Bonjour à toutes et tous,
Je suis l'épouse de Max. Je me suis décidée à prendre la plume. Ce ne sera peut être pas pour toutes les rencontres, mais cela me semblait plus simple pour partager.
Bonne lecture.
Je m'étais préparée pour lui et par pour mon mari.
Je me surprends à lui dire que j'avais essayé aussi avant mais qu'elle s'est refusée à moi. Comme vous avez pu le voir sur les photos, j'avais pris le soin, d'acheter une robe noire, un grand classique mais que fait son effet. Cette robe je l'ai choisi pour moi, mais aussi pour mon amant. Je voulais lui apparaître comme exceptionnelle,
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J'ai choisi une robe qui me permettait de ne pas avoir à porter de soutien gorge. C'est tellement plus aguichant et pratique, quand il s'agit de passer aux choses sérieuses. Enfin une partie de jambe en l'air, et toujours moins sérieuse que bien d'autres activités.
Bref, cet après midi là, nous nous sommes donnés rendez vous chez lui. Une maison en plein centre ville, qu'il a pris soin de retaper lui même. J'ai souvent noté que les hommes adroits de leurs mains, le sont dans pleins de domaines.
Nous nous sommes posés dans son salon, après que sur le seuil de sa porte, il est pris soin de me dévorer du regard. Il me fait la réflexion que s'il était mon mari , jamais il ne m'aurait laissé sortir comme cela. Qu'il m'aurait sauté dessus. Je lui ai répondu que mon cocu avait essayé mais que je le lui avais refusé.
Pour les premières positions, trop excités nous garderons nos vêtements, lui décalant juste mon string pour me pilonner.
Nous avons pris un café, échangés sur tout et rien. Après cela a été un véritable festival de sexe. J'ai eu le droit de me faire prendre dans quasiment toutes les positions, dont une bonne levrette bien vigoureuse. Mon cocu me l'avait demandé. J'ai pensé à lui ce moment là, et je me suis rappelé, ses minables coups de rein, son sexe plus fin, ses petites couilles qui se vidaient très, trop rapidement, en moi, à ce moment là. Mon amant, lui est endurant. Il est en plus mieux équipé. Cette paire de couilles qui vient taper mon intimité. Hum, j'en frissonne encore de plaisir.
Nous nous sommes tellement amusés ensemble que nous n'avons pas vu l'heure passée. J'étais arrivée en milieu de l'après midi et je pensais repartir vers 17 heures, à cause des restrictions. L'heure était bien dépassée. Nous avions fait l'amour plus de quatre fois. Je regarde alors mon téléphone. Mon cocu inquiet, m'avait envoyé des messages pour savoir si tout allait bien.
Je lui ai répondu que cela allait très bien. Que je n'avais pas arrêté de prendre mon pied et que je n'avais pas vu l'heure passé. Rassuré, il m'a dit d'en profiter et qu'il se chargeait de tout à la maison.
Mon amant m'a invité à manger pour prolonger cette intimité. Une complicité s'installe et j'envisage peut être d'en faire un régulier. Très vite nous sommes repus et il remet cela. J'adore quand il me doigte. Il s'est y faire. Mieux que mon époux, qui pourtant n'avait plus que cela et le cuni pour me satisfaire.
Je jouis, je mouille grave. Pas besoin de lubrifiant avec lui.
Mon époux me téléphone, cette fois, ce sont nos enfants qui voulaient me faire un petit coucou avant d'aller au lit. C'est vrai que nous n'avions pas prévu que cela dure si longtemps. Je l'ai prend en ligne, les rassure sur mon retard en brodant une excuse. Je raccroche et je suce mon amant, qui pour la sixième fois bande. C'est une machine. Mon cocu lui, jouit puis mais une journée à bander de nouveau. Il a de la ressource mon amant.
Il m'a tellement prise que mes bas ne tenait plus.
Vers 23 heures, il a fallu rentrer. Mon amant voulait poursuivre mais je devais bosser le lendemain. J'ai remis ma culotte. Je mouillais à fond, en rentrant je sentais ma cyprine couler le long des cuisses. Je précise que nous utilisons des capotes, pour le moment.
Mon cocu m'attendait à mon retour. Il m'a pressé de questions. Il a quémandé de pouvoir se branler dans sa vaginette. J'ai refusé. J'ai seulement acceptée qu'il me déshabille. Il a pu constater l'état de ma culotte et je l'ai autorisé à me glisser un doigt. Il en revenait pas de voir que j'étais trempée. Il m'a senti, enfin senti le parfum d'un autre. Je suis revenu en mode cochonne, c'est à dire trempée et sentant un autre.
Je suis revenu la chatte fatiguée,
mais heureuse.