- 12 avr. 2024, 16:30
#2792048
Je porte autour de mon cou le collier que viens de m'offrir mon époux et Maître et qui est la marque de ma totale soumission que j'accepte avec plaisir. Je me doit de répondre à ses désirs mêmes les plus osés et j'avoue qu'il n'est jamais a cour d'idées. Moi je ne sais jamais rien de ses projets pour moi je me contente juste obéir.
En cette fin de journée, je porte un tailleur strict une jupe au dessus du genoux un haut fermé par deux boutons laissant apparaître un corset noir au laçage rouge des bas résilles et une paire d'escarpins rouge vernis je porte évidement mon collier rappelant ma condition de soumise.
Nous prenons la voiture, direction de Montreuil, sur le chemin mon époux m'annonce que je vais être livrée pour un bukkake a un groupe de blacks. Pour ce soir les règles seront plutôt simple, en effet je serais attachée bras et jambes en croix livrée aux queues présentent, chaque personne devra pour terminer me jouir sur le visage.
Voici l'entrée d'une zone industrielle, nous passons la grille et nous nous garons sur le parking. Nous prenons l'escalier A et montons au second étage de cet immense entrepôt, de grandes porte coulissante de deux mètres sur deux numérotés s'aligne devant nous. Devant la porte huit nous frappons et le panneau métallique coulisse.
Me voici dans un entrepôt, des machines a coudre, du tissus. Dans un coin, devant un groupe d'hommes noirs, un lit métallique une place, a barreaux juste recouvert d'un matelas sans draps. Des bracelets de cuir reliés a des chaînes aux quartes coins de la literie m'attendent. Mon Maître me conduit vers le lit et m'entraves, les jambes puis les bras.
Me voila écartelée prête a subir les assauts des mâles dont certains sont déjà en érection devant ce spectacle.
Le premier black monte sur le lit et remonte ma jupe pendant que mon mentor me dépose une grosse giclée de gel sur mon entrecuisse, pendant ce temps le mec passe un préservatif.
Je sent sont gland qui s'introduit en moi et comment son va et vient, puis il laisse la place au second tandis qu'il déverse sa semence sur mes lèvres puis un autre le remplace et ainsi de suite , un des hommes au membre très épais va pour me prendre quand mon maître lui lance:
— Prend lui le cul et encule la bien a fond.
Aussitôt dit aussitôt fait, je sent ses doigts qui écartent mes fesses, sa bite de très gros diamètre me perfore l'anus en m'arrachant un cri de douleur. Il me fait mal et du bien me défonce les entrailles ,mais j'adore ça. D'autres se succèdent en moi dans ma chatte dans mon cul. Je suis folle de plaisir j'hurle ma jouissance sous les insultes et les mots crus des blacks qui continuent de me passer dessus et en suite à m'étaler leur foutre sur ma face.
Je suis épuisée et j'ai maintenant le visage englué de chaude sécrétion malodorante, gluante et blanchâtre. Mon front, mes yeux et ma bouche en son recouvert , pas un centimètre de ma figure n'est épargné.
On me détache et je reste allongée un instant, mon cul dilaté me fait mal et ma chatte est rougie par toutes les pénétrations, mes bras mes jambes sont endolories.
Je me lève et mon visage est crémé par ce foutre d'africains qui se sont répandus sur moi.
Mon Maître m'annonce que la séance n'est pas terminée et que maintenant je n'est pas le droit de m'essuyer, je doit rajuster ma tenue et sortir ainsi dans la rue le visage couverte de jus.
Il est vingt et une heure et même si les rues sont assez peu fréquentées, mais un ordre est un ordre et je me doit d'obéir. C'est pourquoi me voila qui sort du hangar et de la zone industriel en direction de notre véhicule dans une rue .
Je déambule dans les rues le sperme me coule partout, mes yeux me brûles, de mon menton dégouline un filet de foutre. Un petit groupe de jeune me regardent et me sifflent, je leurs retourne un sourire dégoulinant de sperme.
Je retourne a la voiture ou mon homme au volant prend la direction du centre ville tout en m'interdisant toujours de nettoyer le foutre qui me macule le visage.
Nous passons devant un petit restaurant vente a emporter. Mon époux se gare devant, la salle est vide hormis les deux hommes derrière le comptoir. Il me demande d'aller commander deux kebabs.
J'hésite, je n'ose pas trop mais je sais que mon statut de soumise ne m'autorise pas a refuser les ordres de mon homme.
J'entre dans les salle et je me dirige vers le comptoir deux grands africains qui me dévisagent , mon visage dégoulinant les fait rire.
Je demande deux kebabs, les plus massif des deux me lance:
— Salade tomates oignons et je suis sur lui met avec sauce blanche ?
Et il éclate de rire
Moi je regarde mon mentor qui me fait oui de la tête, je comprend très vite ce qu'il souhaite:
— Oui je veux bien double dose ?
C'est celui qui se trouve dans le fond de la cuisine qui répond:
— Elle n'a qu'a passer derrière et elle aura tout toute la sauce qu'elle voudra.
Et me voila dans le coin qui sert de cuisine a genoux sur un carton a sucer les deux cuistots qui bandent déjà très durs.
Un des black me demande si je veux qu'il me baise, j'ai la queue de sont collègue en bouche et j'acquiesce de la tête. Il me dit les suivent dans les chiottes, et me voila dans les toilettes qui donnent directement sur la salle, au passage mon homme me tend une poignée de capotes.
Mon black baisse sont pantalon et s'assoie sur la cuvette sa bite est bien raide.
Je déroule un préservatif dessus, me retourne et je descend sur sont dard que j'enfonce profondément en moi, je laisse la porte ouverte pour que mon mari profite du spectacle. En quelques minute il m'annonce qu'il va jouir il retire sa capote et me crache sa crème sur mon ventre et sur ma jupe.
Le second arrive passe une protection et me retourne face au mur, il place sont gland sur mon cul et sentant qu'il est déjà humide l'inverti en une poussée, il attaque des vas et viens rapides et puissants. Lui aussi enlève sont chapeau me dépose sur les toilettes et m'enfourne sont chibre dans ma bouche et libère des flots de jus bien crémeux dans la gorge, j'avale sont tribut sans en perdre une goutte.
Nous quittons le restaurant en oubliant nos kebabs, non sans avoir remerciés les occupants du lieu et retour a la maison ou j'ai enfin l'autorisation de prendre une bonne douche bien méritée.
En cette fin de journée, je porte un tailleur strict une jupe au dessus du genoux un haut fermé par deux boutons laissant apparaître un corset noir au laçage rouge des bas résilles et une paire d'escarpins rouge vernis je porte évidement mon collier rappelant ma condition de soumise.
Nous prenons la voiture, direction de Montreuil, sur le chemin mon époux m'annonce que je vais être livrée pour un bukkake a un groupe de blacks. Pour ce soir les règles seront plutôt simple, en effet je serais attachée bras et jambes en croix livrée aux queues présentent, chaque personne devra pour terminer me jouir sur le visage.
Voici l'entrée d'une zone industrielle, nous passons la grille et nous nous garons sur le parking. Nous prenons l'escalier A et montons au second étage de cet immense entrepôt, de grandes porte coulissante de deux mètres sur deux numérotés s'aligne devant nous. Devant la porte huit nous frappons et le panneau métallique coulisse.
Me voici dans un entrepôt, des machines a coudre, du tissus. Dans un coin, devant un groupe d'hommes noirs, un lit métallique une place, a barreaux juste recouvert d'un matelas sans draps. Des bracelets de cuir reliés a des chaînes aux quartes coins de la literie m'attendent. Mon Maître me conduit vers le lit et m'entraves, les jambes puis les bras.
Me voila écartelée prête a subir les assauts des mâles dont certains sont déjà en érection devant ce spectacle.
Le premier black monte sur le lit et remonte ma jupe pendant que mon mentor me dépose une grosse giclée de gel sur mon entrecuisse, pendant ce temps le mec passe un préservatif.
Je sent sont gland qui s'introduit en moi et comment son va et vient, puis il laisse la place au second tandis qu'il déverse sa semence sur mes lèvres puis un autre le remplace et ainsi de suite , un des hommes au membre très épais va pour me prendre quand mon maître lui lance:
— Prend lui le cul et encule la bien a fond.
Aussitôt dit aussitôt fait, je sent ses doigts qui écartent mes fesses, sa bite de très gros diamètre me perfore l'anus en m'arrachant un cri de douleur. Il me fait mal et du bien me défonce les entrailles ,mais j'adore ça. D'autres se succèdent en moi dans ma chatte dans mon cul. Je suis folle de plaisir j'hurle ma jouissance sous les insultes et les mots crus des blacks qui continuent de me passer dessus et en suite à m'étaler leur foutre sur ma face.
Je suis épuisée et j'ai maintenant le visage englué de chaude sécrétion malodorante, gluante et blanchâtre. Mon front, mes yeux et ma bouche en son recouvert , pas un centimètre de ma figure n'est épargné.
On me détache et je reste allongée un instant, mon cul dilaté me fait mal et ma chatte est rougie par toutes les pénétrations, mes bras mes jambes sont endolories.
Je me lève et mon visage est crémé par ce foutre d'africains qui se sont répandus sur moi.
Mon Maître m'annonce que la séance n'est pas terminée et que maintenant je n'est pas le droit de m'essuyer, je doit rajuster ma tenue et sortir ainsi dans la rue le visage couverte de jus.
Il est vingt et une heure et même si les rues sont assez peu fréquentées, mais un ordre est un ordre et je me doit d'obéir. C'est pourquoi me voila qui sort du hangar et de la zone industriel en direction de notre véhicule dans une rue .
Je déambule dans les rues le sperme me coule partout, mes yeux me brûles, de mon menton dégouline un filet de foutre. Un petit groupe de jeune me regardent et me sifflent, je leurs retourne un sourire dégoulinant de sperme.
Je retourne a la voiture ou mon homme au volant prend la direction du centre ville tout en m'interdisant toujours de nettoyer le foutre qui me macule le visage.
Nous passons devant un petit restaurant vente a emporter. Mon époux se gare devant, la salle est vide hormis les deux hommes derrière le comptoir. Il me demande d'aller commander deux kebabs.
J'hésite, je n'ose pas trop mais je sais que mon statut de soumise ne m'autorise pas a refuser les ordres de mon homme.
J'entre dans les salle et je me dirige vers le comptoir deux grands africains qui me dévisagent , mon visage dégoulinant les fait rire.
Je demande deux kebabs, les plus massif des deux me lance:
— Salade tomates oignons et je suis sur lui met avec sauce blanche ?
Et il éclate de rire
Moi je regarde mon mentor qui me fait oui de la tête, je comprend très vite ce qu'il souhaite:
— Oui je veux bien double dose ?
C'est celui qui se trouve dans le fond de la cuisine qui répond:
— Elle n'a qu'a passer derrière et elle aura tout toute la sauce qu'elle voudra.
Et me voila dans le coin qui sert de cuisine a genoux sur un carton a sucer les deux cuistots qui bandent déjà très durs.
Un des black me demande si je veux qu'il me baise, j'ai la queue de sont collègue en bouche et j'acquiesce de la tête. Il me dit les suivent dans les chiottes, et me voila dans les toilettes qui donnent directement sur la salle, au passage mon homme me tend une poignée de capotes.
Mon black baisse sont pantalon et s'assoie sur la cuvette sa bite est bien raide.
Je déroule un préservatif dessus, me retourne et je descend sur sont dard que j'enfonce profondément en moi, je laisse la porte ouverte pour que mon mari profite du spectacle. En quelques minute il m'annonce qu'il va jouir il retire sa capote et me crache sa crème sur mon ventre et sur ma jupe.
Le second arrive passe une protection et me retourne face au mur, il place sont gland sur mon cul et sentant qu'il est déjà humide l'inverti en une poussée, il attaque des vas et viens rapides et puissants. Lui aussi enlève sont chapeau me dépose sur les toilettes et m'enfourne sont chibre dans ma bouche et libère des flots de jus bien crémeux dans la gorge, j'avale sont tribut sans en perdre une goutte.
Nous quittons le restaurant en oubliant nos kebabs, non sans avoir remerciés les occupants du lieu et retour a la maison ou j'ai enfin l'autorisation de prendre une bonne douche bien méritée.
