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#2649999
C’était début 2011, Claire travaillait dans une structure de promotion touristique et depuis deux ou trois ans se tapait son patron. Qui ne savait pas que je savais et donc avait le double plaisir de baiser une femme adultère et de faire son mari cocu. C’était un mec porté sur le sexe qui baisait comme un lapin ce qui ne déplaisait pas à ma cochonne qu’il faisait bien jouir et qui ne manquait pas de me raconter. Surtout qu’il faisait beaucoup de déplacements professionnels, en France comme ailleurs, où il ne manquait pas de l’emmener, et là c’était baise à outrance. Au point qu’un jour elle est rentrée avec une irritation vaginale dont elle a bien été embêtée d’expliquer les causes à notre médecin !
Mais à l’époque dont je te parle, ledit patron avait été muté et, selon l’usage, il y avait son pot de départ. Donc l’ensemble du personnel et quelques invités du domaine du tourisme dont : MON PATRON ! Patron là depuis peu, mais pas vraiment sympa car autoritaire, hautain, limite tyrannique… Un patron, quoi !
Au cours de la soirée il a croisé Claire, il savait qu’elle était ma femme, ils ont parlé de ci et de ça et ma chérie ne me cachait pas qu’elle se sentait flattée de l’attention que lui portait le patron de son mari. Un peu inquiète quand même quand il parlait de son ami (le patron de Claire), que certains ou certaines allaient certainement regretter. Il insistait si lourdement qu’elle comprit qu’il laissait entendre qu’il était parfaitement (comme tant d’autres) au courant de la liaison de ma femme et de son patron. Ce qui fut confirmé quand il lui susurra en confidence : « Ne craignez rien, je ne dirai rien à Patrick ! » Elle ne savait plus où se mettre.
Quand approcha l’heure du départ il vint vers elle et lui demanda si elle pouvait le déposer à la résidence car il était venu sans voiture. Comment refuser ?
Une fois en route il commença à la baratiner, assurant qu’il la trouvait charmante et qu’il aurait plaisir à la rencontrer seule, en même temps qu’il lui posait la main sur la cuisse. Elle repoussa sa main et lui dit d’être raisonnable, mais il revint à la charge, assurant qu’elle avait un air coquin, que ce devait être une bonne amoureuse, avec toujours la main farfouilleuse. Il est vrai que ce n’est pas facile de défendre sa vertu tout en conduisant, et au moment où elle s’arrêta pour le déposer il réussissait à monter jusqu’en haut, entre les cuisses ! Et là de s’apercevoir qu’elle n’avait pas de culotte ! Car son patron et amant lui avait bien dit de venir à sa réunion sans… Là il n’hésita plus, la félicita d’être une petite cochonne, de ne pas se raser, qu’il aimait les femmes qui ont la chatte poilue… Comme il voulait insister elle craignait d’être vue par d’éventuels passants et lui dit : « Non ! Pas ici ! ». Ce qui pour lui devait signifier que si ce n’était pas ici cela pouvait être ailleurs. Il la quitta donc en promettant de lui téléphoner.
Evidemment qu’en arrivant ma chérie n’a rien eu de plus pressé que de me raconter ! Elle le trouvait gonflé d’avoir fait ça, mais en constatant l’humidité de sa foufoune je me rendis compte qu’elle est humide ce qui montrerait qu’elle n’a pas été insensible à cet assaut plutôt cavalier. On sait que les femmes ne détestent pas être forcées ! Quant à moi je reconnais avoir ressenti une excitation coupable en apprenant que mon patron avait touché la chatte poilue de mon épouse. Qu’avait-il pu penser en constatant qu’elle n’avait pas de culotte ? Je serais étonné qu’il m’en parle…
J’étais loin d’imaginer la suite de cette soirée !
sergevr85, peter492, jf313 et 29 autres a liké
par peter492
#2650005
Bonjour,
Merci pour ce récit excitant ! Hâte de lire la suite. La promotion canapé est facile avec ta femme (même si elle ne le fait pas pour ça, on l'a bien compris ;))
En tous cas le patron n'a pas froid aux yeux de faire ça aussi directement, sans fioritures.
Son ancien patron lui a passé le mot : tu peux te taper la femme de @PatrickClaire sans souci :oops: :)
User28930 a liké
#2650382
La soirée où mon patron avait dragué Claire, c’était le vendredi. Donc il n’y a pas eu de suite durant le weekend, et le lundi il s’est comporté avec moi comme d’habitude et comme s’il ne s’était rien passé. Mais en rentrant le soir j’ai appris qu’il avait téléphoné à Claire, qu’il voulait absolument la rencontrer dans l’intimité et ne cachait pas que ce n’était pas seulement pour prendre le thé ! Ayant vertueusement fait remarquer qu’elle était une femme mariée, il lui rétorqua que son mari était son employé et qu’il pourrait très bien le virer si elle n’acceptait pas un moment coquin avec lui, ajoutant qu’elle ne le regretterait pas, qu’il savait donner du plaisir aux dames et qu’il était persuadé qu’elle aimait certainement cela. Mais elle se rebella, assurant qu’elle n’était pas de celles qui se couchent sur demande et que ce n’était pas avec des menaces qu’il la persuaderait. Je ne pouvais que féliciter ma chérie d’avoir su le remettre à sa place.
Mais il n’en était pas resté là, car comprenant sans doute qu’il avait fait fausse route il changeait de stratégie et lui faisait une proposition plus généreuse : la place de gestionnaire était vacante et si elle acceptait sa proposition le poste était pour moi. Je ne m’attendais pas à ça ! Je savais que la place était à prendre, mais c’est mon collègue Lambert qui allait l’avoir.
J’étais donc dubitatif sur ce qu’il avait dit à Claire. Mais le lendemain, au boulot, il me convoqua pour me dire : « Mon petit Patrick.. » Je déteste quand il me dit mon petit Patrick ! « Mon petit Patrick, j’ai pensé à toi pour le poste de gestionnaire. Ça te plairait ? » Bien sûr que ça me plairait, et je repensais à ce que m’avait dit ma femme. « Il y a juste un détail à régler pour que je puisse prendre ma décision. » Et le détail, je le connaissais : que ma femme accepte de coucher avec lui….
Evidemment cela a été, pour Claire et moi, notre sujet de conversation le soir ! La proposition était tentante, professionnellement et financièrement. Mais la condition qui allait avec était pas très morale. Mais la morale et nous… Un peu honteusement on pesait le pour et le contre ! Mais ma chérie avait déjà connu tellement de coups de bites, alors une de plus ou une de moins… Et il y avait un autre élément à prendre en considération : Mon adorable salope semblait bien être intéressée par une (ou plusieurs) partie de cul avec le patron de son mari. Il ne me restait qu’à donner mon accord, ce que je fis.
J'aurais du en avoir honte, mais je reconnais que, au contraire, cela m'excitait !
coc31, indy45, Libertinjoueur91 et 29 autres a liké
Avatar de l’utilisateur
par michpat
#2650483
Sebmalib a écrit :Oui très intéressant !!
Il md tarde de savoir la suite !!

Oui et , pour ma part, ce qui m'intéresse vraiment c'est la réelle attitude du patron envers le mari par la suite :?
J'espère qu'il a des vraies valeurs morales :???:
#2650894
Il lui avait donné rendez-vous le samedi suivant à l’hôtel Campanile qui est bien pratique car il n’y avait pas à passer par la réception, donc discret. Mais elle a eu une idée bien cochonne : quand ils auraient fini elle le ferait partir en premier en prétextant sa toilette, puis elle me téléphonerait en me donnant le numéro de la chambre et je la rejoindrais ! Du coup j’attendais sur un parking voisin et je vous assure que j’ai trouvé le temps long en même temps que je bandais évidemment en imaginant mon patron se servant de mon épouse comme d’une pute.
Quand elle a appelé j’avais envie de me précipiter mais j’ai tout de même laissé passer un peu de temps pour ne pas risquer de croiser le boss. Je m’y attendais, évidemment, mais ça m’a quand même fait un choc quand elle m’a ouvert la porte (à poil évidemment) et que j’ai vu ses vêtements et sous-vêtements par terre, le lit ravagé… Elle m’embrassait à pleine bouche (je ne pouvais douter de ce qu’elle venait de faire avec sa bouche), répétant : « Qu’est-ce qu’il m’a mis, le salaud ». Il l’avait baisée sans capote et sa chatte était poisseuse de foutre, les poils collés. Elle avait du sperme qui séchait sur ses nichons, sur la figure, et je constatais vite que le trou du cul avait servi aussi. Elle me confirma qu’il l‘avait prise sans ménagement, sans la moindre trace de tendresse, se servant d’elle pour assumer son envie et lui montrer que c’était lui le mâle et elle la femelle soumise au plaisir du maître.
Vite à poil à mon tour j’étais fou d’excitation de me trouver dans le plumard où ma chérie venait de se faire ramoner tous les orifices, ce qu’elle prenait un plaisir vicieux à me raconter, détaillant tout ce qu’ils avaient fait, assurant qu’il était parti les couilles vides car elle avait bien fait la salope pour ça. Ce qui l’excitait autant que moi, si bien qu’on a baisé, rebaisé et qu’on a fini par arrêter quand, à mon tour, j’ai eu les couilles vides !
On a connu quelques autres situations particulièrement érotiques, mais je crois que celle-là reste en tête de liste.
tomes179, pat45, MADMARL et 20 autres a liké
#2650904
Bravo pour ce plan excitant.... il ne faut pas qu’elle s’arrete En si bon chemin
pat45 a liké
Avatar de l’utilisateur
par indy45
#2650960
Bravo super excitant... Ce serait super, si tu veux bien, de nous détailler tout ce qu'il lui a fait.. si tu t'en souviens encore... j'imagine évidemment mais c'est amusant a lire.
#2651267
Le lundi, je me demandais tout de même comment cela allait se passer, mais c’était méconnaitre le caractère du patron qui ne s’embarrassait pas d’amabilités. Dès mon arrivée il me convoqua dans son bureau : « Assieds-toi mon petit Patrick ». Tout d’abord pour m‘annoncer la bonne nouvelle : le poste de gestionnaire était pour moi. Ajoutant comme une chose normale que je devais cette promotion à mon épouse. « Tu es au courant n’est-ce pas ? » Car il avait compris qu’elle ne me cachait rien de ses aventures extraconjugales. Et de me complimenter sur la façon dont elle s’était comportée au lit, ce qui me faisait tout de même prendre conscience que j’étais de nouveau cocu. Surtout qu’il précisait bien que ma promotion avait pour contrepartie mon acceptation qu’il rencontre ma femme à sa guise. Ajoutant généreusement qu’il n’avait pas l’intention de m’en priver, qu’elle restait mon épouse légitime mais qu’elle serait, selon son gré, sa femelle. Notons qu’il ne me demandait pas mon avis et précisait qu’on en reparlerait le soir car il avait l’intention de passer à la maison ! J’en parlais le midi à ma chérie, mais Monsieur (on devait l’appeler Monsieur) lui avait déjà téléphoné pour lui annoncer qu’il avait réglé la question avec moi et que dès le soir il avait l’intention de mettre en pratique les termes de cet accord. Autrement dit…
Je reconnais que dans cette affaire je n’avais pas le beau rôle devant l’attitude méprisante de Monsieur à mon égard, mais aussi de constater que ma chérie acceptait cette situation avec une bonne volonté telle que je ne doutais pas que cela lui plaisait !
Effectivement, il avait dit vingt heures, et à vingt heures il était là ! C’est Claire qui lui ouvrit et à peine entré il lui roulait une pelle. Curieusement, ce sont ces baisers à pleine bouche qui éveillent en moi une pointe de jalousie. Surtout quand je vois ma femme s’abandonner alors que j’imagine leurs langues qui se mélangent ! Ma chérie le sait et elle s’amuse à en rajouter pour me faire bisquer en me regardant d’un œil pour voir ma réaction. Mais je n’en laissais rien paraitre. Monsieur consentit tout de même à me tendre la main : « Bonsoir mon petit Patrick ! Tu m’offres un verre ? » Il était vraiment chez lui !
Je préparais donc les verres mais j’avais à peine terminé que, sur le canapé, Claire avait déjà les nichons à l’air et, cuisses ouvertes, se laissait tripoter le minou. Ils abandonnèrent un instant leur tripotage pour trinquer mais le reprirent aussitôt. La robe était passée par-dessus sa tête et ça me faisait tout de même drôle de voir mon épouse à poil avec mon patron, surtout que lui ayant ouvert le pantalon et extirpé son membre elle l’avait pris en bouche et suçait comme elle aime à le faire. Et moi ? Moi j’avais aussi sorti ma bite et je me branlais !
« On ne serait pas mieux dans ta chambre ? » C’est Monsieur qui envisageait de poursuivre à l’horizontale. Ma chérie comprit le message et interrompit la fellation, se dirigeant vers l’escalier, suivie par son étalon à poil aussi, bite dressée… Tableau étonnant pour moi qui venais derrière que ces deux paires de fesses dont l’une était celle de ma femme. A peine entrés ils étaient sur le lit où je les rejoignis une fois déshabillé. Je sais que ma cochonne aime cette situation, entre deux hommes, une bite dans chaque main, embrassant l’un après l’autre, s’offrant aux caresses… Ce dont Monsieur et moi ne nous privions pas, nos mains se rejoignant entre ses cuisses, tétant chacun une de ses mamelles… Curieuse sensation d’embrasser amoureusement son épouse alors qu’elle ouvre les cuisses à l’autre qui lui broute le minou ! Jusqu’à ce qu’il se relève el m’annonçant : « Je vas la baiser. Relève-lui les jambes. » Ce que je n’eus pas à faire car elle avait compris le désir du maître et, sur le dos, cuisses relevées, genoux collés aux seins, elle offrait l’entrée libre. Et même les entrées !
J’ai vu des dizaines de bites pénétrer le con de ma femme et je ne m’en lasse pas. Mais que ce soit mon patron ajoutait une note perverse à l’opération. Surtout que ma salope, selon son habitude commentait l’opération : « Oh oui ! Je la sens rentrer – Elle tape au fond – J’aime sa bite – Il va me faire jouir ! » Et même, pour le cas où je ne serais pas au courant : « Regarde chéri, il baise ta femme ! » Je voyais et j’entendais. Tout comme je l’ai entendue jouir en criant son bonheur quand l‘orgasme l’a emportée. Tout comme j’ai vu mon rival redoubler d’ardeur en la défonçant à grands coups de reins et que je devinais le sperme giclant dans le ventre de ma chérie ! C’est dans ces instants qu’on se sent vraiment cocu !
Mais ma vraie surprise fut quand Monsieur m’interpela : « Allez, à ton tour ! Baise-la ! » Je ne m’attendais pas à tant de générosité, mais en même temps je comprenais que le cocufieur, la mâle alpha, m’autorisait à prendre ma femme ! Le monde à l’envers. Mais je répondais rapidement à l’invitation, d’autant plus que ma claire s’ouvrait en me tendant les bras. « Viens mon chéri. » Et de m’accueillir amoureusement dans ses bras, lèvres contre lèvres, ses jambes nouées sur mes reins pour mieux me sentir. En même temps que je ressentais le plaisir pervers de sentir ma bite comme aspirée dans son vagin inondé d’un sperme qui n’était pas le mien. Elle continuait son monologue de femelle en chaleur et devait approcher du point de non-retour quand je fus bousculé par Monsieur qui précisa son intention : « Tu ne sais pas faire jouir ta femme ! Laisse-moi la place, je vais te montrer ! » Il était déjà planté entre ses cuisses et je ne pouvais que constater que cette situation avec changement de bite surexcitait ma cochonne qui frétillait de plus en plus du croupion pour finir par partir encore plus bruyamment Et l’autre de pavaner : « Tu as vu ? Heureusement que j’étais là ! » Que répondre à cela ? Dire que j’étais frustré était très en dessous de la vérité ! Je crus qu’il voulait se racheter quand il ordonna à Claire : « Allez, taille-lui une pipe à ton mari ! » Mais je compris alors la raison de son offre quand profitant de la position de Claire pour me sucer il se positionna derrière elle pour l’enfiler en levrette. La conclusion fut cette fois heureuse pour tout la monde : il lui a giclé une nouvelle fois dans le trou, une nouvelle fois elle a pris son pied, et moi j’ai déchargé dans la bouche accueillante de ma femme !
Ce fut la fin de cette première soirée avec lui. Je trouvais amusant que lorsqu’il fut rhabillé pour partir nous étions toujours tous les deux à poil ! Un dernier baiser ventouse à ma femme et il sortit en prévenant : « La prochaine fois… ». Mais il ne termina pas sa phrase, si bien que nous ne savions pas ce que serait la prochaine fois.
Toujours excités par ce que nous venions de vivre, nous nous sommes aimés comme nous aimons à le faire quand nous venons de profiter d’une aventure sexuelle bien cochonne.
Ce qui avait été le cas !
Masterlaurent, michpat, gritoo et 23 autres a liké
par Alexmart77
#2651372
Oui, excitant, et bien écrit (ce qui est de plus en plus rare)
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par Dionysos06
#2651416
@PatrickClaire des récits très excitants où tu ne caches rien. Une description chirurgicale des relations humaines et de ce pouvoir et libertinage mêlés peuvent produire.
Et en plus, c'est bien écrit.
#2651517
Après nos excès sexuels de la veille la nuit a été courte et on n’avait pas vraiment envie de partir au boulot. Il le fallait pourtant, et je pensais au patron que j’allais retrouver et dont je revoyais l’image dans notre lit se tapant ma femme ! Il devait avoir des pensées semblables car quand nous nous sommes croisés son regard égrillard ne laissait aucun doute. De même quand il me demanda si nous avions bien dormi après « cette excellente soirée ». Comme je confirmai que oui son ton était particulièrement ironique quand il précisa : « Ta femme aussi ? » Et d’ajouter qu’après l’ardeur qu’elle avait mis à prendre du plaisir avec lui il était normal quelle ait besoin de récupérer. « Ce n’est pas toi qui aurais pu la mettre dans cet état. Elle a besoin d’un vrai mâle ta chienne. » Je comprenais qu’il ne manquerait pas une occasion de me faire remarquer que j’étais le cocu ! Un moment après il m’appelait : « Ce soir je passe chez toi juste après le boulot. Préviens ta femme. »
Effectivement le soir nous étions à peine rentrés qu’il est arrivé. Roulage de pelle comme la veille mais aussitôt il prit la direction de la chambre en y entrainant ma femme qui suivait servilement. Je fus à peine étonné quand il ajouta en s’adressant à moi : « Reste là, on a besoin d’un peu d‘intimité ! » Ceux qui ont connu ça savent ce qu’un mari ressent face à une telle humiliation, en les voyant monter et sachant ce qu’il vont faire. Car évidemment je savais et j’en eus rapidement confirmation quand divers bruits me le confirmèrent, suivis de ce que je savais être les commentaires de ma cochonne que j’entendais sans vraiment les comprendre, puis les cris d’extase qui témoignaient que la bite de Monsieur avait réussi son coup, si j’ose dire, et que je portais une paire de cornes de plus, si celles-ci se comptent au nombre de coïts extraconjugaux connus par ma fidèle épouse.
Je bandais honteusement pendant que ma femme se faisait enfiler, et le temps me paraissait long. Ça n’en finissait pas ! Enfin, après un calme relatif j’entendis des pas. C’était lui, bien sûr qui sans s’embarrasser de formules quittait les lieux après se les être vidées. « Tu peux y aller. A demain ! » C’est tout !
Je rejoignis donc ma chérie qui s’essuyait la foufoune sans doute débordante, après avoir, en bonne ménagère, remis de l’ordre dans le lit sans doute dévasté. Baisers, caresses, léchage de chatte… Rien que de banal à raconter, il l’avait baisée, rebaisée… Oui elle avait bien joui. « Il baise bien, tu sais. Il sait se servir de sa queue ! » J’en concluais que ce n’était pas une corvée pour elle d’être la pute de mon boss !
Le lendemain on a eu une surprise ! Il ne m’avait rien dit alors on s’attendais à le voir arriver de bonne heure, mais non. Plus tard non plus. La surprise était qu’il n’est pas venu ! La suite nous appris qu’il aimait venir à l’improviste, arriver quand on ne l’attendait pas et vice versa.
Par contre le jour suivant, le jeudi je crois, il me dit de prévenir ma femme qu’il l’attendrait chez lui. Il aurait pu le lui dire lui-même, mais il devait préférer faire faire la commission par le mari cocu. C’était tout à fait son genre ! Je me retrouvais donc seul à la maison ce soir-là, sachant que ma chérie continuait de payer avec son cul le prix de ma promotion ! Il ne la libéra heureusement pas trop tard et je pus, à son retour, faire valoir mes droits d’époux.
C’est le vendredi qu’il nous fit une surprise, une vraie celle-là. Il nous offrait le restaurant (pas de folies, la crêperie d’à côté) et avait l’intention de passer la nuit avec nous. Je pensais immédiatement à tous les à-côtés que cela impliquait, alors que Claire semblait trouver l’idée plutôt séduisante !
Effectivement, quand fut venu le moment de la fornication elle révéla ses talents de salope pour se faire baiser par deux hommes, dont son mari. A peine au lit elle nous fit profiter de sa spécialité (qu’elle devrait faire breveter) : le 69 croisé ! J’explique : les deux hommes côte à côte sur le dos, elle se fait brouter la cramouille par l’un alors qu’elle taille une pipe à l’autre et de temps en temps elle alterne. Très érotique ! Elle termina en chevauchant Monsieur pour s’empaler sur sa bite et le baiser en amazone jusqu’à l’heureuse conclusion. Je n’étais pas resté inactif, pendant sa chevauchée je l’embrassais, lui pétrissais les loloches, descendais même jusqu’au clito… Et quand elle eut terminé sa chevauchée j’étais juste en position pour l’enfiler en levrette, je l’avais bien mérité.
La suite de la soirée fut très chaude car faire cela à plusieurs est très aphrodisiaque. A deux on tire un coup, deux coups, à trois on n’arrête pas. On a évidemment fini par s’endormir, ma salope avec une bite dans chaque main. Réveillé le premier je suis généreusement descendu préparer le petit déjeuner mais ne tardais à entendre des bruits témoignant que le patron souhaitait une bonne journée à ma femme à sa façon. Ils ne tardèrent pas à descendre, à poil…
La douche à trois fut encore un grand moment. Je n’y avais pas le meilleur rôle, mais l’important n’est-il pas de participer ? Il nous quitta après cela, nous avons donc pu passer en couple le weekend.
En couple mais en évoquant les moments forts de la semaine passée.
pat45, philphilphil, glider et 19 autres a liké
par MADMARL
#2651675
[quote="PatrickClaire"]Après nos excès sexuels de la veille la nuit a été courte et on n’avait pas vraiment envie de partir au boulot. Il le fallait pourtant, et je pensais au patron que j’allais retrouver et dont je revoyais l’image dans notre lit se tapant ma femme ! Il devait avoir des pensées semblables car quand nous nous sommes croisés son regard égrillard ne laissait aucun doute. De même quand il me demanda si nous avions bien dormi après « cette excellente soirée ». Comme je confirmai que oui son ton était particulièrement ironique quand il précisa : « Ta femme aussi ? » Et d’ajouter qu’après l’ardeur qu’elle avait mis à prendre du plaisir avec lui il était normal quelle ait besoin de récupérer. « Ce n’est pas toi qui aurais pu la mettre dans cet état. Elle a besoin d’un vrai mâle ta chienne. » Je comprenais qu’il ne manquerait pas une occasion de me faire remarquer que j’étais le cocu ! Un moment après il m’appelait : « Ce soir je passe chez toi juste après le boulot. Préviens ta femme. »
Effectivement le soir nous étions à peine rentrés qu’il est arrivé. Roulage de pelle comme la veille mais aussitôt il prit la direction de la chambre en y entrainant ma femme qui suivait servilement. Je fus à peine étonné quand il ajouta en s’adressant à moi : « Reste là, on a besoin d’un peu d‘intimité ! » Ceux qui ont connu ça savent ce qu’un mari ressent face à une telle humiliation, en les voyant monter et sachant ce qu’il vont faire. Car évidemment je savais et j’en eus rapidement confirmation quand divers bruits me le confirmèrent, suivis de ce que je savais être les commentaires de ma cochonne que j’entendais sans vraiment les comprendre, puis les cris d’extase qui témoignaient que la bite de Monsieur avait réussi son coup, si j’ose dire, et que je portais une paire de cornes de plus, si celles-ci se comptent au nombre de coïts extraconjugaux connus par ma fidèle épouse.
Je bandais honteusement pendant que ma femme se faisait enfiler, et le temps me paraissait long. Ça n’en finissait pas ! Enfin, après un calme relatif j’entendis des pas. C’était lui, bien sûr qui sans s’embarrasser de formules quittait les lieux après se les être vidées. « Tu peux y aller. A demain ! » C’est tout !
Je rejoignis donc ma chérie qui s’essuyait la foufoune sans doute débordante, après avoir, en bonne ménagère, remis de l’ordre dans le lit sans doute dévasté. Baisers, caresses, léchage de chatte… Rien que de banal à raconter, il l’avait baisée, rebaisée… Oui elle avait bien joui. « Il baise bien, tu sais. Il sait se servir de sa queue ! » J’en concluais que ce n’était pas une corvée pour elle d’être la pute de mon boss !
Le lendemain on a eu une surprise ! Il ne m’avait rien dit alors on s’attendais à le voir arriver de bonne heure, mais non. Plus tard non plus. La surprise était qu’il n’est pas venu ! La suite nous appris qu’il aimait venir à l’improviste, arriver quand on ne l’attendait pas et vice versa.
Par contre le jour suivant, le jeudi je crois, il me dit de prévenir ma femme qu’il l’attendrait chez lui. Il aurait pu le lui dire lui-même, mais il devait préférer faire faire la commission par le mari cocu. C’était tout à fait son genre ! Je me retrouvais donc seul à la maison ce soir-là, sachant que ma chérie continuait de payer avec son cul le prix de ma promotion ! Il ne la libéra heureusement pas trop tard et je pus, à son retour, faire valoir mes droits d’époux.
C’est le vendredi qu’il nous fit une surprise, une vraie celle-là. Il nous offrait le restaurant (pas de folies, la crêperie d’à côté) et avait l’intention de passer la nuit avec nous. Je pensais immédiatement à tous les à-côtés que cela impliquait, alors que Claire semblait trouver l’idée plutôt séduisante !
Effectivement, quand fut venu le moment de la fornication elle révéla ses talents de salope pour se faire baiser par deux hommes, dont son mari. A peine au lit elle nous fit profiter de sa spécialité (qu’elle devrait faire breveter) : le 69 croisé ! J’explique : les deux hommes côte à côte sur le dos, elle se fait brouter la cramouille par l’un alors qu’elle taille une pipe à l’autre et de temps en temps elle alterne. Très érotique ! Elle termina en chevauchant Monsieur pour s’empaler sur sa bite et le baiser en amazone jusqu’à l’heureuse conclusion. Je n’étais pas resté inactif, pendant sa chevauchée je l’embrassais, lui pétrissais les loloches, descendais même jusqu’au clito… Et quand elle eut terminé sa chevauchée j’étais juste en position pour l’enfiler en levrette, je l’avais bien mérité.
La suite de la soirée fut très chaude car faire cela à plusieurs est très aphrodisiaque. A deux on tire un coup, deux coups, à trois on n’arrête pas. On a évidemment fini par s’endormir, ma salope avec une bite dans chaque main. Réveillé le premier je suis généreusement descendu préparer le petit déjeuner mais ne tardais à entendre des bruits témoignant que le patron souhaitait une bonne journée à ma femme à sa façon. Ils ne tardèrent pas à descendre, à poil…
La douche à trois fut encore un grand moment. Je n’y avais pas le meilleur rôle, mais l’important n’est-il pas de participer ? Il nous quitta après cela, nous avons donc pu passer en couple le weekend.
En couple mais en évoquant les moments forts de la semaine passée.[/
Que c'est beau ce récit cela me rappelle la façon dont ce comporter l'amant régulier de ma femme , ironie et humiliation du cocu
indy45, pat45, michpat et 4 autres a liké
#2652025
Je dirais bien que la semaine suivante ressemblait à la précédente, si ce n’est que Monsieur montrait davantage ses tendances macho. Comme par exemple de me faire coucher dans la chambre d’amis alors qu’il passait la nuit avec ma femme dans mon lit ! En plus du roulage de pelle c’était, quand il arrivait, la main directement à la chatte, pour bien me montrer qui était le maître…
Le travail de Claire l’envoyait régulièrement en déplacement pour des salons touristiques ou similaires. C’est là que souvent elle faisait une rencontre coquine et revenait en m’annonçant qu’une fois de plus… Mais cela allait être différent car Monsieur s’était arrangé pour participer à la même manifestation. Je me souviens, c’était à Londres, et au retour il s’est vanté auprès de moi que durant trois jours elle avait été sa femme ! La foi suivante c’était en Belgique et il n’avait pas hésité à l’emmener dans un club échangiste ! Et c‘est au téléphone qu’il m’avait annoncé la nouvelle, disant que là-bas une Française a toujours du succès et qu’il n’avait pas cru devoir l’empêcher de s‘isoler en coin câlin avec un grand blond qui bandait pour elle. « Tu aurais fait pareil, non ? » J’aurais peut-être fait pareil, mais je trouvais que mon cocufieur me cocufiait doublement en prêtant ma femme !
Il avait quand même des pratiques extrêmes, comme la disposition abusive de ma femme, allant jusqu’à venir la sauter à la maison, dans mon lit, sans prévenir ! Curieusement Claire comme moi reconnaissions que cela nous provoquait une exacerbation de la libido dont nous aurions dû avoir honte, mais ce n’était pas le cas.
Mais il a fait pire encore, le jour où il a fait venir ma femme chez lui, ce qui n’avait rien d’extraordinaire car ce n’était pas la première fois. Claire n’en était pas étonnée, même quand il lui annonça qu’il attendait un ami. Un peu plus, par contre, quand il lui dit que son ami ne voulait pas être reconnu et qu’elle aurait les yeux bandés. Connaissant bien ma coquine, je sais que la chose avait dû l’émoustiller
Je devrais avoir honte à mon tour, mais j’adore ces moments d’attente durant lesquels je bande en pensant que mon épouse légitime est en train de forniquer avec un autre type. Je me demande s’il est bien monté, s’il va la baiser mieux que moi, si elle va jouir, combien de fois… Je me sens vraiment cocu et j’aime ça !
J’avais hâte de savoir quand ma belle arriva, m’embrassant à pleine bouche, comme toujours quand elle sucé de la bite, et me servit ce qu’elle dit toujours : « Qu’est-ce qu’ils m’ont mis, les salauds… » En même temps qu’elle se mettait à poil et m’entrainait vers la chambre. Je demandais qui était le type, mais ouvrant les cuisses elle me dit de d’abord lui lécher la chatte, comme toujours… Je crois qu’elles aiment toutes se faire brouter par le cocu après une troussée adultère. Je m’exécutais donc. Elle s’était manifestement passée une serviette entre les cuisses pour enlever le plus gros, mais il restait des traces des éjaculations précédentes dans le trou où je glissais ma langue. J’aime ça, mais elle encore plus car elle m’a souvent avoué que se faire lécher par le mari après avoir joui par la queue d’un amant l’excite énormément. Il suffit d’ailleurs de voir comment elle réagit pour en être convaincu, tenant ma tête pour diriger ma bouche sur sa vulve, remuer son cul et soupirer en pensant aux étreintes précédentes, tellement qu’elle finit toujours par jouir. Et après elle m’attire sur elle pour se faire baiser, en pensant pour s’exciter à celui qui vient de la sauter avant. Mais là je voulais savoir, je lui demandais encore qui c’était ! « Ça ne va pas te plaire ! » - « Dis-moi quand même. » Un silence, puis : « C’est Lambert ! ». Ça je ne m’y attendais pas, et j’éclatais en jurons bien sonnés, alors qu’elle semblait trouver ça amusant. « Tu es fâché, hein ? » Un peu que j’étais fâché, en rage même, car on peut dire que Régis Lambert était mon ennemi intime. Le collègue de travail qui espérait la place de gestionnaire que j’avais obtenu grâce au cul de ma femme qui pour cela avait couché avec mon patron. Il savait aussi pourquoi j’avais eu le poste qu’il briguait et il ne me le pardonnait pas, me faisant toutes les vacheries possibles. Il ne cachait pas au patron sa rancœur et avait du lui dire que s’il pouvait coincer ma salope de femme il lui en mettrait un coup lui aussi, pour le plaisir de me faire cocu. Je ne suis pas étonné que le patron ait eu l’idée perverse de lui offrir l’occasion de le faire, pour le plaisir de prouver sa domination.
Mais pour le moment je baisais mon épouse pendant qu’elle me racontait. Elle ne tarissait pas de compliments sur sa bannière de baiser, sur sa grosse queue, son endurance, son savoir-faire, autant de choses qui me consternèrent, s’agissant d’un type que je détestais et que ma femme avait tant apprécié. Le lendemain dimanche on en parlait encore et cela finissait par m’exciter que ma fidèle épouse continue à faire l’éloge de ce salaud qui manifestement l’avait vraiment bien faite grimper aux rideaux. Et aussi sans doute pour m’humilier un peu en insistant sur le fait qu’il l’avait mieux baisée que moi.
Mais je pensais déjà au lundi, où j’allais me trouver face au patron, mais aussi à Lambert ! Pour le patron, c’est lui qui m’en a aussitôt parlé, plutôt content de la bonne blague qu’il m’avait faite. « Alors mon petit Patrick ? Elle t’a raconté ta femme ? Elle devait aimer ça car elle était déchaînée, la bite de Lambert la rendait folle… Vous allez vous réconcilier maintenant. Quand on saute la même femme on est copains. » Ça j’en étais moins sûr, et plus encore quand Lambert se présenta à mon bureau, l’air goguenard. Je n’étais pas fier alors que lui, très à l’aise, allait jusqu’à me complimenter. « Super ta femme, tu as une bonne salope. Ce serait dommage de ne pas la partager avec les copains, pas seulement avec le patron. » Que pouvais-je répondre ? Je devais simplement avoir l’air con. Tout autant qu’avec ma femme qui était comme toujours ma tendre épouse, mais revenait de plus en plus souvent sur ses orgasmes du samedi. Pire encore quand juste deux jours plus tard elle me dit que le soir elle rentrerait un peu tard. Machinalement je lui demandais ce qui la retarderait, rougissant un peu elle me répondit avec un certain air de défi : « Je vois Régis. ». Je restais sans voix, alors elle continua : « Ne sois pas fâché, il m’a tellement fait jouir ! Juste une fois. » Juste une fois signifiait donc qu’elle ne recommencerait plus après. En bon cocu je donnais ma permission, et quand elle rentra, très tard, on s’aima comme d’habitude pendant qu’elle me racontait. Mais hélas, elle était accro à sa bite et elle a recommencé, me demandant pardon, jurant de ne plus le faire, mais lui ouvrant de nouveau les cuisses quelques jours après.
C’est pourtant ma chérie qui a mis fin à l’aventure, elle a fini par en avoir assez de l’attitude machiste de ce type qui la faisait pourtant bien jouir, et il a eu beau la menacer de chantage, de raconter partout qu’elle couchait avec n’importe qui, rien n’y a fait et, belle coïncidence, quand le patron a été muté le mois suivant, lui aussi l’a été, bien que cela n’ait eu aucun rapport.
On en parle encore de temps en temps avec Claire, lui demandant comment elle avait pu coucher avec un type que je détestais et qui me détestait. Elle reconnait qu’elle avait trouvé la chose plaisante et rappelle qu’il baisait si bien…
Sur le moment cela avait été très dur, mais maintenant ça reste un bon souvenir…
Bon, parlons d’autre chose.
pat45, Joseph5, SwedenForCandice et 14 autres a liké
#2652111
PatrickClaire a écrit :... Je crois qu’elles aiment toutes se faire brouter par le cocu après une troussée adultère. /.../ J’aime ça, mais elle encore plus car elle m’a souvent avoué que se faire lécher par le mari après avoir joui par la queue d’un amant l’excite énormément. /.../ tenant ma tête pour diriger ma bouche sur sa vulve, remuer son cul et soupirer en pensant aux étreintes précédentes, tellement qu’elle finit toujours par jouir. Et après elle m’attire sur elle pour se faire baiser, en pensant pour s’exciter à celui qui vient de la sauter avant.
incontestable et imparable :x Candice adore en jouer <3 :cuck: <3
titigrominet a liké

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