- 27 nov. 2020, 17:36
#2480807
Ce soir là, nous devions recevoir de vieux copains de célibat de mon mari que j’apprécie fort peu, et, qui plus est, sans leurs épouses respectives. Je n'étais pas très contente, car j’imaginais que les conversations entre eux allaient tourner uniquement autour de sujets qui ne m’inspiraient guère… Mais la vie en couple impose des compromis…
Peu de temps avant l’heure prévue leur arrivée, il me dit :
- Va te préparer ! Douche et lavement, s’il te plaît ! J’ai mis ta tenue sur le lit.
Ce ton autoritaire me mit dans tous mes états ! Généralement, quand il organise une soirée « hot », elle n’a pas lieu chez nous et je ne sais pas à quoi je dois m’attendre.
Ces amis, de plus, ne pouvaient savoir à quelles fantaisies mon mari m’avait initiée ni que j’y consentais, mon apparence refroidissante trompant facilement son monde!
Et on devait pourtant les recevoir ce soir-là…La soirée initialement prévue était-elle annulée et remplacée par autre chose ?
Douchée du corps et du cul, je trouve dans la chambre un corset seins nus, de larges bracelets de poignets et de chevilles ainsi que mon collier de soumise, le tout en cuir, et des chaussures à hauts talons. Rien d’autre.
J'enfile le tout et vais le rejoindre dans le salon.
- Belle salope ! Félicitations ! Cette tenue te va parfaitement ! Tes seins sont magnifiquement mis en valeur et ta touffe déborde…
Sur la table, un plateau de jeu, des cartes et des jetons.
Juste à côté, un autre plateau avec quelques-uns de nos jouets : cravache, fouet, paddle, martinet. Mais aussi mes pinces à seins, des chaînes à entraves et d'autres jouets que je n'ai pas le temps de détailler.
Il se tourne vers moi :
Ce soir tu vas être un peu plus soumise que d’habitude. Sois à la hauteur !
Je ne demande pas plus d'explication. Avec un grand sourire :
- Je suis à toi.
Il empoigne un bâillon-boule et me le met.
Ensuite, il explique :
- Tu vas rester là. Tu écoutes. Tu attends. Tu obéis. Tu exécutes. Tu te laisses faire.
Fin du visuel pour moi. Il me place un bandeau sur les yeux.
Ensuite il m'installe en posture d'attente sur une desserte au bout de la table. Agenouillée, les fesses sur les talons, buste droit, offerte. Il prend mes poignets et attache les menottes des poignets et des chevilles ensemble, dans mon dos, ce qui immanquablement fait ressortir encore davantage mes gros seins. Les bouts pointent.
J'attends. Je l'entends qui se déplace autour de moi, il sort des verres, prépare la soirée.
On sonne à la porte.
Je reconnais les voix. Pas de chance ! Ce sont bien ses copains de célibat ! Je m’inquiète et me tends. Jamais aucun de nos amis ne m'a vue ainsi. Par souci de discrétion, nous nous abstenons de mélanger les genres. C’est donc une exception à la règle que nous nous sommes fixée : il doit vraiment avoir une bonne raison pour transgresser cette règle. Surtout avec ces mecs dont il sait que je suis loin de partager avec enthousiasme les plaisanteries grivoises et les propos sous la ceinture.
Ses amis arrivent dans le salon où je suis exposée comme un trophée. J'entends des sifflements de surprise et de satisfaction.
-Ah, tu mentais pas, mon salaud ! Super ! Sacré morceau ! Tu dois te régaler !
-Putain ! Les nibards ! Et t’as gardé la motte en plus ! Top !
-Je ne l’aurais pas reconnue sans ses fringues BCBG ! Elle tourne des pornos ?
-C’est juste pour mater ou on peut toucher ?
-Oui. Pourquoi tu nous la montres comme ça ? Elle est punie ?
Qu'a-t-il pu leur dire ?
Très vite je comprends.
-Ce soir, pas d'argent. Le gagnant de la partie obtient la reste de la soirée avec ma femme et il en fait ce qu’il veut. Elle est docile et dressée, c'est un bon gain ! Allez-y ! Vous pouvez fouiller, doigter, commenter comme vous voulez ! Elle se laisse faire ! Mais tout avec capotes, s’il vous plait !
Je les entends rire, se féliciter d'un enjeu de choix. Deux d'entre eux viennent me toucher, me palper, me soupeser, me pincer les seins et me tirer les bouts.
-Quelle taille ?
-90F naturel, répond mon mari.
-Eh ben! J’en ai jamais touché d’aussi gros ! Ça doit bien balancer en levrette !
-En plus, ils sont pleins et bien lourds. Y’a de quoi jouer ! Le gagnant va s’amuser !
Ils confirment : c’est d’accord pour ces règles. Le contraire aurait quand même été étonnant…
L'un d'eux s'étonne que mon mari ait moins à gagner qu'eux.
-Il faut bien que je me fasse pardonner de ne pas avoir été capable d’honorer mes pertes de la dernière partie ! Vous ne perdez pas au change, croyez-moi ! C’est un bon coup : elle est chaude et se laisse faire. Je la dresse depuis un petit moment maintenant et, contrairement à l’apparence que vous lui connaissiez, c’est une bonne salope, limite nympho.
La partie commence, manifestement. Des rires, des bruits de jetons, des verres qui sont emplis, et vidés aussi…Des commentaires, entre deux tours.
-J’arrive pas à me concentrer avec les morceaux qu’elle montre !
-Ouais ! Tu fais cela pour nous faire perdre et nous faire tirer la langue, pas la bite !
-C’est que pour nous ou d’autres en profitent aussi ?
-Pas que pour vous. Je l’exhibe et je l’offre puisque je suis candauliste et que ça nous excite tous les deux. Mais jamais à des amis, sauf ce soir donc.
-Sympa ! Merci ! On va bien s’en occuper ! T’inquiète, tu seras pas déçu !
Le temps passe. La partie est longue. Ma position devient inconfortable.
Mon mari le remarque.
-Pause Messieurs ! Madame s'impatiente !
Je les entends se lever, s'approcher. On me tâte les seins. On me les gifle.
-Putain, ça bouge bien !
-Oui. Elle aime bien. Vous pouvez y aller mais pas de marques, s’il vous plait !
Plusieurs doigts me fouillent la chatte et s’agitent dedans. Ça me fait fait bouger et secouer les seins.
- Vas-y, montre nous comment ils s’agitent ! Ça nous fait bander encore plus !
Je sens un gros doigt dans mon cul.
- Ce trou ! La salope…il me serre le pouce !
Je suis excitée comme jamais. On me pose les pinces à seins sur les tétines :
-Ça va les rendre encore plus sensibles quand on va les enlever ! Elle a une jolie voix, on va la faire chanter !
Ils retournent jouer avec des commentaires graveleux.
La partie s'éternise. Je ne comprend pas si l'un ou l'autre prend l’avantage mais, au bout d'une attente que je trouve interminable, j'entends soupirer.
-On y est jusqu'à demain ! On fait quoi ?
Et mon mari de répondre :
-Ok, c'est toi Steph qui a le plus de jetons. Je t'accorde la victoire ! Et donc la récompense du vainqueur que j’ai promise ! Tu vas pouvoir en profiter comme tu veux !
L'intéressé rigole :
-Cool ! Mais je ne vais pas pouvoir ramener mon lot chez moi. Ma femme ne serait sûrement pas d’accord ! Je peux en profiter ici ?
-Oui, bien sûr. Elle est à toi !
J'entends les autres :
-On peut mater ?
-Bien sûr, si Steph est d’accord !
L'heureux vainqueur, en s'approchant de moi, détache mes entraves pour me relever, attache une laisse à mon collier et me dit de le suivre au salon à quatre pattes, comme une chienne.
Et, beau joueur :
-Ma victoire n'est pas éclatante. Vous vous êtes bien défendus. Bon, donc...on partage ? Tu es d’accord ?
-Pas de problème, Steph ! Elle a l’habitude et on préfère la pluralité, donc à vous de jouer les mecs !
Les acclamations qui nous ont suivies jusqu'au salon m'ont éclairée sur leur avis sur la question!
J'avance lentement, toujours les yeux bandés, à 4 pattes, les mamelles tombantes, en dodelinant du cul : ma raie s’ouvre à chaque avancée, mes mamelles se balancent. Ils doivent avoir une vue superbe!
Je suis excitée, me sens plus salope que jamais et j'adore ça.
Arrivée au salon, j'entends mon mari leur expliquer à quel point j'aime être soumise, fessée et dominée.
- Nyssia s’est révélée être une bonne soumise. En dehors de la vie courante, bien sûr. Mais une fois de l’autre côté du miroir, elle s’éclate en s’abandonnant à ses domis, qu’ils soient mâles ou femelles. Elle est gouine aussi. Donc pas de violence, pas de marque et elle fera tout ce que vous voulez. Bien sur, vous pouvez commenter autant que vous voulez…
On enlève mon bâillon et je prends une première bite en bouche, profondément.
- Allez ! Bouffe moi le poireau ! A fond !
Au même moment les premiers coups de martinet tombent sur mes fesses. Je gémis.
Je les entends commenter crûment mes performances, détailler mon anatomie.
-Du premier choix! Avec des loches pareilles, elle doit se faire peloter sans arrêt !
-Oui, de la bonne! Une Sainte Nitouche mais une pure salope !
-On va confirmer…elle a un cul d’enfer.
-On n’aurait jamais cru que c’était une chaudasse comme cela !
-Et elle a l’air de mouiller facile, en plus, la petite chienne. Elle a les limaces baveuses. Ça va rentrer tout seul !
J'ai du mal à comprendre, je suis concentrée sur la queue qui descend jusqu'à ma gorge.
Suivent quelques grands coups de cravache qui me strient les reins et les meules. Ça me chauffe bien le cul. Je le bouge.
-Tu aimes ça ? Alors tu vas prendre !
Je tends ma croupe. Une verge de belle taille me pénètre en levrette : le noeud me perfore la fente.
- Comme dans du beurre ! Elle a faim : belle santé pour la rassasier ! Putain, elle est bonne !
Je reprends ma concentration sur la queue dans ma bouche : je suce en aspirant et en creusant les joues.
- La salope ! Elle suce comme les pros ! T’as vraiment trouvé une affaire !
J'entends mon mari les conseiller.
- Elle est meilleure en anal. Et elle adore ça. Mais elle est très serrée du cul. Elle hurle quand on l’encule, mais vous pouvez y aller. Il y a du gel sur le plateau si vous voulez.
Nouveaux commentaires :
-Ah, une vraie pute, génial !
-Tous les trous ? Madame assume…
-Une truie ! Matez comme elle bave de la moule.
-Le cul, c’est son truc ? Eh ben, on va pas la faire attendre, ta chérie ! Fallait le dire tout de suite !
Ça m'excite encore plus.
Celui qui m'entreprend en levrette suit le conseil de mon mari à la lettre, et s'introduit immédiatement dans mon trou. Sans ménagement. Vigoureusement. D’un seul coup. Et sans gel !Quand le gros noeud passe l’anneau, de surprise, je hurle et lâche la bite que j'avais en bouche. Je tends une main pour la reprendre, on me la repousse sans ménagement. Tout en recevant une gifle, j'entends :
- Sans les mains, comme une bonne chienne !
Il reprend ensuite les va et vient de sa pine dans ma bouche, jusqu’au fond.
La situation me fait couiner. Ça les excite.
Celui qui m’encule, jouit en moi dans sa capote. Il se retire. Celui que j'avais en bouche prend sa place. Un troisième vient le remplacer. Mon double pilonnage reprend : je suis embrochée par deux bites.
Deux autres me tirent les seins pendant qu’ils bougent sous les coups de queue que je prends dans le cul.
-Je m’accroche ! Sacrées masses ! De vrais pis ! La truie ! On peut la traire ?
Je ne sais pas combien de temps cela a duré. J'ai pissé ma mouille au moins trois fois.
Deux des convives se sont soulagés dans mon cul. Un autre dans mon con. Le dernier a jeté sa capote pour cracher sur mes seins.
Ils ont ensuite remercié et félicité mon mari.
-Sacrée salope, ta femme ! Merci de nous en avoir fait profiter !
-Elle se fait pas prier pour se faire bourrer et pomper ! Faut qu’t’assures, dis donc !
-Ouais ! Elle a de gros besoins, la petite dame ! Mais on veut tous bien se dévouer pour t’aider à la rassasier ! Sans problème !
-Si tu fais des soirées avec elle, pense à nous ! On sera pas ingrats…elle profitera !
-C’est une morte de faim, ta femelle, sous ses airs de grande dame ! Et c’est encore meilleur !
Je me disais que cela risquait d’être la première soirée de « cartes » d’une longue série, et je me demandais comment nous allions pouvoir préserver notre anonymat dans ce genre de circonstances.
-On refait une partie quand tu veux. Même enjeu.
-Quand vous voulez ! Ça l’excite et moi aussi ! Au fait, je compte sur votre discrétion, bien sûr…Ce genre de soirée mondaine n’est pas encore entrée tout à fait dans les moeurs. Et, pour tout vous dire, vous avez été filmés ce soir. Alors…
Il a raccompagné ses amis.
A son retour, il s'est installé dans son fauteuil, m'attachant un poignet à chaque accoudoir. Il a sorti sa queue, qui n'avait encore profité d'aucun de mes trous ce soir-là. Je l'ai sucé en l'écoutant me dire à quel point il était fier de moi et de mon obéissance au cours de cette soirée.
Peu de temps avant l’heure prévue leur arrivée, il me dit :
- Va te préparer ! Douche et lavement, s’il te plaît ! J’ai mis ta tenue sur le lit.
Ce ton autoritaire me mit dans tous mes états ! Généralement, quand il organise une soirée « hot », elle n’a pas lieu chez nous et je ne sais pas à quoi je dois m’attendre.
Ces amis, de plus, ne pouvaient savoir à quelles fantaisies mon mari m’avait initiée ni que j’y consentais, mon apparence refroidissante trompant facilement son monde!
Et on devait pourtant les recevoir ce soir-là…La soirée initialement prévue était-elle annulée et remplacée par autre chose ?
Douchée du corps et du cul, je trouve dans la chambre un corset seins nus, de larges bracelets de poignets et de chevilles ainsi que mon collier de soumise, le tout en cuir, et des chaussures à hauts talons. Rien d’autre.
J'enfile le tout et vais le rejoindre dans le salon.
- Belle salope ! Félicitations ! Cette tenue te va parfaitement ! Tes seins sont magnifiquement mis en valeur et ta touffe déborde…
Sur la table, un plateau de jeu, des cartes et des jetons.
Juste à côté, un autre plateau avec quelques-uns de nos jouets : cravache, fouet, paddle, martinet. Mais aussi mes pinces à seins, des chaînes à entraves et d'autres jouets que je n'ai pas le temps de détailler.
Il se tourne vers moi :
Ce soir tu vas être un peu plus soumise que d’habitude. Sois à la hauteur !
Je ne demande pas plus d'explication. Avec un grand sourire :
- Je suis à toi.
Il empoigne un bâillon-boule et me le met.
Ensuite, il explique :
- Tu vas rester là. Tu écoutes. Tu attends. Tu obéis. Tu exécutes. Tu te laisses faire.
Fin du visuel pour moi. Il me place un bandeau sur les yeux.
Ensuite il m'installe en posture d'attente sur une desserte au bout de la table. Agenouillée, les fesses sur les talons, buste droit, offerte. Il prend mes poignets et attache les menottes des poignets et des chevilles ensemble, dans mon dos, ce qui immanquablement fait ressortir encore davantage mes gros seins. Les bouts pointent.
J'attends. Je l'entends qui se déplace autour de moi, il sort des verres, prépare la soirée.
On sonne à la porte.
Je reconnais les voix. Pas de chance ! Ce sont bien ses copains de célibat ! Je m’inquiète et me tends. Jamais aucun de nos amis ne m'a vue ainsi. Par souci de discrétion, nous nous abstenons de mélanger les genres. C’est donc une exception à la règle que nous nous sommes fixée : il doit vraiment avoir une bonne raison pour transgresser cette règle. Surtout avec ces mecs dont il sait que je suis loin de partager avec enthousiasme les plaisanteries grivoises et les propos sous la ceinture.
Ses amis arrivent dans le salon où je suis exposée comme un trophée. J'entends des sifflements de surprise et de satisfaction.
-Ah, tu mentais pas, mon salaud ! Super ! Sacré morceau ! Tu dois te régaler !
-Putain ! Les nibards ! Et t’as gardé la motte en plus ! Top !
-Je ne l’aurais pas reconnue sans ses fringues BCBG ! Elle tourne des pornos ?
-C’est juste pour mater ou on peut toucher ?
-Oui. Pourquoi tu nous la montres comme ça ? Elle est punie ?
Qu'a-t-il pu leur dire ?
Très vite je comprends.
-Ce soir, pas d'argent. Le gagnant de la partie obtient la reste de la soirée avec ma femme et il en fait ce qu’il veut. Elle est docile et dressée, c'est un bon gain ! Allez-y ! Vous pouvez fouiller, doigter, commenter comme vous voulez ! Elle se laisse faire ! Mais tout avec capotes, s’il vous plait !
Je les entends rire, se féliciter d'un enjeu de choix. Deux d'entre eux viennent me toucher, me palper, me soupeser, me pincer les seins et me tirer les bouts.
-Quelle taille ?
-90F naturel, répond mon mari.
-Eh ben! J’en ai jamais touché d’aussi gros ! Ça doit bien balancer en levrette !
-En plus, ils sont pleins et bien lourds. Y’a de quoi jouer ! Le gagnant va s’amuser !
Ils confirment : c’est d’accord pour ces règles. Le contraire aurait quand même été étonnant…
L'un d'eux s'étonne que mon mari ait moins à gagner qu'eux.
-Il faut bien que je me fasse pardonner de ne pas avoir été capable d’honorer mes pertes de la dernière partie ! Vous ne perdez pas au change, croyez-moi ! C’est un bon coup : elle est chaude et se laisse faire. Je la dresse depuis un petit moment maintenant et, contrairement à l’apparence que vous lui connaissiez, c’est une bonne salope, limite nympho.
La partie commence, manifestement. Des rires, des bruits de jetons, des verres qui sont emplis, et vidés aussi…Des commentaires, entre deux tours.
-J’arrive pas à me concentrer avec les morceaux qu’elle montre !
-Ouais ! Tu fais cela pour nous faire perdre et nous faire tirer la langue, pas la bite !
-C’est que pour nous ou d’autres en profitent aussi ?
-Pas que pour vous. Je l’exhibe et je l’offre puisque je suis candauliste et que ça nous excite tous les deux. Mais jamais à des amis, sauf ce soir donc.
-Sympa ! Merci ! On va bien s’en occuper ! T’inquiète, tu seras pas déçu !
Le temps passe. La partie est longue. Ma position devient inconfortable.
Mon mari le remarque.
-Pause Messieurs ! Madame s'impatiente !
Je les entends se lever, s'approcher. On me tâte les seins. On me les gifle.
-Putain, ça bouge bien !
-Oui. Elle aime bien. Vous pouvez y aller mais pas de marques, s’il vous plait !
Plusieurs doigts me fouillent la chatte et s’agitent dedans. Ça me fait fait bouger et secouer les seins.
- Vas-y, montre nous comment ils s’agitent ! Ça nous fait bander encore plus !
Je sens un gros doigt dans mon cul.
- Ce trou ! La salope…il me serre le pouce !
Je suis excitée comme jamais. On me pose les pinces à seins sur les tétines :
-Ça va les rendre encore plus sensibles quand on va les enlever ! Elle a une jolie voix, on va la faire chanter !
Ils retournent jouer avec des commentaires graveleux.
La partie s'éternise. Je ne comprend pas si l'un ou l'autre prend l’avantage mais, au bout d'une attente que je trouve interminable, j'entends soupirer.
-On y est jusqu'à demain ! On fait quoi ?
Et mon mari de répondre :
-Ok, c'est toi Steph qui a le plus de jetons. Je t'accorde la victoire ! Et donc la récompense du vainqueur que j’ai promise ! Tu vas pouvoir en profiter comme tu veux !
L'intéressé rigole :
-Cool ! Mais je ne vais pas pouvoir ramener mon lot chez moi. Ma femme ne serait sûrement pas d’accord ! Je peux en profiter ici ?
-Oui, bien sûr. Elle est à toi !
J'entends les autres :
-On peut mater ?
-Bien sûr, si Steph est d’accord !
L'heureux vainqueur, en s'approchant de moi, détache mes entraves pour me relever, attache une laisse à mon collier et me dit de le suivre au salon à quatre pattes, comme une chienne.
Et, beau joueur :
-Ma victoire n'est pas éclatante. Vous vous êtes bien défendus. Bon, donc...on partage ? Tu es d’accord ?
-Pas de problème, Steph ! Elle a l’habitude et on préfère la pluralité, donc à vous de jouer les mecs !
Les acclamations qui nous ont suivies jusqu'au salon m'ont éclairée sur leur avis sur la question!
J'avance lentement, toujours les yeux bandés, à 4 pattes, les mamelles tombantes, en dodelinant du cul : ma raie s’ouvre à chaque avancée, mes mamelles se balancent. Ils doivent avoir une vue superbe!
Je suis excitée, me sens plus salope que jamais et j'adore ça.
Arrivée au salon, j'entends mon mari leur expliquer à quel point j'aime être soumise, fessée et dominée.
- Nyssia s’est révélée être une bonne soumise. En dehors de la vie courante, bien sûr. Mais une fois de l’autre côté du miroir, elle s’éclate en s’abandonnant à ses domis, qu’ils soient mâles ou femelles. Elle est gouine aussi. Donc pas de violence, pas de marque et elle fera tout ce que vous voulez. Bien sur, vous pouvez commenter autant que vous voulez…
On enlève mon bâillon et je prends une première bite en bouche, profondément.
- Allez ! Bouffe moi le poireau ! A fond !
Au même moment les premiers coups de martinet tombent sur mes fesses. Je gémis.
Je les entends commenter crûment mes performances, détailler mon anatomie.
-Du premier choix! Avec des loches pareilles, elle doit se faire peloter sans arrêt !
-Oui, de la bonne! Une Sainte Nitouche mais une pure salope !
-On va confirmer…elle a un cul d’enfer.
-On n’aurait jamais cru que c’était une chaudasse comme cela !
-Et elle a l’air de mouiller facile, en plus, la petite chienne. Elle a les limaces baveuses. Ça va rentrer tout seul !
J'ai du mal à comprendre, je suis concentrée sur la queue qui descend jusqu'à ma gorge.
Suivent quelques grands coups de cravache qui me strient les reins et les meules. Ça me chauffe bien le cul. Je le bouge.
-Tu aimes ça ? Alors tu vas prendre !
Je tends ma croupe. Une verge de belle taille me pénètre en levrette : le noeud me perfore la fente.
- Comme dans du beurre ! Elle a faim : belle santé pour la rassasier ! Putain, elle est bonne !
Je reprends ma concentration sur la queue dans ma bouche : je suce en aspirant et en creusant les joues.
- La salope ! Elle suce comme les pros ! T’as vraiment trouvé une affaire !
J'entends mon mari les conseiller.
- Elle est meilleure en anal. Et elle adore ça. Mais elle est très serrée du cul. Elle hurle quand on l’encule, mais vous pouvez y aller. Il y a du gel sur le plateau si vous voulez.
Nouveaux commentaires :
-Ah, une vraie pute, génial !
-Tous les trous ? Madame assume…
-Une truie ! Matez comme elle bave de la moule.
-Le cul, c’est son truc ? Eh ben, on va pas la faire attendre, ta chérie ! Fallait le dire tout de suite !
Ça m'excite encore plus.
Celui qui m'entreprend en levrette suit le conseil de mon mari à la lettre, et s'introduit immédiatement dans mon trou. Sans ménagement. Vigoureusement. D’un seul coup. Et sans gel !Quand le gros noeud passe l’anneau, de surprise, je hurle et lâche la bite que j'avais en bouche. Je tends une main pour la reprendre, on me la repousse sans ménagement. Tout en recevant une gifle, j'entends :
- Sans les mains, comme une bonne chienne !
Il reprend ensuite les va et vient de sa pine dans ma bouche, jusqu’au fond.
La situation me fait couiner. Ça les excite.
Celui qui m’encule, jouit en moi dans sa capote. Il se retire. Celui que j'avais en bouche prend sa place. Un troisième vient le remplacer. Mon double pilonnage reprend : je suis embrochée par deux bites.
Deux autres me tirent les seins pendant qu’ils bougent sous les coups de queue que je prends dans le cul.
-Je m’accroche ! Sacrées masses ! De vrais pis ! La truie ! On peut la traire ?
Je ne sais pas combien de temps cela a duré. J'ai pissé ma mouille au moins trois fois.
Deux des convives se sont soulagés dans mon cul. Un autre dans mon con. Le dernier a jeté sa capote pour cracher sur mes seins.
Ils ont ensuite remercié et félicité mon mari.
-Sacrée salope, ta femme ! Merci de nous en avoir fait profiter !
-Elle se fait pas prier pour se faire bourrer et pomper ! Faut qu’t’assures, dis donc !
-Ouais ! Elle a de gros besoins, la petite dame ! Mais on veut tous bien se dévouer pour t’aider à la rassasier ! Sans problème !
-Si tu fais des soirées avec elle, pense à nous ! On sera pas ingrats…elle profitera !
-C’est une morte de faim, ta femelle, sous ses airs de grande dame ! Et c’est encore meilleur !
Je me disais que cela risquait d’être la première soirée de « cartes » d’une longue série, et je me demandais comment nous allions pouvoir préserver notre anonymat dans ce genre de circonstances.
-On refait une partie quand tu veux. Même enjeu.
-Quand vous voulez ! Ça l’excite et moi aussi ! Au fait, je compte sur votre discrétion, bien sûr…Ce genre de soirée mondaine n’est pas encore entrée tout à fait dans les moeurs. Et, pour tout vous dire, vous avez été filmés ce soir. Alors…
Il a raccompagné ses amis.
A son retour, il s'est installé dans son fauteuil, m'attachant un poignet à chaque accoudoir. Il a sorti sa queue, qui n'avait encore profité d'aucun de mes trous ce soir-là. Je l'ai sucé en l'écoutant me dire à quel point il était fier de moi et de mon obéissance au cours de cette soirée.
Bourge à gros seins