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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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Maître Chihab est revenu sans moi dans l'appartement des bourgeois candaulistes. Il m'a demandé la permission de faire sortir Océane pour la prostituer dans un bar arabe. Il me raconte les détails de cette soirée torride:
"Quand j'arrive, je tombe sur le spectacle fascinant des fesses blanches offertes. Océane se tient à quatre pattes, la tête bien enfouie entre ses coudes et le cul cambré. Je passe sans faire la moindre remarque, ignorant totalement la pute pour la rabaisser davantage.
Je passe au salon où le cocu se tient également à quatre pattes, prend le martinet et lui inflige une correction magistrale. Je suis de mauvaise humeur, mes affaires ont mal tourné et je me venge sur le beau plus beau cul de la ville. N'y tenant plus, je sors ma bite, crache sur sa rondelle et lui fout le chibre au plus profond de l'anus. Il crie de douleur. Je m'en fiche, je le lime durant un bon moment puis je lâche tout au fond de son trou. Je le gifle et lui crache à la figure :
- écoute salope, ce soir tu vas rester bien tranquille ici, j'emmène ta pute de femme dans un bar arabe. Je vais la faire travailler un peu car je suis à sec et j'ai besoin d'un peu de blé. Je ne suis pas demandeur et je n'ai pas besoin de votre argent. Je ne vous en demanderai jamais. Je suis un maître, je fais ça pour le plaisir de vous dominer et vous fourrer ma bite partout. Je sais que le plaisir est partagé. Madame a besoin d'être bien prise en charge. Son dressage passe par des séances de pluralité masculine et quoi de mieux que de la prostituer. Je joins l'utile à l'agréable. Et puis ça m'excite de gagner un peu d'argent en donnant du plaisir à Océane qui adore ça !
Je quitte le salon et me dirige vers le hall. Je raconte la même chose à l'épouse, avant de la trainer à quatre pattes vers la chambre. Je la mets sur le lit, la fouette et lui crache au visage. Je reviens à l'arrière-train tout chaud, sors ma verge et la plante entre les fesses rougies par le martinet. Elle couine de plaisir. Elle jouit plusieurs fois et me demande encore et encore de la fourrer. Je ne me fais pas prier. Je suis en forme ! J'appelle le cocu pour me nettoyer la verge et le vagin de sa putain. Ensuite, je lui choisis une micro jupe rouge, un body transparent de un talent aiguille très haut. Une vraie pute.
Tout en conduisant ma voiture à travers une circulation très dense, je glisse ma main entre les cuisses de la pute qui apprécie et gémit de plaisir. Nous arrivons enfin au "Bar de la Kasba", une immense brasserie populaire, bruyante et enfumée (la cigarette n'était pas interdite à l'époque). En la voyant avancer entre les rangées de table, les clients hurlent et applaudissent. Ils exigent un strip-tise en règle. Le patron met la musique qu'il faut. Océane hésite. Je le gifle violemment. Elle comprend.
Elle commence par se déhancher dans des poses lascives et suggestives. Sa croupe va de gauche à droite, avant de se rendre vers l'arrière. Ces mouvements rapides et en parfaite coordination avec la musique dévoilent son string et ça enclenche automatiquement des cris. Elle enlève son body calmement et ses seins admirables au galbe parfait apparaissent dans un concert de sifflements et d'applaudissements. Elle s'attaque ensuite à sa jupe qu'elle enlève doucement en se trémoussaient. Le bout de tissu rouge finit au sol...
Le patron Omar ne tient plus. Il pousse Océane, vêtue seulement de son string et de ses souliers, vers un petit escalier au bois vermoulu qui mène à une chambre au décor sommaire. C'est un gros gars plein de sueur. Il sort un immense chibre qu'il soumet au regard avide d'Océane qui le prend aussitôt en bouche. Ensuite, il la retourne et la baise en levrette. Il crie en la travaillant :
- je baise la beauté, la bourgeoisie, la peau blanche, la pute venue des hauteurs. Je domine la patronne qui couine sous mon zob. Je nique ton vagin, ton cul, tes seins, ta bouche. Je viens, je viens, je viens... Qu'il est bon ton trou de salope, aaaah, zaaah!
Entre temps, Océane a joui plusieurs fois. Mais ce n'est qu'un prélude. Le patron remet son pantalon et redescent. Devant la porte, se tiennent les "clients" de madame. C'est 100 Euros la passe ! 50 la fellation et 150 la sodomie. Ça gueule dans les rangs, certains demandent une réduction, d'autres vérifient leurs poches. C'est à prendre ou à laisser.
Je fais entrer le premier client. Il veut une fellation. J'encaisse 50 Euros. Puis c'est la chaîne ! Océane a sucé 15 zob. Son cul a été honoré 10 fois et son vagin 20 fois ! Une belle somme.
Exténuée, la pute n'en peut plus. Elle a eu sa dose et même plus. Mais, pour moi, ce n'est pas fini sauf que, pour cette dernière opération, elle ne sera pas touchée. Je l'emmène toute nue aux toilettes, la fait coucher à même le sol et recrute les pisseurs. Ce sera 20 Euros. Un gars rouspète, je lui fais remarquer que c'est un plaisir rare d'inonder un si beau corps, de souiller cette beauté qu'il ne verra pas de sitôt sauf dans les revues et les écrans télé! Il accepte. Une quinzaine de verges sortent en même temps et arrosent la pute. Un petit malin, probablement fauché pour se payer les séances de tout à l'heure, se masturbe et son sperme tombe sur les seins d'Océane qui le porte aussitôt à sa bouche.
Terminé! C'est fini pour ce soir. Je fais monter la pute a l'étage pour sa douche. Je la savonne et ça repart ! Mon sexe se tend mais je réalise qu'elle n'est pas en mesure de prendre plus de sexes vu l'état lamentable de ses parties intimes. Heureusement que celles du cocu sont intactes.
Je monte avec la bourgeoise dans son appartement, elle veut se mettre à quatre pattes dans le hall. Je lui fais comprendre que ce n'est pas utile pour cette matinée... Oui, il est 5 heures et l'aube pointe à travers le voilage du salon. Je lui indique le chemin de la chambre mais, avant d'y entrer, elle me demande, les yeux toujours baissés :
- maître, je dormirai mieux si je cajole un peu vos attributs de vrai mâle Alpha. Manière de vous remercier aussi pour cette soirée : mon excitation était au summum en sachant que je donnais mes trous pour mon maître! J'avoue que j'ai joui comme une folle. Maintenant, permettez-moi de sortir le petit maître.
Elle pris mon sexe dans ses mains, le caressa gentiment et l'embrassa. Sachant que le cul du cocu m'attendait à côté, je l'encourageai à me sucer. Elle n'osait pas ! Elle happa ma verge qu'elle enveloppa de ses lèvres pulpeuses.
Cinq minutes plus tard, j'étais en train de limer l'arrière du cocu. Je confirme ce que tu m'as toujours dit :"c'est le plus beau fessier de la ville". Nous devons le travailler davantage pour qu'il devienne une vraie femme. Un cul comme ça me donne des idées. On l'entrainera bien ici dans les bars et les foyers avant un petit voyage au Maroc pour un dressage à la bite dure puis un stage de longue durée dans un pays du Golfe. Il fera fureur.
Je décharge en hurlant mais je ne quitte les lieux qu'après avoir raconté la soirée de son épouse au cocu. Puis, je lui administre une belle fessée. Et ça reprend ! La baise matinale est sublime. Je lui fous mon gros sexe entre les fesses et lui sers une belle rasade de sperme !
Je quitte les lieux en pensant à toi : merci de m'avoir offert ces trous bourgeois à combler.
A bientôt, maître Chihab"

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