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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

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Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
par BeVony
#2693092
Ce texte a été écrit par M Koppera , après un contact et quelques échanges .

In vino veritas

- Maryvonne, le patron veut que tu passes à son bureau !
- Mais pourquoi ?
- Je n'en sais rien, il a juste dit qu'il désirait te parler, ce soir, à la débauche...
L'annonce de cette convocation inattendue lui gâcha l'après-midi. Depuis toujours Maryvonne détestait le cérémonial des entretiens avec la hiérarchie : trop de politesse exagérée, de phrases convenues, de sous-entendus et de silences encore plus dérangeants que les mots. Heureusement, à cette période de l'année, les clients ne se bousculaient pas au rayon vins de l'hypermarché, si bien que Maryvonne passa le plus clair de son temps dans les réserves à faire du rangement dans les stocks et à vérifier des bordereaux de livraison.
- Bonsoir madame, je vous attendais... Asseyez-vous !
Le ton était enjoué, presque familier. Maryvonne était néanmoins sur ses gardes. Le directeur ouvrit un dossier posé sur son bureau et en sortit une feuille qu'il relut avec attention.
- Je vous explique : comme vous le savez, notre enseigne compte parmi les plus grands distributeurs de vins de Bordeaux en grande surface. Aussi, cette année, le Syndicat Interprofessionnel des Vins du Bordelais a décidé de récompenser les deux magasins les plus performants de notre groupe : le premier implanté en Normandie, à Caen pour être précis, et ne nôtre... J'ai donc le plaisir de vous annoncer que je vous ai désignée pour recevoir cette distinction en notre nom à tous... Concrètement, vous êtes invitée à un séjour d'une semaine tous frais payés dans le Bordelais. Ce séjour comprend le billet d'avion, les frais de transport et d'hébergement sur place, des visites de grands domaines et dégustations, la découverte de la région... Votre voyage est programmé pour la fin septembre et votre pied à terre sera un grand hôtel du centre de Bordeaux. Qu'est-ce que vous en pensez ?
- J'en suis flattée, Monsieur le Directeur... Juste une question : ce séjour est-il prévu pour une ou deux personnes ?
- Sur le document qui m'a été communiqué, il n'est pas envisagé que vous soyez accompagnée. Voilà, je crois vous avoir tout dit. Vous passerez à la comptabilité pour retirer votre billet d'avion. Je n'ai plus qu'à vous souhaiter un bon séjour au bord de l'Atlantique et d'y représenter dignement notre entreprise et évidemment la Bourgogne...

Le soir même, de retour à la maison, Maryvonne annonça la nouvelle à Jean-Paul, son mari qui la félicita chaleureusement et ne put s'empêcher de la taquiner.
- Seule en terre inconnue ! Tu ne crains pas de faire de mauvaises rencontres ?
- Qu'est-ce que tu veux qu'il m'arrive ! Ce n'est pas cinquante ans passés que je vais commencer à avoir peur !
- Je ne te parle pas d'avoir peur ! Je pensais que tu pourrais croiser un homme séduisant, beau parleur et bien membré...
- Ne dis pas de bêtises !
- N'empêche, pense à emporter de la lingerie dans ta valise, on ne sait jamais.
Dans la chaleur du lit, Jen-Paul revint à la charge. Il était en train de caresser les gros seins de Maryvonne. Elle lui tournait le dos et sentait contre ses fesses sa bite déjà dure. Il lui parla tout bas à l'oreille.
- Peut-être qu'il te caresserait mieux que moi, qu'il te ferait découvrir de nouvelles sensations, qu'il t'apprendrait des trucs bien cochons...
Maryvonne ne répondit rien. Elle se contenta de se cambrer un peu, de façon à accentuer la pression de la queue de Jen-Paul plaquée contre la raie de ses fesses. Il lui sembla qu'il bandait de plus en plus fort. Elle écarta légèrement les cuisses et, presque naturellement, la bite familière de Jean-Paul se faufila dans la brèche entrouverte et s'enfonça d'une seule poussée dans sa fente humide et grasse. Elle s'étonna d'être si mouillée. Pendant que la queue de son mari lui pistonnait le ventre, elle ferma les yeux et imagina que c'était un inconnu qui la baisait, qui lui pelotait les seins, qui lui arrachait des soupirs et l'amenait à l'orgasme. Cette nuit-là, Maryvonne ne fut pas longue à jouir...

Lundi, premier jour.
Le matin du départ, Maryvonne vérifia une dernière fois le contenu de sa valise. Après avoir consulté la météo qui annonçait une semaine de très beau temps sur le sud-ouest, elle remplaça ses pull-overs et ses pantalons par des robes de cotonnade légère et des débardeurs. Au dernier moment, sans bien savoir pourquoi, elle y ajouta furtivement un maillot de bain deux pièces, plusieurs paires de bas et deux porte-jarretelles en dentelle.
Dans l'avion, elle relut une énième fois le programme de la semaine. Maintenant qu'elle était partie, sans raison valable ni possibilité de faire demi-tour, elle sentait monter en elle une réelle excitation tempérée par la très légère angoisse que lui procurait la solitude.
À l'aéroport de Mérignac, elle fut prise en charge par un chauffeur de grosse berline allemande qui l'emmena jusqu'à l'hôtel, Allée de Tourny, tout près de la Place des Quinconces. Un groom en livrée la précéda jusqu'au troisième étage, chambre 317. Tout en escamotant son pourboire, il lui rappela qu'elle était attendue dans la salle restaurant pour le dîner à partir de 20h 30. La chambre était spacieuse, le lit très large. Maryvonne se dit qu'on pouvait y dormir confortablement à trois, sans se gêner... En attendant le dîner, elle prit une douche dans la vaste salle de bains au sol et aux murs carrelés de marbre, se regarda nue dans le grand miroir mural, se soupesa les seins à deux mains, se dit qu'elle aurait peut-être dû tailler l'épais buisson noir qui fleurissait en haut de ses cuisses, se trouva finalement plutôt belle, s'allongea sur le lit, alluma la télé, se caressa la chatte en toute innocence tout en regardant un documentaire sur le Grand Nord, se demanda comment elle allait s'habiller pour le dîner, puis s'endormit...
Au restaurant, elle fit la connaissance du Président du Syndicat, un petit homme jovial au charme compassé, venu accompagné de son épouse blonde décolorée. On lui présenta aussi Monsieur David Signac qui ferait office chauffeur-guide. C'était un homme d'une quarantaine d'années, plutôt stylé, aimable et attentionné, qui la mit immédiatement à l'aise. Ce n'était pas le cas du dernier convive !
- Je vous présente Monsieur Clément Dutertre, votre collègue de Normandie.
Maryvonne le regarda et au premier coup d'œil il lui fut antipathique. Elle ne parvenait pas à se le représenter responsable du rayon Vins dans une grande surface. Le front bas, le regard gris et froid, la voix sombre, taillé comme un rugbyman, il avait plutôt l'allure d'un bûcheron ou d'un boucher. Oui, c'était cela : un boucher ! Sans doute à cause de ses mains, deux battoirs aux phalanges velues, des mains puissantes d'étrangleur. Tout en l'observant plus attentivement, Maryvonne se remémora "Le Boucher", un film de Chabrol où Jean Yanne interprétait un boucher meurtrier. Elle fut parcourue d'un frisson. Cela n'enleva rien à la convivialité du dîner : les mets étaient raffinés et la conversation roulait sans encombre sur le mode policé, entre gens de bonne compagnie. À l'arrivée du plateau de fromages, Maryvonne sentit sous la table, un pied se frotter au sien. La sagesse lui commandait de refuser l'avance, elle n'en fit rien. Encouragé, le pied indécent remonta lentement le long de son mollet, de la cheville à la saignée du genou et redescendit tout aussi lentement. Le petit jeu dura jusqu'au tiramisu. Elle chercha à lire sur le visage des convives à qui appartenait ce pied audacieux. Peine perdue ! Elle se laissa gagner par la langueur de la caresse. Puis, le pied baladeur se retira aussi mystérieusement qu'il s'était approché dans les coulisses de la nappe blanche.
De retour dans la solitude de la chambre 317, Maryvonne se branla avec énergie, pressée de soulager sa vulve toute moite de désir.

Mardi, deuxième jour.
Le soleil était à peine levé qu'il faisait déjà chaud. La journée s'annonçait si belle que Maryvonne sortit en robe à fleurs. Sur le parking de l'hôtel, David Signac et Clément Dutertre étaient en grande discussion mais dès qu'ils la virent arriver, leur conversation cessa.
- En voiture pour le Château Yquem ! annonça le chauffeur. Si tout va bien, nous y serons dans moins d'une heure.
C'était sans compter sur les habituels bouchons de la rocade bordelaise. Sur la banquette arrière, assis le plus loin possible l'un de l'autre, Maryvonne et son collègue normand n'échangèrent ni un mot, ni un regard. Heureusement que David - c'est lui qui avait demandé qu'il l'appellent par son prénom - n'était pas avare d'informations et d'anecdotes sur la région et le vignoble en particulier. Arrivés sur place, ils furent intégrés à un groupe de touristes chinois. La visite du domaine commença par une balade au cœur des vignes, puis on les fit entrer dans une petite salle de cinéma où on leur projeta un documentaire de plus de trente minutes sur l'historique du Château Yquem, la pourriture noble, les vendanges tardives grain par grain et la vinification. Maryvonne et Clément Dutertre avaient pris place dans le fond de la salle, à l'écart du groupe de Chinois dont la traductrice parlait vraiment trop fort.
Mais du film, Maryvonne ne devait se souvenir que des premières minutes car, à peine la salle plongée dans l'obscurité et la projection commencée, la puissante main de Clément Dutertre se posa brutalement sur son genou dénudé et la força à ouvrir les cuisses. Surprise par la soudaineté de l'attaque, il ne lui vint même pas à l'esprit de crier ou de tenter de le repousser. Elle n'en eut pas le temps. Déjà, semblables aux pattes d'une tarentule velue, les doigts grimpaient entre ses cuisses et atteignaient sa petite culotte. D'autorité, de sa large paluche, il lui empauma le bas-ventre et resta comme ça de longues minutes, sans bouger, attendant que la chaleur de sa main se répande sous la culotte. Les yeux rivés sur l'écran, incapable d'un mouvement, Maryvonne ne voyait plus rien, n'entendait plus rien, comme tétanisée. Puis, alors qu'elle ne l'espérait plus, la main reprit vie, écarta le voile de tissu et caressa sa touffe. Un doigt curieux se glissa dans le sillon de sa vulve ruisselante et se posa sur son clitoris. Alors, Maryvonne ferma les yeux et écouta la danse silencieuse du doigt qui branlait son clitoris, écartait ses lèvres pulpeuses et la pénétrait profondément, excitant avec adresse le coussinet grumeleux à l'entrée de son vagin, siège secret de sa lubricité. C'était aussi bon qu'une bite. Elle jouit en serrant les dents et inonda la main de Clément.
Plus tard, pendant la dégustation, alors que l'œnologue maison expliquait aux visiteurs la richesse des arômes et des saveurs du Sauternes, Clément Dutertre se pencha vers Maryvonne et lui glissa à l'oreille.
- Demain, pour la découverte du Médoc, vous ne mettrez pas de culotte.
Elle faillit en avaler de travers mais déjà il lui avait tourné le dos et, le verre à la main, se dirigeait à pas lents vers le buffet.
Le retour vers Bordeaux se fit dans l'indifférence. À l'arrière, Maryvonne regardait défiler le paysage, pendant qu'à l'avant, David et Clément parlaient football. À l'hôtel, elle dîna seule. Tard dans la soirée, elle parla un peu au téléphone avec Jimmy. Elle tenta en vain de lui décrire la longueur en bouche d'une gorgée de Château Yquem, alors qu'en réalité elle ne se souvenait que de la longueur en vagin du doigt baiseur de Clément Dutertre.

Mercredi, troisième jour.
La météo était toujours au beau fixe. Les kilomètres défilaient au milieu des vignobles où les vendanges battaient leur plein, milliers de petites mains et de sécateurs affairés. Dès la sortie de l'agglomération bordelaise, Clément Dutertre avait retroussé la jupe de Maryvonne.
- C'est bien, avait-il dit d'un air détaché, on verra ça plus tard...
Plus tard ? Ce ne fut pas au monumental Château Beychevelle où ils firent leur première halte en milieu de matinée, histoire de déguster un fond de verre de Haut-Médoc grand crû classé. On ne leur prêta guère attention : l'heure était aux vendanges, pas aux mondanités !
Plus tard ? Ce ne fut pas à l'heure du déjeuner dans un petit restaurant de Pauillac, face à la Gironde qui charriait inlassablement ses eaux couleur de boue...
Plus tard ? Ce ne fut ni au pied, ni au sommet de phare de Cordouan où ils arrivèrent dans l'après-midi pour une visite guidée...
Plus tard ? Ce fut sur le pont de la vedette qui les ramenait à la terre ferme où les attendait David. Le crépuscule approchait, les rares passagers s'étaient rassemblés dans la cabine. Accoudés au bastingage d'une coursive déserte, Maryvonne et Clément contemplaient l'océan. Il vint se placer derrière elle et souleva sa jupe pour découvrir ses fesses nues.
- Ne bouge pas ! lui dit-il. Espèce de petite salope qui ne porte même pas de culotte.
Elle entendit le zip d'une fermeture Éclair et quelques instants plus tard, il la prenait debout, par derrière. À l'image de ses mains, sa bite lui parut énorme, puissante et autoritaire. Elle lui emplissait tellement le vagin que Maryvonne en éprouva une sensation de plénitude. Méthodiquement, il entama un mouvement de va-et-vient dans sa chatte gluante. D'instinct, à chaque coup de boutoir, elle se cambrait un peu de sorte qu'il la pénétrait plus profondément, qu'elle sentait contre ses fesses la caresse de ses poils pubiens. Curieuse, elle glissa une main entre ses cuisses pour lui palper les couilles et tenter d'estimer du bout des doigts le calibre du pilon qui lui pistonnait le vagin. Il lui parut si gros, si trapu, qu'elle en mouilla davantage.
- Branle-toi, souffla-t-il, en attendant que je décharge dans ta chatte !
De l'index et du majeur réunis, elle s'empressa de s'astiquer le clitoris. Elle aussi voulait en finir. Mais elle n'en eut pas le temps ; les jambes un peu fléchies, il bloqua sa queue démesurée au fond du vagin de Maryvonne, la tête du gland logée sous le col de l'utérus, et lui lâcha tout dans la matrice. Elle sentit son ventre devenir une sorte de marécage visqueux où ondulaient les civelles et les tritons du désir. Quand il se retira, d'épais sanglots de sperme chaud coulèrent le long des cuisses de Maryvonne qui laissa la brise du soleil couchant les sécher sur sa peau.
Pendant presque tout le trajet du retour vers Bordeaux, Maryvonne dormit allongée sur la banquette arrière de la Mercedes. Devant, David et Clément parlaient encore foot, mais aussi pêche au bar et bagnoles. Le ventre englué de sperme, Maryvonne dormait d'un sommeil sans rêve.
Tard dans la nuit, son mari essaya de lui téléphoner, mais elle ne répondit pas.

Jeudi, quatrième jour.
Le programme de la journée était des plus succincts : quartier libre. Maryvonne en profita pour paresser au lit, s'éterniser dans la salle de bains, traîner dans la chambre en petite tenue. Quand elle descendit pour le petit déjeuner, elle espérait bien éviter de croiser Clément Dutertre. À la réception, on lui annonça qu'il avait déjà quitté l'hôtel. Ce fut donc seule qu'elle visita la ville, qu'elle fit le tour du monument des Girondins et en admira les fontaines, qu'elle arpenta sur toute sa longueur la rue Sainte Catherine aux boutiques innombrables, qu'elle fit l'emplette dans une pâtisserie d'une boîte de cannelés, qu'elle regarda les petits arcs-en-ciel dans les brumes au-dessus du miroir d'eau sur les quais, qu'elle dégusta une coupe glacée en terrasse, qu'elle marcha au hasard jusqu'à l'absurde... Trois heures de liberté et d'ennui.
Alors qu'elle montait les marches du Grand Théâtre, elle se sentit saisie par le bras.
- Vous me cherchiez, me voilà. On y va, c'est moi qui invite !
- Où ça ?
- Au bordel !
Elle se laissa faire, c'était si agréable de n'avoir à décider de rien. Quand ils se retrouvèrent devant l'hôtel de l'Allée de Tourny, elle pensa que ce ne serait qu'un transit. Ils traversèrent le hall de réception, prirent l'ascenseur. Second étage, le tapis rouge d'un long couloir, arrêt devant la porte 209.
- Après vous ! dit-il en la poussant à l'intérieur.
La chambre 209 était semblable à la 317, avec le même lit extra-large, mais avec en plus l'odeur du mâle.
- Déshabille-toi !
Maryvonne ôta ses chaussures et sa robe. Elle fut tentée de conserver son soutien-gorge et sa petite culotte, mais d'un simple regard il lui en fit passer l'envie.
- Maintenant, viens me sucer !
Il se tenait debout au pied du lit. Elle s'approcha, tiraillée entre la haine et le désir. Car elle le détestait comme au premier jour, peut-être même davantage, mais il y avait désormais le désir qui lui tenaillait le ventre, cette sale envie de jouissance et de soumission. Arrivée tout contre lui, elle posa une main sur sa braguette et en frotta lascivement la bosse.
- Oui, c'est ça, fais-moi bander !
Sous le tissu du pantalon de coton, elle sentait se gonfler sa bite. Maryvonne s'agenouilla, défit la ceinture, déboutonna la braguette et abaissa le pantalon le long des cuisses musculeuses et velues. L'érection déformait le boxer où elle pressa sa bouche pour un baiser de dévotion. Alors, tel un diable bondissant de sa boîte, la grosse queue se dressa devant elle, divinement dure. Elle promena sa langue sur toute la longueur de la hampe, goba le gland décalotté et entreprit de lui tailler une pipe. La bite de Clément lui emplissait la bouche jusqu'à la luette.
- Suce-moi bien, sale putain...
Alors qu'il avait la bite ventousée par la bouche de Maryvonne, Clément déboutonna sa chemise et la jeta sur le lit. Il lui prit la main et la posa sur son torse velu. Le contact de sa paume sur l'épaisse pilosité électrisa Maryvonne qui en oublia toute décence. Elle s'imagina déjà couchée contre lui, ses seins reposant sur le molleton soyeux de son torse. Elle redoubla d'ardeur pour lui pomper la queue.
- Tu aimes ça, hein, salope !
Oui, elle aimait ça qu'il la traite de salope et de putain. Elle était prête à se mettre à quatre pattes comme une chienne, à lui renifler et lécher l'arrière--train, à s'accroupir devant lui pour pisser, à jouer les prostituées bon marché, elle était prête à tout pour qu'il lui mette son énorme bite dans la chatte et qu'il la fasse jouir comme jamais.
Il lui fit tout ça et plus encore. Il la laissa se vautrer sur son ventre en miaulant de bonheur, il lui lécha le clito et lui lapa le cul à grands coups de langue, il la souleva comme une poupée et la laissa retomber sur sa queue dressée qui s'enfonça d'un seul coup dans sa chatte béante. Elle se sentit guenon accouplée avec son gorille à dos argenté. Elle eut un premier orgasme qui souleva des vagues mouillées au plus profond de son vagin marécageux.
Quand elle eut repris son souffle, il la souleva de nouveau aussi légère qu'une plume dans ses mains de bûcheron canadien. En sortant du vagin, la bite toujours tendue à l'extrême et luisante de mouillure fit comme un bruit de succion d'une grande obscénité. Il la bascula sur le lit, la mit à quatre pattes, la croupe relevée, les fesses grand ouvertes et à genoux derrière elle il présenta la tête de sa bite à la porte de son anus.
- Ouvre ton cul, je vais te la mettre !
Maryvonne redoutait une grande douleur à la mesure du membre de l'intrus, mais il n'en fut rien. Têtue, la queue de Clément l'enculait lentement. C'était comme si elle chiait à l'envers un énorme étron. Quand il fut entré en entier, ses couilles velues battant contre sa vulve détrempée, il lui posa sa large main sur le bas des reins et lui parla d'une voix terriblement calme.
- Tu es ma chienne docile avec ma queue plantée entre tes fesses. Dès le premier jour, j'ai su qui tu étais, tu respirais le femelle en chaleur. Remue ton cul tout doucement. Tu sens comme elle est chaude et vivante ?
- Oui, elle est trop bonne !
- Tu es prête à faire tout ce que je te demanderai ?
- Oui
- Alors je vais te remplir le cul de foutre et après quand j'aurai ressorti ma queue, tu vas me la lécher...
Il en fut ainsi et plus encore. Dans la salle de bains, il lui pissa sur les seins et la chatte avant de la contraindre à de nouvelles abjections anales. Maryvonne s'étonna de n'en éprouver aucun dégoût, elle y trouva même un certain agrément.
Au coucher du soleil, il y eut une courte pause où elle se laissa aller à se pelotonner contre Clément, les doigts jouant dans les poils de son torse. Chatte, elle en aurait ronronné de bien-être. Mais ce ne fut qu'un entracte, car dès qu'il eut repris vigueur, il lui força de nouveau l'anus, avec des mots orduriers. Il la fit asseoir sur son ventre, face à lui, la bite plantée verticalement dans le cul. Tout en lui parlant, il malaxait ses gros seins.
- Regarde-moi. Je t'interdis de baisser les yeux sinon je te pince les tétons, et je pense que tu n'aimerais pas ça. Passe ta langue sur les lèvres de traînée.. Avec une bouche pareille, t'as dû en sucer des bites et en avaler du foutre ! Ça te plairait qu'après je te la remette dans la chatte ?
- Oui... mais ça me plaît aussi comme ça.
- T'es mariée ?
- Oui
- Alors, tu peux pas savoir à quel point c'est encore meilleur de t'enculer ! Branle-toi. J'aime voir tes doigts fourrager dans ta touffe. Je veux sentir ta jouissance me palper la queue, que ce soit tellement fort que j'aie l'impression que tu as une bouche secrète quelque part dans le gros intestin, une bouche aspirante uniquement conçue pour sucer les glands...
Très tard dans la nuit, Maryvonne regagna sa chambre. Sur son portable, elle avait cinq appels manqués de Jean-Paul et deux messages qu'elle se refusa à lire.

Vendredi, cinquième jour
Après les événements de la veille, Maryvonne se réveilla d'humeur joyeuse, comme libérée d'un poids. L'euphorie s'évanouit au "bonjour" machinal que lui adressa Clément Dutertre quand elle le rejoignit dans le hall de l'hôtel. Elle avait pourtant mis sa plus belle robe, celle qui lui moulait avantageusement les seins et les fesses, mais c'est à peine s'il lui jeta un regard. Ils devaient passer la journée dans les vignobles de Saint Émilion et de Pomerol dont les noms devaient pendant des années résonner comme un tocsin aux oreilles de Maryvonne.
Elle demeura hermétique aux charmes médiévaux du village de Saint Émilion, à ses rues pavées arpentées par des hordes de touristes en extase, à ses vignes au cœur de la cité closes de murets de pierres sèches, à ses caves, à ses coteaux... Seule importait l'indifférence de Clément Dutertre, l'ostensible distance qu'il prit soin de maintenir entre leurs deux corps, comme s'il craignait une contagion. À Pomerol, elle espéra trouver dans la dégustation d'un verre de Château La Conseillante, vin médecin s'il en est, un remède à son désespoir, dégustation qui n'eut comme effet que de lui donner un abominable mal de tête et d'exaspérer le glacial dédain de Clément Dutertre. Elle pria David de hâter leur retour à Bordeaux. Elle s'enferma dans sa chambre où elle tenta vainement de se masturber pour apaiser sa détresse. Car, en dépit de sa cruelle désillusion, tout au long de cette malheureuse journée, son sexe n'avait jamais cessé d'être excité, ses mamelons dressés, son vagin huileux, son clitoris en érection, son anus en émoi...
Samedi, sixième jour
Au-dessus du bassin d'Arcachon, la lumière était apaisante et le soleil d'automne caressant. Allongée sur le sable, en maillot deux pièces, Maryvonne se gorgeait de soleil. Elle avait exprimé le souhait de rester seule. Son animosité envers Clément Dutertre avait déteint sur David qu'elle soupçonnait sous ses airs aimables d'être aussi méprisable et misogyne que son compère. Aussi passa-t-elle la journée au milieu de familles endimanchées, d'ados joueurs de beach-volley et de couples de retraités anglais. À midi, elle déjeuna d'un sandwich et d'une bouteille d'eau. Dans l'après-midi, elle marcha sur la plage, à la lisière des vagues, comme elle le faisait quand elle était gamine. Pour la première fois de la semaine, elle regrettait l'absence de son mari tant elle aurait aimé partager avec lui ces instants en toute innocence.
- Demain, se dit-elle tout bas, je le retrouverai demain.
Ils lui avaient donné rendez-vous à dix-neuf heures précises sur une esplanade face à la mer. Dans le ciel, venus du large, s'étaient lentement amoncelés des nuages de plus en plus épais et sombres annonciateurs de pluie et de vent.
- Le dîner est prévu au restaurant du casino, leur dit David. Si après le dîner vous désirez tenter votre chance au jeu, je vous rappelle qu'une tenue correcte est exigée.
Maryvonne avait tout prévu : le matin même, dans son sac, elle avait mis une robe noire, une paire d'escarpins et, sans doute par dépit, une paire de bas résille, un porte-jarretelles et un ensemble soutien-gorge string d'une belle indécence. Tout en enfilant sa tenue de soirée frivole dans les toilettes d'un bar, elle pensa à la vanité de ses illusions.
Ils dînèrent donc au restaurant du casino d'Arcachon, édifice imposant aux allures de château de conte de fées. Pendant tout le repas, elle s'efforça de garder fière allure. Elle n'eut pas à se donner du mal car les deux hommes la traitèrent comme quantité négligeable. Ensuite, ils descendirent dans la salle de jeux bruissante du tintamarre des machines à sous, féerie de lumières multicolores qui clignotaient de tous leurs feux et des pluies des jetons tombant en dans les gouttières métalliques. Les deux hommes se dirigèrent vers les jeux de poker, Maryvonne s'essaya aux machines à sous plus basiques : elle glissait un billet dans la machine, appuyait sur la touche play. Pas de prise de tête ! Elle commença par perdre puis, au bout d'une heure elle se mit à gagner... Vers minuit, en quittant le casino, elle avait amassé une petite cagnotte de plus de trois cents euros qui eut le don de mettre les deux hommes bredouilles d'humeur ironique.
- Ça reste du gagne-petit ! lâcha méchamment Clément Dutertre. Moi, un soir, au casino de Deauville, je me suis fait plus de trois mille euros au black jack.
Mais Maryvonne s'en fichait, ils ne l'intéressaient plus. Dans la voiture alors qu'à l'avant les deux hommes se racontaient leurs exploits aux jeux de hasard, Maryvonne ne tarda pas à s'endormir.
Quand elle se réveilla en sursaut, le moteur ne tournait plus, les phares étaient éteints et l'habitacle plongé dans le noir. De toute évidence, la Mercedes n'avait pas été arrêtée en ville mais en rase campagne. Une fois ses yeux habitués à l'obscurité, elle finit par discerner des arbres tout proches, comme si la voiture était garée dans un chemin forestier. Sur la banquette arrière, elle n'était plus seule mais encadrée des deux hommes qu'elle reconnut à leur odeur. Ils avaient déjà glissé leurs mains sous sa robe : alors que celui de gauche lui pelotait le seins, celui de droite caressait sa chatte brune et poilue que contenait à peine son string en dentelle noire.
- Cette nuit, tu vas toucher le jackpot ! dit David en lui écartant les cuisses.
Heureusement que la voiture était une spacieuse berline qui leur laissait une grande liberté de mouvement. Une fois les sièges avant repoussés au maximum, l'espace arrière devint un agréable terrain de jeux permettant de passer sans gêne de la position assise à la position couchée ou à celle plus lubrique de chienne en chaleur. La bite de David était certes plus modeste que le mandrin de Clément, mais elle n'en était pas moins savoureuse. Maryvonne ne se lassait pas de la sucer tandis qu'à genoux derrière elle, Clément lui labourait le vagin avec la constance d'un robot. Quand ils furent tous les trois entièrement nus - Maryvonne conservant néanmoins ses bas et son porte-jarretelles - ils alternèrent les rôles, chacun se faisant sucer, baisant ou enculant à son tour.
- Si vous voulez, vous pouvez me prendre tous les deux en même temps, leur souffla Maryvonne alors qu'ils changeaient une énième fois de position.
Comment n'y avaient -ils pas pensé plus tôt ! C'était si évident ! Alors, Clément s'assit sur la banquette arrière, Maryvonne enjamba son corps massif et vint prendre place face à lui, ses seins toute contre son torse velu. Elle n'eut qu'à saisir la grosse queue de Clément et se la glisser dans la chatte. Quand elle fut bien saillie, elle se cambra au maximum pour ouvrir ses fesses. David prit position pour la couvrir comme le ferait un étalon pour sa jument, sa queue raide tendue en avant, tête d'ogive pointée sur l'anus de Maryvonne. Par précaution, il lui enduisit la rondelle de salive mais ce n'était pas utile, elle était si mouillée et dilatée qu'elle aurait pu se faire sodomiser par un âne. La bite de David s'enfonça en elle. Maintenant qu'elle était comblée, aux portes du bonheur, elle se laissa aller contre le ventre de Clément et blottit sa tête dans le creux de son cou.
- Allez-y, baisez-moi, enculez-moi... C'est la dernière fois, demain il sera trop tard...

Dimanche, dernier jour
Avant son départ, Maryvonne ne revit ni Clément Dutertre, ni David Signac. Le premier avait pris l'avion très tôt le matin, David Signac était en congé. Dans le hall de l'hôtel, le Président du Syndicat lui remit au nom des viticulteurs une caisse de six bouteilles de grands crûs. Maryvonne le remercia de son accueil et de l'agrément du séjour.
Il pleuvait sur Bordeaux.
Comme prévu, Jen-Paul est venu la chercher à l'aéroport. Les inévitables questions n'ont pas tardé.
- Tu sais que je commençais à être inquiet ! Ça fait trois jours que j'essaie de te joindre sur ton portable et que je tombe sur le répondeur !
- Je suis désolée, mais ma batterie était vide - ce qui était vrai - et je ne suis pas arrivée à remettre la main sur mon chargeur - ce qui était moins vrai. De toute façon, en cas d'urgence tu pouvais me laisser un message à l'hôtel !
- Le principal c'est que ça se soit bien passé. À propos, il était comment ton collègue de Normandie ?
- Insignifiant ! Un mec vraiment sans intérêt...


Fin
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par Moi69100
#2693324
Très très bien écrit, bravo, cela fait plaisir à lire.

Quelle évolution dans la lubricité de Maryvonne.

Merci à vous,

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