- 24 mars 2024, 15:06
#2788251
On connaissait cette adresse depuis quelques mois sans jamais avoir pu trouver le temps de s’y rendre. J’expliquais qu’on avait délaissé les établissements dédiés car trop convenus, trop attendus. Mais on a voulu retenter quand même après les désirs d’indépendance récents de Gaëlle.
Bref, on est allé à Pigalle dans un établissement spécialement prévu pour réunir des hommes chargés de baiser votre femme devant vous.
Gaëlle s’était vraiment habillée comme une actrice porno, escarpins, bas nylon, robe noire en cuir et maquillage qui allait bien. Une tenue adaptée au genre de femme qu’elle est la nuit… Je l’ai laissé marcher dans la rue devant moi pour observer les réactions des gens et force est de constater qu’elle ne laissait pas indifférents les hommes et les groupes d’hommes venus chercher dans les parages de quoi assouvir leurs pulsions. Certains se retournaient même pour la mater. Les quelques mètres qui nous séparaient me permettaient de capter certaines bribes de conversations à son propos « t’as vu » ( en la désignant du menton), « elle est trop bonne elle », « elle est là pour se faire baiser » et même « si j’étais son mec jamais je m’autoriserais à sortir comme ça! ». Sur les quelques centaines de mètres parcourus à pied, j’ai souri intérieurement en pensant que si je l’avais voulu, tous ceux là auraient pu avoir ma femme…
Cependant son honneur allait être sali par d’autres hommes à l’intérieur d’un établissement à la devanture discrète et globalement miteuse avec un homme qui porte un brassard SECURITE. Nous sommes accueillis par un homme d'un âge avancé qui est habitué à voir des couples. Il nous salue poliment tout en relookant Gaëlle, qui apprécie cet égard, et nous demande si nous sommes ensemble, nous répondant oui et il nous laisse entrer. Passé le petit sas fermé par un rideau, nous descendons la douzaine de marches qui nous amène au sous-sol. Nous continuons le long d'un couloir où nous passons une salle gloryhole puis une pièce au coeur de laquelle trône un grand lit rond. Nous arrivons dans l'espace bar où 6 hommes désœuvrés consomment. Ils nous saluent et matent ma femme, probablement des habitués. Nous buvons un verre puis je propose à Gaëlle d'aller dans la première salle. Lorsqu'elle se lève, tous se déplacent dans son sillage. Je suis seul dans la partie bar. J'attends une dizaine de minutes avec une érection en pensant à ma femme sucer frénétiquement des bites sans même voir les visages de leur propriétaire.
Je rejoins la fameuse pièce qui forme un U autour de la proie de la soirée. Je prends place parmi les inconnus et je les vois prendre du plaisir chacun leur tour. J'attends de voir si ma femme reconnaitra ma bite, en bout de file, après eux. Au bout de quelques minutes, elle me suce enfin, que c'est bon...
Après quelques secondes frustrantes de fellation experte, j'entends du mouvement de l'autre côté de la cloison et ses lèvres quittent mon gland. Je constate que mes voisins partent la rejoindre. Lorsque je réussi à faire le tour sans parvenir toutefois à entrer dans la pièce en raison de l'affluence... j'aperçois à peine au milieu des hommes, qui sont désormais une douzaine, la peau de ma femme accroupie en train de donner du plaisir à ces inconnus. Une file d'attente s'est spontanément formée jusqu'à cette pièce qui ne peut abriter que 3 ou 4 corps. Me voila dans une file d'attente pour baiser ma propre femme... Je trouve ca excitant d'autant que j'ignore s'ils sont commencer à la baiser. De même, j'ai tout le loisir d'écouter les conversations des malheureux comme moi qui attendent leur tour. Nous discutons de ma femme sans que je dévoile en être le mari. Ils disent qu'elle en veut, qu'elle est trop bonne qu'ils on envie de la baiser. Je surenchéri discrètement. Nous en venons à évoquer la présence ou non de son accompagnateur qui est "confiant de la laisser au milieu de nous" en rigolant. Elle ne pourra plus marcher demain, il va le retrouver en pièces détachées... Ces mots m'excitent autant que les bruits de fessées que je distingue entre les bruits de peau qui claquent. Je distingue aussi les cris et gémissements de ma femme qui est en train d'être souillée par tous ces inconnus.
Nous avançons au compte gouttes. Lorsque nous croisons les sortants ils nous souhaitent bon courage et font savoir qu'ils ne regrettent pas d'être venu ce soir. Il s'agirait là d'une salope comme on en croise une fois dans l'année ou qu'ils n'ont jamais vu ça. Je suis fier de ma femme, la toute discrète et effacée Gaëlle au quotidien qui se transforme en animal en manque de bite la nuit...
Lorsque vient presque mon tour je vois enfin la scène. Une déchéance totale, le corps de Gaëlle luit, recouverte de sueur et de sperme. Elle est comme possédée avec toutes ces bites autour d'elle, en elle. Je me masturbe comme les deux hommes devant moi qui attendent leur tour pour la baiser. Ils la liment quelques minutes et terminent sur son corps déjà maculé. C'est enfin à moi. Je pénètre en elle sans rencontrer les sensations escomptées. Elle est dilatée comme rarement. Mon orgasme ne peut pas venir des frottements dans sa chatte béante mais de l'idée que tous sont passés dedans avant moi. J'éjacule en elle puis je me retire pour laisser la place aux suivants qui la prennent sans ménagement. Elle ne m'a même pas regardé, elle ne doit même pas s'être rendue compte que c'était moi, trop obnubilée par les queues qui s'agitent devant elle et qu'elle gobe à la chaine.
En rejoignant le bar, je croise les derniers et malgré mon orgasme j'ai encore envie de la voir souillée et humiliée. Je revois ces images en boucle où ma femme sert littéralement de vide couilles à tous ces mecs qui en profitent égoïstement. J'attends une vingtaine de minutes avant de revoir les derniers s'éclipser. Je retourne la voir. Elle est à peine consciente, épuisée, allongée, oubliée, sans défense et totalement souillée. J'essai de réfléchir à quand je l'ai vue comme ça, à ce point, pour la dernière fois...
Je vais pour la réveiller lorsque l'homme chargé de la sécurité, muni de son brassard orange fait irruption dans la pièce et semble me demander du regarder s'il peut en profiter également. Je m'efface devant lui et lui offre ma femme. Il ne prend même pas la peine de se dévêtir entièrement et il baise Gaëlle quelques minutes avant de jouir en elle. Il se relève, referme sa braguette et repart aussi vite qu'il était arrivé.
Cette fois c'est bon, je la réveille et je la ramène à la maison pour la laver. Le plus difficile sera le trajet jusqu'à la voiture...
Bref, on est allé à Pigalle dans un établissement spécialement prévu pour réunir des hommes chargés de baiser votre femme devant vous.
Gaëlle s’était vraiment habillée comme une actrice porno, escarpins, bas nylon, robe noire en cuir et maquillage qui allait bien. Une tenue adaptée au genre de femme qu’elle est la nuit… Je l’ai laissé marcher dans la rue devant moi pour observer les réactions des gens et force est de constater qu’elle ne laissait pas indifférents les hommes et les groupes d’hommes venus chercher dans les parages de quoi assouvir leurs pulsions. Certains se retournaient même pour la mater. Les quelques mètres qui nous séparaient me permettaient de capter certaines bribes de conversations à son propos « t’as vu » ( en la désignant du menton), « elle est trop bonne elle », « elle est là pour se faire baiser » et même « si j’étais son mec jamais je m’autoriserais à sortir comme ça! ». Sur les quelques centaines de mètres parcourus à pied, j’ai souri intérieurement en pensant que si je l’avais voulu, tous ceux là auraient pu avoir ma femme…
Cependant son honneur allait être sali par d’autres hommes à l’intérieur d’un établissement à la devanture discrète et globalement miteuse avec un homme qui porte un brassard SECURITE. Nous sommes accueillis par un homme d'un âge avancé qui est habitué à voir des couples. Il nous salue poliment tout en relookant Gaëlle, qui apprécie cet égard, et nous demande si nous sommes ensemble, nous répondant oui et il nous laisse entrer. Passé le petit sas fermé par un rideau, nous descendons la douzaine de marches qui nous amène au sous-sol. Nous continuons le long d'un couloir où nous passons une salle gloryhole puis une pièce au coeur de laquelle trône un grand lit rond. Nous arrivons dans l'espace bar où 6 hommes désœuvrés consomment. Ils nous saluent et matent ma femme, probablement des habitués. Nous buvons un verre puis je propose à Gaëlle d'aller dans la première salle. Lorsqu'elle se lève, tous se déplacent dans son sillage. Je suis seul dans la partie bar. J'attends une dizaine de minutes avec une érection en pensant à ma femme sucer frénétiquement des bites sans même voir les visages de leur propriétaire.
Je rejoins la fameuse pièce qui forme un U autour de la proie de la soirée. Je prends place parmi les inconnus et je les vois prendre du plaisir chacun leur tour. J'attends de voir si ma femme reconnaitra ma bite, en bout de file, après eux. Au bout de quelques minutes, elle me suce enfin, que c'est bon...
Après quelques secondes frustrantes de fellation experte, j'entends du mouvement de l'autre côté de la cloison et ses lèvres quittent mon gland. Je constate que mes voisins partent la rejoindre. Lorsque je réussi à faire le tour sans parvenir toutefois à entrer dans la pièce en raison de l'affluence... j'aperçois à peine au milieu des hommes, qui sont désormais une douzaine, la peau de ma femme accroupie en train de donner du plaisir à ces inconnus. Une file d'attente s'est spontanément formée jusqu'à cette pièce qui ne peut abriter que 3 ou 4 corps. Me voila dans une file d'attente pour baiser ma propre femme... Je trouve ca excitant d'autant que j'ignore s'ils sont commencer à la baiser. De même, j'ai tout le loisir d'écouter les conversations des malheureux comme moi qui attendent leur tour. Nous discutons de ma femme sans que je dévoile en être le mari. Ils disent qu'elle en veut, qu'elle est trop bonne qu'ils on envie de la baiser. Je surenchéri discrètement. Nous en venons à évoquer la présence ou non de son accompagnateur qui est "confiant de la laisser au milieu de nous" en rigolant. Elle ne pourra plus marcher demain, il va le retrouver en pièces détachées... Ces mots m'excitent autant que les bruits de fessées que je distingue entre les bruits de peau qui claquent. Je distingue aussi les cris et gémissements de ma femme qui est en train d'être souillée par tous ces inconnus.
Nous avançons au compte gouttes. Lorsque nous croisons les sortants ils nous souhaitent bon courage et font savoir qu'ils ne regrettent pas d'être venu ce soir. Il s'agirait là d'une salope comme on en croise une fois dans l'année ou qu'ils n'ont jamais vu ça. Je suis fier de ma femme, la toute discrète et effacée Gaëlle au quotidien qui se transforme en animal en manque de bite la nuit...
Lorsque vient presque mon tour je vois enfin la scène. Une déchéance totale, le corps de Gaëlle luit, recouverte de sueur et de sperme. Elle est comme possédée avec toutes ces bites autour d'elle, en elle. Je me masturbe comme les deux hommes devant moi qui attendent leur tour pour la baiser. Ils la liment quelques minutes et terminent sur son corps déjà maculé. C'est enfin à moi. Je pénètre en elle sans rencontrer les sensations escomptées. Elle est dilatée comme rarement. Mon orgasme ne peut pas venir des frottements dans sa chatte béante mais de l'idée que tous sont passés dedans avant moi. J'éjacule en elle puis je me retire pour laisser la place aux suivants qui la prennent sans ménagement. Elle ne m'a même pas regardé, elle ne doit même pas s'être rendue compte que c'était moi, trop obnubilée par les queues qui s'agitent devant elle et qu'elle gobe à la chaine.
En rejoignant le bar, je croise les derniers et malgré mon orgasme j'ai encore envie de la voir souillée et humiliée. Je revois ces images en boucle où ma femme sert littéralement de vide couilles à tous ces mecs qui en profitent égoïstement. J'attends une vingtaine de minutes avant de revoir les derniers s'éclipser. Je retourne la voir. Elle est à peine consciente, épuisée, allongée, oubliée, sans défense et totalement souillée. J'essai de réfléchir à quand je l'ai vue comme ça, à ce point, pour la dernière fois...
Je vais pour la réveiller lorsque l'homme chargé de la sécurité, muni de son brassard orange fait irruption dans la pièce et semble me demander du regarder s'il peut en profiter également. Je m'efface devant lui et lui offre ma femme. Il ne prend même pas la peine de se dévêtir entièrement et il baise Gaëlle quelques minutes avant de jouir en elle. Il se relève, referme sa braguette et repart aussi vite qu'il était arrivé.
Cette fois c'est bon, je la réveille et je la ramène à la maison pour la laver. Le plus difficile sera le trajet jusqu'à la voiture...
du coup je vais aller embêter mes deux hommes 
