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#2294539
Comme j'ai pu l'écrire en réponse à un autre sujet, notre sexualité se construit essentiellement dans les premières années de notre vie.
Les bruits, les sons, les goûts... tout cela oriente et câble notre cerveau lentement mais sûrement jusqu'à la puberté qui nous tombe dessus à un moment ou à un autre avec son déferlement hormonal.
Pour moi cela fut assez tôt, vers les 10 ans
Je me rappelle de ces érections étranges, inaltérables, en toute occasion : chez le docteur, à la piscine, à la plage, en classe, en cours de musique, au ski, aux toilettes, dans mon lit...
Je me rappelle de moments troublants et lointains, à tel point que ne suis pas certain de ne pas les avoir rêvés
Par exemple cette grande cousine Céline qui m'emmenait promener et qui insistait pour que l'on fasse pipi sans gêne. Son regard sur mon petit zizi dressé et l'insistance qu'elle avait à me l'essuyer me semble tout frais. Mais cela n'est jamais allé plus loin.
Mon cousin Eric était lui bien plus "culotté" dans le sens où justement nous adorions les baisser nos culottes.
Nous commençâmes par nous montrer juste nos fesses et par nous les frotter en feuilletant des magazines "Lui" volés à l'un de ses grands frères.
Les culottes tombèrent rapidement bien plus bas pour nous permettre de nous frotter mutuellement l'entre cuisse en nous regardant d'une drôle de façon alors que nous bandions à mort littéralement pendant des heures.
Je remarquais alors qu'Eric avait un drôle de liquide clair qui perlait au bout de son zizi jusqu'à couler le long jusqu'aux boules. Je remarquais aussi que sa verge était plus du double de ma petite quéquette.
J'ignorais alors que ma quéquette avait terminé sa croissance et conserverait sa taille de 8 cm en plein érection, chose qui allait également être à l'origine de bien des aventures.
Eric ne mit pas longtemps à me montrer des images où des garçons comme nous s'embrassaient et faisaient plus encore. Il m'apprit à accepter sa langue et surtout à goûter à aimer sa verge.
Ho qu'elle était belle ! A peine couverte de duvet, longue et dure, surmontant 2 belles boules raides et ridées, invariablement pleines de semence à en déborder. Son gland toujours bien décalotté, rouge sang et brillant, contrairement au mien à l'époque couvert de peau.
J'adorais son "premier gout". Celui de la verge sortie du slip après plusieurs heures de vélo, de marche et de pipis, à une époque où nous n'avions pas tous ces produits détergents et autres.
C'était une explosion en bouche qui allait me préparer à aller bien plus loin dans ma vie d'adulte.
Eric me fit déguster son sperme tant de fois qu'il m'est impossible de donner un nombre réaliser. 1000 fois peut être ? Il m'apprit à caresser ses fesses, à le flatter de la langue depuis le haut de ses fesses jusqu'au gland. Il m'apprit à passer beaucoup de temps sur son petit trou me le faisant caresser et lécher des heures durant pour brutalement sauter à croupi et orienter son gland dans ma bouche pour y laisser couler de longs filets crémeux en gémissant et en disant des mots sans aucun sens dont "pute" ou "maman" qui revenaient souvent.
Je ne remercierai jamais assez Eric de m'avoir si bien préparé tant, à 11 ans, j'étais déjà si bien orienté sans que toutefois j'aie commencé à éjaculer moi même.
Tout au plus après avoir bandé des heures en suçant la verge ou l'anus de mon cousin je finissais par ressentir des fourmis et des contractions dans mon ventre sans que la moindre petite goutte vienne perler au prépuce.
Jamais d'ailleurs mon cousin ne me toucha ni ne me pénétra, il disait que ce n'était pas bien de faire ces choses, ce qui me fait bien rire rétrospectivement !
Puis il y eut ma tante Thérèse....
nacra29, youpyoup a liké
#2296894
Thérèse était la dernière sœur de mon père. Âgée de 22 ans à l'époque, je la voyais grande et "vieille" comme le perçoivent souvent les jeunes enfants.
Et pourtant elle n'était pas grande, comme tout le monde d'ailleurs dans la famille. C'était une jeune femme parfaitement proportionnée d'1m60 pour moins de 50 kg, brune au cheveux bouclés, à la fois très féminine, contrairement à ses sœurs, et pourtant dotée de traits anguleux que l'on retrouve souvent sur les représentations de Jeanne d'Arc. On pourrait la comparer à la chanteuse Lio toute jeune pour ceux qui l'ont connu, ou encore à Catherine Ringer, autre référence de l'époque.
D'aussi loin que je m'en souvienne, ce fut Thérèse qui s'occupa de moi tant mes parents étaient absents et bien contents de trouver quelqu'un pour gérer de leur rejeton, mais ceci est une autre histoire.
Si Thérèse fut à l'origine de mes premiers émois, ce fut d'abord parce que c'est elle que je devais appeler lorsque j'allais aux toilettes. Elle m'habitua à accepter sa présence pendant toute l'opération et à lui tendre mes fesses et mon ridicule petit sexe pour qu'elle procède à un nettoyage précis et méticuleux à l'aide d'eau tiède et de ses doigts qui fouillaient lentement et posément les zones concernées.
Elle ne manquait pas à chaque fois de m'expliquer à quel point il était important d'être très propre entre fesses et cuisses pour sentir bon et ne pas risquer d'attraper des maladies ou des irritations. Elle m'apprit donc la bonne hygiène ce pour quoi il convient de la remercier.
Il faut reconnaître aussi que son attitude était emprunte de réciprocité.
Ainsi faisait elle ses besoins en ma présence et me demandait elle de lui faire également un nettoyage appliqué de mes mains enduites d'eau tiède, mais jamais de savon.
L'odeur de sa vulve et de son anus reste gravée à jamais dans mon esprit. La vision de sa zone génito-anale furent aussi fondamentales que l'apprentissage du calcul et de la grammaire à l'école.
J'avais bien remarqué, sans en comprendre la raison à l'époque, que Thérèse respirait plus fort lorsque je nettoyais et qu'elle sortait souvent et massait ses petites mamelles légèrement tombantes.
En même temps que je m'éveillais au spectacle que m'offrait Thérèse, mon petit zizi commença à se dresser et à pulser au rythme de mon cœur, donc assez rapidement, vers l'âge de 7 ans. Je ne m'en rappelle pas, c'est elle qui encore aujourd'hui me le raconte tendrement lorsque nous faisons des câlins et qu'elle me masse la prostate.
Mon zizi maintenant dressé l'intéressait beaucoup et nos séances de nettoyage durèrent fort longtemps et s'approfondissaient lentement mais surement.
J'avais bien remarqué aussi l'étrange sillon rosé caché au fond de l'abondante toison entre les cuisses de ma tante dont elle m'apprit que cela était sa fente secrète. La nouveauté étant que sa fente était maintenant de plus en plus gonflée et semblait s'ouvrir en laissant perler un liquide translucide, un peut comme une huile, qui coulait jusqu'à l'anus tout fripé.
Tout doucement, pendant que ma tente m'apprenait à bien faire circuler mes doigts de l'anus au haut de la fente pendant que mon zizi battait la mesure, elle me rentra d'abord son annulaire dans mon petit trou d'enfant non sans l'avoir consciencieusement enduit de vaseline.
Ce fut si doux et si subtil que cela devint non seulement une habitude mais plus encore un besoin voire une obsession qui me faisait tendre mon petit cul et écarter mes fesses de petit garçon.
Son annulaire céda la place à l'index qui lui servit à m'amener à elle et à rentrer mon petit zizi dans sa fente toute chaude.
Ainsi, au même moment que j'avalais les bonnes éjaculations de mon cousin Eric après lui avoir lentement léché la raie pendant qu'il m'appelait maman, ma tante Thérèse me fit rentrer mon zizi dans la fente en me tenant pas l'anus d'une main pendant qu'elle se frottait bizarrement de l'autre et me suçait ma langue de petit garçon.
On peut dire qu'à 10 ans, j'étais verni
Puis il y eut Gilbert, le petit ami de Thérèse.
#2298641
Gilbert était, et est toujours, un mâle dans toute sa splendeur.
Assez grand, environ 1m80, il était carré de partout, costaud et musclé au possible. Ses cheveux roux coiffés eux aussi au carré dominaient un visage taillé à la serpe avec un air dur et des lèvres minces.
Ma tante Thérèse le rencontra à l'occasion de la réparation d'une machine agricole à la ferme. Gilbert était en effet un mécano assez réputé pour son jeune âge puisqu'il n'avait qu'une petite trentaine d'années.
Bien sûr je le connaissais et il était plutôt bien sympa avec les gamins et nous donnait des sous pour aller boire un coup et des cigarettes pour faire comme les grands.
Mais ce fut un soir, un mercredi soir précisément, veille du jour de congés des enfants à l'époque, que je fis vraiment sa connaissance.
En effet, alors que je m'apprêtais comme à mon habitude à rejoindre ma jolie tante puisque j'avais très envie de faire pipi et recevoir un gros câlin, j'entendis fort heureusement avant même d'ouvrir la porte de sa chambre qu'elle n'était pas seule.
Je me glissais du coup silencieusement dans le réduit attenant pour voir qui m’empêchait ainsi de rejoindre Thérèse. Le réduit était en effet doté d'un trou juste au dessous du lavabo, donc très discret, qui donnait vue à l'ensemble de la chambre dans l'axe du pied de lit.
Il me fallut des années pour comprendre que ce trou n'était pas là par hasard et était directement lié aux nombreuses coulées odorantes contre le mur et au sol.
Je n'étais pas le seul à l'utiliser loin s'en faut.
Ce que je découvris alors que je me positionnais pour regarder dans la chambre me fit battre le cœur à toute vitesse.
Ma chère tante Thérèse et Gilbert étaient dans les bras l'un et l'autre et s'embrassaient langoureusement en se suçant mutuellement la langue.
Moi qui croyais être le seul à pouvoir sucer la langue de ma tata, je constatais que Gilbert ne se gênait pas pour faire de même en allant manifestement bien plus profond dans sa démonstration.
Mais ce n'était pas tout et, en abaissant mon regard, je vis que la main de Gilbert n'était pas inactive et se trouvait dans la culotte de Thérèse pendant que cette dernière flattait une énorme bosse dans son pantalon, comme si ce dernier avait mis une boule de pétanque dans sa culotte, ce qui me semblait absurde.
Jaloux à mort, vexé, frustré comme jamais, je sentis des grosses larmes couler sur mes joues mais aussi, à ma grande honte, une douleur dans ma culotte alors que mon petit zizi tentait de se redresser mais était mal positionné puisque orienté vers le bas et coincé contre mes grosses boules.
Je n'eus d'autre solution que de baisser ma culotte en éponge pour arrêter cette douleur.
Mon oiseau enfin libéré, j'essuyais mes larmes de honte avec la culotte et retournait à l'observation du couple qui avait progressé puisque Gilbert avait maintenant baissé son pantalon.
J'eus alors 2 chocs successifs.
Le premier qui peut sembler anecdotique fut que Gilbert ne portait pas de culotte comme moi.
Il portait seulement son pantalon à cru, ce qui me semblait très étrange car à chaque fois que je l'avais fait, j'avais eu un peu mal au zizi et ma tante m'avait dit que ce n'était pas bien.
La seconde fut l'incroyable spectacle de son sexe.
Je n'avais en effet jamais vu d'autres pénis que ceux de mes copains ou de mon cousin Eric, c'est à dire des sexes pré-pubères et encore tout neufs quoique de bonne taille pour certains.
Il convient de rappeler que j'avais un tout petit tube de 8 cm en pleine érection, tout couvert d'un prépuce pendant et très serré au bout, évidemment sans le moindre poil. Le plus étrange étant la taille de mes bourses qui étaient elle très développées, pendantes et presque gênantes pour marcher. L'ensemble ressemblait, et ressemble toujours, à un crayon tout blanc et frétillant posé entre 2 œufs de gros calibre qui pendaient facilement à mi cuisses.
Cela me valait des railleries à l'école dans mes survêtement ou pire, à la douche, mais j'en parlerai plus tard.
Le sexe de Gilbert était très exactement l'antithèse du miens, nonobstant l'âge du propriétaire et son entrainement qui avaient très certainement contribué à son développement.
J'estime aujourd'hui sa longueur à au moins 22 cm et son diamètre à 5 cm, autrement dit un barreau de chaise à côté de mon crayon papier.
Les deux boules ne pendaient pas mais semblaient soutenir le calibre et pulsaient en montant et descendant au fur et à mesure des caresses prodiguées par ma tante. Elles étaient rouges et tendues, prêtes probablement à expulser ce jus blanc qu'Eric m'avait si bien et si souvent montré.
Le plus spectaculaire était le gland qui dominait la verge et qui était lui carrément pourpre et luisant. Bien plus large que la hampe, il ressemblait à un champignon et semblait magnétiser Thérèse qui s'en rapprochait en frémissant.
L'ensemble des organes génitaux de Gilbert était largement empoilé de boucles rousses qui descendaient jusqu'à sa raie dans laquelle on devinait un trou rose palpitant au fond de son nid douillet.
A croupi, ma culotte éponge posée à côté et mon zizi pulsant, je vis ma douce tante Thérèse poser sa magnifique bouche et venir faire un doux baiser au sommet du gland congestionné de Gilbert, puis se retirer légèrement et insérer le bout de sa langue dans le drôle de petit trou par lequel on fait pipi.
C'en était trop et mon zizi me fit mal pendant que mon bassin se mit inexplicablement à faire de drôles de mouvements désordonnés d'avant en arrière.
Presque affolé je vis un drôle de liquide translucide couler de mon prépuce vers le sol alors que j'entendais Gilbert gémir et traiter ma tante de salope.
Je venais de vivre ma première éjaculation et il m'avait fallu pour cela voir ma tata préférée avec un homme, un vrai.
Mon orientation future commençait à se préciser, d'autant que le spectacle venait seulement de commencer...
A suivre
#2302564
Un petit interlude dans mon histoire... je ne sais pas si elle vous intéresse en fait :???:
Certes, j'en rajoute un peu par moments mais la trame est bien réelle
A ce sujet d'ailleurs ma femme m'a appelé hier pour me dire qu'elles sortait avec ses collègues pour une parie de boules suivies d'un dîner tous ensemble
Evidemment, je lui ai demandé ce matin avec combien de boules elle avait joué
Elle a éclaté de rire et m'a indiqué qu'elle avait commencé avec 2 paires et finit avec 1 seule, deux boules très lourdes et douloureuses qu'elle a heureusement soulagé en 2 fois
Anne est pleine d'amour et d'humour. Elle était aussi bien pleine tout court ce matin et donc heureuse.
Moi aussi
#2302582
Si tu alternes ainsi entre les origines de tes tendances sexuelles et leurs déclinaisons actuelles, on va aimer
youpyoup a liké
#2303190
Haha merci pour les encouragements, je vais continuer alors
Ce soir je retrouve ma chérie pour le week-end
Anne a passé la semaine sur son lieu de travail (nous avons un second appartement pour ça et elle n'a pas chômé)
Comme dit dans un précédent post, les boules de Laurent étaient particulièrement lourdes et pleines mardi soir. Il lui a déchargé dedans 2 fois, en arrivant chez elle vers 22 heures et au petit matin.
Il est revenu hier soir et ils ont fait l'amour à nouveau 2 fois, la dernière ce matin vers 8 heures. Il est allé uriner juste avant et elle en a profité pour m'appeler et pour laisser son téléphone ouvert à ses côtés, en toute connaissance de cause de Laurent qui en a l'habitude
Je les ai entendus jouir et gémir, cela a duré un bon quart d'heure jusqu'à ce que ma femme prenne sa dernière décharge de la semaine.
Laurent a ensuite discuté avec moi pendant qu'il passait son slip sale à Anne pour qu'elle essuie sa chatte. Slip que je vais récupérer ce soir et laver pour le rendre tout propre lundi, non sans l'avoir longuement respiré et léché tout le week-end.
Elle va me ramener un peu de son amant en elle tout à l'heure. Je suis tellement impatient !
#2306790
...
Il me fallut de longues minutes, qui me parurent une éternité, pour me remettre de l'onde de décharge qui m'avait secoué des pieds à la tête en tordant et retordant des organes auxquels je ne savais pas encore donner de nom, quelque part entre l'anus et le gland.
On peut parler de douleur autant que de plaisir, comme le savent tous les garçons qui arrivent à juter sans se toucher, à force de mouvements dans le vide et de suggestions érotiques
Honteux et transformé, je me relevais du sol et constatais la présence d'un long filet translucide entre la petite flaque restée sur le plancher et le bout de mon prépuce pendouillant.
Entendant toujours des gémissements de Gilbert, je portais à nouveau mes yeux au trou donnant une vue si parfaite dans la chambre de ma tata Thérèse.
Ils n'avaient pas bougé et Thérèse continuait à entrer et sortir langoureusement le bout de sa langue du trou à pipi de Gilbert, pendant qu'elle caressait les deux bourses surtendues et rouges sous l'énorme queue qui semblait pulser en permanence.
La différence, pendant mes quelques minutes d'absence, était que maintenant un fil translucide continu reliait la bouche de Thérèse au gland de Gilbert et que ce dernier donnait des coups de cul vers le haut dans l'espoir d'entrer une partie de lui même dans la bouche de ma tata.
Mais cette dernière, fine et rapide, anticipait chaque mouvement de son amant et retirait toujours la tête juste quand il fallait, arrachant à chaque fois des grognements bestiaux et des commentaires dans lesquels revenaient les mots pute, salope, connasse, raclure...
Sans m'en rendre compte, j'avais repris mes mouvements de bassin, mon petit cul d'enfant montant et descendant au rythme du gros cul empoilé de Gilbert. Sauf que mes mouvements à moi étaient stériles et pathétiques. Je baisais littéralement l'air du réduit et j'allais faire cela très souvent ensuite dans ma vie d'adulte mais je ne le savais pas encore.
Gilbert s'impatientait et mit fin aux caresses buccales de ma tante en lui déclarant.
"Ça suffit radasse, je vais bien te graisser maintenant"
Il la retourna comme un crêpe sur le lit et arracha sa culotte pour exposer une chatte dont la fente s'était liquéfiée au point que je me demandais si elle ne s'était pas pissée dessus.
Le rouquin écarta les cuisses, les siennes comme celles de ma tata, leva le cul en exposant parfaitement raie, trou et queue, puis s'abaissa en grognant et rentra d'un coup d'un seul son gros tube dans le ventre de Thérèse jusqu'à lui souder ses boules dans les poils.
Ma tata : "Ho putain, bourre moi comme une pute. Viens, tape dans l'fond. hooooooooooooo"
J'en suffoquais et me mis à couler de nouveau sur le sol en bavant de plaisir et de douleur redoublés.
Dans une sorte de délire je me mis à lécher autour du trou puis le long du mur ces drôles de coulées odorantes, pour progresser de façon inéluctable vers ma propre flaque de foutre translucide de je me mise à téter bruyamment
Mon cul continuait à monter et descendre lorsque la porte s'ouvra à toute volée
"Qu'est ce tu fais là p'tite pédale d'enculé ?"
Gilbert m'avait entendu gémir, c'était fini pour moi... ou ça allait vraiment commencer, comment savoir ?
...
nacra29, youpyoup, Pandatine et 1 autres a liké
#2306886
@elianeetserge

Désolé mes chéris... mais il me faut trouver le temps pour à la fois raconter mon histoire et aussi gérer ma vie de cocu non sans oublier (quand même) ma vie professionnelle aussi

D'ailleurs, la semaine dernière a été chargée
Anne et Laurent sont restés 3 jours de suite pour raison professionnelle en Suisse, à Lausanne exactement où il l'a montée 5 fois au total.
La nature est parfois bien faite puisque mon épouse a eu ses règles ce vendredi
Me voici donc ce week-end à bien m'occuper d'elle, à la masser et à la câliner patiemment, car comme beaucoup de femmes, ses règles abondantes la fatiguent.
Et j'ai aussi le linge de Laurent à laver et repasser, particulièrement le slip qu'il a consacré à l'essuyage de la chatte de mon épouse copieusement remplie de sperme.
Ce week-end, comme à chaque fois qu'elle a ses règles, je suis strictement interdit de masturbation par cage de chasteté + le fait que je ne dois jamais rester seul
Alors, vous voyez, pas facile d'écrire / Elle se repose en ce moment à mes côtés et sourit en me regardant tapoter sur le clavier comme une bonne... tapette :x
youpyoup, PhilLing a liké
#2313629
Hello toutes et tous...
Hum alors voilà, j'ai fait une bêtise en présence d'Anne la semaine dernière
En effet, elle a trouvé approprié de me mettre sous cage toute la semaine sachant qu'un gros programme était prévu avec son chéri Laurent et avec son copain d'enfance.
Cela a commencé dès lundi où elle a vidé la prostate de Laurent aux toilettes de l'entreprise sur le coup des 10 heures tellement il en avait envie.
Cela a continué toujours avec Laurent en fin d'après midi lors d'une petite promenade dans les bois à l'occasion d'une sortie d'entreprise. Ils ont traîné un peu derrière et Laurent a tout déchargé dans son ventre en gémissant derrière un buisson.
Rebelote mardi après le travail jusqu'à l'arrivée de son vieux copain d'école, en instance de divorce et les couilles toujours tendues, qui s'est longuement vidé en elle bien collé au fond.
A ce moment là son téléphone était ouvert pour que j'entende bien et Laurent m'a envoyé une photo de leur union intime (pénis / vagin et langues mélangées) et... j'ai craqué.
J'ai mis de l'huile d'olive sur la cage pour la faire glisser et j'ai juté en 1 mouvement après l'avoir retirée
Sauf que... impossible de la remettre et j'aime mieux vous dire que son retour vendredi soir a été violent
D'où sa décision exécutoire demain 18 heures.
Elle m'a pris un RV pour la pose d'un Prince Albert qui rendra impossible ce genre d'écart
J'en tremble d'avance. A l'instant où j'écris ce message il me reste moins de 24 heures avant de perdre ma liberté de faire monter mon sperme de cocu.
Définitivement
coc31, dede58, nacra29 et 1 autres a liké

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