- 25 mai 2019, 00:01
#2294539
Comme j'ai pu l'écrire en réponse à un autre sujet, notre sexualité se construit essentiellement dans les premières années de notre vie.
Les bruits, les sons, les goûts... tout cela oriente et câble notre cerveau lentement mais sûrement jusqu'à la puberté qui nous tombe dessus à un moment ou à un autre avec son déferlement hormonal.
Pour moi cela fut assez tôt, vers les 10 ans
Je me rappelle de ces érections étranges, inaltérables, en toute occasion : chez le docteur, à la piscine, à la plage, en classe, en cours de musique, au ski, aux toilettes, dans mon lit...
Je me rappelle de moments troublants et lointains, à tel point que ne suis pas certain de ne pas les avoir rêvés
Par exemple cette grande cousine Céline qui m'emmenait promener et qui insistait pour que l'on fasse pipi sans gêne. Son regard sur mon petit zizi dressé et l'insistance qu'elle avait à me l'essuyer me semble tout frais. Mais cela n'est jamais allé plus loin.
Mon cousin Eric était lui bien plus "culotté" dans le sens où justement nous adorions les baisser nos culottes.
Nous commençâmes par nous montrer juste nos fesses et par nous les frotter en feuilletant des magazines "Lui" volés à l'un de ses grands frères.
Les culottes tombèrent rapidement bien plus bas pour nous permettre de nous frotter mutuellement l'entre cuisse en nous regardant d'une drôle de façon alors que nous bandions à mort littéralement pendant des heures.
Je remarquais alors qu'Eric avait un drôle de liquide clair qui perlait au bout de son zizi jusqu'à couler le long jusqu'aux boules. Je remarquais aussi que sa verge était plus du double de ma petite quéquette.
J'ignorais alors que ma quéquette avait terminé sa croissance et conserverait sa taille de 8 cm en plein érection, chose qui allait également être à l'origine de bien des aventures.
Eric ne mit pas longtemps à me montrer des images où des garçons comme nous s'embrassaient et faisaient plus encore. Il m'apprit à accepter sa langue et surtout à goûter à aimer sa verge.
Ho qu'elle était belle ! A peine couverte de duvet, longue et dure, surmontant 2 belles boules raides et ridées, invariablement pleines de semence à en déborder. Son gland toujours bien décalotté, rouge sang et brillant, contrairement au mien à l'époque couvert de peau.
J'adorais son "premier gout". Celui de la verge sortie du slip après plusieurs heures de vélo, de marche et de pipis, à une époque où nous n'avions pas tous ces produits détergents et autres.
C'était une explosion en bouche qui allait me préparer à aller bien plus loin dans ma vie d'adulte.
Eric me fit déguster son sperme tant de fois qu'il m'est impossible de donner un nombre réaliser. 1000 fois peut être ? Il m'apprit à caresser ses fesses, à le flatter de la langue depuis le haut de ses fesses jusqu'au gland. Il m'apprit à passer beaucoup de temps sur son petit trou me le faisant caresser et lécher des heures durant pour brutalement sauter à croupi et orienter son gland dans ma bouche pour y laisser couler de longs filets crémeux en gémissant et en disant des mots sans aucun sens dont "pute" ou "maman" qui revenaient souvent.
Je ne remercierai jamais assez Eric de m'avoir si bien préparé tant, à 11 ans, j'étais déjà si bien orienté sans que toutefois j'aie commencé à éjaculer moi même.
Tout au plus après avoir bandé des heures en suçant la verge ou l'anus de mon cousin je finissais par ressentir des fourmis et des contractions dans mon ventre sans que la moindre petite goutte vienne perler au prépuce.
Jamais d'ailleurs mon cousin ne me toucha ni ne me pénétra, il disait que ce n'était pas bien de faire ces choses, ce qui me fait bien rire rétrospectivement !
Puis il y eut ma tante Thérèse....
Les bruits, les sons, les goûts... tout cela oriente et câble notre cerveau lentement mais sûrement jusqu'à la puberté qui nous tombe dessus à un moment ou à un autre avec son déferlement hormonal.
Pour moi cela fut assez tôt, vers les 10 ans
Je me rappelle de ces érections étranges, inaltérables, en toute occasion : chez le docteur, à la piscine, à la plage, en classe, en cours de musique, au ski, aux toilettes, dans mon lit...
Je me rappelle de moments troublants et lointains, à tel point que ne suis pas certain de ne pas les avoir rêvés
Par exemple cette grande cousine Céline qui m'emmenait promener et qui insistait pour que l'on fasse pipi sans gêne. Son regard sur mon petit zizi dressé et l'insistance qu'elle avait à me l'essuyer me semble tout frais. Mais cela n'est jamais allé plus loin.
Mon cousin Eric était lui bien plus "culotté" dans le sens où justement nous adorions les baisser nos culottes.
Nous commençâmes par nous montrer juste nos fesses et par nous les frotter en feuilletant des magazines "Lui" volés à l'un de ses grands frères.
Les culottes tombèrent rapidement bien plus bas pour nous permettre de nous frotter mutuellement l'entre cuisse en nous regardant d'une drôle de façon alors que nous bandions à mort littéralement pendant des heures.
Je remarquais alors qu'Eric avait un drôle de liquide clair qui perlait au bout de son zizi jusqu'à couler le long jusqu'aux boules. Je remarquais aussi que sa verge était plus du double de ma petite quéquette.
J'ignorais alors que ma quéquette avait terminé sa croissance et conserverait sa taille de 8 cm en plein érection, chose qui allait également être à l'origine de bien des aventures.
Eric ne mit pas longtemps à me montrer des images où des garçons comme nous s'embrassaient et faisaient plus encore. Il m'apprit à accepter sa langue et surtout à goûter à aimer sa verge.
Ho qu'elle était belle ! A peine couverte de duvet, longue et dure, surmontant 2 belles boules raides et ridées, invariablement pleines de semence à en déborder. Son gland toujours bien décalotté, rouge sang et brillant, contrairement au mien à l'époque couvert de peau.
J'adorais son "premier gout". Celui de la verge sortie du slip après plusieurs heures de vélo, de marche et de pipis, à une époque où nous n'avions pas tous ces produits détergents et autres.
C'était une explosion en bouche qui allait me préparer à aller bien plus loin dans ma vie d'adulte.
Eric me fit déguster son sperme tant de fois qu'il m'est impossible de donner un nombre réaliser. 1000 fois peut être ? Il m'apprit à caresser ses fesses, à le flatter de la langue depuis le haut de ses fesses jusqu'au gland. Il m'apprit à passer beaucoup de temps sur son petit trou me le faisant caresser et lécher des heures durant pour brutalement sauter à croupi et orienter son gland dans ma bouche pour y laisser couler de longs filets crémeux en gémissant et en disant des mots sans aucun sens dont "pute" ou "maman" qui revenaient souvent.
Je ne remercierai jamais assez Eric de m'avoir si bien préparé tant, à 11 ans, j'étais déjà si bien orienté sans que toutefois j'aie commencé à éjaculer moi même.
Tout au plus après avoir bandé des heures en suçant la verge ou l'anus de mon cousin je finissais par ressentir des fourmis et des contractions dans mon ventre sans que la moindre petite goutte vienne perler au prépuce.
Jamais d'ailleurs mon cousin ne me toucha ni ne me pénétra, il disait que ce n'était pas bien de faire ces choses, ce qui me fait bien rire rétrospectivement !
Puis il y eut ma tante Thérèse....