Après nos excès sexuels de la veille la nuit a été courte et on n’avait pas vraiment envie de partir au boulot. Il le fallait pourtant, et je pensais au patron que j’allais retrouver et dont je revoyais l’image dans notre lit se tapant ma femme ! Il devait avoir des pensées semblables car quand nous nous sommes croisés son regard égrillard ne laissait aucun doute. De même quand il me demanda si nous avions bien dormi après « cette excellente soirée ». Comme je confirmai que oui son ton était particulièrement ironique quand il précisa : « Ta femme aussi ? » Et d’ajouter qu’après l’ardeur qu’elle avait mis à prendre du plaisir avec lui il était normal quelle ait besoin de récupérer. « Ce n’est pas toi qui aurais pu la mettre dans cet état. Elle a besoin d’un vrai mâle ta chienne. » Je comprenais qu’il ne manquerait pas une occasion de me faire remarquer que j’étais le cocu ! Un moment après il m’appelait : « Ce soir je passe chez toi juste après le boulot. Préviens ta femme. »
Effectivement le soir nous étions à peine rentrés qu’il est arrivé. Roulage de pelle comme la veille mais aussitôt il prit la direction de la chambre en y entrainant ma femme qui suivait servilement. Je fus à peine étonné quand il ajouta en s’adressant à moi : « Reste là, on a besoin d’un peu d‘intimité ! » Ceux qui ont connu ça savent ce qu’un mari ressent face à une telle humiliation, en les voyant monter et sachant ce qu’il vont faire. Car évidemment je savais et j’en eus rapidement confirmation quand divers bruits me le confirmèrent, suivis de ce que je savais être les commentaires de ma cochonne que j’entendais sans vraiment les comprendre, puis les cris d’extase qui témoignaient que la bite de Monsieur avait réussi son coup, si j’ose dire, et que je portais une paire de cornes de plus, si celles-ci se comptent au nombre de coïts extraconjugaux connus par ma fidèle épouse.
Je bandais honteusement pendant que ma femme se faisait enfiler, et le temps me paraissait long. Ça n’en finissait pas ! Enfin, après un calme relatif j’entendis des pas. C’était lui, bien sûr qui sans s’embarrasser de formules quittait les lieux après se les être vidées. « Tu peux y aller. A demain ! » C’est tout !
Je rejoignis donc ma chérie qui s’essuyait la foufoune sans doute débordante, après avoir, en bonne ménagère, remis de l’ordre dans le lit sans doute dévasté. Baisers, caresses, léchage de chatte… Rien que de banal à raconter, il l’avait baisée, rebaisée… Oui elle avait bien joui. « Il baise bien, tu sais. Il sait se servir de sa queue ! » J’en concluais que ce n’était pas une corvée pour elle d’être la pute de mon boss !
Le lendemain on a eu une surprise ! Il ne m’avait rien dit alors on s’attendais à le voir arriver de bonne heure, mais non. Plus tard non plus. La surprise était qu’il n’est pas venu ! La suite nous appris qu’il aimait venir à l’improviste, arriver quand on ne l’attendait pas et vice versa.
Par contre le jour suivant, le jeudi je crois, il me dit de prévenir ma femme qu’il l’attendrait chez lui. Il aurait pu le lui dire lui-même, mais il devait préférer faire faire la commission par le mari cocu. C’était tout à fait son genre ! Je me retrouvais donc seul à la maison ce soir-là, sachant que ma chérie continuait de payer avec son cul le prix de ma promotion ! Il ne la libéra heureusement pas trop tard et je pus, à son retour, faire valoir mes droits d’époux.
C’est le vendredi qu’il nous fit une surprise, une vraie celle-là. Il nous offrait le restaurant (pas de folies, la crêperie d’à côté) et avait l’intention de passer la nuit avec nous. Je pensais immédiatement à tous les à-côtés que cela impliquait, alors que Claire semblait trouver l’idée plutôt séduisante !
Effectivement, quand fut venu le moment de la fornication elle révéla ses talents de salope pour se faire baiser par deux hommes, dont son mari. A peine au lit elle nous fit profiter de sa spécialité (qu’elle devrait faire breveter) : le 69 croisé ! J’explique : les deux hommes côte à côte sur le dos, elle se fait brouter la cramouille par l’un alors qu’elle taille une pipe à l’autre et de temps en temps elle alterne. Très érotique ! Elle termina en chevauchant Monsieur pour s’empaler sur sa bite et le baiser en amazone jusqu’à l’heureuse conclusion. Je n’étais pas resté inactif, pendant sa chevauchée je l’embrassais, lui pétrissais les oches, descendais même jusqu’au clito… Et quand elle eut terminé sa chevauchée j’étais juste en position pour l’enfiler en levrette, je l’avais bien mérité.
La suite de la soirée fut très chaude car faire cela à plusieurs est très aphrodisiaque. A deux on tire un coup, deux coups, à trois on n’arrête pas. On a évidemment fini par s’endormir, ma salope avec une bite dans chaque main. Réveillé le premier je suis généreusement descendu préparer le petit déjeuner mais ne tardais à entendre des bruits témoignant que le patron souhaitait une bonne journée à ma femme à sa façon. Ils ne tardèrent pas à descendre, à poil…
La douche à trois fut encore un grand moment. Je n’y avais pas le meilleur rôle, mais l’important n’est-il pas de participer ? Il nous quitta après cela, nous avons donc pu passer en couple le weekend.
En couple mais en évoquant les moments forts de la semaine passée.