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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

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#2641917
Ce post s'adresse à des lecteurs avertis. Je le destine à des histoires un peu plus épicées que mon autre post plus simplement érotique.

Il sera question ici plutôt de domination, de soumission, de jeu kinky etc…
Tout le monde n'a pas ses goûts là j'en suis conscient, si vous ne les avez pas ou si vous aimez le plus hard le mieux est de ne pas fréquenter ce post, mais si vous aimez ça, si vous êtes un "lope" ( le terme est ici un titre de distinction) alors vous aurez peut-être du plaisir.

Ah oui… c'est de la littérature, il n'y aura pas d'images. Mais iln'est pas impossible que je propose un post dédié à des dessins un peu plus "osés" que ceux que j'ai déposé ici ou là.

Bon appétit
zztop, Elleetmoi, Domjaby et 5 autres a liké
#2641918
épisode 1 Les soumis

Tout avait pourtant commencé assez soft. Un échange privé sur un forum, un peu épicé mais sans plus. Une sorte de jeu, comme quelquefois j’aime mener. Il y’a des gens, vous savez qui aiment être bousculés, perturbés dans leurs vies et revêtent sur le net des identités qui les libèrent. Ainsi, ce monsieur, sûrement très bien dans la vie se présentait comme une des plus grosse "salopes" que la terre ait portées. Á la vérité ce n’était pas tout à fait lui, bien sûr, seulement une partie de sa personnalité qui avait besoin de cet avatar, enfin c’est ce qui me semblait. Moi en tous cas c’est à ce jeu là que je jouais.

Au fur et à mesure des messages privés j’ai appris à connaître ses goûts et les limites de son imagination reculaient comme un horizon chaque fois que j’essayais de pousser un peu plus loin mon plaisir d’écrire des cochonneries. Un jour n’y tenant plus il m’a demandé un rendez-vous. Par bravade parce que je ne m’étais pas mentalisé à l’idée de rendre réel quoi que ce soit de ce que j’avais pu imaginer , j’ai exigé que sa femme l’accompagne. Á ma grande surprise il a immédiatement accepté, et son enthousiasme, soudain plus enjoué que le ton de nos conversations, m’a surpris.

En fait sa femme partageait ses fantaisies et bien souvent passait la soirée avec lui sur le pc. Il m’a avoué qu’elle lui dictait parfois par défit certaines de ces réponses…pour voir.

Il y avait une certaine différence d’âge entre nous même si je ne suis plus , et de loin, un gamin. Je ne sais pas pourquoi, une certaine pudeur me surprît: je n’avais pas pensé que c’était le type de conversations qu’aurait aimé une dame de leur âge. Bon, je ne veux pas vous cacher qu’il m’avait glissé quelques photos retouchés qui la mettait en scène, mais c’est difficile de connaître l’origine des images et comme je lui avait demandé de ne pas me montrer le visage de cette personne ce n’est que par les mains qu’on pouvait déduire l’âge de la femme représentée dans des scènes embarrassantes.

Mais ce soir comme prévu on a sonné à la porte de mon appartement. Je ne savais que penser de l’évolution de cette histoire. J’ai sursauté en réalisant que quelqu’un sonnait vraiment et que ça ne pouvait être qu’eux. Qu’is étaient vraiment là. Venus se soumettre.

Depuis mon divorce, j’habite un quartier bon marché à quoi je me suis habitué, et où je bénéficie de pas mal d’espace pour un tel loyer. Mais c’est haut. J’entends dans l’escaliers ces braves bourgeois peu habitués à gravir autant d’étages. Jusqu’ici ce sont des gens très "comme il faut". J’imagine le délice pour eux de garer leur belle voiture dans un coin qu’ils ne peuvent considérer que comme mal famé. Je les entends qui montent et soufflent un peu. Ils se parlent peu.

Une fois sur le palier je les vois " en vrai " pour la première fois. Madame est une dame plus alerte que je l’aurais cru mais qui ne cache ni ses rides ni son âge, bien au-delà de la soixantaine. Coiffée, entretenue, parfumée et vêtue discrètement. Talons hauts, bien entendu, la démarche très assurée. Lui, un monsieur très commun, il porte une cravate mais sans que ça paraisse habillé, on dirait qu’il porte une cravate sans discontinuer depuis sa bar mitsva. Sur le palier nous échangeons un sourire et je leur souhaite la bienvenue, autant pour les laisser souffler que pour mes voisins. Monsieur porte un sac et madame serre contre elle le sien.

Une fois la porte refermée monsieur s’agenouille et me remercie de les recevoir. C’est une entrée remarquée. J’ai un instant l’idée de lui répondre en sortant immédiatement mon sexe et le poser sur son front par reconnaissance mais je me dis que ça doit lui être plus agréable d’attendre un peu sur ses genoux, et je fais entrer madame qui se tient là en silence dans le hall devant son mari à genoux.

Une fois entré dans le living-room j’appelle le monsieur qui se relève et nous rejoins. Je les installe dans le canapé et je leur propose un verre. L’atmosphère se détend.
Je suis content qu’ils soient là en chairs et en os bien réels, eux aussi sont contents, ça se voit. Je leur dit le plaisir que j’ai à les rencontrer et de suite je demande au monsieur s’il domine son épouse, ce à quoi elle répond d’un hochement de tête qu’elle arrête net parce qu’il lui lance un regard. Il me répond que oui dans la mesure de ses possibilités, étant lui même de nature soumise, mais qu’elle ne supporterait pas un homme qui ne la commande pas. Ils me paraissent aussi doux et naïf que des gamins et immédiatement j’éprouve de la sympathie pour eux deux.

Je lui demande alors de me présenter sa femme ce qu’il fait avec promptitude la faisant se dresser debout devant nous, il lui dit d’enlever son manteau et de se montrer. Il me dit qu’elle s’appelle R… mais que bien entendu elle répondra au nom que je lui donnerai. En faisant glisser son trench, je découvre l’anatomie sans retouches de cette femme. Elle ne porte que le baudrier que j’avais aimé en photo et que j’avais recommandé pour cette première rencontre. Ce baudrier m’a plut parce qu’il est sévère et sans décoration, il y a juste des anneaux rivetés bien utiles et l’ensemble parfait cousu solidement. Devant nous elle se tourne comme les danseuses automates dans les boîtes à musique. Son visage ne porte pas d’expression, elle n’est pas fière, elle exécute un désir à peine formulé. Je la complimente et je me félicite qu’elle soit désormais à la disposition de mes caprices. Elle a fière allure sur ses talons, ses cheveux tombent élégamment sur des épaules étroites et osseuses mais dont les courbes sont douces, ses seins lourds comme il me plaît pendent un peu fatigués, les mamelons sont ridés sur l’auréole tandis que le téton gras pointe déjà, est-ce l’effet de la présentation ou une disposition de son tempérament je n’en sais rien. Entre les bretelles du baudrier sa poitrine est un peu comprimée et son ventre ridé laisse voir quelques abandons, sous son nombril très profond, de vastes hanches et un mont de Vénus proéminent ouvrent sur un pubis très rebondi et des lèvres charnues et chiffonnées se perdent entre ses cuisses. Á ma surprise elle porte de bas collants dont la ceinture lui barre le ventre mais dont la finesse du voile laisse tout paraître.
Les cuisses rendues luisante par les bas sont galbées par le voile, et si ce n’était quelques ridules au-dessus du genoux on dirait des jambes de jeune femme.
En se tournant elle montre son dos et des omoplates saillantes, un grand plis de chair au-dessus des reins et des fesses un peu rectangulaires mais elles aussi légèrement redessinées par le voile. Je lui dit le plaisir d’ausculter ce corps que je vais tellement baiser et pudique elle me remercie.

Le mari est fier que je complimente sa femme et se réjouit pour leur couple que je prévoie de la pénétrer comme il me semblera bon à un moment ou un autre.
Toutefois les panties me gênent un peu la vue et je lui demande d’approcher pour les attraper et les déchirer à hauteur de sa vulve. Voilà on voit mieux sa vielle chatte et j’en suis très content. Je me penche alors vers le mari un peu surpris de mon geste et je lui demande de bien vouloir demander à son épouse de me montrer plus précisément son cul que je n’ai pas bien vu et ravi il demande à sa chère et tendre de bien vouloir écarter ses fesses et de se cambrer un peu pour qu’on puisse détailler son trou de cul. Avec délicatesse elle se penche et tire sur les deux globes de chair pour dégager une raie un peu plus foncée, très jolie et en bas de quoi brille le bouchon d’un plug discrètement enfoncé au profond de son derrière. D’un regard j’interroge le mari du regard qui me répond avec empressement qu’ils avaient songé que peut-être comme ils connaissaient mon intérêt pour l’anus, j’aurais aimé que le sien soit déjà bien détendu , enfin…confortable me dit-il. Je le remerciai de cette intention , tout en le grondant gentiment d’avoir des initiatives. Dorénavant je stipulerai l’état des sphincters que je désire et ils s’y tiendront. D’ailleurs j’interroge le mari pour savoir si lui aussi porte un plug, à quoi il me répond embarrassé que non et je suggère alors, pour garder une ambiance conviviale, qu’il récupère celui de sa femme à l’instant.

Il soulève alors ses reins du canapé pour faire glisser son pantalon sur ces chaussures et je vois qu’il porte un cage de chasteté assez large autour de son pénis. Il me demande la permission d’envoyer R… chercher son sac avec les accessoires que je lui ai demandé parce qu’il croit qu’un peu de lubrifiant sera nécessaire au transfert du plug du cul de sa femme au sien. Bien entendu j’autorise la dame à quitter la présentation de son corps et elle cesse à l’instant d’être un objet pour redevenir une personne attentionnée à l’égard de son époux. Elle amène le sac et je lui demande au passage comment je dois l’appeler. Elle répond sagement qu’elle portera avec modestie le patronyme que je lui destinerai mais qu’en général leur ancien maître l’appelait indifféremment, catin, truie, ou salope et plus rarement duchesse. Le mari s’empresse de m’expliquer pendant que sa femme lui colle une noix de lubrifiant entre les fesses, de celui très visqueux et blanchâtre qu’on utilise en médecine vétérinaire ou pour les fist importants, que leur ancien maître avait une vielle femelle labrador qui portait ce nom là.

La femme massait gentiment les alentours de l’anus de son mari avant de se contorsionner élégamment pour extraire de son anus l’embout métallique fuselé assez imposant et de le passer à son mari qui le fit disparaître immédiatement dans son propre cul, comme s’il enfilait un suppositoire pour cheval.

Je décidai d’appeler la dame "Docile" parce que ça lui allait assez bien et le monsieur simplement "Q" à cause de son sac à malice rempli d’équipements, mais aussi par ce que c’est l’usage principal que j’aurai de lui. Ils semblèrent ravis des consonances de leur désignation. Ils avaient été très affectés par la perte du vieux notaire vicieux qui les avait dominé ces dernières années. Mais pour avoir été assez pervers à leur égards il avait été assez reconnaissant des giclées qu’il leur devait et leur avait légué une jolie somme, à quoi il ne s’attendaient pas.

Malgré cette émouvante évocation, je ne permis plus qu’on rappelle la mémoire de ce vieux vicelard, parce qu’il avait des penchants dégradants qui ne me plaisent qu’à moitié. En réalité je n’ai de plaisir dans ce domaine particulier que liés à l’arbitraire, pour qu’un "sévices" soit délicieux il faut qu’ils n’aie aucune justification sinon ça me paraît plus de la torture que de l’art. J’insistai pour qu’on établisse un contrat minimal, alors qu’ils ne le souhaitaient pas. Pour eux la soumission est une confiance absolue et partant de ce constat ils ne considèrent pas qu’il y ait de limite mais pour moi qui suis d’une école plus douce, je considère que le consentement est requis et nécessite d’être répété. De sorte que contre leur gré ils acceptèrent une série de safe words et de gestes équivalents en cas d’impossibilité de parler. Un peu vexés ils y consentirent mais m’assurèrent que c’était inutile et qu’ils n’en auraient jamais usage. Il me signalèrent aussi qu’ils auraient aimé conserver les tatouages discrets imposés précédemment mais que bien sûr ils les transformeraient si j’en avais le souhait. Personnellement je trouvais assez joli celui de la dame et particulièrement bien placé, quoi que sans doute douloureux lors de la composition initiale. C’était écrit "à jamais" juste à la base du mont de Vénus, au dessus du plis de chair qui couvre le clitoris.
La légère toison en rectangle commençait au-dessus.

Je priai le monsieur, un peu ridicule avec son pantalon sur les chaussettes de l’enlever complètement et à Docile de se coucher sur la table basse pour qu’on puisse célébrer notre association. Nous bûmes au-dessus de Docile puis nous avons posé les verres sur son ventre, non sans en renverser un peu sur sa vulve. Mais pour ne pas qu’elle soit privée de champagne, j’ouvris mon pantalon pour en extirper mon sexe et je le trempai dans le verre de Q pour enfin déposer quelques gouttes sur les lèvres de Docile. Mais est-ce la température du champagne ou l’effet des bulles sur mon gland, une légère envie d’uriner me fit mélanger sur ses lèvres les deux nectars jaunes, comme rétribution je versai le reste de mon verre directement dans la bouche de Docile et je la priai d’uriner elle aussi afin que je puisse la goûter en échange. Elle pissa avec un petit effort de bonne volonté sur la table et Q nettoya promptement le sol et la table.

C’est la première occurence de pure mauvaise fois, parce que bien sûr j’étais satisfait qu’il prenne l’initiative de ne rien laisser de salissant mais, justement, c’était très arbitraire de décider que cette initiative soit récompensée de coups immérités. Je demandai à Q à combien de flagellation il estimait son initiative hygiénique et il jugea que douze coups étaient parfaits. Je priai Docile de bien vouloir les compter pour moi et installais Q à croupetons au bord de la table, le visage entre les cuisses de Docile et moi enjambant la belle pour lui présenter mon cul comme horizon. Elle compta douze et puis finaude continua de dire "douze" à chaque coups supplémentaire de la cravache.

Comme un moine zen qui vient de recevoir un coup de bâton pour s’être assoupi pendant la méditation Q me remercia avec humilité et je lui demandai d’entraver Docile.
Il sortit de son sac une barre chromée assortie à son plug et entrava par dessous la table les chevilles de Docile à l’aide des anneaux réglables au bouts de la tige métallique.

Ils étaient beaux. Lui dont le dos brûlait sans raison et elle qui sentant par avance la flagelle sur son ventre tremblait un peu d’impatience et de crainte. Par réflexe elle vérifia qu’elle était bien entravée quand son mari passa de ses pieds à ses poignets de l’autre côté de la table. Chacun de ses membres était contraints et liés au meuble.
J’apportait moi même un petit coussin recouvert de cuir pour réduire l’inconfort de la posture de Docile, je glissais le boudin sous sa nuque et je croisai un regard de gratitude en contemplant le visage de la dame. Elle semblait beaucoup plus jeune attachée comme ça dans mon salon. Q semblait attendre quelque chose.

Alors un peu pour lui faire plaisir je le houspillais à sortir tous les instruments de son sac, de me donner des gants de nitrile noir que je fis claquer en le étirants sur mes poignets. Quelle était belle Docile, l’air faussement effrayé, entravée sur la table, mais trop peut-être. Malgré son baudrier et ses bas déchirés entre ses cuisses, elle conservait une élégance de sujet et non d’objet comme notre contrat le demandait explicitement.

Les appareils de Q étaient plutôt d’obédience médicale, je pris grand soin de disposer autour de la bouche de Docile un écarteur d’orthodontiste, qui la faisait déjà plus ressembler à un cobaye d’expérience improbable qu’à la bourgeoise qu’elle était, ensuite Q me présenta un spéculum dont la dimension me paraissait désespérée mais qui à l’usage s’est avéré approprié. Les tétons de Docile eurent aussi leur décoration et j’insistai pour que ce soit Q lui même qui sur mes indications donna les premier tour d’écrou pour les comprimer jusqu’au seuil de la douleur mais pas plus, peut-être un peu moins. Docile n’émettait aucun son.
En faisant enjamber par Q le visage de sa femme, j’espérais bien attirer son attention et je manipulai un peu le plug juste à la verticale de sa bouche tenue grande ouverte. Q soupirais assez fort de ces manipulations mais serra les fesses quand je lui demandais. Son sexe avait rempli la cage durant toutes ces opérations et je voyais bien que son prépuce était maintenant contraint. Je ne sais pas s’il aurait pu renforcer encore sans la cage son érection mais cette compression violacée me plut assez pour désirer moi même sortir mon sexe libre de bander comme il le voulait.
Aline, yvescouple12, claire95 et 9 autres a liké
#2641919
Pour cette rencontre je n’en voulais pas beaucoup plus. J’ai juste enlevé mon pantalon et donné libre cours à ma queue. J’ai poussé Q, qui s’est excusé et spontanément agenouillé au "chevet" de son épouse. J’ai déposé mes testicules sur son visage, en guise de prise de pouvoir, puis je suis venu les déposer délicatement sur le nez de sa femme. Je faisais tourner les vis sans fin de l’écarteur bocal pour pouvoir asseoir tout mon sexe dans la bouche de Docile. Elle avait le visage comme agrandi par un sourire grimaçant de dentiste. Je voyais à ses yeux mouillés qu’elle appréciait cette tension régulière et l’hommage que je lui faisait de déposer mon sexe entre ses dents et sur sa langue. La salive qu’elle déglutissait avec peine devait avoir le goût de mon gland. Ensuite je m’assis sur son ventre en prenant soin de sentir ses poils pubiens irriter mon anus pour serrer un peu plus ses mamelons entre les mords des minuscules étaux. Ses tétons ainsi triturés prirent une jolie couleur et même une matière plus grumeleuse qui me fis les sucer , lécher puis mordiller dans la mesure ou les pinces me permettais de les titiller.

Ensuite avec le concours de Q qui regardait les larmes poindre aux commissures des paupières de son épouse, sans qu’on puisse décider si c’était d’émotion ou de douleur, j’entrepris d’écarter les parties du spéculum suffisamment pour que je puisse, une fois mon gant enduis de ce lubrifiant couleur de sperme, enfoncer délicatement ma main dans le vagin de sa femme. Mes doigts progressèrent mm par mm jusqu’à mon coup de point. Docile soupirait mais ce n’est qu’à l’appareil qu’elle avait en bouche qu’on devait d’entendre ses soupirs. Lentement, précautionneusement mais décidément j’enfonçais ma main dans sa chatte. Le lubrifiant rendait possible un écartement à quoi le sexe de Docile devait accéder plus lentement. Une fois mes quatre articulations passées je sentais à travers mon gant le sexe mouiller abondamment. Q n’en perdait pas une miette. Lentement je fermai le poing à l’intérieur du ventre de Docile. D’avant en arrière j’enfonçais et je retirais cette boule en elle. Mais sans repasser l’ouverture de sa vulve qui maintenant se serrait sur mon poignet. Elle soufflait complètement ouverte et je sentais le cercle de métal qui me laissait le passage. Je fis par surprise une longue série de mouvements vifs, pour pilonner à l’improviste le fond de son ventre. Surprise elle perdit le souffle et un flot de cyprine déborda de ses lèvres.

Je tînt le mouvement un peu plus longtemps que le supportable, les chevilles de Docile tiraient sur les anneaux de part et d’autre de la barre d’entrave sous la table, ses poings serrés tiraient sur les menottes attachées aux pieds de la table. J’arrêtais net pour juger de l’effet. Instantanément Docile fut secouée de l’intérieur et je senti que tout son vagin se crispait sur ma main. Une pression si forte que j’ai du attendre un relâchement pour ouvrir mon poing dans son sexe et pivoter ma main pour venir d’un coup et aussi énergiquement secouer la paroi antérieure de son vagin, là juste au-dessus de l’entrée, sous son clito mais à l’intérieur. Ce fut si brusque et si proche de son orgasme que son sexe mit quelques secondes avant d’expluser un grand flot de liquide d’un coup. Docile était une fontaine de joie pour moi et bien que ce ne soit en principe pas lié ces deux surprises consécutives et vives ont resserré d’un coup son vagin autour de ma main, la comprimant violemment. Elle grogna entre les écarteurs une sorte de juron incompréhensible. Le regard éberlué de Q me montrait qu’il avait vécu par sympathie les vagues de sa femme et son sexe écrasé entre les barreaux courbés de sa cage laissait couler un fil transparent. Je bandais moi aussi mais librement, selon ma condition et une perle de sperme luisait à la sortie de mon gland.

J’extrait d’un coup ma main dès que le vagin se relâcha et je passai entre les cuisses de la belle.
J’attirais tout son corps à moi, et ses reins au bord de la table. Sa vulve exagérément ouverte et vive coulait de jus et de lubrifiant dilué. Sans ménagement mais avec égard je repris le coussin glissé sous sa nuque pour le passer sous ses reins. Elle se cabra plus encore en s’appuyant sur ses talons hauts. Je me défis de mes gants poisseux et je déchirai un peu plus les bas, le geste nécessitait un peu de brutalité parce qu’entre les jambes, les coutures entourent le renfort que je voulais déchirer pour avoir l’accès à l’orifice que je convoitais.
J’écartais les fesses de Docile pour poser mon visage sur son cul poisseux de lube et de jus qui s’était insinué entre les fesses, je sentais sa sueur et le goût chimique de la pommade grasse. Je crois que j’étais ivre moi aussi, pourtant je sentais que dans la limite des mouvements dont elle était capable Docile se cambrait, s’écartait, se positionnait de façon à ce que j’aie accès à son cul. Oui elle plaquait son trou de cul sur mon visage, elle participait de façon active.

Je me suis redressé comme un diable qui sort de sa boîte parce que mon sexe exigeait une pénétration immédiate. J ‘intimais à Q de serrer les vis sur les mamelons de sa tendre épouse pendant que je présentais mon gland contre son anus. J’avais pris dans la pliure de mes bras la pliure des jambes de Docile, je sentais la résistance sur ses cheville de l’entrave. Mon gland posé entre ses fesses tendues, n’eut rien à faire Docile se poussa elle-même, passa l’ouverture de son trou de cul et m’ouvrit l’accès plus profond, des mouvements de courtes amplitudes qu’elle pouvait elle venait à la rencontre de mon sexe. Je restais immobile , planté sur mes genoux , soutenant ses cuisses et elle s’enculait sur moi. Elle donnait des petits coups de reins frustrés de ne pas parvenir à se remplir.

Elle soufflait de frustration, contrainte, ouverte, exposée. Elle semblait maudire et déguster sa frustration, elle fusillait son mari de regards fous et implorants.
Alors je poussai d’un coup le reste de ma queue le plus profond que je pu. Mon sexe voulait exploser et c’est mon gland qui prit les commandes. Cette pénétration brutale et univoque fit se lâcher pour la troisième fois Docile, qui jouit de l’intromission de façon très sonore, trop sonore, obscène. Son mari par compassion ou terreur se plia en deux et son sexe tuméfié par la cage gicla au son de sa femme. Il s’était plié comme sous l’effet d’un coup de pied dans les côtes. Il râla un peu en serrant les dents. Le visage chiffon de frustration.

Puis je ne les vis plus, je sentais le seul orifice libre de Docile se contracter par spasme sur ma queue et mon gland, je la sentais qui me trayait, qui aspirait le sperme à venir. J’ai senti ma prostate qui donnait le coup d’envoi de la livraison et un choc électrique parcourir la distance entre le centre de mon corps et le bout de mon gland. Le sperme brûlant tout sur son passage me libéra dans le fond du cul de Docile. Des larmes douces coulaient sur ses joues, malgré sa bouche largement ouverte par les fers je la voyais sourire de sa victoire renouvelée. La femme objet, écartelée, contrainte et triturée avait vaincu comme toujours le maître viril.

Jouissant moi aussi de ma défaite sublime, je restais au fond de son corps. Je laissais s’achever l’écoulement. Je laissais passer l’orage d’émotions contradictoires avant de revenir aux décisions. Mes couilles pendaient serrées, mon cul s’était refermé à broyer ce qu’on y aurait introduit. J’étais ivre. J’étais moi-même.

Puis je me suis lentement retiré. La cage de Q s’égouttait sur le sol. Docile s’était laissée aller sur la table, les collants déchirés, dévastée, ouverte à tout.
Je la regardais et elle soutenait mon regard, longtemps. J’ai dit à Q de se rendre utile et il à gobé mon sexe pendant que je croisais sans faillir le regard de Docile. Il n’y avait rien dans ce regard que ce que je voulais y croire. Alors j’ai décidé que c’était de la gratitude, ou bien de l’ironie ou bien un mélange. Quand Q m’agaçât avec sa langue trop experte je lui dit de plutôt nettoyer sa femme. Je défis délicatement le spéculum et les lèvres du sexe de Docile prirent un moment pour se refermer. Q la léchait comme un chien fidèle. Quand il lui suça le cul , j’avais sans quitter le regard impavide de Docile déjà dévissé l’écarteur et ses lèvres couvrirent ses gencive et ses dents.

Je décidais d’attendre encore pour défaire les pinces des tétons violacés de ma soumise. J’avais envie d’encore en disposer. Je me penchais sur son visage et comme si elle s’y attendait m’a rendu un baiser ou se mêlait nos langues et nos lèvres. Alors seulement elle a fermé les yeux et gardé les paupières fermées. Le maquillage avait coulé comme il se doit mais c’est seulement dans cette fragilité des paupières fermées que je l’ai remarqué. J’ai enfin défait les pinces des mamelons de Docile. La marque foncée restait. Les tétons mordus si fort conservaient leur déformations. Les paupières fermées se plissèrent quand je détachai les vilaines broches. Comme si la libération était plus douloureuse encore.

Q avait fini son travail et bien qu’il me parut méprisable je n’avais que lui pour boire encore sur le corps table de sa femme, je le contrains à boire avec moi. On s’appuya sur docile qui n’était plus contrainte que par les entraves. Je dis à Q de les enlever. Méticuleusement il détacha notre femme, enfin la femme qu’il m’avait cédé avec lui par contrat. Il s’activait avec attention et tendresse parce qu’il savait les douleurs de son aimée. Puis en regardant Docile dans les yeux je lui ai demandé si elle acceptait d’être encore une table pour un moment, je voulais que ce soit sa volonté, qu’elle reste ou pas sans que rien, ni entraves ni moi ne l’y oblige.

Docile ne bougea pas, elle restait défaite dans son baudrier, ses bas dévastés, les cuisses ouvertes une chaude table ou je m’appuyais. Q me dit : vous savez elle ne bougera pas, je lui dit que je le sentais bien et que je ne saurai jamais pour quoi elle ne bouge pas.

Il me dit : et bien parce qu’…Je le fis taire. En répétant sur un ton de plus en plus doux tais-toi, tais-toi…s’il te plaît tais-toi.
Je versai un peu de champagne sur le nombril de Docile qui frissonna puis un filet du même vin sur son mont de Vénus. Q me regardait d’un air de dire "ben je viens de tout nettoyer". J’observais le filet de liquide qui sous les frissons incontrôlables de la peau, faisait couler une brillance entre les jambes de la soumise. Les lèvres de la vulves de Docile s’étaient refermées mais se décolèrent l’une de l’autre par un léger mouvement imperceptible de Docile pour laisser filer le liquide vers sa vulve et la raie de ses fesses.
J’observais cette vulve mâture et ses cuisses. Puis je voulu vérifier sur le visage de Docile si elle avait écarté volontairement ses cuisses. Mais je ne pu rien déceler. Elle était impassible fixant le plafond. Elle était toujours un meuble. Q était en mode patience, il attendait sans penser à rien de visible sur son visage.


Je me suis levé et leur ai demandé de me faire un massage parce que j’étais fourbu, Docile se mis en devoir impassible mais douce. Q me recoiffa puis se mis à ranger et nettoyer impeccablement la table et le salon. J’étais subitement agacé par leur perfection et je m’en voulais de m’attendrir. Je priai Q de dire à sa femme qu’elle me suce plutôt, mais le cœur n’y était pas de mon côté. Je voulais juste les humilier. Je plaquai le visage de Docile sur mes couilles, qu’elle goba si délicatement que je me cambrai pour qu’elle me suce le périnée, ce qu’elle fit avec presque de la tendresse, alors je lui présentai mon cul pour qu’elle le lèche, et elle prit soin de ma rondelle avec douceur.
Je lui dit d’y enfoncer la langue et je senti comme de l’amour dans ce baiser. Ma fureur montait et je lui dit durement d’y aller plus fort, et elle insinua sa langue dans mon cul comme si sa vie en dépendait. Q était mal à l’aise, comme s’il avait commis un impair, il dit doucement à sa femme de s’appliquer et restait là à voir si ça me convenait mieux.
D’humeur mélangée entre l’apaisement que me procurait la langue de Docile et mon agacement je dit à Q d’enlever le plug qu’il avait dans son cul et de le passer sous l’eau. Il revînt immédiatement le plug luisant, impeccable, je lui ordonnai de le fourrer au cul de Docile et il le fit très gentiment. Elle ne pouvait pas ne pas être irritée par ce passage mais sa langue tapissait toujours mon cul.
Je me relevai et leur dit de s’habiller et de partir, que je les appellerais. Il prirent leurs affaires et saluèrent pleins de gratitude. Trop.

Le jeu fini ils redevenaient des sujets et plus des objets et ma frustration baissa d’un cran. On se salua sur le palier et je fermai la porte.

Dans l’escalier Q s’inquiétat de ce que R… soit à l’aise avec ses talons dans l’escalier. J’entendis R… dire avec la voix de Docile: "oui ils sont étroits ces escaliers quand on les descend" et puis une volée plus bas "merci" . Je suppose que son mari lui avait donné la main.
Aline, yvescouple12, Wysiwyg et 7 autres a liké
#2641983
Étonnant au premier abord puis captivant et se lisant comme un roman ou le côté erotico-trash se fait presque oublier...
Bravo pour ces écrits et bravo pour cette qualité d'écriture.
#2642165
Cher Moi 69100,
Merci pour votre lecture et votre commentaire.
Vous savez sûrement à quel point les commentaires,même deux mots, pour dire ce qu'on aime ou ce qu'on aime pas sont non seulement agréable mais très utiles. J'essaye de faire de mon mieux pour prendre du plaisir et si c'st possible d'en donner.

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viewtopic.php?f=63&t=80584&p=2641751#p2641751
c'est le dernier d'un post qui en contient quelques autres.
zztop, cplcool a liké
#2642186
Oui, je l'ai bien vu, ayant même réagis à celui-ci.

Etonnant d'être le seul à réagir... La chaleur peut-être ? :D ;)
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par bonsoirbonsoir
#2646204
Durant la réunion je ne parvenais pas à ne pas regarder , discrètement, ma montre. J’étais soulagé quand ma collègue a fini par demander s’il y avait des questions. Personnellement j’avais trouvé son exposé très clair mais quelqu’un d’autre a posé une question et la réunion s’est prolongée mettant mes forces à rude épreuve. Puis en fermant mon ordinateur une sorte de vent s’est levé sur ma poitrine, la semaine était finie. Bien que la réunion s’était prolongée, j’avais encore le temps de passer au bureau, déposer les impressions en couleurs, pleines de tableaux et de graphiques pertinents que je rouvrirais la semaine prochaine.

En descendant vers le parking j’étais serré contre une collègue du septième qui prend toujours le même ascenseur que moi, c’est à se demander comment elle fait pour être aussi précise vu que je ne suis pas si régulier. Son parfum est particulier et j’ai souvent hésité à lui demander ce que c’est, mais en fait, non, je n’hésite pas dans la mesure où bien que je vois bien son manège je ne prendrai pas l’initiative d’entrer en contact. Et puis ce manège n’est peut-être qu’une diversion, une chose que j’imagine pour rendre cette vie moins fade. Cet ascenseur est un véritable omnibus, et il ne fait que se remplir à cette heure-là. Je sens ses fesses qui se pressent sans ménagement contre moi. Comme tout le monde elle se tait après avoir vaguement répondu à ceux qui disent :"bonsoir, paaaaardon" avant de se faufiler dans la boîte. Jusqu’à ce que les portes s’ouvrent sur d’autres personnels désolés qui diront: "bon d’accord, j’attends le suivant", chacun s’accommode plus ou moins de l’inconfort d’être pressé contre des collègues anonymes d’autres étages. Mais elle non, elle s’arrange pour être à ma hauteur, et avec son parfum, elle se colle et s’abandonne tranquillement contre moi.

Un jour elle m’a suivi dans le parking, quasiment jusqu’à ma voiture, puis se ravisant à quelques mètres, elle s’est écrié à voix suffisamment haute pour que je l’entende qu’elle s’était trompée, que tous ces étages se ressemblent et elle a tourné les talons vers les ascenseurs. Mais depuis sa voiture n’est jamais très loin de la mienne. Et le soir on marche en silence dans les allées du parking. Parfois je la suis et je sens encore de loin ce parfum qu’elle laisse derrière elle, parfois je la sens dans mon dos et j’imagine qu’elle va m’aborder, venir vers moi et profitant qu’on est seuls elle me… me quoi? Non ce ne sont que des coïncidences, des fantasmes.

Je dois arrêter avec ces histoires. Je dois encore allez voir Madame W. Je me demande quand même d’où me viennent tous ces trucs. Pourquoi mon esprit est subitement submergé par des visions si…franches, si obscènes quand je croise des gens qui ne me sont rien.

Je range toujours la voiture au pied de l’immeuble et quand je me présente au tableau des sonnettes je suis toujours frappé par cette odeur de désinfectant qui flotte dans ce hall un peu désuet avec ces sculptures abstraites des années 70. Là le rituel est chaque fois identique, après quelques secondes uns voix sort du tableau et me dit de m’approcher de la porte, une vibration si courte qu’à chaque fois je me précipite pour ouvrir puis l’ascenseur, la porte entrouverte sur le palier et puis cette minuscule salle d’attente et cette lampe bizarre. Invariablement je sens cette même somnolence qui s’empare de moi. C’est idiot mais je crois que c’est la lampe et puis je m’en fiche. Je suis bien. J’entends qu’on ouvre la porte du cabinet et seulement mon nom et le mot. Ce mot dont je ne me rappelle jamais mais qui je le sais est un appel. Un ordre à quoi je ne peux me soustraire.

Alors je me dresse et j’avance vers le cabinet médical. Madame W est assise dans un fauteuil et ne me dit rien, je sais que je dois prendre place sur le canapé à ses côtés. Je crois qu’à une époque je lui faisais face, mais je n’en suis plus sur. Je sais que je dois être sur ce canapé. Là il y’a sa voix, douce sans doute mais assez basse et presque sans intonation.

Elle me demande invariablement le nom de la capital du Honduras et ensuite je me sens bien. Elle demande de quoi nous allons parler et rien ne me vient.

Je regarde ses chaussures, toujours les mêmes impeccables, puis ses pieds serrés dans ses chaussures à cause de la combinaison, ses jambes brillantes et fuselées. Les plis à hauteur de ses hanches puis sa taille serrée par une sorte de corset aussi brillant.. Au-dessus du bustier je vois la forme de ses seins à travers la texture luisante, ses longs bras maigres et le bout de ses gants. Au-dessus de ses épaules, je suis fasciné par son cou rendu plus long par la combinaison et sa cagoule lisse ne laissant voir que ses yeux.

Elle est assise luisante et entièrement moulée dans ce plastique pâle.

Elle me dit que je suis venu lui raconter ma vie et qu’elle doit tout savoir, tout connaître de moi. Alors, je lui obéis et pendant que je détaille mes jours banals elle semble s’ennuyer. Alors elle m’arrête, me fait recommencer, elle insiste, elle pose des questions sur mes collègues. Principalement sur ma collègue du parking.

Elle me dit de bander quand je lui parle d’elle, et immédiatement je sens venir une érection. Il suffirait qu’elle le dise et je serait impuissant pour toujours. Elle a un contrôle total sur moi. Je ne pense plus.
Je lui raconte encore et toujours cette femme qui se presse contre moi dans l’ascenseur.
Elle me dit de sortir mon sexe. J’ouvre machinalement ma braguette et je vois mon propre sexe avec un léger étonnement. Il est épais et dur. Particulièrement tendu et le bout est violacé. Je n’éprouve cependant aucune fierté. Mon sexe non plus ne m’appartient pas.
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par bonsoirbonsoir
#2646226
Elle me demande de décrire l’anatomie de cette femme, je récite toujours les mêmes suppositions parce que je n’ai pas d’idée de comment elle est faite, peu importe je dois décrire ses seins, son ventre, son sexe.
Je dois aussi décrire son cul. Là invariablement Madame W se lève de son siège et fait quelques pas. Elle semble réfléchir et me fait revenir en détail sur le corps de cette femme.
Ses mots semblent provenir de très loin, d’un endroit très profond. Elle me fait parler de tous les sexes de femmes que j’ai pu voir et me fait les comparer. C’est une sorte de passage obligé, elle s’approche alors dans sa combinaison luisante et je peux voir qu’entre ses cuisses à hauteur du renfort il y a un anneau coloré, et plus haut un autre.

Invariablement je dois décrire des sexes, je ne dois pas m’arrêter, elle s’approche de moi et me pousse vers le dossier du fauteuil, je ne dois pas cesser de parler et donner des détails, des textures des couleurs, elle m’enfourche alors en soufflant, et vient frotter le plastique de sa combinaison sur le bout de mon sexe qui bande hors de mon pantalon. Assez rapidement le gland trouve l’anneau et s’immisce dans le petit sac qui y est accroché. Je ne sens que la lubrification de ce petit sac et la chaleurs des chairs qui sont de l’autre côté. Je ne la pénètre pas. Je sens qu’à travers le plastique elle frotte sa vulve sur mon gland mais si à de rare occasion, soit je me suis arrêté de parler soit mon gland avait glissé dans une anfractuosité chaude et pressante; elle s’est levée d’un coup en me repoussant. Je crains alors le pire, mais heureusement ça n’est jamais arrivé. Elle se retourne ensuite et je sens le second anneau. Ce renfort frotte contre mon gland et c’est une torture à chaque fois.

Là je sens ses gants qui pressent à l’excès mon gland, elle semble mesurer la quantité de lubrifiant que j’ai pu retirer de la poche vaginale puis dirige mon sexe vers l’anneau arrière de sa combinaison.
Mon gland butte alors sur une frontière invisible de l’autre côté du latex épais. Ses jambes fuselées sont en extension au-dessus de mes cuisses et le reflet de l’éclairage électrique sur ses reins et les globes luisants et parfaits de ses fesses me subjugue. L’odeur du plastique et le corps inaccessible de Madame W me sidèrent. Lentement en tenant d’une main ferme mon sexe elle s’assoit sur moi. Je sens rouler l’anneau et se déplier le conduit autour de mon sexe et à travers le plastique je sens un cul qui accepte le bout de mon gland. La progression est extraordinairement lente et j’ai du mal à continuer à décrire les culs et les sexes que j’ai pu connaître alors j’invente, j’imagine l’anus de Madame W, sans lui dire, je détaille ce que je ne verrai jamais et mon sexe s’enfonce irrémédiablement. Elle dirige toute l’opération et je l’entends souffler dans son masque. Elle pousse en elle ma queue qui risque de se rompre. C’est dur, c’est serré, c’est une force et lentement ça rentre. Je la sens qui s’ouvre et son cul qui m’avale.

Elle est maintenant assise de façon obscène sur moi, je vois la forme de ses fesses, ses reins serrés par le corset de plastique, chaque oeillet, chaque rivet brille. Le plastique bruisse à chacun des mouvements qui tous sont baroques, obscènes, savants. Elle s’anime sur mon sexe maintenant comprimé dans son cul. Je ne peux que parler et mes mains doivent rester collées au divan. Je le sais et de plus chacune de mes mains pèse une tonne, mon corps est en marbre et je ne peut plus bouger, seul mon sexe est vivant et d’une érection monstre.

Bien enfoncée sur mon sexe elle le fait encore grossir et gronder dans son cul. Elle le dit , elle l’ordonne et mon corps, uniquement destiné à cet usage exécute les ordres et mon sexe grandit encore.
Je le sens serré dans son cul. Ma queue la dilate et la rempli jusqu’à la garde. Mes couilles sentent le bourrelet de l’anneau à quoi est accroché le sac anal qui est introduit, autour de mon sexe au fond de son cul.

Subitement elle se met à chevaucher mon sexe, et c’est douloureux, j’ai peur qu’elle ne le casse, mais je suis incapable de la moindre volonté autre que d’être un gode humain. Elle m’utilise et j’en suis profondément satisfait.
Au bout d’un moment elle s’affale, laissant ses cuisses se détendre et je ne suis qu’un siège. Elle pourrait tout aussi bien recevoir un autre patient et rester assise ainsi toute la séance.
Là je sais que Madame W ne veut plus m’entendre et qu’il faut que je me taise. Je suis à sa disposition et je me concentre sur mes sensations. Ce qui supplante tout est mon sexe arqué sous la pression de son cul et de sa détente.

Au bout d’un moment que je suis incapable d’évaluer, elle se redresse et très doucement au début puis d’un coup elle s’extrait du fauteuil. Je reste là le sexe découvert attaché au canapé, moi même comme un meuble. En passant une serviette autour des anneaux orifices elle semble contempler le tableau que je constitue avec le divan. Puis elle se rassoit sur son fauteuil et me demande de "remballer " tout ça. Mes mains alors sont libérées de leurs attaches invisibles et je peux rentrer mon sexe dans mon pantalon et réajuster mes vêtements.

Madame W attend avec l’apparence de la patience mais je sais que mon temps est révolu. Elle me demande de lui rappeler le nom de la capitale du Honduras et que ce sera tout pour aujourd’hui.
Je quitte alors la pièce, non sans avoir déposé une forte somme sur son bureau à quoi elle ne prête aucune attention. Dans l’ascenseur je reprends mes esprits avec la sensation que parler fait vraiment du bien.
En sortant de l’immeuble je serais incapable de vous dire de quoi j’ai pu parler, de ma vie sans doute, du boulot, des collègues. Mais ça n’a pas d’importance le docteur W est vraiment formidable. Je me sens vraiment soulagé quand je sors de la consultation.
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par coc31
#2646440
@bonsoirbonsoir , merci de ces récits captivants et parfaitement bien écrits. J'ai facilement visualisé toutes ces scènes si bien peintes. Merci de ces agréables distractions.
#2646646
Très belles histoires ! Et tellement bien écrites qu'elles valent 1000 photos !! Continuez de nous faire rêver, j'en suis fan ;)
#2646653
Ellleetmoi, je vous remercie de votre gentil commentaire et je suis ravi si vous avez pu prendre à mes histoires un peu de plaisirs rêvé.
Á vrai dire mes histoires sont toutes plus ou moins inspirées ou nourries de souvenirs. Pour en faire des récits il faut les passer à la moulinette et les remonter.
J'espère que vous les avez lue en couple.
J'aimerais beaucoup un avis de femme. Candau ou pas d'ailleurs.
#2646654
Ces deux derniers chapitres m'ont moins attirés mais ils restent très bien écrits et détaillés. C'est juste moi qui n'ai pas réussi à entrer dans l'histoire...

Bonne journée à vous
#2647732
@bonsoirbonsoir je viens de lire (avec beaucoup de retard, je m'en excuse) tes histoires épicées. Et je les ai appréciées.
Tout d'abord, elle sont bien écrites, ce qui est essentiel (et pas si fréquent). Elles sont effectivement relevées, érotiques, sexuelles et à ne pas mettre entre toutes les oreilles. Le lecteur se glisse aisément dans le fil narratif.
J'ai pris du plaisir à les lire. Merci beaucoup.
elianeetserge a liké
#2669793
Pour public averti donc.



Quand je suis arrivé j’ai garé ma voiture sur le gravier du parking derrière sa maison. Il n’est pas venu m’ouvrir mais une dame, les cheveux noirs tirés en arrière m’a fait passer cérémonieusement devant elle. Elle portait une petite robe noire à col blanc et une petit tablier, purement esthétique. Elle me fit entrer dans le petit salon et ne semblait pas tenir compte de ce que je connaissais les lieux. Mon ami arriva quelques minutes plus tard. Alors , me demanda t’il? Qu’est-ce que tu en penses? Classe, non?

Je ne comprenais pas exactement de quelle chose précise il me parlait. "Quoi?, fit-je la … gouvernante ? "Je ne savais pas quel mot utiliser et de plus la dame qui m’avait ouvert était venue en silence se tenir debout derrière lui.

"Oui c’est ça, la pute là, la bonniche quoi"… J’étais interloqué. D’abord parce que cette dame semblait être tout sauf une pute mais aussi parce qu’elle était là à quelques centimètres. Impassible et soumise.

- "Ben…"

L’attirant à lui d’un geste impératif il la prit par la taille d’une façon assez rugueuse pour me dire: " je te présente ma femme, ma nouvelle femme…enfin mon vide couille personnel."

J’étais sidéré. La dame ne bronchait pas et j’étais assez impressionné.

- "Mais enfin! "

"Ne t’inquiètes pas" me dit-il, quelque chose dans son regard m’indiquait qu’il était le même homme jovial que je connaissais et pourtant la manière dont il parlait de cette femme m’interloquais. " Ne te fais pas de bile on va t’expliquer."

- " Ed apporte nous à boire, s’il te plaît"… puis comme s’il se reprenait d’un impair…" heu même si ça ne te plaît pas d’ailleurs". La dame tourna les talons et disparu vers un bar je suppose.

J’étais mal à l’aise et j’allais le dire à mon ami quand il me coupa la parole d’un air sombre; "laisse c’est un jeu…"

J’allais lui dire que ce jeu me semblait un peu déplacé mais la dame revenait avec un plateau d’argent garnit de deux verres de champagne et de deux objets oblongs en cristal qu’on aurait dit assortis aux coupes.

- "Bien pose ça sur la table et reste là, je veux te présenter à mon ami."

Puis s’adressant à moi:-" mais d’abord trinquons à nos retrouvailles et à mon mariage"

La dame se tenait droite et disponible près de la table basse et des fauteuils dans quoi on s’était installés.

- "Heu ta femme"…hasardai-je… "ne trinque pas avec nous?"

- "si si dit-il en posant ses lèvres sur son verre; tu es vraiment bien élevé toi."

- "Je veux te la présenter sous son meilleur jour" Et il la fit s’approcher.

Elle avait fait un pas, le regard baissé et se tenait entre lui et moi. Sans se lever de son fauteuil il posa son verre et en me disant: "regarde" il souleva la jupe de la dame dont le regard fixait toujours le sol.
J’avais du mal à avaler ma gorgée de champagne tant j’étais surpris.

Sous la jupe sobre de la dame, des bas s’arrêtaient au-dessus de la mi-cuisse et étaient retenus à l’ancienne par des jarretelles, au-dessus de quoi une minuscule culotte noire en dentelles très ajourée laissait voir une toison pubienne tout aussi noire. Il m’exposait sans vergogne le ventre de sa femme avec de petits commentaires salaces vraiment déplacés.

- "Tu as vu? Pas mal hein? Tourne toi ma chérie qu’on voit bien ton cul."

J’étais subjugué et je cherchais le regard de la dame pour comprendre où j’étais tombé. Mais c’était peine perdu parce que très doucement elle s’était tournée.

- "Beau cul cul hein?"

En effet j’avais devant les yeux le cul de cette femme très strictement vêtue si ce n’est que son mari relevait ses jupes dans une sorte de petit théâtre goujat.

Comme si j’avais émis le moindre avis il reprit: " c’est vrai tu as raison, on ne voit rien, baisse ta culotte ma pute…" Et doucement, avec grâce et naturelle la dame baissa sa culotte jusqu’à mi-cuisse et se pencha imperceptiblement vers l’avant pour bien nous montrer ses fesses, avec ce rien de coquetterie qui fait que ce léger mouvement les montrait en tension. On voyait distinctement entre le haut de ses cuisses serrées l’abricot de sa vulve, quelques poils et deux superbes globes fessiers.
Satisfait mon ami remarqua

- "voiààà! Pas mal hein ? Tu te rends compte que c’est là-dedans que je me laisse aller maintenant."

Puis, presque tendrement, il dit à sa femme "penche toi un peu plus et écarte bien tes fesses qu’on voit bien ton petit cul ma salope"

Tout aussi simplement elle se pencha un peu et de ses mains impeccablement manucurées elle écarta ses fesses sur un anus sombre et brun, magnifiquement plissé. La docilité de cette femme évaporait un peu mes scrupules mais je n’étais pas très à l’aise.

- "oui je vois bien", dis-je
- "Voilà on peut trinquer," répondit -il…" prends le gode que tu préfères sur le plateau"

Sur le plateau près de nous étaient en effet disposés deux objets de verre, lisses et dont la forme indiquait l’usage. Il me tendit le plateau en ayant pris soin que sa femme maintienne la jupe levée sur son cul et tienne bien écartées ses fesses.

Comme j’hésitais il prit un des objets et le trempa dans sa coupe de champagne puis le fit glisser sur les lèvres de la vulve de sa femme, en une ou deux aller-venues le bout du gode se fraya un écartement suffisant entre les lèvres brillantes de vin. Puis disparu en glissant dans la vulve de la dame penchée devant nous. Seul un petit frisson imperceptible passa sur sa peau.

- "Je te laisse l’autre, c’est le meilleur "nme dit , très satisfait, mon ami, " tiens enfonce le lui"

Devant mon air interloqué il me précisa :

-"dans son cul mon vieux! ne t’inquiète donc pas elle est préparée." En effet sous l’effet de l’étirement je voyais bien que ce délicieux trou de cul foncé était luisant sur ses bords.

Pendant que dans une sorte d’hypnose, je prenais sur le plateau l’objet transparent et allongé mon ami me dit:

- "trinquons" en me faisant signe de tremper le gode dans mon champagne.

Mécaniquement je trempais l’objet de cristal dans mon verre et je l’approchais délicatement de ce cul devant mes yeux. Il me sembla que la dame avait un léger mouvement quand je tournais le bout arrondi sur les fins plis de sa fleur, mais ce frisson venait vers l’objet et je l’insinuais avec une grande facilité dans l’orifice devant mon visage. Ce cul "aspira" l’objet et mon ami levait son verre :

-"santé" et cogna le bord de son verre sur ce qui dépassait du cul de sa femme.

Á son invite je fis pareil et j’entendis la femme dire doucement "saudé !"

Puis elle laissa retomber sa jupe et se redressa. Nous bûmes tout près d’elle qui avait reprit une position d’attente comme une bonne très chic, sauf qu’on voyait sa culotte baissée sous le niveau de sa robe impeccable.

L’idée de boire ainsi du champagne près d’une femme servile dont je savais que la vulve et l’anus était occupé par des objets de verre qui devaient se réchauffer en elle petit à petit, acheva de me troubler.

Subitement il dit :

-"allez viens avec nous"

Elle lui jeta un regard puis fit non de la tête. Mais il n’en démordit pas:

- "si ma salope tu vas enlever ces vêtements et tu va venir écarter tes cuisses près de nous…va chercher la bouteille "

Honnêtement j’étais choqué et mon ami le voyait. Elle tourna les talons et parti chercher ce qu’il lui commandait. Il avait un petit sourire satisfait sans que je puisse savoir si c’était de l’empire qu’il avait sur cette femme ou de la façon dont il me choquait. Il me dit pendant qu’elle revenait vers nous:

- "tu es trop bien élevé".

Elle revînt se placer droite devant la table basse et déposa la bouteille, une boîte de cigares et un nécessaire à fumer. Puis elle l’interrogea du regard et il lui répondit presqu’avec bonhommie:

- "alors tu les enlèves ces fichus vêtements, qu’on voie ta belle poitrine et ta chatte? "

Elle commença à faire glisser une tirette invisible le long de son dos et enleva l’une après l’autre ses manches. Lui la dévorait déjà du regard. Lentement et très précautionneusement cette femme dans la quarantaine assumée découvrit une poitrine généreuse, serrée dans un soutient gorge assortit à la culotte qu’elle nous avait si complaisamment montré. Elle fit glisser sa robe noire par dessous son tablier blanc et la déposa, pliée, sur le bord du canapé devant nous. Elle était grande sur ses talons, elle avait du rectifier ses bas et elle se trouvait en tablier, culotte et soutient-gorge devant nous comme si elle était habillée et prête à son service. Le maintient de cette femme et ses cheveux tirés lui donnait une certaine classe, en lingerie devant nous.

Il la félicita:
- " c’est bien… c’est mieux comme ça, assied toi là et écarte bien tes cuisses."

Elle s’assit devant nous et sans qu’aucune provocation ne se lise dans son regard noir elle écarta les jambes. Son tablier pendait devant son ventre. Mon ami lui intima de l’écarter et quand il vît qu’elle avait remonté sa culotte lui demanda poliment de me la donner. Elle se contorsionna un peu pour faire glisser le minuscule vêtement et me l’apporta. Il me dit :

- "sens! "

Je portais la culotte à mon visage mais je ne percevais qu’un léger parfum de lessive.

-"elle n’est pas mouillée?"

me demanda mon ami, je du lui répondre que non, alors il parut contrarié et dit à sa femme de venir se mettre devant moi à quatre pattes, que ce n’était pas une manière de recevoir un ami etc…
Comme pour s’excuser il me resservi et lui aussi. La dame était à quatre pattes devant moi et je ne savais pas très bien quoi penser. Parce qu’elle exécutait des ordres absurdes avec un grand naturel et ne semblait pas prendre ombrage de la façon dont son mari la traitait devant moi.

Prévenant il me dit sur le ton d’un hôte attentif que si j’éprouvais l’envie de me faire sucer la queue sa femme se ferait un plaisir de m’accommoder. Devant ma surprise il me dit qu’elle allait m’expliquer.

Il lui dit :- "raconte ma salope!"

La dame agenouillée devant moi me dit d’une voie claire:

"- je suis une salope, une pute, une chienne en chaleur de la pire espèce que vous ayez rencontré"

Elle me dit ça de façon dégagée comme une hôtesse prend des nouvelles de ses convives.

Il me regardait et d’un air de conclure il me dit :

- "là tu vois? Un pute!, la mienne, une gentille pute gratuite " et là-dessus il lui claqua les fesses d’une façon si sèche qu’elle sursauta un peu, avant de baisser les yeux.

Il lui dit:

-"tourne toi qu’on trinque" et elle nous montra son cul encore garni de ces godes de verre et nous y choquâmes nos verres. Á nouveau elle souffla "saludé"

Elle se retourna aussitôt et il lui dit de me raconter son histoire.

Elle me dit:

- " je suis une pute, un vrai vide couilles… je l’ai toujours été. Enfin…

Je suis née au Portugal, j’avais deux frères, deux grands frères, ils se battaient toujours, quand on jouait ensemble j’étais un peu leur souffre douleur, mais je les aimais tellement…je les admirais.

Puis mes parent m’ont mis chez les sœurs, à l’internat, elles étaient méchantes, c’était très strict, on ne pouvait rien dire et rien faire. J’étais bonne élève. Mais comme les autres j’ai pris quelques gifles, c’était comme ça, personne n’y trouvais rien à redire et moi j’avais l’habitude avec mes frères."

Mon ami lui claqua les fesses sans raison, elle sursauta à peine, il se tourna vers moi et me dit qu’elle appréciait toujours. Il lui dit "continue…si tu veux que je continue"

Elle reprit " à l’internat quand j’étais jeune fille il y a eu cette fille d’ambassadeur qui est venue, une chinoise, de Macau, elle était super belle, elle parlait bien le portugais.

Elle était plus délurée que nous, le sœurs ne l’aimaient pas parce qu’elles prétendaient qu’il n’y avait que des bordels à Macau. Aussi il se disait que son père, bien que négociateur auprès du gouvernement était un des plus gros maquereaux de Macao.

Je ne sais pas, c’était une chouette fille, plus coquette que nous.

C’est elle qui nous disait qu’il fallait qu’on blanchisse nos poils, sur les jambes et sur les bras avec de l’eau oxygénée. Le sœurs n’aimaient pas ces coquetteries. Il faut dire qu’elles, elles étaient laides.
Elles nous paraissaient vieilles, mais surtout laides, laides de méchanceté.

Elles étaient sévères, et nous on ne disait rien. Parce qu’on voyait bien à leurs figures quand elles étaient indisposées et là…là elles se "vengeaient" sur nous.
Un jour , dans le dortoir on s’est fait piquer par une des bonnes-sœurs. Ma copine me rasait les jambes et la sœur en a conclu qu’on étaient gouines. Elle me disait que ma copine avait avoué et qu’on se rasait la chatte , comme des petites putes. Elle m’a fait baisser ma culotte et quand elle a vu ma petite chatte de jeune fille, peu poilue à son goût, elle m’a frappé et puis pour me punir elle m’a pincé les lèvres et le clito. Elle a tellement tiré mes poils en hurlant qu’elle en a arraché quelques-uns.

J’avais honte. Contrairement a se qu’elle croyait personne ne m’avait touché la chatte. C’était la première fois, c’était violent… mais ça m’a fait de l’effet. Ca m’a fait mouiller et j’avais honte, et plus j’avais honte plus je mouillais. J’avais mal, mais avec la honte mélangée j’avais envie qu’elle me triture encore la chatte, je ne sais pas, la honte totale.

Et elle, elle ne pouvait pas le voir, et elle s’est acharnée en me traitant de toutes les pires insultes qu’elle connaissait. Elle me disait et me tordant la vulve, "vous vous touchez!, vous vous frottez! vous vous broutez la chatte!".
Je n’avais pas idée qu’on pouvait faire ça, je ne l’avais pas fait, mais je m’en sentais coupable. Et j’en avais envie parce qu’elle me faisait honte et qu’elle me faisait mal et que je voyais bien que ce n’était pas normal, qu’elle y prenait aussi du plaisir.

J’avais tellement honte que j’aurais voulu qu’elle continue pour me punir de ce que je n’avais pas fait mais dont elle me donnait l’idée, et puis j’avais toujours été dressée à faire "plaisir" aux autres.
C’était comme ça qu’on élevait les filles à l’époque, j’avais envie de lui faire plaisir et qu’elle continue. Mais sa colère avait dépassé ce qu’il aurait fallu et quand elle s’est rendue compte qu’elle prenait du plaisir et qu’elle m’en donnait elle s’est arrêtée effrayée. Elle m’a reproché ce que je lui faisait faire et m’a chassé.

Du coup un peu parce qu’elle m’en avait donné envie, un peu parce que je voulais encore m’humilier, j’ai entrepris la fille de l’ambassadeur. Elle n’étais pas farouche et s’enmerdait ferme dans cet internat. On a commencé à se gouiner, en faisant tout ce que la sœur m’avait dit. Mais ce n’était que doux et si je vivais mes premières émotions il me manquait la fureur et les coups.
Quand j’ai demandé à ma copine de me faire mal, elle a ouvert de grands yeux et m’a fait subir toutes sortes de petits sévices. C’est devenu notre secret. Et je partais au quart de tour, puis la masturber me faisait redescendre sur terre et m’ennuyer. Mais je le faisais pour la remercier et aussi pour m’humilier."

Pendant que sa femme racontait, mon ami était subjugué et une véritable pitié le prenait, mais chaque fois qu’elle parlait de douleurs il semblait se réveiller et lui pinçait un téton ou lui claquait le cul.

Elle semblait apprécier quand il lui labourait le cul en manipulant le gode bien fiché dans son anus. Elle interrompait alors son récit comme pour reprendre son souffle, mais imperturbable elle continuait.

" Un secret dans un internat pour jeunes filles ça ne tient pas longtemps et la sœur la plus méchante l’a vite su, et elle nous espionnait, elle voulait nous prendre sur le fait, maintenant je me doute que ça l’excitait et qu’elle prenait plaisir à nous surprendre et nous terroriser.

Elle est devenue très cruelle avec moi, au point que les autres filles étaient terrorisées de devenir son souffre douleur et moi, comme une sainte, enfin comme j’imaginais les martyrs qu’on nous bourrait dans le crâne, je souffrais, je me sentais humiliée mais au fond de moi… au fond de moi…"

Elle dût s‘interrompre parce qu’à force de lui travailler le cul avec le gode en cristal son mari s’était mis à bander dur et avait décidé de la prendre devant moi. Je ne savais pas si c’est l’histoire de ces jeunes filles qui l’excitait ou la confession de sa femme à un quasi inconnu ou simplement l’idée de la prendre devant quelqu’un , toujours est-il qu’il poussa son gland puis toute sa grosse queue à la place du gode poisseux de mouille qu’il venait d’enlever du con de sa femme et qu’il avait déposé complaisamment sur le plateau d’argent.

Il grogna:
- "continue salope" et à mon adresse "et toi bois un coup, moi je suis occupé".

Il était très excité et la situation développait en moi une sorte d’hypnose, à la fois d’horreur et de félicité. J’aimais les voir. Elle continuait son atroce récit et lui la bourrinait sans vergogne. Elle subissait comme si rien de cela n’était étrange. Moi je buvais ses paroles et du champagne.

" Ah!… au fond de moi je prenais plaisir à être maltraitée, c’est comme si un lien s’était fait dans mon ventre entre plaisir, sentiment d’être une salope et punition…douleur.

Je suis sure que la sœur s’en rendait compte, je suis sure que ça augmentait sa tendance au sadisme, elle devait mouiller comme une salope elle aussi.

Après que la fille de l’ambassadeur soit partie, et que je n’avais plus aucune activité érotique, la sœur continuait ses punitions et ses pénitences sur moi, si fort qu’un malaise s’est installé. Je savais que ce n’était pas bien, pas juste, pas normal. Je savais que même si ça me donnait des sensations, je ne devais pas… c’était comme une boucle de honte, qui me faisait faire des sottises, des peccadilles pour me faire punir…

Jusqu’à ce qu’un jour, je ne sais pas pourquoi parce qu’il me dégoûtait, et je suis sûre que les sœurs aussi étaient dégoûtées par lui, le vieux curé qui venait nous confesser a remarqué quelque chose, ou j’ai cru qu’il remarquait quelque chose.

Je suis sûre que si elles étaient aussi méchantes avec nous c’est parce que ces nones n’étaient pas aussi nettes que ça, elles se vengeaient sur nous…peut-être que ce vieux porc y était pour quelque chose… je ne sais pas , il se dit tellement de chose dans ces internats plein de donzelles récemment hormonées…


Un jour je lui ai dit à ce porc ce que la sœur me faisait subir, il m’a fait tout expliquer, les mains dans ma culotte, sa chatte qu’elle me montrait pour me montrer comment devait être une chatte naturelle et pas une chatte de pute comme moi, le cierge qu’elle enfonçait dans mon cul parce qu’elle voulait éteindre ce que j’avais dans le ventre mais qu’elle ne voulait pas me déflorer, parce qu’imaginez le scandale, il fallait que nous soyions vierges à la sortie de l’école… ça ne devait pas être l’envie qui lui manquait à cette salope de nonne…ha elle aurait bien voulu me voir saigner dans ma culotte, elle aimait ça le sang dans les culottes, elle "vérifiait" soi disant, la honte, toujours l’humiliation et moi, seule dans mon lit je m’infligeais des "punitions " imaginaires pour des pêchers encore plus imaginaires et je m’humiliais toujours plus et plus profond dans mon cul de catin, jusqu’à me faire surprendre par la sœur etc…"

Un peu de sueur perlait au front de la dame, par à coups sa respiration devenait plus hachée et elle fermait les yeux. Son récit devenait obscène et de plus en plus cru au fur et à mesure que mon ami la sautait (il n’y a pas d’autre mot ) devant moi.

" J’ai tout balancé à ce porc, mais il m’a traité de menteuse, il m’a menacé des pires sanctions divines ou infernales. Puis la mère supérieures m’a punie, cette merde était allé tout lui raconter et ma mère est venue me chercher. Elles m’ont renvoyé. Ma mère était digne , mais à la place de m’écouter, à la place de me demander elle a cru les sœurs, et je ne sais quelles horreurs elles ont pu raconter à ma mère.

Rentrées à la maison, ma mère a pleuré, hurlé, puis geint comme si elle était blessée physiquement, j’étais si honteuse; puis le soir elle est venue me gifler dans ma chambre. J’ai eu un orgasme terrible.

Au point que le lendemain j’étais prête à avouer n’importe quoi pour qu’elle sorte de ses gonds et qu’elle me gifle encore. J’ai compris à ce moment là que je ne pourrais jamais aussi bien jouir qu’en étant claquée, injustement, arbitrairement humiliée et frappée. Même quand je martyrisais mon pauvre clito je ne parvenais pas à atteindre un orgasme aussi puissant qu’une série de claques me procuraient immédiatement,violemment. Plus c’était absurde ou immérité plus je jouissais. Une vraie pute. J’inventais n’importe quoi et puis ensuite m’a "réputation" suffisait à me faire rouer pour rien.

Alors tout le monde a su que j’étais une salope, on disait une fille facile, pourtant à part me torturer la chatte et espérer prendre une trempe je ne faisais rien, rien de ce qu’on croyait que je faisais. Je traînais pour rentrer, parce qu’aussitôt ma mère allait croire que je traînais à faire la pute et me tansait vertement. Ce que j’ai pu lui faire de mal! Mais j’en avais besoin j’étais devenue accroc à mes orgasmes.

Pourtant j’étais vierge. Je n’avais jamais connu de garçon. Et bien sûr ma mère l’ignorait. Et tout le voisinage aussi. Encore……Encore!"

Mon ami lui pressait les tétons comme je n’ai jamais vu ça, il étaient violets et ça semblait inspirer la belle.

" Quand Manoel a demandé à mon père de me fréquenter mon père à cru qu’il était idiot ou demeuré mais il était bien trop content, les parents de Manoel un peu moins. On s’est marié très vite et on est parti dès qu’on a pu en France. C’était un homme bon et timide. Il était courageux. Il était très étonné que je sois vierge, il a eu peur de m’avoir blessée.

Je me suis rangée, j’ai essayé d’avoir des enfants mais je me suis ennuyée tellement que le sexe comme ça ne m’intéressait plus. Manoel n’aurait jamais levé la main sur moi.
J’étais tellement éteinte.

Il est mort dans un silot a grain mal aéré en faisant une soudure. Ça a explosé."

Mon ami avait sorti sa queue pour jouir au grand jour et à peine son gland était sorti de sa femme qu’il giclait abondamment entre ses fesses, mais sans même reprendre sa respiration il avait introduit dans son insatiable conteuse un, deux, trois doigts puis toute sa main pour la fouiller pendant qu’un fil de sperme coulait encore de sa queue qui débandait. Je crois qu’il lui a mis la main entière quand elle a dit explosé. Elle a marqué une pause imperceptible avant de continuer.

" J’étais déprimée, c’était subit. Je me croyais finie. Ce n’était pas de la saudade, il n’allait pas revenir. Ma famille mes frères ne voulaient plus me voir et j’étais seule. Je suis allée voir le docteur Cohen, on aurait dit ce gros porc de curé mais en gentil, en sympathique. J’ai beaucoup pleuré, mais j’ai fini par tout lui dire, j’avais presqu’envie qu’il me batte, qu’il m’envoie une volée de gifle, je crois que j’en étais un peu troublée, pas amoureuse mais,…

Il a été vraiment super et m’a dit que ce n’était pas ma faute, que j’aurais du mal à effacer, à oublier, alors qu’il fallait vivre avec ça, en faire du bien, presqu’accepter d’être comme je suis. Il a beau dire que non, moi je sais que je suis une salope, une vrai pute, une chienne……

Et j’en suis fière. AAAAAh!"

Mon ami était en train de cogner dur dans le fond de la chatte de sa femme en la fistant et elle avait fini par lâcher l’affaire, on aurait dit qu’elle pensait au bon docteur Cohen, enfin elle est partie très haut en disant qu’elle était une salope.


Mon ami m’a raconté ensuite comment ils s’étaient trouvés, par petite annonce, qu’elle l’avait bluffé. Que c’est une femme très bien, une épouse merveilleuse et un peu "spéciale"… quand ça lui vient…
Ils sont très épanouis et je vais souvent les voir, Ed adore se faire "remplir" et "bousculer". Et comme dit mon ami: il n’a qu’une seule bite et sa femme à quelques bites à rattraper.
Dionysos06, jc21, elianeetserge et 1 autres a liké
#2669838
@bonsoirbonsoir voici une nouvelle histoire très bien écrite et réellement pornographique, au bon sens du terme. Les personnages et l'action sont bien campés, bien présentés ; et le récit apparaît fluide et bien construits. Une vraie réussite.
Indubitablement, un texte pour lecteurs avertis, de préférence libertins et ouverts d'esprit.
#2670024
Je rejoins parfaitement Dionysos06 (en même temps, je suis très souvent d'accord avec ses pensées). Quel érotisme ! Assurément à ne pas mettre entre toutes les oreilles mais si celles-ci sont prévenues et ouvertes d'esprit (ça a de l'esprit une oreille ?), quel délice.

Merci beaucoup et j'espère lire bientôt une nouvelle "aventure" de votre part.
Dionysos06 a liké
#2764328
Chapître 1

Au départ c’est une annonce, rédigée soit-disant par une dame dans la cinquantaine, elle cherche pour son mari et elle insiste bien pour son mari, un homme qui accepterait que ce mari le caresse et le suce en présence de son épouse. L’annonce précise qu’elle même ne serait que voyeuse et qu’il n’y aura de contact qu’avec son mari.

Il y a des jours, je ne saurais dire pourquoi, où l’empire qu’a mon sexe sur mon esprit et tout mon corps me pousse à consulter ce genre d’annonce, un peu comme on feuilletterait une revue de psychologie. Je le reconnais j’aime beaucoup le regard d’une épouse sur son mari qui suce. Il y a, même avec l’habitude, une sorte d’amour qui surpasse les conventions, l’éducation, le formatage.
Une sorte de plaisir par délégation. Une forme de liberté mais qui est orientée vers l’autre, qui donne la possibilité de réaliser un fantasme, pas pour soi mais pour celui qu’elle aime.

Même dans les cercles candaulistes, les hommes dont le centre d’intérêt est leur épouse, ne parviennent pas à ce type de tendresse et d’abnégation.

J’ai répondu à cette annonce un peu par jeu et par curiosité et puis je n’ai pas eu de nouvelle. Jusqu’à qu’un message, tombé du ciel , me replonge dans cet émoi si particulier d’une nouvelle rencontre et des fantasmes d’inconnus. À la manière dont le message était rédigé j’ai bien compris que c’était bien une dame qui m’écrivait. Parfois ces annonces ne sont que des subterfuges pour quelques messieurs en désespoir de bites et qui très vite indiquent que leur femme est malheureusement en déplacement etc… Mais là non. La dame m’expliquait, comme pour se justifier, que c’était un fantasme ancien et récurrent, que le style de ma réponse les avaient mis en confiance et ils me proposaient quelques dates, comme on le fait pour une réunion.

La méthode un peu proprette m’amusa et ma réponse fut sur le même ton dégagé.

À l’heure dite, j’ai rangé ma voiture dans une petite cour de gravier derrière la maison, dont la porte qui donne sur l’arrière est plus discrète.
Par la porte fenêtre dans la baie vitrée qui donne sur la cour je peux voir que mon arrivée est remarquée. La silhouette d’une dame se dirige déjà vers la porte. Pendant les quelques pas qui m’approche de la maison j’ai tout le loisir de la regarder à travers les voiles qui couvrent toute la hauteur de la fenêtre. C’est une femme assez grande, d’apparence distinguée. Elle a quelques rondeurs charmantes, des seins lourds et des hanches très larges. Elle est vêtue d’une robe noire seyante dont le bustier met d’autant plus en valeur sa poitrine qu’un ruban double la courbe des bonnets sur le dessus de ses seins. Si ce n’est ce détail un peu sexy, la robe pourrait être une robe du soir.

Avant même que je sois arrivée aux marches, elle ouvre la porte en me souhaitant la bienvenue. Il fait très chaud dans cette sorte de véranda attenante au corps principal de la maison. Je lui tends les bouteilles de Cava que j’ai apporté et elle a comme un micro mouvement presqu’ imperceptible, elle me dit qu’il ne fallait pas et très vite je me rendrai compte que c’est plus que vrai.
#2764329
Chapître 2

Elle me fait signe de passer devant elle et nous entrons dans la maison proprement dite. C’est un grand espace unique, meublé avec goût, ici un salon, là une grande table et au fond une cuisine ouverte. Le mari est là qui nous attend. Un homme en costume sombre, la cinquantaine, plus responsable que sportif, un cadre. Son visage bien que sympathique laisse voir un homme à poigne, son salut est énergique et jovial.

Nous échangeons les quelques mots d’usage et très vite, bien qu’ils soient tous deux sympathiques il émane d’eux deux une complicité érotique délicatement perverse. Ils sont déjà en mode ludique et bien que la "conversation" soit anodine, les regards et les insinuations discrètes sont lourdes de sens.

Ils m’expliquent tour à tour qu’ils ont en commun le goût du jeu et le délice de léger dérapages possibles. Lui et elle sont en effet cadres et il leur coûte de laisser "au vestiaires" comme ils disent leur autorité naturelle pour, à tour de rôle être l’objet des fantasmes de l’autre. Et que ces fantasmes tournent toujours autour de la domination et de la soumission. Ils se décrivent comme devenu très exigeants, au fil des années. Et que cette exigence contient virtuellement quelques "risques" assumés dont la possibilité fait tout le sel de leurs jeux. Sauf que cette fois le tirage au sort de qui est soumis à l’autre était indécidable. Le couteau d’argent qu’ils font pivoter comme une flèche s’est arrêté exactement au milieu du sort et ils devaient donc, par leurs règles être tous les deux soumis.

Pour s’extraire de cette difficulté ils ont décidé, en tirant à nouveau au sort, qui rédigerait une annonce pour se soumettre à un tiers, bien qu’il leur en coûte à tous les deux.
Ils m’expliquent ça tranquillement avec des mots choisis, et je peux percevoir la charge de frustration délicieuse que ces mots contiennent. En buvant doucement du champagne ( bien meilleur que le cava que j’ai amené) les regards se font plus lourds. Le mari ne peut pas tout à fait se libérer de son autorité et donne des indications à sa femme afin qu’elle soit une bonne soumise. Elle rétorque avec une très élégante grossièreté que c’est lui le petit chien lécheur ce soir. d’ailleurs elle me prend à témoin et me demande si je ne veux pas un examen plus approfondi de la "marchandise".

sans spécifiquement attendre ma réponse elle enjoint à son mari d’ouvrir sa chemise et je peut admirer l’élégant lacis de bride qui entoure le torse de cet homme. Des pinces lui serre les tétons et un corset de bandes d’une matière plastique extensible enserré son torse et ses flancs. Elle me dit que son mari est une vraie catin quand il se laisse faire et lui demande de baisser son pantalon. Elle le fait avec l’intention de l’humilier légèrement dans la mesure ou pour un homme comme lui "baisser son froc" qui plus est devant un inconnu est pénible , même si c’est évidement à son goût.
En s’exécutant il montre le pantalon tombé sur les chevilles, un peu ridiculement, une sorte de string rigide dont la bride remonte entre ses fesses, par devant un minuscule sac contient ses testicules et attaché par deux rubans un anneau par quoi passe sa verge, à cet instant gonflée par une demi molle. Sur son pubis épilé vient se plaquer une sorte de boucle rigide en forme de triangle qui entoure tout son appareil génital. C’est assez joli, ce qui est rare pour ces sous-vêtements masculins parfois un peu ridicules ou d’un goût douteux. Elle m’explique, ce qu’on ne peut pas voir , que sur cette tige rigide qui lui passe entre les fesse, un ergot bien placé fait office de plug anal et que si je le souhaite elle peut y enticher une poire pour gonfler l’insert anal. Elle m’explique ça d’une manière détachée, assez technique mais sur le ton de l’hôtesse qui met tout en œuvre pour satisfaire un invité.
#2764330
Chapître 3

Le mari qui se tourne complaisamment pour appuyer les explications de sa femme ne peut l’empêcher de se déhancher de manière quasi obscène, mais son rôle de soumis est trop étroit et il éprouve le besoin de prendre la parole à son tour pour me préciser que si je le souhaite ils peuvent l’un et l’autre porter des cagoules, ce qui les identifieront comme des objets, la dame précise qu’ils apprécient tous les deux cette anonymisation.

J’apprécie de plus en plus l’ambiance perverse chic et j’accepte qu’ils portent leurs masques, sauf que je voudrai qu’ils se les mettent mutuellement. Je choisi une cagoule largement ouverte pour encore reconnaître le visage de la dame, alors que pour ce matamore de mari je sélectionne une cagoule dont les seules ouvertures sont deux petits trous sous les narines et une ouverture à mobile à hauteur de la bouche. Mon choix semble les ravir, et c’est avec un plaisir sensible que je vois cet homme nouer les lacets derrière la tête de son épouse à qui il donne une dernière fois l’odre d’être exceptionnellement docile à mes désirs.

Elle même, couvre avec précaution toute la tête de son mari qui de ce moment n’y verra plus rien, en me demandant très poliment si elle doit laisser la gueule apparente. Désormais , comme si le code s’était établi par lui même elle ne désignera plus son mari et les parties du corps de celui-ci qu’avec des mots plutôt appropriés à désigner un animal. Il ne s’agit pas de grossièreté mais d’une convention, simplement atténuante.
L’homme est devant nous aveuglé et ridicule, la chemise ouverte et le pantalon baissé.

Je propose à la dame de reprendre une coupe de champagne pendant qu’il stationne debout, absurde au milieu du salon. Elle m’explique que selon les désirs de son époux elle se prêtera volontiers à ce que je lui demanderai. ce qui , bien que je comprenne petit à petit les règles du jeux m’étonne toutefois un peu, ça veut dire que je peux tout lui demander? ce n’était pas prévu comme ça. Elle ne devait être que voyeuse.
Pour en avoir le coeur net, j’approche mes lèvres de sa cagoule, là où par l’ouverture grotesque sa bouche est rendue saillante par le latex. Les petites ridules de son âges sont tendues par le masque et bien qu’un frisson rétif la parcoure elle subit cette sorte de baiser morsure que j’applique sur cette partie de son visage. Elle ne dit rien, le mari aveugle ne sait rien de cette incartade aux règles prévues.
Il est toujours debout, patient le pantalon baissé, la chemise ouverte sur son corset brillant. Il hoche un peu de la tête quand sa femme s’avance un peu en disant qu’ils sont tous les deux admirateurs du phallus. Je comprends que l’un et l’autre désirent voir mon sexe et surtout le voir pénétrer la "gueule " du mari, mais j’ai l’intention de prendre mon temps et ne m’adressant plus qu’à la soumise volontaire, je demande que le mari soit débarrassé de ses vêtements.
Je me ressers de champagne en voyant l’embarras de la dame à me voir mes servir ce qui est à la fois inélégant et comme un manquement de sa part alors qu’elle déshabille à ma demande son mari.

Elle est toujours habillée pour le soir si ce n’est cette absurde cagoule. Je lui en fait la réflexion et je lui demande de me montrer son cul. Ni ses seins qui semblent magnifiques, ni ses hanches qui appellent la poigne, ni ses cuisent galbées par ses bas et sa jupe droite, ni même sa chatte qui pourrait être une source d’humilité mais obscène directement son anus.

Gênée par la demande elle m’explique en soulevant sa jupe qu’elle porte sur la requête de son époux une culotte de latex plutôt incommode à enlever. En effet le vêtement luisant est très collant.
Je lui désigne son époux d’un coup de menton en lui signalant que ce n’est pas spécialement agréable pour moi de devoir réitérer ma demande et je vois le mari hocher de la cagoule.

Je lui signale avec un peu de mépris que je voudrais bander et que la vue seule de monsieur bonobo encagoulé dans son salon ne suffira pas et qu’il me faut voir le cul d’une bourgeoise pour me remplir la verge de sang. Ce à quoi , sans réplique, elle semble acquiescer. C’est l’évidence. N’ayant pas d’autre cul de bourgeoise à me proposer, c’est évidement au sien qu’il revient de s’hexiber. sauf que ça lui coûte pas mal de contorsions ridiculisante, parce que la culotte est particulièrement serrée et ce que j’ignorais est que cette culotte était munie de deux godes assez conséquents, profondément enfoncés dans le vagin et le cul de cette infortunée qui s’efforce de se séparer de ce vêtement improbable dont j’imagine qu’il est assez peu pratique à mettre.

L’ensemble fini par glisser difficilement le long de ses cuisses, luisant encore plus à l’intérieur qu’à l’extérieur à cause de la quantité de lubrifiant nécessaire à conserver cette culotte de façon prolongée. cette opération compliquée est inélégante et assez gênante pour cette femme, lui laissant les orifices élargis et rougis, gluants. Enfin elle se sépare de cette damnée culotte noire et me présente son trou de cul en remontant sa jupe sur ses reins. Son anus est encore un peu dilaté et brille de lube.

Cette image et la relative difficulté de la situation me fait bander et je décide immédiatement de demander à la dame de rester le cul nu, la jupe troussée, pour ouvrir l’élément à mobile sur la gueule du mari et y introduire tour à tour les deux godes encore chauds.
#2764331
Chapître 4

Ce faisant je lui demande de bien vouloir laisser le gode et la culotte pendre à la gueule de son époux et d’écarter dans cette position cambrée ses deux belles fesses bien rondes. Je vois clairement son anus se resserrer doucement tandis que sa vulve étirée par la pression de ses mains sur ses fesses pour les tenir écartées, semble laisser échapper un filet de mouille ou de lubrifiant.

Le mari gobe les gode et les suce consciencieusement. Un filet de salive coule le long des godes. J’indique à l’épouse de rester dans cette position obscène mais de faire de la place dans la gueule de son mari. Je lui demande de bien vouloir s’agenouiller ce qu’il fait étonnement agilement alors qu’il n’y voit rien. Puis sans plus de précaution, je pousse mon gland puis toute ma verge dans sa gueule, lentement, sans délicatesse particulière mais en une fois jusqu’au fond de sa gorge. L’effet immédiat est un réflexe, un hoquet nauséeux et une grande quantité de salive qui s’échappe de ses lèvres, dans un éternuement. Je retire mon sexe de sa bouche pour le laisser se racler la gorge et reprendre sa respiration puis je réintroduis ma queue tout au fond à nouveau pour effectuer de grand allers et retours.

Sans que le mari puisse le voir, j’ai tiré à moi d’une main en agrippant l’ourlet du bas du bustier les hanches de sa femme, troussée. Pendant que je maintiens fermement la cagoule du mari plaquée contre mon pubis pendant les coups de queue dans sa "gueule, j’introduis deux ou trois doigts dans le sexe de sa femme qui ne moufte pas. En m’excitant je martyrise le pauvre homme en le laissant quelque fois éructer après quelques assauts très salivés, et un filet de bave s’accroche à son menton. Sans qu’il le sache, mais il est à ses affaires, je scrute la chatte de cette dame très chic qui tient ses grosses fesses écartées. Mon pouce tourne alors autour de sa rondelle grasses de lube et finit par s’y introduire décidément. Je rejoins en elle mes doigts dans son sexe et mon pouce dans son cul pendant que je plaque le visage cagoule du mari contre mon ventre. Les deux soufflent sans mot dire et l’atmosphère est devenue extraordinairement obscène.

Enfin je sens le sperme monter dans ma verge et la secousse venir. Je n’ai pas le temps d’hésiter et je sens le vagin et l’anus de cette bourgeoise maltraitée se crisper autour de mes doigts inquisiteurs. Cette sensation achève de m’exciter et je me délivre de mon sperme dans la gorge de son mari.

Il sent la jouissance et sans même que je lui demande il replace ma verge dans sa bouche pour pouvoir goûter et aspirer mon éjaculat. La femme ne dis rien non plus si ce n’est un petit frisson, un petit soubresaut quand j’extrais brutalement mes doigts de ses intimités. Je retire ma que de cette bouche trop salivante et j’y fourre les doigts de mon autre main. Je ne sais pas si l’homme a senti qu’il avait été cocu tout en étant un aspirateur humain, mais il n’en a pas été question. Nos sommes revenus étonnamment vite à une situation sociale formelle, quand j’ai demandé qu’on délivre ce pauvre monsieur qui n’a rien pu voir. La femme est restée cul nu et nous avons pris un dernier verre ensemble. Ils avaient l’air repus et dévastés. Ils semblaient satisfaits de la rudesse de mes services. Et très détendus nous buvions le verre de l’amitié, moi la queue à l’air, lui dans son harnais et elle troussée comme si nous étions dans une soirée tout ce qu’il y a de plus normale.
Le monsieur a repris malgré les circonstance son ton viril et m’a expliqué que j’avais bien saisi les habitudes de leur couple. Il était souriant et elle moins discrète souhaitait que nous remettions ça un de ces jours même si le sort était moins incertain. Toutefois, sans vouloir troubler l’enthousiasme j’ai précisé qu’il me serait impossible, n’étant pas switcheur, de ne pas prendre le dessus ce à quoi ils étaient tous les deux bien d’accorde de m’"assister" pour dominer l’autre. Nous trinquâmes dans le plus candide des sourires.
#2764344
bonsoirbonsoir a écrit :Chapître 4

Ce faisant je lui demande de bien vouloir laisser le gode et la culotte pendre à la gueule de son époux et d’écarter dans cette position cambrée ses deux belles fesses bien rondes. Je vois clairement son anus se resserrer doucement tandis que sa vulve étirée par la pression de ses mains sur ses fesses pour les tenir écartées, semble laisser échapper un filet de mouille ou de lubrifiant.

Le mari gobe les gode et les suce consciencieusement. Un filet de salive coule le long des godes. J’indique à l’épouse de rester dans cette position obscène mais de faire de la place dans la gueule de son mari. Je lui demande de bien vouloir s’agenouiller ce qu’il fait étonnement agilement alors qu’il n’y voit rien. Puis sans plus de précaution, je pousse mon gland puis toute ma verge dans sa gueule, lentement, sans délicatesse particulière mais en une fois jusqu’au fond de sa gorge. L’effet immédiat est un réflexe, un hoquet nauséeux et une grande quantité de salive qui s’échappe de ses lèvres, dans un éternuement. Je retire mon sexe de sa bouche pour le laisser se racler la gorge et reprendre sa respiration puis je réintroduis ma queue tout au fond à nouveau pour effectuer de grand allers et retours.

Sans que le mari puisse le voir, j’ai tiré à moi d’une main en agrippant l’ourlet du bas du bustier les hanches de sa femme, troussée. Pendant que je maintiens fermement la cagoule du mari plaquée contre mon pubis pendant les coups de queue dans sa "gueule, j’introduis deux ou trois doigts dans le sexe de sa femme qui ne moufte pas. En m’excitant je martyrise le pauvre homme en le laissant quelque fois éructer après quelques assauts très salivés, et un filet de bave s’accroche à son menton. Sans qu’il le sache, mais il est à ses affaires, je scrute la chatte de cette dame très chic qui tient ses grosses fesses écartées. Mon pouce tourne alors autour de sa rondelle grasses de lube et finit par s’y introduire décidément. Je rejoins en elle mes doigts dans son sexe et mon pouce dans son cul pendant que je plaque le visage cagoule du mari contre mon ventre. Les deux soufflent sans mot dire et l’atmosphère est devenue extraordinairement obscène.

Enfin je sens le sperme monter dans ma verge et la secousse venir. Je n’ai pas le temps d’hésiter et je sens le vagin et l’anus de cette bourgeoise maltraitée se crisper autour de mes doigts inquisiteurs. Cette sensation achève de m’exciter et je me délivre de mon sperme dans la gorge de son mari.

Il sent la jouissance et sans même que je lui demande il replace ma verge dans sa bouche pour pouvoir goûter et aspirer mon éjaculat. La femme ne dis rien non plus si ce n’est un petit frisson, un petit soubresaut quand j’extrais brutalement mes doigts de ses intimités. Je retire ma que de cette bouche trop salivante et j’y fourre les doigts de mon autre main. Je ne sais pas si l’homme a senti qu’il avait été cocu tout en étant un aspirateur humain, mais il n’en a pas été question. Nos sommes revenus étonnamment vite à une situation sociale formelle, quand j’ai demandé qu’on délivre ce pauvre monsieur qui n’a rien pu voir. La femme est restée cul nu et nous avons pris un dernier verre ensemble. Ils avaient l’air repus et dévastés. Ils semblaient satisfaits de la rudesse de mes services. Et très détendus nous buvions le verre de l’amitié, moi la queue à l’air, lui dans son harnais et elle troussée comme si nous étions dans une soirée tout ce qu’il y a de plus normale.
Le monsieur a repris malgré les circonstance son ton viril et m’a expliqué que j’avais bien saisi les habitudes de leur couple. Il était souriant et elle moins discrète souhaitait que nous remettions ça un de ces jours même si le sort était moins incertain. Toutefois, sans vouloir troubler l’enthousiasme j’ai précisé qu’il me serait impossible, n’étant pas switcheur, de ne pas prendre le dessus ce à quoi ils étaient tous les deux bien d’accorde de m’"assister" pour dominer l’autre. Nous trinquâmes dans le plus candide des sourires.


Très beau récit pour le moins épicé !!!....
Le fantasme de la dame de voir son mari dominé et sucé par un amant est assez courant .... sous des formes parfois plus insidieuses et détournées! ...
Ma belle a toujours eu un peu ce fantasme lorsqu'elle est avec son amant en pleine soirée de soumission, de me voir participer de près ensuite à l'admiration qu'elle lui porte !!! ....
Elle aime nous voir ensemble autour d'elle ...et tente souvent de nous rapprocher sexuellement, et casser les codes établis !! même si elle sait que ni lui, ni moi ne sommes bi !! ...
Sans être farouche pour autant, mais pas bi non plus, on lui fait parfois plaisir en la laissant nous toucher, nous rapprocher intimement autour de son sexe coulant de son sperme ...
on sait, lui et moi, que ce serait le fantasme de ma belle de nous voir nous caresser ensemble devant elle !!! ...voir un peu plus ! ....

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