Chapitre 3, quelques déceptions avant le grand saut . . .
Notre premier contact, Benjamin, se montrant inconstant et particulièrement difficile à suivre, Mrs Smooth s'est peu à peu détachée de lui et de ses messages. De plus, nous étions harcelés de contacts et avions pris goût à répondre aux gens ensemble ou presque. Il lui arrivait parfois de se connecter seule depuis son travail. Je rattrapais les conversation le lendemain, avec le sourire. Parmi ces conversations, il y avait des mufles inintéressants, vulgaires, empressés, sans aucune subtilité ni séduction, parfois même grossiers.Il y en avait des gentils mais pas à notre goût. Il y avait aussi des profils gentils, mais sans conversation, sans étincelle donc ils ne stimulaient pas l'intérêt de Mrs Smooth. Enfin, il y avait quelques profils avec de la conversation et des photo charmantes qui changeaient des gros plans phalliques excessivement répandus sur ce genre de sites. Parmi eux, 3 profils se détachèrent et nous invitèrent à prendre un verre.
Le premier n'avait pas tout à fait 30 ans. Vraiment beau gosse sur ses photos, mannequin, il ne semblait pas empressé. Il était de St Raphaël et nous invita un soir dans un bar à cocktails de cette charmante petite ville côtière. Cela faisait un peu de route mais l'idée de découvrir un nouvel endroit nous plaisait. Nous y allâmes donc, pour un verre, comme convenu et effectivement il n'y eu rien de plus. Il était mieux en photo et surtout, sa conversation ne tournait quasiment qu'autour du milieu libertin, milieu que justement nous cherchions à fuir. Il nous racontait des anecdotes vécues aux Etats-Unis, des soirées « libertines », organisées dans des gymnases, bref, de quoi anéantir toutes nos envies. Bien que sympathique, nous l'avons remercié sans donner de suite. Puis, toujours via ce site, nous fûmes invités à Nice cette fois, au tout début du mois de mars, au bar de l'Hôtel Méridien sur la Promenade des Anglais. Ceux qui connaissent savent donc qu'il y a là un superbe bar en rooftop avec une vue mer imprenable. C'est là que nous étions invités. Ceux qui connaissent VRAIMENT savent que ce bar est . . . fermé hors saison d'été ! ! Chose que bien sûr, nous ignorions, tous comme notre contact nommé Brice. Alors que nous venions de nous garer, il nous explique la situation et nous dit qu'il nous attend au bar du premier étage. Qu'à cela ne tienne, nous nous y rendons pour nous retrouver dans un espace qui semblait vide tellement il était grand, sans aucun client, pas de musique, une solitude de terminal d'aéroport à l'heure la plus calme de la nuit. Au milieu de cet espace sans vie nous attendait Brice. Pour le coup,il ressemblait à ses photos, châtain, les cheveux courts, en désordre, le yeux clairs, des traits plutôt séduisants mais, détail qui nous avait échappé, il devait mesurer moins d'1,70m. Ce n'est pas forcément une fatalité, mais Mrs Smooth faisant elle-même 1,63m auxquels on ajoute 12 cm de talons et un port altier digne d'une danseuse de ballet russe (qui a toujours eu beaucoup d'effet sur moi) le contraste était frappant. Néanmoins, ils avaient bien discuté durant de longues semaines ce qui semblait annonciateur d'un échange stimulant. Ce qui ne fut pas du tout le cas . . . Une fois installés à une table ressemblant à s'y méprendre à celle d'un McDonald's, nous commandons nos boissons et nous entamons la conversation. Ou plutôt le « meublage ». Nous étions seuls, Mrs Smooth et moi-même, à parler. Notre « interlocuteur » se contentait de réponses brèves et sporadiques, riant ou souriant à nos plaisanteries mais sans jamais reprendre la main. A un moment, je me souviens m'être demandé s'il n'était pas en train de se faire c**** avec nous . . . Misant sur la timidité, nous avons décidé de reprendre un verre en espérant qu'il se déride . . . et nous avons reperdu une heure ! ! En tout nous avons passé un peu plus de 2h en sa compagnie, sans qu'il ne dise presque rien. Impossible de savoir si Mrs Smooth lui plaisait, pas un compliment, pas un regard, pas un geste, rien. Même lorsque, prétextant le besoin de me rendre aux toilettes, je me suis absenté pour les laisser seuls (espérant que mon absence le « libèrerait »), rien. Bien évidemment nous n'avons pas donné suite. Le plus amusant, c'est que sur le chemin du retour, nous avons reçu un message très gentil disant qu'il nous avait beaucoup apprécié, qu'il avait passé une excellente soirée et qu'il serait ravi d'aller plus loin ! ! Etonnant vu qu'il n'avait rien fait pour le montrer . . . Grosse déception, qui d'ailleurs s'est enchaînée par une autre : un autre contact de ce site, très sympa avec une excellente conversation nous invite à son tour à faire connaissance autour d'un verre dans un cadre très sympa (le Roof, le bar du Five Seas à Cannes). Une fois sur place, il s'e révèle effectivement sympathique, assez spirituel, voir même subtilement séducteur mais . . . Mrs bloque sur sa calvitie qui n'apparaissait pas sur ses photos ! ! Elle bloque vraiment sur les chauves ou crânes rasés. Les goûts et les couleurs ça ne s'explique pas ! !
Après ces trois échecs coup sur coup, nous commencions à penser que nous avions eu de la chance de tomber sur Benjamin la première fois. En effet, hormis son inconstance par la suite, le premier rendez-vous avait été délicieux. Il s'était montré charmeur, plaisant tant dans ses mots que dans son attitude (regards, sourires, etc) et nous nous demandions alors, suite à ces déceptions, s'il ne faisait pas figure d'exception. Malgré tout, il y a comme une forme d'addiction à discuter sur ce genre de site. On se laisse flatter, on aime plaire même si, au fil du temps, nous avons réalisé qu'énormément d'hommes sont prêts à tout dire, tout ce qu'un couple ou une femme souhaitent entendre pourvu qu'ils arrivent à leurs fins. Néanmoins, un profil sortait du lot. Cela faisait 2 mois qu'il discutait virtuellement avec Mrs Smooth et leurs échanges était fréquents et très agréables. A nouveau, nous prîmes rendez-vous pour un verre, « juste un verre ».
C'était fin avril, les journée azuréennes commençaient à se réchauffer mais les nuits restaient fraîches. Nous nous retrouvâmes donc à l'Amiral, l'ancien bar de l'Hôtel Martinez à Cannes. C'était un cadre que nous connaissions bien et que nous affectionnions tout particulièrement. Mrs Smooth avait de nouveau enfilé sa mini-robe bustier beige, un ensemble de lingerie string porte-jarretelles noirs, toujours des bas Cervin noirs à couture apparente et une belle paire d'escarpins bordeaux vernis attachés à la cheville d'environ 10 à 11 cm de haut. Elle était tout bonnement divine et, comme à son habitude, faisait tourner les têtes sans même s'en rendre compte.
Nous arrivons sur place les premiers et choisissons une table un peu en retrait, entourée d'un petit canapé et de deux fauteuils. Je prends bien évidemment place sur l'un des fauteuils, couvrant l'autre de nos manteaux afin que notre rendez-vous n'ait d'autre choix que de s'installer sur le canapé, aux côtés de Mrs Smooth. Lorsqu'il arrive enfin, je ne le reconnais pas de suite. Il a les cheveux beaucoup plus longs que sur ses photos. Châtains, bouclés et en parfait désordre. Un jean noir, un pull clair sur un t-shirt blanc, il arbore un look très décontracté ce qui tranche un peu avec Mrs Smooth et moi-même qui aimons soigner notre présentation. Il s'appelle Emeric. Il s'installe et nous commandons aussitôt. Très sympathique, très détendu, il sait nous mettre à l'aise, il l'est lui-même et nous ne voyons pas passer les 2 heures et les 2 tournées de divins cocktails. Fait amusant, au cours de leurs discussions en ligne, il avait taquiné Mrs Smooth sur ses compétences potentielles en cuisine et notamment en pâtisserie. Un défi était né, je ne me souviens plus exactement comment, au sujet de la crème pâtissière. Indomptable, Mrs Smooth lui en avait préparé une bouteille, entièrement faite maison pour relever le défi. Et oui, en plus d'être sublime, c'est une cuisinière hors-pair ! ! ! Et bien sûr, elle lui a remis cette bouteille en plein milieu du bar d'un hôtel de luxe . . . Faut pas la chercher . . .
Vers une heure du matin, le personnel nous explique courtoisement qu'ils vont être obligés de fermer. Nous nous retrouvons donc dehors sur la terrasse, toujours en train de discuter dans la fraîcheur pinçante de cette nuit de printemps. Visiblement, aucun de nous ne veut rentrer mais c'est pourtant ce qui était convenu. Audacieux, Emeric se tourne vers Mrs Smooth et lui demande presque innocemment si elle aurait souhaité boire un dernier verre chez lui. De mon côté, je souris discrètement le voyant venir avec ses gros sabots. Il était convenu que nous devions juste prendre un verre, et dans ma tête, j'entends déjà Mrs Smooth refuser poliment pour respecter ce qui était fixé et surtout pour ne pas se précipiter. A ma grande surprise, à sa question, elle répond par un grand hochement de tête et un immense sourire sans équivoque. Je me souviens avoir été estomaqué par cette assurance, par cet aplomb. Elle qui était justement ferme sur les règles et principes, pour ne pas faire n'importe quoi et surtout pour se couvrir et, je le pensais, rester dans la zone confortable du fantasme sans avoir à sauter le pas, elle était là, devant moi, en train d'accepter l'ultime invitation d'un amant potentiel sans que je n'aie mon mot à dire ! ! ! Cette sensation était divine ! Un incroyable mélange de peur, d'excitation, de jalousie et de « perte de contrôle ». Elle venait clairement, sciemment d'accepter de passer à l'étape suivante . . .
Nous convenons de nous suivre, il nous dit habiter à une quinzaine de minutes de là. Dans la voiture nous parlons peu. Elle semble détendue, sûre d'elle, contente et rassurée. Nous échangeons quelques mots sur la soirée, les cocktails et sur Emeric qui lui plaît, que j'ai trouvé sympathique etc . . . Il nous a séduit tous les deux ! A un moment je lui demande si elle est sûre d'elle. Elle me regarde en souriant, oui, elle est sûre. Après tout, c'est moi qui le voulait non ? Fait amusant, au fur et à mesure du trajet, nous dépassons les 15 minutes et nous réalisons que nous sommes sur la route de notre propre domicile ! Mince ! Serions-nous voisins ? ? ? Finalement, à 10 minutes de chez nous à peine, nous nous engageons à la suite de notre hôte du soir sur un chemin étroit menant à un petit parking entouré par 3 maisons. Une fois garés, nous le suivons, contournons sa maison par le jardin pour arriver sur sa terrasse à côté de laquelle nous devinons une petite piscine. Il fait alors simplement coulisser la baie vitrée, nous expliquant qu'il ne ferme jamais chez lui. Nous entrons dans une pièce à vivre dans laquelle se trouve une cuisine, une table et un espace salon avec un assez grand canapé d'angle marron en peau, sur lequel il nous invite à prendre place. Je me mets aussitôt sur la partie méridienne pour leur laisser la plus grande partie. Mrs Smooth s'installe à ma suite et il se met enfin à ses côtés, à l'opposé de moi. Clairement, il ne s'attendait pas à de la visite. La pièce est en désordre et, il s'excuse à ce sujet. Cela dit, je le remarque à peine tant il se passe de choses dans ma tête. Va-t-elle aller au bout ? Ou bien va-t-elle se contenter d'échanger un baiser en partant une nouvelle fois ? Mille choses peuvent se passer et j'en imagine mille de plus. Tout en rangeant l'improbable bouteille de crème pâtissière, il nous propose à boire puis il s'installe aux côtés de Mrs Smooth. La discussion reprend mais peu à peu je devine sa main effleurant puis caressant celle de ma belle qui, assise de biais, laisse deviner le haut de ses bas voire même l'attache du porte-jarretelles. Puis la main glisse sur ses hanches et dans son dos, tout en continuant à discuter nonchalamment. Il a clairement pris les commandes et j'adore ça, je n'en perds pas une miette. Il n'y a plus une once de jalousie en moi, uniquement de l'excitation. Je suis subjugué par la scène. Elle se laisse aller à ses caresses subtiles voire elle y répond. Elle est sublime, d'un érotisme fou. Les blancs se font de plus en plus fréquents dans la conversation, ils jettent l'un comme l'autre des regards sporadiques vers moi, comme pour contrôler que je survis à cette situation. Puis elle se penche vers lui et l'embrasse enfin. Il lui rend aussitôt son baiser. D'abord en douceur, puis cela s'intensifie. Elle lui prend la tête dans les mains, lui la saisit par la taille, caressant son corps à travers sa mini-robe qui cache de moins en moins de choses. A se pencher sur elle, il se retrouve à la plaquer en douceur, presque involontairement sur le dossier du canapé. Elle se laisser aller pleinement à ce nouveau touché, à ce nouveau contact, à ce nouvel amant. J'essaie d'imaginer ce qu'elle ressent, elle a l'air d'apprécier. Mes pensés sont centrées sur elle. Est-ce que c'est agréable ? Est-ce qu'il embrasse bien ? Elle est très sensible aux baisers, j'espère que oui. Et ses mains ? Sont-elles agréables ? Et moi ? Est-elle à l'aise devant moi ? J'espère que oui ! Veut-elle que je sorte un moment ? Si elle veut ! Pense-t-elle à moi ? J'espère presque que non ! J'espère surtout qu'elle se focalise sur ce qu'elle ressent et j'espère que c'est aussi bon pour elle que pour moi ! ! Les mains d'Emeric font peu à peu glisser la robe de ma Mrs Smooth, dévoilant ainsi sa voluptueuse poitrine. Nouveau choc, je n'en perds pas une miette : pour la première fois, un autre homme est en train de déshabiller ma femme, la femme de ma vie, la femme que j'aime, la mère de mes enfants, ma complice, ma comparse, mon amie, mon amour devant moi ! ! Ce n'est pas comme les voyeurs de la plage qui se rincent l'oeil lorsqu'elle est en topless, non, là c'est lui qui la déshabille, la caresse, l'embrasse . . . Il n'y a rien de comparable . . . Bien sûr, comme tout homme, il ne peut résister à l'appel de ses superbe formes et il délaisse peu à peu ses lèvres pour glisser dans son cou et, plus ou moins subtilement,venir embrasser, lécher, mordiller les seins fermes et arrogants qu'il vient de révéler. A ce moment, je dois avoir les yeux d'un lapin prit dans les phare d'une bagnole car Mrs Smooth me lance un regard et demande, en exagérant le mouvement de ses lèvres silencieuses : « ça va » ? Je lui fais « oui » de la tête en souriant comme un benêt heureux. Caressant alors les cheveux ébouriffés de son amant, elle lui redresse la tête pour l'embrasser à nouveau. Elle est toujours assise sur le canapé, la poitrine à la vue de tous et lui se trouve alors à genoux, entre ses cuisses ouvertes. Il remonte un peu pour l'embrasser à nouveau et je vois alors la main, innocente pour moi, de Mrs Smooth descendre subtilement pour faire sauter les boutons de son jean et partir à la découverte de ce qui s'y cache. A nouveau, mon estomac fait des loopings. Mon pantalon à moi est déjà bien tendu, déformé par l'excitation que me provoque cette scène pourtant maintes fois fantasmée. Mais du fantasme à la réalité, il y a un monde, une galaxie, que dis-je, un univers ! !
Tentant de reprendre le contrôle de la situation, Emeric se penche à nouveau vers elle, l'embrasse puis redescend le long de son corps pour parvenir à la hauteur du dernier rempart de dentelle qui protège son intimité . . . Il se penche dessus, l'embrasse et l'écarte en douceur sur le côté pour avoir accès au fruit défendu ardemment désiré. Je le vois l'embrasser tendrement puis commencer à le lécher avec assiduité. Caressant ses cheveux, la belle Mrs Smooth, toujours à moitié vêtue, le regarde tendrement. Peu à peu, elle glisse du dossier vers l'assise du canapé, se retrouvant ainsi allongé, une jambe au sol, son amant entre ses cuisse, son mari près de sa tête. Elle se tourne alors vers moi et me fait signe de m'approcher. Je ne me fais pas prier et je viens aussitôt l'embrasser fougueusement. Sa respiration est saccadée par l'activité linguale d'Emeric. Il a d'ailleurs petit à petit entrepris de fouiller son intimité de ses doigts. Elle étouffe des gémissements discrets en m'embrassant. De mon côté, il y a déjà un moment que j'ai ouvert ma chemise et mon pantalon, libérant ainsi mon sexe tendu. L'apercevant, ma belle Mrs Smooth décide de m'accorder ses faveurs pendant que son amant est toujours occupé à son plaisir à elle. C'est divin. Il faut savoir qu'à ce petit jeu elle est vraiment très douée. Ses talents de fellatrice ont toujours été source d'éloges de la part de tous ses amants. Tout simplement, elle écoute, elle ressent. Il est strictement impossible de résister, on finit toujours par exploser de plaisir sous ses assauts buccaux.
Emeric redressant la tête, elle suspend également son activité. Je l'embrasse amoureusement et elle se redresse vers son amant pour l'embrasser à son tour. Il ne se fait pas prier et en même temps, il tente de faire glisser vers le haut sa robe devenue encombrante. Je l'aide afin de mettre notre muse à nu, pour notre plus grand plaisir.
Ayant replongé la main dans le pantalon de son amant, Mrs Smooth finit par la mettre enfin sur ce qu'elle était venue y chercher. Par de doux mouvements de poignets, elle stimule son amant, plus pour la forme que par réelle nécessité. Il est en effet déjà très dur. Son sexe est de taille moyenne, ni trop ni trop peu. Il semble être moins grand que le mien mais la taille n'est pas la seule chose qui compte. Elle se penche alors en douceur vers lui et, tout en continuant ses mouvements de poignets, elle approche sa jolie bouche de ce membre dur et tendu, ne demandant qu'à être happé par une bouche accueillante. Lorsqu'elle le fait disparaître entre ses lèvres, sans un regard ni pour moi ni pour son amant, je réalise que malgré tout ce que j'ai déjà vécu ce soir, mon cœur et mon estomac ont encore de la marge pour faire des cascades ! La sensation ressentie est indescriptible. Il y a tout : la peur, la joie, la jalousie, la stupéfaction, l'angoisse, le bonheur mais tout ça n'est rien face à l'écrasante excitation qui prend le dessus, étouffant tout le reste dans un tsunami de volupté. Avec le recul, je me demande si sur le coup, je n'ai pas ressenti plus de plaisir qu'Emeric. Celui-ci, subjugué par l'indéniable savoir-faire de la splendide et vraiment très douée Mrs Smooth se laisse aller, tantôt la regardant lascivement, tantôt basculant la tête en arrière. Elle ne se démonte pas, s'applique, concentrée sur le plaisir qu'elle donne à son partenaire. Elle est divine.
Ayant déjà enlevé le haut de ses vêtements, il l'arrête un court instant pour ôter le reste. Puis, de nouveau, entièrement nu, il se penche vers elle pour l'embrasser. Je me remets un peu à l'écart pour leur laisser cet instant mais aussi pour en profiter pleinement de mon côté. Il enfile alors un préservatif puis, tout en l'embrassant, il vient se placer entre ses cuisses. Le regard intensément planté dans celui de son amant, Mrs Smooth l'accueille sensuellement en elle. Ils s'embrassent et commencent leur mouvements de va et vient tendres devant moi ébahi. Je manque de jouir à ce moment. Encore une fois, je peine à décrire ce que j'ai pu ressentir. Je ne réfléchis pas. J'admire et je ressens. Point. Je suis subjugué par ce que je vois, c'est encore plus beau que dans le plus fou de mes fantasmes. Ils continuent ainsi un moment, donnant l'impression d'êtres 2 amants seuls au monde. C'est doux, c'est beau, c'est tendre, c'est exquis. Je lui caresse le bras et lui serre la main, comme pour lui dire que je l'aime quoi qu'il arrive et qu'elle peut se lâcher totalement. Emeric souhaitant faire une pause, je me penche vers elle pour l'embrasser. Elle se relève et embrasse aussi son amant.
J'essaie de la caresser à mon tour mais sa position assise ne me facilite pas la tâche. Alors, elle se redresse et, tout en continuant à prodiguer ses meilleurs soins à son amant, elle me présente une vue imprenable sur ses splendides fesses, m'offrant ainsi la possibilité de plonger à mon tour dans son intimité. Je n'hésites pas une seconde. Caressant ses fesses douces, rondes, fermes et musclées, je descends peu à peu, parcourant chaque centimètre carré de peau. Puis, partant de ses chevilles toujours enserrées dans ses escarpins, je remontre le long des ses jambes gainées de nylon vers son intimité humide du récent passage de son amant. A mon tour je viens m'abreuver à la source de son désir. Etonné, je réalise qu'elle n'a pas tout à fait le même goût que d'habitude. Je comprends qu'il s'agit là du goût du latex porté par son amant mélangé à la sève de son propre plaisir. Cela m'excite encore plus de sentir qu'un autre est passé là juste avant moi. Nous sommes deux hommes et pourtant nous sommes tous deux là pour elle, au service de son plaisir à elle. C'est délicieux. Je continue ainsi à la stimuler un moment, excité d'entendre son amant tenter de se contrôler sous ses assauts buccaux. Puis, je la pénètre à mon tour, en douceur, profitant de la sensation procurée par chaque centimètre. Empoignant ses fesses, je commence mes va-et viens toujours pendant qu'elle s'active de sa bouche sur le sexe tendu de notre complice. Je remarque alors que gênée par ses cheveux, elle se recoiffe sans cesse, glissant de ses doigts fins des mèches derrière ses jolies oreilles. Mes, sous nos assauts, ces mèches retombent constamment. Je décide alors de « l'aider » en empoignant ses cheveux. Je sais qu'elle aime ça et l'idée de lui tenir les cheveux pour qu'elle puisse sereinement sucer son amant manque une nouvelle fois de me faire jouir. Je prends même un malin plaisir à appliquer à sa tête un subtil et discret mouvement de haut en bas. C'est excessivement excitant ! Tellement que je dois, à mon tour me retirer pour éviter de perdre le contrôle.
Me reculant à nouveau sur la méridienne, je laisse le canapé libre aux deux amants du soir. Equipé d'une nouvelle protection, il s'allonge à son tour et l'attire vers lui, allongée sur lui, dos à lui. La vue que j'ai est imprenable . . . mais la position étant assez inconfortable, en tentant de la prendre à nouveau il se trompe d'entrée et parvient, par accident à rentrer entre ses fesses jusqu'au gland. Surprise, elle se retire vivement et préfère alors s'installer en amazone au-dessus de lui. Cette vue restera probablement l'une des plus belle dans mon esprit, à vie. Elle est là, devant moi, le chevauchant d'une sensualité inégalable, simplement vêtue de ses bas et de son porte-jarretelles en dentelle noir, toujours chaussée de ses talons vernis. Ses seins fermes et arrogants ballotent en douceur au gré des ses mouvements de bassin, régulièrement masqués par les mains de son amant qui les empoigne, les caresse, redescendant également sur ses fesses, profitant des moindre parcelles de sa peau de satin. Je ne sais pas comment il a fait pour ne pas jouir à ce moment là.
Puis, libérant son amant, elle se tourne vers moi, lui offrant ainsi l'irrésistible vue dont je jouissais quelques instants auparavant. Il ne se fait pas prier ! Aussitôt, il la reprend à son tour alors que je m'assois devant elle. Alors qu'elle est littéralement « prise » devant moi par son amant, je plante mon regard dans le sien, et c'est probablement l'une des sensations les plus fortes qu'il m'ait été donné de vivre. Je l'embrasse, la prends dans mes bras pour la serrer fort, embrassant son cou, sentant les soubresauts causés par les assauts de notre complice. Toujours à genoux, elle s'effondre, les épaules sur le canapé, la tête sur mes cuisses et de sa main, elle décide d'aller s'achever. De ses doigts experts, elle ne tarde pas à faire monter un orgasme puissant, torride qui manque une nouvelle fois de me faire jouir. Emeric continue ses mouvement en ralentissant peu à peu jusqu'à s'arrêter complètement. Elle se tourne encore une fois, m'offrant de nouveau les charmes d'une levrette fantasmagorique alors qu'elle s'active de nouveau de la bouche sur son amant. Incapable de résister celui-ci tente de se débattre pour ne pas exploser mais elle ne le laisse pas faire et accélérant le rythme elle le pousse à bout. Malgré ses efforts visible pour ne pas jouir dans sa bouche, il explose sous ses assauts dans un râle significatif. Moi-même je manque de peu de céder à mon tour. Continuant son effort, elle ne le libère que lorsque les râles et soubresauts s'arrêtent. De mon côté, je suis toujours en train de la prendre dans un élan de douceur et de fermeté. Je lui empoigne les fesses, lui caresse les hanches, le dos, me penche pour saisir ses seins tour à tour, lui mord les épaules et, empoignant ses cheveux je la redresse vers moi, lui tournant la tête pour l'embrasser. Je sens de suite le goût du sperme de son amant. Je suis surpris. Surpris car comme un con, tel un animal en rut rongé par son excitation, je n'y avais pas pensé. Surpris car, le goût ne me choque pas par rapport à l'odeur désagréable que je connaissais. Surpris surtout car je réalise honteusement que cette sensation, ce témoignage du passage d'un autre m'excite au plus haut point. A bout de résistance, j'explose à mon tour dans un orgasme excessivement puissant. Nous nous effondrons tous les trois dans ce canapé qui d'un coup semble bien étroit. Mrs Smooth est très très très câline après. Elle aime se blottir dans les bras de son amant, cela fait partie d'un tout pour elle et j'avoue que j'aime beaucoup ça. Elle me prend toujours la main dans ces cas-là, elle se partage entre son mari et son amant, c'est divin.
Après de longues minutes, des mots doux, des regards tendres entre elle et moi, nous nous redressons doucement. Emeric nous propose à boire et nous acceptons avec enthousiasme. Peu à peu nous récupérons nos vêtements, nous devons rentrer, Emeric doit se lever le matin. Nous sommes sur un petit nuage, encore portés par la volupté de cet instant torride. Puis, au moment de nous quitter, je salue Emeric et me tiens en retrait afin que Mrs Smooth puisse embrasser son amant et là immense déception, il se contente d'une bise, simple, froide, la même que l'on se faisait pour se dire bonjour avant tous ces foutus masques . . . Grosses surprise pour moi mais surtout, je le saurais très vite, immense déception, voir blessure pour Mrs Smooth. Néanmoins nous quittons notre hôte en le remerciant et en convenant tous de nous revoir très bientôt. Une fois dans la voiture, durant les 10 minutes de trajet qui nous ramènent chez nous, nous discutons de tout ce que nous venons de vivre. Et sensiblement nous avons apprécié les mêmes choses et nous avons été déçus par les mêmes également. Déceptions ? La bise en partant. Incompréhensible. Ou bien vu que nous ne sommes pas coutumiers de ce type de relations peut-être est-ce normal ? De nouvelles questions se posent, mais clairement, ce détail a vraiment « gâché » ce beau moment. Pour le reste, nous avons vraiment aimé tous les deux. Elle est inquiète de savoir si mon regard a changé, si je l'ai bien vécu. Oui je l'ai bien vécu, et je suis plus amoureux que jamais ! ! ! De mon côté je veux savoir si elle va bien physiquement, moralement, si elle veut recommencer, avec lui ou avec un autre.
Oui elle va bien, physiquement ça chauffe un peu mais bon, y a de quoi, moralement ça va hormis cette bise, et oui, elle veut recommencer, idéalement avec lui ou peut-être en trouver éventuellement un autre en parallèle mais clairement, elle ne veut pas collectionner. Notre vision du libertinage, triolisme, candaulisme se dessine un peu plus nettement et cette sensation se confirmera dans les jours à venir. Nous souhaitons une relation suivie, cérébrale plutôt que collectionner les plans culs sans saveur . . . Cela annonçait, sans que nous nous en doutions, le début des galères.
Nous avons gardé contact avec Emeric mais il n'était jamais disponible. Toujours une excuse. De plus, il nous parlait sans gêne des autres couples ou femmes qu'il rencontrait et cela ne nous intéressait pas. Soyons clairs ; il avait bien le droit de faire ce qu'il voulait, il ne nous devait rien, mais on, et surtout Mrs Smooth, ne souhait pas le savoir. Elle a réellement besoin de sentir qu'elle compte pour l'autre, pas qu'elle est juste un trou parmi tant d'autres. Il nous avait dit que sa porte était toujours ouverte, ce à quoi on lui avait répondu qu'il fallait pas nous dire ça, qu'on risquait de passer un soir à l'improviste. Il avait répondu que « chiche, ça serait une super surprise ». Du coup un soir on l'a fait, on est passés, c'était effectivement ouvert mais il n'était pas là . . . Pour la peine, Mrs Smooth s'est déshabillée, s'est mise en shorty et on a fait une photo dans son canapé. Puis on est partis et on lui a envoyé la photo. Il était dégouté de n'avoir pas été là. Peu après il s'est mis en couple, nous avons donc suspendu nos échanges. Nous ne l'avons finalement jamais revu.
Ci joint quelques photos pour illustrer, les chaussures, la lingerie et un aperçu de sa poitrine . . .
Merci pour vos messages la suite prochainement.
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