse. Je bande comme un taureau. Je demande à la pétasse de se mettre en position. Le coup part trop vite. C'est le fait de prendre une telle décision rapidement et que la pute s'exécute sans demander quoi que ce soit, qui m'excite!
C'est le propre des maîtres d'agir à leur guise et au moment où l'on s'y attend le moins, dans les endroits les plus inattendus. C'est mon plaisir à moi. Je décharge très vite et demande au cocu de nettoyer le vagin tout mouillé. Abdoul se fait sucer par le cocu et Paul par l'épouse. Ensuite, douche pour tout le monde. Je me dirige vers la chambre à coucher qui dispose d'une grande salle de bains.
Avant de sortir, la bourgeoise me demande de céder à son caprice : nous embrasser les sexes qu'elle dorlote, sert tendrement contre ses joues et ses seins :
-C'est ma raison de vivre. Pour ces couilles et ces vrais engins de mâles, je suis prête à tout...

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