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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
#2792367
Samedi, 9h. Tu te lèves, tout est silencieux. Tu enfiles ta tenue de maid, ta tenue de sissy cocue.

Tu passes alors dans la cuisine pour préparer le petit déjeuner. La tâche n’est pas simple, tu ne sais pas quand Madame se réveillera. La cloche peut sonner à tout instant. Mais pour autant, tu ne peux pas tout préparer en avance. Il ne faut pas que les tartines grillées soient sèches et froides, le café doit être fumant. Il faut que tout soit parfait. Tu veux lui faire honneur, tu veux lui montrer à quel point tu lui est dévouée. Et peut-être qu’alors ils te laisseront la toucher, ou même te soulager?

Un murmure parvient de la chambre. Tu entends le froissement des draps. Des rires. Tout à coup, un tintement de cloche, c’est toi qu’on appelle! Tu accours, et tu frappes trois coups à la porte de sa chambre. Elle crie “Entre donc!”.

Tu ouvres la porte. Elle est assise dans le lit, et moi, son amant, son maître, je suis à côté d’elle. La voir ainsi, aussi belle, mais inaccessible te fait toujours quelque chose.
Tu prends les plis de ton uniforme et fais la révérence, comme il se doit. Nous te regardons, avec bienveillance, mais aussi avec ce petit air pervers qui nous caractérise dans ces moments.

- Bonjour Madame. Bonjour Monsieur
- Bonjour. Tu as été discrète, on ne t’as pas entendu arriver. Est-ce que le petit déjeuner est prêt?
- Je l’amène tout de suite Monsieur.
- Bien.

Tu fonces à la cuisine et en un éclair, tu tires deux cafés. Cette maudite cafetière n’avance pas, tu pestes, mais tu en profites pour récupérer les tartines. Il crie: “Alors ça vient? C’est plus ce que c’était le service dans cette maison”. Tu en fais tomber les sucres à côté de la coupelle, mais enfin c’est prêt.

Tu déposes le plateau sur les draps en t’excusant pour le temps que ça a pris, puis tu t’agenouilles à côté du lit, près de la table de nuit, en faisant attention à ne pas froisser ta jupette. C’est alors que tu remarques les contraintes en cuir, près des préservatifs usagés de la nuit. Je te demande de te retourner et de passer les bras dans le dos pour les mettre. J’ajuste aussi un bâillon boule dans ta bouche.

Ces simples contraintes et cette posture te font sentir encore plus réduite à l’impuissance. Tu es véritablement à notre disposition.

Nous déjeunons tranquillement, en parlant de tout et de rien. La bave commence un peu à couler sur tes lèvres. Tu fais tout ce que tu peux pour ne pas t’en mettre partout et ne pas salir la moquette. Tu sais que nous serions capables de te la faire lécher tout en relevant ta jupette pour t’administrer de grands coups de paddle.

- Au fait, j'espère que ta cage est toujours bien en place?
Évidemment comment serait-elle partie, mais tu sais que tout cela n’est destiné qu’à te rappeler ta condition. Tu fais oui de la tête. Je tend le bras pour relever ta tenue, et prend un air satisfait et moqueur.

Je suis nu aussi, et après qu’elle ait posé le plateau de l’autre côté du lit et commencé à me masser, tu constates que mon membre a toute la place pour s’étendre, au contraire du tien qui se sent contraint par l’ustensile en acier.

Tu sais que ce n’est pas ta place, mais tu ne peux t’empêcher d’imaginer ses doigts agiles autour de ton sexe, et cela le fait gonfler jusqu’à devenir douloureux. Un cocu comme toi n’a pas besoin de bander. Malheureusement pour toi les vieux réflexes sont toujours là, bien présents.

J’ai inséré mes doigts dans son sexe à elle, et commence à lui parler d’une manière qui te choque. Madame, soudain considérée comme une simple traînée. Cela te révulse et t’excite à la fois.

- Hum tu es bien mouillée ma salope. Tu as encore envie hein, tu ne peux jamais t’arrêter! Montre lui comme tu es bien mouillée.

Elle se place à califourchon sur le lit. Quand à moi je me place à tes côtés. Je te regarde dans les yeux et te demande si tu veux voir de plus près. Tu paniques et fais oui et non de la tête, tu ne sais plus.

J’empoigne tes cheveux et rapproche ta tête de sa vulve humide. Malgré la semi obscurité, tu peux distinguer l’humidité qui perle le long de ses lèvres.

- Allez renifle là, dis moi ce que tu en penses. Tu crois qu’elle est assez mouillée pour que je la défonce devant toi?

Je continue de t’approcher d’elle, tu peux presque la toucher du bout du nez, tu forces un peu en avant. Je tire en arrière.

- Oh la doucement! Juste renifler j’ai dit, allez vas y, comme une bonne chienne, comme ta Maîtresse, renifle!

L’odeur te monte au nez, douce et légèrement piquante.
- Alors, tu penses qu’elle est prête? Tu ne sais pas? Attends!

Je te retire le bâillon boule, puis plonge mon pouce dans sa chatte. Elle soupire d’aise. Je le ressort aussi vite, et te le met dans la bouche.

- Alors qu’est ce que tu en penses? Elle a bon goût ta maîtresse? Elle est prête?
- Oui Monsieur!
- Bien. Maintenant je vais te montrer comme elle n’est qu’une chienne comme toi. Simplement une chienne, mais la cheffe de la meute!

Je replonge ma main dans son vagin, en lui tirant la tête en arrière par les cheveux et lui demande
- N’est ce pas que tu es ma chienne?
- Oui Monsieur, je suis à vous.

Je lui administre une forte claque sur les fesses, et lui donne l’ordre de se tourner pour que tu puisses bien voir. Pendant ce temps là, j’enfile un préservatif et te lance

- Je vais te montrer comment on s’occupe de la cheffe de meute!

Madame est agenouillée devant toi, les mains maintenant dans le dos tenu par son maître, qui s’enfonce en elle directement. Je la pilonne sans ménagement, comme si j’utilisais un simple objet pour me branler. On dirait qu’elle apprécie car elle se met rapidement à gémir, et a répéter “putain, putain” en boucle.

- Regarde comme elle aime ça, cette salope. Tu vois quand on la baise bien comme ça, elle sait obéir. Mais toi ça ne t’arrivera jamais.

Tout à coup, elle s’écroule. Achevée.
J’enlève la capote d’un geste, la noue et te la jette à la figure.

- Allez, ramasse moi tout ça avec ta bouche et va me les jeter à la poubelle. Si tu t’en sors bien je te laisserai lécher ses pieds, on n’est pas des monstres!

(récit imaginaire, mais peut-être bientôt du vécu, qui sait?)
Cocucornu, dorian1, elixir27 et 7 autres a liké
#2792828
Scenario très intéressant. Je pense qu'il faut un peu d'expérience dans le domaine pour soumettre un couple de cette manière.
#2793005
Merci,
Oui ça ne se fait pas en un jour, il faut travailler sur soi et apprendre à bien comprendre les ressorts de la soumission.
Il faut aussi bâtir de la confiance avec ses partenaires. Disons que ce n'est pas le premier scénario à tenter. Mais quand tout est en place, c'est mémorable!

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