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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

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Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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Il y a dix ans de ça, j'ai découvert le plaisir que procurait le fait de coucher avec la compagne d'un autre homme en comparaison d'un rapport classique. Pour replacer les choses dans leur contexte, à l'époque, je faisais partie d'un groupe assez soudé composé d'autant de garçons que de filles. Nous avions la vingtaine passée et bien que fraichement indépendants sur plusieurs aspects, je ne dirais pas que nous étions totalement adultes dans nos têtes. D'ailleurs, je ne sais pas si nous le sommes devenus depuis. Je préfère prévenir ceux (et celles ?) qui s'aventureront ici, j'aime prendre le temps de décrire mes histoires ce qui ne sera peut-être pas du goût de tout le monde car ici, ce n'est pas arrivé en un claquement de doigt.

Ce qui est sûr c'est que nous étions un groupe de bons vivants, toujours à faire des soirées ici ou là, à partir gambader, faire de nouvelles rencontres. Des groupes de jeunes toujours en train de faire la fête dès qu'une maison se libère. Dans un tempo plutôt cool sans prise de tête, l'alcool et la fumette faisant partie intégrante de nos soirées. Me concernant, j'ai toujours eu une libido très développée, et avec l'alcool, c'était pire. Je n'ai jamais été un copain très fidèle, il faut dire qu'il s'agissait du genre de groupe avec lequel on faisait des apéros costauds jusqu'au bout de la nuit, et avec qui on l'a fait plusieurs années. Même si on rencontrait des gens, je ne suis pas le seul que l'alcool stimulait et bon… disons qu'il y a eu un certains roulement entre nous.

Cela dit, même si j'avais eu le grand plaisir de pouvoir me soulager dans la moitié des filles du groupe, je n'avais pas encore connu ce qui me fait temps vibrer aujourd'hui : le candaulisme. Cela dit, ce n'est pas du côté cocu que je m'y retrouve le plus mais bien de l'autre. Tout à commencé durant le nouvel an de je ne sais plus quelle année (2013-2014, quelque chose dans le genre). Je devais avoir 24 ans, un pote avait eu la maison de ces parents dans un petit village du Var et nous devions être une bonne 30aine. La plupart de notre groupe d'amis proches était là, dont un très bon ami à moi et sa copine de l'époque qu'on appellera Samantha pour l'occasion. Un autre pote qui disait qu'il y avait deux type de filles dans la vie : celle dont on tombe amoureux et celle avec qui on a juste envie de transpirer un peu. Même si j'ai un peu honte de l'avouer, j'ai toujours été raccord avec cette perspective réductrice et pour moi, Sam faisait partie de la deuxième catégorie : pulpeuse, malicieuse et amusante. Une bonne vivante sans être exubérante. Physiquement, elle est jolie, c'est vrai, mais pas détentrice du charme qui rend fou pour autant. La demoiselle doit faire entre 1m65 et 1m70, plutôt fine mais avec de gros seins, chose que j'avais constaté durant les sessions baignades diverses et variées.

Bon, c'est la copine de mon pote, évidemment je me suis déjà soulagé en pensant à elle, de ce côté là elles ont dû toutes y passer, mais je n'ai jamais rien tenté. Elle et moi, on était bons amis et plutôt complices, voila tout. Mais ce soir là il s'est passé un truc que je n'avais pas vu venir : lors de la nouvelle année ou tout le monde s'embrassait et criait les vœux dans tous les sens, lors de notre rencontre dans la cohue, au lieu de me faire la traditionnelle bise, Sam s'est jetée sur moi pour m'embrasser. Comme ça, au milieu de tout le monde. J'étais suffisamment éméché pour ne pas la rejeter franchement, mais j'étais mal à l'aise. Avant que j'ai le temps de digérer la chose, elle était parti continuer à festoyer avec les autres comme si de rien n'était.

Bref, le geste n'était pas passé inaperçu, personne ne criait au scandale mais une demi-heure - une heure plus tard, mon pote nous sermonnait pour comprendre ce qui se passait entre nous. Honnêtement je ne savais pas quoi dire et elle se défendait sous couvert de "l'ambiance, de l'extase générale" etc mais assurant qu'il n'y avait rien de plus. Ca me paraissait cohérent, et même si mon pote marronait grave, il a aussi fini par accepter cette explication et passer à autre chose. Après la gène le plaisir : en fin de soirée, dans une chambre partagée avec d'autres personnes qui dormaient à poings fermés, moi je pensais à Sam. Et pour m'aider à trouver le sommeil, je me suis permis d'imaginer pas mal de choses que mon ami n'aurait sans doute pas apprécié. J'ai pris l'initiative de me satisfaire en pensant bien fort à elle. Une entrée remarquée dans la nouvelle année.

Par la suite, nous nous sommes revus à quelques apéros ici et là, mais mon pote était vigilant. Je n'avais pas de projet mal placé en tête mais bon les choses avaient bougé et j'étais plus attentif aux signaux potentiels. Durant mes masturbations je pensais de plus en plus souvent à elle, et même si je n'osais rien tenter, je crois que j'espérais qu'elle le fasse. Durant l'une de mes "sessions personnelles", j'ai commencé à lui écrire prétextant je ne sais plus trop quelle banalité pour ouvrir une brèche et tester son répondant. Ca a marché : elle ne me remballait pas, même si au départ ça restait bateau aussi. Dans ce genre moment, on est tout feu tout flamme, pour autant il ne faut pas oublier que l'autre n'a sans doute pas son pantalon sur les genoux en train d'imaginer comment il pourrait se servir de vous pour assouvir ses pulsions. Petit à petit, avec de très légers dérapages, j'ai constaté qu'elle était aussi réceptive aux écarts. Ce jour là j'ai rapidement joui, regrettant mon initiative et clôturant maladroitement la brèche ouverte.

N'importe qui avec un peu de libido débordante connait la chose : chasser le naturel et il revient au galop. A chacune de mes envies, je lui envoyais un message pour tâter un peu plus le terrain sans pour autant m'engager dans quoi que ce soit. En parallèle de ces conversions à la morale douteuse, nous nous retrouvions toujours aux évènements en commun et malgré des échanges qui auraient clairement pu nous valoir les foudres de mon pote et le jugement de la plupart de nos amis, nous gardions nos distances. Peut-être à cause de ça justement. Clairement, lui ne m'en voulait plus mais on le sentais quand même aux aguets.

Evidemment, nos échanges ont fini par déraper. Je n'ai plus le détail en mémoire mais ce que je sais c'est que pendant que j'étais en train de me stimuler tout en lui écrivant, sous couvert de "blague" nous avons commencer à imaginer ce que ça donnerait de se retrouver dans le même lit ensemble. Evidemment les choses ont commencé doucement et puis des détails salaces ont fait leur entrée sous couvert d'une confession qui se voulait peu sérieuse :"tu aimes ça toi ?! Moi je préfère que...". Jusqu'au moment où je lui ai demandé ce que ça lui ferait si j'étais en train de me branler en pensant à elle. Après quelques très longues secondes, elle me répondit d'un ton joueur qu'elle trouverait ça flatteur mais aussi que ça lui donnerait probablement envie de s'y mettre.

L'échange fut classique pour peu que vous ayez connu la chose : je lui demandais comment elle s'y prendrait, feignant l'évidence, elle finit par trouver un moyen subtile de me donner certains détails. Puis nous dérivâmes sur le type de pensée qui nous stimulerait. Je ne l'évoquais pas et elle ne m'évoquait pas, nous parlions tous deux d'une fille et d'un garçon qui nous ressemblaient étrangement et qui faisait tout ce que nous souhaitions. Ce jour là, o a commencé à s'envoyer des photos.

Un nouveau cap de franchi, occasionnellement nous remettions le couvert. Mon pote a capté qu'elle était tout le temps sur son tel et puis un jour, il m'a attrapé pour me cuisiner. Evidemment, j'étais mal à l'aise, j'ai tout nié. Finissant par me croire, il m'a fait part de ses vifs soupçons, du fait qu'il se sentait démuni. Je lui ai répondu qu'il n'y avait sans doute rien, que Sam était fidèle, que ce n'était pas son genre mais il m'a répondu qu'un soir il s'était réveillé parce qu'elle était en train de se masturber à côté de lui le téléphone à la main. Trop gêné par la situation il ne s'était pas manifesté. Surpris qu'il confie ça à moi, inquiet et excité à la fois, je lui demandais si ça ne l'avait pas un peu stimulé. Il me répondit qu'il était surtout inquiet dans l'immédiat.

Après ça, je décidais de calmer le jeu et j'expliquais à Sam que ça devenait chaud. Elle comprenait. Mais elle fut aussi surprise que moi qu'il m'eut pris pour confident. De fil en aiguille, on a commencé à fantasmer là dessus en se demandant ce qu'il penserait si nous faisions quelque chose et si ça ne lui plairait finalement pas. Pour la première fois, je pensais à elle, ses gros seins, ses lèvres pulpeuses et ses fesses rebondi en fonction de mon pote. Je pensais à moi en train de la prendre, elle la femme d'un autre et non pas juste une simple fille très attirante. Et là, je ne me suis jamais senti excité de toute ma vie.

En fait, au lieu de s'arrêter, ça nous a relancé de plus belle sauf que cette fois, j'ai commencer à la chauffer pour qu'elle même chauffe le pote. L'idée était stupide, mais en gros on tentait d'implanter le truc dans sa tête et que peut être comme ça on pourrait finir par se faire plaisir "dans la légalité" :) Elle a alors entrepris de s'occuper de lui plus fréquemment. De lui demander si ça ne lui plairait pas de le faire avec une autre fille pendant qu'elle le branlait etc. En parallèle, elle me racontais tous. C'était outrageusement délicieux et rien que d'y repenser j'en vibre encore. A un moment où elle s'occupait de lui avec ses douces mains, elle lui demanda enfin si ça lui plairait de la voir se faire prendre par un autre. Apparemment sa réaction fut sans équivoque : il ne dura guère longtemps et jouit abondamment.

Pendant quelques semaines, j'ai su tout ce qu'elle lui disais et ce qu'ils faisaient. Une chose est sure, mon pote avait ça enfoui en lui. A la fin, elle utilisait un gode à côté de lui en lui racontant ce qu'un ex lui avait fait pendant que mon pote devait s'occuper de lui-même. Je trouvais ça incroyable. Ensuite, elle lui a demandé s'il voulait qu'ils tentent quelque chose de réel. Ils ont commencé à y réfléchir ensemble. Lui, il lui a demandé ce qui lui plairait, elle, a fait mine d'être ouverte aux inconnus pour peu qu'ils lui plaisent mais a aussi fait entendre qu'autour d'eux se trouvait un certain potentiel.

Elle a réussi à lui faire entendre que c'était plus sur de se tourner vers un proche, qu'on savais à qui on avait à faire etc. Le pote n'étant pas idiot, il lui a demandé si elle pensait à moi à quoi elle répondit que je faisais partie des possibles. Quelques jours passent, et finalement ce dernier lui donne le feu vert. Un soir, je suis convié a aller chez eux pour mater un film. Je m'amène, C'est bizarre il y a une petite tension dans l'air mais on fait comme si de rien n'était. Je suis au courant que le dérapage fait partie des possibles mais une fois là-bas ça semblait surréaliste.

On est tous les 3 sous une couette sur le canap déplié. Je capte que les deux s'écrivent des textos. Au bout de 15-20 minutes, le pote nous dit qu'il s'endort devant le film et qu'il va se coucher. Je sais que c'est là. Pendant encore quelques minutes nous feignons de regarder le film. Et puis au final je me rapproche d'elle. Elle est sur la tranche, dos à moi. Sans mot dire, je pose ma main sur son dos. Je commence à bouger très doucement. Qui ne dit mot consent, je me rapproche un peu plus d'elle le cœur ballant. Je colle mon torse à son dos, passe ma main sur le haut de ses cuisses, elle est en pantalon mais c'est déjà très excitant. Elle commence à me rendre la pareille : de son bras dégagé, elle me touche l'épaule, le cou, le visage. Mes mains remontent vers ses hanches, j'en profite pour les passer sous son t-shirt. Mes doigts glissent sur son ventre et je sens ses halètements. Heureusement que la télé nous couvre, sinon je pense que mon pote nous entendra d'ici peu. Je commence à lui embrasser la nuque, elle ouvre la bouche, respire fort.

En cuillère, je pose ma main coincée sur son cul pendant que l'autre passe entre ses seins pour se poser sur sa gorge. A ce moment là je la tiens fermement contre moi et elle est totalement en chaleur. Pour la première fois je romps le silence : je lui demande naïvement si ça ne craint pas. Elle me répond que le pote doit être aux aguet en train "profiter" de la situation et que plus on prendra notre pied et mieux ce sera. Je me sens durcir comme une barre de fer, elle le sent surement aussi puisque sa main descend entre mes jambes.

Pendant qu'elle frotte sa paume sur mon jean, moi je glisse mes doigts dans sa culotte. Je la sens trempée. Apparemment cette situation l'excite autant que moi. En faisant passer mon autre bras sous son cou, je lui empoigne les seins. J'entreprends de la titiller jusqu'à ce qu'elle jouisse. Dans le même temps, elle défait tant bien que mal le bouton et la braguette pour faufiler sa main sur mon membre dur à son maximum. Sentir ses doigts sur moi est un régal. Je sens qu'elle n'est pas loin de jouir quand finalement l'envie qu'elle finisse sur ma langue prend le dessus. Je la mets sur le dos et cale ma tête entre ses cuisses, je sens d'abord une légère gène mais notre échauffement aidant, elle reprend vite le rythme. Ses mains dans mes cheveux, ma langue et mes doigts entre ses cuisses, elle jouit peu de temps après. Moi je n'en peux plus je suis trop chaud. Sans demander la permission ou autre, je profite de son extase et du flottement conséquent pour baisser franchement tout ce que j'ai sur moi et venir la prendre en missionnaire dans le plus simple appareil... sans capote. L'orgasme clitoridien l'a bien mise en place, elle est clairement prête à me recevoir. Je me sers contre elle, appuis mes pectoraux contre ses gros seins, elle est coincée sous moi, à la merci de mes mouvements et mes désirs.

De sa chambre, mon pote entendait sa copine gémir dans le salon avec un de ses plus proche amis. Elle ne se cachait pas, et moi non plus. Mes coup de reins étaient francs, je n'avais plus aucune honte, juste le souhait profond de me soulager à ses dépends. J'ai demandé à Sam si elle aimait qu'un autre garçon la prenne et elle a répondu que c'était ce qu'elle voulait. Je l'ai prévenu que j'allais jouir en elle et elle m'a dit le faire. J'étais aux anges. Je ne pense pas que le moment a duré longtemps. Je l'ai embrassé dans le même temps que je me vidais en elle, ce que je pense avoir fait en abondance vu mon excitation. Je la possédais totalement. Ca reste un des meilleurs moments de ma vie. Après ça, d'abord la défonce de l'orgasme, puis vint un moment de gène dont je semblais plus être atteint qu'elle. Je n'ai pas trop trainé et suis rentré chez moi pour le reste de la nuit.

Avec Sam, il y a eu d'autres aventures, il y avait eu une écartade avant. Mais bon ça fait déjà pas mal à lire. Si l'histoire intéresse quelqu'un j'en dirais plus ;)
titigrominet, Bernard68, Mia et 29 autres a liké
#2788730
Il n'y a pas à s'excuser d'écrire une histoire en détails, au contraire. Pour moi, le candaulisme c'est une foule de sentiments contradictoires, d'excitation coupable, de stimulation de l'imaginaire, de prise de risque, de montée d'adrénaline... Pour faire partager ces sentiments, je pense qu'il faut exposer le contexte, les doutes, les approches et les reculades, la montée en puissance des sentiments. Tout ça est très bien fait ici et j'espère qu'il y aura une suite.
Tdemanara a liké

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