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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

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Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
#2651517
Après nos excès sexuels de la veille la nuit a été courte et on n’avait pas vraiment envie de partir au boulot. Il le fallait pourtant, et je pensais au patron que j’allais retrouver et dont je revoyais l’image dans notre lit se tapant ma femme ! Il devait avoir des pensées semblables car quand nous nous sommes croisés son regard égrillard ne laissait aucun doute. De même quand il me demanda si nous avions bien dormi après « cette excellente soirée ». Comme je confirmai que oui son ton était particulièrement ironique quand il précisa : « Ta femme aussi ? » Et d’ajouter qu’après l’ardeur qu’elle avait mis à prendre du plaisir avec lui il était normal quelle ait besoin de récupérer. « Ce n’est pas toi qui aurais pu la mettre dans cet état. Elle a besoin d’un vrai mâle ta chienne. » Je comprenais qu’il ne manquerait pas une occasion de me faire remarquer que j’étais le cocu ! Un moment après il m’appelait : « Ce soir je passe chez toi juste après le boulot. Préviens ta femme. »
Effectivement le soir nous étions à peine rentrés qu’il est arrivé. Roulage de pelle comme la veille mais aussitôt il prit la direction de la chambre en y entrainant ma femme qui suivait servilement. Je fus à peine étonné quand il ajouta en s’adressant à moi : « Reste là, on a besoin d’un peu d‘intimité ! » Ceux qui ont connu ça savent ce qu’un mari ressent face à une telle humiliation, en les voyant monter et sachant ce qu’il vont faire. Car évidemment je savais et j’en eus rapidement confirmation quand divers bruits me le confirmèrent, suivis de ce que je savais être les commentaires de ma cochonne que j’entendais sans vraiment les comprendre, puis les cris d’extase qui témoignaient que la bite de Monsieur avait réussi son coup, si j’ose dire, et que je portais une paire de cornes de plus, si celles-ci se comptent au nombre de coïts extraconjugaux connus par ma fidèle épouse.
Je bandais honteusement pendant que ma femme se faisait enfiler, et le temps me paraissait long. Ça n’en finissait pas ! Enfin, après un calme relatif j’entendis des pas. C’était lui, bien sûr qui sans s’embarrasser de formules quittait les lieux après se les être vidées. « Tu peux y aller. A demain ! » C’est tout !
Je rejoignis donc ma chérie qui s’essuyait la foufoune sans doute débordante, après avoir, en bonne ménagère, remis de l’ordre dans le lit sans doute dévasté. Baisers, caresses, léchage de chatte… Rien que de banal à raconter, il l’avait baisée, rebaisée… Oui elle avait bien joui. « Il baise bien, tu sais. Il sait se servir de sa queue ! » J’en concluais que ce n’était pas une corvée pour elle d’être la pute de mon boss !
Le lendemain on a eu une surprise ! Il ne m’avait rien dit alors on s’attendais à le voir arriver de bonne heure, mais non. Plus tard non plus. La surprise était qu’il n’est pas venu ! La suite nous appris qu’il aimait venir à l’improviste, arriver quand on ne l’attendait pas et vice versa.
Par contre le jour suivant, le jeudi je crois, il me dit de prévenir ma femme qu’il l’attendrait chez lui. Il aurait pu le lui dire lui-même, mais il devait préférer faire faire la commission par le mari cocu. C’était tout à fait son genre ! Je me retrouvais donc seul à la maison ce soir-là, sachant que ma chérie continuait de payer avec son cul le prix de ma promotion ! Il ne la libéra heureusement pas trop tard et je pus, à son retour, faire valoir mes droits d’époux.
C’est le vendredi qu’il nous fit une surprise, une vraie celle-là. Il nous offrait le restaurant (pas de folies, la crêperie d’à côté) et avait l’intention de passer la nuit avec nous. Je pensais immédiatement à tous les à-côtés que cela impliquait, alors que Claire semblait trouver l’idée plutôt séduisante !
Effectivement, quand fut venu le moment de la fornication elle révéla ses talents de salope pour se faire baiser par deux hommes, dont son mari. A peine au lit elle nous fit profiter de sa spécialité (qu’elle devrait faire breveter) : le 69 croisé ! J’explique : les deux hommes côte à côte sur le dos, elle se fait brouter la cramouille par l’un alors qu’elle taille une pipe à l’autre et de temps en temps elle alterne. Très érotique ! Elle termina en chevauchant Monsieur pour s’empaler sur sa bite et le baiser en amazone jusqu’à l’heureuse conclusion. Je n’étais pas resté inactif, pendant sa chevauchée je l’embrassais, lui pétrissais les loloches, descendais même jusqu’au clito… Et quand elle eut terminé sa chevauchée j’étais juste en position pour l’enfiler en levrette, je l’avais bien mérité.
La suite de la soirée fut très chaude car faire cela à plusieurs est très aphrodisiaque. A deux on tire un coup, deux coups, à trois on n’arrête pas. On a évidemment fini par s’endormir, ma salope avec une bite dans chaque main. Réveillé le premier je suis généreusement descendu préparer le petit déjeuner mais ne tardais à entendre des bruits témoignant que le patron souhaitait une bonne journée à ma femme à sa façon. Ils ne tardèrent pas à descendre, à poil…
La douche à trois fut encore un grand moment. Je n’y avais pas le meilleur rôle, mais l’important n’est-il pas de participer ? Il nous quitta après cela, nous avons donc pu passer en couple le weekend.
En couple mais en évoquant les moments forts de la semaine passée.
pat45, philphilphil, glider et 19 autres a liké
par MADMARL
#2651675
[quote="PatrickClaire"]Après nos excès sexuels de la veille la nuit a été courte et on n’avait pas vraiment envie de partir au boulot. Il le fallait pourtant, et je pensais au patron que j’allais retrouver et dont je revoyais l’image dans notre lit se tapant ma femme ! Il devait avoir des pensées semblables car quand nous nous sommes croisés son regard égrillard ne laissait aucun doute. De même quand il me demanda si nous avions bien dormi après « cette excellente soirée ». Comme je confirmai que oui son ton était particulièrement ironique quand il précisa : « Ta femme aussi ? » Et d’ajouter qu’après l’ardeur qu’elle avait mis à prendre du plaisir avec lui il était normal quelle ait besoin de récupérer. « Ce n’est pas toi qui aurais pu la mettre dans cet état. Elle a besoin d’un vrai mâle ta chienne. » Je comprenais qu’il ne manquerait pas une occasion de me faire remarquer que j’étais le cocu ! Un moment après il m’appelait : « Ce soir je passe chez toi juste après le boulot. Préviens ta femme. »
Effectivement le soir nous étions à peine rentrés qu’il est arrivé. Roulage de pelle comme la veille mais aussitôt il prit la direction de la chambre en y entrainant ma femme qui suivait servilement. Je fus à peine étonné quand il ajouta en s’adressant à moi : « Reste là, on a besoin d’un peu d‘intimité ! » Ceux qui ont connu ça savent ce qu’un mari ressent face à une telle humiliation, en les voyant monter et sachant ce qu’il vont faire. Car évidemment je savais et j’en eus rapidement confirmation quand divers bruits me le confirmèrent, suivis de ce que je savais être les commentaires de ma cochonne que j’entendais sans vraiment les comprendre, puis les cris d’extase qui témoignaient que la bite de Monsieur avait réussi son coup, si j’ose dire, et que je portais une paire de cornes de plus, si celles-ci se comptent au nombre de coïts extraconjugaux connus par ma fidèle épouse.
Je bandais honteusement pendant que ma femme se faisait enfiler, et le temps me paraissait long. Ça n’en finissait pas ! Enfin, après un calme relatif j’entendis des pas. C’était lui, bien sûr qui sans s’embarrasser de formules quittait les lieux après se les être vidées. « Tu peux y aller. A demain ! » C’est tout !
Je rejoignis donc ma chérie qui s’essuyait la foufoune sans doute débordante, après avoir, en bonne ménagère, remis de l’ordre dans le lit sans doute dévasté. Baisers, caresses, léchage de chatte… Rien que de banal à raconter, il l’avait baisée, rebaisée… Oui elle avait bien joui. « Il baise bien, tu sais. Il sait se servir de sa queue ! » J’en concluais que ce n’était pas une corvée pour elle d’être la pute de mon boss !
Le lendemain on a eu une surprise ! Il ne m’avait rien dit alors on s’attendais à le voir arriver de bonne heure, mais non. Plus tard non plus. La surprise était qu’il n’est pas venu ! La suite nous appris qu’il aimait venir à l’improviste, arriver quand on ne l’attendait pas et vice versa.
Par contre le jour suivant, le jeudi je crois, il me dit de prévenir ma femme qu’il l’attendrait chez lui. Il aurait pu le lui dire lui-même, mais il devait préférer faire faire la commission par le mari cocu. C’était tout à fait son genre ! Je me retrouvais donc seul à la maison ce soir-là, sachant que ma chérie continuait de payer avec son cul le prix de ma promotion ! Il ne la libéra heureusement pas trop tard et je pus, à son retour, faire valoir mes droits d’époux.
C’est le vendredi qu’il nous fit une surprise, une vraie celle-là. Il nous offrait le restaurant (pas de folies, la crêperie d’à côté) et avait l’intention de passer la nuit avec nous. Je pensais immédiatement à tous les à-côtés que cela impliquait, alors que Claire semblait trouver l’idée plutôt séduisante !
Effectivement, quand fut venu le moment de la fornication elle révéla ses talents de salope pour se faire baiser par deux hommes, dont son mari. A peine au lit elle nous fit profiter de sa spécialité (qu’elle devrait faire breveter) : le 69 croisé ! J’explique : les deux hommes côte à côte sur le dos, elle se fait brouter la cramouille par l’un alors qu’elle taille une pipe à l’autre et de temps en temps elle alterne. Très érotique ! Elle termina en chevauchant Monsieur pour s’empaler sur sa bite et le baiser en amazone jusqu’à l’heureuse conclusion. Je n’étais pas resté inactif, pendant sa chevauchée je l’embrassais, lui pétrissais les loloches, descendais même jusqu’au clito… Et quand elle eut terminé sa chevauchée j’étais juste en position pour l’enfiler en levrette, je l’avais bien mérité.
La suite de la soirée fut très chaude car faire cela à plusieurs est très aphrodisiaque. A deux on tire un coup, deux coups, à trois on n’arrête pas. On a évidemment fini par s’endormir, ma salope avec une bite dans chaque main. Réveillé le premier je suis généreusement descendu préparer le petit déjeuner mais ne tardais à entendre des bruits témoignant que le patron souhaitait une bonne journée à ma femme à sa façon. Ils ne tardèrent pas à descendre, à poil…
La douche à trois fut encore un grand moment. Je n’y avais pas le meilleur rôle, mais l’important n’est-il pas de participer ? Il nous quitta après cela, nous avons donc pu passer en couple le weekend.
En couple mais en évoquant les moments forts de la semaine passée.[/
Que c'est beau ce récit cela me rappelle la façon dont ce comporter l'amant régulier de ma femme , ironie et humiliation du cocu
indy45, pat45, michpat et 4 autres a liké
#2652025
Je dirais bien que la semaine suivante ressemblait à la précédente, si ce n’est que Monsieur montrait davantage ses tendances macho. Comme par exemple de me faire coucher dans la chambre d’amis alors qu’il passait la nuit avec ma femme dans mon lit ! En plus du roulage de pelle c’était, quand il arrivait, la main directement à la chatte, pour bien me montrer qui était le maître…
Le travail de Claire l’envoyait régulièrement en déplacement pour des salons touristiques ou similaires. C’est là que souvent elle faisait une rencontre coquine et revenait en m’annonçant qu’une fois de plus… Mais cela allait être différent car Monsieur s’était arrangé pour participer à la même manifestation. Je me souviens, c’était à Londres, et au retour il s’est vanté auprès de moi que durant trois jours elle avait été sa femme ! La foi suivante c’était en Belgique et il n’avait pas hésité à l’emmener dans un club échangiste ! Et c‘est au téléphone qu’il m’avait annoncé la nouvelle, disant que là-bas une Française a toujours du succès et qu’il n’avait pas cru devoir l’empêcher de s‘isoler en coin câlin avec un grand blond qui bandait pour elle. « Tu aurais fait pareil, non ? » J’aurais peut-être fait pareil, mais je trouvais que mon cocufieur me cocufiait doublement en prêtant ma femme !
Il avait quand même des pratiques extrêmes, comme la disposition abusive de ma femme, allant jusqu’à venir la sauter à la maison, dans mon lit, sans prévenir ! Curieusement Claire comme moi reconnaissions que cela nous provoquait une exacerbation de la libido dont nous aurions dû avoir honte, mais ce n’était pas le cas.
Mais il a fait pire encore, le jour où il a fait venir ma femme chez lui, ce qui n’avait rien d’extraordinaire car ce n’était pas la première fois. Claire n’en était pas étonnée, même quand il lui annonça qu’il attendait un ami. Un peu plus, par contre, quand il lui dit que son ami ne voulait pas être reconnu et qu’elle aurait les yeux bandés. Connaissant bien ma coquine, je sais que la chose avait dû l’émoustiller
Je devrais avoir honte à mon tour, mais j’adore ces moments d’attente durant lesquels je bande en pensant que mon épouse légitime est en train de forniquer avec un autre type. Je me demande s’il est bien monté, s’il va la baiser mieux que moi, si elle va jouir, combien de fois… Je me sens vraiment cocu et j’aime ça !
J’avais hâte de savoir quand ma belle arriva, m’embrassant à pleine bouche, comme toujours quand elle sucé de la bite, et me servit ce qu’elle dit toujours : « Qu’est-ce qu’ils m’ont mis, les salauds… » En même temps qu’elle se mettait à poil et m’entrainait vers la chambre. Je demandais qui était le type, mais ouvrant les cuisses elle me dit de d’abord lui lécher la chatte, comme toujours… Je crois qu’elles aiment toutes se faire brouter par le cocu après une troussée adultère. Je m’exécutais donc. Elle s’était manifestement passée une serviette entre les cuisses pour enlever le plus gros, mais il restait des traces des éjaculations précédentes dans le trou où je glissais ma langue. J’aime ça, mais elle encore plus car elle m’a souvent avoué que se faire lécher par le mari après avoir joui par la queue d’un amant l’excite énormément. Il suffit d’ailleurs de voir comment elle réagit pour en être convaincu, tenant ma tête pour diriger ma bouche sur sa vulve, remuer son cul et soupirer en pensant aux étreintes précédentes, tellement qu’elle finit toujours par jouir. Et après elle m’attire sur elle pour se faire baiser, en pensant pour s’exciter à celui qui vient de la sauter avant. Mais là je voulais savoir, je lui demandais encore qui c’était ! « Ça ne va pas te plaire ! » - « Dis-moi quand même. » Un silence, puis : « C’est Lambert ! ». Ça je ne m’y attendais pas, et j’éclatais en jurons bien sonnés, alors qu’elle semblait trouver ça amusant. « Tu es fâché, hein ? » Un peu que j’étais fâché, en rage même, car on peut dire que Régis Lambert était mon ennemi intime. Le collègue de travail qui espérait la place de gestionnaire que j’avais obtenu grâce au cul de ma femme qui pour cela avait couché avec mon patron. Il savait aussi pourquoi j’avais eu le poste qu’il briguait et il ne me le pardonnait pas, me faisant toutes les vacheries possibles. Il ne cachait pas au patron sa rancœur et avait du lui dire que s’il pouvait coincer ma salope de femme il lui en mettrait un coup lui aussi, pour le plaisir de me faire cocu. Je ne suis pas étonné que le patron ait eu l’idée perverse de lui offrir l’occasion de le faire, pour le plaisir de prouver sa domination.
Mais pour le moment je baisais mon épouse pendant qu’elle me racontait. Elle ne tarissait pas de compliments sur sa bannière de baiser, sur sa grosse queue, son endurance, son savoir-faire, autant de choses qui me consternèrent, s’agissant d’un type que je détestais et que ma femme avait tant apprécié. Le lendemain dimanche on en parlait encore et cela finissait par m’exciter que ma fidèle épouse continue à faire l’éloge de ce salaud qui manifestement l’avait vraiment bien faite grimper aux rideaux. Et aussi sans doute pour m’humilier un peu en insistant sur le fait qu’il l’avait mieux baisée que moi.
Mais je pensais déjà au lundi, où j’allais me trouver face au patron, mais aussi à Lambert ! Pour le patron, c’est lui qui m’en a aussitôt parlé, plutôt content de la bonne blague qu’il m’avait faite. « Alors mon petit Patrick ? Elle t’a raconté ta femme ? Elle devait aimer ça car elle était déchaînée, la bite de Lambert la rendait folle… Vous allez vous réconcilier maintenant. Quand on saute la même femme on est copains. » Ça j’en étais moins sûr, et plus encore quand Lambert se présenta à mon bureau, l’air goguenard. Je n’étais pas fier alors que lui, très à l’aise, allait jusqu’à me complimenter. « Super ta femme, tu as une bonne salope. Ce serait dommage de ne pas la partager avec les copains, pas seulement avec le patron. » Que pouvais-je répondre ? Je devais simplement avoir l’air con. Tout autant qu’avec ma femme qui était comme toujours ma tendre épouse, mais revenait de plus en plus souvent sur ses orgasmes du samedi. Pire encore quand juste deux jours plus tard elle me dit que le soir elle rentrerait un peu tard. Machinalement je lui demandais ce qui la retarderait, rougissant un peu elle me répondit avec un certain air de défi : « Je vois Régis. ». Je restais sans voix, alors elle continua : « Ne sois pas fâché, il m’a tellement fait jouir ! Juste une fois. » Juste une fois signifiait donc qu’elle ne recommencerait plus après. En bon cocu je donnais ma permission, et quand elle rentra, très tard, on s’aima comme d’habitude pendant qu’elle me racontait. Mais hélas, elle était accro à sa bite et elle a recommencé, me demandant pardon, jurant de ne plus le faire, mais lui ouvrant de nouveau les cuisses quelques jours après.
C’est pourtant ma chérie qui a mis fin à l’aventure, elle a fini par en avoir assez de l’attitude machiste de ce type qui la faisait pourtant bien jouir, et il a eu beau la menacer de chantage, de raconter partout qu’elle couchait avec n’importe qui, rien n’y a fait et, belle coïncidence, quand le patron a été muté le mois suivant, lui aussi l’a été, bien que cela n’ait eu aucun rapport.
On en parle encore de temps en temps avec Claire, lui demandant comment elle avait pu coucher avec un type que je détestais et qui me détestait. Elle reconnait qu’elle avait trouvé la chose plaisante et rappelle qu’il baisait si bien…
Sur le moment cela avait été très dur, mais maintenant ça reste un bon souvenir…
Bon, parlons d’autre chose.
pat45, Joseph5, SwedenForCandice et 14 autres a liké
#2652111
PatrickClaire a écrit :... Je crois qu’elles aiment toutes se faire brouter par le cocu après une troussée adultère. /.../ J’aime ça, mais elle encore plus car elle m’a souvent avoué que se faire lécher par le mari après avoir joui par la queue d’un amant l’excite énormément. /.../ tenant ma tête pour diriger ma bouche sur sa vulve, remuer son cul et soupirer en pensant aux étreintes précédentes, tellement qu’elle finit toujours par jouir. Et après elle m’attire sur elle pour se faire baiser, en pensant pour s’exciter à celui qui vient de la sauter avant.
incontestable et imparable :x Candice adore en jouer <3 :cuck: <3
titigrominet a liké
Avatar de l’utilisateur
par michpat
#2652143
@PatrickClaire Quelle histoire :oops: Faut être un couple "solide" pour vivre ça ! je suis en admiration !
La puissance de l'amour et d'une belle complicité candauliste :D
Aurais je pu ? Franchement je ne sais pas mais...peut être ! (après avoir maitrisé ma colère et mon humiliation envers ce collègue me tirant dans les pattes :-((( ) Avec le patron, oui ! :cuck:
Bravo et merci à toi pour ces récits très bien décrits 8-)
#2652214
@PatrickClaire oui quelle histoire ! Et que de développements très surprenants voire très dérangeants pour toi ! Je trouve que ta femme a vraiment outrepassé les bornes en baisant aussi ouvertement et souvent avec ton ennemi intime. Tu as dû beaucoup en souffrir. Que vous ayez surmonté tout cela est tout à votre honneur.
Quand au patron, c'est une incarnation chimiquement pure de ce qu'un salaud abusant de son pouvoir peut être.
michpat a liké
#2652394
Je ne puis oublier les dernières semaines de Monsieur qui avait alors été particulièrement exigeant, ne décidant rien moins que que d’engrosser ma femme ! Ayant estimé que si nous n’avions pas d’enfant c’était parce que j’étais incapable de procréer, alors il allait se charger de la féconder. Allant jusqu’à se vanter d’avoir mise enceinte une femme mariée, sans que son mari ne s’en doute bien sûr, et qu’il avait continué à la baiser avec son gros ventre presque jusqu’à ce qu’elle mette bas ! Il devait envisager la même chose pour Claire, mais pour l’instant il se prenait au sérieux, recherchant sa période de fécondité pour, une fois déterminée, venir chaque jour lui injecter quelques bonnes doses de foutre au fond du vagin en m’assurant qu’avec ce qu’il lui mettait elle était sûre de se retrouver avec un petit dans le ventre. Ma salope se prêtait au jeu, d’autant qu’avec l’ardeur qu’il mettait à l’inséminer elle prenait à chaque visite plusieurs fois son pied. Sans risque car, ce que son étalon ne savait pas, elle est (hélas) stérile !
Je dois à la vérité de dire que lorsque nous en parlions, c’est-à-dire tous les jours, nous nous posions la question : Et si ça arrivait ? Si la queue de Monsieur arrivait à réussir ce que n’avait pu faire la mienne ? Car il y a bien des coupes qui après des années de tentatives infructueuses voyaient le ventre de l’épouse s’arrondir miraculeusement ! Evidemment, il était possible que le facteur y soit pour quelque chose, mais pourquoi pas un caprice de la nature ? Si elle finissait par accoucher du fruit des saillies perverses de mon patron ?
Mais rien de cela, le ventre est resté plat, Monsieur a disparu de notre horizon, Lambert aussi, nous avons pu retrouver notre petite vie tranquille et sexuellement variée, comme nous l’aimons.
Fin de l’épisode « Monsieur ».
par damanalop
#2652537
@PatrickClaire bonjour merci d'avoir pris le temps de nous narrer avec autant de détail l'ensemble de ces aventures, on a l'impression de vivre le moment avec vous, total respect pour le temps pris a nous raconter cela, on imagine aisément que vous avez pléthores d'autres aventures. @ vous lire
par Alexmart77
#2652539
Effectivement c’est une belle histoire.... et pourtant j’ai toujours été réticent à associer le sexe et l’environnement Professionnel

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