- 24 mai 2019, 13:53
#2294413
Bonjour,
Ce forum traité de candaulisme, c'est-à-dire généralement du plaisir sexuel que trouve un couple à partager ses ébats avec d'autres partenaires, principalement des hommes. A travers les histoires que je lis, la majorité des témoignages viennent des maris peu pourvus par la nature sous la ceinture et dont cette "impuissance" -encore que l'on peut donner du plaisir à une femme même avec un petit zizi- les rend peu à peu adeptes de candaulisme. Quand ils ne sont pas directement impliqués dans les séances de cocufiage, ils se contentent du témoignage de leurs épouses ou de leurs amants. Alors que d'autres se contenteront d'espionner le couple de loin.
Mais le candaulime a d'autres variantes. L'expérience que je raconte dans ma série "Souvenirs" date de la fin des années 70, début 80. Elle relate la rencontre avec un couple masochiste de bourgeois aisés dont le plaisir s'exprime à travers des relations de soumission aux mâles bien pourvus et machos.
Je viens de recevoir un avertissement pour avoir certainement enfreint une des règles de ce forum.
1. On me reproche une " incitation à la violence ". Pourtant, je parle de pratiques courantes dans les relations BDSM : fessée, fouet, gifles, crachats. Ce n'est pas de ma faute si certaines femmes trouvent leur plaisir à être traitées de la sorte. A mon avis, il n'y a point de violence gratuite ou criminelle dans ce que je raconte.
2. Deuxième grief : je fais de la publicité au proxénétisme. Je crois que le sujet est trop grave pour être lié à une expérience d'une nuit de folie sexuelle. Le proxénétisme est une activité criminelle et à ce titre, elle est à bannir de toutes les sociétés. Je raconte simplement une soirée de libertinage outrancier où une épouse hypersexuelle est poussée par son maître, et ce n'est pas moi dans cet épisode, à des plaisirs extrêmes dont l'acte de se prostituer dans un bar arabe.
Je comprends que l'on peut me faire le reproche de citer des "tarifs", mais, dans mon esprit, le dire comme ça crûment c'est refléter l'état d'âme de cette femme qui sait qu'elle se donne vraiment pour de l'argent, ce qui joue beaucoup pour sa libido. Mais, le maître n'est pas un proxénète, il ne renouvelle pas l'expérience et la dame n'est pas une pute. Ce sont des jeux sexuels répandus aujourd'hui dans les soirées et la recherche de plaisirs extrêmes.
Je ne comprends pas que l'on en arrive à ce genre de censure. Si les barrières établies interdisent l'originalité, alors je n'ai rien à dire car je n'ai pas d'expérience de petit zizi espionnant le mobile de son épouse à raconter.
Pourquoi fermer le sujet? Le supprimer ne m'aurait posé aucun problème dans la mesure où je sors de la règle générale du forum. Le débat aurait été intéressant !
Je vous remercie de m'avoir lu. J'arrête mes histoires car leur "originalité" risque encore de choquer ceux qui érigent les "tabous" en "sens interdits". Cela me rappelle un temps où les histoires de cocufiage simple et BCBG qui sont bien acceptées aujourd'hui, faisaient partie de ces tabous.
Un maître qui aurait été mieux dans la peau d'un beau cocu au petit zizi. C'est la norme. Je suis donc anormal. Je me retire en faisant la référence à tous ceux qui se trouvent ici !
Ce forum traité de candaulisme, c'est-à-dire généralement du plaisir sexuel que trouve un couple à partager ses ébats avec d'autres partenaires, principalement des hommes. A travers les histoires que je lis, la majorité des témoignages viennent des maris peu pourvus par la nature sous la ceinture et dont cette "impuissance" -encore que l'on peut donner du plaisir à une femme même avec un petit zizi- les rend peu à peu adeptes de candaulisme. Quand ils ne sont pas directement impliqués dans les séances de cocufiage, ils se contentent du témoignage de leurs épouses ou de leurs amants. Alors que d'autres se contenteront d'espionner le couple de loin.
Mais le candaulime a d'autres variantes. L'expérience que je raconte dans ma série "Souvenirs" date de la fin des années 70, début 80. Elle relate la rencontre avec un couple masochiste de bourgeois aisés dont le plaisir s'exprime à travers des relations de soumission aux mâles bien pourvus et machos.
Je viens de recevoir un avertissement pour avoir certainement enfreint une des règles de ce forum.
1. On me reproche une " incitation à la violence ". Pourtant, je parle de pratiques courantes dans les relations BDSM : fessée, fouet, gifles, crachats. Ce n'est pas de ma faute si certaines femmes trouvent leur plaisir à être traitées de la sorte. A mon avis, il n'y a point de violence gratuite ou criminelle dans ce que je raconte.
2. Deuxième grief : je fais de la publicité au proxénétisme. Je crois que le sujet est trop grave pour être lié à une expérience d'une nuit de folie sexuelle. Le proxénétisme est une activité criminelle et à ce titre, elle est à bannir de toutes les sociétés. Je raconte simplement une soirée de libertinage outrancier où une épouse hypersexuelle est poussée par son maître, et ce n'est pas moi dans cet épisode, à des plaisirs extrêmes dont l'acte de se prostituer dans un bar arabe.
Je comprends que l'on peut me faire le reproche de citer des "tarifs", mais, dans mon esprit, le dire comme ça crûment c'est refléter l'état d'âme de cette femme qui sait qu'elle se donne vraiment pour de l'argent, ce qui joue beaucoup pour sa libido. Mais, le maître n'est pas un proxénète, il ne renouvelle pas l'expérience et la dame n'est pas une pute. Ce sont des jeux sexuels répandus aujourd'hui dans les soirées et la recherche de plaisirs extrêmes.
Je ne comprends pas que l'on en arrive à ce genre de censure. Si les barrières établies interdisent l'originalité, alors je n'ai rien à dire car je n'ai pas d'expérience de petit zizi espionnant le mobile de son épouse à raconter.
Pourquoi fermer le sujet? Le supprimer ne m'aurait posé aucun problème dans la mesure où je sors de la règle générale du forum. Le débat aurait été intéressant !
Je vous remercie de m'avoir lu. J'arrête mes histoires car leur "originalité" risque encore de choquer ceux qui érigent les "tabous" en "sens interdits". Cela me rappelle un temps où les histoires de cocufiage simple et BCBG qui sont bien acceptées aujourd'hui, faisaient partie de ces tabous.
Un maître qui aurait été mieux dans la peau d'un beau cocu au petit zizi. C'est la norme. Je suis donc anormal. Je me retire en faisant la référence à tous ceux qui se trouvent ici !