- 17 mars 2024, 12:02
#2786191
A la suite des aveux « complets » de Sonia, mes sentiments changèrent. Non pas mes sentiments amoureux, car j’étais plus que jamais amoureux de ma jeune épouse, mais le mélange de colère et de jalousie qui m’avait d’abord agité avait totalement cédé la place aux désirs. Désir sexuel de posséder cette épouse partagée mais aussi désir effréné d’entendre les toutes dernières frasques de Sonia, et ceci dans leurs moindres détails. Ivre de ce puissant poison auquel on donne ce nom de candaulisme (un terme que je ne devais découvrir que plus tard), je me languissais en comptant les heures et les minutes qui me séparaient du retour de Sonia, incapable de me concentrer durablement sur la moindre tâche, me livrant à d’interminables séances d’onanisme. Chaque nouvelle confidence était précédée d’une espèce de rituel verbal. « Tu ne vas pas te fâcher ? Mais non, au contraire. Tu me promets que tu ne seras pas jaloux ? Mais bien sûr que non, etc. » (cet échange bien rodé me rappelait la scène du « le » dans l’Ecole des femmes, de Molière, quand Arnolphe, le vieux barbon suspicieux, presse instamment la jeune Agnès de s’expliquer pour comprendre si elle l’a fait cocu). Venait ensuite le moment délicieux de l’écoute masturbatoire, que je m’employais à faire durer le plus possible.
Pour agrémenter ses confidences et leur donner un degré de réalité suprème, Sonia me réservait aussi quelques surprises. Un jour, elle me montrait une petite zébrure sur une fesse, reste d’une fessée à la ceinture que Marco venait de lui administrer pour la punir d’être aussi salope. Une autre fois, elle me demandait de plonger ma tête dans ses cheveux. « Je lui ai dit de faire dans mes cheveux, comme ça tu pourrais en profiter ». Effectivement, quelques mèches de cheveux étaient bel et bien collées et me semblaient exhaler une odeur de sperme. Mais le comble fut atteint lorsque Sonia me remis une cassette video dans laquelle son amant et elle s’étaient filmés…
Le moins que l’on puisse dire est que Marco, dont la culture cinématographique devait se limiter à Rambo et aux films porno, ne s’était cassé la tête avec des finesses de montage. Tout commençait par un gros plan sur la fente de Sonia, à quatre patte et les jambes écartées. Un plan plus large suivait. Filmée dans son ensemble, Sonia se retournait en riant en demandant « ça va, comme ça ? ». Sans transition aucune, l’écran était ensuite occupé par une scène de pipe. Je découvrais enfin la bite de Marco, si souvent décrite et assez fidèlement, d’après ce que je pouvais en voir. Cette bite luisante de la salive de mon épouse. Sonia le pompait consciencieusement, les yeux bien ouverts, fixant l’objectif de la caméra. Je la voyais donc en quelque sorte me regarder, dans cette pose immensément obscène. Marco la saisissait ensuite par les cheveux pour lui imposer son rythme et faire pénétrer sa bite le plus loin possible. Sonia, habituellement assez délicate, se laissait complètement faire. Marco avait l’air de l’avoir dressée comme une des juments de son manège. Après un grossier mouvement de caméra, le film s’achevait par une scène de pénétration. Bien cambrée en levrette, mon épouse gémissait et finissait par crier littéralement, alors que Marco la besognait en l’insultant. Ce soir là, j’ai éjaculé pratiquement sans aucun concours extérieur…
La suite bientôt, après vos commentaires circonstanciés (quelques mots crus appréciés…).
Pour agrémenter ses confidences et leur donner un degré de réalité suprème, Sonia me réservait aussi quelques surprises. Un jour, elle me montrait une petite zébrure sur une fesse, reste d’une fessée à la ceinture que Marco venait de lui administrer pour la punir d’être aussi salope. Une autre fois, elle me demandait de plonger ma tête dans ses cheveux. « Je lui ai dit de faire dans mes cheveux, comme ça tu pourrais en profiter ». Effectivement, quelques mèches de cheveux étaient bel et bien collées et me semblaient exhaler une odeur de sperme. Mais le comble fut atteint lorsque Sonia me remis une cassette video dans laquelle son amant et elle s’étaient filmés…
Le moins que l’on puisse dire est que Marco, dont la culture cinématographique devait se limiter à Rambo et aux films porno, ne s’était cassé la tête avec des finesses de montage. Tout commençait par un gros plan sur la fente de Sonia, à quatre patte et les jambes écartées. Un plan plus large suivait. Filmée dans son ensemble, Sonia se retournait en riant en demandant « ça va, comme ça ? ». Sans transition aucune, l’écran était ensuite occupé par une scène de pipe. Je découvrais enfin la bite de Marco, si souvent décrite et assez fidèlement, d’après ce que je pouvais en voir. Cette bite luisante de la salive de mon épouse. Sonia le pompait consciencieusement, les yeux bien ouverts, fixant l’objectif de la caméra. Je la voyais donc en quelque sorte me regarder, dans cette pose immensément obscène. Marco la saisissait ensuite par les cheveux pour lui imposer son rythme et faire pénétrer sa bite le plus loin possible. Sonia, habituellement assez délicate, se laissait complètement faire. Marco avait l’air de l’avoir dressée comme une des juments de son manège. Après un grossier mouvement de caméra, le film s’achevait par une scène de pénétration. Bien cambrée en levrette, mon épouse gémissait et finissait par crier littéralement, alors que Marco la besognait en l’insultant. Ce soir là, j’ai éjaculé pratiquement sans aucun concours extérieur…
La suite bientôt, après vos commentaires circonstanciés (quelques mots crus appréciés…).