[JokerH]

Ma femme ne me cocufia qu’entre 2011 et 2013, après cela, j’ai moi-même commencé à développer des envies de libertinage et de candaulisme et à partir de là, il n’y avait plus de raisons pour elle de me cacher quoique ce soit.

Depuis, nous avons commencé peu à peu à exprès l’univers fantastique de la sexualité et pendant cette quête de dix ans, nous avons eu de bonnes expériences comme de très mauvaises. Aujourd’hui, je vais vous parler d’une expérience qui fut « mauvaise ». Pourquoi ? Parce que ça ne serait pas honnête de ma part de vous parler que des moments excitants. Ce souvenir est mitigé, je le considère personnellement comme un mauvais, ma femme aussi mais elle dit qu’il a un côté « excitant ».

Je vous raconte.

Une fois la porte du libertinage ouvert, et une fois la liste des règles établies, nous avons commencé à explorer différentes possibilités, à deux, séparément, à trois, à quatre et même plus.

Pendant une certaine période, ma femme prit l’habitude d’aller seule ou avec des copines dans des night-club pour draguer. Si elle trouvait chaussure à son pied, elle couchait sinon elle rentrait. Un jour, alors qu’elle prenait un verre, seule, elle fut abordée d’un mec qu’elle trouva charmant au début.

Il était grand, solidement bâti, tatoué, look de gangster, bref son type. N’ayant pas encore la maturé qu’elle a aujourd’hui a jauger une personne et une conversation, elle lui expliqua très vite qu’elle était en couple et qu’elle pratiquant le libertinage pour des fins purement sexuelles.

L’homme d’abord se montra compréhensif et continua à discuter avec elle, à la draguer, mais au fur et à mesure que la conversation avançait, il devint plus insistant, plus collant, bref il l’a mis mal à l’aise et elle lui dit qu’elle n’était pas intéressée. Il insista tout de même et mit sa main entre ses cuisses, elle repoussa sa main et se leva. Elle allait payer sa consommation et avant de sortir, elle alla dans les toilettes.

L’homme la suivit discrètement et personne ne remarqua quoique ce soit car dans c’était le genre de Night-Club où tout le monde baisait dans les toilettes.

Rapidement et sans éveiller le moindre soupçon, il passa derrière elle et la tira dans l’une des cabines. Elle fut tellement choquée qu’elle ne dit pas un mot, ne lâcha pas un cri. L’homme, très sûr de lui, lui dit simplement :

« Tu croyais que tu allais me chauffer toute la soirée et partir comme ça ? Retourne toi. »

Ce fut à ce moment qu’elle comprit qu’elle était en danger, que l’homme était dangereux et que quoiqu’elle fasse, elle allait se faire baiser. Elle fit donc ce qu’elle savait faire de mieux, elle se soumit à lui.

Elle se retourna. Il lui souleva sa jupe, fut heureux de découvrir qu’elle ne portait pas de sous-vêtements, la traite de salope, se baissa pour la lécher quelques secondes et se mit à la pilonner.

Pour ma femme en revanche, c’était un combat intérieur. D’un côté elle se sentait violée et forcée et d’un autre côté son corps adorait ce qui se passait et elle dut fournir un effort incroyable pour s’empêcher de jouir et qu’il le voit. Après à peine cinq minutes de pilonnage sauvage, il la fit s’assoir sur la cuvette fermée et lui présenta sa queue.

Elle la prit en bouche et se mit à le sucer docilement. Excité, il se mit très vite à lui baiser lui visage en lui tenant la tête, pour finir il se vida en elle et elle avala son foutre sans perdre une goutte. Soulagé et en sueurs, l’homme la prit par les cheveux (sans lui faire faire mal) et s’ennuya la queue dégoulinante sur son visage, il lui demanda d’ouvrir la bouche, y inséra encore sa queue ensuite crasha sur sa langue.

« Tu vois que tu as aimé ça. » Lui dit-il.

Ensuite il sorti de la cabine et disparut.

Je fus choqué et furieux d’apprendre ça par la suite mais ma femme, me dit que l’homme ne l’avait pas brutalisée et qu’elle était quelque part « partante » pour se faire baiser comme ça. Elle eut très honte tout de même de me raconter qu’il faillit la faire jouir et qu’elle resta dans les cabines après ça pour se masturber.

Elle ne considère pas cette histoire comme un viol mais comme une leçon sur le fait qu’il ne faut pas tout déballer avant des inconnus avant de mieux les connaître. Cet incident ne se reproduit plus.