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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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par MissBoobs
#2480807
Ce soir là, nous devions recevoir de vieux copains de célibat de mon mari que j’apprécie fort peu, et, qui plus est, sans leurs épouses respectives. Je n'étais pas très contente, car j’imaginais que les conversations entre eux allaient tourner uniquement autour de sujets qui ne m’inspiraient guère… Mais la vie en couple impose des compromis…

Peu de temps avant l’heure prévue leur arrivée, il me dit : 

- Va te préparer ! Douche et lavement, s’il te plaît ! J’ai mis ta tenue sur le lit. 

Ce ton autoritaire me mit dans tous mes états ! Généralement, quand il organise une soirée « hot », elle n’a pas lieu chez nous et je ne sais pas à quoi je dois m’attendre.

Ces amis, de plus, ne pouvaient savoir à quelles fantaisies mon mari m’avait initiée ni que j’y consentais, mon apparence refroidissante trompant facilement son monde!

Et on devait pourtant les recevoir ce soir-là…La soirée initialement prévue était-elle annulée et remplacée par autre chose ?

Douchée du corps et du cul, je trouve dans la chambre un corset seins nus, de larges bracelets de poignets et de chevilles ainsi que mon collier de soumise, le tout en cuir, et des chaussures à hauts talons. Rien d’autre.

J'enfile le tout et vais le rejoindre dans le salon.

- Belle salope ! Félicitations ! Cette tenue te va parfaitement ! Tes seins sont magnifiquement mis en valeur et ta touffe déborde…

Sur la table, un plateau de jeu, des cartes et des jetons.

Juste à côté, un autre plateau avec quelques-uns de nos jouets : cravache, fouet, paddle, martinet. Mais aussi mes pinces à seins, des chaînes à entraves et d'autres jouets que je n'ai pas le temps de détailler.

Il se tourne vers moi :

Ce soir tu vas être un peu plus soumise que d’habitude. Sois à la hauteur !

Je ne demande pas plus d'explication. Avec un grand sourire :  

- Je suis à toi.


Il empoigne un bâillon-boule et me le met.

Ensuite, il explique :

- Tu vas rester là. Tu écoutes. Tu attends. Tu obéis. Tu exécutes. Tu te laisses faire.

Fin du visuel pour moi. Il me place un bandeau sur les yeux.

Ensuite il m'installe en posture d'attente sur une desserte au bout de la table. Agenouillée, les fesses sur les talons, buste droit, offerte. Il prend mes poignets et attache les menottes des poignets et des chevilles ensemble, dans mon dos, ce qui immanquablement fait ressortir encore davantage mes gros seins. Les bouts pointent.

J'attends. Je l'entends qui se déplace autour de moi, il sort des verres, prépare la soirée.

On sonne à la porte.

Je reconnais les voix. Pas de chance ! Ce sont bien ses copains de célibat ! Je m’inquiète et me tends. Jamais aucun de nos amis ne m'a vue ainsi. Par souci de discrétion, nous nous abstenons de mélanger les genres. C’est donc une exception à la règle que nous nous sommes fixée : il doit vraiment avoir une bonne raison pour transgresser cette règle. Surtout avec ces mecs dont il sait que je suis loin de partager avec enthousiasme les plaisanteries grivoises et les propos sous la ceinture.

Ses amis arrivent dans le salon où je suis exposée comme un trophée. J'entends des sifflements de surprise et de satisfaction.

-Ah, tu mentais pas, mon salaud ! Super ! Sacré morceau ! Tu dois te régaler !
-Putain ! Les nibards ! Et t’as gardé la motte en plus ! Top !
-Je ne l’aurais pas reconnue sans ses fringues BCBG ! Elle tourne des pornos ?
-C’est juste pour mater ou on peut toucher ?
-Oui. Pourquoi tu nous la montres comme ça ? Elle est punie ?


Qu'a-t-il pu leur dire ?

Très vite je comprends.

-Ce soir, pas d'argent. Le gagnant de la partie obtient la reste de la soirée avec ma femme et il en fait ce qu’il veut. Elle est docile et dressée, c'est un bon gain ! Allez-y ! Vous pouvez fouiller, doigter, commenter comme vous voulez ! Elle se laisse faire ! Mais tout avec capotes, s’il vous plait !

Je les entends rire, se féliciter d'un enjeu de choix. Deux d'entre eux viennent me toucher, me palper, me soupeser, me pincer les seins et me tirer les bouts.

-Quelle taille ?
-90F naturel
, répond mon mari.
-Eh ben! J’en ai jamais touché d’aussi gros ! Ça doit bien balancer en levrette !
-En plus, ils sont pleins et bien lourds. Y’a de quoi jouer ! Le gagnant va s’amuser !


Ils confirment : c’est d’accord pour ces règles. Le contraire aurait quand même été étonnant…

L'un d'eux s'étonne que mon mari ait moins à gagner qu'eux.

-Il faut bien que je me fasse pardonner de ne pas avoir été capable d’honorer mes pertes de la dernière partie ! Vous ne perdez pas au change, croyez-moi ! C’est un bon coup : elle est chaude et se laisse faire. Je la dresse depuis un petit moment maintenant et, contrairement à l’apparence que vous lui connaissiez, c’est une bonne salope, limite nympho.

La partie commence, manifestement. Des rires, des bruits de jetons, des verres qui sont emplis, et vidés aussi…Des commentaires, entre deux tours.

-J’arrive pas à me concentrer avec les morceaux qu’elle montre !
-Ouais ! Tu fais cela pour nous faire perdre et nous faire tirer la langue, pas la bite !
-C’est que pour nous ou d’autres en profitent aussi ?
-Pas que pour vous. Je l’exhibe et je l’offre puisque je suis candauliste et que ça nous excite tous les deux. Mais jamais à des amis, sauf ce soir donc.
-Sympa ! Merci ! On va bien s’en occuper ! T’inquiète, tu seras pas déçu !

Le temps passe. La partie est longue. Ma position devient inconfortable.

Mon mari le remarque.

-Pause Messieurs ! Madame s'impatiente !

Je les entends se lever, s'approcher. On me tâte les seins. On me les gifle.

-Putain, ça bouge bien !
-Oui. Elle aime bien. Vous pouvez y aller mais pas de marques, s’il vous plait !


Plusieurs doigts me fouillent la chatte et s’agitent dedans. Ça me fait fait bouger et secouer les seins.

- Vas-y, montre nous comment ils s’agitent ! Ça nous fait bander encore plus !

Je sens un gros doigt dans mon cul.

- Ce trou ! La salope…il me serre le pouce !

Je suis excitée comme jamais. On me pose les pinces à seins sur les tétines :

-Ça va les rendre encore plus sensibles quand on va les enlever ! Elle a une jolie voix, on va la faire chanter !

Ils retournent jouer avec des commentaires graveleux.

La partie s'éternise. Je ne comprend pas si l'un ou l'autre prend l’avantage mais, au bout d'une attente que je trouve interminable, j'entends soupirer.

-On y est jusqu'à demain ! On fait quoi ?

Et mon mari de répondre :

-Ok, c'est toi Steph qui a le plus de jetons. Je t'accorde la victoire ! Et donc la récompense du vainqueur que j’ai promise ! Tu vas pouvoir en profiter comme tu veux !

L'intéressé rigole : 

-Cool ! Mais je ne vais pas pouvoir ramener mon lot chez moi. Ma femme ne serait sûrement pas d’accord ! Je peux en profiter ici ? 
-Oui, bien sûr. Elle est à toi !

J'entends les autres : 

-On peut mater ?
-Bien sûr, si Steph est d’accord !


L'heureux vainqueur, en s'approchant de moi, détache mes entraves pour me relever, attache une laisse à mon collier et me dit de le suivre au salon à quatre pattes, comme une chienne.

Et, beau joueur : 

-Ma victoire n'est pas éclatante. Vous vous êtes bien défendus. Bon, donc...on partage ? Tu es d’accord ?
-Pas de problème, Steph ! Elle a l’habitude et on préfère la pluralité, donc à vous de jouer les mecs !


Les acclamations qui nous ont suivies jusqu'au salon m'ont éclairée sur leur avis sur la question!

J'avance lentement, toujours les yeux bandés, à 4 pattes, les mamelles tombantes, en dodelinant du cul : ma raie s’ouvre à chaque avancée, mes mamelles se balancent. Ils doivent avoir une vue superbe!

Je suis excitée, me sens plus salope que jamais et j'adore ça.

Arrivée au salon, j'entends mon mari leur expliquer à quel point j'aime être soumise, fessée et dominée.

- Nyssia s’est révélée être une bonne soumise. En dehors de la vie courante, bien sûr. Mais une fois de l’autre côté du miroir, elle s’éclate en s’abandonnant à ses domis, qu’ils soient mâles ou femelles. Elle est gouine aussi. Donc pas de violence, pas de marque et elle fera tout ce que vous voulez. Bien sur, vous pouvez commenter autant que vous voulez…

On enlève mon bâillon et je prends une première bite en bouche, profondément.

- Allez ! Bouffe moi le poireau ! A fond !

Au même moment les premiers coups de martinet tombent sur mes fesses. Je gémis.

Je les entends commenter crûment mes performances, détailler mon anatomie.

-Du premier choix! Avec des loches pareilles, elle doit se faire peloter sans arrêt !
-Oui, de la bonne! Une Sainte Nitouche mais une pure salope !
-On va confirmer…elle a un cul d’enfer.
-On n’aurait jamais cru que c’était une chaudasse comme cela !
-Et elle a l’air de mouiller facile, en plus, la petite chienne. Elle a les limaces baveuses. Ça va rentrer tout seul !

J'ai du mal à comprendre, je suis concentrée sur la queue qui descend jusqu'à ma gorge.

Suivent quelques grands coups de cravache qui me strient les reins et les meules. Ça me chauffe bien le cul. Je le bouge.

-Tu aimes ça ? Alors tu vas prendre !

Je tends ma croupe. Une verge de belle taille me pénètre en levrette : le noeud me perfore la fente.

- Comme dans du beurre ! Elle a faim : belle santé pour la rassasier ! Putain, elle est bonne !

Je reprends ma concentration sur la queue dans ma bouche : je suce en aspirant et en creusant les joues.

- La salope ! Elle suce comme les pros ! T’as vraiment trouvé une affaire !

J'entends mon mari les conseiller.

- Elle est meilleure en anal. Et elle adore ça. Mais elle est très serrée du cul. Elle hurle quand on l’encule, mais vous pouvez y aller. Il y a du gel sur le plateau si vous voulez.

Nouveaux commentaires :

-Ah, une vraie pute, génial !
-Tous les trous ? Madame assume…
-Une truie ! Matez comme elle bave de la moule.
-Le cul, c’est son truc ? Eh ben, on va pas la faire attendre, ta chérie ! Fallait le dire tout de suite !


Ça m'excite encore plus.

Celui qui m'entreprend en levrette suit le conseil de mon mari à la lettre, et s'introduit immédiatement dans mon trou. Sans ménagement. Vigoureusement. D’un seul coup. Et sans gel !Quand le gros noeud passe l’anneau, de surprise, je hurle et lâche la bite que j'avais en bouche. Je tends une main pour la reprendre, on me la repousse sans ménagement. Tout en recevant une gifle, j'entends :

- Sans les mains, comme une bonne chienne ! 

Il reprend ensuite les va et vient de sa pine dans ma bouche, jusqu’au fond.

La situation me fait couiner. Ça les excite.

Celui qui m’encule, jouit en moi dans sa capote. Il se retire. Celui que j'avais en bouche prend sa place. Un troisième vient le remplacer. Mon double pilonnage reprend : je suis embrochée par deux bites.

Deux autres me tirent les seins pendant qu’ils bougent sous les coups de queue que je prends dans le cul.

-Je m’accroche ! Sacrées masses ! De vrais pis ! La truie ! On peut la traire ?

Je ne sais pas combien de temps cela a duré. J'ai pissé ma mouille au moins trois fois.

Deux des convives se sont soulagés dans mon cul. Un autre dans mon con. Le dernier a jeté sa capote pour cracher sur mes seins.

Ils ont ensuite remercié et félicité mon mari.

-Sacrée salope, ta femme ! Merci de nous en avoir fait profiter !
-Elle se fait pas prier pour se faire bourrer et pomper ! Faut qu’t’assures, dis donc !
-Ouais ! Elle a de gros besoins, la petite dame ! Mais on veut tous bien se dévouer pour t’aider à la rassasier ! Sans problème !
-Si tu fais des soirées avec elle, pense à nous ! On sera pas ingrats…elle profitera !
-C’est une morte de faim, ta femelle, sous ses airs de grande dame ! Et c’est encore meilleur !


Je me disais que cela risquait d’être la première soirée de « cartes » d’une longue série, et je me demandais comment nous allions pouvoir préserver notre anonymat dans ce genre de circonstances.

-On refait une partie quand tu veux. Même enjeu.
-Quand vous voulez ! Ça l’excite et moi aussi ! Au fait, je compte sur votre discrétion, bien sûr…Ce genre de soirée mondaine n’est pas encore entrée tout à fait dans les moeurs. Et, pour tout vous dire, vous avez été filmés ce soir. Alors…


Il a raccompagné ses amis.

A son retour, il s'est installé dans son fauteuil, m'attachant un poignet à chaque accoudoir. Il a sorti sa queue, qui n'avait encore profité d'aucun de mes trous ce soir-là. Je l'ai sucé en l'écoutant me dire à quel point il était fier de moi et de mon obéissance au cours de cette soirée.
candau73, Hellococu62, zztop et 18 autres a liké
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par scort75
#2481179
merci pour cette tranche de vie libertine qui est particulièrement délicieuse à lire et à imaginer c'est très bien écrit c'est très érotique très hot.
Forcément ça met l'eau à la bouche
MissBoobs a liké
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par MissBoobs
#2494215
Nous sommes un couple dans la soixantaine. Mon épouse, Nyssia, est une jolie femme distinguée et réservée, distante et qui n’inspire donc pas particulièrement les commentaires un peu salaces...

Pourtant, elle est dotée d’attributs mammaires plus que conséquents qui attirent la quasi totalité des regards masculins. Son allure, son maintien, sa prestance la qualifient de BCBG, bon chic bon genre, que l’on peut aussi traduire par beau cul, belle gueule.

Ses apparences refroidissantes lui ont permis d’éviter, à une époque où cela était encore monnaie courante, des remarques sexistes et des mains baladeuses, y compris dans son milieu professionnel. Nyssia est professeur agrégée et enseigne l’histoire/géographie à des classes de terminale dans un lycée dont le proviseur et certains de ses collègues aimeraient trouver une enseignante plus compréhensive...

Mais, comme souvent, l’arbre cache la forêt. Naturiste, j’ai eu la chance de découvrir de sa part une attirance forte pour cette pratique, puis pour l’exhibitionnisme puis enfin pour le libertinage, la soumission et la pluralité masculine aussi bien que féminine.

Je dresse donc ma femme depuis une vingtaine d’années à être une soumise prête à satisfaire les moindres désirs des mâles et des femelles auxquels je la présente pour l’exhiber ou l’offrir : je suis candauliste. Nyssia est ainsi devenue au cours de ces années une parfaite nympho, encline à servir hommes et femmes, dans des situations ou des lieux improbables ou inhabituels.

Une éducation très stricte, une frustration lors de son premier mariage, le complexe d’avoir de très gros seins déjà très jeune, des vicelards qui en ont abusé, une chatte naturellement baveuse : il suffisait de peu pour que ce terrain favorable lui fasse franchir le pas du libertinage, comme une revanche sur le passé.

Nos expériences sont donc maintenant nombreuses : la bourgeoise rangée et froide ne résiste pas au plaisir de se faire enfiler par une grosse bite ou de brouter une chatte. Voyeur, j’en profite avant de l’embrocher à mon tour en fin de séance, après m’être branlé ou fait sucer devant le spectacle qu’elle m’a offert.

Les apparences sont donc bien trompeuses. L’habit ne fait pas le moine, dit-on. Mais la bourge peut faire la pute!

Nyssia a une vie tranquille de bourgeoise et un travail de professeur qui lui convient.

Tout a commencé en fin d’après midi, par un coup de téléphone que je lui passais alors qu’elle était à notre domicile. Elle écouta avec attention : porte jarretelle, bas, string, bustier moulant soutenant bien sa forte poitrine, une paire de bottes, un maquillage soutenu et un long manteau, voilà ce que je lui demandais de porter, en précisant que, de retour de mon bureau, je passerais la chercher à dix neuf heures.

Elle est nerveuse mais elle a une confiance totale en moi, alors, comme à chaque fois, elle s’exécute.

Dix neuf heures approchent. Un dernier coup de brosse, un raccord maquillage, et puis l’interphone sonne.

- J’arrive, me dit-elle inquiète.

Elle enfile un long manteau de cuir qui renforce sa silhouette de femme très hautaine, ferme la porte à clef et descend l‘escalier. Je l’attends dans le hall. Après l’avoir félicitée sur son effort de maquillage, je lui la conduis à la voiture : impossible pour elle de savoir où je l’amène.

Je lui demande d’écarter le bas de son manteau. Elle baisse la tête, et un peu honteuse, fait glisser les pans du manteau. Pas trop, juste pour faire apparaître sa peau blanche au dessus de la couture de ses bas.

J’essaye de voir dans le bus qui se trouve à notre hauteur : six personnes au moins ont le regard fixé sur les jambes de mon épouse. Deux femmes et quatre hommes. Si ces dames ont l’air offusquées, ces messieurs, eux, sont à la fête et ça se voit. De larges sourires et des bouches en rond se dessinent sur leurs visages. L’un d’eux, d’un signe, fait comprendre qu’il aimerait voir un peu plus haut. Je fais part du désir de ce passager à Nyssia, qui n’a toujours pas relevé la tête. Timidement elle défait le premier bouton, et le manteau s’ouvre jusqu’aux hanches, dévoilant ainsi le petit string rouge et le porte jarretelle. Je lui demande de relever la tête. Elle lève les yeux vers le bus, et sent ses jambes trembler quand elle croise le regard des voyeurs. Jambes que, de ma main droite, j’écarte doucement, puis d’un doigt, tire sur le petit bout de tissu et dévoile au grand jour une belle fente rasée de près, rose et humide. Dans le bus, des pouces se lèvent en signe de satisfaction, mais le feu passe au vert, mettant ainsi fin à cette exhibition improvisée. Nyssia, rouge de honte, ne dit rien, et reboutonne son manteau.

C’est dans une petite rue proche que je gare la voiture.

Nyssia descend puis, lui prenant le bras, je la dirige vers un immeuble cossu du quartier. L’ascenseur est silencieux. L’angoisse qui monte fait augmenter le rythme cardiaque de ma femme. Elle espère se calmer en fermant les yeux et en prenant une longue inspiration, mais sa respiration se bloque au moment ou l’ascenseur s’arrête.

Face à nous une grande porte imposante. Je lui demande de sonner. Après un très court instant d’hésitation, sa main se lève.

- Attends !

Je passe derrière elle et lui attache un collier autour du cou. Elle n’a pas eu le temps de le voir, et c’est au touché qu’elle le devine en cuir, clouté tout autour et orné d’un petit anneau sur le devant. Sa main quitte le collier et se rapproche de la sonnette.

- Ce n’est pas tout !

De ma poche je sors un bandeau noir que je lui tend et lui demande de mettre.

- Maintenant tu peux sonner.

Sa main tremblante tâtonne et son doigt finit par enfoncer le petit bouton doré. Les pas qui approchent laissent deviner un épais tapis posé sur un parquet grinçant, le tout ajoutant à l’ambiance un parfum de mystère.

- Ha ! Vous voilà enfin. Tout est près, nous allons pouvoir commencer.

Nyssia se laisse guider dans ce qu’elle pense être un long couloir, puis le son devient plus ample mais feutré, comme absorbé. C’est un grand salon très stylé. Aux fenêtres de lourdes tentures vertes semblent bouger suivant la valse des flammes des bougies disposées de ci de là.

Dans un coin, sur une table basse d’une taille impressionnante, des verres attendent qu’on les remplisse du champagne qui se rafraîchit dans son seau. Un grand canapé d’angle occupe l’autre partie de la pièce et, au centre, un tapis épais et moelleux nous accueille.

Ma femme a tellement peur qu’elle éprouve du mal à avoir des pensées cohérentes, et les choses ne s’arrangent pas quand elle sent une main défaire les boutons de son manteau.

Une fois libéré de ses attaches, la main l’aide à l’ouvrir, à le faire glisser sur ses épaules, puis le manteau tombe à ses pieds. Elle a un sursaut. Deux mains se posent sur ses épaules, et la font tourner sur elle-même.

Ces même mains descendent le long de son corps, accrochent les ficelles du string, et continuent vers le bas entraînant le bout de tissu rouge.

Le silence le plus complet règne dans la pièce. Je m’approche de l’oreille de Nyssia. Mon souffle la fait frémir.

- Agenouille-toi !

Ses genoux se plient, descendent doucement et s’enfoncent enfin dans le tapis. Assise sur ses talons, les mains au creux de ses cuisses, pour tenter de cacher sa motte, elle ignore que cinq paires d’yeux la contemplent avec envie.

- Faites les présentations !

Une fois de plus, elle sursaute en entendant la voix de notre hôte. Je lui relève les fesses pour qu’elle ne soit plus assise, mais que son corps forme un angle de quarante cinq degrés, et lui met les mains dans le dos. Puis je lui écarte les genoux afin que sa fente soit visible de tous. Ses mamelles, sous le bustier serré, témoignent de son angoisse, en se soulevant rapidement à chaque respiration.

- Voici Nyssia, 1 mètre 65, 56 kilos, bonne bouche, gros seins naturels 90F, chatte large et humide, motte touffue, cul serré. Son numéro de soumise est tatoué sur sa moule, son cul et son sein gauche. Ce soir, elle sait que votre volonté sera la sienne. Messieurs, elle est à vous.

« Messieurs », ce mot claque à son oreille comme un coup de fouet.

Ses loches se soulèvent encore plus, emportées par une respiration qui devient incontrôlable.

Des applaudissements retentissent. Et dans un coin elle entend des murmures, des bouchons de champagne qui sautent, elle croit même reconnaître le déclic d’un appareil photo. Elle est perdue au milieu de tous ces sons, nue, agenouillée, offerte.

Les minutes lui semblent une éternité. Puis un nouveau sursaut. Une coupe de champagne touche ces lèvres. Elle boit quelques gorgées et sans savoir à qui elle s’adresse dit un petit « merci » timide.

Une goutte tombe sur ses seins. Sans attendre une bouche chaude se pose sur sa tétine afin de lécher la goutte qui tente de s’échapper entre ses obus, et comme pour éviter une autre évasion, deux mains sortent délicatement les nibards prisonniers du bustier.

Une petite coulée de champagne, volontaire cette fois, éclabousse sa poitrine. La bouche redouble d’effort pour tout récupérer, et finit sa course en se positionnant sur le téton droit. Le bout de chair rose est tout dur, droit, gonflé. Nyssia sent cela et culpabilise intérieurement de son état d’excitation.

Mais très vite ses pensées sont stoppées par des faits nouveaux. Une caresse dans les cheveux, une légère pression sur la nuque, et un noeud brûlant se pose sur ses lèvres.

La surprise passée, elle entrouvre la bouche et laisse glisser la queue gonflée de plaisir. Elle la suce avec application, et ne se rend pas compte que son cœur s’est calmé, que sa respiration a presque retrouvé une cadence normale, et que son plaisir monte, monte…

Elle s’en aperçoit, quand une main venant de derrière, passe entre ses cuisses, et que des doigts agiles commencent à la fouiller.

Elle se sent humide et chaude. Son clito lui envoie des secousses à chaque fois qu’un doigt le sollicite.

On décroise ses mains, et dans chacune, des hommes déposent leurs pines raides et referment ses doigts autour. Dans son monde sans lumière, elle voit des étoiles, elle n’est plus elle, elle n’est plus qu’une immense sensation. Elle semble rentrer en transe.

Elle masturbe, elle suce, se fait aspirer les mamelons et jouit dans cette main fouilleuse, qui a fini par lui glisser un pouce dans le cul sans qu’elle s’en rende compte tout de suite.

Dans sa bouche tout s’accélère, le mouvement de plus en plus rapide annonce une délivrance. La gaule gonfle par petites secousses saccadées, et, dans un râle, l’homme laisse échapper son plaisir en longues giclées de jus bien chaud sur ses seins.

D’un coup, d’un seul, elle se retrouve à nouveau seule. Le jus coule sur ses grosses doudounes. Elle tente de s’essuyer, mais n’y parvenant pas, et en désespoir de cause, elle remet ses mains dans son dos. Elle sent une présence, et un mouchoir en papier vient l’essuyer délicatement.

- Qui est ce ?? demande t’elle d’une voix tremblotante.
- Chut !! Tu ne dois parler que si on te le demande.

Ma voix la rassure un peu.

Après quelques minutes qui lui semblent des heures, une nouvelle coupe arrive à ses lèvres. Cette fois ci on l’autorise à tenir elle-même la coupe. C’est comme un cadeau pour elle, tant ses sens sont bouleversés.

Puis on la lève, et l’assoie dans un canapé, en prenant bien garde que ses fesses soient tout au bord.

Quelqu’un passe les bras sous ses genoux et les lèvent. Une langue experte vient lécher les grandes limaces roses, puis, forçant un peu, s’aventure plus profond.

Elle rentre, sort, titille le petit clito gonflé, redescend et tourne autour du petit œillet sombre et remonte encore. Il ne faut pas longtemps à Nyssia pour se laisser emporter par une vague de plaisir, et juste au moment où elle ouvre la bouche pour lâcher un soupir, la langue s’arrête.

Mais elle est très vite remplacée par un braquemard vigoureux qui la pénètre lentement tout d’abord et de plus en plus fort ensuite. Les coups de butoir font soupirer ma femme, les sons qui sortent de sa bouche s’amplifient, et enfin elle lâche un « ouiiii » de jouissance. Le pilonnage continue.

Elle sent que l’on monte sur le canapé, de chaque coté d’elle. Un noeud force l’entrée de sa bouche, pendant qu’un autre caresse sa joue, attendant son tour bien sagement. Après les avoir pris dans ses mains, elle les dévore à tour de rôle, les aspire, les lèche, les suce, cherchant à faire monter la chaude liqueur. Elle approche les deux glands l’un vers l’autre, puis quand ils arrivent enfin en contact, elle entreprend de les sucer ensemble. La salive coule de sa bouche qui devient bruyante de sons de léchages et de succions. L’homme qui la prend perd le contrôle et lâche une longue giclée bouillante dans ses entrailles. Nyssia ne peut s’empêcher de relancer un « ouiiiii » de satisfaction.

Une fois sa moule libérée de tout assaut, on la retourne et on l’installe à genoux sur le canapé. Les deux glands reviennent aussitôt reprendre sa bouche. Des mains puissantes la prennent par les fesses et un mandrin de bonne taille plonge dans son con, encore dégoulinant du foutre du partenaire précédent.

Le va et vient du chibre dans sa moule fait gémir sa bouche encombrée. Tout va très vite et son esprit déborde de sensations et d’émotions.

D’autres mains sont venues à l’assaut de ses nichons, elle perçoit toujours le son des verres qui trinquent, des bouchons qui sautent, le déclic des appareils photos qu’elle devine nombreux.

Tellement emportée dans ce tourbillon, elle ne sent pas les quelques gouttes froides, qui d’un tube coule sur son trou. Elle sent tout le monde s’éloigner, les noeuds quittent sa bouche et les hommes descendent du canapé. Seul celui qui est en elle continue sa besogne.

Elle croise les bras sur le dossier du canapé, et y pose sa tête. Elle gémit de plaisir, et instinctivement se cambre pour relever le cul, pour être plus offerte que jamais.

L’homme sort doucement sa bite dégoulinante, et vient la frotter légèrement sur son trou. Puis d’une lente poussée, il entreprend de faire disparaître sa tige dans le cul. Le visage de mon épouse se crispe un peu, puis se détend lentement au fur et à mesure des allers retours de l’engin dans son fourreau.

La manœuvre est de courte durée. L’homme se retire doucement, lui tapote les fesses et la laisse là, cambrée, les fesses en l’air, le trou dilaté, les nichons pendants.

Riche des expériences du début de soirée, elle attend qu’un verre se pose sur ses lèvres. Elle sent le canapé s’enfoncer près d’elle. Quelqu’un vient de s’asseoir. Soudain, elle est soulevée et littéralement empalée sur le sexe de cet individu. Après quelques coups de butoirs violents, il la serre dans ses bras, comme pour la maîtriser.

Deux nouvelles gouttes froides viennent de tomber. Elle comprend très vite que ce serait une erreur de vouloir se dégager et préfère inspirer longuement pour se détendre. C’est avec douceur que le cul est de nouveau envahi. Les deux pines se remettent en route, telles une machine, faisant progresser lentement leurs vitesses. Les craintes, les appréhensions de Nyssia, tout disparaît pour faire place à un plaisir encore inconnu d’elle.

Elle se sent frustrée quand, soudain, ils se retirent. Ils la lèvent, la font remettre à genoux et la penchent en arrière.

Elle manque de tomber et se retient de ses bras.

Une main lui ouvre la bouche et une voix lui ordonne de ne plus bouger. Elle entend les bruits de masturbation autour d’elle, les râles qui montent en puissance. Un premier jet lui strie la joue, un autre jaillit directement dans sa bouche, puis encore un qui traverse son visage éclaboussant son bandeau, son nez.

C’est un déluge de jus chaud qui s’abat sur elle. Sa bouche se remplit et déborde sur son menton, ses mamelles. Son visage est quasiment recouvert. Un doigt appuie sur son menton pour lui fermer la bouche. Sans résister, elle la ferme, grimace, et la réouvre vide avec un sourire triomphant et en tirant la langue.

Très vite, elle est essuyée, lavée avec de l’eau chaude savonneuse légèrement parfumée et séchée. Elle se sent un peu reine, et apprécie tous les petits soins qu’on lui prodigue. On va même jusqu’à lui laver la chatte et le cul. On la relève. Ses genoux sont rougis par le frottement du tapis.

Je m’approche d’elle, et replace les deux seins lourds dans le bustier, puis remet le petit string rouge, ajuste les ficelles sur ses hanches et dépose un baiser sur son ventre.

Nyssia, debout, les bras le long du corps n’ose plus bouger.

Les hommes réunis dans la pièce posent leurs verres et l’applaudissent. Elle rougit et avale sa coupe d’un trait.

Je l’aide à enfiler son manteau et notre hôte nous raccompagne à la porte en retraversant le long couloir.

- Bonsoir et merci. Elle a des qualités. Il faudra nous la ramener.

La lourde porte se referme.

Je soulève délicatement le bandeau. Le maquillage qui a coulé ne laisse aucun doute sur le fait qu’elle a pleuré. De peur, de douleur, de plaisir, elle ne le dira jamais.

L’ascenseur nous ramène au hall d’entrée.

La nuit est fraîche. Nyssia respire à fond et monte dans la voiture. Le retour est calme. Il n’y a plus de bus depuis longtemps.

Je regarde ma femme et lui demande si ça va, alors sans rien dire, elle glisse sur son siège, déboutonne le premier bouton de son manteau, écarte les jambes, ferme les yeux et commence une douce et longue masturbation.
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par MissBoobs
#2494356
Candauliste, j’apprécie, provoque et encourage les expériences de mon épouse, Nyssia.

C’est ainsi qu'il y a plusieurs années, j’ai été contacté par Paul X. après qu’il ait vu la page racoleuse placée sur un site spécialisé intitulé La Bourgeoise Soumise, qui depuis a fermé, hélas :

Bourgeoise mûre à gros seins, toujours accompagnée de son mari candauliste, Nyssia exhibe et laisse palper ses mamelles pleines, lourdes et sensibles. Elle aime qu’on les lui tripote et qu’on les lui tète. Elle se fait aussi tirer les bouts maintenant qu’elle assume sa grosse poitrine après en avoir été très complexée pendant fort longtemps.

Ses gros seins de salope sont fermes et sont sa fierté : elle aime se les caresser en regardant vos excitations monter! Complètement docile, elle se laisse "travailler" ses gros pis.

Docile, elle est dotée d'un superbe cul avec de magnifiques longues jambes gainées de bas noirs et de hauts talons! Elle est parfaite pour servir d'hôtesse lors de vos soirées! Elle peut faire la soubrette chez de vieux pervers distingués et aime être traitée comme une boniche par de vieux messieurs autoritaires au langage cru : vous pouvez ainsi passer une soirée entre amis avec une jolie et docile traînée, bien et fortement bustée.

Nyssia cherche donc des admirateurs mûrs, voire très mûrs (plus de 60 ans), raffinés, voyeurs et pervers pour être une vraie pute, excitante et salope. Bien sûr, vous devrez être corrects, avec du savoir-vivre et une hygiène irréprochable, et pouvoir recevoir dans un cadre agréable, si possible inhabituel.

Ce monsieur, manifestement sévère et habitué à l’obéissance sans restriction, vivait seul dans une maison bourgeoise située en dehors de l’agglomération lyonnaise. Il m’avait contacté après la lecture de cette annonce délicate et m’avait dit avoir été séduit par la plastique et le port de ma femme. J’en avais déduit assez sommairement que ce monsieur, au caractère manifestement trempé, souhaitait vérifier que son autorité s’exerçait toujours, y compris à l’égard de bourgeoises mures à lourdes tétasses, libertines à leurs heures…

Rendez vous avait donc été pris pour un Mardi soir, à 21 heures, à son domicile.

Conformément à ses instructions particulièrement précises, mon épouse ne portait pas de slip, un soutien gorge laissant ses appâts libres, des chaussures à hauts talons ainsi que des bas noirs, et, pour couvrir le tout, une robe chic et simple d’apparence, de couleur noire mais très décolletée avec une fente lacée au niveau de la raie.

Pendant le trajet en voiture le silence de Nyssia traduisait son inquiétude et son appréhension.

Arrivés à destination, je suis descendu sonner à l’interphone de la grille du jardin. Avant même que j’y parvienne, le mécanisme s’est mis en route et les vantaux se sont ouverts : nous étions à l’évidence attendus et guettés.

Sitôt la grille passée, celle-ci s’est refermée et les phares de la voiture nous ont fait découvrir au milieu de la nuit noire une maison bourgeoise de la fin du XIXé, sans grand intérêt architectural mais dont la taille et la qualité des matériaux manifestaient le statut social de son occupant.
J’ai stationné notre voiture au pied du perron, au moment où une accorte jeune fille, habillée en soubrette traditionnelle, est venue nous accueillir.

- Monsieur vous attend.

dit-elle courtoisement.

Nous précédant, j’en profitais pour la détailler : environ vingt-cinq ans, des nichounets de petite taille recouverts par un chemisier blanc suffisamment fin pour que l’on puisse deviner qu’il ne cachait pas de soutif, des jambes gainées de bas de voile noir, une jupe courte en jersey galbant ses fesses, et des chaussures à talons.

Je laissais passer Nyssia devant moi pour entrer dans le salon, la soubrette s’effaçant également. Nous étions à l’entrée d’un grand salon meublé classiquement, avec nombre de tableaux et objets aux murs : au centre, trônait une table basse qui séparait deux canapés profonds en velours, placés symétriquement de part et d’autre.

Le propriétaire des lieux se leva à notre entrée mais à ma grande surprise ignora mon épouse et se dirigea vers moi pour me saluer. Nyssia resta debout les bras ballants, peu habituée à un tel manque de courtoisie.

- Agathe, laissez nous pour l’instant.
- Bien Monsieur.

Paul me proposa de le suivre et de m’asseoir à côté de lui dans le canapé dont il venait d’émerger.

- Excusez moi, mais je ne vous ai pas présenté ma…
- Ne vous excusez pas, m’interrompit-il. Il s’agit d’une pute.

J’étais prêt à répliquer, mais notre hôte s’adressa alors à ma femme :

- Va à la cuisine nous chercher du champagne !

Médusée, Nyssia sortit de la pièce, restant sans voix et sans réaction devant tant d’impudence.

- C’est la règle du jeu, me dit mon hôte. J‘ai demandé une pute soumise d’excellente éducation : vous me l’avez amenée. Elle gardera ce statut toute la soirée.

De fait, je n’avais pas prêté attention, lorsque nous nous étions parlé au téléphone, à cette demande : j’en avais maintenant la traduction concrète.

Nyssia apparut alors sur le seuil du salon, portant un plateau avec une bouteille de champagne et trois coupes. Je tentais de lui faire un signe pour la rassurer et lui faire comprendre que tout se passait comme convenu : je m’en suis alors voulu de ne pas l’avoir suffisamment affranchie des termes de notre accord, mais, après tout, c’est elle qui ne veut pas savoir ce qui l’attend pour ne pas être trop inquiète avant nos petites séances.

- Pose-le sur la table.

La pute s’approchait. Elle allait s’accroupir pour poser le plateau sur la table basse.

- Mais non, reste les jambes tendues!

Elle ne comprit pas sur l’instant. Mais s’exécuta. L’emprise de notre hôte commençait à se faire sentir. Jambes tendues, elle dut se pencher en avant et ainsi donner à la vue le haut de ses loches que découvrait largement le décolleté de sa robe. Les mamelons tendaient le tissu. Paul appréciait manifestement : il aimait le lourd…

Alors qu’elle était penchée et avant qu’elle ne se relève, il lui intima l’ordre de rester dans cette position, les mains appuyées sur la table. Ce qu’elle fit. Il sortit alors, de la profondeur des coussins garnissant le canapé où nous étions assis, une longue badine avec laquelle il s’amusa à explorer les contours des pis de Nyssia au travers de son chemisier. Exercice humiliant. Puis, du bout de la badine, il écarta le chemisier au niveau des deux gros globes pour en avoir une meilleure vision.

- Belle paire, dit-il élégamment. Redresse-toi.

Du bout de la badine, il commença à remonter lentement le bas de sa courte jupe, manifestement pour s’assurer que ses ordres vestimentaires avaient bien été suivis.

- Ecarte les cuisses, tiens-toi droite, les mains dans le dos !

Cette position était particulièrement avantageuse, compte tenu de l’anatomie de Nyssia : ses tétines dardaient et tendaient sa robe à l’en faire exploser. Sa jupe remontait doucement, sa respiration s’accélérait : il ne la quittait pas de yeux, observant ses réactions au fur et à mesure de la montée du tissu.

Arrivé à la lisière des bas, il l’interpella :

- Ecarte bien. Je dois m’assurer que tu ne portes pas de slip. Et je serais intéressé de savoir dans quel état tu es déjà. Es-tu encore une femme du monde ou es-tu déjà une salope, la chatte trempée ?

Ma femme rosit immédiatement. Si elle n’avait pas de slip, par contre elle était forcément déjà très mouillée. Je n’avais pas de doute : c’est une femme-fontaine qui pisse sa mouille…

- Bien. Je pense avoir la réponse donc… Une petite salope qui se cache sous des airs de sainte-nitouche.
La badine poursuivait son chemin : la fente aux limaces bien gonflées apparaissait, libre de tout tissu mais manifestement bien humide. Ayant vérifié ce qu’il souhaitait, Paul laissa brusquement retomber la courte jupe, déstabilisant ainsi encore un peu plus mon épouse.

Du bas, il repassa au haut en recommençant à lui caresser le tour et le bout des nibards de sa badine : les doudounes étaient gonflées comme jamais et les bourgeons, naturellement très érectiles, durs. Il s’en amusait.

- Tu aimes cela, salope. Tourne toi et présente moi ton cul.

Nyssia fit demi-tour sur place et attendit.

La badine cingla sa fesse droite. Elle sursauta en retournant le haut du corps vers nous.

- Je t’ai dit de me présenter ton cul : tu te penches en avant, tu relèves ta jupe pour dégager tes globes et tu t’écartes la raie avec tes deux mains. Tu ne bouges pas jusqu’à ce que je t’y autorise.

L’exécution ne tarda pas, de crainte que la fesse gauche ne reçoive la même punition.

- Agathe!

Ma femme n’osa pas manifester sa gêne de se voir ainsi exposée devant la petite soubrette qui apparut dans l’encadrement de la porte.

- Sers nous à boire, veux-tu !
- Bien Monsieur.

Nullement impressionnée par le spectacle qu’offrait Nyssia, nichons pendants, raie exposée par des globes fessiers bien écartés, Agathe se pencha sur la table basse, face à nous pour verser le champagne dans deux coupes : elle exposait ainsi généreusement ses deux petits mamelons aux tétons bien dressées, d’un brun sombre et percés chacun d’un anneau lourd que je n’avais pas eu l’occasion de remarquer jusque là.

- A genoux ! Et suce lui la raie !
- Merci Monsieur !

J’ai réalisé à ce moment là que la petite soubrette n’avait rien perdu du début de notre visite et était manifestement habituée à servir Paul en toutes circonstances…

Elle contourna la table basse, se mit à genoux, empauma les deux miches et plongea le nez et la langue avec délectation dans la raie de Nyssia qui n’osait ni bouger ni protester de peur de raviver les ardeurs fouetteuses de Paul…

Agathe, en bonne salope habituée aux exigences de son patron, se donnait du mal… et du plaisir : sa langue dardait et la pointe s’enfonçait dans le cul de ma femme arrachant des gémissements non équivoques à cette dernière. Manifestement cette opération ne laissait pas la petite bonne insensible : sa courte jupe ne laissait rien ignorer de son cul qu’elle moulait parfaitement.

- Regardez moi ces deux putes : deux chiennes en chaleur !

- Agathe, continue à lui bouffer le cul ! Je veux voir ses grosses mamelles s’agiter.
Agathe avait la bouche pleine... Elle ne répondit pas mais redoubla d’ardeur et de fait, Nyssia se tortillait de plus en plus sous les assauts de la langue dans son fion : le résultat souhaité fut ainsi obtenu. Les gros airbags débordaient de son piège à nichons qui en laissait les trois-quarts libres et se balançaient provoquant la satisfaction manifeste de notre hôte : les tétines érigées et durcies, les flotteurs pleins, ronds et lourds d’excitation, tout dans les somptueux obus de ma femme traduisaient l’envie et le besoin de se faire mettre.

Paul se pencha en avant depuis le fond du canapé où nous nous trouvions et, utilisant le majeur de sa main droite, fouilla la fente d’Agathe sous sa petite jupe en l’enfonçant jusqu’à l’y faire entièrement disparaître et provoquant ainsi le trémoussement des meules de la bonne qui ne cessait pas d’enfouir sa langue dans celles de ma femme.

Petite salope ! Tu es trempée, comme d’habitude ! Elle te plait cette pute bourge à gros nibards !
Tout en disant cela, après avoir porté son doigt à se narines pour humer le fumet du con de la bonne, il l’introduisit d’un coup sec jusqu’au fond dans le trou du cul de cette dernière qui sursauta et cria aussitôt.

- Tais toi ! Tu aimes cela, en plus ! Ton inconduite se paiera plus tard ! A la cuisine!

Agathe se releva et sortit de la pièce, contrite, les yeux vers le sol et les mains dans le dos.

- A nous maintenant ! dit notre hôte en s’adressant à ma femme. Relève-toi, les mains sur la tête, face à nous, cuisses écartées.

Le ton de Paul ne laissait guère le choix… Nyssia s’exécuta.

- A poil!

L’ordre cingla. Ma femme rougit, hésita.

- J’ai dit : à poil ! Vite ! Montre ce que tu proposes ! Déballe la marchandise !

La robe tomba sur le sol. Les bouées apparurent encadrées par le kestos qui en laissait toute la partie antérieure bien exposée.

- Ta taille ?
- Pardon ?
- Ta taille de bonnets ?
- 90F
- Les mains sur la tête.

Cette position rendait ses montgolfières encore plus arrogantes. Reprenant sa badine, Paul commença à les lui effleurer en tournant autour des mamelons.

- Vous devriez la faire anneler. Compte tenu du volume de ses boîtes à lait, ce serait agréable de pouvoir l’attacher par les bouts. Vous la faites traire ?

Les propos avaient un côté irréel. Paul détaillait le bestiau, évaluait la marchandise pour voir ce que l’on pouvait en tirer de mieux. Un maquignon. On tâte la bête, on apprécie les différents morceaux. Il était trop tard pour reculer, mais j’appréhendais le retour avec mon épouse, dont l’existence à l’instant présent ne valait que par les formes avantageuses de sa plastique…
- Elle reçoit un tire-lait quelquefois.

- Intéressant. Ça doit lui tirer les bouts qu’elle a déjà bien durs et développés.

En même temps que ce commentaire flatteur, il abattit le bout de la badine sur le téton gauche de Nyssia qui gémit.

- Et sensibles. Je confirme : faites la anneler. Ou plutôt, non. Faites la traire. Elle a tout ce qu’il faut. Elle rapportera bien. Une vraie laitière. Nommez la donc ainsi : c’est suffisamment évocateur…

La badine poursuivit son chemin et descendit vers le ventre avant de toucher la fente lisse, aux lèvres gonflées. Nyssia, devenue la Laitière, sursauta.
- Ramenez la moi pour une séance de traite. Avec une trayeuse, une pompe à vide. Compte tenu de la taille de ses pis et de leur forme, vous devriez trouver sans problème des embouts qui conviendront chez un marchand de matériel agricole…
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par sergio
#2494666
Les aventures de @MissBoobs sont très intéressantes et distrayantes.
MissBoobs a liké
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par MissBoobs
#2494852
Tournante

Je m’appelle Nyssia, bourgeoise bcbg, soumise à mon mari candauliste. Mes mamelles sont généreuses, naturelles, un peu pendantes, ornées de gros mamelons et tétons marron. J’adore qu’elles soient malmenées bien que très sensibles. Ma chatte est garnie d’une abondante toison noire qui laisse cependant deviner mes épaisses lèvres marron.

Nous partageons, mon mari et moi, depuis de nombreuses années tous nos fantasmes. L’un de nos scénarios favoris a toujours été que je me fasse prendre par plusieurs types en sa présence dans la cave d’un immeuble d’une cité. Et voilà ce qui est arrivé, il y a pas mal d’années… Depuis, mon mari ne me fait plus faire que de la pluralité, tellement nous avons été excités, l’un comme l’autre, par cette situation.

Nous profitions d’être en vacances au Maroc, pour essayer de mettre, ce qui jusqu’alors n’était qu’un fantasme, à exécution, après en avoir longuement discuté et malgré les risques inhérents à ce genre de situation, ce dont nous étions parfaitement conscients. Mais bien des années auparavant, j’avais été prof dans un lycée de cette ville et j’avais confiance. Le récit qui suit est très proche de ce qui s’est passé lors de cette aventure, il y a maintenant assez longtemps, et qui restera dans nos mémoires à tout jamais.

Mon mari m’a sélectionné lui-même ma tenue. Il m’a préparé un minuscule slip ficelle noir, des bas et porte-jarretelles noirs, un soutien-gorge noir très ouvert, une minijupe raz la touffe mettant mes fesses en valeur, et un corsage blanc plutôt transparent.

Je sors de la salle de bain ainsi affublée, et me présente à mon mari.

-Tourne-toi et penche-toi en écartant tes jambes.
-Tu es un vieux cochon !

Je m’exécute.

-Superbe, tu es magnifique, tu vas les rendre complètement fous. Tu ferais même bander un homo. Si tu es prête, alors on y va !

Vers 7 heures du soir, nous quittons l’hôtel et prenons la voiture. Un quart d’heure plus tard, nous roulons entre des barres d’immeubles proches du lycée où j’avais enseigné mais j’espère que, compte tenu du temps qui s’est écoulé, mes élèves ne fréquentent plus le quartier et que je ne serais pas reconnue… Malgré tout, ceci ajoute à mon angoisse. Nous tournons un moment pour repérer un endroit propice à ce que nous venons chercher.

Plusieurs lascars, marocains et africains, semblent monter la garde devant une cage d’escalier. Mon mari me demande si cela me convient. Je n’ose pas répondre…

Nous nous garons non loin de là.

-Nous allons faire semblant de monter rendre visite à quelqu’un de l’immeuble pour tâter le terrain, et tester la réaction des gars. Es-tu d’accord ?

Nous descendons de la voiture, tous les visages se tournent vers nous et surtout sur moi…. Mes jambes commencent à trembler, je me sens particulièrement vulnérable. Mon mari me donne la main et me guide vers les premières marches où campe notre comité d’accueil. Les gars s’écartent et nous laissent passer. Mon mari se dirige vers les boites à lettres, et fait semblant de vérifier un nom d’occupant. Les gars commencent à siffler. Je réalise qu’ils ont pleine vue sur mes fesses que ma minijupe ne cache guère. Nous continuons à gravir les escaliers jusqu’au premier palier.

-Jolie ta meuf, beau cul ! Les gars, on va se la faire, celle-là ?
-Ma chérie, je crois que cette fois tu vas passer à la casserole, si tu en as toujours envie bien sûr.
Tu peux encore changer d’idée. Dans ce cas, je vais appeler les flics pour qu’ils viennent nous aider.

Mes jambes commencent à faiblir et mon excitation initiale est devenue une horrible peur.
Nous avons maintenant le choix. Repartir, et dans ce cas je reste sur ma faim ou me faire violer par la bande de mecs qui nous attendent en bas (ce que nous fantasmons depuis longtemps). Mon mari me serre contre lui et pince mon téton.

-Il est dur.

Sa main descend entre mes jambes jusqu’à ma chatte qu’il tâte au travers de mon slip.

-Tu mouilles, salope, tu en as envie…. Alors allons-y…
-D’accord, mais tu dois rester avec moi car ils me font peur.
-OK promis, on redescend.

Mon cœur bat la chamade. Mon mari me tient la main comme pour m’encourager. Je sais qu’il a très envie de me voir prise par plusieurs hommes. Les escaliers me paraissent trop courts cette fois. Notre comité d’accueil nous attend maintenant au niveau des boites à lettres et nous barre le passage. D’où nous nous trouvons maintenant, les lascars regardent sous ma jupe et je ne peux rien faire pour cacher mon intimité. Ils ont pleine vue sur mon entre cuisses. Nous atteignons la dernière marche mais ils ne s’écartent toujours pas.

Le chef du gang nous interpelle.

-T’as une belle meuf. Les mecs et moi on veut la baiser. Tu nous la prêtes ?

Mon mari prétend ne pas être d’accord et proteste.

-Non mais, vous déconnez les mecs…
-De toute façon, t’as pas le choix ! On va pas te laisser sortir d’ici sans qu’on se la fasse. T’es venu pour la faire baiser par nos gros zobs, t’es pas le premier… On en a tout le temps des touristes blanches qui viennent tâter du zboub… La zone est connue pour ça : ne me dis pas que tu viens là par hasard ! Tu verras, tout se passera bien, et la petite dame va bien en profiter.

La négociation tourne court. Mon mari est visiblement prêt à faire des concessions et ne veut surtout pas faire échouer notre plan.

-OK les gars, mais à condition que vous ne lui fassiez pas mal, que vous mettiez des capotes pour la moule et que je puisse être à côté d’elle pour voir ce que vous lui faites.

A partir de ce moment, tout se passe très vite. Plusieurs mecs s’excitent autour de moi. Des mains pelotent déjà mes fesses sous la minijupe. On me pousse vers le fond du couloir, vers la porte du sous-sol. Ils me font descendre des escaliers puis suivre un long couloir sombre jusqu’à la porte ouverte d’une cave. C’est là que cela va se passer. La pièce très sombre n’est éclairée que par une seule lampe. Cela sent un mélange de moisi et de sueur. Mes yeux s’habituent à la pénombre, je distingue le visage de plusieurs types autour de moi. Visiblement tout a été minutieusement préparé. Ils savaient qu’ils allaient nous intercepter en redescendant. Un matelas crasseux est jeté sur le sol. Un fil tendu en travers de la pièce supporte un assortiment de culottes et soutiens-gorge. Je ne suis visiblement pas la première à être passée ici. Cela me rassure un peu. La porte se referme. Je me retourne pour chercher le visage de mon mari mais je ne le vois pas. Je panique.

-Où est mon mari? Je veux qu’il soit là.
-T’inquiète pas, il va venir.

Je me retrouve seule avec une dizaine d’hommes en rut. Plusieurs palpent déjà leur paquet à travers leur pantalon en me dévisageant pour me faire comprendre qu’ils me réservent quelque chose…Le type qui semble être le chef du gang s’approche de moi.

-Mon nom est Rachid. C’est quoi ton petit nom ?

Je reste muette.

-Bon, ça ne fait rien, on va t’appeler Salope alors… Tu sais que tu es bien branlée et que tu as un beau cul. Si tu fais gentiment ce qu’on te dit, tu auras du plaisir. Tu sais que toutes les femmes qu’on baise ici reviennent pour en avoir plus. Les bourges blanches comme toi, elles adorent. D’ailleurs, la plupart, vous venez au Maroc pour ça !

Rachid s’approche et palpe mes seins au travers de mon corsage.

-Dis donc, t’as des gros seins, montre-les-nous, enlève le haut !
Je proteste car je préfère enlever moi-même mon chemisier plutôt que de les laisser le faire. Je m’exécute et exhibe la taille de ma poitrine à la vue de ces mâles en rut. J’ai beaucoup de mal à dissimuler mon excitation. Je sens mes tétons durcir et ma chatte ruisseler de mouille.

Rachid promène ses mains sur mon soutien-gorge. Que c’est bon ! Il plonge maintenant ses doigts dans mes bonnets pour en extraire mes seins et les laisser pendre hors de mon soutien. J’aimerais tant que mon mari puisse me voir ainsi…

Rachid reprend :

-Regardez les gars, de vraies mamelles de salope comme on les aime. Abdul, toi qui kiffe les gros seins, tu vas pouvoir te régaler et lui faire la traite… Retire ton soutien maintenant…. Voilà superbe ! Donne-le-moi.

Il jette mon soutien-gorge aux gars qui commencent à siffler et lancer des cris de fauves. Celui qui l’attrape met son nez dedans pour le sentir puis le descend sur sa braguette et se branle dedans.

- Penche-toi bien vers eux pour leur montrer tes mamelles. Tiens-les et suce les…

Je me redresse, Rachid en profite pour me pincer très fort les tétons, m’arrachant un cri de douleur.

-Tu aimes, salope. Maintenant, tu retires ta jupe. Tu sais que tu es fringuée comme une vraie pute…

Me déshabiller devant eux est moins difficile que je ne l’avais imaginé. Cela m’excite d’ailleurs !
Je fais glisser la fermeture et la jupe descend toute seule à mes pieds. Je ne peux m’empêcher de couvrir mon pubis avec ma main tellement je me sens vulnérable.

-Tourne et penche toi encore qu’on voie ton cul, écarte tes jambes.

J’obtempère et je sens la ficelle de mon string qui creuse les lèvres de ma chatte et ma raie. Je sens la dizaine de paires d’yeux qui étudient mon anatomie, s’imaginant déjà prêts à me forcer.

-T’as de belles fesses, écarte les bien avec tes mains que les mecs se rincent l’œil.

J’ai la chatte en feu et je sens ma mouille imprégner mon slip et passer sur le côté, elle va couler le long de mes jambes et les mecs vont le voir…

-Retire ton slip et donne-le moi, pour que je l’ajoute à nos trophées de chasse.

Je m’exécute et descends le petit morceau de dentelle le long de mes jambes et le tend à Rachid qui plonge son nez dedans.

-Les copains, cela sent la chatte en chaleur, et elle mouille en plus, sa culotte en est trempée. Penche-toi encore, salope, et montre-moi ton cul. Matez les mecs, elle a la chatte touffue, mais elle n’a pas de poils au cul.

Il pose une main sur mes fesses et avec l’autre promène ses doigts dans ma raie, titille mon trou avant de descendre jusqu’à ma fente où il plonge plusieurs doigts découvrant l’indéniable évidence : j’ai la chatte en feu.

-Les mecs on va s’amuser, elle est complètement trempée. Elle veut de la queue. Encore une qui a besoin d’être saillie comme une vraie chienne en chaleur. Tu garderas tes bas et ton porte-jarretelles, cela te donne l’air d’une vraie pute.

Les autres machos commencent à ouvrir leurs pantalons et sortir leurs bites. Ils se branlent en me regardant en ayant l’air de me dire « Tu vas voir salope, je vais te mettre ça dans le cul ! ».

Rachid me fait asseoir sur le bord du matelas crasseux et descend son pantalon. Je comprends pourquoi il est le chef du gang à la taille de la queue qu’il me présente. Sa pine marron foncée, épaisse et longue, est complètement rasée y compris ses grosses couilles qui pendent très bas.

-Suce ma queue, salope !

Je m’exécute et prends l’énorme zob entre mes lèvres en titillant le bout avec ma langue. Cela ne lui suffit visiblement pas car il prend ma tête et force sa queue au fond de ma gorge. J’étouffe. Il retire sa queue pour me laisser reprendre mon souffle et replonge à nouveau dans ma gorge. Il se retire et me fait sucer ses couilles. C’est bon…

-Mets-toi à quatre pattes sur le matelas. comme une chienne en chaleur que tu es. On va te saillir par tous les trous… Abdul, c’est l’heure de la traite, essaye de lui tirer du lait…Kamal tu lui fais une gorge profonde…Pendant ce temps-là, je vais la dépuceler. Tu vas voir, ça va être autre chose que la petite queue blanche de ton mec.

Abdul, un beau noir d’une vingtaine d’année, tout nu, s’approche et s’allonge sous moi et positionne son visage sous mes seins pendant qu’il commence à les palper doucement avec ses doigts très longs. C’est très agréable, et j’en redemande en cambrant ma poitrine et en soupirant. Ses caresses deviennent un peu plus fermes. Il empoigne maintenant mes mamelles et commence à les allonger en les tirant vers le bas. J’ai un peu mal mais je veux vivre l’expérience. Ses lèvres commencent à sucer mon téton droit et à le mordiller, il aspire toute l’extrémité de mon sein dans sa bouche. Jusqu’où va-t-il aller ? Il suce tellement fort que mon mamelon me brûle. Il me malaxe les mamelles et les tire vers le bas et les laisse rebondir vers le haut.

Kamal m’enfonce sa queue dans la bouche.

Rachid s’agenouille derrière moi, il me donne plusieurs claques sur les fesses avant de les écarter brutalement. Il enfile une capote. Il promène maintenant le bout de sa bite épaisse dans la raie de mon cul puis descend doucement jusqu’aux poils de ma chatte. Ses doigts caressent mon cul. Humm !!! C’est intenable tellement c’est bon. Je cambre mes fesses vers lui pour lui faire comprendre que je suis prête à le recevoir. Sa queue vient buter sur les lèvres de ma chatte, je cambre un peu plus mon derrière pour qu’il m’enfile. Je gémis de plaisir. Il est énorme et me fait un peu mal mais je dois le supporter. Rien ne l’arrête maintenant, il me pénètre de toute sa longueur jusqu’à ce que je sente ses couilles contre mes cuisses. Il commence à me saillir avec de longs va et viens ; il se retire complètement pour laisser ma chatte béante. Il me force à nouveau. Ses doigts écartent mes fesses et s’intéressent à mon anus.

-Non pas ça, tu es trop gros.

Il ressort de ma chatte pour me décharger plusieurs giclées de foutre bien épais entre les fesses. Je sens son foutre ruisseler le long de mes cuisses et sur mes bas. Ses doigts étalent son jus dans ma raie et en lubrifie mon anus. Que me réserve-t-il ?

-Fadi, viens la, fais-lui péter la rondelle avec ton gros zob.

Fadi, un beau lascar basané sort du groupe s’approche de nous en souriant. Il ne bande pas encore mais sa queue qui n’est que demi dure me fait peur.

-Toi, t’es comme toutes les salopes de bourgeoises mal baisées qui passent ici, tu viens pour notre zob. Avoue que c’est vrai, avoue que ton mec ne sait pas te baiser. Dis-moi que tu as besoin de grosses queues dans ton gros cul de salope !

Fadi me donne plusieurs claques sur les fesses.

-Oui Fadi, mon mari ne sait pas me baiser. J’ai besoin de grosses queues dans mon cul de salope…
-Avoue que ton mec et toi, vous êtes venus pour cela, pour que tu te fasses monter par tous mes copains.

Nouvelle fessée, il me fait mal. Même si c’est vrai, je ne peux quand même pas l’admettre… Mais si c’est cela qu’il veut entendre, autant le lui avouer, cela le calmera peut-être.

-C’était une idée de mon mari. Il voulait me voir prise par plusieurs types.
-Et toi tu étais d’accord ?
-Oui, cela m’excitait.

Je vois que notre conversation l’excite. Sa queue est maintenant bien bandée et cela me fait peur de savoir que dans un moment cet énorme engin va forcer mon cul.

Fadi s’agenouille derrière moi. Ses mains écartent brutalement mes fesses meurtries et ses doigts commencent l’exploration de ma raie. C’est bon. Je ne peux m’empêcher de gémir et cambrer mes fesses pour lui faire comprendre que c’est bon….

-Regardez les mecs, c’est une vraie chienne en chaleur !!!!!

Il force plusieurs doigts dans ma chatte puis remonte vers mon anus qu’il pénètre sans douceur. Il ressort et crache plusieurs fois sur ma rondelle. Ses doigts reviennent à la charge et me fouillent profondément avant de se retirer en me laissant grande ouverte. Je sens qu’il s’excite.

-Tu veux mon gros zob ? Alors ouvre-toi bien !

Il écarte très fort mes fesses jusqu´à me faire mal. Ses deux pouces s’enfoncent profondément dans mon anus puis s’écartent pour l’ouvrir davantage. Le bout de son énorme queue vient se poser dans le creux… Humm que c’est bon ! J’anticipais ce moment avec impatience. Je sens la pression de son gland sur mon sphincter s’accroître. Il est gros, il est très gros. Je ne sais pas comment je vais faire pour le recevoir car je ne me suis jamais faite enculer par quelque chose d’aussi monstrueux. Mon mari me suggère toujours de « pousser » quand il force ma rosette. Je suis son conseil et pousse au maximum pour aider Fadi à enfoncer son zob dans mon cul sans me faire déchirer. Je le sens rentrer millimètre par millimètre. Il me fait mal mais c’est bon….

-Aie, vas-y doucement, tu me fais mal…
-Ton cul est vierge ou quoi ? Ton mec t’encule de temps en temps ?
-Oui, mais tu es très gros. Je n’ai jamais été pénétrée par une queue aussi grosse que la tienne.

Il se retire doucement. Rachid s’approche de nous et lui tend un tube.

-Fous lui ça dans le cul, cela t’aidera.

Fadi vide une grosse giclée de lubrifiant dans mon anus et le fait pénétrer avec ses longs doigts tout en me gardant ouverte. Il revient à la charge et force son zob dans mon cul mais cette fois, il le pousse jusqu’à ce que je sente ses couilles buter contre mes fesses. Fadi est arrivé à ses fins. Il s’arrête un moment, comme pour savourer sa victoire. Je suis sa chienne et il veut maintenant me saillir pour me faire sentir qu’il est le maître.

Toujours enfoncé en moi, Fadi monte sur le bord du matelas et se relève sur ses jambes, se retire un peu et commence son va et viens. Son rythme s’accélère. C’est bon !!!! Sa queue ressort complètement de mon cul qui reste béant et ouvert. Je cambre mes fesses vers lui pour lui faire comprendre que j’attends autre chose….

-Tu en veux salope, la voilà…

Sa pine réinvestit brutalement mon cul. Maintenant il se déchaîne et me monte comme le ferait un jockey, les pieds dans les étriers ! Je sens mon plaisir monter du fond de mon ventre à chacun de ses coups de boutoir. Il s’excite lui aussi. Je perds le contrôle quand un massif orgasme explose en moi. Fadi se cambre et je sens ses giclées de foutre chaud inonder mon boyau.

Fadi se retire de ma rondelle dilatée laissant s’échapper un ruisseau de foutre qui coule le long de mes cuisses.

Rachid s’approche.

-Allez les mecs, elle est à vous !

Me voici dans la pénombre d’une cave crasseuse, prise par un étalon marocain qui force son énorme queue dans mon cul endolori et cela devant un groupe d’une dizaine d’hommes en rut qui attendent leur tour, la queue à la main en se branlant. Il y a dans l’air une odeur mélangée d’humidité et de foutre dont je suis toute souillée, des cheveux aux fesses…Mes seins meurtris d’avoir été pincés et sucés par les mains et bouches des mecs sont terriblement sensibles. Mes trous me font mal à chacun de leur va et viens….

Le reste de la bande se resserre autour de moi. J’appréhende ce qui m’attend. Je suis toujours en levrette, la croupe offerte. Je me souviens de plusieurs mains me palpant violemment les fesses et les seins, une grosse queue noire forçant ma bouche pour y déverser un torrent de foutre alors que, derrière moi, les queues se succédaient pour inonder mon cul et ma chatte. Puis ils se calment, je commence à espérer que c’est fini car je suis épuisée. Je réalise que je me suis trompée quand je sens plusieurs doigts s’enfoncer dans mon anus. Le foutre que je viens de recevoir lui rend la tâche facile. La pression est de plus en plus forte. Je comprends rapidement que le type qui est derrière moi veut me fister….

-Non, Non ! Arrête tu vas me déchirer !

Mes protestations n’y font rien. Je ne peux que subir et me laisser faire. Plus tôt cela sera terminé, mieux je serais.

-Salope, écarte bien tes grosses fesses de bourgeoise et pousse pour ouvrir ton cul, tu auras moins mal !

Je m’exécute, attrape mes fesses et les ouvre au maximum. Je ne peux le croire mais je sens mes sphincters s’ouvrir sous la pression. Sa main glisse toute entière en moi jusqu’au poignet. Plusieurs spasmes partis de mon ventre secouent mon corps, ma tête tourne, je me sens partir……

-Merci Rachid ! Ca t’a plu ? elle a l’air d’être contente, ma femme...
-Merci mec, Super ! Une bonne chaudasse à gros bzazels ! On te la tire quand tu veux.
-Compris ! On est encore là quelques jours…A plus !

Mon salaud de mari avait donc tout organisé…je comprends mieux a posteriori sa décontraction quand nous sommes arrivés...

-Tu les avais rencontrés avant, alors ?
-Tu ne crois quand même pas que je t’aurais amenée ici sans avoir pris quelques précautions avant… L’important c’était que tu ne le saches pas… tu mouillais de peur et d’excitation…
-Salaud !!!

Nous rentrons chez nous. Je suis sans culotte ni soutien-gorge car les garçons me les ont confisqués pour les ajouter à leurs trophées. Tous mes orifices, mes seins, mes fesses sont encore souillés de leur foutre car je n’ai pas pu me doucher avant de partir. Je suis extenuée mais ravie et, par chance, je n’ai pas rencontré un de mes anciens élèves !

Mon époux, très calmement, me demande :

-Comment te sens-tu ? C’était bon ?
- Je suis épuisée, mon corps me fait mal, mais j’ai aimé. Et toi ? As-tu aimé, bien que tu n’aies pas vu grand-chose ?
-Oui j’ai beaucoup aimé. Ils m’ont laissé rentrer quand Rachid a commencé à te déshabiller. Tu veux les revoir ?
-Oui peut-être….
-Salope !!! Ca me plait… Tu vas y retourner dans quelques jours…
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par MissBoobs
#2507145
Etant candauliste, j’ai pris l’habitude d’amener ma femme, Nyssia, environ une fois par semaine au sauna ou encore chez un ami qui organisait une à deux fois par mois des gang bangs avec des participants qu’il connaissait et donc, dont la tenue, à tous points de vue, était connue et rassurante.
Pour ne pas sombrer dans le train train, j’ai décidé de l’emmener chez un garçon avec lequel je partageais des entraînements en salle de sport, et avec lequel, à l’occasion et sous la douche, nous avions échangé sur nos tropismes respectifs en matière de libertinage.
La trentaine, divorcé, il rêvait de se taper une bourge mure (si possible avec des formes) avec quelques amis de la banlieue lyonnaise... Les occasions réelles sont rares.
Rendez vous fut donc pris pour un Samedi soir, dans son pavillon, où il avait convié trois autres amateurs de matures à gros seins, tous avec des tests récents. Sans être un gang bang à proprement parler en raison du faible nombre de participants, il s’agissait pour mon épouse d’une nouvelle expérience pour voir la façon dont elle se comporterait dans une relation plus intimiste, mais surement pas moins atypique du comportement d’une bourgeoise apparemment rangée, avec de jeunes mâles de banlieue.

Comme toujours, Nyssia ne savait pas à quoi s’attendre. Les rares fois où elle l’a su, au début de nos petites aventures, elle a été tellement paniquée qu’elle ne s’est pas décoincée et n’a pas été en mesure de passer de la vie réelle à celle de nos fantasmes.
Nous sommes donc arrivés à l’heure dite, la nuit tombée, chez Eric. Je lui ai alors bandé les yeux et attaché les poignets dans le dos au moyen de menottes : cette position mettait ses gros seins encore plus en valeur, les talons de 14 cm ayant pour objet de renforcer sa cambrure et donc la vision qu’offrait son cul moulé dans la mini en vinyle aussi bien que de projeter ses grosses loches vers l’avant...
Dans l’entrée, je lui ai ôté sa cape : elle était totalement exposée, ses nibards soutenus par un soutif ouvert. Je lui ai alors confié qu’il s’agissait de quatre garçons d’une trentaine d’années, peu habitués aux mondanités, mais dont je me portais garant de la tenue - sur la base de l’assurance que m’avait donné Eric - même si leur langage et leurs manières n’étaient pas nécessairement ce à quoi elle était habituée.
- Sois sans crainte ! Compte tenu de l’endroit où nous sommes, tu ne pourras pas être reconnue. Donc, lâche toi, profite et ne leur en veut pas de leur langage...je ne te quitte pas !
Les commentaires graveleux et les sifflets ont commencé à fuser dès qu’elle fût entrainée dans la salle de séjour...
- Putain ! Enormes les mamelles ! T’as vu les meules qu’elle trimballe, la meuf !
- La salope : un cul de compet ! Elle a le boule qui chamboule grave !
- Une bouche de pipeuse, elle doit pomper comme une reine...Tu vas nous en tailler une : deep throat, la chaude !
Nyssia commençait à paniquer, lorsque je lui ai dit :
- Ne t’inquiète pas, tout va bien ! Tu sais, ils ne veulent que ton bien. Pas vrais, les gars ?
- Bien sûr ! On est là pour donner du plaisir et faire jouir la dame !
- Tu vois, ces gentils garçons veulent simplement utiliser tes qualités et tous tes attributs...
- Tout se passera bien ; ton homme nous a promis un petit divertissement qui devrait te plaire vu ce qu’il nous a dit de vos goûts à tous les deux.
- Je sais ce qui te plaît, ne t’inquiète pas ! Eric :
- On sait que tu aimes le cul, ton mec nous l’a dit ; il nous a raconté tes exploits, alors ne fait pas la mijaurée ! Tu as cinq beaux gonzes bien gaulés pour toi toute seule, tu vas pouvoir t’en donner à cœur joie ! En plus, Jean et Philippe n’ont pas baisé depuis des semaines, tu vas bien leur vider les couilles. Tu verras, Robert est équipé d’une très grosse queue, une vraie palourde royale. Il paraît que tu aimes ça. Tu as l’habitude des blacks et des beurs... Et moi, j’ai trop envie de m’occuper de tes trous depuis le temps que ton homme me parle de toi ! On n’a sûrement pas la manière, mais on sait y faire.
Je me suis approché de mon épouse pour la rassurer et lui enlever ses chaussures.
Eric m’a passé la caméra et les quatre mecs se sont approchés de Nyssia ; tout en se massant le manche au travers de leurs jeans, ils ont commencé à la peloter partout... Rapidement elle s’est retrouvée avec des mains malaxant ses gros nichons, en en tirant les bouts au maximum.

Eric s’est approché d’elle et lui a léché le visage à plusieurs reprises ; puis il l’a caressée, et l’a embrassée. Philippe s’était mis à lui mordiller un téton et les deux autres lui léchaient le cul : il n’y avait bien sur pas de slip sous la mini en vinyl...
Je filmais, je n’en perdais pas une miette.
- Tu aimes la bite, tu me l’as prouvé tellement de fois ! Alors profite !
- A poil, la marquise!
- Déballe, chérie !
- Montre le matos !
Eric saisit les ciseaux, découpa la jupe et le soutif ! Aussitôt, un des mâles lui introduisit un doigt dans la grotte, puis rapidement deux, alors que Robert s’était précipité vers la raie de ma femme et y allait à grands coups de langue. Elle s’est rapidement retrouvée avec des doigts dans le cul également, et les mecs sont venus lui travailler ses trous à tour de rôle, chacun y allant de son commentaire distingué en humant ses doigts imprégnés de l’odeur de cul ou de jus, ou encore en lui enfonçant plusieurs doigts de plus belle!
- Putain, tu disais vrai, c’est une pompe à bites, elle est faite pour se faire enfiler, y’a pas de doute ! Une vraie vide-couilles !
- Hummmm, regardez-moi cette touffe comme elle déborde ! J’adore comme elle laisse pousser les poils, ta poufiasse !
dit Eric en tirant sur sa toison foncée, drue et très fournie : ses poils poussaient sans être jamais coupés en longueur ou en épaisseur ! Tout le reste était entretenu de manière impeccable, et on pouvait distinguer son trou du cul que Philippe appréciait à sa juste valeur.
- Quelle kahba, j’adore son odeur de noune ! Même son trou sent bon à cette bourge !
dit Philippe en écartant ses fesses pour le montrer aux autres. Et il enfila à nouveau son index dans la connasse de Nyssia - qui ne bronchait pas - en regardant ses complices avec un sourire qui voulait en dire long...
- Putain, elle dégouline ! Ca y est, elle m’inonde les doigts ! Je crois que je vais finir par lui foutre ma main dans la tirelire à ta truie!
s’exclama Eric qui s’occupait de la motte pendant que Philippe fourrageait l’oeillet !
- Et moi, c’est mon zboub qu’elle va prendre dans le fion, ta salope ! Elle est étroite et serrée : elle va le sentir passer !
ajouta Robert en admirant le travail manuel des deux autres.
Je bandais comme un âne à entendre et à voir autant de vulgarité concernant ma femme que j’avais offerte en pâture à quatre obsédés de première bourre !
Effectivement, elle commençait à mouiller sérieusement.
Ils la firent s’asseoir. Philippe se précipita pour humer ses pieds et se mit à les lécher, à sucer les doigts de pieds un par un. Jean en fit autant avec l’autre pied, alors qu’Eric sortait son pieu en se mettant à frapper doucement son visage avec.
Elle se mit à couiner.
- J’ai hâte de la fourrer, cette truie !
Je me suis approché d’elle en la filmant :

- Veux-tu qu’on t’enlève le bandeau et les menottes, maintenant ? Elle me fit un signe d’acquiescement.
Robert lui présenta son gros chibre et lui demanda :
- Qu’est-ce que tu en dis, chérie ? Tu veux l’essayer mon gros calibre ?
Nyssia roula des yeux d’étonnement en découvrant l’engin : une vraie matraque. Eric et
Robert frottaient leurs noeuds sur ses joues !
Eric l’embrassa à pleine bouche en lui pelotant les bzez et vint se mettre sur elle à la missionnaire ! Il enfonça son membre qui était plutôt fin et long, et commença un bon va et vient.
Puis Jean vint lui présenter sa queue qu’elle s’est mise en bouche toute seule :
- Putain, j’ai la gaule ! Tu pepom comme une pro, salope ! Tu creuses les joues et tu aspires !
Robert et Philippe continuaient de jouer avec ses pieds et ses boîtes à lait!
Ça y’est, elle avait quatre mâles à belles tiges qui s’occupaient d’elle ! Elle commençait à prendre sérieusement du plaisir sous les coups de boutoir d’Eric.
Il se retira et laissa la place à Robert qui vint présenter sa pine de 22 x 6 à l’entrée de la fente à bourrer. Il força pour faire rentrer le noeud, qui entra brutalement en elle, la faisant gémir, puis il continua son exploration en s’enfonçant centimètre par centimètre au fond de sa connasse, pendant que les deux autres lui écartaient bien les cuisses en tenant les chevilles pour faciliter le passage. Un viol en bonne et due forme ! Du genre de ce qui nous plaît le plus à tous les deux...
Femme fontaine, on a vu ressortir la bite toute humide de mouille pour y rentrer à nouveau, avec beaucoup plus de facilité. Robert la pilonna, allant buter au fond de son con ; elle couinait à chaque fois. Robert venait l’embrasser tout en continuant à la limer, elle jouait le jeu et ouvrait volontiers la bouche. Une vraie salope !
- Elle est bonne, ta gonzesse ; je n’en n’ai rarement sautée d’aussi gourmande et d’aussi confortable. On est bien dedans, je vais te la remplir !... Alors, tu l’aimes, mon dard ?
- Ça me fait du bien de le sentir au fond.
- Tu n’as pas menti, tu aimes vraiment la queue, on dirait.
- Ou...oui !
- Tu en veux, toi !
Je filmais en gros plan le braquemard énorme qui entrait et sortait de la foune qui, de toute évidence, prenait son pied ! Le jus dégoulinait de la moule.
Puis vint le tour de Philippe qui la niqua à son tour en l’embrassant et en lui prenant les deux mamelles à pleines mains pour les étirer. Jean vint également la tringler, mais n’y tenant plus, se déversa dans son con après trois ou quatre allers et retours seulement. Le pauvre n’en pouvait plus !
- Retourne-toi ! Montre ton tarpet, la bourge, qu’on lui fasse du bien !
- Fais nous voir encore ce beau cul. On va lui en remettre une bonne dose !
- Elle va prendre encore grave, la meuf...

Elle s’exécuta en se mettant à quatre pattes, puis cul en l’air, appuyée sur les coudes, les nibards écrasés au sol. Elle cambra son cul du mieux qu’elle put pour ouvrir large la raie.
- C’est bien, ma poule. Tu comprends vite. Mais je vais te la mettre autrement. Mets toi debout, jambes tendues.
Eric alla chercher la paire de chaussures à talons hauts que je lui avais enlevée.
- Enfile ça et fait nous triquer, marquise ; en shoes à talons, tu assures !
Elle enfila les chaussures qui mettaient en valeur ses pieds et son joufflu, se pencha en avant, faisant tomber ses grosses loches. Bien cambrée avec ses shoes de grue, son médaillon en l’air, elle nous implorait qu’on s’en occupe ! Eric s’est précipité pour le lui bouffer et les trois autres sont venus mettre leurs bâtons à hauteur du visage. Nyssia s’est mise à leur brouter la tige à tour de rôle, alors qu’Eric avait deux doigts plantés profondément dans son cul ! J’ai zoomé sur ses doigts en train de fouiller le fourreau alors qu’elle se trémoussait comme pour manifester son plaisir tout en s’enfonçant les pines qui se présentaient au fond de la gorge.
- Reste penchée comme une bonne chienne, et écarte bien les cuisses que je t’encule !
C’est alors qu’Eric a présenté son chibre devant l’œillet : il est rentré avec un peu de mal ; elle a hurlé puis s’est laissée défoncer sur toute la longueur par sa belle queue. Il l’a prise par la taille, et a commencé à la limer, gentiment d’abord puis avec frénésie ! Je l’encourageais en lui précisant qu’elle adorait se faire enculer et qu’il fallait vraiment lui faire reluire son cul de pute...
On l’a ensuite plongée et retournée. Jean et Philippe lui ont maintenu les jambes en l’air en lui caressant les cuisses. Robert est venu l’enculer par devant pendant qu’Eric se faisait turluter. Robert a fait pénétrer son gland dans le trou avec difficulté au début, puis est entré doucement mais surement, et jusqu’à la garde ; elle s’est retrouvée avec 22 cm dans le conduit, bien au fond, les couilles de Robert écrasées contre le fion. Et il a commencé à la labourer sérieusement ; la salope hurlait de plaisir avec cette deuxième bite qui lui perforait le trou. Elle prenait grave !
Elle supportait difficilement ce gros mandrin dans son cul, si bien que Robert ressortit son engin. Il lui ordonna de lui ronger l’os, ce qu’elle fit sans broncher avec son anus béant ouvert, que Philippe s’était empressé de lui lécher. Puis Robert revint lui perforer le trou, ressortit son engin pour se le faire nettoyer à la langue à nouveau. Puis l’enfila encore. Il fit cela plusieurs fois. Nyssia lui nettoyait sa grosse pine avec délectation. Il finit par lui envoyer la purée au fond du cul : elle se tordait de plaisir en hurlant ! Il la maintenait fermement par les hanches, son chibre complètement rentré, et il lui envoyait ses salves de jus en râlant !
Nyssia m’a dit avoir besoin de se soulager. A son retour, les mecs sirotaient une bière et commentaient les performances de leur prise.
- C’’est super sa touffe qui dégouline de pisse. En plus, elle a vraiment des miches à bouffer, cette pute!
- Mets-toi à quatre pattes !
Il sortit du lubrifiant très liquide et arrosa tout le corps de Nyssia de la tête aux pieds, y compris les cheveux ; les mecs se mirent à lui lubrifier tout le corps, passant leurs mains partout, et insistant bien sûr à chaque fois sur l’entrecuisse qu’elle offrait complètement cette fois-ci, écartant bien ses jambes et son cul pour offrir toute son intimité aux gars. Elle s’est faite enfiler des doigts dans les trous ; chacun y allait de sa petite expérience, un doigt, deux doigts, trois... et tous les mecs la doigtèrent aussi bien dans le cul que dans le con.
Eric s’allongea et demanda à Nyssia de venir s’asseoir sur sa colonne, ce qu’elle fit avec empressement. Son pieu disparut rapidement dans le trou alors qu’elle me regardait droit dans les yeux.!

Je n’en pouvais plus, moi non plus : j’ai demandé à Philippe de filmer et, à mon tour, je suis venu présenter mon dard à l’entrée de sa motte ! Je me suis enfoncé en elle, et je suis venu lui rouler une pelle ! Ça y-est, on la prenait en sandwich.
- Profite, ma salope, profite !
On la tirait de plus belle ! Puis Jean est venu lui flanquer sa gaule à nouveau dans la bouche. Elle avait maintenant les trois trous occupés, avec des outils qui la travaillaient activement !
Jean s’est mis à jouir sur son visage : il savait qu’elle n’avalait pas. Philippe est venu aussitôt le remplacer et elle a repris la besogne.
Je me suis alors retiré et je lui ai titillé le clito en lui enfonçant mes doigts dans la chatte pendant qu’Eric continuait à lui ramoner le cul et Philippe, la bouche. Je voyais qu’Eric était sur le point de cracher et qu’elle était bien excitée aussi !
Je me suis activé sur son clito de manière à ce qu’ils jouissent tous les deux en même temps. Eric se raidit et lui gicla dans le cul pendant qu’elle partait dans un orgasme comme j’ai rarement vu et entendu ! Elle s’est avachie sur lui qui l’a alors serrée dans ses bras comme pour la remercier ! Ils se sont embrassés, alors que Philippe n’avait pas encore joui.
Philippe s’est allongé. Elle est venue se mettre en 69 sur lui, en lui plaquant la chatte sur la bouche et en lui pompant le dard.
Elle a alors lâché de petits jets de pisse sur le visage de Philippe qui ouvrait la bouche et qui tentait de tout avaler ! Elle le suçait en continuant à lui pisser dessus par intermittence ! Il ne mit pas longtemps à jouir. Philippe continuait à lui laper la chatte et à la lécher partout !
Eric et Robert avaient repris de la vigueur et se tapèrent à nouveau ma femme en double, Robert derrière qui finit par rentrer son gros chibre pour le plus grand plaisir de la salope, et Eric devant qui profita bien de sa petite gueule de pute en la léchant et en l’embrassant à pleine bouche. Elle s’est faite limée longuement jusqu’à ce que les deux lascars commencent à venir.
- Putain, elle est bonne !
Ils se sont alors retirés et on s’est tous astiqués autour de ma femme qui attendait les jets de jus. Robert lui inonda littéralement la gueule en même temps qu’Eric, qui lui balança une grosse quantité aussi. Elle avait le visage et les tétasses souillées de nos crèmes !
Eric lui tendit un linge. Elle s’est essuyée et tentait de reprendre ses esprits. Puis elle est allée se rincer sous la douche, Eric prenant soin de laisser la porte ouverte pour que personne ne soit frustré et puisse mater.
On venait de faire une belle partie de cul avec cette salope qui avoua avoir passé un excellent moment et être prête à recommencer, mais pas tout de suite : il fallait qu’elle se remette de ses émotions !
Elle s’est rhabillée, sans aucun sous vêtement. Nous nous sommes dirigés vers la voiture, chacun y allant de son commentaire et charriant la salope qui était subitement devenue une star !
- Salut, la bourge, tu nous as fait du bien ! T’es une vraie pute.
- On te nique quand tu veux ! T’es un bon coup ! Ton mari avait raison !
- La prochaine fois, on te fait une tournante dans une cave : ça te plaira ! On a plein de potes rebeus dans la cité qui seront trop contents de se taper une bourge mature blanche, salope et à gros seins ! C’est rare des occasions pareilles !
- Et là, c’est sûr que t’aura du mal à marcher pour repartir, ma salope !
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par MissBoobs
#2510251
Après les différents gang-bangs auxquels elle a participé, notamment chez Christian, un ami routier lyonnais, je me suis résolu à lui faire essayer l’abattage…Inquiet au départ de ses réactions, j’ai été rapidement rassuré par le coeur qu’elle a mis à l’ouvrage…Son passé, son éducation et son milieu ne la prédisposaient pas à tenter ce genre d’expérience et ma crainte de gâcher tout le travail de dressage antérieur était vraiment grande. Finalement, l’anonymat total dont elle a bénéficié lui a permis de profiter pleinement de cette expérience.

Grâce à Christian, pour débuter dans cette singulière activité, j’ai été mis en contact avec un chef de chantier de l’entreprise VXXXX, oeuvrant sur l’aménagement du noeud autoroutier de l’A6 et l'A89 au Nord de Lyon.

J’ai rencontré Manuel, c’est ainsi qu’il s’appelait, dans un bar de la Tour de Salvagny. La cinquantaine bedonnante, habillé d’un marcel et d’un short, employant le langage fleuri des routiers lyonnais, profession qu’il avait exercé, il m’a dit intéressé par la proposition que Christian lui avait transmise. Ses équipes comportaient chacune une vingtaine de personnes, majoritairement d’origine africaine ou maghrébine.

L’idée fût alors d’offrir Nyssia à ses équipes, à tour de rôle, pour les récompenser d’un labeur éprouvant dans des conditions météorologiques souvent difficiles, éloignés qu’ils sont de leur famille et de leur pays d’origine. Rendez vous fût ainsi pris pour une soirée de semaine, après la fermeture du chantier dans les bâtiments de chantier, style Algeco, dont il était le seul à disposer de l’accès en dehors des heures de chantier.

Ma femme ne sait jamais ce qui l’attend, tout à la fois pour qu’elle ne puisse pas se soustraire par crainte de ce qui va lui arriver et parce que cette même crainte induit chez elle une excitation qui rend sa chatte encore plus baveuse que d’habitude…

Un Mercredi en fin de journée, nous avons donc pris la route pour arriver à destination vers 19 heures. Avant d’être arrivés, je lui ai demandé de ne garder que son soutien gorge ouvert (90F) et ses chaussures à talons, puis lui ai bandé les yeux. Je l’ai couverte de son imperméable afin de prévenir les regards concupiscents des automobilistes que nous croisions.

Manuel nous attendait seul prés des bâtiments. Comme convenu, les gars de l’équipe C qui avait remporté le premier passage de la bourge, étaient à l’intérieur et ne pouvaient ni voir ni entendre. J’ai aidé Nyssia à ôter son imperméable et à sortir de la voiture, nue, en soutif ouvert et talons. La nuit était tombée, mais à l’aide de sa torche Manuel n’a pas manqué de tout détailler du corps de ma femme, ne pouvant s’empêcher de commenter…

-Eh ben! Christian m’avait prévenu! Mais dis donc, tu ne t’ennuies pas avec un morceau pareil. La salope! Les gars ne se sont jamais tapé une blanche comme ça, je suis sûr! Quelle taille de bonnets elle fait? C’est pas des seins, c’est des pis!
-90F, naturel.
-Salope! Elle aura du mal à marcher les cuisses serrées en repartant, je te garantis! Elle aime la bite, il paraît. Elle va être servie!

Je sentais bien que Nyssia ne frissonnait pas uniquement à cause de l’humidité et du froid… Elle ne savait ni où nous étions, ni qui prononçait ces paroles délicates ni enfin ce qui l’attendait.

Très élégamment, Manuel la pris par le coude gauche pour la diriger avec précaution à l’intérieur, dans une pièce comportant essentiellement comme mobilier un bureau et deux chaises, et l’aida à s’asseoir aussi confortablement que possible, non sans avoir subrepticement effleuré ses seins dont les bouts étaient durs et sortis… Les cuisses bien serrées comme on le lui avait appris dans son pensionnat de jeune fille, elle exhibait malgré elle deux mamelles pleines, rondes et manifestement lourdes vu la tension des bretelles du petit soutif, agrémentées de deux grandes aréoles brunes dont la rugosité laissait deviner qu’elles pouvaient avoir froid.

-La petite dame prendra bien un café pour se réchauffer?
-Oui merci, s’il vous plaît. J’ai un peu froid.
-Je vous prépare ça tout de suite! Vous allez vite vous réchauffer, ne vous inquiétez pas!

Pendant que Manuel s’éloigne, je dégrafe le soutien gorge et l’enlève. Aussitôt le chef de chantier prend des photos dont je me demande où nous allons les retrouver…Mais Nyssia a un bandeau assez large, lui couvrant les yeux et le nez - mais laissant la bouche libre, bien sur -, qui devrait permettre de préserver son anonymat.

Manuel revient avec le café et là, sans vergogne, palpe et soupèse les gros seins de ma femme avec une visible satisfaction, les claque un peu avec la paume, se touchant les couilles au travers de son pantalon aussitôt après…Heureusement, ma femme a l’habitude et laisse faire, en y prenant même, probablement, une dose de satisfaction et de courage pour affronter la suite.

-Sacré matos! J’en ai jamais vu en vrai d’aussi grosses! Putain, quelle paire! Ça doit être lourd à porter! Vu ce qu’elle trimballe, c’est sûr que t’as pas de problème pour la placer, la salope…Chérie, écarte les cuisses que je regarde ce que tu nous offres.

Ma femme s’exécute, manifestement intriguée par la voix rocailleuse qui l’interpelle en l’appelant « Chérie » et en la tutoyant, ce qui ne lui laisse aucun doute sur ce qu’on attend d’elle!

-Dis donc, belle touffe! On dirait presque une portugaise : ça va me rappeler le pays!

Ses gros doigts touchent la motte et s’introduisent dans la fente. Nyssia sursaute mais laisse faire et s’appuie contre le dossier de la chaise. Manuel continue son exploration avec application et délectation…il remue les doigts à l’intérieur.

-Elle est déjà trempe, la pute. Un vrai bourbier. Ça va pas changer mes gars qui ont l’habitude de travailler dedans! Et ça va être plus facile pour tout faire rentrer!

Les doigts trempés de cyprine, il ouvre la bouche de ma femme :

-Allez suce! Nettoie moi ça! Et suce moi le pouce comme une bite, pour voir ce que tu sais faire!

Nyssia s’exécute en léchant les doigts qui lui fouillent la bouche. Pas de doute, elle est bien dressée…ma fierté, ma satisfaction et mon excitation me durcissent la queue. Elle suce le pouce de Manuel, faisant tourner sa langue autour, le sortant presque de sa bouche, puis l’enfournant à nouveau comme elle le fait avec un mandrin.

-Salope! La reine des pipes, dis donc! Tu vas avoir de quoi te goinfrer!

Manuel me fait signe qu’il va prévenir ses gars…Nyssia semble un peu perdue assise sur sa petite chaise, à poil, en talons, les yeux bandés, la moule et la bouche pleines de mouille, sans savoir ce qui l’attend même si j’imagine que maintenant elle doit en avoir une petite idée…

Le bâtiment dans lequel nous sommes comprend un couloir qui mène à une pièce vide sans porte, sur le sol de laquelle a été posé un grand matelas, sans drap, à même le sol. Le chef de chantier réunit ses gars et leur donne ses instructions :

-Vous la baisez ou vous faites sucer. Vous pouvez lui bouffer la moule avant. Vous ne l’enculez pas. Tous avec capotes. Son mari et moi, on vérifie. Ce n’est pas une pro, donc faites gaffe. Si ça se passe bien, vous aurez droit, pour ceux qui veulent, à un deuxième tour. Si ça se passe mal, j’arrête tout et ceux qui ne l’auront pas niquée n’auront plus qu’à se branler. C’est compris?
-Oui Chef.
-Maintenant vous êtes combien? 20? Bon, vous vous mettez 10 de chaque côté du couloir et vous lui laissez le passage pour qu’elle aille dans la piaule. Elle est à poil. Au passage, vous pouvez toucher mais c’est tout. Ensuite c’est à tour de rôle, il y en aura pour tout le monde si vous ne faites pas les cons. Donc pas la peine de vous bousculer. Vous allez voir, c’est du premier choix, de la bonne, avec des nibards comme j’ai jamais vu en vrai. Son mari et moi, on vous surveille. Allez, go!

Un brouhaha s’ensuit et les mecs tous habillés de leur tenue de travail se rangent de chaque côté du couloir comme l’a demandé Manuel. Certains se préparent en se touchant au travers du pantalon, d’autres sortent carrément leur queue. Clairement, des braquemarts…des poutres…de vrais pieux! Et ils ont faim : ça doit faire un bail qu’ils ne se sont pas tapés une pute, une blanche à gros seins en plus…Ils doivent avoir les couilles bien pleines : elle va prendre cher, la nympho…

Manuel me fait signe d’amener Nyssia dans le couloir. Les mecs se tournent pour voir le paquet qu’ils vont pouvoir se taper. Pas un mot. Pas un bruit. Juste celui des bites qu’on branle. Ça astique ferme. Elles sont toutes sorties maintenant.

Elle a toujours les yeux bandés. Je la laisse remonter le couloir garni des mâles qui vont se la faire. Pour l’aider à avancer, ils la prennent à tour de rôle par le bras d’une main et de l’autre ils explorent le matos…le cul, la foune, les seins bien sur, les bouts….puis ils la passent à celui qui est devant…et ainsi de suite jusqu’au bout du couloir où Manuel se trouve. Il n’en a pas perdu une miette. Quand elle arrive à lui, il profite sérieusement. Les mecs matent en se branlant sec. Après lui avoir exploré le cul, la chatte, peloté les seins et tiré les bouts, il l’allonge sur le dos sur le matelas par terre.

-Ecarte les cuisses! Plus que ça sinon je t’attache. Ils ne te toucheront pas le trou. Mais si tu n’es pas gentille, moi je m’en servirais. Compris? Et j’en ai aussi une grosse. Après le premier tour, tu pourras te reposer et ceux qui veulent auront droit ensuite à un deuxième tour. Tu gardes ton bandeau tout le temps. Ça évitera qu’on te reconnaisse même s’ils font des photos.

Le défilé va pouvoir commencer. Je me mets dans la chambre, Manuel est à l’entrée pour vérifier que toutes les bites ont une capote. Prévoyant, il en a en plus un stock dans ses poches.

-Rachid, t’es le premier, vas-y!

Rachid a un gourdin entre les cuisses. Enorme. Epais comme elle les aime. Elle va être servie. S’ils sont tous comme cela, je doute qu’elle puisse marcher pour rentrer ce soir!

Il s’avance dans la piaule, son gourdin raide et bien gonflé à la main. Il baisse son froc aux chevilles. Pas de slip…A genoux sur le matelas, il se jette sur la motte, et la dévore en suçant les grosses lèvres déjà bien baveuses et totalement sorties. Il se paluche en même temps. Tout d’un coup il se redresse, s’écrase la bouche sur un nichon en lui enfilant son pieu à fond d’un coup sec. Nyssia couine, se tortille, ce qui excite encore davantage le rebeu qui lui tête le sein avec avidité. Il lui lime la chatte une dizaine de fois puis explose et ressort son mastar. Il tête l’autre nibard avant de se relever, de remonter son froc en rangeant sa bite et laisser la place au suivant.

Jolie vision : Nyssia sur le dos, cuisses grandes ouvertes, les limaces gluantes et pendantes, les poils noirs faisant contraste avec la chair rose de la vulve, et les seins proéminents surmontés de deux tétines pointées vers le plafond.

Le deuxième n’a pas attendu longtemps pour prendre sa place. Un grand black efflanqué avec une longue pine qui dépasse largement de sa main qui la tient. Elle est trop longue pour être entièrement raide. Des balloches qui lui fouettent les cuisses. Pas de préliminaire. Il la pine direct, d’un coup. Elle couine. Ca l’excite. Il sort sa queue et la pine à nouveau au fond d’un coup. Recommence. Elle se tortille, couine sans arrêt mais manifestement mouille et écarte les cuisses encore davantage.

Manuel évidemment le remarque.

-Eh ben dis donc! Une vraie chaudasse, ta femme! La salope! Une gueule d’ange et un cul de pute! J’en ai rarement vu des comme ça! Christian m’avait prévenu mais je n’y croyais pas trop. C’est vrai qu’il a l’expérience, vu le nombre de gang bangs qu’il organise chez lui et où elle se fait démonter. Je sais qu’il la tire à chaque fois. Pas vrai?
-Christian est un bon copain. Et il aime bien se la faire. Vu le mal qu’il se donne, on lui doit bien cela!
-OK. Le prochain qu’il organise, je viens! J’aurais le temps de me la faire comme je veux. Et par tous les trous. Allez vas-y, Nazaire! Bourre!

Nazaire termine rapidement son affaire à grands coups, ses couilles tapant a chaque fois le trou de Nyssia. Elle se met à jouir en hurlant, et la mouille gicle quand le grand black retire sa longue bite.

A peine sortie du trou, elle est remplacée par celle d’un autre black au noeud très gonflé. Il lui ouvre la moule et la perfore avec son gland. Une fois dedans il lui dévore les deux nichons, les presse l’un contre l’autre, mordille les bouts, secoue les mamelles, se contracte et crache son jus dans la capote.

Le défilé continue. Tous sont clairement morts de faim! Chaque passage ne dure guère plus d’une a deux minutes. La chatte est béante. Par exception, de temps en temps, un des gars se fait sucer le manche avant de la pénétrer. Mais la plupart l’enfile direct. Une fois les premiers mecs passés, elle donne un coup de rein à l’entrée d’une nouvelle queue pour mieux l’accueillir et la sentir au fond, ce qu’elle adore. Elle a pris naturellement le coup de cul qui va bien! En plus, ça fait cogner les burnes contre son cul et ça, elle aime.

Après avoir tiré leur coup, les mecs retournent dans la pièce dans laquelle ils attendaient, échangent leurs commentaires, boivent un coup et reviennent se mettre en place dans le couloir, à la fois pour profiter du spectacle et pour prendre leur tour la bite à la main…

Environ aux deux tiers de la file d’attente, je ne sais plus exactement, un beur baraqué arrive à l’entrée et dis à Manuel :

-J’la nique à 4 pattes, Chef, comme une chèvre.
-Si tu veux mais pas par le cul, on est d’accord?
-Oui Chef!
-T’as entendu? En levrette, cul en l’air et ouvre bien, il est est très épais Mouloud!

Ma femme s’exécute, se retourne, toujours les yeux bandés. Les mecs matent ses gros seins qui pendent…

-Tourne toi, face au couloir, Chérie! On veut voir tes gros nibards! Ça va secouer! Allez Mouloud, vas-y mon gars! Emboîte ta chèvre!

Mouloud ne se fait pas prier! Il se met en position derrière Nyssia, face au couloir et à ses potes qui matent. Il passe son gland dans la fente de bas en haut, puis de haut en bas et continue ainsi…elle doit avoir la moule en feu! Et d’un seul coup, brutalement, il enfonce son pieu au fond de la matrice, s’agrippe aux hanches de la salope et la pilonne comme un marteau piqueur. Les grosses mamelles s’agitent, se balancent, se tapent l’une contre l’autre en faisant un bruit sourd. Tous les mecs matent en s’astiquant la bite, Manuel et moi compris…Nyssia couine puis crie lorsqu’elle se met a jouir au moment au Mouloud retire son mandrin. Il n’a pas encore craché. Il y retourne : pareil, un grand coup et il est au fond. Quelques allers-retours et il remplit sa capote!

Les quelques mecs qui restent à passer se pressent. Le spectacle les a sérieusement chauffé, Manuel et moi aussi d’ailleurs. Ils défilent rapidement pour se soulager entre les cuisses de ma femme en profitant de ses loches. Elle est restée à 4 pattes face au couloir…on la voit bien encaisser et les meules s’agiter. Elle crie de plus en plus souvent…

Le dernier passé, elle s’affale sur le matelas, les seins écrasés par son poids, les cuisses restées ouvertes, la tête enfouie dans ses bras.

-Chérie, tu en as oublié un…ouvre ta bouche, ma salope! Christian m’a dit que tu pompais comme une pro, en aspirant les bites et en creusant les joues. C’est clair qu’il a l’habitude que tu te goinfres avec sa queue. Alors tu as de la chance. Je vais te prêter la mienne : elle est grosse, va falloir que tu ouvres grand. Tu vas me sucer et me lécher les burnes : j’ai une capote, t’inquiète. Je sais que tu n’avales que ton mari. Je te bourrerais tout à l’heure : tu mérites.

Nyssia se relève sur les coudes, ce qui permet a Manuel d’avoir une superbe vue sur ses loches, puis s’assied sur ses talons, cuisses bien écartées pour être en position pour avaler le mandrin du chef de chantier qui le présente aussitôt à la pipeuse qui l’enfourne. Elle lèche la hampe, le noeud, les couilles, les gobe en les faisant rouler dans sa bouche ce qui fait immédiatement partir le jus dans la capote!

-Salope! Tu m’as fait jouir trop vite! Tu vas le payer ma petite! Tu mériterais que je t’encule tout de suite, à sec. Mais j’ai promis. Et tu ne perds rien pour attendre. On va se retrouver chez Christian. Attends que je te bourre tout à l’heure…Tu vas bien la sentir te ramoner et tu prendras à chaque coup mes couilles contre ta fente!

Ma femme s’affale de nouveau. Elle n’en peut plus. C’est la pause. Les mecs matent en se touchant. Je vais la voir et lui caresse les cheveux.

-Ça va? Explosée? Tu n’as pas mal?
-Non, ça va, merci. Je suis explosée mais ça va. J’ai pris mon pied plusieurs fois.
-Je sais. On a entendu…
-Ah bon?
-T’étais trop occupée pour t’en rendre compte. Le bandeau ne te gêne pas?
-Non. Au contraire. Il me protège et me permet de me lâcher encore plus.
-Tu es prête pour une deuxième salve?
-Laisse moi un peu de temps et donne moi à boire. Mais oui, ça va le faire. Au fait, combien sont.ils?
-Tu n’as pas compté?
-Non. J’avais autre chose à faire…
-Ils sont 20 plus le chef de chantier et moi. Tu as compris que c’est une séance d’abattage dans un Algeco.
-Oui. C’est bien ce que je me suis dit.
-Premier abattage. Félicitations! On remettra ça…
-Laisse moi récupérer quand même un peu, s’il te plait!
-Pas de souci, ma belle salope! Mais t’es vraiment devenue une pute!
-Je sais. J’assume. Je m’envoie en l’air…et pas qu’avec toi! A notre âge, si on n’en profite pas, on n’en profitera jamais! En plus, c’est ce qui t’excite aussi…

Manuel un peu calmé, revient vers nous :

-Dis moi Chérie, si tu veux prendre une douche avant le deuxième tour, tu peux y aller. C’est juste là, au fond. Evidemment, on laissera la porte ouverte.
-Oui, merci. Je vais en profiter.
-Si tu veux pisser, écarte les cuisses, et fais debout. Comme ça, on profitera.

Ma femme pratique l’uro. Donc ce n’était pas pour l’effrayer, contrairement à ce que pensait surement le chef de chantier. Elle s’est donc levée, exposant toute sa nudité aux regards des mecs qui se paluchaient toujours. Arrivée dans la douche où Manuel l’a menée et dont il maintenait la porte grande ouverte, elle fit couler l’eau et, prenant la pomme dans sa main, face au couloir, elle s’aspergea la moule en l’écartant pour bien la laver. Manuel aux premières loges commençait manifestement à rebander : sa proposition n’avait évidemment pas été innocente.

Derrière le bandeau noir et manifestement inspirée par l’excitation qu’elle sentait causer, debout, elle écarta les cuisses pour laisser passer un gros jet de pisse, toujours face au couloir…les mecs n’en croyaient pas leurs yeux et Manuel avait les siens rivés sur la foune de ma femme et le torrent qui en sortait.

Soulagée, Nyssia remit la douche en marche, se rinça puis se sécha à l’aide d’une serviette tenue par Manuel qu’il passa et frotta bien partout, ce qui ne manqua pas de faire s’agiter les deux gros globes qu’elle porte en étendard sur la poitrine.

Une demie-heure se passa, calmement, ma femme reprenant des forces et les mecs de la vigueur.

Puis le deuxième tour commença.les positions de chacun étant sensiblement les mêmes : Rachid commence par bouffer de la foune, Nazaire rentre son tuyau interminable, et ainsi de suite. Mouloud la reprend comme une chèvre et les derniers l’imitent.

Vient le tour de Manuel.

-Tourne toi dans l’autre sens, écarte bien les cuisses et écrase toi les seins et le reste sur le matelas.

Totalement allongée, dans cette position, les mecs - qui sont toujours dans le couloir et veulent voir comment leur chef va faire payer la salope qui l’a fait jouir trop vite - ont une vue imprenable sur sa moule grande ouverte, ses limaces baveuses et le fond de la matrice bien rose.

Manuel se met à 4 pattes derrière elle, lui écarte les fesses pour mater son trou, puis, sans crier gare, s’affale sur elle de tout son poids en lui fourrant sa bite d’un coup jusqu’aux couilles au fond du vagin. Nyssia crie de surprise. Le chef a montré qui commandait! Il lui écrase ses burnes contre la fente et la pilonne sans s’arrêter pendant un bon moment. Elle se tortille, couine, pus finalement lâche un gros jet de mouille qui inonde les couilles du chef, à la grande satisfaction de ce dernier. L’honneur est sauf! Il peut continuer à la ramoner un peu avant de lâcher sa crème dans la capote et retirer son mandrin, le sourire aux lèvres.

Elle est clairement épuisée.

Je profite néanmoins de la situation, dans la même position, pour la fourrer et lui lâcher la purée sans capote. Je n’en pouvais plus.

Elle se repose quelques instants puis demande à Manuel de pouvoir prendre une autre douche.

-Mais oui, bien sûr, tu l’as bien méritée, Chérie. Et tu ne vas même pas avoir à te donner la peine de te savonner, je vais le faire moi-même!

Le salaud met ses paroles à exécution et savonne ma femme avec application sous la douche, aucun recoin de son corps n’étant laissé au hasard, sous l’oeil intéressé et les mains occupées de l’ensemble de son équipe.

Il la sèche en la frictionnant partout, et jette un regard de vainqueur aux gars qui ne pourront qu’encore mieux le respecter…

-T’est vraiment une bonne salope, Chérie, un bon coup. Une bourge qui se fait piner et qui pompe comme toi, ça court pas les rues! Christian est un connaisseur, il ne m’a pas menti. Mais chose promise, chose due. Tu vas revenir t’occuper ici de mes deux autres équipes comme tu l’as fait ce soir. Et je vais te retrouver chez Christian à la prochaine occasion pour te fourrer ma bite de cheval dans le cul!

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