Bonjour à tous,
Il est temps de vous faire part de la suite de nos aventures.
Nous avons pris quelques mois pour digérer cette première expérience, attendre le résultat du test de grossesse, du test hiv, etc. Notre amant avait quand même éjaculé à proximité et sur la petite chatte de Marie.
L'ensemble des tests étant revenus négatifs, nous avons tous les deux pu souffler. L'envie de rencontrer à nouveau un amant est donc revenu plus largement et plus souvent dans nos jeux sexuels.
Je ne vous cache pas que pour moi ils n'avaient jamais disparu. Je ne pouvais plus me passer des photos et vidéos réalisées durant cette soirée là, elles ont servi à de multiples masturbations.
Marie semblait moins excitée de remettre le couvert. En fait je me trompais gravement. Elle m’avouera bien plus tard qu’elle n’a jamais pu s’enlever le souvenir de cette soirée de la tête.
Marie ne prenait déjà pas la pilule durant notre rencontre car nous avions fortement envie de devenir parent. Malheureusement, pour le moment, aucun test ne se révélait positif, que ce soit de mon sperme ou de celui de cet amant ☺.
Car en effet, nous avons décidé de faire de nouveau appel à l’amant rencontré la première fois. Nous avions confiance en lui et il avait été particulièrement performant.
La chance n’a pas été de notre côté à nouveau, puisque le Covid est arrivé, et le confinement avec. Impossible donc de pouvoir louer à nouveau une chambre d’hôtel et de pouvoir s’amuser librement.
Le confinement a par contre eu un effet décuplant sur notre sexualité. Marie est devenue presque nymphomane et je n’arrivais plus à suivre la cadence ! Malgré cela, marie n’est toujours pas tombée enceinte. Cela commence à nous obséder et nos rapports deviennent de plus en plus fréquent.
Nous avons de nouveau recourt à nos godes réalistes pour simuler la présence d’un autre homme. Nous en avons également commandé d’autre en ligne, de toutes les tailles et de toutes les couleurs.
Un soir, nous avions légèrement abusés de l’alcool, je faisais des photographies de Marie nue sur notre balcon, puis cela a dérapé. Nous avons commencé à nous caresser doucement, puis à utiliser nos langues et nos bouches. Marie est allé cherché un gode, épais et long. J’ai donc continué à prendre quelques photographies. Tout en regardant Marie prendre du plaisir devant mes yeux, je lui ai demandé d’imaginer notre amant entre ses cuisses. Elle a gémis de plus ne plus fort.
Au bord de l’orgasme, je lui ai demandé si elle voulait vraiment qu’il nous rejoigne. Fébrile, dans l’attente de sa réponse, j’ai alors entendu son souhait d’avoir un homme entre ses cuisses, au plus profond d’elle. Ivres d’alcool et de plaisir, j’ai alors perdu pied, faisant abstraction des règles de confinements et de sécurité, j’ai composé son numéro, par chance, ou bonheur, il nous a alors répondu. Il était aussi excité que nous par la proposition. Il a donc pris tous les risques et a décidé de nous rejoindre chez nous.
Je m’étais fixé comme limite de ne pas faire pénétrer nos amants dans notre intimité, notre foyer, notre lit. Et là en quelques minutes j’allais faire sauter toutes nos limites.
Vingt minutes plus tard, la sonnette de notre appartement retentie. Il est maintenant trop tard pour hésiter. Un dernier regard vers Marie qui acquiesce, je vais, nu chercher notre amant.
Ce dernier rigole en me voyant : « ahaha, je vois que vous m’avez pas attendu ».
Ne pouvant lui donner que raison, je l’ai guidé jusqu’à Marie. Nous lui avons proposé un verre qu’il a accepté. Je me suis assis sur notre canapé sur le balcon et j’ai bu mon propre verre. Marie et notre ami se retrouvent seuls dans notre salon et ne tarde par à nous rejoindre. Entre temps, il s’était mis à l’aise, comme nous. J’avais oublié à quel point son corps et son sexe était superbe.
Il a beau avoir une vingtaine d’année de plus que nous, il était musclé, sportif, légèrement bronzé et très bien monté. Par rapport à moi, tout blanc, un peu enrobé et moins bien pourvu j’avais légèrement honte d’être là, ne me sentant pas à ma place
Et franchement je suis presque devenu invisible assez rapidement. Notre ami s’est assis en face de moi et Marie s’est assise sur ses genoux, il lui parlait à l’oreille et elle riait beaucoup. Quelques minutes plus tard, elle se retrouvait à genoux devant lui, sa belle queue en bouche.
C’est là qu’il a décidé de discuter avec moi, de tout et de rien, buvant mon rhum et avec la bouche de ma femme allant et venant sur sa queue toute droite. Après quinze minutes à parler de confinement, pandémie et politique, il s’est levé et il a joui sur les seins de Marie. Elle était complètement recouverte de sperme. Il lui a demandé de lui nettoyer son joli gland. Ne débandant pas, encore une qualité que je n’ai pas, c’est lui qui s’est installé entre les jambes de Marie. Sauf qu’à l’inverse de lui, ma femme n’a pas réussi à tenir une conversation agréable. Ses yeux se sont vites clos et des gémissements se sont échappés de la bouche de ma femme.
Les gémissements se sont transformés en petits cris puis en véritable râle. Notre voisin, curieux sans doute, est alors sorti sur le balcon. Ne voulant pas nous exhiber plus que de raison, j’ai donc proposé au couple de rejoindre l’intérieur de l’appartement.
Notre ami a accepté et a donc arrêté de butiner ma femme, qui n’a pu échapper un « non » de frustration quand les lèvres de son amant quittait son clitoris en feu.
Nous sommes alors rentrés dans notre salon, j’ai fermé la baie vitrée et baissé un peu les rideaux. Le temps de me retourner, notre ami avait commencé à limer ma femme en levrette sur notre canapé. Aucune capote, aucun remord.
J’ai rejoins ma femme sur le canapé, je lui caresse le visage et je commence à l’embrasser doucement. Elle me rend mon baiser et me murmure je t’aime. Elle prend son pied, je vois qu’elle a du mal à répondre, à mes baisers, ou à ma question :
« tu sais qu’il n’a pas mis de capote pas vrai ? »
« … oui … mais … »
« mais quoi mon cœur ? »
« …. »
« quoi ? »
« c’est trop bon ! »
Ne pouvant trouver d’argument supérieur au plaisir qu’elle prend, je m’attaque à ses seins, je lui suce ses merveilleux tétons et lui mordille doucement. Elle gémit de plus en plus fort. Le premier orgasme de la soirée arrivera à peine 5 minutes plus tard.
Il a continué de la prendre à la hussarde pendant de longues minutes faisant enchainer les orgasmes à ma femme. Au cinquième je m’aperçois qu’il est maintenu dans son cul, je n’ai même pas vu le changement. Marie étant tellement excitée elle a accepté si facilement ce gros gland dans son fondement. Quand j’aperçois cela, ma tête disjoncte, je n’arrive pas à me contrôler et je joui en jet épais sur mon ventre, sans me toucher, sans rien faire. Notre ami rigole doucement en me voyant et signale à ma femme que je prends mon pied à la voir être salope au bout de sa queue.
Les entendre rigoler et être complice m’inquiète légèrement mais je suis complètement bourré, pour moi c’est l’alcool, pour Marie s’est par une queue incroyable.
Ils vont enchainer les positions et les jouissances. Marie me dira plus tard qu’il a joui une fois dans sa chatte mais qu’il a continué à la limer, c’est après cela, se servant de son sperme qu’il lui a pris son petit cul.
Je m’en veux d’être aussi saoul, je n’arrive plus à bander plus que de raison, même si Marie tente de me sucer avec vigueur, elle aimerait une dernière éjaculation sur son magnifique visage. J’arrive à lui donner quelques goutes, vites effacer par un nouveau torrent offert par notre ami.
Marie me demande alors de lui faire couler un bain. Je file dans la salle de bain pour réaliser les désirs de mon épouse. Notre ami en profite pour boire un verre d’eau et se rhabiller. Il nous quitte alors que Marie se prélasse dans l’eau. Il me remercie chaudement pour cet accueil.
Je rejoins Marie dans notre bain pour nous détendre ensemble. L’eau chaude nous fait du bien. Par rapport à notre première fois, nous n’avons aucun remord, aucune inquiétude, nous sommes juste repu de sexe, épuisés nous nous endormons rapidement dans notre lit.
Notre débriefing interviendra le lendemain et nous nous promettons de remettre le couvert dès que possible.
Marie restant nymphomane pendant ce confinement, notre ami viendra nous rendre visite plusieurs autres fois dans l’intervalle. Malgré tous nos efforts, Marie reste éternellement vierge de tout embryon.
A la sortie du déconfinement nous avons réalisé plusieurs tests dans une clinique spécialisée, bonne nouvelle pour nous deux, nous sommes totalement capables d’enfanter, elle comme moi. La plupart des infertilités étant psychologiques, nous décidons de lâcher prise et de s’enfuir dans une capitale européenne afin de nous retrouver en amoureux.
Le charme italien a du marcher sur nous, puisqu’à notre retour, le test de grossesse est enfin positif ! Marie est enfin enceinte !
Au bout de deux mois, les nausées disparaissent et la libido de marie réapparait, et au delà de toutes mes espérances. Son ventre grossissant très peu, mes ses seins devenant énormes, les hommes sont particulièrement attirés par elle. Les regards sur les plages naturistes de la région sont insistants mais cela est une autre partie de nos aventures.
Si vous le souhaitez je posterais la suite demain avec quelques photographies
Mais vous êtes joueurs ! 
