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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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Après le récit de notre première rencontre trioliste, voici ce qu'il s'est passé au tout début de notre rencontre tout court: Elle (MY) avait à peine 18 ans et moi 22ans. Dans ce récit je parle de moi-même (Jean-Paul) à la troisième personne.
Bonne lecture (à suivre si vous voulez):

Mai 1970

Cela fait maintenant quinze jours que Jean-Paul est reparti vers sa caserne, à sept cents lointains kilomètres. Il est venu passer deux petits jours de permission, la première permission depuis qu’il a été appelé sous les drapeaux, et ces deux jours se sont passés en un éclair pour lui comme pour elle, MY, la douce fiancée.

Il a été appelé voici trois mois à faire son service militaire ; il a 23 ans et bénéficiait d’un sursis pour études. Mais voilà, les études sont terminées et il a dû prendre en mars le chemin du régiment pour effectuer son devoir national durant plus d’un an.

Tous deux se fréquentent depuis l’année dernière. Ils se sont connus lors d’un bal de campagne, comme il y en a tous les samedis et dimanches. Elle avait 17 ans et travaillait déjà, employée comme vendeuse dans une boulangerie du chef lieu de canton. Ils se sont plu, et leur flirt a vite évolué en grand amour, bien qu’elle ait toujours refusé de lui céder, de peur de tomber enceinte et par principe aussi, soucieuse de lui accorder le don de son corps pour la nuit de noces. Car ils ont parlé mariage et ont même décidé que cela se ferait à son retour de l’armée.

Alors il ronge son frein et là encore, durant ces deux jours de retrouvailles, elle n’a qu’en partie capitulé. Ils sont allés danser samedi soir et elle a passé la nuit avec lui, mais si elle a accepté ses caresses les plus osées, nue contre lui dans le lit, elle a réussi à maîtriser l’envie qu’elle avait de se donner.

Il a obtenu au matin sa première fellation, certes maladroite, mais preuve de son amour et gage d’autres caresses à venir. Lui-même s’est longuement occupé à lécher et sucer les seins en poire, le ventre, la brèche enfouie dans l’épaisse forêt de poils noirs, mais – maladresse de sa part ou précipitation – sans parvenir à obtenir la reddition qu’il attendait.

L’après-midi du dimanche, après avoir salué la famille et avant de se rendre à la gare, ils sont allés se promener dans un petit chemin forestier et là, dans la quiétude de la frondaison, à peine troublée par les chants d’oiseaux, elle lui a, à nouveau, prodigué une fellation, l’amenant à la jouissance, penchée sur lui tandis qu’il criait et lui maintenait le visage contre son ventre, l’empêchant de se soustraire à la tornade crémeuse, obligée d’accepter que sa bouche soit envahie par la semence un peu âcre. Après qu’il ait relâché sa prise sur sa nuque, elle s’est redressée, honteuse, le visage empourpré et s’est empressée de s’essuyer les lèvres. Mais contre toute attente, il l’a attirée contre lui pour un baiser profond et, malgré sa gêne, leurs langues se sont mêlées durant un long moment durant lequel la main de Jean-Paul s’est glissée sous sa jupe puis dans son slip, les doigts pénétrant dans la brèche du ventre, au milieu d’un véritable marécage et ressortant écarlates: ses règles arrivaient !

Elle s’est dit peu après, qu’à ce moment là s’il avait insisté, elle se serait donnée à lui sur-le-champ ; mais il était quelque peu refroidi par cet évènement naturel et salissant, et il avait eu d’une autre manière son plaisir, et puis l’horaire de la SNCF, c’est l’horaire. Il avait bien fallu se résoudre à reprendre le chemin du village, après qu’elle ait remis un peu d’ordre dans sa tenue.

Ce soir-là c’est Martine, son amie, qui les a emmenés à la gare dans sa petite voiture, tous deux assis à l’arrière pour un dernier câlin. Jean-Paul l’a prévenue qu’il n’aura pas de nouvelle permission avant six semaines, pour cause de manœuvres. Que c’est long, six semaines ! Ils s’écrivaient, souvent au début de son service, chaque jour, maintenant un peu moins, une ou deux lettres par semaine.

Elle a un peu de mélancolie mais Martine vient justement de passer la voir à la boulangerie ce vendredi, pour lui proposer de l’accompagner samedi soir à un bal à Besançon.

— Ça te changera les idées, on va se faire plaisir en dansant !

Elle a hésité puis accepté, se disant qu’en effet ça lui changerait les idées, d’autant plus que Martine lui a assuré, en partant d’un grand éclat de rire, qu’elles rentreraient avant l’aube.

Ce samedi, la journée touche à sa fin. Les derniers clients, habituels retardataires, sont venus en catastrophe acheter un reliquat de pain – comme s’ils ne pouvaient pas venir plus tôt, dixit sa patronne. MY tire le rideau et commence à balayer le sol carrelé. Il n’y a presque pas d’invendus à remiser, et après un dernier coup de torchon sur la vitrine, elle peut déboutonner sa blouse rose, se recoiffer rapidement, faire la bise à sa patronne qui lui recommande la prudence pour ce soir, car elle est au courant de la sortie prévue. Elle lui a d’ailleurs accordé congé pour le lendemain matin, contrairement aux autres dimanche où elle doit travailler.

Elle court jusqu’à la maison de sa sœur, mariée à l’épicier du village, chez qui elle occupe une chambre avec entrée indépendante. Elle se déshabille et s’enferme à la salle de bain. Elle se prélasse quelques minutes sous la douche, se lavant soigneusement, puis après un shampoing, elle sort et, toute nue face au miroir, elle se sèche les cheveux. Elle s’examine, sans auto-complaisance excessive: ses seins, qu’elle juge un peu petits, sont en poires – elle fait 85C de soutien-gorge – mais un peu lourds, tombants et couronnés par deux très larges aréoles rose-foncé.
Les bras levés pour brosser ses cheveux coupés à la garçonne révèlent ses aisselles tapissées de deux buissons bruns, mais à cette époque les aisselles fournies sont chose courante et peu de gens s’en offusquent. Elle attendra l’été pour les raser.

Au bas de son ventre, trop bombé à son goût, le pubis est lui aussi très touffu et ses poils débordent même dans les aines ; là aussi, elle interviendra au mois de juillet, si elle doit aller à la baignade avec Jean-Paul.

Elle se munit du rasoir de son beau-frère pour éliminer quelques poils naissants sur ses jambes qu’elle s’attache à avoir, elles, parfaitement lisses, puis elle vaporise un voile d’eau de toilette sous les aisselles, un peu sur le nombril et enfile un slip en nylon rose qui épouse crûment le galbe des ses hanches un peu larges et accentue la rotondité de son postérieur. Elle met ensuite une "combinette" (1) courte, s’arrêtant à mi-cuisses, du même nylon transparent que le slip ; les bonnets soutiennent les seins sans les comprimer comme le ferait un soutien-gorge et laissent transparaître l’ombre des aréoles. Un corsage blanc, heureusement opaque, sans manches, une jupette plissée à carreaux écossais, un peu de rouge à lèvres, elle est prête.

Dans sa chambre, elle hésite entre des mocassins plats et des nu-pieds à talons mi-hauts pour lesquels elle opte finalement ; ils mettront en valeur ses chevilles délicates et ses mollets musclés ainsi que ses délicieux orteils vernis du même rouge que les ongles de ses mains. Un gilet noir en coton, son petit sac avec un peu d’argent, ses papiers, la clé de la maison. Elle passe en coup de vent au magasin faire un bisou à sa sœur, encore affairée ; les recommandations d’usage :

— Essaie de ne pas rentrer trop tard, attention à ne pas boire, attention sur la route…

Avec Martine, pas de problème, c’est une conductrice extra. Elle la rejoint un peu avant vingt heures sur le parking de la mairie… Petit bisou et « en route pour la fiesta » comme dit en riant sa copine.

Elles sont à Besançon une demi-heure plus tard et s’autorisent, après avoir garé la voiture, à boire un diabolo menthe à la terrasse d’un café. Quelques garçons en goguette passent et les draguent gentiment, sans qu’elles y prêtent une attention particulière, si ce n’est une réflexion vacharde de Martine à propos d’un des gars à la figure constellée d’acné.

De la salle des fêtes voisine leur parviennent des accords de guitares, des essais de batterie, des trilles d’accordéon ; les musiciens font leurs derniers réglages avant le début de la soirée dansante.

Elles se dirigent enfin vers le guichet d’entrée, règlent le montant de leur ticket qui donne droit à une consommation, reçoivent un coup de tampon encreur sur le poignet, qui leur permettra de sortir de la salle, sans être inquiétées pour y revenir.

Passage obligé au vestiaire où elles déposent sacs à main et gilets. Martine porte, elle, une belle robe à fleurs à volant qui met en valeur sa poitrine généreuse et sa peau claire de rousse.

Un public déjà nombreux garnit la salle et tandis que pas mal d’hommes en sont aux retrouvailles aux abords de la buvette, les femmes papotent. À vingt et une heures pile, l’orchestre attaque les premières mesures d’un paso-doble, et aussitôt les premiers couples tournoient sur la piste.

D’autorité, Martine entraîne Maryvonne ; c’est elle qui « conduit » la danse, et la petite brune se prête de bonne grâce aux impulsions que sa cavalière lui donne pour la faire tourner à l’endroit puis à l’envers. Le rythme est soutenu, le tempo assez rapide comme il convient pour lancer une soirée dansante. Un second morceau puis un troisième succèdent au premier et le nombre des danseurs augmente.

Près du bar, trois hommes viennent d’arriver et examinent d’un œil averti l’assemblée dansante. Le plus âgé, un grand brun proche de la quarantaine, commente pour les deux autres :

— Dis donc, la mémé là-bas, elle a déjà vécu, vise un peu les poteaux, Charlie ! dit-il, en poussant son coude dans les côtes de son voisin, un blond d’une trentaine d’années.
— Ouais, t’as raison !

Effectivement, la dame qui fait l’objet de leurs remarques, est engoncée dans une robe droite qui révèle crûment les bourrelets de sa taille replète.

Le troisième, petit et râblé, au crâne déjà passablement dégarni, les interpelle à son tour :

— Visez les deux nanas…

Il désigne du menton MY et Martine qui tournoient.

— La rousse a l’air d’avoir du beau matériel… qu’est-ce t’en pense, Paulo ?

Paulo, le plus âgé rétorque, impavide :

— Moi je préfère la brunette, ça sent la fausse mince à plein nez… Regarde les guiboles !

La jupe plissée de MY se soulève à chaque virevolte que lui fait faire Martine, découvrant l’arrière de ses cuisses bien galbées.

— Allez, tourne plus vite, cocotte ! dit-il en ricanant.

Comme si les deux filles avaient entendu, elles entament une série de boucles en toupie et le tissu écossais se soulève encore plus, découvrant un bref instant, ce qui n’a pas échappé à l’œil de lynx du quadragénaire, un feston de nylon rose.

La danse s’achève et les danseurs gagnent, qui une place à table, qui le bar pour y boire un premier verre. Presque sans temps mort, l’orchestre enchaîne avec une série de valses. Cette fois les amateurs sont moins nombreux, surtout les hommes mais des couples féminins se forment. Martine se penche pour proposer cette danse à MY quand un homme (Paulo) s’approche et s’interpose en s’adressant à la petite brune :

— On danse, Mademoiselle ?

C’est à peine une question, presque une affirmation. Au même instant s’approche de Martine un garçon qui lui fait la bise. MY se lève de son siège, lissant machinalement sa jupe sur ses fesses et suit Paulo sur la piste. Il est grand mais malgré la différence de taille, il sait immédiatement comment la tenir. Elle pose sa main gauche sur l’épaule de l’homme, appréciant la douceur d’un pull en cachemire, tandis que sa main droite disparaît dans la paume de son cavalier. Il danse très bien, elle le perçoit immédiatement mais c’est lui qui la complimente :

— Hmm ! C’est un vrai plaisir, on dirait que vous avez dansé toute votre vie… Pourtant vous êtes bien jeune, combien ? Dix-neuf, vingt ?

Elle corrige :

— Dix-huit.

Il rit.

— Oh, excusez-moi… Mes compliments !

Elle rougit tandis que, imperceptiblement, la main droite de l’homme assure sa position sur ses reins ; tout juste une petite pression des doigts quand il veut la faire tourner à l’endroit, une autre pour tourner à l’envers. Il dit :

— Moi, c’est Paul, et vous ?
— Maryvonne, on dit MY…
— Enchanté, MY ; d’où êtes-vous ?

Prise de court par ce questionnaire inattendu, elle répond et dit le nom du bourg où elle travaille.

L’orchestre achève la première valse, et laisse à peine le temps aux danseurs de reprendre leur souffle qu’il enchaîne sur une autre, tout aussi rapide. Paulo, qui avait laissé se desserrer l’étreinte de son bras droit, raffermit sa prise à la taille de la petite brune. Sa main se loge davantage au creux des reins, appréciant leur cambrure prononcée.

MY peut se rendre compte que Martine danse avec le garçon qui l’a abordée tout à l’heure et qu’elle semble bien connaître, car elle rit aux éclats tandis que ce dernier la fait tournoyer.

Les valses s’achèvent et galamment Paulo ramène MY jusqu’à sa table où la rejoint Martine ; le cavalier de celle-ci est allé retrouver un garçon avec lequel il discute près du bar.

— Dis donc, tu attaques avec un senior !

MY rougit.

— Oui, oh tu sais j’ai pas fait attention. Il danse bien en tout cas !
— Alors que le mien, il me fait tourner comme une toupie ! s’esclaffe la rousse en ajoutant :
— Mais il a d’autres talents…

Elle cligne de l’œil.

— Tu le connais ? demande MY
— Oui, on flirte de temps en temps ensemble, il est sympa et il a une belle bagnole.

Les premiers accords de Rock’around the clock retentissent.

— Allez viens, on y va !

Martine l’entraîne presque de force sur la piste où deux garçons viennent les séparer.

MY, comme par hasard, hérite du grand boutonneux qu’elles ont vu à la terrasse du café, avant d’entrer tout à l’heure, mais qui s’avère être un très correct danseur de rock. Le garçon la fait pirouetter, et cette fois la jupe plissée révèle à plusieurs reprises la dentelle rose de la "combinette" et quand elle se retrousse sur le devant, le galbe charnu de ses cuisses en pleine tension musculaire.

Au bar, Paulo et ses deux acolytes ne perdent pas une miette du spectacle.

— Qu’est ce que j’avais dit, les gars, Vous avez vu les cuisses ? dit le quadra et d’ajouter avec un geste significatif de la main droite , d’après ce que j’ai constaté…Hmm la chute de reins est prometteuse.
— C’est une gamine…
— Justement, elle a dix-huit ans et ce soir j’ai envie de chair fraîche.
— Elle s’appelle comment ta brunette ?
— Maryvonne, je sais c’est d’un kitch… Mais ça me plaît encore davantage !
— Vieux dégueu !
— Peut-être, mais qui c’est qui qui emballe, hein ?
— C’est Paulo ! s’exclament les deux autres en chœur, faisant converger vers eux les regards de leurs voisins.

La série de rock and roll se termine. Après une courte pause, l’éclairage baisse en intensité, le projecteur s’allume, constellant de mille étoiles le plafond noir de la salle tandis que les musiciens jouent l’intro de Whiter shade of pale « le slow de l’été 1967 », version orchestre musette.

Les couples de forment. Sans se presser, Paulo se dirige vers la table de MY alors que Martine suit son flirt vers la pénombre. Il se présente en même temps que le grand dadais boutonneux. D’un regard il le toise le post-ado et s’adresse à la jeune fille :

— On danse ?

Cette fois ce n’est plus du tout une question. Interloquée, elle balbutie, gênée pour le garçon :

— Mais… Il…

Paulo lui prend la main.

— Allez, on y va, il aura droit à la prochaine.

Puis arrivés sur la piste, alors qu’il l’enlace :

— C’est ton fiancé ?

Elle frémit sous le tutoiement.

— Nnon… Mon fiancé est à l’armée.

Il ricane :

— Tu es venue tenir compagnie à ta copine ? Remarque, elle a l’air de se débrouiller seule.

En effet, non loin d’eux Martine a enfoui son visage au creux de l’épaule de son flirt.

Paulo parle à voix basse :

— Elle est pas mal ta copine, mais toi aussi… Tu es d’origine espagnole ?
— Oui…Comment le savez-vous ?

Il rit doucement.

— À tes yeux, je l’ai deviné à tes yeux… Et à tes cheveux, ajoute-t-il tandis que sa main gauche abandonne la main droite de la jeune fille pour venir caresser les ondulations brunes coiffées au carré.

Elle pose sa main droite abandonnée sur l’épaule virile. L’homme resserre son étreinte, sa main droite descend un peu plus bas, sur les reins. En même temps, sa cuisse s’insère davantage entre celles de la brune… il se dit : Ça passe ou ça casse…

En fait de casse, rien de ce qu’il craignait ne se produit. MY crispe légèrement ses ongles sur le cachemire de l’homme. Est-ce la fatigue, la musique langoureuse, le cafard qu’elle a ressenti tout au long de la semaine ? Tout comme sa copine Martine avec son flirt, elle laisse aller son visage contre le torse musculeux. Paulo ne s’y trompe pas ; ce ne sera pas la première fois qu’il obtient une capitulation rapide… Mais il ne veut pas brusquer les choses.

Il questionne la jeune fille :

— Ton amoureux est à l’armée pour combien de temps ?
— Encore onze mois. Il a fait la préparation aux officiers de réserve, alors il fait quinze mois au lieu d’un an.

Paulo jubile :

— Onze mois ? Bah ! c’est pas terrible…Tu verras, le temps passe vite.

La main gauche caresse savamment les cheveux de la brune, il penche son visage et la complimente pour son parfum… Il lui demande la marque. Elle lui dit :

— Canoë.
— Hmm ! Ça donne envie de naviguer…

Il se penche encore et ses lèvres viennent effleurer les cheveux, contre la tempe. Elle le laisse faire, elle se sent confusément prise dans un piège, une sensation qu’elle n’a encore jamais connue…

Derrière, la main droite descend doucement, doucement… Les doigts effleurent le renflement de la croupe, tandis que devant, contre son ventre, elle ne peut ignorer l’apparition d’une masse dure qu’elle a déjà connue plus d’une fois en dansant avec des garçons, Jean-Paul et d’autres avant lui. L’homme bande, il a une érection… Elle frissonne.

— Tu as froid ?
— Nnnon… non !

La main gauche lui caresse maintenant la joue, lui soulève le menton ; elle ne résiste pas. La bouche de l’homme s’empare de la sienne ; mélange de langues, invasion de son palais tandis que ses mains se crispent sur les épaules masculines… La peur d’être vue, que tout le monde la regarde, alors elle interrompt le baiser. Mais non, ils sont dans la partie la plus sombre de la salle, personne ne les a vus. Retour vers un espace éclairé par le halo scintillant du projecteur.

— Ta bouche est très agréable…Elle a le goût que j’aime.

Elle est terrorisée à l’idée qu’on les entende, alors il la dirige à nouveau dans la pénombre. Nouveau baiser, cette fois, plus profond. La langue envahit sa bouche, visite ses dents, repousse sa langue, et derrière la main droite qui descend encore, appréciant le renflement de ses fesses. Haletante, elle arrive à le repousser :

— Non…Il ne faut pas !

Il la ramène dans une zone éclairée et là, elle voit Martine, bouche contre bouche avec son cavalier. Paulo ricane :

— Tu vois, ta copine sait prendre du bon temps…Elle !

Un deuxième slow fait suite au premier, tout aussi langoureux et là, elle aperçoit Martine qui se dirige vers la sortie de la salle avec son copain.

Paulo lui aussi a vu la scène. Il se penche sur elle et leurs lèvres se joignent sans cette fois qu’elle se soucie d’être ou non dans la pénombre. Le baiser est savant, l’exploration intense. Sa langue vient à la rencontre de la langue de l’homme ; mélange de salives. Il se régale de la fraîcheur de ces lèvres presque enfantines. Elle ne peut plus ignorer cette fois l’ampleur de la virilité qui se presse contre son ventre alors que la main droite flatte sa croupe, sa hanche, et descend sur le côté de sa cuisse. Elle se laisse faire. Ils sont au fond du dancing et la main de Paulo fait doucement remonter le tissu de la jupe. Elle se contorsionne alors et le supplie :

— Non…Non…Pas ici !

Il jubile :

— Viens, on sera mieux dehors, sur le parking…

Est-ce là encore la fatigue, le fait d’avoir dansé trop fort ou bien l’accumulation d’une trop longue frustration ? Elle se laisse guider vers la sortie. Elle demande son gilet au vestiaire et il le lui pose galamment sur les épaules. Ils sortent…L’air est plus frais…Ils franchissent le halo de lumière de l’entrée et gagnent la pénombre. Dehors, des couples fument des cigarettes, d’autres parlent à voix basse. Martine a disparu.

Paulo la prend dans ses bras dès qu’ils sont parvenus dans le noir. Le baiser est savant, inquisiteur ; les mains expertes la palpent, derrière, devant. Elle s’accroche telle une naufragée aux épaules de l’homme. Une main descend, atteint le bas de sa jupe, remonte le long de la cuisse nue, épouse la hanche, contourne et arrive à la base d’une fesse. Elle supplie :

— Non…Non, il ne faut pas !

Il la pousse doucement vers une voiture sombre. Il cherche rapidement dans sa poche ; le cliquetis d’une clé dans la serrure…La portière arrière qui s’ouvre. Elle se laisse pousser sur la banquette. L’homme s’installe à son tour, la portière se referme, ils sont à peine éclairés par un lointain lampadaire, l’homme la voit plus qu’elle ne le voit. Elle ne cherche pas à résister quand il se penche à nouveau sur elle. Cette fois, le baiser est carrément torride, elle halète sous l’intrusion de la langue. En même temps, les doigts habiles déboutonnent le corsage, puis descendent et font glisser le zip sur le côté de la jupe à carreaux.

En peu de temps, gilet, corsage et jupe reposent sur le dossier du siège avant. Elle est dans les bras de son séducteur, tout juste vêtue de sa combinaison et de son slip. Il se recule pour la contempler alors qu’elle ferme les yeux. Elle se dit « Je vais tromper Jean-Paul » Elle veut crier, sortir de cette voiture, mais l’homme se penche à nouveau sur elle et lui murmure :

— Tu aimes être embrassée, ta bouche est bonne. Je te veux !

Elle balbutie :

— Non…Non, pas ce soir…Je n’ai jamais…
— Tu n’as jamais quoi ? Tu es vierge ?
— Oui…
— Ton fiancé ne t’a pas encore prise ?
— Non, ça a failli il y a quinze jours, mais ça ne s’est pas fait et de toutes façons, j’avais mes règles.

La naïveté et la candeur de cette fille l’amusent.

— Alors vous êtes allés jusqu’où avec lui ?
— On a déjà couché ensemble mais sans jamais aller jusqu’au bout, juste des caresses poussées.
— Avec les doigts ?
— Oui et…
— Tu l’as sucé ?
— Oui…
— Bien, alors on va voir ce que tu sais faire.

Il ouvre sa braguette.

— Sors-la et occupe-toi de moi !

Disant cela, d’une poigne de fer, il lui saisit la nuque et l’incline sur lui. C’est lui-même qui extirpe son sexe de son pantalon ; une verge épaisse, décalottée, au gland violacé.

— Mets-toi à genoux, oui, voilaaa, comme ça…

Il la place à genoux, fesses contre le dossier, puis crochetant les bretelles de la combinaison, il la roule à la taille, dénudant les seins en poire. Il appuie de nouveau sur sa nuque. Les lèvres de la jeune fille arrivent au contact de l’énorme "mentule" (2) La bouche s’ouvre et l’absorbe. Ses doigts passent sous le buste et s’emparent des tétons qui s’érigent très vite, provoquant des gémissements étouffés. Elle est obligée d’ouvrir en grand la bouche tant le membre est épais. Il rit :

— Elle te plaît ? Elle est plus grosse que celle de ton mec, je parie.

Comme elle ne répond pas, il lui tire les cheveux en arrière et lui fait redresser le visage.

— Alors ? Réponds ! Elle est plus grosse que celle de ton mec ?

Les yeux pleins de larmes, les lèvres luisantes de salive, elle bredouille.

— Oui… ohhh !

Il la fait plonger à nouveau. Puis, la maintenant toujours à genoux, il lui rehausse la croupe et retrousse le fragile nylon jusqu’à la taille. Lentement il fait glisser le slip, dénudant les fesses blanches.

La bouche de Maryvonne va-et-vient autour du chibre tendu à l’extrême. Il la complimente :

— C’est bien, pour une débutante tu t’en tires déjà bien !

La main droite flatte la double mappemonde, les doigts visitent les fossettes qui couronnent les deux demi-lunes, puis descendent lentement dans le sillon qui les sépare. Au moment où ils parviennent à la corolle du puits des reins, Maryvonne tente de se cabrer mais la main gauche de Paulo lui appuie sur la nuque et l’empêche d’interrompre sa caresse buccale. Vaincue, elle laisse les doigts l’explorer. La caresse diabolique de l’index sur le pourtour de son œillet puis sur le périnée lui fait perdre la tête. Elle réussit cette fois à se redresser, hagarde, face à son tourmenteur. Leurs bouches se joignent à nouveau puis, après lui avoir ôté son slip, il l’allonge sur la banquette et lui ouvre les cuisses. La combinaison roulée à la taille, plus aucun rempart ne voile la féminité de la jeune fille. Malgré la semi-obscurité, l’œil connaisseur apprécie l’épais triangle brun du pubis. Il lui relève les bras et constate que deux buissons tout aussi bruns tapissent les aisselles. Il ricane :

— Décidément, j’aime bien les jolies espagnoles !

Il se penche vers le compas des cuisses et sa bouche vient prendre possession du coquillage niché dans la jungle des poils. Très vite, il la fait crier. Elle découvre les joies du cunnilingus et crispe ses doigts sur la nuque de l’homme. Plusieurs fois il la fait jouir, elle dégouline. Un court instant, il se dit qu’il va la baiser, là, dans la voiture, mais il se ravise. Cette gamine mérite mieux que cela. Après l’avoir fait presque défaillir, alors qu’elle gît couchée sur le flanc, il lui caresse doucement la hanche et lui dit :

— Rhabille-toi, on va retourner au bal, après je vais te ramener si tu veux.

Docile, elle enfile ses vêtements et remet un peu d’ordre dans sa coiffure. Une fois sortis de la voiture, ils se dirigent vers le dancing. Là, Paulo la laisse passer aux toilettes pour se rafraîchir. Ses copains sont à la buvette et viennent aux nouvelles :

— Alors vieux, tu as conclu ?
— Non, mais ça ne devrait pas tarder. Je vais la ramener chez elle, mais avant ça, on va faire un crochet chez moi.
— Elle a l’air drôlement chaude, dis donc !
— Ça oui ! Elle démarre au quart de tour, mais vous ne devinerez jamais…Elle est encore pucelle !
— Eh ben dis donc, tu vas t’amuser !
— Oui, j’espère bien, elle m’a commencé une pipe dans la bagnole. Bon, elle a encore des progrès à faire, c’est pour ça que j’aime mieux l’entreprendre dans un plumard. Elle habite à R… chez sa sœur, je la ramènerai après.

Disant cela il lorgne vers la table de MY. Celle-ci est revenue auprès de sa copine et semble en grande discussion avec elle. Tout à l’heure, après être elle-même sortie en compagnie de son amoureux, Martine l’a cherchée un bon moment. Pas pour lui faire la morale, mais pour lui expliquer qu’elle souhaitait justement la ramener le plus tôt possible, ayant elle-même un projet coquin avec son flirt. MY avance timidement :

— Le…Mon cavalier…Il me propose de me ramener, alors si ça t’arrange…

Martine lui dit à voix basse :

— Moi, je vais passer à la casserole, mais je crois que je ne vais pas être la seule !
— Tais-toi…
— Eh ! Tu crois que j’ai pas remarqué quand tu es sortie tout à l’heure ? J’étais avec mon copain dans sa bagnole, vous êtes passés tout près de nous, il t’a roulé des sacrés patins ! Remarque, il est plutôt bel homme et puis un petit coup comme ça en passant, ça peut pas faire de mal !

MY n’ose pas dire à sa copine qu’elle est encore vierge, de peur d’être ridicule. Elle hasarde :

— Tu vas coucher chez ton copain ?
— Oui, on va chez lui. Il m’a déjà emmenée une fois ; c’était pas mal… Dis, tu me raconteras comment c’était avec le tien ?

Elle s’esclaffe et lui fait la bise.

— Vas-y, si tu veux être rentrée chez ta sœur avant qu’il fasse grand jour !

Là-dessus, elle part rejoindre son copain, laissant MY seule à sa table.

L’orchestre entame un slow et le garçon boutonneux revient à la charge, invitant MY à danser. Elle décline l’invitation en disant :

— C’est déjà promis !

Paulo qui depuis le bar a suivi la scène, boit du petit lait. Il se rengorge auprès de ses deux compagnons :

— Les gars, si je veux manger de l’oie blanche ce soir, c’est le moment que j’y aille ! Une petite danse et je raccompagne la Maryvonne.

Il tape rapidement sur l’épaule de ses comparses et se dirige vers la petite brune. Sans se donner la peine d’aller jusqu’à elle, il lui adresse un petit geste du doigt, signifiant qu’elle doit le rejoindre sur la piste. Elle se lève et le rejoint. Tout de suite elle se blottit dans ses bras ; sa main droite à lui descend sur la croupe de la jeune fille, tandis qu’il se penche sur son visage ; leurs bouches se soudent. Heureusement, d’autres couples en sont au même stade de flirt qu’eux car la scène est plus que torride. Le slow se termine, il murmure :

— On y va ? Je te ramène, va chercher ton sac et ton gilet, je t’attends.

C’est dit d’un ton sans réplique. Elle se rend au vestiaire pour y récupérer ses affaires. Il l’attend et l’entraîne sur le parking. Galamment, il lui ouvre la portière avant et elle s’installe. Il prend place au volant mais avant de démarrer, il se penche sur sa proie. Pendant qu’il lui baise goulûment la bouche, il déboutonne à nouveau le corsage, ses doigts habiles passent sous le nylon de la combinaison et viennent caresser savamment les seins dont les bouts se durcissent.

Enfin l’auto démarre. Ils sortent du parking. Paulo roule doucement et la voiture prend la route de R… Il conduit de la main gauche, la droite occupée à caresser sa passagère qui fait semblant de somnoler, le visage tourné vers le côté droit. Elle ne dort pas, bouleversée par ce qui est en train de lui arriver. C’est si soudain, cet homme qu’elle ne connaissait pas il y a trois heures, cet homme qui en effet pourrait être son père, cet homme l’emmène, il la domine et elle aime ça. Lorsque la voiture tourne à gauche à la sortie de Besançon, elle ne proteste même pas et lorsqu’elle s’arrête devant un pavillon dans une rue calme et que Paulo lui ouvre la porte pour qu’elle descende, elle descend… Elle lui demande simplement :

— Vous vivez seul ?
— Oui, j’ai mes habitudes comme ça, je suis divorcé et mes fils sont autonomes ; j’ai juste mes potes qui viennent squatter de temps en temps.

Il sent qu’à ces mots elle frémit et la rassure :

— T’inquiète pas, ce soir, ils sont de sortie pour la nuit complète, ils savent qu’il ne faudra pas me déranger.

Il la fait entrer dans la cour. La porte d’entrée donne sur une salle de séjour avec un canapé et des grands fauteuils. Il allume une lampe d’ambiance et après avoir verrouillé la porte, se tourne vers elle.

— Viens…



Il fait entrer MY dans la cour ; la porte d’entrée donne sur une salle de 
séjour avec un canapé et des grands fauteuils…Il allume une lampe d’ambiance et après 
avoir verrouillé la porte, se tourne vers elle.

Elle semble empruntée, son sac à la main son gilet sur les épaules. Il le lui enlève 
et la prend dans ses bras. Pour la énième fois leurs bouches se joignent. Elle 
succombe rapidement et noue ses mains sur la nuque de Paulo, se laissant déshabiller 
sans résistance. Il prend son temps pour lui ôter son corsage, puis sa jupe, sa 
combinette ; elle n’a plus que son slip et ses nu-pieds à talons. Il la pousse 
doucement vers la pièce voisine, c’est une chambre avec un grand lit. Il allume une 
lampe de chevet, s’écarte un moment d’elle et la contemple, appréciant les épaules 
bien dessinées, les seins pas très gros mais déjà lourds, avec de larges aréoles, la 
cuvette du nombril, le ventre un peu rebondi, les cuisses fuselées, les genoux bien 
polis, les mollets galbés et les fines attaches des chevilles. Il la fait se tourner 
et émet un sifflement dont elle devine que son derrière est la cause…Il admire en 
effet le contraste entre la croupe joufflue et l’étroitesse de la taille. Elle ferme 
les yeux ; elle devine aux froissements de tissu qu’il se déshabille ; puis elle le 
sent contre elle…Elle repense à la réflexion de Martine qui lui disait tout à l’heure « Je vais 
passer à la casserole », elle aussi va y passer, la virilité chaude et tendue s’appuie 
contre ses reins…Les mains de l’homme font glisser son slip un peu brusquement, au 
point de craquer l’élastique de la taille ; elle lève un pied puis l’autre pour qu’il 
l’en débarrasse. Il conserve un instant le fragile sous-vêtement en main, le porte à 
ses narines, émet un murmure approbateur 

- Hmm, j’aime ton odeur
Elle est horriblement gênée.
Toujours plaqué contre son dos, il lui ramène le visage en arrière pour un nouveau 
baiser. La langue visite sa bouche, les mains remontent des hanches jusqu’à la 
poitrine, pétrissant les seins, étirant les bouts, elle cambre ses reins contre 
l’homme. Prestement il ouvre le lit et la couche, il s’allonge contre elle, la place 
sur le dos et entame une savante découverte de son corps. La bouche de Paulo parcourt 
les seins, descend sur le nombril, remonte puis redescend plus bas ; au moment où la 
langue, se frayant un chemin dans la végétation luxuriante du pubis, pénètre dans la 
brèche odorante et atteint la crête sensible du clitoris, elle hurle 

- Ohhhh… Ouiii... .Ouiii 
Il la dévore un long moment, mêlant salive et cyprine et lorsque la sentant prête il 
lui demande si elle se donne, elle répond 
- Ouiii, prenez moi ! 

Il se hisse sur elle et se guide d’une main ; elle sent le contact du gland contre ses 
lèvres intimes, puis l’intromission…Le membre est terriblement épais, mais l’homme 
sait s’y prendre ; il force en douceur et elle sent un bref instant une sensation de 
déchirure, puis c’est comme si elle s’ouvrait tel un fruit bien mûr. Ça y est, elle 
est femme ; le membre s’introduit en elle, comme s’il mesurait des mètres et des 
mètres. La bouche de l’homme baise ses yeux, son nez, sa bouche, elle pleure et il 
goûte le sel de ses larmes. En bas, dans son ventre, il bouge, il se retire et elle 
croit que c’est déjà fini, mais il replonge, cette fois un peu plus fort et elle crie, 
bouche contre bouche ; il lui parle affectueusement, il l’appelle « petit ventre », il 
dit qu’il aime sa chaleur, sa douceur, il commence à la pilonner et elle halète. 
Pendant un long moment, il va et vient dans le ventre offert, il écarte les cuisses de 
la fille et les remonte ; elle sent qu’elle dégouline et effarée murmure :

- On va tout salir le drap… 
Il s’interrompt un bref instant et rit :

- C’est pas grave, il y a une machine à laver ! 

Il plonge à nouveau, la faisant crier à chaque fois que son gland cogne contre le col 
de la matrice.
Il la prend ainsi durant de longues minutes, d’abord doucement, ayant soin de bien 
s’enfoncer en elle, sans la brusquer, modulant la puissance de ses coups de reins 
selon le comportement de la jeune fille, attentif à ses gémissements. Au bord de la 
pâmoison, elle relève ses cuisses contre les flancs de l’homme. Celui-ci décide alors 
d’augmenter la cadence et ses allées et venues dans le ventre en fusion s’accélèrent ; 
maintenant, c’est elle qui attire son visage contre le sien, qui dévore sa bouche. 
Dans un sursaut de lucidité, elle le supplie de faire attention, elle lui dit sa peur 
de tomber enceinte ; elle est juste dans sa période d’ovulation. Il la rassure :

- Ne t’en fais pas ma chérie, on ne va pas prendre de risque…Laisse-toi 
aller, je sais m’y prendre… 
Il reprend de plus belle son pilonnage ; cette fois elle croise ses chevilles sur les 
reins de son amant et il s’enfonce de toute sa longueur dans le ventre écartelé ; il 
lui murmure :

- C’est dans ta bouche que je veux venir… 

- Oui…Ouiii, venez ..je suis à vous… 

Il se retire de l’écrin marécageux et s’allonge ; du sang macule la verge et sans 
scrupule, il s’empare de la petite culotte rose pour s’essuyer ; alors qu’elle ouvre 
la bouche pour protester, il lui prend d’autorité la nuque et l’oblige à se pencher 
sur sa virilité dressée…
Elle absorbe le gland épais tandis qu’il lui caresse les cheveux, soucieux de ne pas 
trop la brusquer. Elle s’applique et le pénis s’enfonce de plus en plus loin dans sa 
bouche. Paulo attire les corps de la jeune fille tout contre lui et pendant que sa 
main gauche ébouriffe les cheveux bouclés, sa main droite caresse les reins 
outrageusement cambrés par la position qu’il lui a fait prendre ; la faible lumière 
émanant de la lampe de chevet accentue les courbes de la croupe ainsi que le profond 
sillon qui sépare les deux hémisphères. Elle suce avec application, ses doigts fins 
enserrent la base du membre ; alors qu’elle se dit qu’il va capituler comme l’a fait 
Jean-Paul, il y a quinze jours, il interrompt la fellation et se hisse à genoux sur le 
lit, il se place derrière elle et se guidant d’une main, il la pénètre à nouveau, en levrette.
La position diffère et la percussion du gland contre son utérus est plus violente. Elle 
crie, mais il ne s’en émeut pas et commence de la marteler en cadence, sortant presque 
entièrement du vagin pour replonger tout au fond.

- Tu la sens ? Tu la sens bien ? 

- Ouii, ohh doucement… 

- Tu es très jolie, hum quelles belles fesses ! 

Disant cela il pétrit les hémisphères laiteux.
Bien vite elle connaît un nouvel orgasme et lui-même a toutes les peines du monde à se 
contrôler…Plusieurs fois il interrompt son va et vient et essaie de penser à autre 
chose, réussissant à ne pas se libérer dans la chaleur du ventre. Il se retire, 
arrachant un cri à sa victime et se penche derrière la croupe évasée. Ses dents 
mordent dans la pulpe des fesses, sa langue descend dans le sillon, parcourt 
rapidement le cratère brun, le périnée, pour atteindre la vulve…Sans cesser son 
exploration buccale, il s’allonge à nouveau et attire sa proie sur lui, à l’envers…
Elle comprend ce qu’il veut et le reprend dans sa bouche…
Il la dévore pendant qu’elle le suce ; elle ruisselle et il déguste le miel qui 
s’écoule, s’interrompant un court instant pour la questionner :

- C’est la première fois que tu fais un 69 ? 

- Oui…C’est la première fois, tout ce que vous me faites faire…C’est la première
fois…C’est trop... Ohh ouiii .

Elle le reprend dans sa bouche ; derrière, il la dévore, alternant les succions dans 
le con et le cul.
Elle sent la hampe durcir dans sa bouche et devine que cette fois l’homme va se rendre ; elle redoute le moment de la salve mais la langue diabolique qui la fouille la rend 
folle et elle reçoit le torrent crémeux au moment même où elle a l’impression que son 
ventre se vide…Elle voudrait se relever, échapper à cette invasion douçâtre, mais 
c’est plus fort qu’elle, elle avale, tout en continuant sa succion, au paroxysme de la 
jouissance, elle caresse les bourses de Paulo pendant qu’elle extrait la dernière 
goutte, le faisant crier, comme elle a fait crier Jean-Paul il y a quinze jours, tout comme elle vient de crier elle-même….
Ils restent un long moment immobiles, puis elle abandonne sa position pour se blottir 
dans ses bras, se laissant caresser les flancs, les fesses. C’est le froid qui la fait 
réagir ainsi qu’un besoin pressant…Elle lui demande où sont les toilettes et s’y rend, 
toute nue, sous le regard connaisseur de son amant.
De retour dans la chambre, lui offrant cette fois de face le spectacle de sa nudité, 
elle s’arrête au pied du lit :

- Il est presque deux heures, il va falloir que je rentre…
Elle baisse les yeux, consciente du regard scrutateur que l’homme promène sur elle ; 
allongé nu sur le lit, sa virilité encore tendue il lui dit :

- Oui, je vais te ramener chez ta sœur, mais viens encore une minute ici... Allez, 
approche ! 
Comme elle ne réagit pas assez vite à son goût, il se projète hors du lit et l’oblige 
à s’y étendre à nouveau ; elle est à plat ventre, il se penche sur la croupe laiteuse.

La bouche experte parcourt à nouveau le corps de Maryvonne, les lèvres parsèment de 
petits baisers la colonne vertébrale, descendent au creux des reins, suivent le 
profond sillon des fesses, l’entrouvrent, descendent encore. Les mains viennent 
écarter les demi-lunes ; malgré les protestations de la jeune fille, la langue descend 
encore, atteint le cratère mauve, l’humecte ; elle sent la salive couler en elle, sur 
elle…Elle proteste encore, mais plus faiblement. La langue pénètre dans le fondement 
qui se dilate ; éperdue, honteuse, Maryvonne crispe ses doigts dans l’oreiller ; Paulo 
la dévore ainsi plusieurs minutes, puis d’une savante reptation, il se hisse contre 
elle, ses doigts remontent dans le sillon, le majeur investit doucement le cratère 
liquéfié…Elle gémit :

- Oh... non, pas çà, non….

Mais l’homme n’en a cure, il pousse son avantage ; le doigt s’enfonce , la faisant se 
cambrer.

- Hmmm, on dirait que tu aimes çà !

- Arrêtez…Non…Non, je n’ai jamais….

- Oui, je sais, tu ne connais pas grand’chose, justement, tu es ici pour apprendre.

Il se penche sur elle, lui dépose des baisers sur les fesses, sa bouche remonte sur 
les hémisphères jumeaux, puis le long du dos ; la peau de la jeune fille se couvre de 
chair de poule ; il la mord doucement, là où elle est si potelée. 
L’alternance de baisers et de morsures se propage sur les épaules, se concentre sur la 
nuque. Plus bas, le doigt a repris son forage, il s’enfonce presque avec facilité dans 
l’anneau brun qui se distend peu à peu. De l’autre main, il lui maintient le buste 
plaqué sur le lit ; le doigt se dégage du fondement et il l’humecte de salive, goûtant 
au passage la saveur un peu forte des entrailles…
Il se hisse sur elle, elle supplie une dernière fois, mais intraitable, il guide son membre dans le canyon ; le mufle appuie contre les fronces bistres ; elle crie au moment où il force, elle 
hurle.

- Oh, non, non, c’est trop …. Arrêtez, ! J’ai mal… .Oh.,Non…

En pleurs, elle en appelle à Dieu, à sa mère, elle supplie son tourmenteur, elle lui 
dit qu’il va la déchirer.
Pour toute réponse, il lui redresse le buste en arrière, l’oblige à tourner la tête, 
sa bouche s’empare de la sienne après qu’il lui a murmuré

- Mais non, ma chérie, tu vas voir, tu vas aimer, tu es faite pour ça !

Et d’ajouter avec un certain cynisme :

- En plus, de ce côté-là, ça ne laisse pas de preuves, tu pourras toujours dire à ton
amoureux que tu lui as réservé ton dernier pucelage. 

Il rigole doucement et l’humiliation l’emporte chez la jeune fille ; elle se cabre 
avec une énergie qu’il n’attendait pas et parvient à le désarçonner. Son membre quitte le
sphincter sans l’avoir investi, provoquant un bruit douteux. Elle se redresse, hagarde, les 
yeux étincelants, sans se soucier de sa nudité.

- Ramenez- moi chez moi , non, laissez- moi, je vais bien me débrouiller pour rentrer, 
en stop !

Pas fou, il comprend la situation et se dit qu’il n’a pas intérêt à envenimer les 
choses
Il attrape son pantalon et l’enfile tandis qu’elle se rhabille en silence, se rendant seulement compte qu’elle a conservé ses nu-pieds durant toute leur étreinte. 
Elle enfile sa combinette, son slip souillé à l’élastique déchiré, sa jupe, son 
corsage et son gilet et passe son sac en bandoulière. 

- Pas de panique, petite, je vais te ramener chez toi

Le trajet du retour est silencieux ; elle ne dit mot, il lui demande si elle dort.

- Non, je ne pense pas pouvoir dormir

Il rit doucement

- Tu as des remords ?
- Oui…
- Tu veux qu’on se revoie ?
- Je...Je ne sais pas

Il sourit intérieurement « Si elle dit ça c’est que tout n’est pas perdu »
Il s’y connaît en femmes, le Paulo !

La DS 21 arrive à l’entrée du village ; il lui demande où il doit la déposer ; elle 
hésite, puis à contrecœur, elle indique le commerce d’épicerie, lieu de résidence de 
sa sœur ; elle croit utile de lui dire 
- Ne laissez pas le moteur tourner devant la porte.

- T’en fais pas, petite, on va s’arrêter avant.

Il arrête la voiture cent mètres avant l’épicerie, se penche sur elle ; la bouche de 
MY est odorante de leurs baisers, mais il parvient tout de même à en forcer le 
passage ; il réalise alors que lui-même doit être porteur d’arômes très forts car elle 
le repousse juste au moment où sa main descend sur le corsage de la jeune fille.

- Non, non, laissez moi, je dois rentrer

Il n’insiste pas 

- Bye, petite, si tu veux qu’on se revoie, tu sais où j’habite ; mon nom est Paul Parent, mon téléphone est dans l’annuaire.


Honteuse et fatiguée, MY descend de la voiture et se hâte vers l’épicerie de sa 
sœur, attentive à ne réveiller personne, elle cherche quelques secondes la clé dans 
son sac. 
Paulo n’a pas redémarré, il suit d’un regard acéré la silhouette de la jeune fille 
dans le halo des phares, les jolies jambes fuselées, la croupe qui ondule sous le 
kilt…

- Hmm , c’était pas mal cette pucelle, je recommencerais bien.

elianeetserge, olch, BAS2SOIE et 15 autres a liké
#2681893
Quelle deuxième récit...... même si le côté "trop viril" de la fin me plait moins. Ca me parait bien réel quand on sait que beaucoup d'hommes se sentaient, à l'époque, autoriser à faire ce qui leur plaisaient sans se préoccuper de l'avis des femmes.
kykykokin a liké
#2682747
voici la suite de cette première "initiatique" Paulo le bellâtre quadragénaire vient de déposer MY à son domicile, tard dans la nuit.
Il est reparti en se félicitant de cette conquête facile.

MY a ouvert la porte d’entrée sur le côté de la maison et monte à pas de loup 
l’escalier.
Elle s’enferme à la salle de bain, se déshabille, lave son slip dans le lavabo et le 
met à sécher sur la corde à linge ; demain, elle le mettra dans les chiffons. Puis 
elle fait couler à petit filet de l’eau dans le bidet, s’y assied en grimaçant. 
Son petit trou maltraité apprécie l’effet apaisant de l’eau tiède et savonneuse. 
Surtout ne pas faire de bruit, c’est pas le moment que Ghislaine, sa sœur, se réveille 
et la trouve dans cette situation inhabituelle. Elle décide de ne pas prendre une 
douche qui serait trop bruyante et se lave le corps dans l’eau du lavabo ; elle se 
sèche et trouve la boîte de crème Nivea dans le placard, elle s’en applique une noix 
sur l’orée de ses reins, tandis que défilent dans sa tête les images de cette soirée 
mouvementée. Elle passe une chemise de nuit en coton et dans l’obscurité revenue, elle 
gagne sa chambre. Contrairement à ce qu’elle pensait, elle s’endort.
C’est le grand soleil qui la réveille au petit matin ; elle avait omis de fermer ses 
volets avant de partir ; ébouriffée, la bouche pâteuse, elle se lève, façon 
somnambule, se hâte de fermer les persiennes et de regagner son lit ; il n’est que six 
heures trente et elle ne travaille pas, alors, dodo !


Il est onze heures lorsque Ghislaine, sa sœur, pointe son visage dans l’ouverture de 
la porte.


- Il est onze heures, allez debout ! Martine vient d’appeler au téléphone, il faut que 
tu la rappelles…Au fait ce n’est pas elle qui t’a ramenée cette nuit ? 


- Heu…


- Tu te fais raccompagner en DS…On ne se refuse rien, ma chère !

MY devine que sa sœur a assisté à son retour.


- Tu me surveilles ?


- Non, je m’étais levée pour faire pipi quand tu es arrivée ; qui était-ce ?


- Quelqu’un que tu ne connais pas, j’ai dansé avec lui et comme Martine était avec son 
gars, j’ai accepté quand il m’a proposé de me ramener.


- Il ne t’a proposé que ça ?


- Tu es bien curieuse !


- Je te rappelle que tu es ma sœur, que tu n’es pas majeure et que les parents t’ont 
placée sous ma responsabilité ! Tu auras l’air maligne quand tu annonceras à la mère 
que tu es enceinte !


- Qui te dit que…


- Taratata ! Tu as mis bien du temps à faire ta toilette, avant de te coucher, je t’ai 
bien entendue, en plus, tu as laissé traîner la boîte de Nivéa .
-Et l’élastique de ton 
slip qui est déchiré c’est sûrement en l’enlevant pour pisser ? Qui c’est ce type ?


Peu avide de discussion, MY élude


- Il m’a fait danser, il habite près de Besançon, il dirige une petite usine, mais je…


- Et il s’est bien amusé avec une jeunette, il a quel âge ?


- Je... Je sais pas, trente-cinq ans…Peut-être un peu plus.


- Bravo ! Et Jean-Paul, tu vas lui annoncer ça comment ?


- Ne t’occupe pas de Jean-Paul et laisse moi débrouiller mes affaires toute seule


- Je te préviens que si tu tombes enceinte, ça va barder !


- Pourquoi quand tu t’es fait engrosser par Jeannot, ça a bardé ?
Paf! 

La gifle est partie sèchement, lui marquant instantanément de rouge la pommette .

-Petite garce !


L’allusion à la mésaventure survenue à Ghislaine trois ans plus tôt a porté. La sœur 
aînée qui fréquentait son Jeannot s’est retrouvée un beau matin avec des nausées, pour 
découvrir qu’elle était grosse de deux mois et demi ; elle n’avait pas pris garde à 
l’absence de ses règles ; heureusement Jeannot qui reprenait la suite de son père dans 
l’épicerie familiale, avait régularisé et le mariage était venu remettre tout en 
ordre.
Pour l’instant, l’heure semble être au règlement de compte entre les deux sœurs. C’est 
à ce moment que sonne le téléphone, Ghislaine va répondre et se tourne vers elle , de mauvaise grâce .
- C’est Martine


MY descend et s’empare du combiné


- Salut…Oui à deux heures je pense…Oui je te raconterai, mais je ne vais pas sortir 
longtemps cet après-midi, il y a de l’orage dans l’air avec ma sœur ; oui c’est ça on 
se retrouve au foyer.


La conversation a été brève, ce n’est pas le moment de passer des heures au téléphone.
Elle remonte prestement à l’étage, prépare un pantalon , un chandail, un soutien-gorge 
et un slip et s’enferme dans la salle de bain.
Une fois prête elle descend à l’épicerie et propose ses services à sa sœur pour faire 
le ménage avant la fermeture. Bien lui en prend car Ghislaine se radoucit et s’adresse 
à elle pendant qu’elle passe la serpillière :


- Désolée pour la baffe, c’est parti tout seul

-
C’est pas grave. 

Elle se masse machinalement la joue. Ghislaine croit bon de renchérir


- Tu sais, il faut faire attention ! Il t’a dépucelée ?


- Oui…

Il y a eu un temps d’hésitation, puis


- Pour Jean-Paul, je vais lui écrire, la vérité…


- Et l’autre, tu vas le revoir ?


- Je sais pas…Ça dépendra de Jean-Paul.


- Tu es quand même gonflée, te faire sauter dès le premier soir par un type qui 
pourrait être ton père
!

- Il a fait attention…


- Tu as beaucoup saigné ?


- Non…Je ne crois pas, enfin un peu quand même


- Il va falloir que tu te tiennes à carreau un moment ma petite


- Oui…


L’arrivée de Jeannot qui vient faire la caisse interrompt le dialogue, c'est 
l’heure de passer à table. Le repas est vite expédié ; l’après-midi, Jeannot a prévu 
d’aller à la pêche après la sieste et Ghislaine va emmener sa fille chez Mamy pour la 
traditionnelle visite dominicale. Finalement ça laisse à MY plus de temps libre 
que prévu

Elle se brosse les dents, se change, elle quitte pantalon, chandail et soutien-gorge, 
elle ne conserve que son slip blanc en coton et passe une robe-chemisier qui s’arrête 
à mi-cuisses, en acétate imprimé de losanges bruns sur fond jaune, fermée sur le 
devant par huit boutons, chausse ses nu-pieds blancs à petits talons. Le temps se 
couvre et elle endosse un imper en popeline bleu marine, lui aussi très court, sans le 
boutonner.
S’efforçant de passer inaperçue, elle quitte la maison et se dirige vers le foyer 
rural, lieu de rencontre des jeunes du village… Il n’est que 14 heures, mais déjà les 
mobylettes vrombissent sur la place, des garçons bruyants sont attroupés devant la 
porte encore close du foyer. Elle fait la moue en constatant que Martine n’est pas 
arrivée ; elle n’a pas envie de discuter avec les autres ; elle pense à Jean-Paul ; 
s’il était là, rien ne se serait passé.
 C’est à cet instant qu’elle aperçoit la DS 21 au fond de la place, garée sous un 
arbre. Elle se sent pâlir, ses jambes flageolent et Martine qui n’arrive pas !
Les phares obliques de la DS lancent un éclair, elle comprend que c’est pour elle ; 
elle a peur qu’on la voie, mais se dirige quand-même vers la voiture. La vitre teintée 
s’abaisse, Paulo est seul à bord, vêtu d’une chemise Lacoste et d’un pantalon noirs.


- Bonjour, petite, bien dormi ? Je savais que je te retrouverais ici…


- Vous en savez, des choses !


- Pas assez encore, mais j’apprends vite ! Tu montes un instant ?


- Si vous voulez…

Elle aurait voulu dire non et s’en veut déjà de capituler si vite ; elle s’installe 
sur le siège passager tenant vainement d’empêcher sa robe de remonter sur ses cuisses.


- J’ai rendez-vous avec Martine, ma copine d’hier soir, elle…


- Elle attendra, il est à peine deux heures, ça nous laisse le temps de discuter ; tu 
me fais visiter un peu les environs ?
Disant cela, il actionne le petit levier des 
vitesses au-dessus du volant qui sert également de démarreur sur les DS. Le moteur 
ronronne doucement. Sans avoir laissé à la jeune fille le temps de donner son avis, il 
démarre.

La voiture roule doucement, quitte le village.


- C’est par ici que tu viens de promener avec ton amoureux ?


- Oui, avec sa 2Cv, ça passe mais avec votre belle voiture, je sais pas, le chemin est 
en mauvais état…

- T’en fais pas, si ça coince, je mettrai en position haute, ça passera sans problème.

Elle renonce à parler mécanique. La voiture ralentit alors que le goudron cède la 
place chemin empierré. Paulo passe de troisième en seconde et sa main quitte le volant 
pour se poser sur le genou de la jeune fille.


- Alors c’est par ici que tu viens faire des câlins ?


- Oui, quand il fait beau et s’il n’y a personne qui se promène.


- Alors, aujourd’hui c’est le temps idéal, il va pleuvoir dans une demi-heure, on a 
juste le temps de se dégourdir les jambes ; il engage la voiture dans un chemin sous 
les frondaisons ; sa main remonte sur la cuisse. Elle lui demande d’être sage, mais il 
n’en tient pas compte, arrête le véhicule et se penche sur elle. L’avantage de la DS 
c’est qu’il n’y a aucun levier de vitesse ou autre accessoire pour encombrer le 
plancher et le passage d’un siège à l’autre est des plus aisés. Il caresse la cuisse 
tiède, puis sa main actionne le levier de la portière côté passager…Elle descend du 
véhicule et il la suit de près.

Ils ont à peine fait quelques pas qu’il l’arrête et le tient face à lui ; elle baisse 
les yeux et n’oppose aucune résistance quand le visage de Paulo s’approche, ni quand 
sa bouche s’empare de la sienne. Le baiser est tout aussi torride que ceux d’hier 
soir. Elle noue ses mains sur la nuque virile ; les mains de l’homme passent sous 
l’imper, caressent son dos, descendent sur ses reins ; les doigts experts suivent le 
relief que fait la ceinture élastique du slip sous le fin tissu de la robe, descendent 
sur les globes fessiers. Elle voudrait dire non, mais la langue qui visite sa bouche, 
ses dents, son palais, la fait suffoquer. Les salives se mélangent, la main droite 
pétrit sa croupe alors que la gauche revient sur le devant et déboutonne la robe.

Il interrompt le baiser pour la contempler. Il se régale du spectacle qu’elle lui 
offre, femme-enfant, coupe de cheveux à la garçonne, yeux bruns candides, et plus bas 
des seins en poires aux aréoles surdimensionnées, le ventre adorable avec ce nombril 
enfoui dans une profonde cuvette, l’abdomen rebondi qui tend le coton blanc du slip 
par les côtés duquel s’échappent quelques poils bruns.

- Ôte ta culotte !

Elle a un temps d’hésitation, mais le regard acéré qui la scrute a raison de sa 
résistance ; elle fait doucement glisser le coton blanc, dévoilant le ventre puis le 
pubis fourni. Il insiste :


- Ôte la et donne-la-moi-la-moi !


- Vous êtes collectionneur de petites culottes ?


- C’est surtout ce qu’il y a dedans qui m’intéresse ! Ôte la !


Elle obéit, la culotte descend sur les cuisses fuselées, les genoux, elle lève un pied 
puis l’autre pour se débarrasser du dernier rempart de sa féminité ; penaude elle lui 
tend le slip. Il s’en saisit, le retourne, le hume. Comme il sourit en examinant le 
fond, elle croit bon de préciser :


- Je…J’ai dû mettre de la crème Nivéa, derrière…Elle est rouge de confusion.


- Tu as mal ?


- Oui, un peu…


- Je serai patient…

Il glisse le slip dans sa poche et s’approche d’elle ; leurs bouches se joignent à 
nouveau, elle se blottit contre lui. La main droite de Paulo la serre, la gauche 
descend sur le ventre, cherche l’entrée, caresse les lèvres ; un doigt pénètre, elle 
gémit. Alors il la dépouille de l’imperméable puis de la robe ; elle est toute nue au milieu de la 
clairière, presque à l’endroit même où elle est venue avec Jean-Paul. C’est à ce 
moment que tombent les premières gouttes de pluie annoncées par la météo.

- Viens, on va se mettre à l’abri.

Il se saisit de ses vêtements tombés à terre et l’entraîne vers la DS. Les gouttes de 
pluie grossissent et MY se laisse allonger sur la banquette arrière de la 
voiture. Paulo referme la portière et tendant le bras entre les deux dossiers des 
sièges avant, ouvre la boîte à gant. Il tient un petit étui en celluloïd et en extrait 
une sorte de noyau verdâtre et translucide.


- Tiens, mets ça dans ton vagin ; c’est une gélule de Synthol ; c’est un désinfectant 
et ça sert aussi de contraception locale.


Elle n’a pas le temps de répondre, il reprend sa bouche et c’est lui qui enfonce la 
gélule dans le ventre, lui murmurant :


- J’ai envie de t’aimer sans retenue, comme ça, tu ne risqueras rien.

 Éperdue, elle lui caresse les cheveux amoureusement.


- Vous êtes fou et vous me rendez folle…


- Attends, ce n’est qu’un début !

Les doigts reprennent leur exploration, deux d’entre eux s’enfoncent dans le vagin où 
la gélule est en train de fondre ; l’index ressort du cloaque et remonte jusqu’au 
clitoris qu’il décapuchonne, la faisant se cabrer. La caresse s’accentue, elle halète, 
gémit, le supplie d’arrêter. Il s’en garde bien et continue en même temps que sa 
bouche vient réduire au silence celle de sa petite prisonnière.
Elle songe un bref instant qu’elle va à nouveau tromper Jean-Paul, au moment même où 
Paulo se redresse, quitte sa chemise et déboucle la ceinture de son pantalon ; dessous 
il ne porte rien, elle entrevoit un court instant la verge tendue, couronnée d’un 
épais gland violet. Il lui écarte les cuisses et son visage plonge dans la fourche, 
elle sent le contact de la bouche contre son intimité, de la langue qui la visite et 
remplace les doigts sur le clitoris à vif. Elle crie, elle le supplie encore 
d’arrêter, elle sent que son ventre se liquéfie. Il lui relève les cuisses en arrière 
et sa langue s’enfonce dans le vagin ; mais il s’interrompt et se redresse, barbouillé 
de sécrétions, rigolard :


- Pas très bon le Synthol !


Il se hisse entre les cuisses ouvertes, se guide d’une main ; elle sent le gland 
contre son ouverture. Il tâtonne à peine et s’enfonce d’un trait en elle, la faisant 
hurler.

Très rapidement il s’installe en elle, alors que dehors les éléments se déchaînent. 
D’énormes gouttes martèlent le toit de la voiture dont les vitres s’embrument de buée. 
MY crie sans discontinuer pendant de longues minutes sous les assauts de Paulo. La 
verge dure et épaisse envahit son ventre ; il lui relève les cuisses pour 
mieux la pilonner, se penche sur elle pour cueillir sur ses lèvres le souffle chaud de 
sa jouissance. Elle crispe ses doigts sur les flancs de l’homme et lui griffe la peau. 
Il exulte.


- Tu aimes ça, hein, petite chatte ?


- Oui, j’aime, oooh oui, encore !


Il sort un bref instant du ventre en chaleur pour s’y enfoncer à nouveau en force


- Tiens, prends ! Tu aimes ? Dis le !


- Ouiii, j’aime, oui, prenez moi encore, inondez moi !


- Je veux ton cul !


- Non... Non ! Je veux que Jean-Paul soit le premier à me prendre comme ça…S’il veut
 encore de moi.

Il interrompt ses allées et venues et la questionne


- Tu vas lui dire que tu l’as trompé ?`

- Oui, je vais lui écrire demain, de toute façon, il se rendra bien compte que je ne 
suis plus vierge.


- Tu regrettes ?


- Oui, enfin, non, je ne sais pas ; tout s’est passé tellement vite avec vous…


Il reprend ses allées et venues dans le ventre qui se fait de plus en plus accueillant ; elle hisse son visage vers le sien pour que leurs lèvres se joignent ; bouche contre bouche elle murmure :


- J’ai honte, mais j’aime ce que vous me faites, vous me rendez folle !


Subjugué par cet aveu, il lui relève les cuisses encore plus haut, les lui ramenant 
contre ses propres épaules et se rue en elle. En même temps sa main gauche passe sous 
les reins, son majeur s’insère dans le sillon fessier, arrive au contact de l’anneau étoilé et s’y enfonce.
Je veux que tu te donnes à moi par là, quand tu l’auras fait avec ton fiancé…


- Oui, je me donnerai…


- Tu me donneras quoi ? Dis le !


Il la besogne de plus en plus fort…
Entre deux gémissements, d’une voix hachée, elle lui dit ce qu’il veut entendre :


- Oui…Oui, je vous donnerai mon derrière…


- Ça s’appelle autrement !


- Je…Je vous donnerai mon cul…


Elle est au bord de la pâmoison, ses joues passent au rouge, ses yeux chavirent, elle 
découvre l’orgasme dans toute sa splendeur. Au moment où elle hurle, il laisse aller 
les vannes de sa propre libido et elle reçoit en elle la bouillante invasion de sa 
semence. Une salve, puis une deuxième, une troisième viennent s’écraser au plus 
profond d’elle-même.
Paulo jouit en ahanant, à chaque décharge, il lui assène de violents coups de boutoir, 
accompagnant son éjaculation de mots d’une crudité inouïe.


- Tiens, prends ! Prends mon jus…Tu aimes ? Tu aimes petite pute ?


- Ouiiii, oui j’aime, ohh c’est chaud !


Elle hisse à nouveau son visage vers lui, leurs bouches se joignent, leurs langues se 
mélangent.

Il est sorti de son ventre et a extirpé de la contre-porte une boîte de Kleenex ; 
c’est lui qui a épongé les sécrétions diverses sur le cuir de la banquette ; elle est 
sur le flanc, en chien de fusil, le visage caché dans son bras replié, encore 
haletante. Comme il lui caresse la hanche, elle se redresse et se saisit de sa robe 
qu’elle enfile à la hâte ; elle dépose un bisou furtif sur les lèvres de son amant :


- J’ai envie de faire pipi…


Comme il pleut toujours, elle pose son imper sur ses épaules, sort de la voiture et ne 
jugeant pas utile de s’éloigner, s’accroupit dans l’herbe, tout près de la voiture, 
soulageant sa vessie dans un long jet doré. Il se penche et lui propose un Kleenex


- Oui, je veux bien, merci…


Sans se soucier de sa nudité, il sort de la voiture et lui tend le mouchoir en papier.

MY termine sa miction et s’essuie , consciente du regard de l’homme sur elle ; 
elle lève le visage et cille sous la lumière d’un flash. Il vient de la prendre en 
photo !
Il tient en main un minuscule appareil Rollei et croit bon d’expliquer :


- Très pratique ces petits appareils : ça tient dans la main et ça fait des belles 
photos, tu verras…


Elle se redresse, écarlate


- Vous allez les faire développer ?


- Bien sûr, mais sois tranquille, c’est un photographe qui travaille pour moi, il 
développe mes photos de chantier, ça va le changer un peu des cuisines et des salles 
de bain ; rassure toi, il est discret.

 Elle a ramené sur sa nudité les pans de sa robe et de son imper.


- Allez, ouvre, montre moi tout ça, que je fasse de belles images


- Non, non, je veux pas…


- Allez, juste le haut…

Honteuse d’être si complaisante, elle écarte le haut de ses vêtements, dénudant ses 
seins aux aréoles gonflées…
Le flash crépite encore deux fois avant qu’elle reboutonne sa robe.
Comme elle se penche vers la banquette pour récupérer sa culotte, il l’arrête :



- Tt, tt , non… .Je la garde, j’ai tout prévu !


Il ouvre la portière avant et sort de la boîte à gants un étui rose en carton portant 
la marque Rosy.

-
Tiens, déballe, c’est pour toi, j’ai obligé une amie qui tient une boutique de 
lingerie à ouvrir ce matin …


Les doigts tremblants, elle ouvre le paquet pour y trouver un slip noir en dentelle.


- Passe le, c’est sûrement la bonne taille, c’est du 38.


Dépassée par les événements, elle déplie le nylon…Le devant est un triangle en 
dentelle, un cordon élastique festonné court sur les hanches et le derrière est en 
tulle transparent…
Elle enfile le slip et s’offre à son regard ; le devant, très échancré, laisse 
échapper sur les côtés les poils frisés du pubis ; il lui demande de pivoter et de se 
retrousser. Elle le fait , remontant la robe et l’imper au-dessus de ses reins. Il 
contemple avidement la mappemonde blanche, le sillon crûment révélé par le fin voile. 
Le flash illumine la scène tandis qu’elle proteste :


- Vous allez montrer ces photos à qui ?


- N’aie pas peur, on avisera quand elles seront développées, tu seras la première à 
les voir.


- Et qui d’autre ?


- Pas de panique, j’aime la discrétion et si je les montre, ce sera à des connaisseurs !


La pluie a cessé ; elle regarde sa montre ; il est quinze heures…Que d’émotions en une 
heure !
Elle lui demande de la ramener au foyer rural ; il enfile rapidement ses vêtements 
alors qu’elle prend place sur le siège avant. 
Il roule doucement sur la petite route qui mène au village et lui parle.
Elle apprend qu’il dirige une société d’agencement et qu’il doit partir pour plus 
d’un mois, à Paris, pour deux gros chantiers, un appartement et un magasin, qu’il ne 
la reverra pas, qu’elle va lui manquer.

-
Je passerai peut-être mardi acheter des croissants, c’est sur ma route.


- Si vous voulez… 

Elle lui demande de la déposer à l’écart ; ils se séparent après un rapide baiser.
 Martine sort à l’instant même de la salle du foyer où elle s’était abritée de la 
pluie, malgré le tintamarre du juke-box et du baby-foot autour duquel s’escriment 
quelques garçons braillards. 
Elle vient à sa rencontre, alors que la DS s’éloigne.


- Eh ben ma cocotte, c’est du flirt çà !

Elle fait la bise à la brunette ; elle s’éloignent à l’écart du bâtiment


- Oh, tais toi…Je ne réalise toujours pas ce qui m’arrive !


- Tu as couché avec lui ?


- Oui, cette nuit et on a recommencé dans la voiture, tout à l’heure. Je vais être 
obligée de tout avouer à Jean-Paul…


- Pourquoi ? C’est peut-être pas la peine de te compliquer la vie ?


- C’est que…Je ne te l’ai pas dit, mais avec Jean-Paul, on n’a jamais, jamais été jusqu’au 
bout, juste des caresses au lit et il a eu ma bouche, mais pas plus. Avec lui là, Paul, c’était la première fois que je…


- Tu veux dire que tu avais encore ton pucelage ?


- Oui..


- Aïe !


- Comme tu dis ! Je vais lui écrire demain, on verra bien…


- Eh ben ma cocotte, je voudrais pas être à ta place ; tu as aimé au moins ? Oui, si 
tu as remis ça aujourd’hui, c’est que tu as aimé et lui aussi, apparemment !


- Oui, j’ai aimé, c’est ça le pire !


La rouquine s’inquiète

- Vous êtes allés « jusqu’au bout » ?

-
Hier soir , chez lui, il a fini, heu…Dans ma bouche et tout à l’heure, dans sa 
voiture, il m’a fait prendre des précautions, une gélule de Synthol dans le vagin ; il dit que ça protège ; surtout que je suis en pleine période critique !


- Moi aussi, mais cette nuit, avec mon amoureux, on a fait « autrement ».


- Autrement ?


- Oui, il m’a « fait ça » par derrière ; j’ai trouvé ça bien, mais je te dis pas 
l’état des draps, j’étais gênée, si tu savais !


- Moi, il a voulu me prendre comme ça hier soir, mais j’ai pas laissé faire et je me 
dis que si Jean-Paul veut encore de moi, je me donnerai à lui de cette façon.


- Et dans la voiture, c’était bien ?


- Oui, je crois que j’ai joui encore plus que cette nuit ! Il a gardé ma culotte en 
trophée et il avait prévu son coup : il m’en a offert une autre à la place


- Montre !


MY s’assure que personne ne peut les voir et ouvrant son imper, elle se retrousse 
 jusqu’à la taille, révélant à sa copine le sous-vêtement noir.
- Wouah… ! Un string ! Tourne toi…pfff, avec le popotin que tu as, c’est fou l’effet ! 
Si j’étais un gars, je te sauterais dessus !


Elles rient, Martine poursuit :


- Tu vas le revoir ?


- Je sais pas, il part en déplacement à Paris, plus d’un mois, d’ici là, Jean-Paul 
sera revenu en permission, enfin j’espère. Bon c’est pas tout çà, il va falloir que je 
rentre, si je veux faire ma toilette, il vaut mieux que ma sœur ne soit pas là et ce 
soir, je vais au dodo de bonne heure !


- Je te raccompagne ; tu veux qu’on aille danser dimanche prochain ?


- Je sais pas, on verra, téléphone moi.



à suivre
jupe plissée flou.jpg
18A flou.jpg
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#2683057
Loulou6369 a écrit :Vivement la suite !


La dernière partie de cette suite est en cours d'achèvement; ça ne devrait pas tarder, mais le premier volet de nos aventures , à savoir notre première rencontre trioliste avec un homme, a été publié avant cette suite. "Nos aventures triolistes-candaulistes" , à lire aussi.
#2722163
Merci Beryv pour votre récit long . Avec de nombreux détails: foyer rural, bals du samedi soir avec le tampon encreur pour ceux qui allaient se "promener" , fille en sandales blanches à petits talons. Tout cela me rappelle ma jeunesse à la campagne en Saöne et Loire . Vous m'avez beaucoup excité par ces souvenirs. Il faudrait que j'en parle à ma grande soeur qui connaissait beaucoup de garçons dans ces bals de campagne où nous allions ensemble. Sa préoccupation était de ne pas tomber enceinte, elle me disait des "trucs" à ce sujet. Oui, les petites sandales blanches et les premiers vernis à ongle sur les orteils...
Continuez , s'il vous plait j'attends la suite pour ....
sergio a liké

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