J’ai enfilé son amant Mais non ce n’est pas ce que vous croyez bande de cochons, je n’ai pas enfilé l’amant, même s’il en rêve très certainement en secret.
Mais il faut bien un titre accrocheur pour que vous soyez amenés à lire ma prose.
Donc nous en étions à évoquer ces petits plaisirs liés aux rencontres candaulistes. Il en est un que je trouve assez savoureux et qui est encore tout frais dans mon esprit puisque qu’il date d’hier. Bri et son amant étaient ensemble depuis la fin de matinée, et je les rejoignais en début d’après-midi interrompant malencontreusement leur deuxième round. Il faut donc remettre l’ouvrage sur le métier : ils s’allongent sur le lit, s’enlacent, s’embrassent pendant que je me transforme en opérateur de prise de vue. Une fois le matériel technique en place je m’approche d’eux pour profiter de leurs baisers fougueux. Puis je redescends pour caresser le sexe de Bri qui effleure presque celui de son étalon. J’empoigne le vit de ce dernier et le frotte doucement contre les petites lèvres de ma reine. Je le sens durcir entre mes mains. Le membre devient de plus en plus vigoureux, je me saisis alors d’un préservatif que je déroule le long de son sexe épais, puis je le guide en direction de l’antre accueillante de Bri… Presque un rite sacré, un rite tribal de cette curieuse tribu candauliste.
Bref vous l’aurez compris je n’ai pas (encore) enfilé l’amant mais je lui ai enfilé une capote pour qu’il puisse honorer ma femme.