- 23 sept. 2022, 08:14
#2649999
C’était début 2011, Claire travaillait dans une structure de promotion touristique et depuis deux ou trois ans se tapait son patron. Qui ne savait pas que je savais et donc avait le double plaisir de baiser une femme adultère et de faire son mari cocu. C’était un mec porté sur le sexe qui baisait comme un lapin ce qui ne déplaisait pas à ma cochonne qu’il faisait bien jouir et qui ne manquait pas de me raconter. Surtout qu’il faisait beaucoup de déplacements professionnels, en France comme ailleurs, où il ne manquait pas de l’emmener, et là c’était baise à outrance. Au point qu’un jour elle est rentrée avec une irritation vaginale dont elle a bien été embêtée d’expliquer les causes à notre médecin !
Mais à l’époque dont je te parle, ledit patron avait été muté et, selon l’usage, il y avait son pot de départ. Donc l’ensemble du personnel et quelques invités du domaine du tourisme dont : MON PATRON ! Patron là depuis peu, mais pas vraiment sympa car autoritaire, hautain, limite tyrannique… Un patron, quoi !
Au cours de la soirée il a croisé Claire, il savait qu’elle était ma femme, ils ont parlé de ci et de ça et ma chérie ne me cachait pas qu’elle se sentait flattée de l’attention que lui portait le patron de son mari. Un peu inquiète quand même quand il parlait de son ami (le patron de Claire), que certains ou certaines allaient certainement regretter. Il insistait si lourdement qu’elle comprit qu’il laissait entendre qu’il était parfaitement (comme tant d’autres) au courant de la liaison de ma femme et de son patron. Ce qui fut confirmé quand il lui susurra en confidence : « Ne craignez rien, je ne dirai rien à Patrick ! » Elle ne savait plus où se mettre.
Quand approcha l’heure du départ il vint vers elle et lui demanda si elle pouvait le déposer à la résidence car il était venu sans voiture. Comment refuser ?
Une fois en route il commença à la baratiner, assurant qu’il la trouvait charmante et qu’il aurait plaisir à la rencontrer seule, en même temps qu’il lui posait la main sur la cuisse. Elle repoussa sa main et lui dit d’être raisonnable, mais il revint à la charge, assurant qu’elle avait un air coquin, que ce devait être une bonne amoureuse, avec toujours la main farfouilleuse. Il est vrai que ce n’est pas facile de défendre sa vertu tout en conduisant, et au moment où elle s’arrêta pour le déposer il réussissait à monter jusqu’en haut, entre les cuisses ! Et là de s’apercevoir qu’elle n’avait pas de culotte ! Car son patron et amant lui avait bien dit de venir à sa réunion sans… Là il n’hésita plus, la félicita d’être une petite cochonne, de ne pas se raser, qu’il aimait les femmes qui ont la chatte poilue… Comme il voulait insister elle craignait d’être vue par d’éventuels passants et lui dit : « Non ! Pas ici ! ». Ce qui pour lui devait signifier que si ce n’était pas ici cela pouvait être ailleurs. Il la quitta donc en promettant de lui téléphoner.
Evidemment qu’en arrivant ma chérie n’a rien eu de plus pressé que de me raconter ! Elle le trouvait gonflé d’avoir fait ça, mais en constatant l’humidité de sa foufoune je me rendis compte qu’elle est humide ce qui montrerait qu’elle n’a pas été insensible à cet assaut plutôt cavalier. On sait que les femmes ne détestent pas être forcées ! Quant à moi je reconnais avoir ressenti une excitation coupable en apprenant que mon patron avait touché la chatte poilue de mon épouse. Qu’avait-il pu penser en constatant qu’elle n’avait pas de culotte ? Je serais étonné qu’il m’en parle…
J’étais loin d’imaginer la suite de cette soirée !
Mais à l’époque dont je te parle, ledit patron avait été muté et, selon l’usage, il y avait son pot de départ. Donc l’ensemble du personnel et quelques invités du domaine du tourisme dont : MON PATRON ! Patron là depuis peu, mais pas vraiment sympa car autoritaire, hautain, limite tyrannique… Un patron, quoi !
Au cours de la soirée il a croisé Claire, il savait qu’elle était ma femme, ils ont parlé de ci et de ça et ma chérie ne me cachait pas qu’elle se sentait flattée de l’attention que lui portait le patron de son mari. Un peu inquiète quand même quand il parlait de son ami (le patron de Claire), que certains ou certaines allaient certainement regretter. Il insistait si lourdement qu’elle comprit qu’il laissait entendre qu’il était parfaitement (comme tant d’autres) au courant de la liaison de ma femme et de son patron. Ce qui fut confirmé quand il lui susurra en confidence : « Ne craignez rien, je ne dirai rien à Patrick ! » Elle ne savait plus où se mettre.
Quand approcha l’heure du départ il vint vers elle et lui demanda si elle pouvait le déposer à la résidence car il était venu sans voiture. Comment refuser ?
Une fois en route il commença à la baratiner, assurant qu’il la trouvait charmante et qu’il aurait plaisir à la rencontrer seule, en même temps qu’il lui posait la main sur la cuisse. Elle repoussa sa main et lui dit d’être raisonnable, mais il revint à la charge, assurant qu’elle avait un air coquin, que ce devait être une bonne amoureuse, avec toujours la main farfouilleuse. Il est vrai que ce n’est pas facile de défendre sa vertu tout en conduisant, et au moment où elle s’arrêta pour le déposer il réussissait à monter jusqu’en haut, entre les cuisses ! Et là de s’apercevoir qu’elle n’avait pas de culotte ! Car son patron et amant lui avait bien dit de venir à sa réunion sans… Là il n’hésita plus, la félicita d’être une petite cochonne, de ne pas se raser, qu’il aimait les femmes qui ont la chatte poilue… Comme il voulait insister elle craignait d’être vue par d’éventuels passants et lui dit : « Non ! Pas ici ! ». Ce qui pour lui devait signifier que si ce n’était pas ici cela pouvait être ailleurs. Il la quitta donc en promettant de lui téléphoner.
Evidemment qu’en arrivant ma chérie n’a rien eu de plus pressé que de me raconter ! Elle le trouvait gonflé d’avoir fait ça, mais en constatant l’humidité de sa foufoune je me rendis compte qu’elle est humide ce qui montrerait qu’elle n’a pas été insensible à cet assaut plutôt cavalier. On sait que les femmes ne détestent pas être forcées ! Quant à moi je reconnais avoir ressenti une excitation coupable en apprenant que mon patron avait touché la chatte poilue de mon épouse. Qu’avait-il pu penser en constatant qu’elle n’avait pas de culotte ? Je serais étonné qu’il m’en parle…
J’étais loin d’imaginer la suite de cette soirée !