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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

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Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
par sirstephen
#2782435
Je reprends donc mon récit sur l’épineuse question de la complicité de Sonia dans les turpitudes où l’entraînait sa fréquentation quotidienne avec le maître de manège. Comment se comportait-elle au juste, quelle part de responsabilité avait-elle dans tout cela ? Aucune, à l’en croire. C’était Marco qui l’appelait, Marco qui l’entraînait, qui l’obligeait à participer à ces jeux. « Comment ça qui t’oblige ? ne manquais-je pas de lui dire. Si tu n’avais pas envie de le voir se branler, tu n’aurais qu’à partir ». A ces questions précises et bien légitimes, Sonia répondait toujours par de mauvaises raisons, du style « je ne pouvais pas sortir parce qu’il s’était mis juste devant la porte », ce qui avait le don de m’agacer. Mais je devais me contenir, faute de quoi Sonia se fermait complètement et prenait un air sombre, m’accusant d’être un vrai rabat-joie. Craignant plus que tout de rompre la communication et d’être tenu à l’écart de leurs jeux, je me résignais donc à accepter sans sourciller les justifications de ma chère et tendre, si peu plausibles fussent-elles. Entrant dans son jeu pour chercher à en savoir plus, je feignais donc de prendre à la plaisanterie tout ce qu’elle m’avait raconté. « Et au fait, tu ne lui as montré que tes seins ou quelque autre partie de ton anatomie ? » « Quoi ? » avait-elle répliqué bêtement, visiblement pour gagner quelques secondes de réflexion. « Non, non. Enfin, juste une fois ». « Juste une fois quoi ? », répliquai-je l’air faussement détaché alors que je venais de prendre un gros coup au cœur. La fois en question, la discussion avait porté sur les différents types de coupe de toison pubienne et Marco avait marqué sa préférence pour les tickets de métro. A cette époque, Sonia ne portait pas exactement ce type de coupe, mais quelque chose d’approchant : un très mince ruban de poils vertical, le reste étant méticuleusement épilé. Marco, qui ne se représentait pas assez clairement la chose avait demandé à voir. Il avait tellement insisté, m’avait-elle dit, qu’elle avait fini par lui montrer ce que ça donnait. Sinon, il ne l’aurait pas laissée partir. Soit… « Bon, et alors, ça s’est passé comment ? Tu as soulevé ta robe et baissé ton slip ? » Oui, c’était à peu près ça. Piqué au vif par cet « à peu près », je lui demandais des explications plus circonstanciées. En fait, quand elle s’était reculottée, Marco n’était pas pleinement satisfait. Il voulait savoir si elle était vraiment lisse de partout, si la moindre petite pilosité n’avait pas été oubliée. Il lui avait donc demandé de retirer son slip, de soulever sa jupe et de bien se pencher en avant. Visiblement amusée par cette chasse au poil, Sonia avait une nouvelle fois satisfait aux exigences du maître de manège. Une image absolument ahurissante s’imposait à moi : mon épouse déculottée, pratiquement à quatre pattes se faisant inspecter les parties intimes par son collègue de travail. Contenant à grand peine le flot de mes émotions, je lui ai demandé s’ils en étaient restés là. Oui, sauf que Marco s’était emparé de son slip, sur lequel il avait trouvé une belle tache de mouille… Il l’avait alors humé en intimant l’ordre à mon épouse de ne pas bouger de sa position. Il s’était ensuite branlé dans la mince étoffe, la traitant de « troia », de « puttana » et, après joui, avait tenu à conserver l’objet de son larcin. Mon épouse en avait donc été quitte pour revenir du travail sans culotte…
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