- 02 mars 2024, 15:37
#2782895
A ce stade des confidences de Sonia, j’en arrivai vraiment à me demander si ces jeux pervers d’exhibition plus ou moins « forcée » avec Marco n’étaient pas simplement la pointe de l’iceberg. En d’autres termes, n’auraient-ils pas eu de véritables rapports sexuels ? Cette période d’incertitude fut de courte durée, car je reçus brutalement des éclaircissements qui balayèrent toute ambiguïté. Une collègue de Sonia, visiblement très envieuse de l’aura érotique de mon épouse et des attentions constantes qu’elle suscitait auprès de la gent masculine, avait tenu à « m’avertir de certaines choses ». Après avoir fait un peu mine de tergiverser, cette bonne âme finit par cracher le morceau : Marco se tapait Sonia à coup sûr au vu de certains signes évidents. J’apprenais ainsi qu’ils s’étaient roulé des pelles devant tout le monde en dansant un slow lors de la soirée de fin d’année du cercle hippique ; au cours de cette même soirée, très arrosée, Marco avait même mimé une cavalcade obscène en saisissant Sonia par les hanches ; ils avaient aussi disparu un assez long moment, avant de revenir dans un drôle d’état, mi-hilares, mi- essoufflés. Enfin, Marco ne se gênait pas pour mettre des mains au cul à mon épouse en toute occasion, ce dont Sonia avait l’air de bien s’accommoder. Et ça ne s’arrêtait pas là… Sonia la joueuse s’amusait à allumer les autres mecs du manège. Elle avait coutume, par exemple, de remplacer la traditionnelle bise par un petit smack sur les lèvres. Toujours pétillante, elle virevoltait autour des garçons en riant, en les laissant bien mater son décolleté. On imagine à quoi pouvaient bien penser les gars en voyant ma femme, d’autant plus que Marco n’arrêtait pas de les abreuver de récits salaces sur les cochonneries qu’il faisait avec Sonia.
La collègue bien intentionnée s’était senti d’autant plus libre de charger Sonia qu’elle venait tout juste de quitter le cercle hippique et ne risquait donc plus de rencontrer mon épouse. Ses confidences m’avait laissé vraiment abasourdi, mais aussi passablement excité. Plus que jamais, j’avais besoin d’explications. Celles que j’obtins le soir même furent particulièrement tendues. Sonia avait commencé par tout nier en bloc, mais devant la précision des faits que je lui rapportais, elle avait bien été obligé d’admettre. Simplement, après avoir cherché à tout nier, elle s’employait à minimiser la portée de chaque épisode. Le smack sur les lèvres à tout le monde ? c’est une coutume du manège, il n’y avait pas qu’elle qui faisait ça. Rouler des pelles à Marco en pleine soirée ? elle ne savait plus trop, car ils étaient passablement éméchés. Et les mains au cul ? C’était pour rire. Excédé par tant de mauvaise foi, je changeai de ton et la sommai en hurlant d’arrêter de me prendre pour un imbécile et de me dire très précisément tout ce qu’elle avait fait avec Marco. Sonia fondit alors en larme comme une petite fille et me dit qu’elle regrettait, qu’elle me demandait pardon. Regrets, pardon, oui, mais de quoi ? « Raconte-moi tout et qu’on en finisse ! ».
Suite au prochain numéro, si j’ai des retours. N’hésitez pas à me dire ce que vous pensez du comportement de Sonia, même en termes crus.
La collègue bien intentionnée s’était senti d’autant plus libre de charger Sonia qu’elle venait tout juste de quitter le cercle hippique et ne risquait donc plus de rencontrer mon épouse. Ses confidences m’avait laissé vraiment abasourdi, mais aussi passablement excité. Plus que jamais, j’avais besoin d’explications. Celles que j’obtins le soir même furent particulièrement tendues. Sonia avait commencé par tout nier en bloc, mais devant la précision des faits que je lui rapportais, elle avait bien été obligé d’admettre. Simplement, après avoir cherché à tout nier, elle s’employait à minimiser la portée de chaque épisode. Le smack sur les lèvres à tout le monde ? c’est une coutume du manège, il n’y avait pas qu’elle qui faisait ça. Rouler des pelles à Marco en pleine soirée ? elle ne savait plus trop, car ils étaient passablement éméchés. Et les mains au cul ? C’était pour rire. Excédé par tant de mauvaise foi, je changeai de ton et la sommai en hurlant d’arrêter de me prendre pour un imbécile et de me dire très précisément tout ce qu’elle avait fait avec Marco. Sonia fondit alors en larme comme une petite fille et me dit qu’elle regrettait, qu’elle me demandait pardon. Regrets, pardon, oui, mais de quoi ? « Raconte-moi tout et qu’on en finisse ! ».
Suite au prochain numéro, si j’ai des retours. N’hésitez pas à me dire ce que vous pensez du comportement de Sonia, même en termes crus.