Comment faire jouir son cocu en 1 minute ?Non non, ce n’est pas une recette sur marmiton.com, mais bel et bien ce qui vient de m’arriver hier. Comme il s’agissait d’un vendredi tranquille, je profitais de mon après midi libre pour écrire les récits de notre dernier « vendredi où tout est permis ». Je visionnais les vidéos de nos exploits afin d’y capturer quelques images pour illustrer mes écrits. Vous imaginez bien que ce visionnage s’accompagnait d’une gaule permanente et d’une envie irrépressible de branlette. Branlette qui me fut interdite en raison de l’arrivée impromptue de ma belle-mère.
Bref le soir arrivant j’avais vraiment les dents du fond qui baignaient. Quand l’occasion me fut enfin offerte de me glisser dans le lit auprès de ma belle, elle repoussait mes avances car elle visionnait un film de Noël (vous savez ces mièvreries donc le scénario est encore plus prévisible que celui du Titanic.) Je ravalais ma fierté de passer après ces productions bâclées pour ménagères ne faisant guère fonctionner leurs méninges, et je m’en retournais à mes vidéos autrement plus intéressantes dans lesquelles ma rousse est l’actrice principale.
Je la retrouvais en larme (les grosses ficelles du film de Noël ne la dérangent visiblement pas trop) mais enfin prête à m’affronter sur le ring. Elle commence par me bouffer les couilles en me disant à quel point elle aime ça mais sans omettre de me signaler que les miennes sont bien plus petites que celles de l’amant car elles tiennent entièrement dans sa bouche. Elle me suce ensuite la tige… mais j’ai trop envie de la sauter… Elle me fait attendre, elle trouve qu’elle n’a pas assez profité de ma queue… Je sens que je suis déjà au bord de la jouissance. Elle se couche enfin sur le dos et m’invite à la pénétrer. Je lui claque une fesse en proférant « Je vais te défoncer salope », ce qui me vaut une claque… Je rentre en elle sans ménagement, je suis super excité : « tiens, prends ça salope ! » Elle réplique immédiatement : « Bim » « Bam » un aller- retour dans ma face ! Pendant que je la lime, elle me traite de cocu puis me fait le signe des cornes
en me lançant un regard de défi. L’effet est immédiat, je sens la sauce monter… Elle continue de me défier et cette fois brandit ses deux mains avec des cornes au bout.
Et comme si ça ne suffisait pas elle me dit « la semaine dernière j’avais la grosse queue de mon amant en moi ! » Oh putain ! Mon cerveau fait « reset », je commence à balancer la purée… J’entends : « Déjààààà ? mais tu m’as à peine chauffée. » Elle semble sincèrement surprise du pouvoir catalyseur de ses paroles sur mon cerveau de candauliste.