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[FICTION]

Pour ses 25 ans, j’ai décidé d’offrir à Marie, ma conjointe, un séjour en cabane dans une des magnifiques forêts des Alpes du Sud. C’est une région que nous ne connaissons pas et le climat y est un peu plus tempéré que chez nous. Nous avions déjà fait ce type de séjour dans les Cévennes et l’ambiance y avait été plus que torrides. J’avais donc pensé que c’était une bonne idée pour passer un bon week-end.

Afin de m’assurer que ce moment serait particulier pour elle, j’avais pris la peine de contacter le propriétaire des lieux. Après quelques tentatives infructueuses, je réussi enfin à avoir un homme au téléphone. Il avait une fois grave, un peu cassée mais agréable et posée. Il semblait quelque peu distant et occupé mais accepta de répondre à mes diverses demandes très gentiment.

Après avoir annoncé la surprise à Marie, qui fut plus que ravit, nous décidons de préparer nos affaires pour partir tôt le lendemain. Pour ne pas emporter trop d’affaires, nous partageons un sac et je vois que son contenu est plus que affriolant, notamment un body que je lui avais acheté quelques semaines plus tôt.

Au réveil nous prirent donc la route et après quelques heures de voiture, nous arrivâmes à l’orée d’une majestueuse forêt de grands arbres, cachant les montagnes aux sommets encore enneigés. Le cadre était tout à fait magnifique. Nous étions en juillet et le climat était agréable malgré une chaleur omniprésente. Après s’être garés dans un parking “sauvage”, comme indiqué un peu maladroitement par l’annonce, nous sortons de la voiture, attrapons nos sacs à dos et empruntons un petit chemin qui, selon les pancartes, devait nous mener aux fameuses cabanes.

Après quelques minutes de marche au cœur de cette majestueuse forêt, nous sommes surpris par un cri rauque venant au loin. Nous nous arrêtons et regardons autour de nous. Marie remarqua un peu plus loin un homme, affairé à réparer une vieille clôture en bois. Il leva la main et nous lança

“Bonjour! Vous êtes Rémi et Marie ?”

Je lui répondit en criant à mon tour “Oui tout à fait”

Il nous fit un signe de la main pour nous inviter à le rejoindre. C’était un homme manifestement dans la trentaine, rustique, brun aux yeux verts avec un regard perçant et aux traits plutôt marqués. Il arborait une mâchoire carré et une barbe de trois jours, ce qui lui donnait un charme particulier. Ses mains étaient marquées par le travail auquel il devait s’atteler quotidiennement. Il était vêtu de bottes montantes, d’un pantalon de travail et d’une chemise à demi ouverte, qui collait à son torse à cause de la transpiration. Il semblait avoir des pectoraux taillés et musclés, surmontée d’une toison plutôt fournie. Je surpris Marie à regarder avec un peu trop d’intérêt ses attributs.


Saul : “Bonjour, je suis Saul, le propriétaire. Bienvenue au Domaine Perchée”.

Il me serra la main avec vigueur et s’approcha d’Marie pour lui faire une bise, tout en posant sa main sur son épaule. Tactile le garçon.

Il nous proposa ensuite de faire le tour du propriétaire. Nous acceptons avec plaisir et il nous fit visiter sa forêt, acquise il y a 5 années et sur laquelle il avait construit 4 cabanes nichées dans les arbres, mais éloignées les unes des autres de plusieurs centaines de mètres. Durant la visite, il ne parlait pas trop, répondant assez succinctement à nos questions. Assez froid, nous en avons conclu que nous l’avions surtout dérangé pendant son activité et qu’il voulait sûrement rapidement finir sa présentation des lieux pour retourner à ses labeurs.

Pour lancer un peu la conversation, Marie se rapprocha de Saul qui ouvrait la voie à pas marqué et lui lança :

Marie : “Vous avez un joli prénom, mais je suis curieuse, c’est de quelle origine ?”

Saul : “C’est argentin. Je suis née là-bas, en Patagonie et j'ai grandi dans la ferme de mes parents. J’ai perdu mes parents très jeune et j'ai dû m’occuper du business familial avec mon grand frère. C’est pour ça que j’aime autant la nature.”

Marie: "Ça doit être un endroit magnifique ! Et pourquoi êtes-vous venu en France ?”

Saul : “J’ai perdu un proche suite à une longue maladie. J’ai donc décidé de faire des études de microbiologie dans ce domaine. Du coup j’ai beaucoup voyagé dans le monde, Rome, Sydney, Vancouver avant de faire ma thèse à Paris. Mais après quelques années, la vie citadine ne me convenait plus. J’ai donc décidé de venir m’installer ici. Je fais des recherches à l’Université de Aix en Provence à mi temps, et m’occupe du domaine le reste du temps. Voilà, on est arrivé à votre cabane.”

Nous étions en effet au pied d’un grand chêne d’une trentaine de mètres au sein duquel une cabane avait été construite. Nous montâmes les escaliers pour arriver sur la plateforme principale, où se trouvait la chambre principale, un jacuzzi, une table et des transats pour se détendre.

Après nous avoir présenté les différentes infrastructures et fait un rapide tour du propriétaire, il se retira rapidement en nous lançant :

Saul : “Si vous avez besoin de moi, je suis dans le coin, je dois couper des ronces et refaire le toit d’une autre cabane. Installez vous bien”.

Nous prirent rapidement nos marques, profitant d’une vue magnifique sur la forêt. Le lieu était à tomber, perdu dans la nature et hors du temps à plus de 10 mètres du sol. Marie était au paradis et avait déjà enfilé son maillot de bain pour profiter de cette belle journée.

Il était nouveau et je ne l'avais jamais vu. D’un rouge affirmé, le tissu était plutôt fin et offrait un effet push up qui mettait en avant ses seins. Le bas était tout aussi sexy, affichant une sacrée échancrure, lacérée de plusieurs ficelles, laissant apparaître ses magnifiques fesses. Elle devait avoir des idées derrière la tête pour mettre un tel maillot. Pour être honnête, j’en avais aussi et chaque recoin de cette cabane me donnait envie de la prendre sauvagement.

Le soleil se couchant, je propose à Marie, qui avait passé la majeure partie de la journée à bronzer au soleil de profiter du jacuzzi. Elle accepte avec plaisir et alors qu’elle glisse à l’intérieur, j’en profite pour chercher la bouteille de champagne et l’apéro que Saul nous avait préparé à ma demande.

La température monta rapidement après quelques verres et je pouvais voir dans son regard le désir qu’elle me portait. L’endroit l’inspirait et je la sentais particulièrement émoustillée. Elle se rapprocha de moi, passa ses bras autour de mon cou et m’embrassa. Ses jambes m’entourèrent et elle vint se plaquer contre moi. Je senti mon sexe immédiatement se durcir. Elle le sentit aussi car elle descendit sa main sur mon maillot pour le caresser lentement. Je m’enhardi à mon tour et mes mains attrapèrent ses seins que je malaxa fermement. Elle passa sa main sous mon maillot pour attraper ma queue qu’elle serra fort entre ses doigts. La tirant fermement vers elle, elle me lanca un regard malicieux et me dit

Marie “Ce soir j’ai envie de te faire l’amour, de te baiser, que tu te laisses faire”.

Ces mots me firent presque éjaculer tant ils étaient excitants. Entreprenante, elle sortie ma queue, écarta son maillot et vint poser sa vulve contre mon sexe. Elle bougeait ses hanches avec intensité et je pouvais sentir son clitoris, déjà dur, frotter contre ma verge. Je ne l’avais jamais vue si entreprenante.

Je remarqua qu’elle s'était complètement épilée le maillot vu la douceur de sa vulve. Cela confirmait donc mon hypothèse. Alors que je pris ma bite pour la diriger vers l’entrée de son vagin et lancer les hostilités, elle m’arrêta, se retira et me dit.

Marie : “J’ai encore un peu soif...il ne reste pas un peu de champagne ?”

Sur le cul mais terriblement excité, j'ai pris mon téléphone pour appeler Saul. Il me dit qu’il lui restait quelques bouteilles à la cave. Je me proposa alors d’aller en récupérer mais Marie avait déjà sauté du bain et enfilé une serviette autour de ses épaules.

Marie “J’y vais, profites en pour te calmer” me lança t’elle en riant.

Elle fila aussi rapidement, vêtue uniquement de son maillot et d’une serviette. Cela m’énervait quelque peu qu’elle ne se soit pas habillée “correctement” mais j’étais excité à l’idée de l’imaginer débarquer devant Saul comme ça. Mauvaise technique pour calmer mon érection.

Arrivée devant la maison de Saul, Marie toqua à la porte et Saul lui ouvrit avec surprise. Il s’attendait à me voir et n’avait donc pas fait trop attention à sa tenue, enfin sa demi-tenue. Il était simplement vêtue d’un short plutôt moulant, de baskets de sport et d’une paire de lunettes arrondie, mettant en lumière ses yeux verts perçant. Ses cheveux étaient tout ébouriffés et des gouttes de sueur ruisselaient sur ses pectoraux et le long de son torse. Il était entièrement torse nue et se trouvait alors à moins d’un mètre d’Marie, elle aussi déjà presque nue. Cocasse.

Saul : "Excusez-moi, je reviens tout juste de mon jogging, ne bougez pas je vais mettre un t-shirt” dit il en regardant Marie de bas en haut, s’arrêtant sur sa magnifique poitrine raffermie par le froid.

Marie : “Ne vous excusez pas, vous ne pouviez pas savoir... mais rassurez vous... vous n’avez rien à cacher… je viens juste chercher une bouteille de gin si vous avez ça”. Ses yeux fixaient le torse épais et fumant de Saul, au-dessus duquel s'échappait de la buée, donnant à la scène un caractère érotique évident.

Gêné, il lui lança un petit sourire et l’invita à rentrer pour se réchauffer et pour choisir la bouteille qui lui faisait plaisir. Sa maison était simple et sobre. De nombreuses photos de voyages habillaient les murs, et quelques objets d’art remplissaient les pièces, agencées avec goût et minimalisme. Il devait avoir voyagé dans le monde pour disposer d’autant de souvenirs.

Il demanda à Marie de l’attendre dans le salon pendant qu’il allait se changer. Il passa derrière une verrière fumée qui laissait passer suffisamment de lumière pour imaginer ce qu'il se passait derrière, sans parvenir à voir précisément. La lumière de sa chambre s’alluma et elle le vit se déshabiller. Elle l’imaginait se passer une serviette sur son corps trapu pour se sécher, puis dégrafer et baisser lentement son short et son caleçon laissant apparaître des cuisses musclés et un membre chaud et humide aux effluves virils. Elle l’aurait bien aidé à se déshabiller. Cette vision lui provoqua une montée de chaleur qui fit trémousser son intimité. Elle se sentait aussi honteuse qu’excitée par la situation. Il enfila un t-shirt, un jean et ressorti en lançant un regard appuyé vers Marie, presque inquisiteur.

Il l’invita dans une pièce qui servait aussi bien de cagibi que de cave et chercha les bouteilles de Gin parmi les nombreuses bouteilles, rangées à la volée. Pour les atteindre, il dû se baisser, laissant à ma compagne une vue parfaite sur ses fesses bombées et désormais cambrées qui remplissait alors parfaitement tout son jean. Saul avait des jambes musclées et elle ne put s'empêcher de penser à la puissance de ses coups de reins. Une fois debout, il tendit deux bouteilles à Marie et remarqua rapidement que ses tétons pointaient à travers le fin tissu de son maillot de bain. Elle le remarqua aussi et prit rapidement les bouteilles dans ses mains pour changer de sujet et vite repartir, honteuse de cette situation qui l’avait bien trop excitée.

Cependant, cela ne sembla pas l'étonner et, sans dire un mot, il posa une main sur le sein de ma compagne et roula son pouce autour de son téton durci, en la regardant dans les yeux, sans rien dire. Elle ne put rétorquer, la surprise étant telle et ses mains étant occupées par les deux bouteilles.

Saul : “Il fait froid dehors apparemment. Il ne faudrait pas attrapper fois. Prenez un de mes pulls et filez, je m’occupe de noter les bouteilles sur votre compte.”

Il lui tendit un pull et l’accompagna sans dire un mot, dans une ambiance où une tension sexuelle évidente remplissait la pièce. Passant derrière elle, il ne manqua pas de mater ses formes alors qu’elle s’éloignait. Sur le chemin du retour, Marie repensait à cette scène, bizarre mais si excitante, alors que l’odeur du corps de Saul, emprisonnée dans les mailles de son pull envahissait son esprit. Qu’aurait-il pu se passer dans cette pièce si elle lui avait répondu ?

Arrivée à la cabane, elle me trouva allongé sur le lit, profitant d’un moment de repos. Je lui demanda si tout s’était bien passé. Elle me fit signe que oui sans trop s’épancher et en détournant le regard. Je me demandais bien ce qu’il s’était passé pour qu’elle soit si discrète, alors qu’elle était partie en trombe quelques minutes plus tôt. Elle posa rapidement les bouteilles sur la table pour me rejoindre dans le lit, baissa mon maillot et prit ma queue pendante dans sa bouche.

Quelle salope. Que s’était-il passé pour qu’elle soit si excitée ? Elle avait fait glisser mon gland dans sa bouche chaude et avalait ma queue jusqu’à la garde avec gourmandise. Dans de longs vas-et-viens, elle me suçait avec vigueur, émettant des longs gémissements d’envie de et plaisir. Je sentais ses mains malaxer mes couilles fermement, comme pour en extraire le jus. Sa langue s’égara de plus en plus. Elle passa sur ma hampe, mes testicules puis descendit petit à petit le long de ma raie que j’avais pris le soin d’épiler quelques semaines plus tôt. Soumis à son excitation, je me laissais faire et alors qu’elle m’écartait un peu plus les jambes, je sentit un doigt s’insérer en moi, m’arrachant un cri de surprise et me soumettant, devenant pour une fois le “pénétré”. Je sentais dans son regard de plaisir de me dominer et de me procurer un plaisir nouveau, en me mettant dans une position peu conventionnelle.

Elle avait le contrôle de mon corps et de mon esprit et elle le savait. Si bien que je commençais à prendre goût à ses assauts, qui caressait ma prostate en même temps que sa bouche s'affairait autour de mon gland turgescent. Je sentais mon corps se contracter de plus en plus et, alors qu’elle prenait une nouvelle fois mes couilles en bouche, j’explosais dans de longues contractions. Mon sperme chaud vint se poser sur ses lèvres, ses seins et son ventre. Elle se retira de mon intimité et vint me lécher en me regardant avec envie.

Marie “Humm tu es excitant… Et ce n’est que le début de la soirée…” me lança-t-elle en léchant les dernières gouttes de semence qui perlaient de mon gland.

Nous sommes restés quelques dizaines de minutes dans le lit à se câliner avant de décider de manger un bout sur la terrasse afin de profiter du cadre et notamment du ciel étoilé. A la fin du repas, nous fûmes surpris par Saul qui débarqua avec des bouteilles de tonic et une planche de tapas. Je voyais que ces yeux fixaient Marie, différemment, elle qui peinait à cacher la réciproque. Il devait repenser lui aussi à leur rencontre quelques heures auparavant.

Saul : “Vous avez oublié le soft tout à l’heure, surement la tête ailleurs… je me suis permis de vous apporter une petite planche en guise de cadeau de bienvenue. Passez une bonne soirée!”. Il posa la planche sur la table, et rapidement fit demi-tour, toujours avec nonchalance.

Depuis notre arrivée quelques heures plutôt, Saul n'a jamais été vraiment prévenant et le voir débarquer ici me faisait penser qu’il attendait un peu plus de cette interaction, voir de cette soirée. Tout cela me fit réfléchir à ce qu’il avait bien pu se passer entre Marie et Saul et, curieux de creuser, je lui lança :

Rémi : “Saul ! Merci beaucoup pour cette attention. Restez avec nous pour boire un verre et profitez de l’ambiance, nous avons bien trop d’alcool pour 2”.

Je regarda Marie pour voir sa réaction immédiate et elle sourit tout en se mordant légèrement et inconsciemment les lèvres. J’avais bien compris qu’une petite flamme s’était allumée entre les deux et j’avais envie de participer à ce jeu de séduction, de les guider l’un vers l’autre.

Je m’écarta d’Marie pour laisser à Saul la place entre nous deux, sachant pertinemment qu’il serait plus facile pour eux de se rapprocher dans cette configuration. Marie le remarqua et je pense qu’elle comprit ce que je tramais.

Elle lui servit un verre et nous discutâmes pendant une bonne heure, notamment de ses voyages. Il ne s’épenchait pas trop sur sa vie ou ses passions, préférant regarder plus ou moins discrètement le corps de ma compagne.

Ce fut elle qui fit le premier pas en posant son pied nue contre sa jambe. Elle remarqua que j’avais vu son petit jeu mais elle ne voulait pas que j’intervienne, dans un sens ou dans l’autre, pour laisser Saul croire que je ne savais rien de la situation et laisser l’interdit agir. Un peu gêné par la situation, il ne fit pourtant rien pour s’en défaire. Le temps de quelques verres, ce petit jeu continua et Marie était désormais bien plus tactile avec Saul, sa main étant discrètement posée sur sa cuisse musclée, ses doigts passant légèrement sous son short pour caresser l’intérieur de celle-ci.

L'alcool avait considérablement fait son œuvre et Saul s’était lui aussi détendu. Il ne semblait plus gêné par les attouchements coquins de madame. J’appréciais le spéctable sachant assez bien où et comment cela se terminerait. Pour pimenter cela un peu plus je leur proposa de faire un tour dans le jacuzzi, ce à quoi Marie acquiesça rapidement

Marie : “Bonne idée mon amour, on a bien besoin de se réchauffer, il commence à faire froid”

Saul : “Je n’ai pas de maillot, je peux faire un aller retour à la maison et vous rejoindre”.

Rémi : “Fait comme chez toi, vas-y en caleçon à la cool, le propriétaire des lieux est plutôt sympa à ce qu’on raconte. Je reviens je file enfiler mon maillot”

Je n’avais pas tellement envie d’y aller mais je fit comprendre à Marie que si elle voulait un peu faire monter la pression dans mon dos, c’était le bon moment.

Seule sur la terrasse, alors que Saul enlevait son t-shirt et son short, laissant apparaître un caleçon bien rempli, Marie se rapprocha de lui et posa sa main sur sa bosse, attrapant à la fois sa queue et ses couilles. A son tour, elle roula son pouce autours de son gland qui déformait déjà son caleçon et lui susurra à l’oreille :

Marie : “Tu n'as pas l’air d’avoir si froid que ça toi par contre…”.

Elle retira sa main, enleva à son tour ses vêtements, de manière sensuelle, et glissa dans le jacuzzi. Je revins au bon moment, sachant très bien ce qui venait de se passer, et le jeu qui se mettait en place entre nous et lui. Je regarda son caleçon avec insistance pour qu’il comprenne que j’avais remarqué son état.

Rémi : “Que ce passe t’il par ici ? C’est ma copine qui te rend comme ça ?” lui lançais-je avec un air taquin, pour prendre la température.

Il sourit maladroitement, remit avec difficulté sa queue en place dans son caleçon désormais trop étroit et s'empressa de se rentrer dans le jacuzzi, ne sachant plus trop où se mettre, alors qu’Marie le matait avec insistance. J’avais mis en place le jeu, je pouvais maintenant le regarder évoluer. Je mis en route le bain à remous pour troubler l’eau et laisser place à l’imagination de chacun et lança une playlist sur la sonorisation intégrée de la cabane.

Marie se lèva alors pour nous servir des verres, plaçant ses fesses à quelques centimètres du visage de Saul. Quelle torture pour lui. C’est un homme bien car, nombreux d’entre eux auraient déjà craqué. Je n’ose imaginer la pression et le désir qui l’habitent désormais. Si je n'était pas là, il l’aurait sûrement déjà retourné sur le bord du jacuzzi pour la saillir.

Alors qu’elle lui tournait le dos, je demanda à Marie de se caresser un peu, histoire de l’allumer, ce qu’elle s’empressa de faire. Ses mains parcoururent son corps, effleurèrent ses fesses, ses jambes, descendant parfois les ficelles de sa culotte. J’eu alors une érection de fou, et je pense que Saul aussi. Elle eut un petit rire taquin en nous servant le verre puis vint se rasseoir.

Sous les bulles qui masquaient les mouvements de chacun, ses mains se posèrent sur nos paquets respectifs qu’elle caressa lentement, presque avec tendresse. Je me demandais si j’étais le seul à profiter de cet acte, mais j’imaginais bien que non. Elle sentit alors nos regards de plus en plus appuyés. Une main s’était d’ailleurs égarée sur sa cuisse. C’était celle de Saul qui semblait désormais beaucoup moins farouche. Il me regarda cependant encore avec appréhension, ne sachant pas si je cautionnais cette situation ou pas.

Cela ne l'empêcha cependant pas de caresser l’intérieur de ses cuisses avant de passer sous sa culotte pour poser sa main sur sa vulve. Comme un peu plus tôt, il caressa son organe fertile avec beaucoup de délicatesse, ses doigts écartant lentement ses lèvres dans de lents mouvements, comme pour découvrir à l’aveugle la chatte de ma femme. Marie sentit son vagin se contracter de désir alors que ses mains avaient sorti nos engins de leurs fourreaux et les branlait avec plus de vigueur. Elle ouvrit plus largement les cuisses afin de lui faciliter l’accès à son intimité.

Elle se prenait à imaginer le plaisir que nos deux queues allaient lui apporter, et alors que Saul insérait un doigt dans son vagin, ses yeux se révulsèrent et, brisant le secret du jeu, elle gémit :

Marie : "Hummm c’est bon Saul ! Vous m’excitez tous les deux... j’ai envie de vous”

Surpris par sa déclaration plutôt cavalière, Saul retira ses mains, se pensant coupable découvert mais je repris sa main pour la reposer sur la chatte gonflée de ma compagne. Nous nous rapprochons d’elle, de part et d’autre et commençons à la caresser à l’unisson. Alors qu’elle m’embrassait, et que mes mains caressaient sa poitrine et ses mamelons, celles de Saul s'affairaient dans son intimité. Je dégrafa son soutien gorge, le retira et vint lécher ses mamelons tendus. L’augmentation des bruits et clapotis de l’eau indiquait que Saul était quant à lui en train de la doigter avec un peu plus d’intensité, lui arrachant de longs gémissements. Les bras d’Marie entouraient maintenant nos cous. Je tenais sa jambe droite ouverte alors que Saul appliquait le même traitement à sa jambe gauche. Elle nous embrassa à pleine bouche à tour de rôle, puis nous demanda de nous lever.

Marie “J’ai très envie de voir ce qu’il se cache sous l’eau… et d’y goûter…"

Nous nous exécutons sans rechigner et elle se retrouva face à nos deux queues dressées devant elle. Elle découvrait celle de Saul, circoncise et assez atypique car épaisse et décorée de veines gonflées sur toute la longueur de sa hampe. Son gland est lui aussi épais et marqué, cachant de belles testicules, déjà raffermie par l’excitation. Il bandait dur et sa queue était raide, dressée fièrement vers le ciel.

Comme pour me lancer une petite pique joueuse, sachant que j’aimais la voir s’occuper de beaux engins, et avec un air de domination certain, elle pris la queue de Saul dans les mains, la caressa délicatement de la garde jusqu’au bout du gland en le regardant dans les yeux, laissant transparaître son envie d’y goûter. Elle me regarde en commençant à le branler très lentement et me dit :

Marie “Tu as vu mon amour comme il a une belle queue épaisse ? Elle est déjà si dure. Tu as bien choisi notre hôte. J’ai très envie de le sentir en moi...pas toi ?”

Rémi “Si bien sûr ! Je sais que tu es… gourmande. Montre moi à quel point elle t’excite”

Elle posa alors sa bouche sur sa queue, ferma les yeux et la laissa lentement glisser en elle, arrachant à son tour un gémissement à Saul qui leva les yeux au ciel de plaisir. Il avait dû attendre ce moment toute la soirée. Privilège de l’invité, Saul recevait avec luxure sa fellation alors que moi je profitais de la vue et de la branlette que Marie m’offrait en même temps. Je voyais ses lèvres entourer son gland et avaler son membre avec envie. Elle s’affairait à lecher les gouttes d’excitation qui coulaient abondamment du bout de sa queue.

Elle alterna par la suite entre nos deux sexes, gouttant avec entrain ces deux friandises à sa disposition, passant sa bouche entre l’une et l’autre avant de prendre les deux en bouche, nous suçant pendant de longues minutes. Nos mains la caressaient tendrement de part et d’autre, amplifiant notre désir commun de conquête de son corp et de son intimité, surement brûlante de désir.

Saul : “Sort du jacuzzi Marie”

Surprise par la demande soudaine et plutôt autoritaire de sa part, elle se leva et sortit du jacuzzi. Je regarda son magnifique corps ruisselant sortir de l’eau, la lumière des lampes éclairant subtilement ses courbes. Elle fut rapidement suivie par Saul, dont le dard fièrement dressé trahissait l’excitation, qui la souleva littéralement par la taille pour la poser sur la table un peu plus loin, renversant la moitié de notre repas. Il l’embrassa très sensuellement avant de descendre le long de son corps pour se mettre à genou et d’écarter ses cuisses. Elle me regardait, et que je n’avais pas encore bougé du jacuzzi, Saul posa sa langue sur son clitoris ferme et gonflée. Il passa sa langue sur toute sa vulve, le long de ses lèvres jusqu’à l’entrée de son vagin, s’insérant un peu plus à chaque passage en elle.

Saul : “Tu m’excites trop Marie… j’adore ta chatte, bien épilée et déjà trempée. Tu es aussi bien excitée à ce que je vois... Tu me donnes envie de te prendre sauvagement et de te faire hurler de plaisir”.

Excitée par ces mots, Marie cambra un peu plus ses hanches pour lui offrir sa fleur. Il lui mangeait littéralement la chatte et cela lui plaisait. Elle lui faisait savoir en lui caressant les cheveux et en lui appuyant sur la tête, comme pour l’encourager à enfoncer sa langue dans son orifice. Alors qu’il continuait de la lécher avec envie, il lui enfonça un puis deux puis trois doigts dans son antre afin de la préparer à son passage. Les phalanges pliées, il carressa le point G de Marie avec fermeté, cette dernière s'agrippant aux coins de la table et refermant ses jambes autour de son cou.

Je sorti du jacuzzi pour les rejoindre et je me plaça sur le côté de la table afin d’avoir accès à sa bouche, ouverte et gémissante de luxure. Elle pris les devant en attrapant mon sexe avec sa bouche.

Rémi : “Gourmande, tu vas prendre ton pied avec nos deux queues rien que pour toi, regardes comme tu nous rend fou”

Excité par la situation, je commença à lui baiser la bouche en tenant son visage, enfonçant à chaque fois ma queue un peu plus loin dans sa gorge, lui provoquant quelque haut le cœur. Sentant ma queue durcir et son orgasme arriver sous les coups de langue de Saul, elle me lança

MarieDonne moi ton sperme mon amour, je veux qu’on jouisse ensemble”. Sur ces mots, Saul accéléra encore la cadence et tout le corps de Marie se contracta violemment. Ses seins se dressèrent, elle se cambra, serrant ma queue dans sa bouche et explosa dans un orgasme bruyant. Une nouvelle fois, je lui remplissais la bouche de ma semence, qu’elle avala avec difficulté.

Sans lui laisser le temps de se remettre, Saul s’était relevé et présentait désormais son membre dure devant l’entrée de son vagin, ouvert et prêt à recevoir cet étranger. Il lui demanda de cracher sur son gland, puis il étala sa salive sur l’intégralité de sa verge. Il s’approcha un peu plus de sa vulve et frotta son gland contre elle. Elle n'attendait qu’une chose, que son engin la pénètre enfin, après tant de convoitises.

Marie : “Prends moi ! J’ai envie de te sentir en moi, de sentir ta virilité m’envahir et m’écarter”

Il ne se fit pas prier plus longtemps et la pénétra dans un long et puissant coup de rein, s’enfonçant profondément en elle. Sans laisser le temps à son vagin de s’adapter à son calibre, il commença à la baiser avec intensité. Alors qu’il la dilatait en rythme, les cris de Marie se faisaient de plus en plus fort dans la forêt. La voir ainsi me redonna une gaule d’enfer mais je souhaitais la regarder prendre son pied. Ses jambes ouvertes se tendaient en l’air, secouées par les coups de butoirs de son amant et ses doigts de pieds se crispaient alors qu’elle me regardait avec désir, sentant un nouvel orgasme arriver.

Marie : “Je vais jouir, c’est si bon. Baise moi plus fort !”

Les couilles de Saul claquaient contre ses fesses et les pieds de la table commençaient à grincer dangereusement. Elle le regardait avec passion, ses mains étaient fermement agrippées à son dos. Alors qu’il pilonnait Marie avec intensité, il accéléra le rythme et l’agrippa par le coup pour se rapprocher de son visage. Alors que sa respiration s'accélérait, Marie prit sa queue en main pour le branler en elle, et dans un long râle, il explosa dans son vagin. Je voyais ses couilles se contracter au rythme de ses jets. Il continua à faire de long va et viens en elle, puis se retira lentement laissant son vagin dilaté, duquel coulait un flot de sperme chaud.

Je me leva pour prendre sa place et participer moi aussi à ce moment mais Marie me repoussa et me demanda de m’allonger sur le transat. Je m'exécuta et alors qu’elle faisait le tour, Saul pris ma place sur la chaise pour reprendre ses esprits et profiter du spectacle. Elle m’enjamba et vint poser sa chatte souillée et ouverte sur ma bouche. Dans un moment de domination totale, elle me lança

Marie : “Lèche moi mon amour, regarde comment Saul m’a bien baisé. Tu aimes quand je prends mon pied avec un autre hin ?”.

Elle prit du plaisir à aller et venir sur ma bouche, tout en jouant du regard avec Saul. J’agrippa ses fesses et inséra ma langue dans sa vulve. Je sentais couler sa mouille, mélangée avec la semence de notre amant dans ma bouche. Soumis à son plaisir, je la voyais se caresser la poitrine et malaxer ses tétons. Saul quant à lui se masturbait et son engin avait déjà repris de sa superbe.

Je remarqua cela et décida de passer à la vitesse supérieure. Je pris alors la mouille d’Marie pour humidifier sa rondelle, qui se contractait déjà sous mes doigts. Sans geste de refus de sa part, je compris qu’elle en avait aussi envie. J’inséra alors mon doigt dans son cul chaud et entrepris de la préparer à nos futures assauts. Cela lui plaisait car sa mouille coulait abondamment dans ma bouche. Elle était extrêmement excitée, si bien que je proposa à Saul de passer derrière elle.

Toujours assise sur mon visage, ma langue parcourant son vagin, je sentis la chaleur de l’engin de Saul s’approcher de sa rondelle. Sous la pression de ce membre imposant, elle céda rapidement et il la sodomisa, s’enfonçant encore une fois jusqu’à la garde. De mon côté, je la doigtais et la léchais avec intensité. J’avais une vue privilégié, pouvant admirer à quelques centimètres de mon visage, l’oeillet de ma femme céder sous les assauts répétés de Saul. Je sentais des gouttes de mouille gicler sur mon visage à chaque pénétration de son amant, ses lourdes testicules frappant la vulve trempée de madame..

Marie se retira soudainement. Elle demanda à Saul de s’allonger à ma place, ce qu’il fit. Elle l’enjamba à son tour mais pour cette fois-ci s’empaler sur son épais membre, qui disparu facilement en elle. Une fois à fond, elle se s’allongea sur lui, corps contre corps, se cambra, laissant apparaître sa fente, virilement occupée par la queue de Saul et son œillet désormais ouvert. Elle me lança alors :

Marie : “Qu’est ce que tu attends ?”

Je m’empressa de répondre à sa demande et vint placer mon gland à l’entrée de son cul. Saul avait déjà repris son pilonnage intensif et Marie, au bord de la transe, était occupée à l’embrasser goulument. Je plaça mon gland sur sa rondelle et m’enfonça vigoureusement dans son anus déjà bien ouvert. Je sentais le gland de Saul frotté contre les parois de son vagin, ce qui lui provoquait de profonds gémissements, presque animaux. Elle était désormais bien remplie et sentait deux queues bien dure prendre du plaisir à la baiser. Son corps était l’objet et le centre de notre plaisir.

Rémi “T’aimes ça mon amour ? Tu aimes te faire baiser par deux mecs ?”

Marie “Huuum oui j’aime ça. Je sens bien vos queues en moi...j’ai encore envie de jouir !”

J'attrapai ses cheveux et lui tira sèchement en arrière pour lui relever la tête tout en lui assénant de puissante fessées. Le résultat ne se fit pas attendre et elle eut un puissant orgasme, enserrant nos organes en elle.

Après lui avoir laissé reprendre ses esprit, son amant lui lança :

Saul : “Retournes toi, j’ai envie de te prendre le cul”

Lui était toujours allongé sur le dos. Elle se plaça dos contre son torse, écarta les jambes et je dû prendre la queue de Saul pour la guider vers son cul. Une fois à l’apogée, elle se laissa s’empaler et son membre disparu en elle. Elle me regarda avec passion et débauche, m’invitant à lui prendre la chatte à mon tour. Je lui écarta un peu plus les jambes et enfonça ma queue en elle. Je la pris par le coup afin de me permettre de la pénétrer avec vigueur. J’avais une magnifique vue sur elle, ses seins balançant au rythme intensif de nos coups de boutoirs. Elle avait la bouche ouverte et fronçais les yeux de plaisir. Lorsque que nous la pénétrions plus profondément, elle serrait les dents pour contrôler ses cris.

Saul se retira et vient se placer devant elle alors qu’il me laissait l’accès aux trous ouverts de ma chérie. Elle me présentait deux orifices rougit et et dilatés ce qui était très excitant à voir.

Rémi “Met toi à 4 pattes, je veux te voir bouger sur ma queue”

Je lui écarta les cuisses et la pénétra une nouvelle fois alors que Saul lui présentait sa queue luisante. Elle allait et venait entre nos deux engins. Je la voyais passer sa langue sur son gland, puis avaler ses couilles avec gourmandise. Nous baisions ainsi, échangeant les rôles et les positions pendant de longues minutes. Alors que nous arrivions à l’extase, elle nous dit :

Marie : “J’aimerai que vous jouissiez dans ma bouche”

Elle se mit à genoux et nous nous plaçâmes devant elle. Elle nous suça en nous regardant avec envie, quémandant presque notre semence. Elle nous fit jouirent l’un après l’autre. Saul se mit à soupirer de plus en plus fort. Marie ouvrit la bouche et tira la langue tout en le branlant, de plus en plus rapidement. Il déversa une deuxième vague d’un sperme épais dans sa bouche, qui me fit jouir à mon tour, sur sa langue et ses seins. Elle nettoya nos queues avec gourmandise puis se releva pour nous embrasser tous les deux.

Nous nous rhabillâmes et Saul, redevenu plus distant, s’éclipsa discrètement. Après avoir profité du jacuzzi, où nous remirent le couvert et d’une bonne douche, nous décidons d’aller nous reposer pour profiter de la journée de demain. Au réveil, j’ouvre les yeux mais ne trouve qu’un sms sur mon portable :

“Bon réveil mon amour, je vais chercher le petit déjeuner chez Saul, je reviens dans 5 minutes”. Le message date de 8h30. Je regarde ma montre, il est 10h30... je pense que madame va avoir des choses à me raconter à son retour.
vox, TiTietGrosMinet, claire95 et 11 autres a liké

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