- 23 mai 2021, 08:21
#2524293
Souvent, en faisant l’amour avec mon mari, nous fantasmons à haute voix, sur le fait que j’ai un amant, qu’il est endurant et bien doté par la nature. Cela nous excite beaucoup, j’imagine me faire prendre sous le regard de mon mari, et peut-être même, juste qu’il sache que je me fais baiser. Dans ces moments excitant, j’ai vraiment envie de me comporter comme une garce, une salope, une putain. Mais il s'agit uniquement de paroles, de récits racontés lus durant nos jeux sexuels. Par contre, je remarque à chaque fois que nous sommes dans ce fantasme que mon mari bande plus fort, il coule même abondamment, sa jouissance est décuplée, pour ma part, je ne sais pas si c’est l’excitation de mon homme ou l’imagination de vivre ce sexe débridé, mais ma jouissance est décuplée... J’ai découvert par le biais fantasmatique de mon mari le caudaulisme, ce plaisir de l’offrande et du partage en lien avec la sexualité, mais surtout une variété et une intensité d’émotions que je ne soupçonnais pas chez moi, cela m’attire. Quel plaisir que d’imaginer de voir mon mari m’offrir à la liberté sexuelle et la possibilité de goûter à d’autres hommes, d’autres plaisirs, de jouissances en sa présence, je me tente même à imaginer rentrer à la maison, prendre mon homme dans mes bras et lui avouer l’avoir fait cocu et lui montrer ma chatte imbibée par un autre que lui. Quelle émotion pour moi de me voir et de m'entendre lui avouer mon adultère… Ouvrir mes cuisses devant l’inquisition d’une jolie bite bandée de désirs pour moi, me donner et m’abandonner à un autre que lui, de croiser son regard lorsque le gland pénètre mes lèvres intimes mouillées, me voir moi sa femme, prendre un immense plaisir et lui montrer combien je peux être une cochonne et dévouée avec d’autres hommes et leur accorder des plaisirs, sous des orgasmes intenses, ce désir grandi, j’imagine mon amant me remplir la chatte ou la bouche de sa semence. Je sais que mon mari est très fier de me voir susciter le désir et l’excitation d’autres hommes, il adore les voir se retourner devant mon passage dans les grands magasins lors de nos shoppings pour mater ma croupe, mais ce qu’il ne se doute pas, c’est autre chose d’imaginer être capable de les voir se bouleverser devant mes parades, de les sentir capable de tromper leurs femmes pour moi.
Mon mari, lui est prêt à me partager et offrir à d’autres hommes pour mon propre plaisir et découverte de la nouveauté, la possibilité de goûter et de jouir de mes nombreux charmes, alors que moi, j’imagine le voir me contempler avec bonheur avec cet amant imaginaire tout en se masturbant, tout en regardant le doux spectacle de mes ébats avec cette inconnue que j’aimerais passionnés, je veux que mon homme m'entende gémir, crier de plaisir, je veux qu’il me voie les yeux clos, la bouche ouverte, dans le plaisir du coït, devant lui…
Cela me permet l’accès à de nouvelles et intenses émotions cérébraux, la cerise sur le gâteau ou plutôt crème sur le gâteau, serait de sentir cette odeur particulière que j’aime tant, le parfum de la semence d’un autre mâle, imaginer mon corps détendu et apaisé libérant le trop plein de foutre entre mes fesses, quel que soit l’endroit, il est une tentation indescriptible qui me pousse à goûter ce nectar de mes doigts, au besoin, ils sont tous très différent, il reflète le caractère de son producteur, c’est pour moi un besoin, j’aime ce met, je me régale de le sentir sur ma langue, mes papilles. Embrasser la bouche de mon mari alors que la mienne est maculée de liquides collants d’excitation, de jus même, sentir et rêver de ce doux baiser d’amour et de partage. Je fantasme même d’imaginer le voir aller au-delàs, qui se penche sur mon corps ruiné d’effort, le voir laper quelques goûtes de ce nectar sur la commissure de mes lèvres, ma poitrine, qu’il me l’étale, le fin du fin, sentir son souffle entre mes jambe, qu’il s’abreuve, qu’il tarisse à ma source, qu’elle redevienne propre, juste rougie et comblée de plaisir, le sentir éprouver une délectation de ce cocktail de jouissances mélangées, la marque symbolique qui laisse des traces de mon cocufiage, la preuve de ma capacité à satisfaire et à faire jouir de mon corps n’importe quel homme si j’en éprouve un besoin, du désir...
Sentir la chaleur de ce jus remplir mon intérieur, que ce soit ma bouche, ma chatte ou mon cul est pour moi, au-delà du côté agréable de la sensation, une forte récompense qui vient couronner la relation et dont je vais garder traces et goût durant un certain temps, le temps pour lui de s’évacuer lentement et bien me le faire sentir. Cela flatte et satisfait également mes désirs pervers de femelle et transgressifs, ``recevoir au plus profond de son corps, la semence d’un autre homme que son mari’’ quel acte délicieusement immoral, une étreinte délicieusement scandaleuse. Ce n’est réellement qu’au moment où il contemplerait mon corps, mon sexe de sa douce ouverture et de la rivière de foutre qui s’en échapperait qu’il réalisera pleinement que je me suis donnée à un autre. Je veux comme moi, qu’il sente cette odeur caractéristique envahir l’atmosphère de la pièce, matérialise le fait que je me sois offerte et abandonnée totalement à un autre mâle, qu’il assiste avec délice et excitation au spectacle de mes étreintes, j’imagine le voir y prendre goût avec une intenses émotions que lui procure la vue de sa femme souillée, le découvrir la queue à la main ramollie et couverte jusqu’aux couilles de sa propre semence, quelle image érotique…Le fait de me voir venir au terme de mes ébats, m’exhiber au-dessus de son visage, vulve souillée de cette crème, lui demander de me boire, faire de sa langue la toilette de mon antre souillé, le jus de mes jouissance mélangée serait peut-être un délice dont il ne saurait plus se passer, ce serais le témoigne de son consentement et de son approbation à la relation que je vivrai avec cet amant, cela m’apporterai une satisfaction, un plaisir et des émotions d’une rare intensité que le simple fait de l’imaginer me fais mouiller abondamment.
Ce soir-là, je lui confie tout, sans gêne et sans pudeur, il est d’accord, et je suis prête à essayer, afin de pimenter notre vie sexuelle. Comme je suis ouverte à la discussion, il en profite, tout en me caressant pour me demander le genre d’homme avec qui j’aimerais essayer. Je lui explique avoir une attirance pour les machos, les dominateurs, que le mieux pour moi est de nous rendre dans un lieu de nuit bondé, une discothèque par exemple, je me laisserais draguer devant lui et qu’en fonction de l’évolution de la soirée et de mes envies, sans savoir si je ramènerais mon amant à la maison pour qu’il me fasse l’amour, mais si le cas se présentait, je voudrais impérativement qu’il reste passif, seulement spectateur. J’ai 50 ans, j’ai un corps magnifique avec des petits seins bien arrogants, et des jambes parfaites, je suis une fille très féminine…Le jour arrive, je me suis faite épilée deux jours plus tôt, ma chatte est lisse, elle est comme une rose, les ongles vernis de rouges vif, je passe un grand moment à me préparer et à m'habiller. Alors que mon mari déjà apprêté traîne devant la télé, je sais qu’il m’entend arriver avec le bruit caractéristique de mes talons sur le sol. Il se retourne et me dévisage de bas en haut, je vois dans ces yeux l’admiration et l’envie. Je suis habillée d’une jupe en cuir noir assez courte, un chemisier blanc presque transparent où l’on devine bien visiblement un soutien-gorge de dentelle noir, ma veste est en coordonnée avec la jupe, de talons vertigineux surmontés des bas avec coutures tenu par un porte-jarretelle. J’ai mis mon parfum si envoûtant, et je me suis maquillée de manière soutenue, il me regarde avec un grand sourire. J’ai vraiment sorti le grand jeu et cela lui fait beaucoup d’effet, il se lève pour me caresser mais je ne me laisse pas faire, je lui permets juste de m’embrasser du bout des lèvres. Sans le laisser reprendre ses esprits, je me dirige vers la porte en lui disant…On y va mon amour… je suis prête...Tout en la regardant, je pense, prête à me faire baiser…
Durant le trajet, il me caresse les jambes, les cuisses, mon porte-jarretelles est visible, je lui dis être toute excitée, que je me sens coquine. A l’entrée de la discothèque, le grand vigile black qui se trouve devant la porte est monstrueux, aussi large que grand, pas moyen de discuter ses volontés celui-là, s’il ne veut pas vous laisser passer, son regard sur moi est un peu pervers, il me reluque le cul grossièrement, je le trouve pas très beau, son ventre est comme le reste, énorme, mon mari me prend par la taille et me caresser les fesses par-dessus ma jupe en cuir juste pour lui dire, pas touche, propriété privé……
Une fois à l’intérieur, il y a beaucoup de monde, nous trouvons une table, nous passons commande, avant de me rendre sur la piste, seule comme prévu, j’ai le cœur qui bat. En équilibre sur mes talons, je me trémousse au rythme de la musique et lui adresse parfois un petit sourire, parfois un clin d’œil. Il y a bien quelques gars qui s’approchent de moi mais je ne suis pas intéressée par leurs profils. De retour à table, je lui explique qu’ils m’ont invitée à boire un verre mais je n’en avais pas envie. Finalement, je le sens un peu rassuré, je l’embrasse tout en lui caressant l’entrecuisses, il bande déjà. Je l’embrasse et me rends aux toilettes, je sais qu’il me regarde déambuler, il adore ça, ma silhouette ne passe pas inaperçue dans ma démarche, les hommes pourtant accompagnés me font des sourires.
Quand je sors des toilettes, je croise un homme, les cheveux grisonnants, il est très grand, d’une belle carrure, il est élégant, la cinquantaine, je le fixe comme lui me dévisage. Je passe devant lui, le frôle et sors mon déhanchement sensuel, je sens son regard dans mon dos, je rejoins la piste sans passer prêt de mon homme, je le sais sur mes arrières. Sur la piste, l’inconnu ne tarde pas, très vite, je ressens son souffle chaud sur ma nuque, avant de sentir ces mains sur mes hanches remonter sur mes flans, je frisonne... Je sais que mon mari me regarde, cherchant à croiser mon regard alors que je semble complètement abandonnée au jeu, à amorcer le désir cet homme placé derrière moi qui me captive, il se rapproche, il vient de coller son bassin à mes fesses pour bien me faire sentir ses ambitions, je devine rapidement, même au repos, que ses proportions sont hors du commun, je joue le jeu en remuant mon bassin, la tension est déjà palpable. Quand arrive une série de slow, il glisse ses mains autours de moi comme une liane et me retrouve dans ses bras, visiblement, il se passe quelque chose, les yeux dans les yeux, il me colle à lui, son torse dur presse ma poitrine.
Mon cavalier me parle à l’oreille, je rigole tout en jetant ma tête en arrière. Il en profite pour déposer un bisou dans mon cou et ses mains se posent sur le haut de mes fesses, des ondes bienfaisantes me parcourent le corps. Les slows sont finis, il me dirige avec soin vers le bar en me tenant par la taille, comme si je lui appartenait. Jean se présente à moi, et me demande si je suis seule ou si je suis accompagnée. Je souris en précisant que j'avais bien un mari mais qu'il est resté à la maison car il était trop pris par son travail. De-là il plaisante sur le sujet, en ajoutant que s'il avait une jolie femme comme ça, il irait en boîte avec elle. Puis il me complimente sur ma tenue, je me fais payer un puis deux verres.
Par moment, je jette un regard aguicheur mais discret à mon homme pour lui dire et lui faire comprendre que je suis sous le charme, que l’envie pour cet homme est bien réelle, il me fait beaucoup d’effets. Je m’absente de mon cavalier pour me rendre de nouveau aux toilettes. En revenant, je passe vers mon mari en prêtant bien à ne pas être vu du bar, je me penche sur lui, l’embrasse furtivement et lui glisse à l’oreille de regarder sous le coussin qui est à son côté, je lui dis un… je t’aime… puis me dirige vers le bar tout en me retournant vers lui. Il lève le coussin et découvre mon string très mouillé à l’entrecuisses, il me regarde en le portant discrètement à ces narines avec un large sourire et m’envoie un baisé.
Dès que j’arrive, Jean me laisse son tabouret, il se tient debout devant moi, sa chemise en satin blanc offre une perspective charmante sur le volume de son buste, il glisse debout proche de mes jambes. Il y a de plus en plus de monde autour de nous, je sais que mon mari ne voit pas tout, j’aimerais qu’il puisse voir que l’homme devant moi, caresse les genoux de sa femme. Après trois verres je commence à être bien chaude, je croise, décroise mes jambes, ma jupe remonte, les attaches de mon porte-jarretelles brillent à la lumière, Jean est fasciné... Je lui montre prendre du plaisir être en sa compagnie, son visage s’approche du mien, et se tait, sa bouche prend la mienne, le baisé est explosif, sa langue cherche mon organe, elles s’entremêlent délicieusement pendant de longs moments, j’aime le goût de sa salive, j’aimerai pouvoir chercher le regard de mon homme qui me manque, fière de mon petit manège et de ma réussite, mais je n’arrive pas, à vrai dire, l’idée fait son chemin, je suis trop pris par ce bel étalon, trop troublée par cet inconnu qui me touche le corps de ces caresses, avant de me malaxer soigneusement le sein sous ces baisers passionnés. Il me dit plein d’obscénités à l’oreille, c’est un dominateur, il me dit vouloir me dresser pour que je devienne sa chienne, je lui dis être attirée par cette proposition en souriant, que ces yeux verts transparents attise le foyer volcanique en moi, la manière dont il m’embrasse, et aussi… que je lui avoue être troublée par la taille de son sexe.
Sans pudeur avec les personnes qui nous entourent, il prend ma main à plat et la pose sur ces bourses par-dessus le tissu de son costume, je les caresses, elles sont pleines, chargées, je remonte, il me semble qu’il n’a pas de sous vêtement tellement je la sens proche sous mes doigts, la colonne n’est pas encore dure, pourtant elle est très vraiment large, beaucoup plus gros que l’organe de mon mari, je remonte, dessine de mes ongles son phallus qui proéminent. Avec autorité, il écarte mes jambes gainées, j’obéie d’une docilité inconsciente, il me caresse l’intérieur des cuisses pour bientôt poursuivre l’ascension, il remonte jusqu’à l’aine, découvre que je n’ai pas de dentelles et effleure mes grandes lèvres. Il me parle du mélange subtil qui me dessine entre ma beauté, mon charme et ma sensualité, que c’est une alchimie rare. Ma fente baveuse s’abandonne à lui, il me dit tout haut ce qu’il a envie de me faire avant de me baiser comme une chienne, il veut disposer de mon corps, me posséder. Je suis ravagée par le plaisir et l’envie qu’il me prenne, il emploie sciemment des termes ambigus, j’aime beaucoup quand il me traite de belle salope et qu’il aime les femmes comme moi. Je ne peux m’empêcher de remuer de la croupe sur le cuir du tabouret espérant même qu’il me doigte au plus vite le vagin, je ne peux que me l'avouer, j’imagine qu’il me le ramone avec autres choses que ces doigts. Je suis si excitée et mouillée, le salaud sait y faire, je suffoque quand il caresse habilement mon clitoris, ma bouche s’ouvre quand il glisse son doigt entre mes babines couvertes de sucs pour titiller mon urètre, il le ressort pour le porter à ma bouche toujours ouverte comme je le ferai s’il était couvert de chantilly… Il nous commande un verre, je suis déjà un peu pompette… Mais consciente de mon abandon, sans pouvoir vraiment y remédier, je me remémore brièvement l’émission de L'île de la tentation ou les candidates oublies leurs mari pour s'adonner à la luxure…
Ses yeux ont l’assurance du maître, ses doigts explorent sa propriété, sans m’expliquer, je lui appartiens, un orgasme public me frappe dans le miaulement étouffé de ma gorge, j’inonde ces doigts.
Sans prévenir, encore sous l’effet soporifique du plaisir, il me lève et m'entraîne avec lui, je ne sais pas comment, mais nous nous retrouvons dans un couloir bercé par la musique de la boîte à l’écart de la clientèle, il ouvre une porte, c’est un grand bureau, un canapé en cuir ou il me pousse fermement… C’est le moment de prouver si je suis vraiment salope. Ma veste, ma jupe et mon chemisier se retrouvent à droite et à gauche en quelques instants, je suis en sous-vêtement, les fesses à l’air, dans ces bras, je tremble de désir sous ses baisers qu’il dépose au creux de mon oreille. Je me dis que je vais prendre mon pied comme jamais, je veux tout et plus, qu’il me baise. Je me contente de fixer la braguette tendue, une grosse bosse, il bande pour moi, j’aime ça… Je prends l’initiative, c’était déjà un jeu entre nous deux. Je passe ma langue sur sa bouche en éliminant chaque bouton de sa chemise, son torse est taillé, je lui lèche tour à tour les tétons en m’attaquant à sa ceinture, puis la braguette avant l’aller cueillir ce sexe désiré, je l’empoigne, il est magnifique, de belle taille, bouillant et dur à souhait, son gland collant m’attire, le goutter devient vite une obsession, je me penche en croisant son regard, quelques coups de langue sur le phallus liquoreux crée des filaments entre lui et moi, c’est obscène, troublant, quelques glissades vers ses couilles que je prends au creux de mes mains pour en apprécier la lourdeur. Je déguste gourmande et avec une avidité impatiente, aidé de mes jolis ongles fins qui passent par dessous, remonte la raie, griffent tendrement l’entrée de son anus, sa queue réagit dans ma bouche, il se liquéfie sur ma langue, la source divine...
Quand je le sens bien prêt, je me redresse et lui fais déguster ma salive gluante des gouttes qui ont perlées sur son méat. Il me pousse et me colle contre le mur, il me caresse, sa langue toujours dans ma bouche à me boire, je sais ce qui va suivre, son corps frotte le mien, son gland caresse l’entrée de ma fente à bien le badigeonner de sa résine, je n’en peux plus... je veux cette libération charnelle… je relève une jambe pour l’aider à se motiver, il se positionne, coulisse entre mes lèvres et me pénètre debout contre la mur, sur une jambe et même en équilibre sur la pointe du pied, j’ai un barreau qui rentre en moi, l’air me manque sous l’intronisation, mes lèvres intimes se séparent naturellement en temps normale, mais là, elles se retrouvent totalement écartelées, de ces bras puissants il me soulève du sol, mes mains se verrouillent autour de son cou, il me soutient par dessous les cuisses, il me fait coulisser délicieusement en sûr lui, je me tend, me cabre, pousse mon bassin et dans un premier grand cri, il claque ma cuisse d’une fessée, je jouis, à chaque fois qu’il pénètre profondément ma chatte, l’orgasme perdure, se poursuit, il me traite de trou à bite, il se retire quelques secondes, l’air frais me dit que ma vulve est béante, je mouille beaucoup, je lui réclame, lui avoue que ma moule aime sa queue, que je suis une putain, il me pénètre d’un coup, profondément, me serre d’autorité la gorge comme pour m’étrangler, je jouis une nouvelle fois… un orgasme violent… j’adore ses assauts, il me saute sauvagement, il sait parfaitement quand il doit être violent et quand adoucir le rythme pour me faire le maximum de plaisir. Je ne compte plus les orgasmes, je gicle, j’inonde le bas de son corps sous mes jets, sous mes cris que je libère, je sens sa queue se contracter, il vient… je veux… il jouit, ses jets de semence sont un délice, une libération, il exulte.
Je pense à mon homme est vraiment cocu maintenant, je suis vraiment une salope, une petite putain, et il compte prendre du bon temps avec moi. Il se retire, me repose sur le sol et me dispose à genoux sur un côté du canapé, une chienne à quatre pattes sur la banquette comme pour offrir ma croupe, son jus dégouline en stalactite entre mes jambes, le spectacle est infiniment vulgaire, mais très excitant du désordre de ma tenue et de ma conduite. Il se présente devant moi, avec des mouvements lents, je commence à le caresser, à le branler, je le découvre rapidement encore majestueux, je m’amuse à décalotter et recalotter son gland en frottant sur le frein. Il s’approche de mon visage, j’entrouvre mes lèvres pour l’accueillir, je lèche presque timidement pour savourer ce moment, son méat est ouvert, sa bite est couverte de nos sécrétions avec une concentration de sperme qui coule jusqu’à sa base, le mélange est aphrodisiaque, puis je porte toute la pointe du dard à ma bouche pour le téter, j’extrais la liqueur, mes lèvres descendent doucement le long du membre toujours raide pour en engloutir la plus grande partie. Une main à la base de la queue et l’autre refermée sur ces couilles pour presser son jus, j’entame une fellation avec une perverse application. Quand je le ressors, il est couvert de ma bave, je lève la tête dans sa direction pour lui lancer un regard empreint de toute provocation possible tandis que je léchouille délicieusement son gland qui suinte. Il se laisse porter par le plaisir de cette fellation et caresse mes cheveux et le visage de sa bienfaitrice et me traite de bonne suceuse de queues. Petit à petit, j’accélère la cadence de mes va-et-vient, mais les rôles s’inversent, il me tient par les cheveux, me maintient la tête, il me baise la bouche doucement, même en suçant je ressens des choses que je n’ai jamais ressenties, c’est délicieux… J’aurais voulu le sucer devant mon mari, pour qu’il voie que je peux être si salope, mais je ne l’ai pas fait…
Je suis tellement emportée par la pipe que je ne ressens pas immédiatement mon ventre se contracter sous une pénétration, j’essaye de me dégager, mais des mains puissantes viennent me bloquer les reins, je suis une poupée de chiffon devant cette force Herculéenne, je sens l’intromission d’un gros serpent se glisser dans mon vagin, les parois déjà écartées s’ouvrent encore plus, il me viole... Jean m’empêche de me retourner pour voir, il se fiche en moi quelque instant en gorge profonde, derrière la bête coulisse lentement, mon vagin s’adapte à lui, et se met à se mouvoir aidé par ma propre mouille et le sperme dont je suis enduite de mes parois internes, ce sont maintenant les coups de boutoir de l’homme besognant derrière moi qui produisent les mouvements de va-et-vient de mes lèvres sur le membre que cette scène crue a surdimensionné. Le ventre de mon baiseur me claque le cul avec force et me projette en avant… rapidement, je suis traversé par des sensations d'une forte intensité... j'ondule du cul... J’ai encore envie... je me crispe... le traîte de salaud... je jouis… je jouis… hoooo mon Dieu… les orgasmes déferlent en cascade dans ma chatte... j'ai mal de partout tellement je suis enflammée de cette intensité... mon corps est secoué de spasmes pendant de longues secondes... la bouche pleine, j’étouffe toute gémissante, ma salive coule hors de ma bouche pour couler sur mon menton, j’exulte de plaisir, cette queue noueuse et énorme, tendue, bandée comme la corde d’un arc. Jean lui, sans prévenir, il éjacule dans ma bouche, se cambre à chaque pulsion qu'il m'envoie en grognant, il attend que le dernier jet de semence vienne frapper le fond de ma gorge pour ressortir sa queue. J’ai bu pratiquement tout le sperme directement en gorge, seul un mince filet de foutre coule à la commissure de mes lèvres. Vicieusement, il le récupère sur son doigt qu’il me met dans la bouche, je passe la langue sur mes lèvres et, après avoir dégluti une dernière fois. Je me retourne enfin et découvre le videur black qui se trouvait à l’entrée, il est encore plus énorme de ma position soumise, il me laisse reprendre mon souffle puis se met, doucement, à me besogner, à chaque poussée, une vague de plaisir semble rouler dans mon ventre, un bruit de clapotis faite de sperme et de mouille mélangé se fait entendre, je râle de plaisir, grogne, lui demande d’aller plus loin puis m’extasie en lui annonçant que je le sens contre mon utérus, je lui lance même de me baiser plus fort. L’orgasme me ravage, je me tort, mes mains se crispent sur le cuir… Je crie…Lui est toujours tendu, droit, la queue raide plantée en moi, presque immobile, satisfait de sa performance… Jean me regarde d’un regard jouissif. Je suis trempée, tellement ouverte, je ne suis plus moi-même, je suis un trou, je pourrais accepter une bite d’un cheval en moi s’il le désirait... je couine, et pour cause, il a commencé à bouger…de petits mouvements d’avant en arrière puis ils s’intensifient, gagnent en intensité et en amplitude. Désormais, il ressort jusqu’à la base du gland pour replonger en moi, je suis si ouverte, si dilatée...Il se met à pilonner de plus en plus fort, de plus en plus vite en me fessant les fesses de part et d'autre. Mes seins dansent en cadence et se frottent sur le cuir détrempé de nos liquides, la peau de mes fesses claquent contre lui quand il envahit brutalement mes chairs, je me sens presque soulevé de mon embrochement . Je passe des gémissements aux cris puis explose encore dans des râles rauques, les yeux révulsés, je jouis en giclant en criant un hoooooo oooooooouuuuiiii! Je lui réclame de se vider dans mon ventre fertile… que je veux son jus de noir… Lorsque je ressens une contraction sauvage, il jute en abondance alors que mon minou se contracte en saccade, un torrent de sperme jaillit et inonde mon vagin et vont rejoindre celui de Jean, son jus nappe délicieusement mes parois, mon ventre gonfle, le foutre déborde dans un pêt mouillé de nous, il coule jusqu'à la bas de mes genoux… Le noir de retire dans un bruit de bouchon de bouteille, il me fait tomber sur le coté, et pousse sa bite presque débandé dans ma bouche pour que je le lui nettoie... je le vois se branler.. il gicle... son jus arrose mon visage, mes cheveux avant de me fourrer son gland entre mes lèvres pour les dernière goutte que je sucote... je m'affale sur le cuir, exténuée... ruisselante de foutre.
Je suis exténuée… Je sais juste que l’on me rhabille, je suis portée dans une voiture, elle a une odeur singulière… Nous roulons… une main que je connais caresse ma chatte et joue avec le liquide visqueux qui sort sans discontinuer de moi, j'essaye de garder les cuisses jointes. Je suis posée sur notre lit, j'émerge un peu, mon homme et là, il me déshabille, il est nu, il dit qu’il m’aime… je lui demande pardon... sa queue est érigée, il me caresse, m’embrasse tendrement, je me sens collante, je lui dis que je l'aime... que je ne sais pas ce qu'il m'a pris... vouloir aller me laver, il refuse, il lêche mes lêvres salée, embrasse ma bouche, mon cou, tête mes seins, mon ventre, glisse sur mes cuisses, j’écarte mes cuisses devant son visage, il penetre ses doigts pour me les denner à sucer, sa langue les remplace et s’insinue entre mes lèvres intimes, je gémi, je frotte mon sexe contre sa bouche en nettoyant sa main... les ondes de plaisir me traversent le corps…. C’est délicieux… il se relève entre mes cuisses, prend sa queue en main et se masturbe en frottant son gland sur ma vulve, il relève la tête, ouvre la bouche, les jets inondes mon sexe, il se vide… Il se baisse une nouvelle fois sur ma chatte, et se met à laper son propre sperme, puis vient rapidement le partager avec moi en posant sa bouche sur la mienne, nos langues sont rapidement gluantes, nous nous embrassons, amoureusement…
Mon mari, lui est prêt à me partager et offrir à d’autres hommes pour mon propre plaisir et découverte de la nouveauté, la possibilité de goûter et de jouir de mes nombreux charmes, alors que moi, j’imagine le voir me contempler avec bonheur avec cet amant imaginaire tout en se masturbant, tout en regardant le doux spectacle de mes ébats avec cette inconnue que j’aimerais passionnés, je veux que mon homme m'entende gémir, crier de plaisir, je veux qu’il me voie les yeux clos, la bouche ouverte, dans le plaisir du coït, devant lui…
Cela me permet l’accès à de nouvelles et intenses émotions cérébraux, la cerise sur le gâteau ou plutôt crème sur le gâteau, serait de sentir cette odeur particulière que j’aime tant, le parfum de la semence d’un autre mâle, imaginer mon corps détendu et apaisé libérant le trop plein de foutre entre mes fesses, quel que soit l’endroit, il est une tentation indescriptible qui me pousse à goûter ce nectar de mes doigts, au besoin, ils sont tous très différent, il reflète le caractère de son producteur, c’est pour moi un besoin, j’aime ce met, je me régale de le sentir sur ma langue, mes papilles. Embrasser la bouche de mon mari alors que la mienne est maculée de liquides collants d’excitation, de jus même, sentir et rêver de ce doux baiser d’amour et de partage. Je fantasme même d’imaginer le voir aller au-delàs, qui se penche sur mon corps ruiné d’effort, le voir laper quelques goûtes de ce nectar sur la commissure de mes lèvres, ma poitrine, qu’il me l’étale, le fin du fin, sentir son souffle entre mes jambe, qu’il s’abreuve, qu’il tarisse à ma source, qu’elle redevienne propre, juste rougie et comblée de plaisir, le sentir éprouver une délectation de ce cocktail de jouissances mélangées, la marque symbolique qui laisse des traces de mon cocufiage, la preuve de ma capacité à satisfaire et à faire jouir de mon corps n’importe quel homme si j’en éprouve un besoin, du désir...
Sentir la chaleur de ce jus remplir mon intérieur, que ce soit ma bouche, ma chatte ou mon cul est pour moi, au-delà du côté agréable de la sensation, une forte récompense qui vient couronner la relation et dont je vais garder traces et goût durant un certain temps, le temps pour lui de s’évacuer lentement et bien me le faire sentir. Cela flatte et satisfait également mes désirs pervers de femelle et transgressifs, ``recevoir au plus profond de son corps, la semence d’un autre homme que son mari’’ quel acte délicieusement immoral, une étreinte délicieusement scandaleuse. Ce n’est réellement qu’au moment où il contemplerait mon corps, mon sexe de sa douce ouverture et de la rivière de foutre qui s’en échapperait qu’il réalisera pleinement que je me suis donnée à un autre. Je veux comme moi, qu’il sente cette odeur caractéristique envahir l’atmosphère de la pièce, matérialise le fait que je me sois offerte et abandonnée totalement à un autre mâle, qu’il assiste avec délice et excitation au spectacle de mes étreintes, j’imagine le voir y prendre goût avec une intenses émotions que lui procure la vue de sa femme souillée, le découvrir la queue à la main ramollie et couverte jusqu’aux couilles de sa propre semence, quelle image érotique…Le fait de me voir venir au terme de mes ébats, m’exhiber au-dessus de son visage, vulve souillée de cette crème, lui demander de me boire, faire de sa langue la toilette de mon antre souillé, le jus de mes jouissance mélangée serait peut-être un délice dont il ne saurait plus se passer, ce serais le témoigne de son consentement et de son approbation à la relation que je vivrai avec cet amant, cela m’apporterai une satisfaction, un plaisir et des émotions d’une rare intensité que le simple fait de l’imaginer me fais mouiller abondamment.
Ce soir-là, je lui confie tout, sans gêne et sans pudeur, il est d’accord, et je suis prête à essayer, afin de pimenter notre vie sexuelle. Comme je suis ouverte à la discussion, il en profite, tout en me caressant pour me demander le genre d’homme avec qui j’aimerais essayer. Je lui explique avoir une attirance pour les machos, les dominateurs, que le mieux pour moi est de nous rendre dans un lieu de nuit bondé, une discothèque par exemple, je me laisserais draguer devant lui et qu’en fonction de l’évolution de la soirée et de mes envies, sans savoir si je ramènerais mon amant à la maison pour qu’il me fasse l’amour, mais si le cas se présentait, je voudrais impérativement qu’il reste passif, seulement spectateur. J’ai 50 ans, j’ai un corps magnifique avec des petits seins bien arrogants, et des jambes parfaites, je suis une fille très féminine…Le jour arrive, je me suis faite épilée deux jours plus tôt, ma chatte est lisse, elle est comme une rose, les ongles vernis de rouges vif, je passe un grand moment à me préparer et à m'habiller. Alors que mon mari déjà apprêté traîne devant la télé, je sais qu’il m’entend arriver avec le bruit caractéristique de mes talons sur le sol. Il se retourne et me dévisage de bas en haut, je vois dans ces yeux l’admiration et l’envie. Je suis habillée d’une jupe en cuir noir assez courte, un chemisier blanc presque transparent où l’on devine bien visiblement un soutien-gorge de dentelle noir, ma veste est en coordonnée avec la jupe, de talons vertigineux surmontés des bas avec coutures tenu par un porte-jarretelle. J’ai mis mon parfum si envoûtant, et je me suis maquillée de manière soutenue, il me regarde avec un grand sourire. J’ai vraiment sorti le grand jeu et cela lui fait beaucoup d’effet, il se lève pour me caresser mais je ne me laisse pas faire, je lui permets juste de m’embrasser du bout des lèvres. Sans le laisser reprendre ses esprits, je me dirige vers la porte en lui disant…On y va mon amour… je suis prête...Tout en la regardant, je pense, prête à me faire baiser…
Durant le trajet, il me caresse les jambes, les cuisses, mon porte-jarretelles est visible, je lui dis être toute excitée, que je me sens coquine. A l’entrée de la discothèque, le grand vigile black qui se trouve devant la porte est monstrueux, aussi large que grand, pas moyen de discuter ses volontés celui-là, s’il ne veut pas vous laisser passer, son regard sur moi est un peu pervers, il me reluque le cul grossièrement, je le trouve pas très beau, son ventre est comme le reste, énorme, mon mari me prend par la taille et me caresser les fesses par-dessus ma jupe en cuir juste pour lui dire, pas touche, propriété privé……
Une fois à l’intérieur, il y a beaucoup de monde, nous trouvons une table, nous passons commande, avant de me rendre sur la piste, seule comme prévu, j’ai le cœur qui bat. En équilibre sur mes talons, je me trémousse au rythme de la musique et lui adresse parfois un petit sourire, parfois un clin d’œil. Il y a bien quelques gars qui s’approchent de moi mais je ne suis pas intéressée par leurs profils. De retour à table, je lui explique qu’ils m’ont invitée à boire un verre mais je n’en avais pas envie. Finalement, je le sens un peu rassuré, je l’embrasse tout en lui caressant l’entrecuisses, il bande déjà. Je l’embrasse et me rends aux toilettes, je sais qu’il me regarde déambuler, il adore ça, ma silhouette ne passe pas inaperçue dans ma démarche, les hommes pourtant accompagnés me font des sourires.
Quand je sors des toilettes, je croise un homme, les cheveux grisonnants, il est très grand, d’une belle carrure, il est élégant, la cinquantaine, je le fixe comme lui me dévisage. Je passe devant lui, le frôle et sors mon déhanchement sensuel, je sens son regard dans mon dos, je rejoins la piste sans passer prêt de mon homme, je le sais sur mes arrières. Sur la piste, l’inconnu ne tarde pas, très vite, je ressens son souffle chaud sur ma nuque, avant de sentir ces mains sur mes hanches remonter sur mes flans, je frisonne... Je sais que mon mari me regarde, cherchant à croiser mon regard alors que je semble complètement abandonnée au jeu, à amorcer le désir cet homme placé derrière moi qui me captive, il se rapproche, il vient de coller son bassin à mes fesses pour bien me faire sentir ses ambitions, je devine rapidement, même au repos, que ses proportions sont hors du commun, je joue le jeu en remuant mon bassin, la tension est déjà palpable. Quand arrive une série de slow, il glisse ses mains autours de moi comme une liane et me retrouve dans ses bras, visiblement, il se passe quelque chose, les yeux dans les yeux, il me colle à lui, son torse dur presse ma poitrine.
Mon cavalier me parle à l’oreille, je rigole tout en jetant ma tête en arrière. Il en profite pour déposer un bisou dans mon cou et ses mains se posent sur le haut de mes fesses, des ondes bienfaisantes me parcourent le corps. Les slows sont finis, il me dirige avec soin vers le bar en me tenant par la taille, comme si je lui appartenait. Jean se présente à moi, et me demande si je suis seule ou si je suis accompagnée. Je souris en précisant que j'avais bien un mari mais qu'il est resté à la maison car il était trop pris par son travail. De-là il plaisante sur le sujet, en ajoutant que s'il avait une jolie femme comme ça, il irait en boîte avec elle. Puis il me complimente sur ma tenue, je me fais payer un puis deux verres.
Par moment, je jette un regard aguicheur mais discret à mon homme pour lui dire et lui faire comprendre que je suis sous le charme, que l’envie pour cet homme est bien réelle, il me fait beaucoup d’effets. Je m’absente de mon cavalier pour me rendre de nouveau aux toilettes. En revenant, je passe vers mon mari en prêtant bien à ne pas être vu du bar, je me penche sur lui, l’embrasse furtivement et lui glisse à l’oreille de regarder sous le coussin qui est à son côté, je lui dis un… je t’aime… puis me dirige vers le bar tout en me retournant vers lui. Il lève le coussin et découvre mon string très mouillé à l’entrecuisses, il me regarde en le portant discrètement à ces narines avec un large sourire et m’envoie un baisé.
Dès que j’arrive, Jean me laisse son tabouret, il se tient debout devant moi, sa chemise en satin blanc offre une perspective charmante sur le volume de son buste, il glisse debout proche de mes jambes. Il y a de plus en plus de monde autour de nous, je sais que mon mari ne voit pas tout, j’aimerais qu’il puisse voir que l’homme devant moi, caresse les genoux de sa femme. Après trois verres je commence à être bien chaude, je croise, décroise mes jambes, ma jupe remonte, les attaches de mon porte-jarretelles brillent à la lumière, Jean est fasciné... Je lui montre prendre du plaisir être en sa compagnie, son visage s’approche du mien, et se tait, sa bouche prend la mienne, le baisé est explosif, sa langue cherche mon organe, elles s’entremêlent délicieusement pendant de longs moments, j’aime le goût de sa salive, j’aimerai pouvoir chercher le regard de mon homme qui me manque, fière de mon petit manège et de ma réussite, mais je n’arrive pas, à vrai dire, l’idée fait son chemin, je suis trop pris par ce bel étalon, trop troublée par cet inconnu qui me touche le corps de ces caresses, avant de me malaxer soigneusement le sein sous ces baisers passionnés. Il me dit plein d’obscénités à l’oreille, c’est un dominateur, il me dit vouloir me dresser pour que je devienne sa chienne, je lui dis être attirée par cette proposition en souriant, que ces yeux verts transparents attise le foyer volcanique en moi, la manière dont il m’embrasse, et aussi… que je lui avoue être troublée par la taille de son sexe.
Sans pudeur avec les personnes qui nous entourent, il prend ma main à plat et la pose sur ces bourses par-dessus le tissu de son costume, je les caresses, elles sont pleines, chargées, je remonte, il me semble qu’il n’a pas de sous vêtement tellement je la sens proche sous mes doigts, la colonne n’est pas encore dure, pourtant elle est très vraiment large, beaucoup plus gros que l’organe de mon mari, je remonte, dessine de mes ongles son phallus qui proéminent. Avec autorité, il écarte mes jambes gainées, j’obéie d’une docilité inconsciente, il me caresse l’intérieur des cuisses pour bientôt poursuivre l’ascension, il remonte jusqu’à l’aine, découvre que je n’ai pas de dentelles et effleure mes grandes lèvres. Il me parle du mélange subtil qui me dessine entre ma beauté, mon charme et ma sensualité, que c’est une alchimie rare. Ma fente baveuse s’abandonne à lui, il me dit tout haut ce qu’il a envie de me faire avant de me baiser comme une chienne, il veut disposer de mon corps, me posséder. Je suis ravagée par le plaisir et l’envie qu’il me prenne, il emploie sciemment des termes ambigus, j’aime beaucoup quand il me traite de belle salope et qu’il aime les femmes comme moi. Je ne peux m’empêcher de remuer de la croupe sur le cuir du tabouret espérant même qu’il me doigte au plus vite le vagin, je ne peux que me l'avouer, j’imagine qu’il me le ramone avec autres choses que ces doigts. Je suis si excitée et mouillée, le salaud sait y faire, je suffoque quand il caresse habilement mon clitoris, ma bouche s’ouvre quand il glisse son doigt entre mes babines couvertes de sucs pour titiller mon urètre, il le ressort pour le porter à ma bouche toujours ouverte comme je le ferai s’il était couvert de chantilly… Il nous commande un verre, je suis déjà un peu pompette… Mais consciente de mon abandon, sans pouvoir vraiment y remédier, je me remémore brièvement l’émission de L'île de la tentation ou les candidates oublies leurs mari pour s'adonner à la luxure…
Ses yeux ont l’assurance du maître, ses doigts explorent sa propriété, sans m’expliquer, je lui appartiens, un orgasme public me frappe dans le miaulement étouffé de ma gorge, j’inonde ces doigts.
Sans prévenir, encore sous l’effet soporifique du plaisir, il me lève et m'entraîne avec lui, je ne sais pas comment, mais nous nous retrouvons dans un couloir bercé par la musique de la boîte à l’écart de la clientèle, il ouvre une porte, c’est un grand bureau, un canapé en cuir ou il me pousse fermement… C’est le moment de prouver si je suis vraiment salope. Ma veste, ma jupe et mon chemisier se retrouvent à droite et à gauche en quelques instants, je suis en sous-vêtement, les fesses à l’air, dans ces bras, je tremble de désir sous ses baisers qu’il dépose au creux de mon oreille. Je me dis que je vais prendre mon pied comme jamais, je veux tout et plus, qu’il me baise. Je me contente de fixer la braguette tendue, une grosse bosse, il bande pour moi, j’aime ça… Je prends l’initiative, c’était déjà un jeu entre nous deux. Je passe ma langue sur sa bouche en éliminant chaque bouton de sa chemise, son torse est taillé, je lui lèche tour à tour les tétons en m’attaquant à sa ceinture, puis la braguette avant l’aller cueillir ce sexe désiré, je l’empoigne, il est magnifique, de belle taille, bouillant et dur à souhait, son gland collant m’attire, le goutter devient vite une obsession, je me penche en croisant son regard, quelques coups de langue sur le phallus liquoreux crée des filaments entre lui et moi, c’est obscène, troublant, quelques glissades vers ses couilles que je prends au creux de mes mains pour en apprécier la lourdeur. Je déguste gourmande et avec une avidité impatiente, aidé de mes jolis ongles fins qui passent par dessous, remonte la raie, griffent tendrement l’entrée de son anus, sa queue réagit dans ma bouche, il se liquéfie sur ma langue, la source divine...
Quand je le sens bien prêt, je me redresse et lui fais déguster ma salive gluante des gouttes qui ont perlées sur son méat. Il me pousse et me colle contre le mur, il me caresse, sa langue toujours dans ma bouche à me boire, je sais ce qui va suivre, son corps frotte le mien, son gland caresse l’entrée de ma fente à bien le badigeonner de sa résine, je n’en peux plus... je veux cette libération charnelle… je relève une jambe pour l’aider à se motiver, il se positionne, coulisse entre mes lèvres et me pénètre debout contre la mur, sur une jambe et même en équilibre sur la pointe du pied, j’ai un barreau qui rentre en moi, l’air me manque sous l’intronisation, mes lèvres intimes se séparent naturellement en temps normale, mais là, elles se retrouvent totalement écartelées, de ces bras puissants il me soulève du sol, mes mains se verrouillent autour de son cou, il me soutient par dessous les cuisses, il me fait coulisser délicieusement en sûr lui, je me tend, me cabre, pousse mon bassin et dans un premier grand cri, il claque ma cuisse d’une fessée, je jouis, à chaque fois qu’il pénètre profondément ma chatte, l’orgasme perdure, se poursuit, il me traite de trou à bite, il se retire quelques secondes, l’air frais me dit que ma vulve est béante, je mouille beaucoup, je lui réclame, lui avoue que ma moule aime sa queue, que je suis une putain, il me pénètre d’un coup, profondément, me serre d’autorité la gorge comme pour m’étrangler, je jouis une nouvelle fois… un orgasme violent… j’adore ses assauts, il me saute sauvagement, il sait parfaitement quand il doit être violent et quand adoucir le rythme pour me faire le maximum de plaisir. Je ne compte plus les orgasmes, je gicle, j’inonde le bas de son corps sous mes jets, sous mes cris que je libère, je sens sa queue se contracter, il vient… je veux… il jouit, ses jets de semence sont un délice, une libération, il exulte.
Je pense à mon homme est vraiment cocu maintenant, je suis vraiment une salope, une petite putain, et il compte prendre du bon temps avec moi. Il se retire, me repose sur le sol et me dispose à genoux sur un côté du canapé, une chienne à quatre pattes sur la banquette comme pour offrir ma croupe, son jus dégouline en stalactite entre mes jambes, le spectacle est infiniment vulgaire, mais très excitant du désordre de ma tenue et de ma conduite. Il se présente devant moi, avec des mouvements lents, je commence à le caresser, à le branler, je le découvre rapidement encore majestueux, je m’amuse à décalotter et recalotter son gland en frottant sur le frein. Il s’approche de mon visage, j’entrouvre mes lèvres pour l’accueillir, je lèche presque timidement pour savourer ce moment, son méat est ouvert, sa bite est couverte de nos sécrétions avec une concentration de sperme qui coule jusqu’à sa base, le mélange est aphrodisiaque, puis je porte toute la pointe du dard à ma bouche pour le téter, j’extrais la liqueur, mes lèvres descendent doucement le long du membre toujours raide pour en engloutir la plus grande partie. Une main à la base de la queue et l’autre refermée sur ces couilles pour presser son jus, j’entame une fellation avec une perverse application. Quand je le ressors, il est couvert de ma bave, je lève la tête dans sa direction pour lui lancer un regard empreint de toute provocation possible tandis que je léchouille délicieusement son gland qui suinte. Il se laisse porter par le plaisir de cette fellation et caresse mes cheveux et le visage de sa bienfaitrice et me traite de bonne suceuse de queues. Petit à petit, j’accélère la cadence de mes va-et-vient, mais les rôles s’inversent, il me tient par les cheveux, me maintient la tête, il me baise la bouche doucement, même en suçant je ressens des choses que je n’ai jamais ressenties, c’est délicieux… J’aurais voulu le sucer devant mon mari, pour qu’il voie que je peux être si salope, mais je ne l’ai pas fait…
Je suis tellement emportée par la pipe que je ne ressens pas immédiatement mon ventre se contracter sous une pénétration, j’essaye de me dégager, mais des mains puissantes viennent me bloquer les reins, je suis une poupée de chiffon devant cette force Herculéenne, je sens l’intromission d’un gros serpent se glisser dans mon vagin, les parois déjà écartées s’ouvrent encore plus, il me viole... Jean m’empêche de me retourner pour voir, il se fiche en moi quelque instant en gorge profonde, derrière la bête coulisse lentement, mon vagin s’adapte à lui, et se met à se mouvoir aidé par ma propre mouille et le sperme dont je suis enduite de mes parois internes, ce sont maintenant les coups de boutoir de l’homme besognant derrière moi qui produisent les mouvements de va-et-vient de mes lèvres sur le membre que cette scène crue a surdimensionné. Le ventre de mon baiseur me claque le cul avec force et me projette en avant… rapidement, je suis traversé par des sensations d'une forte intensité... j'ondule du cul... J’ai encore envie... je me crispe... le traîte de salaud... je jouis… je jouis… hoooo mon Dieu… les orgasmes déferlent en cascade dans ma chatte... j'ai mal de partout tellement je suis enflammée de cette intensité... mon corps est secoué de spasmes pendant de longues secondes... la bouche pleine, j’étouffe toute gémissante, ma salive coule hors de ma bouche pour couler sur mon menton, j’exulte de plaisir, cette queue noueuse et énorme, tendue, bandée comme la corde d’un arc. Jean lui, sans prévenir, il éjacule dans ma bouche, se cambre à chaque pulsion qu'il m'envoie en grognant, il attend que le dernier jet de semence vienne frapper le fond de ma gorge pour ressortir sa queue. J’ai bu pratiquement tout le sperme directement en gorge, seul un mince filet de foutre coule à la commissure de mes lèvres. Vicieusement, il le récupère sur son doigt qu’il me met dans la bouche, je passe la langue sur mes lèvres et, après avoir dégluti une dernière fois. Je me retourne enfin et découvre le videur black qui se trouvait à l’entrée, il est encore plus énorme de ma position soumise, il me laisse reprendre mon souffle puis se met, doucement, à me besogner, à chaque poussée, une vague de plaisir semble rouler dans mon ventre, un bruit de clapotis faite de sperme et de mouille mélangé se fait entendre, je râle de plaisir, grogne, lui demande d’aller plus loin puis m’extasie en lui annonçant que je le sens contre mon utérus, je lui lance même de me baiser plus fort. L’orgasme me ravage, je me tort, mes mains se crispent sur le cuir… Je crie…Lui est toujours tendu, droit, la queue raide plantée en moi, presque immobile, satisfait de sa performance… Jean me regarde d’un regard jouissif. Je suis trempée, tellement ouverte, je ne suis plus moi-même, je suis un trou, je pourrais accepter une bite d’un cheval en moi s’il le désirait... je couine, et pour cause, il a commencé à bouger…de petits mouvements d’avant en arrière puis ils s’intensifient, gagnent en intensité et en amplitude. Désormais, il ressort jusqu’à la base du gland pour replonger en moi, je suis si ouverte, si dilatée...Il se met à pilonner de plus en plus fort, de plus en plus vite en me fessant les fesses de part et d'autre. Mes seins dansent en cadence et se frottent sur le cuir détrempé de nos liquides, la peau de mes fesses claquent contre lui quand il envahit brutalement mes chairs, je me sens presque soulevé de mon embrochement . Je passe des gémissements aux cris puis explose encore dans des râles rauques, les yeux révulsés, je jouis en giclant en criant un hoooooo oooooooouuuuiiii! Je lui réclame de se vider dans mon ventre fertile… que je veux son jus de noir… Lorsque je ressens une contraction sauvage, il jute en abondance alors que mon minou se contracte en saccade, un torrent de sperme jaillit et inonde mon vagin et vont rejoindre celui de Jean, son jus nappe délicieusement mes parois, mon ventre gonfle, le foutre déborde dans un pêt mouillé de nous, il coule jusqu'à la bas de mes genoux… Le noir de retire dans un bruit de bouchon de bouteille, il me fait tomber sur le coté, et pousse sa bite presque débandé dans ma bouche pour que je le lui nettoie... je le vois se branler.. il gicle... son jus arrose mon visage, mes cheveux avant de me fourrer son gland entre mes lèvres pour les dernière goutte que je sucote... je m'affale sur le cuir, exténuée... ruisselante de foutre.
Je suis exténuée… Je sais juste que l’on me rhabille, je suis portée dans une voiture, elle a une odeur singulière… Nous roulons… une main que je connais caresse ma chatte et joue avec le liquide visqueux qui sort sans discontinuer de moi, j'essaye de garder les cuisses jointes. Je suis posée sur notre lit, j'émerge un peu, mon homme et là, il me déshabille, il est nu, il dit qu’il m’aime… je lui demande pardon... sa queue est érigée, il me caresse, m’embrasse tendrement, je me sens collante, je lui dis que je l'aime... que je ne sais pas ce qu'il m'a pris... vouloir aller me laver, il refuse, il lêche mes lêvres salée, embrasse ma bouche, mon cou, tête mes seins, mon ventre, glisse sur mes cuisses, j’écarte mes cuisses devant son visage, il penetre ses doigts pour me les denner à sucer, sa langue les remplace et s’insinue entre mes lèvres intimes, je gémi, je frotte mon sexe contre sa bouche en nettoyant sa main... les ondes de plaisir me traversent le corps…. C’est délicieux… il se relève entre mes cuisses, prend sa queue en main et se masturbe en frottant son gland sur ma vulve, il relève la tête, ouvre la bouche, les jets inondes mon sexe, il se vide… Il se baisse une nouvelle fois sur ma chatte, et se met à laper son propre sperme, puis vient rapidement le partager avec moi en posant sa bouche sur la mienne, nos langues sont rapidement gluantes, nous nous embrassons, amoureusement…