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Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
par etalon05
#298
Rendez-vous avec ta chienne devant le cinéma, elle est juste à l’heure devant ce ciné porno sordide fréquenté par des vieux à la recherche de sensations faites pour leur donner quelques émotions qu’ils ne connaissent plus depuis des années.
Je lui avais demandé de tenir un journal à la main, de porter un mini jupe et des bas auto portants noirs. Elle était étonnée de ne pas me voir et plus encore d’être abordée par un homme âgé d’une soixantaine d’années qui lui demanda si elle était bien Madame XXX. Surprise, elle ne pouvait qu’acquiescer. Il lui demanda de le suivre à l’intérieur de la salle, il avait les billets à la main, achetés au préalable.
Une faible lumière éclairait l’endroit ou quelques silhouettes éparses pouvaient être vaguement distinguées, elle me cherchait du regard, en vain.
Elle demanda à la personne qui la précédait si je me trouvais dans la salle mais il ne répondit pas et lui indiqua une place située à l’arrière du ciné dans une rangée où il n’y avait personne. Elle pris place au milieu de la rangée et s’assit, inquiète.
Les lumières s’éteignirent peu à peu, la tension la gagnait. Le film débutât mais elle n’y prêta qu’une faible attention, l’angoisse la gagnait.


Soudain, elle se fit encadrer par deux personnes qu’elle pouvait à peine distinguer dans la pénombre, ce n’était ni toi ni moi, seule certitude pour elle.
En effet, il s’agissait d’habitués des lieux, deux vieux pervers avertis du deal et qui avaient répondus présents à l’offre que je leur avais faite.
Sans hésitation celui assis à sa gauche qui s’appelait Henri se pencha vers elle et lui dit : « c’est toi la salope de la soirée ? »
« je ne sais pas j’attendais quelqu’un »
« oui et bien le ou les quelqu’un c’est nous salope ».

Pendant ce temps son voisin de droite, Paul, avait déjà glissé sa main sur le Dim up de ta pute et commençait à remonter le long de son entrejambes sans ménagement. Elle eu le réflexe de serrer les cuisses mais ne put résister à l’insistance de ce visiteur pressé de gagner le haut des jambes tremblantes de ta cochonne.

Henri, à son tour tentait de capturer la bouche de ta femme qui tentait encore de s’extraire à cette emprise qu’elle ne souhaitait pas. Il la saisit par les cheveux et de force écrasa ses lèvres sur les siennes, fourra sa langue humide dans la bouche de ta grognasse qui ne put qu’émettre quelques gloussements étouffés.

La main du vieux s’immisça sous le chemisier et pris immédiatement la direction du soutien gorge rempli à souhait. Il palpa avec délectation les petits seins de tPaul avait continué son exploration et avait glissé ses doigts sous le fin tissu du string qu’elle portait en accord avec son soutien gorge qui lui avait déjà cédé sous les assauts de son voisin de gauche.

Les doigts de Paul parcouraient sans ménagement la raie du sexe de ton épouse qui malgré sa répulsion commençait malgré elle à mouiller.

« Tu aimes ça hein grosse cochonne, je vais te faire gueuler de plaisir ».
Les nichons triturés d’un côté et le sexe fouillé par trois doigts elle commençait à s’abandonner et refusait de lutter contre ses salauds qui se déchaînaient de plus belle.
Henri lui saisi la tête et la fit se plier sur son pantalon. Sa braguette ouverte en vitesse il sortit une grosse queue flasque et obligea ta grognasse à le sucer. Elle eu un mouvement de recul, mais la pression sur sa nuque la poussa sur l’engin qu’elle pris en bouche et se mit à lécher comme une truie. Pendant ce temps Paul lui administrait une véritable correction en lui ramonant avec vigueur son vagin détrempé.


Elle pompait de plus belle Henri qui reprenait la vigueur de son jeune temps. Puis elle se mit à gémir sous la grosse masturbation de son autre voisin.

A son tour, celui-ci avait dégagé sa queue de sa braguette et se mit à pénétrer le sexe de ta femme qu’il avait ouvert à souhait. Il ne possédait plus le rythme et la vigueur mais il se faisait plaisir de baiser un gros cul de trou à bittes. Elle commençait à sentir les effets qui étaient si faible au départ.

Henri avait sorti ses gros nichons hors du chemisier et pelotait avec fermeté les bouts tendus qu’il serrait entre son pouce et son index et les étirait avec ferveur, elle gémissait.

Paul demanda à son tour d’être sucé, il était épuisé par l’effort qu’il venait de faire, elle se retourna et présenta ses fesses à Henri, pris la queue de l’autre en bouche et se mit à le pomper fougueusement.

Henri n’hésita pas et il glissa deux doigts mouillés dans l’anus de ta grosse pute qui ne s’attendait pas à ça et sursauta en attirant le regard d’un gars assis trois rangs plus loin.

Le vieux lui fouillait la rondelle et la préparait à recevoir de la bitte.


Une main se posa sur l’épaule d’Henri qui surpris se retourna et vit dans l’obscurité un jeune maghrébin qui se tenait derrière lui en lui faisant signe de laisser la place. Henri obtempéra. L’arabe sorti un mandrin énorme de son pantalon de jogging, saisi ta pétasse par les hanches et s’introduit en douceur dans l’anus dilaté. Elle fût étonnée de la grosseur de la queue qu’elle venait pourtant de sucer et qui, en bouche, ne lui paraissait pas aussi énorme, elle se retourna et s’aperçu que le partenaire arrière avait changé, avec plaisir pour elle d’ailleurs.

a salope et malaxa l’un et puis l’autre de ses nichons.
Il pénétra lentement, glissant centimètre par centimètre sa pine démesurée dans la rondelle qui se faisait plus étroite et devenait irrémédiablement douloureuse. Puis d’un coup, il ressortit sa longue verge et tirant vigoureusement les hanches de la chienne il l’enfonça jusqu’aux couilles, elle voulu crier mais son cri fut étouffé par la bitte qu’elle avait en bouche et qu’elle continuait à pomper au rythme que lui faisait endurer le jeune mâle qui la bourrait tant et plus.

Il lui claqua les fesses tant à gauche qu’à droite, il la tringlait comme une bête, elle avait lâché la queue du vieux devant elle, elle n’avait plus de souffle pour respirer tant elle était secouée par la vigueur de son assaillant.

Les deux vieux s’étaient mis à se branler devant le visage de ta belle pute et l’un et l’autre éjaculèrent de quelques malheureuses gouttes visqueuses qui vinrent couler sur le visage de la salope qui passa la langue sur ses lèvres pour récolter le petit jus qui lui dégoulinait sur la bouche.

L’autre derrière, tellement excité par le spectacle défonça carrément le cul de la cochonne, tous les spectateurs présents ne pouvaient ne pas entendre le bruit que faisaient les sièges désossés et les cris de ta femme, il y eu bien vite huit curieux qui s’approchèrent de la piste de baise. Certains encourageaient l’arabe, d’autres risquaient une main sur le dos et sur les seins de ta femme entièrement possédée.

Son amant se retira, la fit pivoter et s’engouffra dans sa bouche. Dans un râle profond il lâcha la dose sous les regards médusés des autres. Elle avala tout et nettoya de sa langue les traces de sperme qui dégoulinaient le long de la hampe du gars.

Deux ou trois spectateurs se branlaient et vidèrent leurs couilles sur les seins de cette ordure qui avait été servie par des illustres inconnus. Elle avait aimé
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par sergio
#1040
Il est ou ce cinema? :o
Très bandant ce recit.

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