- 09 août 2023, 15:05
#2735685
L'histoire qui se déroula après n'était pas du tout un événement planifié. Cela se déroula quelques semaines après, ma chérie travaillait dans une nouvelle entreprise. C'était son amie d'université qui lui avait obtenu le poste car c'était la boite de son père. L'homme en question était un homme de cinquante cinq à l'époque, plutôt baraqué, agressif et coureur. Bien sûr il ne harcelait pas ses employées mais il faisait souvent des compliments flatteurs. Ma femme (copine à l'époque) me raconta à plusieurs reprises comment il l'avait complimentée pour sa tenue.
Un jour alors que je l'attendais devant le boulot pour aller au cinéma, elle tarda à arriver. Elle apparu vingt minutes plus tard que d'habitude et me dit qu'elle préfère aller boire un verre au lieu du ciné. Dans le bar elle me raconta que peu avant de finir le boulot, son patron l'avait complimentée à nouveau et qu'elle l'avait remerciée avec enthousiasme. L'homme mûr encouragé par l'attitude de ma copine poussa la conversation un peu loin et lui demanda de rester dans son bureau si elle se sentait bien sûr à l'aise. Elle accepta. Il lui offrit un verre et ils discutèrent. J'ignore quel est la chainon manquant de la conversation car il lui aurait apparu fait des avances très claires après genre "Tu me plais beaucoup, j'ai envie de toi". Ensuite elle me dit qu'il se rapprocha d'elle et sans qu'elle sache pourquoi, elle mit sa main sur son pantalon. S'en était suivi une partie d'embrassades et de pelotage et ensuite l'homme se leva et baissa son pantalon pour qu'elle le prenne en bouche. Elle s'exécuta. Au bout d'un moment, il essaya de lui enlever sa jupe mais elle résista et lui dit qu'elle n'était pas encore prête pour ça. Il n'insista pas et lui remit sa queue en bouche. Quelques minutes plus tard, il jouissait dans la bouche de ma copine.
Elle pleura en me racontant ça et me promis de ne plus jamais le faire. Elle n'était pas à sa première déviation bien sûr mais à l'époque je l'ignorais, ce fut cependant la première tromperie qu'elle m'avoua. L'histoire m'avait terriblement excité. Que ce gros pervers se serve de la copine de sa fille comme vide-couilles, ce genre de choses ne se passe que dans les films X je pensais à l'époque.
- Si l'expérience t'a plu, je ne t'oblige pas à arrêter, lui dis-je simplement en essayant de paraître le moins excité possible.
Pendant les trois mois qui suivirent et pendant lesquels elle continua à travailler dans cette boite, son patron, le père de sa copine, prit l'habitude de la baiser de manière quasi quotidienne dans son bureau. Ne se privant d'aucun plaisir, l'utilisant à sa guise.
C'est d'ailleurs à cet homme (si bien membré selon elle) qu'elle doit son tout premier curetage.
Un jour alors que je l'attendais devant le boulot pour aller au cinéma, elle tarda à arriver. Elle apparu vingt minutes plus tard que d'habitude et me dit qu'elle préfère aller boire un verre au lieu du ciné. Dans le bar elle me raconta que peu avant de finir le boulot, son patron l'avait complimentée à nouveau et qu'elle l'avait remerciée avec enthousiasme. L'homme mûr encouragé par l'attitude de ma copine poussa la conversation un peu loin et lui demanda de rester dans son bureau si elle se sentait bien sûr à l'aise. Elle accepta. Il lui offrit un verre et ils discutèrent. J'ignore quel est la chainon manquant de la conversation car il lui aurait apparu fait des avances très claires après genre "Tu me plais beaucoup, j'ai envie de toi". Ensuite elle me dit qu'il se rapprocha d'elle et sans qu'elle sache pourquoi, elle mit sa main sur son pantalon. S'en était suivi une partie d'embrassades et de pelotage et ensuite l'homme se leva et baissa son pantalon pour qu'elle le prenne en bouche. Elle s'exécuta. Au bout d'un moment, il essaya de lui enlever sa jupe mais elle résista et lui dit qu'elle n'était pas encore prête pour ça. Il n'insista pas et lui remit sa queue en bouche. Quelques minutes plus tard, il jouissait dans la bouche de ma copine.
Elle pleura en me racontant ça et me promis de ne plus jamais le faire. Elle n'était pas à sa première déviation bien sûr mais à l'époque je l'ignorais, ce fut cependant la première tromperie qu'elle m'avoua. L'histoire m'avait terriblement excité. Que ce gros pervers se serve de la copine de sa fille comme vide-couilles, ce genre de choses ne se passe que dans les films X je pensais à l'époque.
- Si l'expérience t'a plu, je ne t'oblige pas à arrêter, lui dis-je simplement en essayant de paraître le moins excité possible.
Pendant les trois mois qui suivirent et pendant lesquels elle continua à travailler dans cette boite, son patron, le père de sa copine, prit l'habitude de la baiser de manière quasi quotidienne dans son bureau. Ne se privant d'aucun plaisir, l'utilisant à sa guise.
C'est d'ailleurs à cet homme (si bien membré selon elle) qu'elle doit son tout premier curetage.