- 13 nov. 2009, 11:26
#7870
J'avais laissé ma femme au lit. Elle avait une grippe et j'ai donc appellé le médecin pour la voir, pendant que je partais au travail. Sans attention spéciale au fait que mon épouse ne portait qu'une nuisette transparente sans culotte , comme à son habitude ...
A mon retour, à midi, j'ai trouvé ma chérie toujours au lit, étrangement alanguie, un peu lasse, et très débraillée: sa nuisette était à l’envers et sa fente apparente entre les cuisses légèrement écartées. Je pouvais la voir tétonner dur. Cela m'a excité à fond et je l’ai peloté puis me suis déshabillé et couché à son côté, la queue dressée, les couilles serrées, pour lui demander comment ça s’était passé avec le médecin, ce qu’il lui avait prescrit.
En guise de réponse elle m'a pris le sexe en main et me l’a branlé, et on s'est tripoté un bon moment jusqu'à ce que j’ouvre ma chérie à fond et me présente devant son minou pour lui faire un va et vient.
Surprise! Elle m’a empoigné la bite d’une main, et m’a guidé pendant l’introduction, ce qu’elle ne faisait jamais ...
Autre différence: ma femme était si douce à pénétrer, si moelleuse, que c'était étrange, c'est à peine si je sentais la pression de son vagin. Et je pouvais bouger comme un fou, la ramoner très vite, sans que la nécéssité d’éjaculer se manifeste .... Et elle aussi supportait un rythme infernal sans jouir. On a baisé comme des fous, en missionnaire, puis je l’ai assise sur mes genoux, puis en levrette pour lui faire balancer en cadence ses nichons pendus sous elle. Longtemps avant qu'elle ne soit secouée de spasmes de plaisir, et que je lui lache mon foutre au fond de son vagin.
C’était très surprenant, une première depuis le temps que je la tringlait. C’est ce que je lui ai dit par après alors que nous étions allongés cote à cote ...
Alors, sur l'oreiller, en pleurant, elle m'a tout avoué: elle avait fait l'amour ce matin, avec le médecin!
J’ai senti une chaleur intense monter en moi, ma femme m’avait fait cocu, et si elle avait le sexe si moelleux, c’est parcequ’elle était pleine du foutre de son amant! J’avais pistonné dans sa semence, je l’avais tassé au fond du vagin! Mon épouse était restée ouverte car il lui avait défoncé la chatte! C’est à cause de lui que les tétons de ma femme étaient si durs, les nichons si serrés et pleins ... C’est à cause de cette coucherie que j’avais joui si fort et juté tellement de fois!
Et je m’excitais ! Ma bite se redressait, durcissait, le gland me démangeait à force de gonfler, j’avais envie de me masturber ...
Alors j’ai exigé de mon épouse qu’elle me branle en me racontant toute sa baise en détails, ce qu’elle a fait, en pleurant tout d’abord, puis de moins en moins au fur et à mesure que je la pelotai et qu’elle s’excitait aussi.
Voilà l’histoire: Le médecin l'avait ausculté, ce qui était normal, mais comme il lui avait fait oter sa nuisette, elle était à poil sur le lit... Et il avait "ausculté" ma femme: dites 33, toussez, ... suivi d’une exploration des seins, des tétons, étirés, tournés, titillés. Elle avait fermé les yeux, gouté les caresses, et il est descendu sur sa chatte ...
“Détendez vous madame, ouvrez les jambes, je vous examine ...” Ma femme me raconte qu’elle était contractée, le sexe serré ce qui a empêché le médecin de lui introduire un doigt pour explorer son vagin. Alors il lui a écarté en grand les jambes, s’est installé entre, à genoux devant elle, lui a fait remonter les cuisses pour bien présenter son sexe; et il lui a titillé le clitoris avec un doigt, cherchant à lui en mettre un autre, pour qu'elle "se décontracte". Bien sûr elle a commencé à jouir...
Et je mimais toute la scène pendant que mon épouse me parlait, l’interrompant pour qu’elle me confirme que c’était bien ainsi qu’elle offrait sa chatte au médecin; qu’il la caressait de cette façon ...
En fait elle avait joui plusieurs fois sous les caresses, qui étaient claires maintenant, sans prétexte d’auscultation. L’homme la pelotait de toutes les façons, la mettant même à quatre pattes pour lui malaxer les seins pendant qu’il jouait avec l’intérieur du vagin et avec son clitoris. Puis il l’avait recouché sur le dos et s’était allongé à son côté, sans plus rien faire.
Les automatismes que j’avais fait prendre à ma chérie ont joué. Elle était très chaude, elle a donc fait comme avec moi: elle a cherché la bite !
Ma douce m'a expliqué que ce n'était pas facile, elle ne trouvait pas le sexe, elle a du chercher. Elle explorait la braguette qu’elle avait ouverte, cherchant sur le ventre une bite raide sans la trouver, pour finir par comprendre, le sexe était rangé le long de la cuisse, dans la jambe du pantalon. "Il était très long et fin, pas trop dur" m'a-t-elle expliqué.
Et ma petite femme l'a extrait et l'a placé contre l'entrée de sa chatte, en butée des lèvres.
Nous répétions toujours la scène, et donc j’avais mon gland qui écartait la chatte, attendant de plonger. “Non ne rentre pas, lui, il est resté immobile. J’étais surprise et j’ai attendu aussi, et, comme il ne faisait toujours rien, j’ai avancé pour l’avoir dedans" “ Comme ça” m’a-t-elle dit en m’empalant.
“Ne bouge pas, je ne l’ai presque pas senti pénétrer , puis il est resté dedans sans rien faire, et j’ai encore attendu. Alors je l’ai baisé, moi. En tournant le bassin autour de sa bite plantée. C’était très bon, car il était très long et me remuait l’intérieur, pas comme toi qui me défonce ....”
A la question “ vous avez joui ensemble ?” la réponse a été immédiate:
“Oui, au bout de quelques instants, je l’ai entendu haleter, puis gémir, il s’est redressé sur ses bras, s’est raidi et a giclé. Il m’a expédié plein de jets qui m’ont fait crier de plaisir quand j’ai senti son foutre chaud s’écraser au fond et son sexe me frapper le vagin.”
J’étais moi aussi en train d’éjaculer pendant qu’elle me racontait tout cela ..
Puis ma femme m’a expliqué : “ J’ai pleuré quand c’était fini, car j’ai eu peur d’avoir un enfant de lui puisque je ne prends pas de pilule, et je lui ai dit. Alors il m’a affirmé qu’il était stérile, il s’était fait opérer pour ne pas avoir de spermatozoides dans son foutre; c’était pour ça qu’il giclait tellement longtemps et se permettait de juter dans les femmes qu’il baisait ... Et pour preuve il m’a dit d’observer son jus qui n’était pas si blanc que celui de mon mari ..., c’est vrai tu sais !”
Mon épouse venait de jouir, moi aussi, nous étions épuisés sur le lit, elle était si craintive de m’avoir fait cocu ...
Mais le plaisir de cette situation était si intense ...
J’ai alors expliqué à ma chérie que je lui pardonnais, mais qu’elle devrait maintenant se conduire d’une façon conforme à nos désirs révélés!
Et je lui ai expliqué qu’elle était une salope qui s’ignore, et moi un vicieux caché ...; que c’était pour ces raisons qu’elle écartait si facilement ses cuisses pour acceuillir un inconnu et que moi je jouissais en l’entendant me raconter sa coucherie ...
A partir de ce moment, nous avons été libérés, et le sexe à trois ou plus a commencé .
A mon retour, à midi, j'ai trouvé ma chérie toujours au lit, étrangement alanguie, un peu lasse, et très débraillée: sa nuisette était à l’envers et sa fente apparente entre les cuisses légèrement écartées. Je pouvais la voir tétonner dur. Cela m'a excité à fond et je l’ai peloté puis me suis déshabillé et couché à son côté, la queue dressée, les couilles serrées, pour lui demander comment ça s’était passé avec le médecin, ce qu’il lui avait prescrit.
En guise de réponse elle m'a pris le sexe en main et me l’a branlé, et on s'est tripoté un bon moment jusqu'à ce que j’ouvre ma chérie à fond et me présente devant son minou pour lui faire un va et vient.
Surprise! Elle m’a empoigné la bite d’une main, et m’a guidé pendant l’introduction, ce qu’elle ne faisait jamais ...
Autre différence: ma femme était si douce à pénétrer, si moelleuse, que c'était étrange, c'est à peine si je sentais la pression de son vagin. Et je pouvais bouger comme un fou, la ramoner très vite, sans que la nécéssité d’éjaculer se manifeste .... Et elle aussi supportait un rythme infernal sans jouir. On a baisé comme des fous, en missionnaire, puis je l’ai assise sur mes genoux, puis en levrette pour lui faire balancer en cadence ses nichons pendus sous elle. Longtemps avant qu'elle ne soit secouée de spasmes de plaisir, et que je lui lache mon foutre au fond de son vagin.
C’était très surprenant, une première depuis le temps que je la tringlait. C’est ce que je lui ai dit par après alors que nous étions allongés cote à cote ...
Alors, sur l'oreiller, en pleurant, elle m'a tout avoué: elle avait fait l'amour ce matin, avec le médecin!
J’ai senti une chaleur intense monter en moi, ma femme m’avait fait cocu, et si elle avait le sexe si moelleux, c’est parcequ’elle était pleine du foutre de son amant! J’avais pistonné dans sa semence, je l’avais tassé au fond du vagin! Mon épouse était restée ouverte car il lui avait défoncé la chatte! C’est à cause de lui que les tétons de ma femme étaient si durs, les nichons si serrés et pleins ... C’est à cause de cette coucherie que j’avais joui si fort et juté tellement de fois!
Et je m’excitais ! Ma bite se redressait, durcissait, le gland me démangeait à force de gonfler, j’avais envie de me masturber ...
Alors j’ai exigé de mon épouse qu’elle me branle en me racontant toute sa baise en détails, ce qu’elle a fait, en pleurant tout d’abord, puis de moins en moins au fur et à mesure que je la pelotai et qu’elle s’excitait aussi.
Voilà l’histoire: Le médecin l'avait ausculté, ce qui était normal, mais comme il lui avait fait oter sa nuisette, elle était à poil sur le lit... Et il avait "ausculté" ma femme: dites 33, toussez, ... suivi d’une exploration des seins, des tétons, étirés, tournés, titillés. Elle avait fermé les yeux, gouté les caresses, et il est descendu sur sa chatte ...
“Détendez vous madame, ouvrez les jambes, je vous examine ...” Ma femme me raconte qu’elle était contractée, le sexe serré ce qui a empêché le médecin de lui introduire un doigt pour explorer son vagin. Alors il lui a écarté en grand les jambes, s’est installé entre, à genoux devant elle, lui a fait remonter les cuisses pour bien présenter son sexe; et il lui a titillé le clitoris avec un doigt, cherchant à lui en mettre un autre, pour qu'elle "se décontracte". Bien sûr elle a commencé à jouir...
Et je mimais toute la scène pendant que mon épouse me parlait, l’interrompant pour qu’elle me confirme que c’était bien ainsi qu’elle offrait sa chatte au médecin; qu’il la caressait de cette façon ...
En fait elle avait joui plusieurs fois sous les caresses, qui étaient claires maintenant, sans prétexte d’auscultation. L’homme la pelotait de toutes les façons, la mettant même à quatre pattes pour lui malaxer les seins pendant qu’il jouait avec l’intérieur du vagin et avec son clitoris. Puis il l’avait recouché sur le dos et s’était allongé à son côté, sans plus rien faire.
Les automatismes que j’avais fait prendre à ma chérie ont joué. Elle était très chaude, elle a donc fait comme avec moi: elle a cherché la bite !
Ma douce m'a expliqué que ce n'était pas facile, elle ne trouvait pas le sexe, elle a du chercher. Elle explorait la braguette qu’elle avait ouverte, cherchant sur le ventre une bite raide sans la trouver, pour finir par comprendre, le sexe était rangé le long de la cuisse, dans la jambe du pantalon. "Il était très long et fin, pas trop dur" m'a-t-elle expliqué.
Et ma petite femme l'a extrait et l'a placé contre l'entrée de sa chatte, en butée des lèvres.
Nous répétions toujours la scène, et donc j’avais mon gland qui écartait la chatte, attendant de plonger. “Non ne rentre pas, lui, il est resté immobile. J’étais surprise et j’ai attendu aussi, et, comme il ne faisait toujours rien, j’ai avancé pour l’avoir dedans" “ Comme ça” m’a-t-elle dit en m’empalant.
“Ne bouge pas, je ne l’ai presque pas senti pénétrer , puis il est resté dedans sans rien faire, et j’ai encore attendu. Alors je l’ai baisé, moi. En tournant le bassin autour de sa bite plantée. C’était très bon, car il était très long et me remuait l’intérieur, pas comme toi qui me défonce ....”
A la question “ vous avez joui ensemble ?” la réponse a été immédiate:
“Oui, au bout de quelques instants, je l’ai entendu haleter, puis gémir, il s’est redressé sur ses bras, s’est raidi et a giclé. Il m’a expédié plein de jets qui m’ont fait crier de plaisir quand j’ai senti son foutre chaud s’écraser au fond et son sexe me frapper le vagin.”
J’étais moi aussi en train d’éjaculer pendant qu’elle me racontait tout cela ..
Puis ma femme m’a expliqué : “ J’ai pleuré quand c’était fini, car j’ai eu peur d’avoir un enfant de lui puisque je ne prends pas de pilule, et je lui ai dit. Alors il m’a affirmé qu’il était stérile, il s’était fait opérer pour ne pas avoir de spermatozoides dans son foutre; c’était pour ça qu’il giclait tellement longtemps et se permettait de juter dans les femmes qu’il baisait ... Et pour preuve il m’a dit d’observer son jus qui n’était pas si blanc que celui de mon mari ..., c’est vrai tu sais !”
Mon épouse venait de jouir, moi aussi, nous étions épuisés sur le lit, elle était si craintive de m’avoir fait cocu ...
Mais le plaisir de cette situation était si intense ...
J’ai alors expliqué à ma chérie que je lui pardonnais, mais qu’elle devrait maintenant se conduire d’une façon conforme à nos désirs révélés!
Et je lui ai expliqué qu’elle était une salope qui s’ignore, et moi un vicieux caché ...; que c’était pour ces raisons qu’elle écartait si facilement ses cuisses pour acceuillir un inconnu et que moi je jouissais en l’entendant me raconter sa coucherie ...
A partir de ce moment, nous avons été libérés, et le sexe à trois ou plus a commencé .
