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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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C'était il y a longtemps. L'âge me fait perdre quelques détails mais l'essentiel est là. Je ne sais pas ce qu'est devenue aujourd'hui Océane et son mari mais je sais que, l'ayant poussée trop bas sur la voie de la déchéance physique et de l'asservissement sexuel, elle avait abandonné le cocu et choisi de partir en Afrique avec un maître sénégalais imposant qui la rendait folle. Avec mon accord bien sûr. Et pour six mois. Elle avait abandonné une vie de rêve fans une ville européenne et une situation sociale luxueuse pour choisir de se prostituer dans un lupanar de fortune de Dakar. Elle me disait dans l'une de ses missives :" chacun suit sa destinée. La vie n'est pas un fleuve tranquille. A chaque détour, s'offrent à nous des bifurcations. Nous devons choisir celle qui nous convient et nous mènera à notre bonheur. Le bonheur, tel que nous le concevons nous et non celui décidé à notre place et qui s'offre comme un produit bien emballé dans les vitrines des sociétés de consommation. Je ne suis pas un exemple, je suis Moi. Mon bonheur, mon plaisir, et vous l'avez compris avant tout le monde, c'est de subir la loi du mâle, d'oublier qui je suis car je n'existe qu'à travers ses ordres, ses coups de fouet et ses cavalcades sexuelles.
" Notre relation au candaulisme ne s'est pas faite comme un plaisir de la femme avec l'amant submergeant le couple ou dominant le mari. Ayant un mari qui est dans la peau d'une femme, je n'ai pas à gérer la situation d'un cocu classique. Nous sommes deux putes prêtes à recevoir les sexes des hommes. Mon masochisme me pousse vers des relations avec des maîtres dominateurs qui me mettent à ma place de traînée vide-couilles prête à l'emploi. Mon plaisir n'est pas d'humilier mon mari, ni d'exiger sa présence lors de mes séances sexuelles, mais simplement de m'épanouir dans une soumission totale au mâle.
"Depuis que je suis à Dakar, j'ai dû subir les assauts de centaines de mâles. Mon plaisir vient du fait que je m'offre pour mon maître, c'est lui qui récolte les honoraires de mes passes, il choisit mes sorties dans des endroits de luxe ou sordides. Je dis toujours oui. C'est lui qui décide tout et quand ça lui plaît, il me baise où me fouette. Mon plaisir, c'est de le satisfaire.
"Je ne manque de rien : il me traite comme une reine chez moi mais préfère me mettre dans des bordels sordides pour améliorer mon dressage. J'ai une fortune en France mais il ne m'a demandé qu'une ou deux fois de lui prêter de l'argent pour s'acheter une demeure de luxe et une voiture haut de gamme. Il a des idées pour mon mari. Il m'a parlé de l'ouverture prochaine d'un bordel pour travestis et pense y incorporer Jean (c'est comme ça qu'il s'appelle et je n'ai pas voulu l'appeler par son prénom préférant "cocu", "pute", etc. pour le rabaisser).
"Je passe mon temps entre le "boulot" et la plage. Cette vie est très agréable. Je me donne aux mâles pour satisfaire un désir sexuel très fort qui passe par la soumission, je sers mon maître comme une esclave parfaite et il m'arrive d'assouvir mes besoins masochistes avec lui ou lors de soirées spéciales avec des clients très riches qui casquent fort. Sinon, je fait du shopping où je bronze dans une plage naturiste.
Moi qui aime le pénis noir, je suis bien servie! A toutes les libertines coureuses de Blacks, je conseille de venir en Afrique et de choisir ce "métier" pour quelques semaines ou mois afin d'assouvir le besoin d'être remplie à chaque instant par les zobs noirs. J'en subis les assauts d'une quizaine par jour. Ça me rend heureuse mais mon plaisir se décuple quand ils me paient. J'ai un petit coffret que je remets chaque soir à maître Abdoul ( oui, c'est lui. Le premier black que vous m'avez amené à la maison) et chaque fois qu'il compte l'argent devant moi, mon plaisir se multiplie encore plus!
"Il ne me fouette pas pour des bêtises que j'aurais commises, ni parce que l'argent manque, mais quand il en a envie. Ce désir brutal de dominer la femelle qui précède généralement l'assaut sexuel dominant. J'ai pris l'habitude de me préparer en compagnie de Fado, la domestique qui me tient compagnie et plus, l'affinité ayant été "consommée" dès le premier jour. Elle me lave, me sèche, me maquille et m'habille des tenues les plus provocantes. Ensuite, elle accroche mes mains à des anneaux qui pendent du plafond du salon et attend que le maître arrive. Quand il est enfin là, elle lui embrasse les pieds et lui tend une panoplie de cravaches et de martinets. Il en choisit un et commence une longue séance de flagellation qui me fait du bien. Je me sens à ma place et la douleur ravive mes envies sexuelles.
Abdoul n'insiste pas trop car des marques rouges profondes peuvent nuire à la beauté plastique de mon corps. Ensuite, Fado me libère les poignets, me fait courber sur une table haute en cuir noir. Elle écarte mon string sur mes trous. Abdoul est déjà prêt. Il a le vit en l'air, une immense pièce d'artillerie prête a s'enfoncer en moi. Abdoul demande à Fado de se mettre à genoux, de façon à avoir le visage sur mes fesses. Il lui demande d'ouvrir la bouche et lui enfonce d'un coup son chibre. Je n'ai pas le droit de regarder en arrière. J'entends juste le bruit des suçons qui se font de plus en plus vite. Puis, Abdoul dit à la domestique :
- c'est bien, maintenant, mets ton petit maître dans le trou de madame ! Oui, là, le vagin !
Fado s'exécute. Je sens l'immense verge me pénétrer et déjà j'ai un début de jouissance. Fado ne bouge pas car elle sait que le maître va retirer son sexe pour l'humecter encore de sa salive. Fado s'exécute avec un plaisir renouvelé.
Les coups de boutoir s'accélèrent. Soudain, le maître tire sa verge et la plante dans mon anus. Plaisir divin... Je finis au septième ciel mais le sexe de Abdoul ne tarde pas à se dresser à nouveau. Il demande à Fado de prendre ma place. Je prends sa place et suce le sexe encore dégoulinant de sperme et d'autre chose de moins délicieux. Quand le maître est prêt, je rabats la jupe de Fado, lui enlève son slip et dirige le chibre magistral vers les trous offerts. Mais Abdoul m'arrête. Il me demande de bouffer la chatte, puis le trou du cul de la bonne. Ensuite, il pénètre dans le premier trou avant de sonder le second. Il hurle comme une bête avant de jouir dans ma bouche. Il nous demander de rester entièrement nues, nous guide ensuite à quatre pattes chacune, vers la salle de bains où il nous mets dans la baignoire. Ensuite, il sort son sexe et dirige un puissant jet d'urine sur nos corps. Il nous gifle, crache sur nos visages, nous insulte, nous traitebde tous les noms, nous demande de repéter des paroles dégradantes, nous demande d'avaler l'urine...
"Un beau dimanche de luxure ! Demain, je me remets au boulot en rêvant au prochain dimanche.
"Donnez-moi de vos nouvelles : Jean me dit que vous lui rendez souvent visite et que ses fesses de femme vous font chavirer à chaque visite. Baisez-le bien et offrez son cul à toutes les verges de la ville. Il en sera heureux.
" Je viens dans trois mois. Abdoul me remettra à mon vrai maître : vous!
A bientôt,
Dakar le 18 septembre 1979..."
Je remets la lettre, jaunie par le temps, dans le coffre et sombre dans d'autres souvenirs. Je me rappelle que la première fois où j'avais lu cette missive, il y a près de 50 années, je me trouvais justement dans l'appartement du couple. Jean avait pris la place de madame à l'entrée de l'appartement et c'est maintenant le plus beau fessier au galbe parfait et d'un blanc lactescent attirant qui m'accueille. Alors que j'ignorais celui de la dame, en rentrant, pour la rabaisser davantage, ce cul m'attire tellement que je me baisse pour l'embrasser. Il est doux au toucher et frémit sous mes coups de langue. Et l'envie de le posséder se manifeste aussitôt. Il va devenir ma femme attitrée. J'ai d'ailleurs du mal à le partager avec d'autres, ce que je fais naturellement avec Océane.
Je le baise rapidement avant de l'habiller pour une sortie dans un club libertin. Les détails de cette soirée torride dans "SOUVENIRS 7"
A suivre

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