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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
#2581374
Bonjour à toutes et à tous !

Certains d'entre vous nous reconnaîtrons peut-être ou du moins sauront reconnaître notre histoire puisque je l'ai déjà postée ici il y a environ 1 an, mais je ne l'avais pas terminée. Comme cela me trottais en tête, j'ai décidé, en commun accord avec ma belle Mrs Smooth, de ré-ouvrir ce sujet pour aller au bout du récit cette fois. Si ça vous intéresse tant mieux sinon . . . il y a plein d'audtre sujets qui feront votre bonheur, j'en suis sûr !;)

Je vais donc m'efforcer de raconter un peu notre histoire qui, vous le verrez, tient plus du triolisme que du candaulisme brut, passif, comme il est souvent raconté ici.

Nous sommes un couple de la côte d'azur, fin de trentaine, plutôt bien faits, voire carrément canon pour Mme (ok, j'ai du mal à être objectif, je l'ai épousée, je vous laisserai juges d'après nos photos). Nous sommes ensemble depuis . . . un peu moins de 20 ans maintenant ! ! Autant vous dire que nous nous sommes construits ensembles. Pour diverses raisons, professionnelles avant tout, nous avons vécu nos 6 premières années à distance. Mais cela n'importait pas. Personnellement, je ne me voyais pas faire ma vie avec une autre et de son côté, j'étais le tout première homme / amant / amoureux et même baiser de Mme ! ! ! Elle avait su attendre presque 20 ans avant d'embrasser un garçon, c'était pas pour se barrer ensuite avec le premier bellâtre venu ! Durant ces 6 années, nous avons vécu séparé par 300 à 1000km (selon les périodes), nous nous retrouvions les week-ends et vacances lorsque c'était possible. Au moment où nous devions enfin nous installer ensemble, j'ai accepté un poste à 13 000km d'elle pendant presque un an . . . Petit moment tendu à passer, mais encore une épreuve que nous avons surmonté. Histoire que le tableau soit complet, elle bossait alors dans un milieu à 95% masculin et moi dans un milieu festif et de débauche absolue, la confiance en l'autre est donc d'office devenu l'un de nos piliers.

Pour vous décrire Mme, superbe femme d'environs 1,63m pour 50kg, des yeux bleus profonds et de beaux cheveux longs et roux (aujourd'hui, car blonde lorsque je l'ai connue) . Oui, elle plaît énormément et ne laisse que rarement indifférent même si elle bien sûr, ne s'aime pas et ne voit que des défauts (que moi je cherche encore presque 20 piges après). De mon côté, 1,83m 80kg environ, brun yeux verts, j'ai plutôt tendance à plaire même si comme elle je vois surtout les défauts.

D'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours adoré qu'elle plaise. Je me rappelle que l'été où nous nous sommes connus, je parlais d'elle avec mon meilleur ami avec qui je travaillais à ce moment là et, dans le fil de notre discussion, il m'avait clairement dit qu'elle était vraiment canon. J'avais vraiment adoré ça, peut-être comme une sorte « d'approbation » de mon choix alors que, soyons honnêtes, quand on aime quelqu'un on s'en fout pas mal de ce que les autres en pensent. (On est con à 18 ans ! ) J'adorais aller à la plage avec elle, déjà parce que j'aimais la voir et parce que j'aimais voir qu'elle attirait discrètement les regards, même si à l'époque, par manque de confiance en moi cela me rendait secrètement jaloux. En revanche, je n'ai jamais pensé la « posséder ». Pour moi, chaque être humain est libre, et même lorsque l'on se marie, ce n'est pas pour « posséder » l'autre mais plutôt pour s'engager à partager des choses, bonnes ou mauvaises avec. Donc ma « jalousie » est toujours restée toute relative.

Au fil des ans nous avons appris à nous découvrir sexuellement et nous avons essayé plusieurs choses de temps en temps, assez classiques et toujours entre nous. Evoluant dans le milieu de la nuit, j'ai beaucoup entendu parler du milieu libertin assez tôt, assez jeune et ça a toujours été quelque chose que me fascinait sans pour autant savoir réellement ce qui pouvait m'y attirer. J'étais curieux, je voulais voir, savoir . . . Mais certainement pas sans elle. Vu le milieu professionnel dans lequel j'évoluais, j'aurais pu, sans peine, faire tout ce que j'aurais voulu, tout ce que j'aurais pu rêver, fantasmer et bien plus encore mais sans elle c'était pour moi inintéressant. Je ne me souviens plus quand je lui ai proposé d'essayer, « d'aller voir », pour la première fois, ce devait être l'année où nous avons enfin pu nous installer ensemble. Ca ne l'intéressait pas, j'évitais d'insister mais je laissais la porte ouverte. De mon côté, ça bouillonnait tellement dans ma tête que j'avais entrepris des recherches sur les pratiques, etc., et plus j'avançais, plus je me rendais compte que ce qui m'attirait le plus c'était un trio, non pas avec une autre femme comme beaucoup d'hommes, mais bien avec un autre homme . . . Difficile à comprendre voire à admettre dans un premier temps puis, maintenant que j'avais compris, ça devenait plus clair et donc plus pressant. Je l'aimais (toujours aujourd'hui hein, rassurez-vous), je l'admirais (toujours aussi), j'adorais qu'elle plaise et surtout je voulais qu'elle ait du plaisir, différemment, plus, mieux etc, j'aurais trouvé tous les superlatifs. J'ai subtilement essayé d'aborder le sujet mais elle était assez réfractaire, arguant qu'elle n'en avait ni l'envie ni le besoin, que je lui suffisais voire, pire que j'avais qu'à aller faire ça avec d'autres gens (ça c'est quand elle était vraiment gavée, ça sentait le défi à ne pas relever). Mais justement, moi les autres j'en avais rien à foutre ! Il n'y avait qu'avec elle que je voulais vivre tout ça, il n'y avait qu'elle que je voulais voir dans ces moments là. Bref on était pas du tout sur la même longueurs d'ondes.

A cette époque, je venais lâcher une super situation à l'étranger pour pouvoir la retrouver puisqu'elle ne pouvait pas venir, étant bloquée par un engagement professionnel très long. Nous vivions alors à 1h au nord de Paris. C'était pour moi une période difficile, j'avais dû abandonner le plan des mes rêves pour revenir vivre dans un endroit peu intéressant simplement parce qu'elle y était en poste. J'ai déprimé 8 mois, j'ai mis du temps à me refaire une situation professionnelle conséquente et valorisante mais j'y suis finalement parvenu.


C'est long hein ? Je suis désolé mais je suis un peu obligé de prendre les chose par le début pour bien planter le décor . . .


C'est à ce moment, quand je venais enfin de me stabiliser de façon intéressante, qu'on apprend quelle sera mutée au début de l'été suivant. Il nous restait 1 an sur place . . . En gros, j'allais devoir à nouveau tout abandonner, tout ce que j'avais réussi à reconstruire . . . Nouveau moment difficile . . . De son côté, elle approchait de la fin de sa vingtaine et commençait vraiment à vouloir parler enfants, mariage etc. Moi, tout ce que je voyais c'était « repartir de 0 ». On était pas super en phase . . . Là dessus, elle doit partir à l'étranger pour quelques mois, pour une mission pro et, à son retour il ne nous resterait que quelques mois pour déménager. Elle part donc pour sa mission pro, entourée de mecs comme d'habitude, dans une ambiance de couple plutôt négative puisque étant moi-même un peu déboussolé à l'idée de devoir tout abandonner une nouvelle fois je ne lui avais pas donné les signes d'engagement qu'elle attendait (mariage, bébé, bébé, mariage). Cependant, malgré les 7000km qui nous séparaient, nous arrivions à nous parler toutes les semaines si pas tous les jours. Je lui ai même envoyé, pour son anniversaire, un colis énorme remplis de petites attentions (gourmandes et sentimentales). Un mois après cet envoi, quatre mois après être partie, la voilà de retour. Je suis tout heureux de la retrouver et nous nous sautons dans les bras dès son arrivée. Nous décidons d'aller manger dehors pour célébrer nos retrouvailles mais je sentais que quelque chose était . . . « différent ». Elle n'était pas aussi à l'aise que d'habitude, quelque chose lui pesait c'était évident et elle voulait clairement en parler, ne rien me cacher. Je lui pose la question et elle me dit « j'ai fait une bêtise, faudrait qu'on en parle ». . . Sur le coup, la bouchée est un peu dure à avaler, je suis à la fois rongé par le doute, la curiosité et . . . oh tiens, mais ne serait-ce pas l'excitation qui se tient là, tapie dans l'ombre des ses deux complices ? Je lui suggère donc calmement, en souriant, qu'il serait sans doute mieux d'en parler chez nous ce qu'elle accepte aussitôt.


Une fois chez nous, nous nous asseyons côte à côte dans le canapé, et je lui demande de qu'elle bêtise il s'agit. Elle m'avoue alors avoir eu une aventure avec un collègue de travail lui aussi en couple de son côté d'ailleurs. Il lui a fait du rentre-dedans pendant 3 mois et, séduite, elle a cédé à 2 semaines du retour ! Elle est comme ça, cérébrale à outrance. Vous pouvez lui caler le plus beau des chippendales, l'Apollon de service, si il ne séduit pas son esprit, il n'aura rien ! C'est d'ailleurs quelque chose que j'adore chez elle . . .

Nous y sommes donc ! Elle vient de m'avouer m'avoir concrètement trompé, avec un autre, sans me le dire, sans que ce ne soit convenu, bref, un adultère tout ce qu'il y a de plus officiel. Je suis à la fois dévoré par la jalousie et par l'excitation. Autant vous dire qu'à ce moment de ma vie j'en savais beaucoup moins sur le sujet qu'aujourd'hui donc je suis complètement paumé. Mais je vois qu'elle n'est pas bien. Ses yeux de chaton pris en flagrant délit me chamboulent (elle est très forte pour ça) et il m'est impossible de lui en vouloir. Ma première réaction, ma première question me surprend autant qu'elle : « et c'était bien ? » Éberluée elle répond timidement « oui ». Alors, face à son adorable gène, je décide inconsciemment de lui « faire payer » : je lui demande de me raconter . . .

Ils auraient donc flirté quelques jours en cachette, bisous etc sans aller plus loin, mais le jour j c'est elle qui lui a demandé de venir la rejoindre (premier coup dans le bide, je ne l'en aurais pas crue capable, je l'imaginais plutôt en « victime d'un prédateur ». Mon *** ouais!). Elle avait passé une jolie petite robe courte à rayures avec le plus bel ensemble qu'elle avait emmené avec elle, string et soutien-gorge en dentelles violets, cette même robe dans laquelle elle m'avait parlé en visio quelques jours avant . . . (ah la garce!) Lorsqu'il est arrivé, ils se sont embrassés et sont vite passés à l'acte. Après 3 mois d'abstinence, ils en avaient autant envie l'un que l'autre. Elle m'a raconté qu'ils ont fait ça dans le noir, que ça avait été bref mais intense. Mais je voulais en savoir plus :

«-Tu l'as sucé ?
-Oui, d'ailleurs il avait un sexe vraiment tordu , il ne voulait pas que je descende m'en occuper mais moi j'en avais envie.
-Il t'a léchée ?
-Oui.
-Mieux que moi ? (mais quelle question con avec le recul . . .)
-Non, différent, c'était très bien aussi.
-Et après ? Quelle positions ?
-Roo je sais plus moi (gêne visible).
-Missionnaire ?
-Oui.
-Levrette ?
-Oui.
-Amazone ?
-Oui.(Putain ils ont tout fait ! ! Ca me tuait de jalousie et d'excitation à la fois)
-. . .Sodomie ? (d'une voix tremblante, on ne le faisait jamais)
-Non. (pfiou, l'honneur est sauf, encore une réaction à la con ceci dit)
-Il a jouit où ?
-Je sais pas, c'était dans le noir.
-Mais enfin tu dois savoir quand même, tu l'as entendu non ?
-Je sais pas il s'est retiré pour pas jouir en moi.
-. . . QUOI ?
-. . .
-Vous l'avez fais SANS CAPOTE ? ? ?
-. . . oui . . .
-Mais vous êtes des malades ? ? ?
-Oui on s'en est vraiment voulus après.
-Ah ben j'espère bien. Et ça a duré combien de temps toutes ces folies?
-Assez peu en fait, il a jouit vite, on était très excités tous les deux. » (petit moment de satisfaction personnelle puisque je parviens à me contrôler assez bien pour tenir jusqu'à son orgasme minimum). « Mais il est « revenu » vite, 5 minutes après alors on a recommencé. » (ok là tout s'effondre, moi une fois fini je mets une éternité à repartir. Je n'apprendrai que des années après que ça dépend des mecs et surtout de leur niveau d'abstinence).
Elle m'a donc expliqué qu'ils ont fait ça deux fois, quasiment de suite, les deux fois sans capote (alors qu'elle ne prenait pas la pilule) et qu'après il est reparti. Il lui envoyait des messages et elle m'avouait qu'elle s'en foutait à ce moment là, selon ses dires elle « avait eu ce qu'elle voulait, elle voulait dormir maintenant ». J'ai vraiment adoré cette partie là. Ca faisait d'elle une belle femme, forte, indépendante qui assumait son désir et ses pulsions, j'adorais ça.
On a évidemment fait l'amour immédiatement dans le canapé puis sur le tapis. D'ailleurs au moment de la prendre en levrette, elle se positionna d'une nouvelle façon, lui permettant d'avoir un meilleur accès « manuel » à son intimité. Je compris qu'elle tenait cette nouvelle position de son dernier amant, ce qui eu pour effet de m'exciter encore plus ! En fait, l'adultère c'est constructif ! !
Peu après nous avons reparlé de tout ça, et j'ai subtilement (ou pas) glissé un mot à propos de mon fantasme de trio, d'aller voir en club etc mais même si elle semblait moins fermée, ça n'était pas le moment pour elle. Elle avait toujours ses objectifs en tête (mariage bébé, bébé mariage). C'était il y a 10 ans, la première fois qu'elle couchait avec un autre homme que moi dans toute sa vie. Elle a longtemps soutenu qu'elle avait alors des sentiments pour lui à l'époque, et que lui aussi, et qu'elle avait cédé pour ça, pensant que moi je ne l'aimais plus puisque je ne lui avais pas dit que je voulais me marier ni avoir des enfants. Avec le temps elle n'est plus sûre de ça. Puis nous nous sommes mariés, nous avons déménagé pour sa mutation et nous les avons eu les enfants . . .

A suivre . . .

Pour illustrer, quelques photos de nous mais surtout d'elle puisque j'ai cru comprendre qu'elle avait tendance à plaire sur ce forum . . . Vos petits mots font toujours plaisir tant qu'ils restent courtois. On peut être torride tout en étant subtil non ?

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Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
Elvis06, claire95, Zeman et 83 autres a liké
#2582257
Re bienvenue sur le forum :D (Disons que ça ne comptait pas sur le chat)

J'ai adoré lire votre histoire, à partir du moment où il est arrivé, impossible d'effacer mon sourire. Beaucoup de passion et d'humour, j'apprécie le cocktail. ;)

Vivement la suite. Au passage, madame est sublime, elle doit en faire se retourner plus d'un sur la plage, pour ton plus grand bonheur !
#2582296
Bonjour à toutes et à tous !

Merci pour vos likes commentaires et messages privés, c'est toujours apprécié.

La suite de nos aventures arrive très vite.


Jolicouple a écrit :Quelle belle histoire dans laquelle je me suis plongé avec grand plaisir, très bien raconté dans un bon français ! 8-)

Mais depuis cette vie "posée", toujours pas de coquineries ?

Tu n'es tout de même pas revenu ici un an après par hasard, n'est-ce pas ? :D


Impatients ! ^^

Vous allez pouvoir découvrir la suite en plusieurs chapitres ;)

Merci à toutes et à tous !
Mojito59, Monsieur, Jolicouple et 6 autres a liké
#2582303
Chapitre 2, un nouvel espoir . . .

6 ans après ce premier épisode, nous avons de nouveau déménagé et nous sommes installés dans le sud de la France, sur la Côte d'Azur du côté de Cannes, Nice, etc . . . Par le hasard des choses, au fil des contacts, je me suis retrouvé à travailler de nouveau dans le milieu de la nuit mais cette fois dans le monde libertin . . . J'allais enfin pouvoir découvrir cet univers maintes fois fantasmé et peut-être le faire découvrir à l'amour de ma vie . . . en toute légitimité en plus ! Bon, la première fois que nous y sommes allés, c'était pour établir un premier contact professionnel et nous avons dû y rester, en tout et pour tout pas plus de 20 minutes. Après avoir « visité » par curiosité les coins câlins (ou coins orgiaques pour être plus précis) Mme a préféré « fuir » l'endroit !

Effectivement, il n'y avait rien de glamour à ce club pourtant extrêmement bien réputé. La partie dancefloor était blindée de gens plus ou moins habillés mais surtout (et ça je le comprendrai plus tard), il n'y avait rien de réellement glamour dans les tenues. En arrivant, voyant sur le parking de belles voitures de sport dont le montant s'élevait à 6 chiffres, on s'était imaginé, à tord, beaucoup de raffinement à l'intérieur. Quelle erreur ! En observant les clients et surtout leur tenues, on imaginait plutôt un parking plein de 206 tuning à néons ! ! Les dames étaient pour la plupart vêtues de robe cheap probablement dégottées dans le sexshop du coin, du style filet de pêche ou robe en skai trouée au niveau du sexe et des seins, bref aucune subtilité, aucun raffinement, on était plutôt dans l'étalage vulgaire de chair. Mais où était la lingerie fine que nous-même apprécions-nous tant ? ? Du côté de ces messieurs c'était guère mieux. On allait du costard mal taillé mal porté à la chemise ornée d'un sublime (et tellement classe) aigle dans le dos, le tout sur un jean troué surmontant de belle santiags en faux serpent. Le comble du bon goût. Bref, ayant personnellement lu les Mémoires de Casanova, quelques bons ouvrages de Sade etc, je m'étais toujours fait une idée très glamour et très raffinée du monde libertin. De même, en couple nous avions eu une période durant laquelle nous aimions de temps en temps regarder des films X pour nous émoustiller et nous avions privilégié un univers « pornochic ». Là pour nous ce fut plutôt pornochoc ! Malgré tout, puisque nous étions sur place, nous avons poussé l'exploration jusqu'à la partie plus intimiste du club, ou censée l'être et là ce fut pour ma belle la goutte d'eau qui fit déborder le vase . . .

A mesure que nous avancions dans un couloir étroit et relativement sordide, une odeur de sueur, de parfum bon marché, et désodorisant pour toilettes de superette nous emplit le nez en même temps que des hurlements, oui, des hurlements s'élèvent d'une des chambres. Il y avait, à l'entrée de cette chambre, un attroupement de femmes et d'hommes, plus ou moins dévêtus, se tripotant mutuellement sans grande conviction, machinalement, pendant que dans la pièce, une dame semblait, probablement pour son plus grand plaisir, être la cible d'un quelconque châtiment infernal (au vu des cris qu'elle poussait). Il n'y avait là rien d'excitant, rien de charmant, rien de beau. Que de l'avilissement, de la consommation compulsive de chair, sans passion, sans séduction. Un buffet à volonté du stupre et de la déchéance sexuelle. Mes mots seront peut-être violents pour certains d'entre vous mais ils retranscrivent ce que nous avons réellement ressenti. Ils n'engagent que nous. Par la suite, nous avons appris à mieux connaître et mieux comprendre ce milieu et nous ne portons pas de jugement sur les gens qui le fréquentent, chacun est libre d'aimer comme de ne pas aimer. Pour parachever cette visite, au moment de faire demi-tour, nous tombons nez à nez (si je puis dire) avec un homme d'environ 65 ans, petit, râblé très poilu et bedonnant, aussi haut que large, entièrement nu, le sexe exangue et épuisé, enserré dans un cockring metallique. Il nous regarde, détaille Mme (décidément bien top vêtue pour cette partie du club) d'un œil avide, salasse et me regarde comme pour demander mon approbation. C'est le moment où elle m'a dit « là c'est bon, on y va, on se barre de là ». Nous avions de toutes façons convenu que je passais juste rencontrer la personne à qui je devais parler et qu'après nous partirions dès que l'un de nous ne se sentirait plus bien. On avait largement dépassé ce stade . . .

J'ai malgré tout accepté de travailler dans cet établissement quelques mois d'abord puis après un délai durant lequel j'avais accepté un super poste temporaire ailleurs, j'ai de nouveau accepté d'y retravailler. Comme dans tous les jobs, il y a avait des avantages et des inconvénients. J'ai l'esprit ouvert et rien dans ce que je voyais ne me choquait, j'ai même passé de belles soirée. En revanche, pas une fois je ne me serais imaginé venir en tant que client. Ce n'était pas du tout mon style et encore moins celui de Mrs Smooth ! Par contre, elle est aussi venu y travailler 2-3 fois en tant qu'extra pour les grosses soirée. Elle eut à chaque fois un très gros succès, que ce soit auprès des clients, des clientes (très, trop tactiles, elle qui est presque misogyne tellement elle n'est pas bi), et bien sûr de mes collègues de travail, surtout féminines qui mourraient d'envie de la « croquer » ou de la « dévorer ». Amusant mais pas notre délire. C'était d'autant plus amusant qu'elle avait eu pour consigne d'être hyper sexy, c'était le dress code pour le staff. Mais au lieu de faire comme toutes les autres, de porter des « panoplies de sex-shop » du type écolière, infirmière soubrette etc, d'exhiber à tous son intimité ou sa poitrine le tout sur des « platform shoes en plexi » (pour se retrouver en baskets au bout d'une heure, comme toutes les autres), elle choisissait justement d'être subtilement sexy : elles portent toutes une panoplie cliché ? Pas de soucis, elle serait habillée d'un body Bunny Playboy officiel ! Soirée miss t-shirt mouillé, elles se mettent toutes en string avec un vieux t-shirt blanc ? Qu'à cela ne tienne, elle arborerait un débardeur moulant, blanc, semi dos-nu, noué dans la nuque avec surtout, une culotte à frous-frous cachant ce que tout le monde voulait voir ! Et toujours en talons hauts, de 20h à 06h du matin ! ! Bien évidement, elle excitait une zone peu stimulée dans ce club : leurs cerveaux, leur imagination ! On venait toute la soirée me parler tantôt de sa tenue de playmate (et d'où elle vient, et c'est canon, etc etc) tantôt de son shorty à frous-frous qui a fait couler beaucoup de salive ce soir là. Et pourtant, ce sont des choses simples qui cachent tout ou presque (vous en jugerez par vous même sur les photos ci-dessous).

Afin de faire la promotion de son club, mon patron de l'époque appréciait que les employés partagent les publications des soirées à venir sur leur propre fiche Wyylde. Or, nous n'avions pas de fiche Wyylde, puisque Mme n'en voulait pas. Mais, au fil du temps, après un geste honorable de mon patron en ma faveur, nous avons décidé d'un commun accord de jouer le jeu en retour et donc de nous créer cette fameuse fiche, mais « uniquement pour faire la promo », c'était clair entre nous !

Nous avons donc créé cette fiche et comme nous sommes assez pointilleux l'un comme l'autre, nous avons voulu faire de belles photos, pour proposer une fiche que nous-mêmes aimerions consulter. Une séance photo nous prenait la soirée, ça finissait généralement en engueulade, entre elle qui souffrait à se tordre dans tous les sens, qui se caillait en plein hiver et moi qui ne voyait pas toujours où elle voulait en venir et qui shootait chaque cliché avec une pression digne d'un démineur, c'était vraiment épique ! Ca finissait généralement chacun de son côté dans le lit. On en riait après et surtout on était plutôt contents du résultat (résultat que je vous partage au grès de mes posts vous me direz si ça valait le coup de souffrir et de s'engueuler ^^).

La fiche étant créée nous avons d'office été noyés de contacts. Par la suite, nous avons appris que c'était l'effet de « nouveauté ». On s'est rapidement stabilisés à environs 50 à 60 visites par jour et une vingtaine de messages. Il était convenu que je gèrerais seul cette fiche, elle ne voulant pas parler avec qui que ce soit, toujours hantée par ce qu'elle avait pu voir en club. Inlassablement, je jouais le jeu et je recommandais les soirées du club. Je lui montrais quand même certains messages courtois et flatteurs qui arrivaient très régulièrement pour lui prouver qu'il n'y avait pas que des gorets. Parmi ces profils, l'un retint son attention. Un homme courtois, d'un ou 2 ans plus agé que nous à peine, raffiné, tant dans ses photos que dans ses propos et, surprise, elle dit me dicta une réponse, d'un air amusé. Je m'exécutais aussitôt et le le retour ne se fit pas attendre. De nouveau elle m'indiqua ce qu'elle voulait répondre et ainsi de suite pendant quelques minutes, puis, elle décida de prendre la main pour répondre elle même. Il était charmant, taquin avant du répondant et savait parler à son esprit plutôt qu'à son cul. Je n'en perdais pas une miette ! Je jubilais machiavéliquement, elle se prenait au jeu de la séduction ! ! Il échangèrent ainsi quelques jours et bien sûr il nous proposa finalement une rencontre autour d'un verre, « juste un verre, rien de plus promis ». Il était agréable, sympathique, séduisant, courtois, subtil et le cadre proposé (le bar d'un des plus beaux hôtels de la Croisette à Cannes) n'était pas pour nous déplaire. Puisqu'il était clair que ce ne serait que pour un verre, nous acceptâmes.

Le jour J nous arrivons à l'hôtel, nous dirigeons vers le bar et je lui indique par message que nous sommes là. Elle avait choisit une robe fourreau bustier très courte, portant dessous un ensemble de lingerie string et portes-jarretelles noirs avec des bas Cervins noirs avec couture apparente. Il faut savoir que nous détestons l'un comme l'autre les collants et les bas dits « stay-up ». Une paire de vertigineux escarpins Louboutin « So Kate » venaient terminer cette renversante tenue. Je n'ai malheureusement pas de photo de cette robe , nous en ferons peut-être une à l'occasion. Averti par mon message, notre contact, Benjamin, arrive enfin, détendu, relax, sympa. Nous étions de notre côté assez stressés et personnellement j'étais excité par la situation même si je savais qu'il ne se passerait rien.

Nous nous installons à l'une des tables du bar de ce bel hôtel (le Majestic pour ne pas le citer) et nous commandons des cocktails tous meilleurs les uns que les autres. Nous discutons tout et de rien, de notre présence sur le site puisque apparemment nous ne rencontrons pas etc. Nous lui expliquons que c'est avant tout pour des raisons professionnelles. Il dévore Mme de ses yeux perçants. Il est grand, fin élancé, environ 1, 85 m, brun, les cheveux longs en carré désordonné, les traits fins, et un subtil sourire charmeur. Il porte une chemise noire de bonne facture, un jean noir et des chaussures de style italien vernies, nonchalamment dénouées. A chaque mouvement de son poignet, tressaute une Rolex Submariner verte, communément appelée « Hulk ». Il respire l'aisance, la nonchalance et il nous met rapidement à l'aise. Il travaille dans le yachting et au fil de la discussion nous nous découvrons des clients communs. La soirée s'enchaîne les verres aussi et, au bout de quelques heures, il nous faut quitter le bar. Courtois il nous propose de nous raccompagner jusqu'au voiturier puisqu'il était convenu qu'il ne se passerait rien. Une fois devant l'hôtel, il me serre la main et, plantant son regard dans les yeux pétillants de Mrs Smooth, il se penche vers elle pour lui faire la bise. A la dernière seconde, à notre plus grand étonnement à tous, celle-ci le saisit tendrement par la tête et l'embrasse fougueusement. Il ne se fait pas prier et lui rend généreusement son baiser. Mon estomac se noue violemment. J'en ai rêvé, j'en suis ravi et pourtant, là, devant moi, voir ma femme, le femme de ma vie embrasser un autre homme me retourne le cœur de jalousie. Heureusement, une divine excitation le remet à l'endroit. Quand ce baiser prend fin, il la regarde, un peu perturbé et lui dit : « j'ai hâte à la prochaine fois alors ». Elle lui sourit et nous partons. Elle m'a avoué plus tard que s'il nous avait proposé de monter ce soir là elle y serait allée, et moi aussi bien sûr. Nous avons continué à échanger avec Benjamin, nous en parlions à 2 pendant nos ébats, nous avions même un « jeu » qui consistait pour elle à ce caresser pendant que moi je l'embrassais, je lui caressais les seins, la nuque tout sauf son intimité, comme si elle jouissait d'un autre. Je lui susurrais à l'oreille l'idée que Benjamin était avec nous tout en lui mordant le cou, les lobes d'oreilles, les épaules, c'était vraiment très bon. En l'écrivant je réalise d'ailleurs que ce sont des jeux qui me manquent de temps en temps, il faudra que j'y repense . . .

Au fil de nos échanges, Benjamin a disparu puis a réapparu, puis re-disparu. Il était bizarre, inconstant, étrange. L'envie de passer à l'acte avec lui nous est passée, la confiance étant peu à peu ébréchée par ce comportement lunaire. Mais le « mal » était fait, elle avait pris l'habitude de discuter avec des hommes sur Wyylde . . . Pour être honnête, ça tournait souvent court, vu le nombre de bourrins écervelés que l'on peut y trouver et qui ne savent pas lire une fiche . . . Mais dans le lot, un autre contact avait du charme et du répondant. Au fil de leurs discussions, une complicité est née et nous avons de nouveau accepté un rendez-vous pour « juste un verre » . . .

A suivre . . .

Quelques photos pour illustrer, notamment le fameux body PlayBoy et la culotte à frous-frous ainsi que l'ensemble de lingerie noir et les talons. Il ne manque que la robe . . . mais je parie que ce n'est pas que qui vous intéresse le plus ^^


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