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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
par Anthony89
#2582502
Nous sommes sur paris. Tout va pour le mieux entre nous. Nous sommes bien décidés à profiter : resto léger puis nuit au mask, club libertin parisien. Nous sommes descendus dans un hôtel à proximité. On a le droit à une chambre surclassée. Avant d’aller au resto, je t’ai fait une gâterie, tu as joui. J’ai aimé sentir tes lèvres et ta chatte se contracter. Tu t’es habillée de manière très sexy : tu es belle et je t’aime. Nous partons dans un petit resto traditionnel. Tout se passe bien. On est heureux : un bon plat, un verre de vin, un couple amoureux… que demander de plus. Avec la fin du repas, On sent l’excitation de la soirée libertine monter. Tu me regardes intensément, je te rends ton regard. Il est un peu plus de 23h, on part au mask. 
Arrivés sur place, on nous débarrasse de nos vestiaires. Pendant que tu choisis ton mask (tout noir avec juste une plume noire sur le côté gauche), je vais voir le patron au bar. Je lui dis que c’est moi qui ai réservé le salon privé. Tu me regardes avec un air interrogateur. Le patron me dit : « ok, c’est vous. C’est pour la surprise de madame. » je te souris. On nous conduit donc vers le salon privé du rez-de-chaussée. Une fois rentrée, le patron nous apporte une bouteille de champagne dans un sceau rempli de glaces. Il tire le rideau en sortant. Tu me demandes ce qu’il se passe, qu’est-ce que j’ai préparé. Je mets mon index sur ta bouche en signe de silence : plus un bruit. Je me mets derrière toi. Tu es très sexy dans ta courte robe noire. Je t’embrasse dans ton cou. Tu sens ma queue gonflée sur tes fesses. Je te murmure ce qui suit : « ma puce, après toutes ces années, on a décidé de choisir une voie pas ordinaire, et on est maintenant heureux. Je veux t’offrir des expériences extraordinaires. Je t’ai donc fait un cadeau. Je vais te laisser vivre ce moment. Je vais me mettre dans un coin et profiter du spectacle. A aucun moment, je n’interviendrai » tu as toujours ton regard interrogateur mais tu respectes le silence. Je me recule doucement dans un coin du salon privé. Le rideau s’ouvre alors à l’opposé. Trois grands hommes blacks entrent, simplement vêtus de caleçons blancs. Ils sont grands, jeune (le plus âgé ne doit pas avoir 30 ans) bien musclés, et surtout, il est facile de deviner que, sous leurs caleçons blancs, se cachent des queues mémorables. Ils s’approchent de toi sans dire un mot. Ils t’entourent : un derrière, un de chaque côté. Ils commencent à t’embrasser dans le cou. Un te titille les seins au travers de ta robe. Ils enlèvent leur seul habit laissant apparaître trois grosses queues d’ébène en semi-érection. La tension monte… 
Tu te retournes alors d’un coup pour faire face à celui qui, l’instant d’avant, était dans ton dos. Tu le fixes du regard puis tu te mets à genoux devant lui. Ton visage est maintenant à quelques millimètres de sa queue. Tu l’attrapes et tu la mets dans ta bouche. Ta main droite te sert à maitriser ce que tu as dans ta bouche, pendant que ta main gauche en profite pour masturber un autre homme.
 
Je suis dans un coin. Je reste stoïque, bouche bée. Je ne pensais pas que tu pourrais franchir le pas ainsi facilement. Maintenant que tu as tenté le diable avec plaisir, j’ai conscience que ta vie ne sera plus jamais la même. 
Te voir prendre dans ta bouche cette queue noire est une image de plaisir que je n’oublierai jamais. 
Ton plaisir est indéniable, et cela se voit. Je vois la queue grossir. Elle est maintenant bien raide. Tu joues avec ta langue sur son gland avant de prendre dans ta bouche un peu de cet objet de désir. L’homme que tu masturbais fait un signe à celui qui te suçait d’enlever pour quelque instant sa tête de ta chatte. Tu es sur le dos et il te prend violemment pendant quelques secondes. Tu hurles immédiatement de plaisir. Jamais tu ne t’étais fait prendre comme cela. Son immense queue va et vient dans ta chatte a un rythme effréné. Il s’arrête d’un coup et ressort de ta chatte.
Tu lui cries de continuer mais, avant même que tu puisses protester plus, le dernier homme se remet à te laisser ta chatte et tu chavires à nouveau de plaisir. Jamais ton corps n’avait connu de telles sensations …
À partir de ce moment précis, ton corps ne répondit plus : tu n’étais plus capable ni de parler, ni de réfléchir. Seuls comptaient ton clitoris léché frénétiquement par une langue passionnée et ta bouche qui subissait les assauts répétés de cette queue.
Tu sentais sur ta langue toutes les terminaisons nerveuses de ce chibre. Tu avais presque envie qu’il jouisse tout de suite pour sentir le goût et l’odeur du sperme sur toi, 
Le dernier homme s’était isolé. Je ne m’en étais pas rendu compte tout de suite, mais il m’observait, moi qui ne perdait pas une seconde de ce qui se passait. Quand je l’aperçus, je rougis. J’avais presque honte d’offrir ainsi ma femme a des inconnus, alors même que j’étais à l’origine de tout cela. Il me sourit sans dire un mot. Mon regard revint alors sur toi et je compris alors deux choses : la première était que tu prenais un plaisir immense (et c’était vraiment cela l’essentiel), la seconde était que cet homme avait une idée. Il se rapprocha alors de ces deux compères et les fit arrêter. Il te mît à quatre pattes, en appui sur les coudes et tes genoux. Ils entreprirent de te prendre à tour de rôle par des périodes brèves. Ils alternaient les rôles assez rapidement. Chacune de ces pénétrations étaient des jouissances sans nom. Jamais ton vagin n’avait ressenti de telles sensations. Je voyais ces queues noires aller et venir sans cesse dans ta chatte toute rouge. Quand l’un te pénétrait, les autres tentèrent en vain de se faire sucer par toi. Tu ne pensais qu’à toi, ta chatte et ton plaisir. Ton plaisir était immense. Chacun de vos corps luisaient de transpiration et la tension était maximum. Des mots et des phrases que tu n’avais jamais prononcés sortaient de ta bouche en criant : « prenez-moi comme une salope ! Fais-moi jouir ! Prenez moi fort !» c’était vraie complainte de plaisir. Tu jouis sans aucune retenue. L’orgasme atteint. Les trois hommes t’allongèrent sur le dos, cuisses écartées. Ils se branlèrent au-dessus de toi. Ils jouirent sur ton bas ventre et sur tes seins. Chacune des giclées reçues semblaient brûler ton corps. Tu aimais recevoir ce liquide chaud sur ton corps. 
C’était fini. Vous veniez tous de jouir. Je me rendis compte que je ne m’étais même pas masturbé en vous regardant. J’étais resté là, dans mon coin, immobile. Les 3 noirs disparurent assez rapidement. Tu allas te nettoyer puis te rhabiller. Il était déjà 2h du matin. Cette scène avait finalement presque duré 3h. En récupérant nos vestiaires, tu m’embrassas doucement sur la joue et tu le dis tout simplement merci. On était tous les deux au bord des larmes. 
Sur le trajet du retour, tu me dis que j’allais avoir le remerciement qu’il fallait à l’hôtel. J’étais impatient. Tu tiras sur ma manche. Je compris que tu voulais l’embrasser sur la joue. J’eus tort. Au lieu de cela, tu me murmuras tout doucement à l’oreille : « j’en veux 4 la prochaine fois… »
marchet, glissements, Wysiwyg et 14 autres a liké
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par cando16
#2583237
Malgré le commentaire tout à fait dispensable, je trouve ton récit formidable et j'espère que tu nous en diras plus sur l'évolution de vos jeux coquins !
coc31 a liké

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