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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
#2662833
De nos nos débuts, on ne peut parler de jeune couple, nous avions 35 ans… Divorcés tous les deux, nous nous sommes rencontrés lors du réveillon 2005, et le premier janvier nous prenions le petit déjeuner ensemble. Au lit !
J’avais dont trouvé une femelle qui aimait ça et manifestement ne s’en privait pas, et j’ai vraiment eu envie de la garder, tout en sachant (elle ne le cachait pas) elle n’avait pas l’âme d’une femme fidèle, ce qui m’ouvrait des idées perverses sur ce que pourrait être notre avenir.
La première fois qu’on baise avec une fille, cela a toujours une intensité particulière pour chacun des deux partenaires. Et cette fois je sentais que j’avais tiré le gros lot tant elle se montrait experte, opérationnelle, exigeante, active… Moi qui ne baisais pratiquement plus depuis mon divorce j’ai rempli capote sur capote. Sans compter sa bouche gourmande… Et le dimanche premier janvier on a continué. Je l’ai emmenée chez moi et tout en coquinant, on a parlé, évoqué notre vie, et c’est là que j’ai appris qu’elle vivait avec un mec Espagnol, qui avait eu le tort de ne pas être là pour le réveillon, ayant dû pour les fêtes aller voir sa famille.
J’étais plutôt content de faire son mec cocu, mais les jours suivants quand elle était avec lui c’était moi le cocu ! Surtout qu’elle prenait un malin plaisir à me raconter quand il l’avait saillie, et j’ai fini par y prendre gout. Je devenais candauliste.
Mais le gars a fini par comprendre que sa nana avait la cuisse légère, et il l’a virée. Moi je l’ai récupérée et gardée, bien qu’elle ne m’ait pas caché que la fidélité n’était pas son fort et je ne pouvais douter qu’elle ne renoncerait pas à ses penchants érotiques. Je n’ai jamais eu à le regretter, et j’expliquerai plus tard qu’elle est néanmoins fidèle.
J‘ajoute que le jour où j’ai obtenu l’exclusivité (toute relative) était le jour de la saint Valentin, un mardi, et depuis nous fêtons toujours cet évènement avec une connotation sexuelle !
A suivre…
curieuxCandau a liké
#2663035
Elle était alors serveuse de restaurant et avait souvent de la part de certains clients des propositions malhonnêtes. Elle me racontait, on en riait, on échangeait des idées cochonnes sur le sujet, je lui disais qu’elle devrait essayer, elle répondait pourquoi pas, mais cela n’allait pas plus loin. Puis un jour c’est un collègue de travail, un intérimaire, dont elle m’a dit qu’il la draguait ferme, main aux fesses et ailleurs, ne cachant pas qu’il voulait davantage. Qu’allais-je dire ? L’encourager à consentir, bien sûr. Mais ça n’avançait pas, aussi un jour l’ai-je presque obligée à aller travailler sans culotte. Donc ça n’a pas raté. A la première main au cul il a senti qu’elle n’avait rien dessous, levé la jupe pour toucher et a compris que c’était de la part de la cochonne une forme d’acceptation. En rentrant le soir elle m’avouait avec un peu de réticence qu’elle y était passée ! Mais voyant l’effet que cela produisait sur ma virilité, elle n’a plus hésité à me donner les détails sur la manière dont elle m’avait fait cocu. Cela s’était passé dans la réserve, sur une table, elle sur le dos cuisses levées. Il l’avait bien plantée et fait jouir, tans la situation l’excitait de se faire niquer alors que j’attendais son retour... Notre partie de cul conjugale a, ce soir-là, été particulièrement chaude. Et le lendemain…
#2663039
Je crois que je vais prendre plaisir à suivre vos débuts.
Vivement d'apprendre ce qui s'est passé le lendemain.
#2663294
Le lendemain il est évident qu’après la rapide troussée de la veille il allait vouloir remettre ça. Et j’appris le soir au retour de ma cochonne qu’il l’avait tout simplement emmenée à l’hôtel, comme une pute. Et je constatais sans étonnement que cela l’avait bien émoustillée et qu’elle ne regrettait pas car elle avait bien pris son pied. Ce qui me faisait bander, même si je sentais au fond de moi un brin de jalousie à l’entendre dire sa satisfaction d’avoir été bien pinée. Comme dans la conversation il était évident que le lendemain il aurait envie de remettre le couvert, j’eus une idée assez perverse : comme ils faisaient ça durant leur coupure de l’après-midi, entre 15 et 18 h, au moment où j’étais au travail, elle pouvait très bien l’amener à la maison. Il fallut quelques instants pour que cette idée incongrue fasse son chemin, mais peu après elle reconnaissait que ce serait à la fois pratique et superbement cochon d’amener son amant et se faire baiser à domicile ! Elle se demandait s’il serait d’accord, mais je pus lui assurer qu’à l’idée qu’il allait la niquer chez le cocu et dans son lit, il sauterait sur l’occasion ! Et sur elle…
Le lendemain je passais une journée dans l’attente, car nous n’avions aucun contact, mais l’après-midi mes pensées étaient fixées sur le projet que nous avions mis au point. Avait-elle réussi à le convaincre ? Si oui que faisaient-ils ? Je ne m’en doutais que trop ! Et moi qui rentrais peu après 18 heures, j’allais devoir attendre son retour, quatre heures plus tard, après 22 heures.
Mais en rentrant seul à la maison, je n’eus plus aucun doute : le lit dévasté avait l’apparence d’un champ de bataille, avec des taches dont je ne pouvais douter de l’origine, sans compter… trois capotes utilisées sur la table de nuit ! Ce sont ces trois capotes qui m’interpelaient le plus, car c’était la preuve incontestable qu’il avait pénétré ma femme et avait joui dans son ventre, comme en témoignait le sperme qu’il avait déchargé.
Ce sont ces pensées que je ruminais en attendant le retour de la femme adultère… Adultère consenti, j’en conviens. Je ne fus pas étonné quand à son arrivée elle me sauta au cou en demandant si j’avais vu. Bien sûr que j’avais vu ! Elle me raconta qu’elle l’avait fait partir le premier en lui disant qu’elle allait faire le ménage pour que je ne m’aperçoive de rien, mais elle laissa tout en état, au contraire, sachant que cela m’exciterait, et elle n’avait pas tort. Naturellement je voulais tout savoir et cette cochonne se délecta à ne négliger aucun détail, de la pipe de bienvenue à la sodomie finale. Et d’ajouter : « Qu’est-ce qu’il m’a mis, le salaud ! » Je me sentais vraiment cocu, et j’aimais ça.
Ça a duré une douzaine de jours, sa mission d’intérim prenant fin. J’avais bien tenté de convaincre ma femme d’accepter que je me joigne à eux, que j’avais très envie de la voir se donner, de la partager… Sur le moment elle disait oui, mais le lendemain elle changeait d’avis, assurant qu’elle ne pourrait pas faire « ça » devant moi. Pourtant, elle le faisait très bien sans moi !
jefetlola a liké
#2663564
Après cet intéressant épisode, il ne se passa rien durant quelques semaines, surtout qu’elle allait changer d’emploi. Elle avait postulé dans un organisme de tourisme et sa candidature venait d’être retenue. Elle était allée à un séminaire de formation à Rennes, deux jours, une formalité. J’allais la chercher à la gare à son retour, et comme il se faisait un peu tard on s’arrêta casser une petite croûte. Elle me raconta ses journées, ce qu’ils avaient fait, ce qu’elle avait appris, ce qu’ils avaient mangé, etc. Nous allions repartir quand, semblant prendre son courage à deux mains elle annonça : « J’ai couché. ». Comme un con je demandais : « Avec qui ? ». La réponse ne fut pas plus intelligente : « Avec un mec ! ». Je m’en serais douté ! Je payais l’addition et on regagna la voiture. Me voyant comme ça elle s’inquiéta : « Tu es fâché ? » Je lui confirmais que je ne l’étais pas du tout, mais que j’avais hâte d’être à la maison pour qu’elle me raconte cette coucherie. Et, une fois arrivés, direction le lit et interrogatoire en règle auquel elle se soumit de bonne grâce quand elle comprit que cela m’excitait plus que cela ne me contrariait. Histoire banale quand on sait que dans ces séminaires les hommes comme les femmes en marge de leur foyer conjugal retrouvent une certaine liberté et que les dragueurs ont des chances de rencontrer une femelle (ou plusieurs) prête à baisser sa culotte pour un petit intermède extraconjugal. Et c’est bien ce qui s’était passé. Un beau mec dit-elle qui lui a plu, qui a su employer les bons mots, a osé lui proposer des choses peu convenables mais qui ont fait que le soir elle lui a ouvert sa porte, lui a ouvert son lit, lui a ouvert les cuisses ! Pour la suite rien d’original, baise classique mais performante qui l’a bien faite grimper aux rideaux. D’où une belle partie de jambes en l’air conjugale.
jefetlola a liké
#2663860
Dans son nouvel emploi elle se plaisait beaucoup et il n’y avait plus de mains aux fesses, mais elle voyait beaucoup de monde et ne cachait pas que certains hommes lui plairaient, sans pour autant s’allonger devant eux. Moi je remettais toujours sur le tapis mes envies de trio, et elle répondait avec de moins en moins de conviction qu’elle ne pourrait pas devant moi, alors je noyais le poison en disant qu’on ferait l’amour ensemble, qu’il y aurait simplement un partenaire de plus. Et comme cela n’avançait pas vraiment, je lui dis que j’allais prendre les choses en main. Curieusement, je la trouvais soudain plus favorable, le fait que je prenais la décision la déresponsabilisait !
Faisant le tour de mes relations, j’avoue que je ne voyais pas top qui je pourrais entrainer dans cette aventure. C’est le hasard qui décida en nous faisant croiser un vieux copain à moi qu’on a salué et dont elle a dit en s’éloignant : « Tiens, il est mignon lui… » Je fis le tour de la question, sans lui en parler, et jugeais qu’en effet c’était celui qui convenait. Il avait dans une association dont nous faisions partie, une solide réputation de queutard et aimait à l’occasion évoquer ses bonnes fortunes. Discrètement toutefois, je veux dire sans nommer les dames qui avaient bénéficié de ses performances. Il faut dire que son métier lui offrait des possibilités idéales pour un dragueur comme lui : il était commercial dans une maison de surgelés. Il démarchait la clientèle particulière, donc pour la plupart des ménagères qu’il savait embobiner sans trop de difficulté pour arriver à ses fins. Il m’avait dit un jour que les femmes dites fidèles sont celles à qui on n’a jamais proposé de le faire. Lui faisait des propositions (échelonnées dans le temps) à presque toutes les femmes au foyer comestibles, et il assurait avoir un taux de réussite important. C’était donc l’homme qu’il nous fallait. Qu’il fallait à ma femme… Quand je lui dévoilais mon projet, il crut d’abord que je plaisantais. Mon épouse présentait tous les signes d’une dame respectable et respectée et il pensait manifestement que je voulais l’entrainer dans un traquenard. Je n’eus toutefois pas trop de mal à le convaincre et il admit rapidement qu’il aimerait participer à un plan à trois avec nous, ajoutant qu’il se faisait régulièrement tester MST et que je n’avais pas à m’inquiéter sur ce plan.
J’en fis part à ma chérie, sans lui nommer le complice, lui précisais qu’on irait le vendredi suivant au restaurant, qu’on y rencontrerait notre futur partenaire et que nous rentrerions à la maison pour… Je ne sais si je lui ai dit pour quoi, mais elle a parfaitement compris. Et n’a pas dit non.
Voici donc comment on est arrivés au véritable candaulisme, l’épouse, l’amant et le mari ! Je ne manquerai toutefois pas de vous raconter les détails de la première séance. Je précise que cet ami, Jacques, est toujours un partenaire privilégié que l’on rencontre régulièrement…
#2664060
Comme je l’ai dit, ma chérie voulait bien continuer à se faire sauter par un autre quand l’occasion se présentait mais n’envisageait pas de m’inviter à la cérémonie, je décidai donc de créer l’évènement avec mon copain Jacques. Elle était prévenue, lui aussi, nous sommes donc allés ensemble au restaurant un vendredi soir. Je dois dire que l’ambiance était un peu tendue au début, je sentais ma femme stressée, et le copain un peu gêné aussi par l’étrangeté de la situation. Mais je dois dire aussi qu’après deux apéros et le Muscadet qui a suivi beaucoup d’inhibitions ont disparu et que la conversation a pris un tour plus léger. Claire est très sensible à la boisson qui, même en petite quantité, lui agit rapidement sur la libido, ce qui fut le cas car on n’avait à peine terminé l’entrée qu’on parlait de cul aussi facilement qu’on l’aurait fait de la situation politico-sociale du département ! J’amenais Jacques à raconter quelques détails croustillants de ses rapports avec ses clientes, et ma chérie n’hésitait pas a demander des précisions. Une fois lancée elle n’a plu de limites et elle alla jusqu’à évoquer quelques-unes de ses aventures passées, donc l’affaire était bien engagée. Au point que quand j’ai dit que c’était elle qui avait eu l’initiative d’une soirée à trois, elle ne me démentit pas, ce qui fit monter d’un cran l’érotisme de la situation. Nous avions atteint le point le non-retour et on ne tarda pas à quitter les lieux.
Arrivés à la voiture je les invitais à monter tous les deux à l’arrière et ça me titillait le sensoriel de voir avec quelle facilité mon épouse acceptait. J’étais donc le conducteur et je me doutais que les préliminaires n’allaient pas manquer de débuter durant ce court trajet. Je ne me trompais pas puisque peu après atterrit sur le tableau de bord un chiffon de tissus dans lequel je reconnus le slip de ma femme. Je pensais que Jacques ne perdait pas de temps, mais j’appris plus tard que c’était ma cochonne qui s’était spontanément déculottée ! Je regardais évidemment dans le rétro, mais vous savez que cela ne laisse pas voir les parties basses de l’arrière. Par contre, quand je ne vis plus la tête de ma femme, je n’eus pas de doute sur l’opération à laquelle elle se livrait.
Nous voici donc à la maison, Claire sers les coupes… Je pense que beaucoup ont connu ces premières rencontres, où chacun sait pourquoi il est là, sait ce qui va se passer, mais où personne n’ose ouvrir le bal ! Je pris donc l’initiative et (je croyais encore que c’était lui qui avait déculotté ma femme) lui envoyais le slip en lui disant que puisqu’il avait commencé il pouvait continuer le déshabillage. Il ne se fit pas prier et rapidement la jupe tomba, rapide exploration manuelle de l’entrecuisse, envol du pull, dégrafage du soutif… Elle était à poil, ne portant plus sur elle que ses bas et son alliance !
J’assistais à ce dont j’avais envie depuis que je la connaissais, au pelotage de mon épouse. Je ne pouvais m’empêcher d’un sentiment de jalousie en voyant comment elle s’offrait et profitait de la situation, s’ouvrant honteusement, se laissant embrasser et rendant la pareille avec fougue, et quand je la vis ouvrir le pantalon du copain, sortir se queue et se pencher pour… La voir ainsi avec une bite dans la bouche, suçant comme je savais qu’elle suçait m’emplissait de sensations contradictoires, et je bandais ! Surtout qu’elle ne manquait pas, tout en se faisant tripoter ou en opérant, de me jeter des coups d’œil réguliers, soit pour s’assurer que je ne perdais rien du spectacle, soit pour… Je ne sais. Pour me dire regarde comme je me régale à te faire cocu ?
#2664240
Cela ne dura pas car c’est elle qui se releva en annonçant : « On va au lit ! » Et nous, les deux mâles, de suivre docilement la femelle dominante avec, dans l’escalier, son cul en point de mire. On était à peine entrés qu’elle s’était déjà allongée sur le dos, impudiquement ouverte, pendant que Jacques et moi nous déshabillions. Je remarquais avec un certain dépit que Jacques était plutôt bien monté (oui, mieux que moi) et je comprenais la raison de ses sucés féminins. Mais cette fois c’est dans ma femme qu’il allait enfiler son mandrin ! Les hommes un de chaque côté, nos mains se mélangeant entre ses cuisses, nos doigts la pénétrant ensemble alors qu’elle avait une bite dans chaque main, passant de l’un à l’autre pour rouler une pelle… Puis on a un peu mélangé les plaisirs préliminaires, broutages de minou alternatifs, pipes successives, jusqu’au moment où Jacques s’est mis en position au-dessus. Elle qui disait qu’elle ne pourrait pas faire ça devant moi avait bien changé d’avis, car elle levait haut les cuisses pour faciliter l’intromission, comme elle a l’habitude de le faire. Et j’ai connu la grande émotion de voir la trique bien dressée d’un autre pointer sur la vulve de ma chérie, entrer et disparaitre dans son vagin qui se montrait vraiment très accueillant. Je m’approchais d’elle pour la caresser, l’embrasser, en même temps qu’elle me branlait d’une main et remuait le cul pour faciliter la pénétration… Je trouvais que cela n’en finissait pas, mais il la pistonnait toujours alors que de son côté elle en redemandait, en commentant comme elle le fait toujours : « Oh oui j’aime ça… Vas bien au fond… Encore, oui, défonce moi… » Et pour moi : « Regarde chéri, il baise ta femme… Je t’aime chéri… Il va me faire jouir ce salaud… »
Effectivement elle a vite été submergée par un orgasme qui n’était manifestement pas feint, ou les râles se mêlaient aux expressions crues avec lesquelles elle exprimait le plaisir ressenti. Un moment de retour au calme et quand Jacques sortit a bite elle tira sur la mienne qu’elle tenait toujours en me disant simplement ; « Viens ! » Je pris donc la place laissée vacante et glissais ma pine dans le trou dilaté et abondement lubrifié par le sperme du précédent. Je savourais cette sensation aussi nouvelle que perverse et honteuse. Enfilée à fond, elle me regardait, je la regardais. Que signifiait son regard ? Du regret ? De la contrition ? Du défi ? Je m’allongeais sur elle et lui glissai à l’oreille : « Ça t’a plu ? » - « Oui ! » - « Tu as bien joui ? » - « Tu es une salope ! » - « Oui mon chéri. ». Et on a fait l’amour, avec des sensations nouvelles.
Une petite pause où Claire alla se rincer la moule. Je proposais d’aller chercher de quoi se rafraichir et quand je revins je ne fus pas surpris de les trouver en pleine action de levrette. Là encore j’eus la vue de la pine du copain qui coulissait et que je voyais entrer et sortir du trou. Je posai mon plateau et allai proposer ma bite devant ma cochonne qui entama aussitôt une fellation. Encore une première, pour moi comme pour elle…
Et ça a duré… La baise à plusieurs est un puissant aphrodisiaque. A deux tu tires un coup, deux coups… En trio tu n’arrêtes pas de bander tant l’excitation est forte. On a fini par dormir puis au réveil on a remis ça. Jacques est parti un peu après midi, Claire et moi sommes allés faire une promenade, et en rentrant baise encore… Très aphrodisiaque, je vous dis !
Voilà, j’ai réussi à bien raconter notre premier trio, cela me rappelle ce que nous avons osé faire et cela me fait toujours bander d’en parler. Après cette intéressante première fois il y en a eu bien d’autres, avec d’autres partenaires. C’est ce que l’on préfère. Et maintenant ma chérie ne dit pas non !
Je crois d’ailleurs t’avoir dit que notre premier partenaire de trio continue à l’être depuis. Cela en fait des séances partagées dont lui comme nous ne nous lassons pas, elle non plus ! Ce qui ne signifie pas qu’il passe son temps dans notre lit, mais que de temps en temps on aime à le rencontrer. J’ai en lui une confiance totale, et il m’est arrivé, devant m’absenter professionnellement, de lui confier la garde de ma femme, pour qu’elle ne fasse pas de mauvaises rencontres…
Joffrey a liké

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