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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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Maputo par la petite porte.

Maputo, 5 juillet 2019. La lune toute souriante est à son premier quartier croissant, la température est idéalement calée à 22 degrés, 1024 millibars de pression atmosphérique, un petit vent de Sud-Ouest 15 km/h.
Il est 18h17, je viens de te déposer devant la porte de l’hôtel Gloria où nous avons fêté il y a quelques mois nos dix ans de mariage, et où maintenant t’attends un amant. Je te suis du regard à travers la vitre de l’hôtel, je te regarde traverser la réception et te rendre directement vers l’ascenseur.
Tu te diriges vers la chambre qu’il a réservé pour votre rencontre. Ton pas est maintenant plus décidé. Tu vas frapper à la porte de cette chambre, il va t’ouvrir, il va t’embrasser, et tu vas faire l’amour avec lui.
En te laissant partir j’ai embrasée ta bouche gourmande, et quand tu es sortie de la voiture je t’ai rappelé de ne pas oublier de donner ton petit cul. Pour moi c’était le but de ce rendez-vous. Je savais qu’il mourrait d’envie, je savais que tu étais d’accord, je savais que tu étais prête à succomber à son désir, je savais que ton petit trou était prêt pour l’aventure. Et moi j’en rêvait. Juste en prononçant cette phrase, mon sexe s’est gonflé de plaisir, et j’ai instantanément imaginé que dans quelques minutes son sexe s’infiltrerait entre tes fesses, pénétrant ta petite porte.
C’est ce matin vers 11h30, qu’il t’a envoyé un message pour te proposer ce rendez-vous. Nous étions en route vers la maison de ta cousine, et dès que tu l’a lu, tu m’as demandé si j’étais d’accord. J’ai tout de suite approuvé tellement j’attendais ce moment. Aucune hésitation, tu le sais, j’adore quand ma petite femme devient libertine et s’abandonne à la luxure et au sexe sans retenue.
Toi tu semblais plus indécise, hésitante. Mais ton corps te trahissait, il paraissait réclamer sans ambiguïté ce moment de stupre.
Mais en fait ton indécision, me démontrait ton irrésistible envie de te plonger dans ce rendez-vous coquin, de t’abandonner encore une fois à une séance de sexe en dehors du couple que nous formions.
Pour ma part cette envie de te partager est constante. Tel le roi Candaule, la vision réelle ou imaginaire de ma chérie possédée sexuellement par d’autres hommes me hante en permanence.
La journée est passée, nous avons peu reparlé du sujet, tu m’as redit une ou deux fois ton hésitation, et je t’ai à chaque fois répété mon désir que tu honore ce rendez-vous galant.
Maintenant il est 16h30, nous sommes revenus dans notre chambre au Guest House. Tu sembles un peu plus décidée, et ton attitude, tes gestes, me laissent penser que tu vas honorer cette rencontre. Tu te décide à l’appeler, je n’ai pas suivi toute votre conversation, car je suis sorti de la chambre. Mais les bribes de votre dialogue que j’ai pu entendre avant de sortir et en revenant, car vous avez bien parlé épandant cinq bonnes minutes, m’on laissé entendre qu’il insistait beaucoup, et que tu était prête à céder.
Mon excitation commence à augmenter car je sens aussi ton corps qui commence à frémir de désir, qu’il invite avec obstination ton esprit à imaginer le plaisir sans retenue que tu vas prendre dans les bras de cet homme, des baisers qu’il va te donner, des pénétrations qu’il va te faire subir, de la jouissance qu’il va t’infliger, du sperme qui va sortir de sa queue quand il va te baiser.
Tu me réclame du vin, le signal m’est maintenant donné. Tu vas coucher avec lui. Pour répondre à ta demande, je cours jusqu’au premier supermarché et j’achète une bonne bouteille et deux verres à pieds.
Tu déteste boire du vin autrement que dans des verres à pieds.
Quelques minutes après, je te retrouve allongée sur le lit, lascive, à jouer avec ton téléphone. Je sers deux verres de vin, et nous trinquons. Nous trinquons à ton rendez-vous, car maintenant c’est sûr, tu es prête, tu es devenue ma putain, tu vas te faire prendre, lui donner ton corps, lui offrir tes seins, ta bouche, ton sexe. Je sais même déjà que tu as décidé de lui donner tes fesses.
Depuis votre dernière rencontre à Johannesburg, il t’a exprimé sa volonté de pouvoir pénétrer ton petit cul. Un jour tu m’as révélé cette envie, et depuis ce jour, lors de nos ébats je t’en parlais souvent, mes doigts se sont souvent retrouvés à l’entrée de ton sphincter, comme pour le préparer a ce moment. J’ai remarqué que lorsque je disais mon envie de te voir lui donner ton cul, tu jouissais quasi-instantanément sous mes caresses.
Plusieurs fois, nous avons défriché tes fesses, à chaque sodomie, j’avais l’impression de pénétrer ton anus pour t’accoutumer à ce moment, pour habituer ton petit cul a se projeter vers cet instant où tu le laisserais t’envahir avec sa verge.
Ce moment est maintenant arrivé. Ce soir, je sais que ton petit trou est prêt à recevoir une queue bien dure, même sans trop de délicatesse. Ce soir, je sais que tu vas pouvoir enfin le faire jouir de cette pénétration anale. Tu vas te délecter de cette rencontre, j’en suis persuadé.
Il est 16h 45, nous somme dans notre chambre d’hôtel. Notre prochain rendez-vous, un dîner dans un restaurant indien avec des amis est prévu à 20h. Il nous reste une heure pour te préparer, tu auras ensuite deux heures disponibles pour ton rendez-vous de plaisir.
Après avoir bu ton verre de vin, un chardonnay 2015 MEERLUST blanc, tu me demande de préparer tes vêtements et tu te diriges vers la douche.
Je te suis, et regarde l’eau couler sur ton corps. je te regarde nettoyer soigneusement ton sexe, tes seins, tes fesses. Tu me laisse prendre des photos, comme pour immortaliser, cette préparation à votre accouplement.
Ton cerveau, lui, a déjà intégré la suite de l’après-midi. En prenant cette douche, tu visualise déjà ce qui va bientôt se passer. Tu connais cet homme car tu as déjà baisé de multiples fois avec lui. Et même si votre dernière rencontre remonte à deux ans, tu sais déjà imaginer son sexe, la façon qu’il a de te prendre, comment il s’enfonce dans tes entrailles. Il est donc facile pour toi, sous la douche, de commencer à visualiser votre rencontre, d’imaginer sa langue s’introduire dans ta bouche pour t’embrasser, de sentir mentalement l’épaisseur de son sexe à l’intérieur de toi.
J’ai adoré participer à la préparation de ce rendez-vous. J’ai mis sur le lit le body transparent que tu avais préparé. J’ai noté que tu n’avais pas sorti de petite culotte, tu allais donc te présenter à lui dans une tenue qui ne laisserai aucun doute sur ton intention de te faire baiser comme une petite putain. La transparence de ton body noir, laissant apparaitre toute ton anatomie, ferais bander n’importe quel homme normalement constitué.
Inconsciemment, j’approuve ton choix et tu deviens instantanément ma petite salope adorée, ma putain d’amour. Lorsqu’il va retirer la petite robe noire que tu m’as demandé de préparer, il va découvrir ce body qui laisse voir la pointe de tes seins, la fente de ton sexe que tu as soigneusement rasée ce matin (peut être un augure), il va aussi voir la raie de tes fesses, qui conduit à ton petit cul dont il rêve tant.
Le vin plus l’excitation de ton rendez-vous me font oublier ce que tu m’as demandé. Tu me rappelle de penser à mettre des préservatifs et du lubrifiant dans ton petit sac rouge. J’avais tout préparé au départ de Johannesburg (peut être un pressentiment).
J’ai récupéré le tout dans ma valise et glissé trois préservatifs et un petit flacon de lubrifiant dans ton sac. En manipulant la bouteille, j’ai pensé que dans moins d’une heure maintenant, il enlèvera ce bouchon, il fera couler du lubrifiant sur ses doigts, et toi les jambes écartées lui offrant ton sexe bien ouvert, tu le laisseras mettre ses doigts remplis de liquide sur ton clitoris, à l’intérieur de ton sexe, aux abord de ton anus. Ses doigts s’enfonceront ensuite dans ton vagin pour bien l’imprégner du fluide visqueux, puis ils se glisseront ensuite dans ton cul pour te préparer à cette sodomie qui ne laissait maintenant plus de doute pour aucun d’entre nous. Tu voulais, je voulais et il voulait t’enculer. Nous étions tous prêt à cela, tout était en place pour cet instant de jouissance commune.
Voilà, tout est prêt, il te reste à passer de la crème sur ton corps, je t’ai encore prise en photo nue, faisant soigneusement pénétrer cette crème sur tout ton corps, j’ai remarqué que ta main s’attardait sur ton pubis et entre tes fesses, comme pour mieux les préparer à de futures caresses. Tu t’es ensuite glissée nue dans ton body, je t’ai aidé à le fermer. Tu as revêtu ta robe noire, il ne restait plus que les chaussures, tu m’as demandé de choisir, finalement nous nous sommes décidés pour les sandales hautes noire.
Tu est belle, radieuse, prête à partir. Il est déjà 18h12.
Moi, je suis prêt à offrir ma petite femme adorée a cet homme que je ne connais que par ta bouche. Je suis prêt à le laisser envahir toute ton intimité avec son membre viril, à ce que vous jouissiez de votre accouplement.
Heureusement nous n’étions pas loin de l’hôtel Gloria car ton rendez-vous était prévu à 18h et il devait déjà être là dans la chambre, impatient de te voir arriver.
Cinq minutes plus tard nous étions devant la porte de l’hôtel, il est 18h17.
Tu m’as embrassé, en faisant semblant que je t’obligeai à ce rendez-vous.
De fait tu étais déjà dans ton trip, et je savais ton sexe déjà trempé de désir. Je t’aime ma petite salope d’amour. Tu as ouvert la porte de la voiture, et en sortant je t’ai dit de ne pas oublier de donner ton petit cul. Tu m’as gentiment insulté, Mais je savais que tu avais déjà cela en tête, nous en parlions tellement souvent, nous avions tant préparé ce moment, que le contraire n’était pas imaginable.
Tu as jeté un dernier regard vers moi avant d’entrer dans l’hôtel, et tu as marché droit devant toi, droit vers ce moment de plaisir, droit vers le sexe de cet homme qui allait te baiser, te prendre par tous tes orifices, tu avançais droit vers ton plaisir.

20h05 : « mon amour, tu peux venir me chercher, j’ai fini ».
Je t’attendais dans notre chambre du Guest house. J’ai passé presque deux heures en bandant, regardant des photos de toi, et imaginant chaque seconde de ce que tu étais en train de vivre. Il me semblait entendre tes gémissements à chaque coup de sexe qui entrait dans tes chairs. Il me semblait voir son membre te pénétrer profondément, ta bouche l’embrasser goulûment, tes doigts saisir sa queue avec appétence. J’ai vu sa main infiltrer ton intimité, étaler le lubrifiant que j’avais préparé plus tôt sur ton clitoris et dans ton vagin, je l’ai vu enfiler un préservatif. Allongé sur notre lit, j’ai vu son sexe gonflé de désir se diriger vers ta chatte, son gland s’approcher de toi et élargir les lèvres de ton sexe, pour se perdre enfin tout au fond de ton vagin. J’ai vu les coups de boutoir brutaux qui faisaient vibrer tes seins que tu maintenais à pleine mains. J’ai vu qu’au fur et à mesure de ses va-et-vient animaux, ton sexe semblait se distendre par la taille de sa bite. Cette bite qui occupais maintenant tout le volume de ta chatte comblée.
Au bout d’un moment, il a retiré son sexe de ta fente, la laissant béante et trempée de plaisir, il a changé de préservatif, il a repris le tube de lubrifiant, il a déversé quelques gouttes du fluide visqueux sur ton anus, avec son doigt il en a fait pénétrer à l’intérieur. Il a enfoncé son doigt un peut plus profondément dans tes entrailles, faisant pénétrer de plus en plus de lubrifiant à l’intérieur. Il a mis quelques gouttes du lubrifiant sur le préservatif qui recouvrait son sexe. Tu étais toujours allongée sur le dos, les jambes toujours ouvertes, tu étais prête maintenant à sa pénétration anale. J’ai alors vu son gland s’approcher de ton cul et s’enfoncer lentement à l’intérieur.
Tu ne bougeais pas, mais dès que le pénis est rentré à l’intérieur de toi, tu as commencé à imprimer des mouvements avec tes hanches pour lui offrir une pénétration de plus en plus profonde. J’ai vu dans tes yeux la satisfaction que tu as eu de sentir tout son sexe bien calé à l’intérieur de ton cul. J’ai vu le rythme de ses coups de bite s’accélérer de plus en plus. Chaque fois que son sexe ressortait de ton cul, il pouvait voir les lèvres de ton sexe encore béant s’entrouvrir encore plus, comme pour appeler à encore plus de plaisir.
Et puis il a joui. Sa jouissance s’est mêlée à la tienne. Tout ton corps a tremblé de plaisir. Ton sexe et ton cul, tout le bas de ton ventre, ne faisaient plus qu’un. Tout comme ta chatte auparavant, ton anus qui venais de subir tous ces assauts est resté à moitié entrouvert.
Ensuite tout est allé très vite, tu es partie de laver dans la salle de bain de la chambre, tu t’es habillée, tu as réajusté ton body transparent noir, tu as revêtu ta petite robe noire, tu as mis tes chaussures, tu as récupéré les préservatifs et le lubrifiant.
Et tu m’as appelé : « mon amour, tu peux venir me chercher, j’ai fini ».
Je suis sorti de mon état de rêve éveillé, j’ai sauté dans la voiture et me suis garé en face de la sortie de l’hôtel. Tu es arrivée quelques minutes plus tard avec un air ravi et souriant, tu es montée dans la voiture, je t’ai demandé si cela c’était bien passé, tu m’as répondu que oui, bien que malgré le manque d’intimité que tu avais ressenti au début du rendez-vous, tout s’était parfaitement passé. Tu étais satisfaite, rassasiée de sexe.
Nous nous sommes ensuite rendu vers le restaurant indien où nous avions rendez-vous avec nos amis de port Elizabeth. 22 heures, le repas a duré trois siècles, je mourrais d’envie de faire l’amour avec toi.
Arrivés dans notre chambre, je crois que je t’ai sauté dessus, je crois que j’ai arraché ta robe noire et ton body transparent. Je crois que je t’ai proposé un massage pour te relaxer.
Tu t’es allongée sur le ventre et tu m’as offert la vision de ta croupe rebondie, tes jambes sont restées écartées, ton vagin béant et humide, ton anus marqué des intrusions répétées du sexe de ton partenaire de cette fin d’après-midi.
Peut-être m’exhibais-tu ta croupe pour me dévoiler les conséquences de votre baise, ou peut-être tout simplement parce que l’invasion de son sexe dans ton vagin et dans ton anus furent si brutaux que tu ne parvenais pas encore à les refermer.
Je crois que pendant le massage je n’ai pas quitté des yeux ton sexe et ton cul, recherchant tous les signes qui m’indiqueraient votre copulation.
Je ne quittais pas des yeux les lèvres de ton vagin toujours entrebâillées, ni ton petit cul qui dévasté avait subi ses assauts et restait encore bien élargi par ses coups de bite reçus.
Les marques de votre acte sexuel étaient si visibles qu’elles ne faisaient qu’accroître mon excitation.
Son sexe qui est plus épais que le mien avait certainement eu du mal à s’introduire à l’intérieur, mais tu m’as avoué plus tard que tu n’avais pas ressenti de douleur. Peut-être que le plaisir avait pris le dessus sur la souffrance, peut être que la préparation que nous avions faite ensemble ces derniers mois avais porté ses fruits.
Après le massage que je pense avoir bien bâclé (je m’en excuse), mes doigts se sont promenés sur ton sexe et sur tes fesses, j’ai introduit mon index au fond de toi, comme pour juger des dégâts qu’il avait causé à ton anus. Je me suis approché de ton pubis pour l’embrasser, j’ai senti une odeur de préservatif, mêlée aux effluves de sexe d’homme que ta toilette rapide a l’hôtel n’avais pas totalement atténué. Juste pour confirmer a mes sens olfactifs avec tous ces parfums qui se dégageait de ton sexe, l’évidence de la baise que tu venais de subir.
Les sentiments ressentis à ce moment-là sont indescriptibles. J’étais partagé entre des envies de voyeurisme, continuer à contempler ta croupe offerte en imaginant tes ébats de l’après-midi, et une irrésistible envie de me plonger dans ton sexe qui quelques heures auparavant subissait les pénétrations de ton amant du jour.
J’ai pris le tube de lubrifiant et j’ai étalé le liquide consciencieusement sur ton clitoris et dans ta vulve, faisant déborder quelques gouttes vers ton anus. J’allais te baiser, j’allais être le second homme à te prendre dans la même soirée.
Tu t’es retournée, allongée sur le dos, et j’ai commencé à te masturber. En même temps que je te caressais, je t’ai bombardée de questions, tu m’as confirmé tout ce que j’avais imaginé et tu as joui. Tu as joui de mes caresses qui se sont mêlées aux souvenirs encore si proche de cet après-midi que je te remémorais en t’interrogeant.
Toujours allongée sur le dos, m’offrant la même position qu’à ton amant quelques instants plus tôt, Mon sexe a pris la place du sien dans ton vagin. Je pouvais ressentir en te pénétrant que sa queue avait bien élargi ta fente.
Le plaisir de te pénétrer si peu de temps après un autre homme est indéfinissable. C’est une autre jouissance, un moment de plaisir intense incomparable à une jouissance normale. Le plaisir semble décuplé, cette sensation dure longtemps ensuite, chaque moment de sexe qui nous rapproche, rappelle cet instant magique où tu es revenue de ce rendez-vous érotique, que tu es redevenue mienne et du bonheur de t’aimer de cette manière.
J‘ai joui dans toi. En retirant mon sexe de ton vagin, du sperme c’est mis à couler le long de tes fesses. Ton cul était toujours dilaté par les pénétrations de ton amant de cette fin d’après-midi, des gouttes de mon foutre se sont infiltrées dans ton anus pour se mélanger au lubrifiant.
Nous nous sommes endormis, tous les deux satisfaits de cet épisode amoureux.
Cette journée va rester gravée dans notre mémoire amoureuse. Je vais rêver à d’autres situations coquines ou je vais t’offrir à d’autres hommes, tu vas rêver à d’autres circonstance indécentes dans lesquelles tu vas t’offrir à d’autres pénétrations sauvages.
Libertine, c’est comme cela que je t’aime.

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