- 07 juil. 2022, 12:07
#2630344
Après près de deux décennies de libertinage, de candaulisme et autres coquineries, il est heureux de pouvoir connaitre encore des « premières fois », des aventures jamais encore rencontrées. Ainsi ce mois de juin dernier, nous revenions de vacances en Espagne, la route était belle, le temps très chaud, et ma chérie légèrement vêtue s’amusait, comme elle le fait souvent, à montrer ses nichons aux routiers que l’on dépassait, avec un succès évident. Notamment un où je profitais d’un moment où la route était parfaitement dégagée pour rester un moment à sa hauteur. Il appréciait manifestement l’exhibition de ma cochonne, lui faisant signe de le rejoindre et exposant par signes ce qu’il envisageait avec elle. Cela dura jusqu’à ce que d’autres véhicules nous rattrapent et m’obligent à dépasser .Ma chérie était tout excitée par le succès qu’elle avait eu et riait en pensant à la trique que devait avoir le type dans sa cabine, et avait même précisé : « Il était mignon celui-là ! » Est-ce cette remarque qui fit que, sans trop réfléchir et ayant aperçu une prochaine aire de stationnement je pris la sortie. Panique de Claire ! « Tu es fou, il va nous suivre… ». Il nous suivait, en effet ! Je continuais vers le parking poids-lourds et m’arrêtais au calme tout au fond. L’instant d’après, le camion était près de nous. Claire était effarouchée et cachait soigneusement ce qu’elle venait de si généreusement montrer. Le mec descendit de sa cabine et tout souriant vint du côté de Claire, lui faisant signe de baisser la vitre. Beau mec, en effet : en short vu la température, bien musclé et tatoué…J’appuyais sur le bouton, la vitre se baissa et aussitôt il s‘adressa à moi pour dire que j’avais une superbe gonzesse, qu’elle l’avait fait bander en lui exhibant ses nichons et qu’il en voulait encore. « Allez, montre les moi ! ». Elle portait une robe d’été longue entièrement boutonnée sur le devant, qu’elle n’avait pas reboutonnée après son exhib. Comme elle faisait sa timide je tirai sur un côté, mettant la moitié de la poitrine à l’air, l’autre suivit mon exemple et les pointes dressées de ses nénés montraient qu’elle n’était pas insensibles à cette situation. « Tu veux bien que je touche ? » Il n’attendit pas la réponse et déjà sa grosse paluche pétrissait les globes, pinçait les bouts. Puis descendait vers son ventre, faisant s’ouvrir la robe, si bien que maintenant il la voyait à poil. « Tu viens dans ma cabine ? On sera plus tranquille. » Silence ! Un silence qu’il rompit en s’adressant à moi : « Tu es d’accord qu’elle vienne un moment avec moi ? » Je bottais en touche : « C’est elle qui décide… » Il dut prendre cela pour un accord car il ouvrit la portière et la prit par le bras pour la faire sortit : « Allez viens, je vais te faire visiter mon bahut ! » Elle me jeta un dernier regard comme pour quêter mon approbation et se dirigea vers le camion. Il lui ouvrit la porte, l‘aida à monter les marches en lui mettant les deux mains aux fesses, monta à son tour et me tendit le poing pouce levé pour témoigner que c’était Ok. L’instant d’après porte fermée, rideaux aux vitres et moi seul dans la voiture…
C’était quand même une situation nouvelle ! Je ne me demandais pas ce qui se passait à l’intérieur, je ne le savais que trop. Je regardais autour pour voir si personne n’avait remarqué quelque chose, par exemple quand elle était montée devant lui. J’aurais eu l’air malin si quelqu’un avait pu se douter que j’attendais comme un con que ma femme ait fini de se faire baiser. Ce dont j’étais certain, c’était qu’elle allait prendre son pied, car une fois en place elle se donnerait à fond pour profiter de cette occasion inattendue, sinon inespérée. Ah il allait se régaler le tatoué… Et moi pendant ce temps….
Pendant ce temps, je trouvais le temps long. Plus d’une demi-heure déjà, il n’en faut pas tant pour tirer un coup. A moins que ce ne soient plusieurs coups… J’en arrivais à me demander s’il n’allait pas vouloir la garder ! J’imaginais le camion démarrant sous mes yeux et moi obligé à la poursuite… Je me voyais mal expliquer à la police comment mon épouse s’était retrouvée dans la cabine ! Mais non, je vis enfin la porte s’ouvrir, il passa le premier pour l’aider à descendre et pendant que ma femme adultère revenait prendre place aux côtés de son mari une fois de plus cocu, il me fit signe d’attendre. Puis il revint avec des trucs à la main, des cadeaux pour me remercier (bouteilles, cigares) ! Et il n’en finissait pas de compliments sur ma meuf qui était une vraie bombe, qu’il y avait longtemps qu’il n’avait pas pris un tel pied. Et avant de remonter dans son camion : « Salut ma poule ! T’es vraiment bonne ! La meilleure !» Je démarrai, fin de l’épisode.
Je voulais évidemment savoir comment cela s’était passé, et à son attitude de femelle comblée, les cheveux en désordre, les joues encore rouges, je ne doutais pas qu’elle en avait bien profité. Elle ne demandait qu’à me raconter cette coquine, comme chaque fois qu’elle a fait une entorse au contrat. Et comme chaque fois elle commença par : « Qu’est-ce qu’il m’a mis ce salaud ! ». Mais elle sait que j’aime les détails depuis le début, alors elle raconta qu’une fois dans la cabine il avait masqué les vitres puis tiré le rideau qui donnait accès à sa couchette dans laquelle il l’invita à monter. Détail amusant : en bonne petite femme d’intérieur elle ne voulait pas froisser sa robe et l’avait retirée pour la plier, si bien qu’elle était complètement à poil quand il la rejoignit en ayant baissé son short et son slip. Il entreprit évidemment de la peloter, roulage de pelles, massage des nichons, main entre les cuisses, et elle se plaisait à me confirmer, ce dont je me doutais, qu’elle participait comme elle le fait quand elle veut se montrer bien salope. Comme on le fait tous dans ces cas là, je voulais savoir s’il en avait une grosse, et la réponse fut affirmative, elle ne pouvait en faire le tour avec la main, donc un beau morceau avec la paire de couilles qui allait avec. Elle n’a pas attendu qu’il le lui demande car il avait déjà enfilé une capote, et a tout de suite commencé la pipe de mise en train; pendant que d’une main il lui titillait le clito, lui explorait la foufoune avant de lui glisser un doigt, puis deux, dans la vagin.
Mais sachant qu’il n’avait pas la journée devant lui il interrompit les préliminaires. Elle sur le dos, cuisses levées, s’ouvrait pour absorber sans problème le pieu qu’il pointait sur son orifice. Elle était bien mouillée, elle en avait envie, ça devait entrer sans problème. Je me rendais compte qu’en me racontant elle revivait la pénétration, qu’elle sentait encore le gland ouvrir le passage avec la sensation de se sentir remplie quand le membre buta au fond. Il savait utiliser son engin quelque peu hors normes, et il y allait doucement. Du moins au début car quand il l’a sentie réagir il a forcé la cadence et elle est devenus sa chose consentante qui en voulait et en réclamait. Elle ne tarda pas à perdre la notion du temps et se laissa baiser en force, recherchant le plaisir sous ce mâle qui ne faiblissait pas et continuait de la besogner avec une technique témoignant d’une belle expérience. Ce fut elle qui partit la première, alors qu’il ralentissait son rythme, mais sans pour autant sortir. Faisant doucement aller et venir sa tige, pendant qu’elle se remettait de son orgasme. Quand il la sentit de nouveau disponible, il reprit la cadence et peu après elle sentait le désir s’accroitre entre ses cuisses et redevenait la femelle en chaleur, pour arriver à la faire jouir une nouvelle fois alors qu’elle le sentait se vider au fond d’elle dans la capote. Il y avait longtemps qu’un mec l’avait faite jouir deux fois sans débander… Il a offert une serviette, s’est essuyé la queue après avoir retiré la capote, ils ont partagé un coca, chacun exprimant sa satisfaction ! Elle lui demanda s’il lui arrivait souvent de baiser comme ça, et il répondit qu’il n’était pas rare qu’une nana fasse du stop et paye le passage en nature, donc… Elle pensa à reprendre sa robe mais il lui dit qu’ils n’allaient pas se quitter comme ça. « Ca te plairait une levrette ? » En même temps il lui faisait prendre la position et remettait une capote tout en assurant qu’elle avait un joli cul, qu’elle lui présentait sans honte, dans l’attente de la nouvelle saillie. Qui celle là, assura-t-elle, fut plus virile que la première. Il savait que le trou à bites était bien préparé par la dernière troussée, et ce fut un mâle en rut qui l’enfila pour la ramoner en force. Et ça lui plaisait à cette salope de se sentir une pute à routier servant de vide couille à un type qu’elle ne connaissait pas une heure avant ! Comme si la queue qui la fouillait ne suffisait pas, elle se branlait le clito d’une main, sans trop insister pour faire durer le plaisir. Mais les meilleures choses ont une fin et cela se termina quand elle prit son pied une nouvelle fois en ressentant les spasmes éjaculatoires de son étalon.
Cette fois c’était la fin mais le temps ne lui avait pas paru aussi long qu’a moi. Elle remit sa robe (boutonnée), il renfila son short et direction la sortie.
Donc je savais tout comme si j’avais été là, ou presque, mais vous vous doutez que je bandais comme un âne, surtout qu’en évoquant sa coucherie imprévue elle se caressait le minou, ce qui ne me laissait pas indifférent. Il a donc fallu faire un arrêt à une autre aire où, dans un coin tranquille, elle a pu me soulager avec la bouche et la main pour faire baiser la pression.
Après cette expérience particulièrement réussie, elle envisage favorablement de remettre ça si une bonne occasion se repente. Donc, affaire à suivre, je ne serai pas contre…
C’était quand même une situation nouvelle ! Je ne me demandais pas ce qui se passait à l’intérieur, je ne le savais que trop. Je regardais autour pour voir si personne n’avait remarqué quelque chose, par exemple quand elle était montée devant lui. J’aurais eu l’air malin si quelqu’un avait pu se douter que j’attendais comme un con que ma femme ait fini de se faire baiser. Ce dont j’étais certain, c’était qu’elle allait prendre son pied, car une fois en place elle se donnerait à fond pour profiter de cette occasion inattendue, sinon inespérée. Ah il allait se régaler le tatoué… Et moi pendant ce temps….
Pendant ce temps, je trouvais le temps long. Plus d’une demi-heure déjà, il n’en faut pas tant pour tirer un coup. A moins que ce ne soient plusieurs coups… J’en arrivais à me demander s’il n’allait pas vouloir la garder ! J’imaginais le camion démarrant sous mes yeux et moi obligé à la poursuite… Je me voyais mal expliquer à la police comment mon épouse s’était retrouvée dans la cabine ! Mais non, je vis enfin la porte s’ouvrir, il passa le premier pour l’aider à descendre et pendant que ma femme adultère revenait prendre place aux côtés de son mari une fois de plus cocu, il me fit signe d’attendre. Puis il revint avec des trucs à la main, des cadeaux pour me remercier (bouteilles, cigares) ! Et il n’en finissait pas de compliments sur ma meuf qui était une vraie bombe, qu’il y avait longtemps qu’il n’avait pas pris un tel pied. Et avant de remonter dans son camion : « Salut ma poule ! T’es vraiment bonne ! La meilleure !» Je démarrai, fin de l’épisode.
Je voulais évidemment savoir comment cela s’était passé, et à son attitude de femelle comblée, les cheveux en désordre, les joues encore rouges, je ne doutais pas qu’elle en avait bien profité. Elle ne demandait qu’à me raconter cette coquine, comme chaque fois qu’elle a fait une entorse au contrat. Et comme chaque fois elle commença par : « Qu’est-ce qu’il m’a mis ce salaud ! ». Mais elle sait que j’aime les détails depuis le début, alors elle raconta qu’une fois dans la cabine il avait masqué les vitres puis tiré le rideau qui donnait accès à sa couchette dans laquelle il l’invita à monter. Détail amusant : en bonne petite femme d’intérieur elle ne voulait pas froisser sa robe et l’avait retirée pour la plier, si bien qu’elle était complètement à poil quand il la rejoignit en ayant baissé son short et son slip. Il entreprit évidemment de la peloter, roulage de pelles, massage des nichons, main entre les cuisses, et elle se plaisait à me confirmer, ce dont je me doutais, qu’elle participait comme elle le fait quand elle veut se montrer bien salope. Comme on le fait tous dans ces cas là, je voulais savoir s’il en avait une grosse, et la réponse fut affirmative, elle ne pouvait en faire le tour avec la main, donc un beau morceau avec la paire de couilles qui allait avec. Elle n’a pas attendu qu’il le lui demande car il avait déjà enfilé une capote, et a tout de suite commencé la pipe de mise en train; pendant que d’une main il lui titillait le clito, lui explorait la foufoune avant de lui glisser un doigt, puis deux, dans la vagin.
Mais sachant qu’il n’avait pas la journée devant lui il interrompit les préliminaires. Elle sur le dos, cuisses levées, s’ouvrait pour absorber sans problème le pieu qu’il pointait sur son orifice. Elle était bien mouillée, elle en avait envie, ça devait entrer sans problème. Je me rendais compte qu’en me racontant elle revivait la pénétration, qu’elle sentait encore le gland ouvrir le passage avec la sensation de se sentir remplie quand le membre buta au fond. Il savait utiliser son engin quelque peu hors normes, et il y allait doucement. Du moins au début car quand il l’a sentie réagir il a forcé la cadence et elle est devenus sa chose consentante qui en voulait et en réclamait. Elle ne tarda pas à perdre la notion du temps et se laissa baiser en force, recherchant le plaisir sous ce mâle qui ne faiblissait pas et continuait de la besogner avec une technique témoignant d’une belle expérience. Ce fut elle qui partit la première, alors qu’il ralentissait son rythme, mais sans pour autant sortir. Faisant doucement aller et venir sa tige, pendant qu’elle se remettait de son orgasme. Quand il la sentit de nouveau disponible, il reprit la cadence et peu après elle sentait le désir s’accroitre entre ses cuisses et redevenait la femelle en chaleur, pour arriver à la faire jouir une nouvelle fois alors qu’elle le sentait se vider au fond d’elle dans la capote. Il y avait longtemps qu’un mec l’avait faite jouir deux fois sans débander… Il a offert une serviette, s’est essuyé la queue après avoir retiré la capote, ils ont partagé un coca, chacun exprimant sa satisfaction ! Elle lui demanda s’il lui arrivait souvent de baiser comme ça, et il répondit qu’il n’était pas rare qu’une nana fasse du stop et paye le passage en nature, donc… Elle pensa à reprendre sa robe mais il lui dit qu’ils n’allaient pas se quitter comme ça. « Ca te plairait une levrette ? » En même temps il lui faisait prendre la position et remettait une capote tout en assurant qu’elle avait un joli cul, qu’elle lui présentait sans honte, dans l’attente de la nouvelle saillie. Qui celle là, assura-t-elle, fut plus virile que la première. Il savait que le trou à bites était bien préparé par la dernière troussée, et ce fut un mâle en rut qui l’enfila pour la ramoner en force. Et ça lui plaisait à cette salope de se sentir une pute à routier servant de vide couille à un type qu’elle ne connaissait pas une heure avant ! Comme si la queue qui la fouillait ne suffisait pas, elle se branlait le clito d’une main, sans trop insister pour faire durer le plaisir. Mais les meilleures choses ont une fin et cela se termina quand elle prit son pied une nouvelle fois en ressentant les spasmes éjaculatoires de son étalon.
Cette fois c’était la fin mais le temps ne lui avait pas paru aussi long qu’a moi. Elle remit sa robe (boutonnée), il renfila son short et direction la sortie.
Donc je savais tout comme si j’avais été là, ou presque, mais vous vous doutez que je bandais comme un âne, surtout qu’en évoquant sa coucherie imprévue elle se caressait le minou, ce qui ne me laissait pas indifférent. Il a donc fallu faire un arrêt à une autre aire où, dans un coin tranquille, elle a pu me soulager avec la bouche et la main pour faire baiser la pression.
Après cette expérience particulièrement réussie, elle envisage favorablement de remettre ça si une bonne occasion se repente. Donc, affaire à suivre, je ne serai pas contre…