Merci pour votre patience, navré pour le délai, voici la suite . . .
Chapitre 8, Le beau maladroit (et un clairement « asocial »)...
Nous avons donc pris quelques semaines nécessaires de pause, autant pour nous retrouver que pour oublier toutes nos déceptions et surtout pour zapper certains gros tocards indélicats, qu'aujourd'hui encore nous souhaiterions n'avoir jamais croisé . . . Je faisais des passages bref sur notre fiche mais plus pour « nettoyer » les messages inintéressants que pour vraiment discuter. Parfois, Mrs Smooth était à côté de moi et jetait un œil désinvolte sur la masse de candidats insipides qui nous écrivaient quotidiennement. Par courtoisie, je répondais toujours, mais naturellement, les échanges tournaient court rapidement, faute de conversation captivante. Ceci dit, dans la masse des conversations mourantes, certaines tenaient mieux que d'autres. Il faut dire qu'après toutes nos déceptions, on ne devait pas être les plus cools à aborder . . . Avec le recul on a peut-être été un peu secs parfois, mais sans regrets. Encore une fois, si les gens se montraient courtois, nous l'étions en retour.
Parmi ces rares exceptions, un « jeune » homme de 28 ans, à la fiche avenante,parvenait à éviter tant bien que mal l'éviction.De jolies photos sobres, pas de gros plans phalliques, du noir et blanc sur un torse bien taillé, de la conversation et de la courtoisie, que des échanges très sympathiques mais sans être vraiment orientés « sexe ». Des discussions relativement anodines, parlant de tout et de rien. Il a bien sûr fini par nous proposer d'aller prendre un verre, mais simplement, juste pour se rencontrer, sans arrières-pensées à l'esprit. Après toutes ces rencontres plus ou moins navrantes, on hésitait. Il avait l'air très gentil, plutôt plaisant en photo et surtout pas pressé ni empressé. Alors on s'est dit pourquoi pas ? Mais juste un verre, relax, sans même se prendre la tête à sortir le grand jeu vestimentaire. Comme dit Mrs Smooth, elle y est allée en mode « marre de ces cons » ou plutôt « marre de me casser en 12 pour ces cons ». Chaque fois elle passait des heures à s'apprêter, se préparer, choisir les dessous, les robes, les talons, s'assurer que tout était parfait, là, changement radical ! On y va que pour un verre ? Ok, ça sera pantalon skinny blanc, Converses blanches, t-shirt moulant turquoise et un petit poncho de laine noir pour se protéger de la douce bise azuréenne d'une fin de mois de septembre.
Ainsi nous nous rendons au lieu du rendez-vous, un bar animé de Nice, dans le quartier du Cours Saleya en bout de Promenade des Anglais. Après une quête digne des plus grands romans de Fantasy pour trouver une place de parking, nous arrivons au bar. Nous retrouvons ensuite Adrien, notre rendez-vous à l'entrée du bar, face à la Baie Des Anges. Il est de taille moyenne, un peu plus d'1,75m mais clairement moins d'1,80m. Il a l'air bien bâti mais sa tenue simple n'en laisse rien paraître. Une chemise noire simple, sur un jean tout aussi simple. Une petite paire de baskets noire en tissu. Très décontracté mais ça ne nous gène pas, on en a fait autant. En revanche, il a vraiment un beau visage. Clairement, il est beau gosse. Brun, les cheveux courts, des yeux noirs assez fins, le teint légèrement hâlé et un sourire charmeur mais innocent. D'ailleurs il ne se comporte pas du tout comme un habitué de ce type de rencontres, il est discret, respectueux, ne joue pas les séducteurs du dimanche, bref, un feeling sympa et relax, comme prévu.
On s'installe à une table et on entame une discussion très variée, mais sans trop de séduction. J'avoue avoir oublié pas mal de détails depuis le temps, mais rien ne m'a réellement marqué. Il est courtois mais pas entreprenant, beau mais pas séducteur, sympa mais pas vraiment charmeur. On se découvre lui et moi quelques centres d'intérêts communs mais je ne veux pas trop m’appesantir dessus pour éviter d'exclure involontairement Mrs Smooth d'une discussion de passionnés. Je me souviens m'être même absenté pour aller « aux toilettes », excuse que je sors chaque fois que je veux laisser au prétendant l'opportunité de se sentir plus libre sans ma présence. Parfois ils peuvent ainsi se montrer plus entreprenants. Pas cette fois là. Il montre bien de l'intérêt pour Mrs Smooth et sa beauté mais sa courtoisie bloque un peu toute tentative de séduction. Décidément, pas évident de trouver un juste milieu satisfaisant...
Le bar étant bruyant, une fois nos verres terminés on envisage de poursuivre la discussion ailleurs, sans vraiment avoir d'idées. Lui nous propose alors d'aller chez lui. Il dit vivre sur les hauteurs de Nice et nous invite à y prendre un verre. N'étant moi-même pas fermé à l'idée d'un autre verre, mais toujours dans une optique de soirée amicale, je me tourne vers ma belle Mrs Smooth pour chercher dans son regard une approbation ou une déclinaison. Au bar, elle m'avait déjà laissé entendre qu'elle le trouvait beau, pour une fois (hormis Chris bien sûr), mais qu'elle ne sentait pas qu'elle lui plaisait plus que ça. Elle accepte le verre, un peu dans l'esprit « on verra où ça va ».
Par le hasard des choses, nous sommes stationnés dans le même parking. Nous suivons donc Adrien en voiture, et dites-vous que ce n'est pas une mince affaire. Il faut savoir suivre, dans les rues et le trafic niçois, sa petite Audi S1 avec mon gros SUV qui prend vite des allures d'ours poursuivant une souris ! ! En quelques minutes, nous quittons le centre-ville et grimpons l'une des collines entourant Nice. Rapidement, nous arrivons dans un très beau quartier, composé uniquement de belles propriétés anciennes de celle dont on ne peut voir que les murs d'enceinte et le portail. Il ralenti à l'approche de l'une d'elle et, une fois le lourd portail de fer forgé ouvert, nous y entrons à sa suite. Durant le trajet, nous discutons un peu avec Mrs Smooth, de l'étrange personnage qu'est notre hôte imprévu.
Oui il est super gentil, vraiment adorable, oui il est vraiment beau garçon, par contre soit il est vraiment timide, soit il n'a pas beaucoup l'habitude de ce type de rencontres voire de la société en général ! Néanmoins, sa courtoisie et sa politesse nous ont convaincus à accepter ce verre en plus. Il n'a d'ailleurs fait aucun sous-entendu laissant à croire qu'il aurait plus de projets qu'un verre ou deux.
La maison est immense. Malgré l'obscurité d'une nuit sans trop de lune, nous devinons l'imposante taille du bâtiment, dont l'âge et le cachet en imposent. À le voir lui, c'était insoupçonnable autant qu'insoupçonné ! ! Il nous fait entrer dans un grand salon et nous explique que la maison appartient à ses parents et qu'il n'en occupe qu'une partie. Tout s'explique ! Il nous fait brièvement visiter mais toujours sans sous-entendus, sans séduction claire. Étonnant... Il nous propose à boire comme convenu, sodas, jus de fruits, là aussi une simplicité détonnante dans ce cadre mais pas dérangeante pour nous, on est aussi très simples. Il nous conduit dans l'aile de la maison qu'il occupe et nous continuons à discuter. Depuis que nous sommes arrivés, je parle de moins en moins, je les laisse plutôt parler entre eux, je m'efface pour leur laisser l'espace de mieux se sentir à leur aise.Esthétiquement, je sais que Mrs Smooth est séduite et qu'elle cherche à savoir si c'est réciproque. Pour moi, observateur, ça ne fait aucun doute. Adrien profité de chaque opportunité de pouvoir la détailler discrètement mais bon sang, pourquoi n'en laisse-t-il rien paraître ? Au final, à l'approche de sa chambre, la conversation se calme, créant cette petite atmosphère subtile de « l'avant ». Juste avant. Juste avant le premier vrai regard intense. Juste avant le premier contact physique. Juste avant le premier baiser. Juste avant . . . LE moment où l'amant doit faire le premier pas . . ; Premier pas qui ne vient pas. Je me suis volontairement mis à l'écart, dans un coin de la pièce feignant de regarder une collection de disque loin d'être aussi passionnante que ce qui se passe à l'autre bout de la chambre. Puis, je vois Mrs Smooth qui craque et prend les choses en mains, l'air de dire « si c'est pas moi qui le fait, personne le fera » ! ! ! Elle se tourne alors vers Adrien, passe ses bras fins autour de son cou et s'approche pour l'embrasser...
Bien évidemment, la réaction ne se fait pas attendre. Il lui rend aussitôt son baiser, et plus encore, et, au contact des lèvres de cette superbe rousse, il semble transformé ! Il devient plus fougueux tout en restant doux, mais surtout il devient (enfin) plus entreprenant ! !
Tout en échangeant des baisers, Mrs Smooth déboutonne la chemise noire et ce faisant révèle un torse lisse particulièrement bien dessiné. Effectivement, il est vraiment bien bâti. En revanche, des doutes quant à son âge commencent à naître, mais le moment est mal choisi pour les évoquer. En effet, il vient d'orienter, en douceur, la belle Mrs Sooth vers le lit, juste après lui avoir ôté son t-shirt, révélant ainsi sa poitrine superbement mise en valeur par un très beau push-up turquoise. Cette vue semble galvaniser notre jeune ami qui, après l'avoir déboutonné, s'empare du skinny blanc au niveau des fines chevilles de ma belle rousse et le fait glisser d'un geste vif, offrant à nos regards avides de désir le shorty en dentelle turquoise composant la deuxième partie des sous-vêtements du jour . . . Toujours debout, il en profite pour laisser tomber au sol son propre pantalon, ne conservant ainsi pour seul vêtement qu'un sobre boxer noir, déjà bien déformé de désir. La bosse visible laisse présager d'un membre assez imposant . . .
Il se penche ensuite vers ma belle, sans même se soucier de ma présence, et il la rejoint sur le lit, l'embrasse et fait rapidement sauter l'agraphe du soutien-gorge, libérant ainsi les sublimes seins de ma Mrs Smooth, qui en semble pas non plus faire grand cas de ma présence à cet instant, ce qui me ravit. J'adore qu'elle se consacre à 100% à son amant, sans se soucier de moi. J'aime ça, j'aime la voir profiter d'un autre, prendre du plaisir avec un autre et en donner. C'est probablement l'une des choses qui m'excite le plus au monde. Je pense que dans certaines situations, quand c'est intense, beau, torride, je pourrais jouir d'admiration en la regardant, sans même me toucher. Je la trouve tellement belle, plus encore dans l'action. Elle n'est jamais vulgaire, jamais « cheap », toujours sensuelle, sublime, gracieuse, c'est totalement naturel chez elle est c'est précisément l'une des choses qui me rend fou d'elle. Bref, je m'égare . . . La voici donc allongée, uniquement couverte de son shorty en dentelle turquoise, mais cette mince protection ne tient pas longtemps face à la fougue de son amant. Alors qu'il l'embrasse, allongé sur elle, entre ses cuisses, le voici qui commence à parcourir de ses lèvre avide la douce peau de Mrs Smooth. D'abord son cou fin et délicat, puis ses épaules gracieuses, bien sûr il ne manque pas de profiter de sa poitrine, embrassant, léchant, mordillant ses tétons roses et parfaitement dessinés, puis il continue sa descente le long de son ventre et enfin, glissant ses doigt dans la dentelle, de part et d'autre de ses hanches, il fait disparaître le shorty en une fraction de secondes. Alors, il plonge avec frénésie sa tête entre les cuisses de mon Amour, s'abreuvant avec désir et excitation à la source du plaisir de ma Belle. Curieux, voyeur, excité et follement amoureux, je me suis rapproché, m'asseyant discrètement sur un coin du lit pour ne pas perturber la scène. Je lui prends la main, je croise son regard (j'adore quand elle me regarde alors qu'elle est avec un autre), mais rapidement je comprends que j'ai vu la situation plus belle qu'elle ne semble l'être. D'un regard, je comprends que sans être désagréable, la situation de semble pas être si intense que j'avais pu le croire. Nous nous connaissons bien, et nous nous comprenons bien souvent sans parler. Sans dire un mot, j'essaie de savoir si c'est ma présence qui dérange mais elle me fait comprendre que non, que le problème semble plutôt se situer entre ses jambes. C'est « mauvais », mais c'est loin d'être extra . . .
Mais subitement, sans prévenir, voici qu'Adrien se relève alors que j'embrassais ma belle, et se débarrassant de son boxer, remonte à la hauteur de Mrs Smooth, en reprend totale possession et il s'insère en elle, le plus naturellement du monde, en l'embrassant, comme si elle était sienne depuis longtemps, comme si je n'étais même pas là et surtout . . . sans aucune protection ! ! !
Elle l'enlace et l'embrasse, tentant, je suppose, d'humaniser un rapport qui, selon ses dires par la suite, était vraiment « froid et mécanique », et elle ne semble pas s'apercevoir qu'il la prend « à nue ». Je suis totalement perdu. Partagé entre les risques absolument irresponsables que cela représente, et en même temps, l'immense excitation de la voir ainsi pénétrée « au naturel », sous mes yeux, par un amant qui visiblement n'a pas l'intention de me laisser la moindre place je ne sais pas comment réagir. Je me souviens avoir plus ou moins chevroté une connerie du genre « euh ouais mais faut faire gaffe » à demi-mots, sans grande conviction et surtout sans aucun effet. Pour la première fois, je suis réellement exclu du rapport, bien que présent juste à coté, le contact le plus intense que j'ai avec elle étant de lui tenir occasionnellement la main. Et à ma très grande surprise . . . je me rends compte que j'aime ça. Oui, j'aime « aussi » être sur la touche. Devoir rester spectateur. Laisser l'amant gérer, la laisser elle profiter de son instant. Ce n'est certes pas le bon amant (clairement elle a l'air de s'ennuyer), mais je sens au fond de moi que j'ai envie de développer, occasionnellement cette partie plus « candauliste » que trioliste.
Au milieur de ces réflexions, je vois ma belle qui, profitant d'un instant de relâchement se retourne, se place sur les genoux et les coudes, dans la position sans équivoque qu'est la levrette. Je sais que c'est sa position préférée et qu'elle espère sans doute ainsi prendre plus de plaisir. Toujours généreuse, elle sait aussi qu'elle va pouvoir s'occuper un peu de moi dans cette position. La voilà donc ainsi, prise par Adrien, sans douceur mais sans violence non plus, sans émotions, machinalement. Elle tente tant bien que mal de me prodiguer les meilleurs soins dont elle est capable mais les assaut de son amant ne lui facilitent pas la tâche. Celui-ci semble d'ailleurs moins apprécier cette position et lui fait comprendre qu'il préfère revenir au missionnaire. Elle se réallonge donc et il la reprend aussitôt, accélérant le rythme au fur et à mesure de son excitation, jusqu'à ce que, sentant l'échéance fatidique arriver, ma belle lui murmure sensuellement : « par contre je ne prends pas la pilule donc tu peux pas jouir dedans . . . » Adrien ne répond rien , poursuivant ses assauts frénétiques, puis, d'un coup, dans un râle, il s'arrache à elle et explose de plaisir dans de longs jets de sperme chaud qui viennent s'étaler sur le ventre ruisselant de sueur de Mrs Smooth . . . La vision de ce jeune homme bien bâti, au gros sexe dur et tendu, implosant sur ma belle est un summum d'excitation pour moi . . . Après la chute des dernières gouttes, il l'embrasse à nouveau et s'excuse pour aller prendre une douche, nous laissant seuls tous les deux.
Je me précipite alors sur mon Amour, l'embrassant, lui demandant si elle va bien et elle me sourit, répondant d'une petite moue goguenarde un discret « ouais ouais ça va », manquant grandement de conviction. Je comprends alors qu'elle s'est fermement ennuyée, et ce malgré les incontestables atouts de son amant ! ! ! Me sentant comme « investit » d'une mission quasi « divine » (et surtout rongé d'excitation), je me précipite pour prendre le relai et, puisqu'elle est inondée de la jouissance de son amant sur le devant, je la retourne tendrement pour la prendre à mon tour dans la position qu'elle aime tant. Malheureusement, après la scène à laquelle je viens d'assister, avec toutes les nouvelles émotions que je viens de traverser je ne tarde pas à jouir à mon tour, l'aspergeant ainsi « recto-verso », au moment même où Adrien revient de la douche, apportant des serviettes à notre attention. Soupirant, je baisse les yeux vers le sublime corps de ma Mrs Smooth adorée pour « admirer » les dégâts . . . Elle en a littéralement partout, sur ses superbes fesses rondes et musclées, sur le dos, et bien sûr sur le ventre et les seins. On en rit un peu puis elle part à son tour se doucher, me laissant en compagnie de son amant éphémère qui s'est rhabillié d'un pantalon et tshirt noir. Il parle toujours aussi peu, fait peu de commentaires sur ce que nous venons de vivre, c'en est même assez dérangeant en fait. Puis, nous sommes assez vite rejoints par Mrs Smooth qui se rhabille à son tour. Adrien nous propose alors d'aller boire un verre en bas, ce que nous acceptons, mais là encore, peu d'échanges, peu de discussion, comme si un étrange malaise incompréhensible s'était installé. Aussi, nous ne tardons pas à le quitter, poliment, subtilement, et toujours dans cette atmosphère légèrement malaisante.
Sur le trajet du retour, Mrs Smooth m'avoue qu'elle n'a eu aucun plaisir. C'était, selon ses dires, « insipide, incolore, inodore ». Il n'était pas à l'écoute une seule seconde de ses réactions à elle. Il y est allé machinalement, brutalement, mécaniquement, sans aucune considération pour elle et elle n'y a pris aucun plaisir. Elle s'est sentie comme un « réceptacle à coups de reins ». Il était sexuellement comme il était personnellement. Froid, étrange, détaché. Sans doute notre expérience la plus bizarre à ce jour. Pas la pire malheureusement, mais la plus « malaisante ». Le lendemain, il nous a écrit sur notre profil, et, par politesse nous l'avons remercié de nous avoir accueillis, ce à quoi il a répondu un : « ouais, c'était marrant » . . . C'était la goutte de trop. Il n'en fallait pas plus pour vexer viscéralement Mrs Smooth qui, quand elle se donne, se donne dans son intégralité, sans restrictions, en toute sincérité, du plus profond de son âme. Alors c'est pas pour recevoir ce genre de commentaire maladroits autant qu'insultants. Nous lui avons donc signifié que nous ne souhaitions plus le revoir. Et nous terminions ainsi notre énième mauvaise expérience . . .
Nous commencions à vraiment comprendre que notre recherche, notre conception des relation à 3 semblait réellement irréalisable et que nous ne trouverions jamais l'amant parfait . . .
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