- 11 janv. 2022, 01:34
#2581374
Bonjour à toutes et à tous !
Certains d'entre vous nous reconnaîtrons peut-être ou du moins sauront reconnaître notre histoire puisque je l'ai déjà postée ici il y a environ 1 an, mais je ne l'avais pas terminée. Comme cela me trottais en tête, j'ai décidé, en commun accord avec ma belle Mrs Smooth, de ré-ouvrir ce sujet pour aller au bout du récit cette fois. Si ça vous intéresse tant mieux sinon . . . il y a plein d'audtre sujets qui feront votre bonheur, j'en suis sûr !;)
Je vais donc m'efforcer de raconter un peu notre histoire qui, vous le verrez, tient plus du triolisme que du candaulisme brut, passif, comme il est souvent raconté ici.
Nous sommes un couple de la côte d'azur, fin de trentaine, plutôt bien faits, voire carrément canon pour Mme (ok, j'ai du mal à être objectif, je l'ai épousée, je vous laisserai juges d'après nos photos). Nous sommes ensemble depuis . . . un peu moins de 20 ans maintenant ! ! Autant vous dire que nous nous sommes construits ensembles. Pour diverses raisons, professionnelles avant tout, nous avons vécu nos 6 premières années à distance. Mais cela n'importait pas. Personnellement, je ne me voyais pas faire ma vie avec une autre et de son côté, j'étais le tout première homme / amant / amoureux et même baiser de Mme ! ! ! Elle avait su attendre presque 20 ans avant d'embrasser un garçon, c'était pas pour se barrer ensuite avec le premier bellâtre venu ! Durant ces 6 années, nous avons vécu séparé par 300 à 1000km (selon les périodes), nous nous retrouvions les week-ends et vacances lorsque c'était possible. Au moment où nous devions enfin nous installer ensemble, j'ai accepté un poste à 13 000km d'elle pendant presque un an . . . Petit moment tendu à passer, mais encore une épreuve que nous avons surmonté. Histoire que le tableau soit complet, elle bossait alors dans un milieu à 95% masculin et moi dans un milieu festif et de débauche absolue, la confiance en l'autre est donc d'office devenu l'un de nos piliers.
Pour vous décrire Mme, superbe femme d'environs 1,63m pour 50kg, des yeux bleus profonds et de beaux cheveux longs et roux (aujourd'hui, car blonde lorsque je l'ai connue) . Oui, elle plaît énormément et ne laisse que rarement indifférent même si elle bien sûr, ne s'aime pas et ne voit que des défauts (que moi je cherche encore presque 20 piges après). De mon côté, 1,83m 80kg environ, brun yeux verts, j'ai plutôt tendance à plaire même si comme elle je vois surtout les défauts.
D'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours adoré qu'elle plaise. Je me rappelle que l'été où nous nous sommes connus, je parlais d'elle avec mon meilleur ami avec qui je travaillais à ce moment là et, dans le fil de notre discussion, il m'avait clairement dit qu'elle était vraiment canon. J'avais vraiment adoré ça, peut-être comme une sorte « d'approbation » de mon choix alors que, soyons honnêtes, quand on aime quelqu'un on s'en fout pas mal de ce que les autres en pensent. (On est con à 18 ans ! ) J'adorais aller à la plage avec elle, déjà parce que j'aimais la voir et parce que j'aimais voir qu'elle attirait discrètement les regards, même si à l'époque, par manque de confiance en moi cela me rendait secrètement jaloux. En revanche, je n'ai jamais pensé la « posséder ». Pour moi, chaque être humain est libre, et même lorsque l'on se marie, ce n'est pas pour « posséder » l'autre mais plutôt pour s'engager à partager des choses, bonnes ou mauvaises avec. Donc ma « jalousie » est toujours restée toute relative.
Au fil des ans nous avons appris à nous découvrir sexuellement et nous avons essayé plusieurs choses de temps en temps, assez classiques et toujours entre nous. Evoluant dans le milieu de la nuit, j'ai beaucoup entendu parler du milieu libertin assez tôt, assez jeune et ça a toujours été quelque chose que me fascinait sans pour autant savoir réellement ce qui pouvait m'y attirer. J'étais curieux, je voulais voir, savoir . . . Mais certainement pas sans elle. Vu le milieu professionnel dans lequel j'évoluais, j'aurais pu, sans peine, faire tout ce que j'aurais voulu, tout ce que j'aurais pu rêver, fantasmer et bien plus encore mais sans elle c'était pour moi inintéressant. Je ne me souviens plus quand je lui ai proposé d'essayer, « d'aller voir », pour la première fois, ce devait être l'année où nous avons enfin pu nous installer ensemble. Ca ne l'intéressait pas, j'évitais d'insister mais je laissais la porte ouverte. De mon côté, ça bouillonnait tellement dans ma tête que j'avais entrepris des recherches sur les pratiques, etc., et plus j'avançais, plus je me rendais compte que ce qui m'attirait le plus c'était un trio, non pas avec une autre femme comme beaucoup d'hommes, mais bien avec un autre homme . . . Difficile à comprendre voire à admettre dans un premier temps puis, maintenant que j'avais compris, ça devenait plus clair et donc plus pressant. Je l'aimais (toujours aujourd'hui hein, rassurez-vous), je l'admirais (toujours aussi), j'adorais qu'elle plaise et surtout je voulais qu'elle ait du plaisir, différemment, plus, mieux etc, j'aurais trouvé tous les superlatifs. J'ai subtilement essayé d'aborder le sujet mais elle était assez réfractaire, arguant qu'elle n'en avait ni l'envie ni le besoin, que je lui suffisais voire, pire que j'avais qu'à aller faire ça avec d'autres gens (ça c'est quand elle était vraiment gavée, ça sentait le défi à ne pas relever). Mais justement, moi les autres j'en avais rien à foutre ! Il n'y avait qu'avec elle que je voulais vivre tout ça, il n'y avait qu'elle que je voulais voir dans ces moments là. Bref on était pas du tout sur la même longueurs d'ondes.
A cette époque, je venais lâcher une super situation à l'étranger pour pouvoir la retrouver puisqu'elle ne pouvait pas venir, étant bloquée par un engagement professionnel très long. Nous vivions alors à 1h au nord de Paris. C'était pour moi une période difficile, j'avais dû abandonner le plan des mes rêves pour revenir vivre dans un endroit peu intéressant simplement parce qu'elle y était en poste. J'ai déprimé 8 mois, j'ai mis du temps à me refaire une situation professionnelle conséquente et valorisante mais j'y suis finalement parvenu.
C'est long hein ? Je suis désolé mais je suis un peu obligé de prendre les chose par le début pour bien planter le décor . . .
C'est à ce moment, quand je venais enfin de me stabiliser de façon intéressante, qu'on apprend quelle sera mutée au début de l'été suivant. Il nous restait 1 an sur place . . . En gros, j'allais devoir à nouveau tout abandonner, tout ce que j'avais réussi à reconstruire . . . Nouveau moment difficile . . . De son côté, elle approchait de la fin de sa vingtaine et commençait vraiment à vouloir parler enfants, mariage etc. Moi, tout ce que je voyais c'était « repartir de 0 ». On était pas super en phase . . . Là dessus, elle doit partir à l'étranger pour quelques mois, pour une mission pro et, à son retour il ne nous resterait que quelques mois pour déménager. Elle part donc pour sa mission pro, entourée de mecs comme d'habitude, dans une ambiance de couple plutôt négative puisque étant moi-même un peu déboussolé à l'idée de devoir tout abandonner une nouvelle fois je ne lui avais pas donné les signes d'engagement qu'elle attendait (mariage, bébé, bébé, mariage). Cependant, malgré les 7000km qui nous séparaient, nous arrivions à nous parler toutes les semaines si pas tous les jours. Je lui ai même envoyé, pour son anniversaire, un colis énorme remplis de petites attentions (gourmandes et sentimentales). Un mois après cet envoi, quatre mois après être partie, la voilà de retour. Je suis tout heureux de la retrouver et nous nous sautons dans les bras dès son arrivée. Nous décidons d'aller manger dehors pour célébrer nos retrouvailles mais je sentais que quelque chose était . . . « différent ». Elle n'était pas aussi à l'aise que d'habitude, quelque chose lui pesait c'était évident et elle voulait clairement en parler, ne rien me cacher. Je lui pose la question et elle me dit « j'ai fait une bêtise, faudrait qu'on en parle ». . . Sur le coup, la bouchée est un peu dure à avaler, je suis à la fois rongé par le doute, la curiosité et . . . oh tiens, mais ne serait-ce pas l'excitation qui se tient là, tapie dans l'ombre des ses deux complices ? Je lui suggère donc calmement, en souriant, qu'il serait sans doute mieux d'en parler chez nous ce qu'elle accepte aussitôt.
Une fois chez nous, nous nous asseyons côte à côte dans le canapé, et je lui demande de qu'elle bêtise il s'agit. Elle m'avoue alors avoir eu une aventure avec un collègue de travail lui aussi en couple de son côté d'ailleurs. Il lui a fait du rentre-dedans pendant 3 mois et, séduite, elle a cédé à 2 semaines du retour ! Elle est comme ça, cérébrale à outrance. Vous pouvez lui caler le plus beau des chippendales, l'Apollon de service, si il ne séduit pas son esprit, il n'aura rien ! C'est d'ailleurs quelque chose que j'adore chez elle . . .
Nous y sommes donc ! Elle vient de m'avouer m'avoir concrètement trompé, avec un autre, sans me le dire, sans que ce ne soit convenu, bref, un adultère tout ce qu'il y a de plus officiel. Je suis à la fois dévoré par la jalousie et par l'excitation. Autant vous dire qu'à ce moment de ma vie j'en savais beaucoup moins sur le sujet qu'aujourd'hui donc je suis complètement paumé. Mais je vois qu'elle n'est pas bien. Ses yeux de chaton pris en flagrant délit me chamboulent (elle est très forte pour ça) et il m'est impossible de lui en vouloir. Ma première réaction, ma première question me surprend autant qu'elle : « et c'était bien ? » Éberluée elle répond timidement « oui ». Alors, face à son adorable gène, je décide inconsciemment de lui « faire payer » : je lui demande de me raconter . . .
Ils auraient donc flirté quelques jours en cachette, bisous etc sans aller plus loin, mais le jour j c'est elle qui lui a demandé de venir la rejoindre (premier coup dans le bide, je ne l'en aurais pas crue capable, je l'imaginais plutôt en « victime d'un prédateur ». Mon *** ouais!). Elle avait passé une jolie petite robe courte à rayures avec le plus bel ensemble qu'elle avait emmené avec elle, string et soutien-gorge en dentelles violets, cette même robe dans laquelle elle m'avait parlé en visio quelques jours avant . . . (ah la garce!) Lorsqu'il est arrivé, ils se sont embrassés et sont vite passés à l'acte. Après 3 mois d'abstinence, ils en avaient autant envie l'un que l'autre. Elle m'a raconté qu'ils ont fait ça dans le noir, que ça avait été bref mais intense. Mais je voulais en savoir plus :
«-Tu l'as sucé ?
-Oui, d'ailleurs il avait un sexe vraiment tordu , il ne voulait pas que je descende m'en occuper mais moi j'en avais envie.
-Il t'a léchée ?
-Oui.
-Mieux que moi ? (mais quelle question con avec le recul . . .)
-Non, différent, c'était très bien aussi.
-Et après ? Quelle positions ?
-Roo je sais plus moi (gêne visible).
-Missionnaire ?
-Oui.
-Levrette ?
-Oui.
-Amazone ?
-Oui.(Putain ils ont tout fait ! ! Ca me tuait de jalousie et d'excitation à la fois)
-. . .Sodomie ? (d'une voix tremblante, on ne le faisait jamais)
-Non. (pfiou, l'honneur est sauf, encore une réaction à la con ceci dit)
-Il a jouit où ?
-Je sais pas, c'était dans le noir.
-Mais enfin tu dois savoir quand même, tu l'as entendu non ?
-Je sais pas il s'est retiré pour pas jouir en moi.
-. . . QUOI ?
-. . .
-Vous l'avez fais SANS CAPOTE ? ? ?
-. . . oui . . .
-Mais vous êtes des malades ? ? ?
-Oui on s'en est vraiment voulus après.
-Ah ben j'espère bien. Et ça a duré combien de temps toutes ces folies?
-Assez peu en fait, il a jouit vite, on était très excités tous les deux. » (petit moment de satisfaction personnelle puisque je parviens à me contrôler assez bien pour tenir jusqu'à son orgasme minimum). « Mais il est « revenu » vite, 5 minutes après alors on a recommencé. » (ok là tout s'effondre, moi une fois fini je mets une éternité à repartir. Je n'apprendrai que des années après que ça dépend des mecs et surtout de leur niveau d'abstinence).
Elle m'a donc expliqué qu'ils ont fait ça deux fois, quasiment de suite, les deux fois sans capote (alors qu'elle ne prenait pas la pilule) et qu'après il est reparti. Il lui envoyait des messages et elle m'avouait qu'elle s'en foutait à ce moment là, selon ses dires elle « avait eu ce qu'elle voulait, elle voulait dormir maintenant ». J'ai vraiment adoré cette partie là. Ca faisait d'elle une belle femme, forte, indépendante qui assumait son désir et ses pulsions, j'adorais ça.
On a évidemment fait l'amour immédiatement dans le canapé puis sur le tapis. D'ailleurs au moment de la prendre en levrette, elle se positionna d'une nouvelle façon, lui permettant d'avoir un meilleur accès « manuel » à son intimité. Je compris qu'elle tenait cette nouvelle position de son dernier amant, ce qui eu pour effet de m'exciter encore plus ! En fait, l'adultère c'est constructif ! !
Peu après nous avons reparlé de tout ça, et j'ai subtilement (ou pas) glissé un mot à propos de mon fantasme de trio, d'aller voir en club etc mais même si elle semblait moins fermée, ça n'était pas le moment pour elle. Elle avait toujours ses objectifs en tête (mariage bébé, bébé mariage). C'était il y a 10 ans, la première fois qu'elle couchait avec un autre homme que moi dans toute sa vie. Elle a longtemps soutenu qu'elle avait alors des sentiments pour lui à l'époque, et que lui aussi, et qu'elle avait cédé pour ça, pensant que moi je ne l'aimais plus puisque je ne lui avais pas dit que je voulais me marier ni avoir des enfants. Avec le temps elle n'est plus sûre de ça. Puis nous nous sommes mariés, nous avons déménagé pour sa mutation et nous les avons eu les enfants . . .
A suivre . . .
Pour illustrer, quelques photos de nous mais surtout d'elle puisque j'ai cru comprendre qu'elle avait tendance à plaire sur ce forum . . . Vos petits mots font toujours plaisir tant qu'ils restent courtois. On peut être torride tout en étant subtil non ?
Certains d'entre vous nous reconnaîtrons peut-être ou du moins sauront reconnaître notre histoire puisque je l'ai déjà postée ici il y a environ 1 an, mais je ne l'avais pas terminée. Comme cela me trottais en tête, j'ai décidé, en commun accord avec ma belle Mrs Smooth, de ré-ouvrir ce sujet pour aller au bout du récit cette fois. Si ça vous intéresse tant mieux sinon . . . il y a plein d'audtre sujets qui feront votre bonheur, j'en suis sûr !;)
Je vais donc m'efforcer de raconter un peu notre histoire qui, vous le verrez, tient plus du triolisme que du candaulisme brut, passif, comme il est souvent raconté ici.
Nous sommes un couple de la côte d'azur, fin de trentaine, plutôt bien faits, voire carrément canon pour Mme (ok, j'ai du mal à être objectif, je l'ai épousée, je vous laisserai juges d'après nos photos). Nous sommes ensemble depuis . . . un peu moins de 20 ans maintenant ! ! Autant vous dire que nous nous sommes construits ensembles. Pour diverses raisons, professionnelles avant tout, nous avons vécu nos 6 premières années à distance. Mais cela n'importait pas. Personnellement, je ne me voyais pas faire ma vie avec une autre et de son côté, j'étais le tout première homme / amant / amoureux et même baiser de Mme ! ! ! Elle avait su attendre presque 20 ans avant d'embrasser un garçon, c'était pas pour se barrer ensuite avec le premier bellâtre venu ! Durant ces 6 années, nous avons vécu séparé par 300 à 1000km (selon les périodes), nous nous retrouvions les week-ends et vacances lorsque c'était possible. Au moment où nous devions enfin nous installer ensemble, j'ai accepté un poste à 13 000km d'elle pendant presque un an . . . Petit moment tendu à passer, mais encore une épreuve que nous avons surmonté. Histoire que le tableau soit complet, elle bossait alors dans un milieu à 95% masculin et moi dans un milieu festif et de débauche absolue, la confiance en l'autre est donc d'office devenu l'un de nos piliers.
Pour vous décrire Mme, superbe femme d'environs 1,63m pour 50kg, des yeux bleus profonds et de beaux cheveux longs et roux (aujourd'hui, car blonde lorsque je l'ai connue) . Oui, elle plaît énormément et ne laisse que rarement indifférent même si elle bien sûr, ne s'aime pas et ne voit que des défauts (que moi je cherche encore presque 20 piges après). De mon côté, 1,83m 80kg environ, brun yeux verts, j'ai plutôt tendance à plaire même si comme elle je vois surtout les défauts.
D'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours adoré qu'elle plaise. Je me rappelle que l'été où nous nous sommes connus, je parlais d'elle avec mon meilleur ami avec qui je travaillais à ce moment là et, dans le fil de notre discussion, il m'avait clairement dit qu'elle était vraiment canon. J'avais vraiment adoré ça, peut-être comme une sorte « d'approbation » de mon choix alors que, soyons honnêtes, quand on aime quelqu'un on s'en fout pas mal de ce que les autres en pensent. (On est con à 18 ans ! ) J'adorais aller à la plage avec elle, déjà parce que j'aimais la voir et parce que j'aimais voir qu'elle attirait discrètement les regards, même si à l'époque, par manque de confiance en moi cela me rendait secrètement jaloux. En revanche, je n'ai jamais pensé la « posséder ». Pour moi, chaque être humain est libre, et même lorsque l'on se marie, ce n'est pas pour « posséder » l'autre mais plutôt pour s'engager à partager des choses, bonnes ou mauvaises avec. Donc ma « jalousie » est toujours restée toute relative.
Au fil des ans nous avons appris à nous découvrir sexuellement et nous avons essayé plusieurs choses de temps en temps, assez classiques et toujours entre nous. Evoluant dans le milieu de la nuit, j'ai beaucoup entendu parler du milieu libertin assez tôt, assez jeune et ça a toujours été quelque chose que me fascinait sans pour autant savoir réellement ce qui pouvait m'y attirer. J'étais curieux, je voulais voir, savoir . . . Mais certainement pas sans elle. Vu le milieu professionnel dans lequel j'évoluais, j'aurais pu, sans peine, faire tout ce que j'aurais voulu, tout ce que j'aurais pu rêver, fantasmer et bien plus encore mais sans elle c'était pour moi inintéressant. Je ne me souviens plus quand je lui ai proposé d'essayer, « d'aller voir », pour la première fois, ce devait être l'année où nous avons enfin pu nous installer ensemble. Ca ne l'intéressait pas, j'évitais d'insister mais je laissais la porte ouverte. De mon côté, ça bouillonnait tellement dans ma tête que j'avais entrepris des recherches sur les pratiques, etc., et plus j'avançais, plus je me rendais compte que ce qui m'attirait le plus c'était un trio, non pas avec une autre femme comme beaucoup d'hommes, mais bien avec un autre homme . . . Difficile à comprendre voire à admettre dans un premier temps puis, maintenant que j'avais compris, ça devenait plus clair et donc plus pressant. Je l'aimais (toujours aujourd'hui hein, rassurez-vous), je l'admirais (toujours aussi), j'adorais qu'elle plaise et surtout je voulais qu'elle ait du plaisir, différemment, plus, mieux etc, j'aurais trouvé tous les superlatifs. J'ai subtilement essayé d'aborder le sujet mais elle était assez réfractaire, arguant qu'elle n'en avait ni l'envie ni le besoin, que je lui suffisais voire, pire que j'avais qu'à aller faire ça avec d'autres gens (ça c'est quand elle était vraiment gavée, ça sentait le défi à ne pas relever). Mais justement, moi les autres j'en avais rien à foutre ! Il n'y avait qu'avec elle que je voulais vivre tout ça, il n'y avait qu'elle que je voulais voir dans ces moments là. Bref on était pas du tout sur la même longueurs d'ondes.
A cette époque, je venais lâcher une super situation à l'étranger pour pouvoir la retrouver puisqu'elle ne pouvait pas venir, étant bloquée par un engagement professionnel très long. Nous vivions alors à 1h au nord de Paris. C'était pour moi une période difficile, j'avais dû abandonner le plan des mes rêves pour revenir vivre dans un endroit peu intéressant simplement parce qu'elle y était en poste. J'ai déprimé 8 mois, j'ai mis du temps à me refaire une situation professionnelle conséquente et valorisante mais j'y suis finalement parvenu.
C'est long hein ? Je suis désolé mais je suis un peu obligé de prendre les chose par le début pour bien planter le décor . . .
C'est à ce moment, quand je venais enfin de me stabiliser de façon intéressante, qu'on apprend quelle sera mutée au début de l'été suivant. Il nous restait 1 an sur place . . . En gros, j'allais devoir à nouveau tout abandonner, tout ce que j'avais réussi à reconstruire . . . Nouveau moment difficile . . . De son côté, elle approchait de la fin de sa vingtaine et commençait vraiment à vouloir parler enfants, mariage etc. Moi, tout ce que je voyais c'était « repartir de 0 ». On était pas super en phase . . . Là dessus, elle doit partir à l'étranger pour quelques mois, pour une mission pro et, à son retour il ne nous resterait que quelques mois pour déménager. Elle part donc pour sa mission pro, entourée de mecs comme d'habitude, dans une ambiance de couple plutôt négative puisque étant moi-même un peu déboussolé à l'idée de devoir tout abandonner une nouvelle fois je ne lui avais pas donné les signes d'engagement qu'elle attendait (mariage, bébé, bébé, mariage). Cependant, malgré les 7000km qui nous séparaient, nous arrivions à nous parler toutes les semaines si pas tous les jours. Je lui ai même envoyé, pour son anniversaire, un colis énorme remplis de petites attentions (gourmandes et sentimentales). Un mois après cet envoi, quatre mois après être partie, la voilà de retour. Je suis tout heureux de la retrouver et nous nous sautons dans les bras dès son arrivée. Nous décidons d'aller manger dehors pour célébrer nos retrouvailles mais je sentais que quelque chose était . . . « différent ». Elle n'était pas aussi à l'aise que d'habitude, quelque chose lui pesait c'était évident et elle voulait clairement en parler, ne rien me cacher. Je lui pose la question et elle me dit « j'ai fait une bêtise, faudrait qu'on en parle ». . . Sur le coup, la bouchée est un peu dure à avaler, je suis à la fois rongé par le doute, la curiosité et . . . oh tiens, mais ne serait-ce pas l'excitation qui se tient là, tapie dans l'ombre des ses deux complices ? Je lui suggère donc calmement, en souriant, qu'il serait sans doute mieux d'en parler chez nous ce qu'elle accepte aussitôt.
Une fois chez nous, nous nous asseyons côte à côte dans le canapé, et je lui demande de qu'elle bêtise il s'agit. Elle m'avoue alors avoir eu une aventure avec un collègue de travail lui aussi en couple de son côté d'ailleurs. Il lui a fait du rentre-dedans pendant 3 mois et, séduite, elle a cédé à 2 semaines du retour ! Elle est comme ça, cérébrale à outrance. Vous pouvez lui caler le plus beau des chippendales, l'Apollon de service, si il ne séduit pas son esprit, il n'aura rien ! C'est d'ailleurs quelque chose que j'adore chez elle . . .
Nous y sommes donc ! Elle vient de m'avouer m'avoir concrètement trompé, avec un autre, sans me le dire, sans que ce ne soit convenu, bref, un adultère tout ce qu'il y a de plus officiel. Je suis à la fois dévoré par la jalousie et par l'excitation. Autant vous dire qu'à ce moment de ma vie j'en savais beaucoup moins sur le sujet qu'aujourd'hui donc je suis complètement paumé. Mais je vois qu'elle n'est pas bien. Ses yeux de chaton pris en flagrant délit me chamboulent (elle est très forte pour ça) et il m'est impossible de lui en vouloir. Ma première réaction, ma première question me surprend autant qu'elle : « et c'était bien ? » Éberluée elle répond timidement « oui ». Alors, face à son adorable gène, je décide inconsciemment de lui « faire payer » : je lui demande de me raconter . . .
Ils auraient donc flirté quelques jours en cachette, bisous etc sans aller plus loin, mais le jour j c'est elle qui lui a demandé de venir la rejoindre (premier coup dans le bide, je ne l'en aurais pas crue capable, je l'imaginais plutôt en « victime d'un prédateur ». Mon *** ouais!). Elle avait passé une jolie petite robe courte à rayures avec le plus bel ensemble qu'elle avait emmené avec elle, string et soutien-gorge en dentelles violets, cette même robe dans laquelle elle m'avait parlé en visio quelques jours avant . . . (ah la garce!) Lorsqu'il est arrivé, ils se sont embrassés et sont vite passés à l'acte. Après 3 mois d'abstinence, ils en avaient autant envie l'un que l'autre. Elle m'a raconté qu'ils ont fait ça dans le noir, que ça avait été bref mais intense. Mais je voulais en savoir plus :
«-Tu l'as sucé ?
-Oui, d'ailleurs il avait un sexe vraiment tordu , il ne voulait pas que je descende m'en occuper mais moi j'en avais envie.
-Il t'a léchée ?
-Oui.
-Mieux que moi ? (mais quelle question con avec le recul . . .)
-Non, différent, c'était très bien aussi.
-Et après ? Quelle positions ?
-Roo je sais plus moi (gêne visible).
-Missionnaire ?
-Oui.
-Levrette ?
-Oui.
-Amazone ?
-Oui.(Putain ils ont tout fait ! ! Ca me tuait de jalousie et d'excitation à la fois)
-. . .Sodomie ? (d'une voix tremblante, on ne le faisait jamais)
-Non. (pfiou, l'honneur est sauf, encore une réaction à la con ceci dit)
-Il a jouit où ?
-Je sais pas, c'était dans le noir.
-Mais enfin tu dois savoir quand même, tu l'as entendu non ?
-Je sais pas il s'est retiré pour pas jouir en moi.
-. . . QUOI ?
-. . .
-Vous l'avez fais SANS CAPOTE ? ? ?
-. . . oui . . .
-Mais vous êtes des malades ? ? ?
-Oui on s'en est vraiment voulus après.
-Ah ben j'espère bien. Et ça a duré combien de temps toutes ces folies?
-Assez peu en fait, il a jouit vite, on était très excités tous les deux. » (petit moment de satisfaction personnelle puisque je parviens à me contrôler assez bien pour tenir jusqu'à son orgasme minimum). « Mais il est « revenu » vite, 5 minutes après alors on a recommencé. » (ok là tout s'effondre, moi une fois fini je mets une éternité à repartir. Je n'apprendrai que des années après que ça dépend des mecs et surtout de leur niveau d'abstinence).
Elle m'a donc expliqué qu'ils ont fait ça deux fois, quasiment de suite, les deux fois sans capote (alors qu'elle ne prenait pas la pilule) et qu'après il est reparti. Il lui envoyait des messages et elle m'avouait qu'elle s'en foutait à ce moment là, selon ses dires elle « avait eu ce qu'elle voulait, elle voulait dormir maintenant ». J'ai vraiment adoré cette partie là. Ca faisait d'elle une belle femme, forte, indépendante qui assumait son désir et ses pulsions, j'adorais ça.
On a évidemment fait l'amour immédiatement dans le canapé puis sur le tapis. D'ailleurs au moment de la prendre en levrette, elle se positionna d'une nouvelle façon, lui permettant d'avoir un meilleur accès « manuel » à son intimité. Je compris qu'elle tenait cette nouvelle position de son dernier amant, ce qui eu pour effet de m'exciter encore plus ! En fait, l'adultère c'est constructif ! !
Peu après nous avons reparlé de tout ça, et j'ai subtilement (ou pas) glissé un mot à propos de mon fantasme de trio, d'aller voir en club etc mais même si elle semblait moins fermée, ça n'était pas le moment pour elle. Elle avait toujours ses objectifs en tête (mariage bébé, bébé mariage). C'était il y a 10 ans, la première fois qu'elle couchait avec un autre homme que moi dans toute sa vie. Elle a longtemps soutenu qu'elle avait alors des sentiments pour lui à l'époque, et que lui aussi, et qu'elle avait cédé pour ça, pensant que moi je ne l'aimais plus puisque je ne lui avais pas dit que je voulais me marier ni avoir des enfants. Avec le temps elle n'est plus sûre de ça. Puis nous nous sommes mariés, nous avons déménagé pour sa mutation et nous les avons eu les enfants . . .
A suivre . . .
Pour illustrer, quelques photos de nous mais surtout d'elle puisque j'ai cru comprendre qu'elle avait tendance à plaire sur ce forum . . . Vos petits mots font toujours plaisir tant qu'ils restent courtois. On peut être torride tout en étant subtil non ?
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