©FORUM CANDAU - N'oubliez pas de liker !
A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
par etalon05
#300
Nous venions de nous partager Nelly dans cette dchambre d'hôtel, c'était bien mais ça manquait tout de même de piment, heureusement que...
La sonnette d'entrée de la chambre annonçait la cerise sur le gâteau...

Je passe une serviette autour de la taille et je vais ouvrir. C’est bien lui, pile comme je lui avais demandé en allant acheter la bouteille de champagne.

Lui c’est Martin, le bagagiste noir de l’hôtel. Il n’est pas grand, même petit mais il est très gros, la soixantaine il transpire tout le temps, il a le crâne rasé mais il a une particularité, ici à l’hôtel ses collègues l’appellent « Calibre 30 ».

Il me précède dans la chambre et s’approche du lit où tu es assis à côté de cette fourre bites. Elle est toujours étendue, les yeux masqués par le bandeau. Le gros vicelard regarde la scène et s’éclate de rire en laissant découvrir dans sa grosse bouche une denture clairsemée.
« J’aime pas les putains de bourgeoises comme toi sale blanche, il n’y a que les baiser qui me plais, tu vas voir qui est le maître et qui est l’esclave ».

Elle comprend à l’accent de Martin qu’il s’agit d’un négro, elle n’en n’a jamais connu.

La brute ôte sa chemise et dévoile un ventre gras, une panse ballotant de droite à gauche quand il marche. Il descend son pantalon et là, tous les deux nous restons éberlués, ce n’est pas un sexe qui lui pend entre les jambes, ça ressemble plus à une trompe énorme. Je comprends mieux ce que veux dire « Calibre 30 ».
Il se place au bout du lit face à Isa et lui enjoint « Ecarte tes cuisses grosse vache, c’est vrai que t’es bien foutue trou à bites ». Du revers et de la paume de la main droite il lui claque l’intérieur des cuisses pour qu’elle exécute l’ordre qu’il vient de lui donner.

De ses deux mains il agrippe son gourdin et le masse lentement, il le dépose sur le ventre de sa proie qui peut alors jauger la grandeur et l’épaisseur de ce lourd engin. Il promène son arme redoutable sur le pubis, descend titiller le clito. De ses index et majeurs de ses deux mains grasses il écarte les lèvres roses du sexe de Nelly et de ses doigts il écarte les chairs bien larges. Il ressort ses doigts trempés par ton sperme qui s’écoule toujours en elle. « Alors les blancos vous l’avez déjà bien graissée et huilée, ça va me faciliter la tâche » Il se penche devant le sexe ouvert et envoie un cracha dans la grotte trempée en disant : « rituel ». Puis il éclate de rire.
La salope a la bouche crispée, elle redoute le pire.

Et le pire arrive peu à peu.

Le gros puant et ruisselant saisi sa queue de ses deux mains et guide l’énorme gland à l’entrée de la chatte ruisselante, doucement il introduit peu à peu cette massue ébène, il va et vient introduisant un peu plus à chaque fois.

La moitié doit être dedans maintenant.

Il marque un arrêt et dans un grand « han » rauque il bourre son engin tout entier jusqu’au fond de sa soumise en l’a tirant vers lui par les hanches. Elle pousse un cri de douleur et agite sa tête de droite à gauche.

Le gros noir commence alors à la buriner en cadence, ces grosses couilles viennent taper entre le sexe et l’anus de la putain qui gémit et de douleur et de plaisir qui commencent à l’envahir.

Le gros installé il couche son énorme panse sur le corps de Nelly et s’appuie sur ses avant bras. Il lui mordille les tétons de sa grosse bouche puant le mauvais alcool, lui administre des claques sur les seins et la défonce tellement que tout le lit en tremble, nous sommes tous les deux les yeux écarquillés par ce spectacle. Le gros porc se relève sur les genoux, sa sueur âcre ruisselle sur la pouffiasse qui peut enfin respirer normalement.

Martin se retire d’un coup et nous ordonne : Prenez-la sous les genoux et ramenez ses jambes le long de son corps, écartez la au maximum. Ainsi relevée, elle offre son anus de putain à soldats au regard du black dont la queue ressortie est couverte d’une espèce de mousse blanchâtre.

Il enduit son pouce droit de ce liquide gras et le plante dans l’anus de la blanche qui se contracte face à la surprise.
Elle comprend et tente de se détendre tandis que l’autre fait tourner son doigt en décrivant des cercles de plus en plus larges dans l’anus qui peu à peu se dilate.

Il reprend sa grosse bitte gluante et l’approche de l’intimité de son esclave. Peu à peu il pénètre son gros dard qui entre difficilement dans l’orifice.

Sous la douleur elle me pince le bras, le gros puant lui administre une claque sur ses grosses fesses blanches contrastant fortement avec la couleur noire de son assaillant.

Une seconde claque s’écrase sur l’autre fesse, il rit et commence à la bourriner. Elle agite de plus en plus la tête de droite à gauche et hurle de mal. Tout en la défonçant, le gros lui a posé son pouce sur le clito qu’il écrase, malaxe, presse, agite.

Elle ne tient plus, elle se cambre et dans un râle profond elle se met à jouir intensément, je ne l’ai jamais vu prendre un tel pieds cette cochonne. Martin sort de l’orifice et vient se placer à califourchon sur le ventre de Nelly, il place son gros mandrin entre les seins de la grosse salope, il les presse de manière à se branler entre les nichons. Après un moment il lui ordonne : « ouvre ta bouche de sale pute ». Comme elle n’obtempère pas assez vite, il lui saisit le menton et ouvre de force la bouche de la grognasse il approche son pieu à cinq centimètres des lèvres entr’ouvertes et décharge un premier jet qui file droit dans la gorge de la pouffe qui manque de s’étrangler.

Il recule un peu et envoie une deuxième giclée sur les seins blancs et laiteux dont les bouts sont rougis et tendus par les assauts qu’ils ont subis.

Puis serrant sa grosse queue il recule encore et déverse un troisième service sur le bas-ventre.

Le sperme coule lentement vers les lèvres rouges et meurtries et va se mêler aux autres liquides perlant sur les bords de la chatte déchirée pour finir entre les raies du gros cul de ta salope.


Le noir s’empare du string de Nelly et s’essuie le front avec, puis il saisit le soutien et se frotte le torse trempé et nettoie son monstrueux engin ramolli. Ensuite il jette au visage de sa victime les sous-vêtements souillés.

« Voilà blanche truie, t’as plus qu’à te laver espèce de souillure pourrie ».

Il se rhabille, sort son téléphone portable de sa poche, l’amène à hauteur du sexe gluant et fait une photo. « Voilà pour mes trophées une grosse salope de bourgeoise blanche, Calibre 30 a encore bien frappé ». Il rit , nous salue et s’en va.

Tu enlèves le bandeau des yeux de la chienne et tu lui ordonnes « T’as entendu ce qu’il a dit, tu files te laver, t’avais pas assez avec nous putain, t’as été servie, fout le camp à la salle de bain puis tu nous rejoins au resto de l’hôtel, c’est moi qui régale ». Et moi d’ajouter : « Surtout tu mets ces sous-vêtements à la poubelle et tu viens la-bas nue sous ta robe ».


Nous sommes installés à table, elle vient vers nous, les yeux baissés, honteuse, habillée de sa simple robe, s’approche de toi et te dit « pardon, j’ai justement été punie pour avoir cédé aux avances d’un premier venu, j’ai mérité cette correction ».

Notre boutique candauliste 100% sécurisée