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LA CROISIÈRE
Ma copine s’amuse à exciter un inconnu dans le jacuzzi et voilà comment cela s’est terminé.


Alice et moi étions dans le jacuzzi sur le pont supérieur de cet énorme bâteau de croisière.


Alice, c’est ma petite amie (un peu plus d’un an) ; c’est mon petit grain de folie.
Je vous l’avais déjà décrite : cheveux bleu clair (actuellement), un piercing sur la langue et un nombre important de tatouages sur les bras, le bas du dos, autour du nombril, sur l’entrejambe et même sur la fesse droite.
Lors de ma première confession, je vous avais raconté comment Alice, sachant par ailleurs que j’avais quelques fantasmes candaulistes, s’était permise de les concrétiser sans mon accord en promettant son cul à un chauffeur de taxi en guise de paiement pour le trajet.
Alice est un peu sans gêne et c’est ce qui me plaît chez elle et clairement aussi ce qui me fait peur et me fait sortir de ma zone de confort.


Même si, au départ, j’étais réticent et très en colère qu’elle se permette de sucer un inconnu sans m’en parler. Avec le recul, je réalisai que c’était une des expériences les plus excitantes tellement l’issue de celle-ci avait été surréaliste (même dans mes fantasmes les plus fous, je n’aurai jamais imaginé que mon Alice teste la double pénétration anale sur un coup de tête, à la vue de tout le monde devant chez nous, et avec un inconnu de surcroît).
Bizarrement, je crus que, passé l’excitation, la jalousie et la colère prendraient le relai mais que nenni. J’avais envie de recommencer. Il s’était passé deux mois suite à cet événement sans qu’il ne se passe quoique ce soit. La routine avait repris son cours comme si de rien était. Nous n’en discutions pas, nous continuions de faire l’amour en matant du porno.
J’espérais secrètement qu’elle m’en reparle d’elle-même, qu’elle me repropose une expérience de ce type. Je me suis même branlé plusieurs fois en l’imaginant se faire défoncer par plusieurs mecs devant moi. Mais vu ce qu'avait été ma réaction, je ne pouvais me résoudre à être demandeur. Je sentais tout de même qu’elle essayait de se rattraper, d’effacer un peu l’ardoise, de faire oublier ce qu’il s’était passé.


Deux mois après donc, nous partîmes en vacances dans les caraïbes pour faire une croisière à bord d’un immense paquebot (machin of the seas, désolé je ne me souviens jamais du nom exact). Je vous fais grâce des détails de la présentation du lieu qui était absolument oufissime, et du début de voyage que nous avions eu qui était absolument paradisiaque pour directement passer au moment qui vous intéresse. En tous cas, nous étions déjà bien engagés dans notre voyage, le boulot déjà bien enfoui au fond de nos têtes, la relaxe totale.
C’est dans ce contexte qu’un soir, nous nous lâchâmes un peu : dîner dans un des restos payants, petit verre dans un bar où Alice chanta avec sa robe de soirée rose affriolante qui ne descendait pas plus bas que ses genoux ; spectacle dans la grande salle, nouveau verre juste avant pour accompagner le show ; balade au frais sur la promenade royale en amoureux. Il faisait bon, nous étions bien et Alice me proposa qu’on aille se baigner. Nous avions envie de faire durer la soirée, les familles avaient déjà déserté les espaces communs, il ne restait plus que des couples et des jeunes. Nous passâmes par la cabine pour nous mettre en maillot de bain et remontâmes sur le pont supérieur. Nous trouvâmes un jacuzzi où il restait encore de la place. Il y avait déjà un autre couple, trois jeunes hommes (sûrement une bande de potes) et nous.


Comme à son habitude, quand elle était un peu alcoolisée, Alice était assez tactile et portée sur la séduction. Elle m’embrassait et se positionnait à califourchon sur moi. Elle voulait jouer un peu, mais ce jeu restait encore relativement discret et entre nous.


Dans le jacuzzi, l’autre couple semblait parler espagnol ou portuguais. Les trois potes, eux, étaient clairement des Américains. Ils parlaient assez fort et déconnaient pas mal entre eux. Ils faisaient comme si tout le bain leur appartenait. Ils étaient tous trois très jeunes, l’un d’entre eux était black, les deux autres caucasiens. Ils avaient l’air plutôt portés sur la chose puisqu’ils avaient maté ma petite amie quand elle était rentrée dans le jacuzzi et il nous avait même semblé qu’ils commentaient également le physique de l’espagnole, tout en étant persuadés de ne pas être compris par ce couple qui apparemment ne parlait pas très bien l’anglais (ou alors ils faisaient semblant de ne pas comprendre ce que les garçons disaient sur elle).
A un moment, la fille de l’autre couple sortit et il y eut un silence gênant dans le bassin. Les gars se retenaient de commenter mais leurs regards suivaient son maillot de bain mouillé, collé à ses fesses. Dès que le couple eut disparu de leur champ de vision, les gars se mirent à rigoler. L’un dit qu’il aurait bien fourré sa queue dans ce cul. Un autre disait qu’il était trop gros à son goût. Le premier rétorquait qu’il pourrait peut-être enfin réussir à rentrer sa trop grosse queue. Tous rigolaient.
Alice, écoutait attentivement, allongée à côté de moi, profitant des bulles et faisant mine de ne pas écouter. Mais je savais qu’elle avait laissé traîner son oreille tout comme moi et puis, ils ne cherchaient pas particulièrement à cacher cette discussion, de toute façon.


Après le départ du couple, ils continuèrent à parler sexe un moment (comment ils aimaient le faire, des détails sur leurs précédentes conquêtes, etc.) et visiblement cela émoustillait Alice puisque ses attouchements innocents du départ avaient laissé place à quelques réelles prises de risques comme par exemple, me sortir la bite de mon maillot de main et commencer à la branler pendant qu’elle me galochait, tout ça sous couvert de bulles. Les garçons n’y voyaient que du feu et étaient bien trop occupés dans leur discussion.
De mon côté, je répondais à ses attouchements en lui caressant les fesses mais également la poitrine. J’avais envie de lui enlever le haut pour la mettre les seins à l’air. Je trouvais la situation particulièrement excitante, de savoir que trois mecs chauds comme la braise étaient là juste à côté et qu’elle pourrait être là à moitié nue sous les bulles sans qu’ils ne s’en rendent compte. Il y avait un petit goût de risqué.
C’est ainsi que parfois je lui caressais un téton, le sortait du haut du maillot de bain, puis le remettait à sa place. J’eus aussi le plaisir d’abaisser sa culotte et de lui caresser la rondelle sans que les gars ne s’en aperçoivent.
Mais à un moment l’un d’entre eux sembla avoir capté notre petit jeu car il se mit à parler plus bas à ses potes. Ils lancèrent tous un regard en direction de ma copine. L’un d’entre eux dut sûrement dire quelque chose de salace car les autres se mirent à ricaner encore.
Alice semblait satisfaite d’avoir été la cible de leurs messes basses. Elle me rendit son excitation sous forme de baiser langoureux et je compris qu’elle était plutôt chaude.


- Tu ne serais pas excitée toi ? lui demandai-je.
- Hum… Peut-être bien… répondit-elle sur un ton qui se voulait mystérieux.
- A cause de moi ou à cause d’eux ?
Elle se mit à glousser. Je compris que la vraie réponse n’était pas décente.
- De toi ?
- C’est une question ?
Elle se racla la gorge.
- Non pardon, une affirmation. De toi bien sûr, c’est toi qui m'excite.
- Tu veux qu’on retourne dans la chambre pour que je te prennes ?
Pour toute réponse, elle revînt se glisser sur mes genoux et me rouler une pelle.
- Humm, si tu veux… On peut aussi rester encore un peu ici pour se chauffer un peu plus…
De toute évidence, j’avais bien compris que la situation lui plaisait.
La demi-heure qui suivit fut à peu de chose près le même jeu. Les jeunes continuaient de discuter de leurs ébats. L’un d’eux louait les prouesses sexuelles d’une de ses conquêtes qui adorait l’anal (si seulement ils savaient ce dont Alice était capable de ce point de vue) et Alice tentait clairement de se rappeler à leur attention en prenant des risques avec moi. A un moment, quand je la touchai, elle se mit à gémir un peu plus fort que la normale en espérant déclencher un nouveau flot de messes basses de la part de ses spectateurs. Ils la surprirent même à me toucher le sexe à un moment où les bulles s’étaient arrêtées et où la transparence de l’eau était revenue. Mais le jeu était sûrement resté à un niveau trop bon enfant pour que les garçons croient à la moindre chance qu’il se produise quelque chose. C’est ainsi que deux d’entre eux, le black et un des deux caucasiens sortirent du bassin. Nous les entendîmes dire à leur pote qu’ils allaient draguer sur la piste de danse et qu’ils pourraient les rejoindre plus tard s’il voulait encore profiter du jacuzzi.


Alice semblait presque déçue et en même temps plus déterminée à oser des trucs à côté du mec restant. Celui-ci avec les cheveux châtain clair, les yeux bleus et plutôt musclé de ce que je pouvais voir. D’abord, nous emmêlâmes nos langues pendant 10 bonnes minutes (c’était à se demander comment nous faisions pour respirer). Ce long baiser eut pour effet de me faire bander sévère. Alice dandinait son bassin le long de ma bite sous mon short de bain. Clairement l’autre mec pouvait voir ses vas-et-vient suggestifs.
A un moment, elle me souffla dans l’oreille.


- Détache mon haut
- Ah carrément ? Notre jeune voisin va voir tes nichons, l’avertis-je.
- Oui et alors ? Je suis sûr que ça lui fera la soirée, répondit-elle confiante.
- D’accord, répondis-je, excité et sur le ton du jeu.
Je lui défis les ficelles qui tenaient son haut de maillot de bain en place. Le maillot de bain fut emporté par un courant en direction du mec.
Celui-ci, qui était assis la tête en arrière et les bras étendus sur les bords du bassin, eut l’air surpris de se recevoir ce bout de tissu sur la figure.
Aussitôt, Alice se tourna vers lui et se fondit en excuses.
- Oh, I’m sorry, it must have gone by itself.
Avec les bulles, on lui voyait seulement le haut de la poitrine, mais en faisant bien attention, il était possible d'apercevoir ses tétons.
L’homme lui tendit le maillot tout sourire. Alice le récupéra et le remit, toute contente de son effet.
Elle revint sur moi ensuite pour débriefer.
- Coquine, ça a l’air de t’amuser de l’exciter ? lui reprochai-je faussement.
Elle me sourit puis je vis une pensée passer dans son esprit et le sourire s’effaça.
- Tu es jaloux ?
- Non non, t’inquiètes.
A ce moment, il était certain que nous pensions tous les deux à cette expérience hyper excitante que nous avions eu avec le chauffeur de taxi. Malgré tous ses efforts, Alice, en proie à ses hormones ce soir-là, n’était pas parvenue à le faire oublier.
Elle continua de jouer avec moi, me provoqua à plusieurs reprises pour chercher à ce qu’on se chamaille. En chahutant, cela lui permettait d’occuper tout l’espace du bain et de régulièrement toucher le (pauvre) jeune homme par accident (en apparence).
Il se faisait tard. Les autres bassins bouillonnants étaient vides et il me semblait de plus en plus clair que le jeune homme restait pour Alice ; car il appréciait ce jeu avec ma petite amie (s’il avait vraiment voulu profiter du bassin en toute quiétude, il en aurait changé d’autant qu’un couple qui se galoche en permanence à côté de vous peut vous faire sentir comme la troisième roue du carosse).


Un chahutage plus tard, nouveau débrief en messes basses (bien qu’à priori, il ne comprenait pas le français).
- Je lui ai touché la bite et je peux te dire qu’il bande comme un taureau.
- Quand est-ce que tu as eu le temps de lui toucher la bite ? demandai-je surpris ?
- Quand tu as essayé de m’éclabousser à l’instant et que je suis tombée sur lui en me reculant… Mais je m’attendais plus à une réaction de jalousie de ta part qu’une question de timeline !
- Oh please, je t’ai enculée avec un autre mec à l’intérieur de toi, je crois qu’on a passé le cap de la jalousie, lui lâchai-je.
Elle me regarda d’abord surprise puis toute sourire.
- Dans ce cas, ça te dérangerait pas qu’il me baise ? me demanda-t-elle crûment.
- Si c’est ce dont tu as envie…
- Mais toi, ça t’excite ?
- A en juger par l’état de mon érection, je dirai que oui, lui répondis-je.
Elle contrôla à nouveau mon érection et entreprit de me branler à nouveau doucement en dehors de mon short de bain. Puis elle vint s’asseoir sur mes genoux, dos à moi en se frottant le cul sur mon sexe. Je la tint dans mes bras. Nous étions tous deux face au garçon et je devinai qu’elle était en train de le regarder avec son air de coquine. En bougeant ses fesses le long de mon sexe, elle toucha de nouveau l’autre garçon du bout des pieds. Elle sortit une énième excuse et il lui répondit par un sourire :
- It’s okay.
Elle revint vers moi, nouveau débrief.
- Je vais retourner seule à la cabine, voyons s’il mord à l’hameçon.
Je dus paraître surpris car elle ajouta.
- Rejoins-moi après qu’il soit parti.
Puis elle se releva dans le bassin et se décida à en sortir. Je vis alors le garçon mater le cul de ma copine sans aucune retenue. Je vis Alice dandiner des fesses en montant l’échelle pour nous allumer encore plus. Elle prit sa serviette, jeta un dernier regard en notre direction, puis s’éloigna doucement.
C’était le moment fatidique. Allait-il bouger ? Le suspense ne dura pas très longtemps car aussitôt qu’Alice avait atteint le haut de l’escalier, le jeune homme se leva et sortit du jacuzzi.
Déjà, cela confirmait qu’il était resté pour elle (et non pour moi ^^). Mais en plus, le fait qu’il n’attende pas plus longtemps pouvait laisser présager qu’il ne voulait pas la perdre de vue et qu’il voulait la suivre. Nous échangeâmes un court regard. Il l’avait limite honteux comme s’il pensait que j’étais simple d’esprit et que je n’avais pas compris ce qu’il allait faire. Puis il disparut à son tour.


Contrairement à la fois dernière, je ne me sentais pas en colère. Alice ne m’avait rien caché. Je ne me sentais pas particulièrement jaloux non plus. Je me sentais en revanche très très excité. Je profitai de cette sensation pendant quelques minutes, voulant leur laisser de l’avance. Je repensai à Alice qui suçait le chauffeur de taxi quand j’étais revenu et m’imaginai la trouver à nouveau en train de sucer un autre mec, comme la bonne coquine qu’elle était. Je l’imaginai marcher vers notre cabine en tortillant des fesses, assez lentement pour être sûre que le mec ne la perde pas dans sa filature. J’imaginai l’excitation qu’elle devait ressentir sur ce long trajet. Elle avait probablement pris l’escalier (car notre cabine est juste en-dessous des ponts supérieurs) et l’avait mené ainsi jusqu’à notre chambre, laissant la porte entrouverte bloquée par une chaussure ou je ne sais quoi.
Je me projetai cette fois dans la peau de ce jeune garçon, assoiffé de sexe, suivant cette femme devant lui qui l’avait discrètement dragué devant son mec, tortillant du cul ; ayant peur quelque fois d’avoir perdu sa trace puis la retrouvant dans le couloir menant aux cabines et se demandant s’il était fou, si c’était vraiment une invitation à la suivre ou s’il était juste un simple pervers qui s’était imaginé des choses. Je l’imaginai trouver la porte de cabine entrouverte, avoir une seconde d’hésitation, ouvrir la porte le cœur battant à la chamade et trouvant ma copine à genoux, les seins nus tirant la langue comme une chienne docile…


Au bout d’une dizaine de minutes, je décidai de descendre à mon tour à la cabine. J’avais ma propre carte, je n’avais pas besoin de les interrompre s’ils étaient là. Sinon, peut-être la trouverai-je nue sur le lit, encore chaude et prête à me baiser malgré tout.


J’entrai dans ma chambre, tentant de dissimuler ma trique et espérant ne pas tomber sur notre attendant de chambre dans le couloir. Le mec du jacuzzi était bien là, debout devant moi, tenant la tête de ma chérie pour lui infliger une gorge profonde.
Elle était effectivement à genoux par terre et s’afférait goulument à la tâche tout en se touchant la chatte.
Elle avait toujours son haut de maillot de bain mais les seins sortis.
Le garçon sembla tout de même surpris mais ne s’arrêta pas pour autant. Je soutins son regard et m’installai sans un mot sur le sofa pour les mater de plus près. De toute façon, je ne parlais pas super bien anglais, il n’aurait pas compris. Je pensai que mon absence de réaction de colère et le fait que je sorte ma queue et commence à me toucher, valait bien meilleures explications que mille mots.


Dès les premières minutes que je les matai, je vis qu’il était particulièrement violent dans sa façon de baiser. Elle ne le suçait pas, il lui baisait littéralement la bouche en répétant des trucs salaces en anglais : “do you like when i fuck your mouth” “answer bitch”, “deeper”, etc.
Alice avait l’air particulièrement friande de ce langage et de ce traitement un peu violent car je la voyais accélérer sa masturbation.
Le jeune homme la prenait parfois par le menton, lui crachait dans la bouche, lui giflait le sein. Toute la bave et le présperme récolté coulaient le long de son menton sur sa poitrine.
La bite du jeune homme était plutôt de taille correcte en longueur mais assez épaisse en largeur ce que je savais être un critère apprécié d’Alice lorsque nous regardions des films ensemble. Elle me jeta un regard et vit que j’étais là mais ne s’interrompit pas une seconde, trop occupée à sucer. Elle cracha sur sa queue déjà toute gluante et c’était reparti pour une gorge profonde.
Je l’entendis avoir quelques hauts-le-coeur. Elle sortit sa queue pour reprendre son souffle et lui la ré-enfourna presque immédiatement.
A un moment, il lui ordonna de se mettre à quatre pattes, ce qu’elle ne comprit pas immédiatement (et moi non plus), mais il lui baissa la tête vers le sol et elle comprit ce qu’elle devait faire. Il la saisit ensuite à la racine des cheveux et tira sur sa tête, la prenant pour une chienne. Il lui dirigea la tête vers moi sur le canapé, vers ma queue et l’obligea à poursuivre sa fellation sur moi.
Puis pendant qu’Alice me suçait comme une reine, il se mit à genoux derrière elle, abaissa son bas de maillot de bain et lui cracha sur le cul. Quelques secondes plus tard, il était en train de l’enculer tout en lui tenant la tête sur ma bite et il ne me fallut pas plus de quelques minutes pour jouir dans sa bouche.
Pendant tout ce temps Alice avait gémi de plaisir et crié des mots crus “défonce moi le cul” “humm oui”, “hum jouis moi dans la bouche”, “donnez moi du sperme” dans les rares moments de répits que je lui offrais (car n’étant pas aussi insistant que lui à vouloir lui occuper le gosier sans la laisser respirer).
Quand le mec vit que j’avais eu un orgasme et jouit dans sa bouche, il se retira aussitôt de son cul et vint présenter sa bite au-dessus du visage d’Alice. Elle tira la langue, pleine de mon sperme qu’elle n’avait pas encore avalé.
Il se branla dynamiquement au-dessus d’elle et ne mit pas longtemps à lui jouir dessus, sur le visage, les cheveux, dans la bouche sur la langue.
- Swallow ! ordonna-t-il.
Alice ne se posa pas de question, elle avala le mélange de nos deux spermes puis tira de nouveau la langue pour montrer qu’elle avait bien tout avalé, comme une bonne salope.


Le jeune homme remit son caleçon de bain et quitta la chambre sans un autre mot. Alice vint me rouler une nouvelle pelle et dut attendre quelques minutes que ma queue durcisse à nouveau pour que je lui donne l’orgasme bien mérité qu’elle attendait et qu’elle n’avait même pas eu avec le jeune.


Cependant, l’histoire ne se termine pas là. Je ne suis pas adepte des suites d’une même aventure en 50 épisodes alors autant vous le dire tout de suite, cela ne s’est pas arrêté là.


La croisière n’était pas terminée, il restait encore deux jours. Le lendemain, nous partions visiter, sans excursion, la jolie ville de San Juan (où une nouvelle fois, Alice s’était dotée d’une tenue affriolante). Toute la journée, nous n’avions eu de cesse que de nous tripoter et de parler de nos ébats de la veille. Parfois en retrait, prudent : “c’était quand même violent, et dangereux (notamment d’avaler le sperme d’un inconnu), il faudrait qu’on arrête un peu ces conneries et qu’on calme un peu le jeu, nous ne sommes pas capables de nous contrôler !” ; parfois franchement excités, joueurs : “espèce de salope, tu as aimé te faire baiser la bouch ?, tu as aimé te faire défoncer le cul l’autre jour ? qu’est-ce qu’on attend pour t’organiser un gang bang… “. Clairement, je creusais à peine la surface des fantasmes d’Alice. Je comprenais maintenant que c’était probablement un fantasme de longue date : celui de se laisser totalement aller, d’être objectifiée, remplie, souillée de sperme dans un gang bang. Je n’étais pas sûr d’ailleurs que c’était particulièrement l’aspect candauliste de nos ébats qui l’excitait elle.
Mais moi, c’était cela. La partager avec d’autres hommes me remplissait d’excitation. Je savais qu’elle était mienne, avec son petit grain de folie, Alice, originale, différente. Je savais qu’elle ne laissait pas les autres indifférents et j’éprouvais beaucoup de plaisir dans toutes les situations où d’autres hommes pouvaient se dire que j’avais de la chance d’avoir une telle salope rien que pour moi.
Quand nous rentrâmes de notre escale en début de soirée, nous trouvâmes un papier plié inséré dans la fente de la petite plaque de nos chambres. Il s’agissait habituellement d’un mot déposé par notre attendant de cabine contenant une information à nous transmettre concernant notre croisière. Mais cette fois, la feuille était pliée n’importe comment et un mot en écriture manuscrite s’y trouvait. Elle indiquait : “For more fun, come to our room 7335 deck 7” (Pour plus de plaisir, viens (ou venez) dans notre chambre 7335 pont 7).
Alice paraissait toute émoustillée mais elle se recomposa rapidement.
- T’inquiètes pas mon chéri, je ne vais pas y aller. Ça me paraît un peu too much.Il faut rester raisonnable, ajouta-t-elle comme pour se convaincre elle-même.
- Tu dis too much de le refaire avec ce type ou tu penses que ça cache autre chose ?
Elle rougit.
- Je ne sais pas, je ne crois pas qu’il a une chambre pour lui tout seul, il doit sûrement la partager avec ses potes.
En effet, vu le prix de la chambre… Je n’avais pas nécessairement percuté dès la première lecture.
- Mais je crois qu’on a déjà eu notre aventure, tu ne penses pas ? ajouta Alice.
J’acquiesçai mais cela ne nous empêcha pas d’avoir une partie de sexe relativement sauvage ce soir-là. Alice me demandait de la fesser, de l’insulter et de l’enculer sauvagement. Il était certain qu’elle s’imaginait prise en gang bang.
Le lendemain, qui était un jour en mer, était l’avant-dernier jour de la croisière (le dernier jour étant le débarquement de tous les passagers).
Nous passâmes une journée un peu plus sereine. Appréhendant peut-être au départ de tomber sur les trois mecs, nous nous prîmes vite au jeu des différentes activités de la journée : mini-golf, tyrolienne, escalade, etc. (oui oui sur un bâteau, je vous jure). Je dois dire que c’était tout de même assez rafraîchissant de parler un peu d’autre chose. Notre partie de baise de la veille avait sûrement aidé à calmer le feu de l’envie. A titre personnel, je trouvais cela pas plus mal. J’avais vraiment besoin de réfléchir à ces histoires de gang bang qui dépassaient largement le cadre de mes fantasmes candaulistes (qui à la base devaient rester des fantasmes).
Mais le soir venu, quelques verres d’alcool ayant eu raison de nous. Alice redevint tactile avec moi, me chahutant, balançant des énormités en ricanant. A un moment, elle me dit :
- Viens, on s’arrête au deck 7 !
- Pourquoi ? demandai-je.
- Bah tu sais, juste pour voir où c’est…
- Je sais pas chérie, on va peut-être pas tenter le diable de tomber sur eux.
- Juste pour fantasmer sur une porte ! me rétorqua-t-elle. Puis elle ricana nerveusement.
Visiblement, elle avait besoin de s’offrir quelques frissons supplémentaires. Ce message devait la travailler. Je me dis qu’il ne devait rien y avoir de mal à passer devant. Les chances pour que les mecs passent la soirée dans leur chambre devait être quasi nulle.


Quelques minutes plus tard, Alice avait une queue dans la chatte, une autre dans le cul et la grosse queue du black dans sa bouche (fidèle au stéréotype mais cela dit, c’était la queue du second garçon caucasien qui était la plus énorme de toutes). Et moi je me branlais frénétiquement en les regardant user de ma copine par tous les trous.
Comment avions-nous pu arriver à cette situation ?
Simplement qu’après avoir vu la fameuse porte, Alice avait frappé à la porte juste pour faire une blague, se réfugiant au coin du couloir pour voir qui répondrait. Elle voulait voir s’ils étaient bien trois dans cette chambre ou lui seul. Sauf qu’en courant se cacher, nous tombâmes nez à nez avec le garçon qui l’avait baisée deux jours avant et la porte s’ouvrit derrière nous, nous laissant découvrir son ami black. Nous étions grillés. Alice était confuse et essayait de baragouiner dans un mauvais anglais que c’était une “joke”. Les garçons insistèrent pour que nous restions prendre un verre car ils avaient de l’alcool dans leur chambre. Alice tenta de résister mais il ne fallut pas plus de deux propositions pour qu’elle finisse par accepter “juste un petit verre”.
Je vis le black mettre un “do not disturb” sur la porte avant de la fermer sur nous. C’était bien sûr un traquenard. Les garçons commencèrent à toucher Alice : seins, fesses. Alice se laissait faire. Au début, j’eus un doute sur le fait de devoir intervenir. Je la sentais tremblante et j’avais peur qu’il s’agisse d’un viol qui était en train de se produire sous mes yeux et qu’elle avait perdu ses moyens en ne disant pas “non”.
Mais quand je la vis se défaire de sa robe d’elle-même, s’agenouiller et tirer d’elle-même la bite du black de son pantalon avant même que celui-ci ne l’oblige à quoique ce soit, je compris qu’elle était exactement là où elle avait envie d’être.


Ce soir là, je ne participai pas, juste observai toute la scène en me branlant. Je jouis deux fois.
Alice prit son pied comme jamais. Elle réalisa sûrement tous ses fantasmes de gang bang tels qu’elle les avait vus dans les films porno qu’elle matait. Elle avait sucé un mec à genoux en tenant les deux autres queues dans ses mains. Elle s’était faite baisée la bouche à tour de rôle. Elle s’était faite allongée sur le lit sur le dos avec chacun des mecs lui passant sur le corps un à un. Elle s’était faite remplir tous les trous (double-pénétrée, une dans le cul et une dans la chatte tout en suçant). Elle avait pris une douche de sperme sur le visage et sur les seins. Elle avait eu au moins trois ou quatre orgasmes (je ne saurai les compter) et les mecs avaient chacun joui deux ou trois fois sur elle en se relayant.


Le lendemain, nous débarquions et nous ne revîmes plus jamais ces gars.
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7/12
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