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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

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par Opium
#103178
Nouvellement inscrit sur ce site, je souhaite vous faire partager mon histoire qui s’est déroulée en avril 2010.

Dans un souci d’authenticité je n’ai pas souhaité changer les lieux, prénoms et dialogue de cette fabuleuse Aventure.

Je venais de prendre mes fonctions d’ingénieur commercial au siens d’un groupe anglo-américain dans le secteur des réseaux de télécommunications.

J’avais pour directeur un homme charmant et cultivé, il était en poste depuis 1998 et dirigeait son service avec une maîtrise parfaite et une capacité inouïe a motivé « ses troupes ».

Entre Alain et moi le courant était rapidement passé, nous partagions la même vision de l’approche commerciale et nous avions en commun deux passions, celle des belles montres de collection et l’univers du Whisky.

Il était fier de sa nouvelle « recrue » et chaque trimestre il me donnait de nouveaux challenges que je dépassais avec mon éternel esprit de compétition.
Il est clair que notre « relation » était mal vu par l’ensemble des autres commerciaux mais je ne prêtais pas attention et je continuais à faire « rentrer du chiffre »

Un jeudi soir, alors que je quittais le siège parisien du groupe, il m’a proposé de passer dimanche après midi pour une dégustation de whisky et me faire découvrir sa collection de montres.

Le rendez vous était fixé pour dimanche vers 17h00.

Je passais ma journée de vendredi et mon samedi sans me douter une seule seconde que j’allais vivre une relation exceptionnelle et intense en émotion, une Histoire qui marqua à tout jamais ma vie d’homme…

Bien entendu, je m’empressais de me rendre à la Maison du Whisky, rue d’Anjou à Paris, pour lui offrir un pur malt de qualité, par la même occasion je passais chez Fauchon place de la Madeleine pour prendre une boîte de chocolat pour son épouse.

Alain vivait dans le 9ème arrondissement de Paris et étant moi même dans le 9ème je me rendais à pied chez lui.

Arrivé devant son immeuble je sonnais à l’interphone

Une voix féminine me répondu

« Oui ? »

« Bonjour, c’est Olivier le collègue de votre mari »

« Je vous ouvre, c’est au troisième »

J’entrais dans un immeuble cossu pavé de marbre et de grands miroirs… merci à ce cher Baron Haussmann qui a transfiguré le paysage parisien.

J’avais décidé de m’habiller casual, je portais un jeans avec une chemise, je voulais un peu casser l’ambiance travail.

Je sonnais à la porte, la maîtresse de maison m’ouvrit.

Je me trouvais face à une femme d’une cinquantaine d’années, de petite de taille, cheveux blonds, yeux verts pétillants.
Elle portait une jupe droite avec un chemisier en soie bleu nuit et des escarpins assortis, le tout serré à la taille par une ceinture Hermès.

« Elisabeth, je suis enchanté, entrez je vous en prie, Alain m’a si souvent parlé de vous et de vos prouesses commerciales »

Je jouais la carte de la modestie « Je fais de mon mieux et pour ne rien vous cacher j’aime vraiment mon métier »

J’avançais dans un appartement meublé avec goût, de grandes portes, un beau parquet en chêne, de belles boiseries au plafond.

« Alain est dans son bureau il est en communication avec notre fils qui fait un stage à Madrid, installez vous il ne va pas tarder »

« Tenez c’est pour vous »

« Oh il ne fallait pas se déranger, c’est très gentil je vous en remercie »

Cette femme dégageait une aura particulière, son allure, son charme et sa prestance retenait toute mon attention mais j’étais à mille lieux d’imaginer la suite des événements

Je regardais la maîtresse de maison s’éloignait et je restais scotché par son allure…

J’habite près des Galeries Lafayette et j’ai l’occasion de croiser au quotidien de belles femmes mais l’épouse d’Alain avait quelque chose qui me troublait particulièrement.

Alain ne m’avait jamais parlé de sa femme ou de ses enfants, il était bon vivant, chaleureux, mais discret sur sa vie privée.

Je m’installais dans le salon qui donnait sur la place Saint Georges.

« Olivier »

Alain s’avançait vers moi avec un large sourire, c’était la première fois que je le rencontrais en dehors du travail et de surcroît sans le traditionnel « costume – cravate »

« Bonjour Alain, merci pour l’invitation »

« Je t’en prie ça me fait extrêmement plaisir, au fait il ne fallait pas te déranger, allez viens, suis moi je vais te faire rêver »

Nous avons traversé ce grand appartement pour arrivés dans son bureau

« Approche »

Il s’installa près d’une sorte de petit coffre et en ouvrit la porte

« Regarde, ma plus belle pièce »

J’étais émerveillé…une montre Jaeger Le Coultre tourbillon

« C’est Elisabeth qui me l’a offerte pour mes 50 ans »

Pendant quelques minutes il m’a montré sa collection de toquantes, une pacha de Cartier, une Rolex GMT II, une IWC réserve de marche, une Chaumet heure sautante et d’autres modèles qui m’ont fait rêvé.

Nous nous sommes installés côte à côte, et pendant qu’il me dévoilait sa collection je glissais un œil furtif sur son bureau, il était impeccablement rangé.
Je remarquais une photo de son épouse allongée sur une plage bordée de palmier, je découvrais sa femme en maillot de bain deux pièces, et malgré sa bonne cinquantaine elle avait gardé un corps magnifique, de beaux seins lourds…

Il remarqua mon absence et me dit « une belle femme hein ? »

Je devenais rouge pivoine, je ne savais plus où me mettre tellement je me sentais confus et honteux je balbutias « oui…elle est très jolie »

A cet instant il me regarda avec un regard à la fois complice et sournois ce qui me déstabilisa davantage.

« Elle plaît beaucoup aux hommes et depuis qu’elle a vendu son agence de com. elle prend davantage soins de son corps, je le trouve de plus en plus belle »

J ‘étais embarrassé par ses propos mais je ne pouvais que confirmer son point de vue.

« Et encore tu n’as pas tout vu »

Il s’est installé devant son mac et a commencé à me montrer des photos de sa femme lors de soirée ou en vacances, chaque photo laissait apparaître une femme sensuelle, pleine de charme, et terriblement désirable…

Il était fier de son « trophée » Alain avait un esprit de chasseur et ce n’est que plus tard que j’ai compris que j’étais en fait une de ses proies, il avait décidé dès les premiers jours que j’allais devenir son nouveau « trophée » et qu’il pouvait obtenir de moi ce qu’il souhaitait…

Un frisson parcouru mon dos, je réalisais que tout ce qu’il me faisait faire au travail s’était une façon de prendre le contrôle sur moi
Comme un bon petit soldat j’exécutais tout, il était parvenu à faire en sorte que je me dépasse, que me livre à lui sans retenue, sans même imaginais une seule seconde que j’étais entre ses mains…

Des flashback envahissait ma tête, je me souvenais de conversations au café où je lui parlais de ma vie privé, de mes relations avec les femmes… alors qu’il restait mué à ce sujet.

« Elle est terrible n’est ce pas ? »

Etant troublé par cette découverte je lâchais un simple « Oui »

« Si j’ai bonne mémoire tu m’as dit que tu avais une attirance pour les femmes très bcbg et plus âgée que toi »

Je sentais le sang me montait à la tête, je réalisais combien cet homme était un grand manipulateur…

« As tu déjà entendu parlé du candaulisme ? »

« Du quoi ? »

« Je vais te montrer »

Je ne savais plus où j’étais, j’avais l’impression que cet homme assis à mes côtés m’avait soutiré une série d’information de la manière la plus simple du monde, en m’attirant dans ses filets il avait lu en moi comme dans un livre ouvert.

A présent apparaissait à l’écran des photos de couples ou plutôt d’un couple avec un homme à côté, les protagonistes avaient tous le visage flouté, et les situations était ambigües…. L’homme était généralement assis ou près de la femme tandis que le deuxième homme était dans les bras de la femme…

« Tu vois le candaulisme cela se résume à cela, le fait d’avoir du plaisir à regarder sa femme dans les bras d’un autre homme…
C’est tout un rituel, il y a d’abord la préparation, la façon de l’habiller, de la parfumer, puis la conduire à l’Autre…
Enfin pouvoir l’admirer, écouter sa voix, ses cris, capter ses regards, ses émotions, l’entendre jouir, prendre du plaisir avec cet homme.
Bien entendu, pour réaliser cela il faut trouver la perle rare, l’homme courtois et prévenant, un homme complice qui sache où sont les limites, un partenaire de jeux pervers et vicieux, un amant galant et délicat, cérébral et joueur, en fait pour que la relation soit parfaite il faut une osmose véritable à trois, une fusion des êtres »

J’étais totalement dépassé par ce qui m’arrivais je vous assure que chaque mot qui sortait de sa bouche faisait échos dans ma tête, et je m’en souviens encore aujourd’hui… je me sentais liquéfier, cet homme, mon directeur commercial, cette personne que je côtois au quotidien est en train de me parler d’une relation avec sa femme et moi ? je rêve ?

« Je t’ai observé Olivier, pendant de longues semaines… tu as le profil que je recherche, tu es célibataire, sans enfant à charge, élégant, vif d’esprit, tu apprécies le raffinement, tu es observateur, respectueux et surtout discret…
C’est la raison pour laquelle tu es ici cet après midi, je voulais te mettre face à cet épreuve.
Tu as le choix, soit tu m’écoutes jusqu’au bout…. soit tu m’arrêtes net et dans ce cas cette conversation n’a jamais existé entre nous, nous passons dans le salon déguster un bon whisky et ensuite on se quitte en collègue de travail »

J ‘étais médusé, tout était confus dans mon esprit, si je refusais j’appréhendais la suite de ma relation avec Alain sur le plan professionnel, si j’acceptais je n’avais encore bien compris ce qu’il attendait de moi, que je couche avec sa femme ? Qu’on établisse une relation à trois ?

« Olivier ? Quel est ton choix ? Sache que si tu refuses, il n’y aura aucune incidence au travail, puisque je considérerai que nous n’avons jamais évoqué cela ensemble »

Je lâchais un « ok je veux bien vivre ce type de relation mais sans vouloir te fâcher peux tu m’expliquais plus en détail de quoi il en retourne »

Un large sourit illumina son visage, il avait gagné…

A suivre…
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par Opium
#103771
Alain savourait sa « victoire » il m’avait entre ses mains…

« D’habitude tu comprends vite, sans doute est ce l’émotion et la surprise de ma proposition »

Il me fixait droit dans les yeux, il posa sa main sur mon épaule, un peu comme un vieux camarade de route.

« Pour faire simple, je veux que tu deviennes l’amant de ma femme, mais attention ! je ne te propose pas une partie fine, ou un plan sexe à trois, je veux que cette relation soit axée exclusivement sur le candaulisme »

J’écoutais attentivement Alain, quelque chose avait changé dans son regard, je sentais une sorte de complicité mélangée avec une pointe de perversité.

« Je vais t’apprendre la règle des 3 « C »

Complicité, tu dois être mon Complice, tout me dire, me raconter, que se soit par mail, texto, photo, qu’importe je dois TOUT savoir.

Ensuite, ingrédient essentiel la Confiance, je peux te confier Elisabeth en toute tranquillité, tu ne vas pas l’entrainer dans une soirée foireuse ou avec d’autres participant, se sera toi et personne d’autre

Enfin, je te demande d’être Chaste, tu n’auras droit à aucun rapport sexuel en dehors d’Elisabeth pour la simple et bonne raison que vos rapports se feront sans protection. Et comme je sais que tu n’es pas du genre à aller avec la première venue je suis rassuré à ce niveau là »

Il avait raison, je ne suis pas un homme qui saute sur tout ce qui bouge ou qui va se faire sucer dans une soirée, je prends toujours toutes les précautions car j’estime que la vie est belle et qu’il ne faut pas la foutre en l’air pour du plaisir vite fait.

« Est elle informée ? Consentante ? »

Il éclata de rire

« Bien sur ! Elisabeth a déjà eu des amants mais les 2 ou 3 hommes qu’elle a connu auparavant n’ont pas su respecter ces règles…
Pire encore ils ont oublié qu’elle était ma femme, la mère de mes enfants et qu’il fallait absolument respecter notre vie privée… ils ont commis l’erreur standard, de raisonner avec le bas de leur ceinture plutôt que leur tête… résultat ? ils ont tout perdu… Ne perds jamais de vue qu’Elisabeth joue à un jeu et qu’aucun homme ne serait briser notre couple »

J’aimais son assurance, cette façon de se dire qu’elle était sienne et que malgré les multiples efforts déployés par un amant elle lui serait « fidèle »

Il se pencha à nouveau sur son Mac et ouvrit un fichier à l’aide d’un mot de passe…

Je fus subjugué.. à présent je me trouvais face à des photos de son épouse totalement nue en compagnie d’un autre homme…
Elle avait corps délicieux, une chatte totalement épilée, de belles auréoles au niveau de ses seins, des fesses magnifiques… il faisait défiler des images folles qui restent gravées dans ma mémoire jusqu’à aujourd’hui…
Comment une femme aussi élégante et classe pouvait poser sans retenue sous l’objectif de son mari, elle était tantôt remplie d’un sexe dans la bouche, tantôt en position de levrette avec un vibromasseur dans la chatte tandis que son amant était planté dans sa rondelle…

Malgré moi une érection se forma dans mon jeans.

Alain me dévoila une série de photo où son épouse était recouverte de sperme, sans doute les images les plus fortes…

« Tu vois ça, ce genre de pratique, je ne peux les vivre qu’avec un partenaire sérieux, sains et régulier, tu ne crois tout de même pas que je vais laisser un amant d’un soir ou un inconnu déversait son sperme en elle »

Je n’en pouvais plus, j’avais envie de me caresser, ma verge était contractée dans mon jeans.
Je respirais avec difficulté, des pulsions m’envahissaient, j’avais envie de me libérer, de sortir mon sexe.

Alain en fin analyste le remarqua, il arrêta le défilement des photos et se tourna vers moi

« Elle te plaît… je le sens.. et ça se voit »

Il avait zoomé sur mon entrejambe et pas facile de cacher une érection dans un jeans…

« Viens allons la retrouvé dans le salon »

« Attends, est ce que je vais lui plaire ? »

Il me sourit tendrement et me dit « elle t’a déjà vu en photo sur ton facebook, tu es un dossier sur lequel je travail depuis des semaines »

Je vous assure j’avais l’impression que j’étais dans un rêve….

A suivre….
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par Opium
#104606
Je suivais Alain le long du couloir qui menait au salon, j’avais l’impression d’être une marionnette entre ses mains.

J’étais à la fois excité et angoissé, pendant une fraction de secondes j’ai même eu envie de m’enfuir, de revenir sur ma décision…

Elisabeth était assise sur le Chesterfield bordeaux face à la télévision, je la trouvais encore plus désirable depuis que je l’avais vu sur les photos.

« Assis toi mon ami, je vais te servir un petit verre de whisky »

Je m’installais aux côtés de son épouse, elle se tourna vers moi et me sourit tendrement, je lui rendu son sourire avec émotion… elle était totalement zen et décontracté alors qu’en ce qui me concerne j’avais l’impression que le sol se dérober sous mes pieds.

« Alain vous a montré ses trésors ? vous savez il en est très fier »

« Sa collection est superbe »

Alain réapparu dans le salon

« Oh ! Tu m’as drôlement gâté, un Macallan 18 ans d’âge ! »

« Je savais que ça te ferai plaisir »

Il me tendit un verre bien remplie, pratique rare chez les vrais amateurs de whisky, sans doute souhait il me détendre car mon stress était palpable… il proposa à sa femme un verre de bordeaux.

Il s’est installé sur un fauteuil en face de nous et nous observait avec une certaine impatience…

Je buvais à peine mon whisky, j’étais concentré sur les cuises et les jambes d’Elisabeth, je n’osais pas vraiment me retourner complètement vers elle…

Alain me fit signe de la tête, une sorte de : « vas y à toi de jouer »

Je posais mon verre à mes pieds et je me tourner vers sa femme..

Elle était à présent face à moi, elle avait les yeux qui brillaient de mille feux, elle me sourit à nouveau….

Je me suis dit à cet instant précis, si je ne fonce pas, si je ne fais pas ce qu’il attend de moi je vais le décevoir et elle va l’être aussi car elle a fait confiance dans le choix de son mari.

Je me suis lancé (merci à la maison Macallan d’avoir inhiber ma peur)

« Elisabeth, si je puis me permettre, vous êtes de toute beauté, je suis réellement subjugué par vos charmes » Aujourd’hui encore je me demande où j’ai puisé le courage pour prononcer ces quelques mots…

« C’est gentil à vous, je suis touché »

Pour toute réponse je me suis contenté de m’approcher davantage d’elle, et de lui prendre la bouche avec fougue.

Elle répondu à mon baiser avec délice, mes mains tremblantes ont saisis son dos, son corps, j’étais littéralement transporté…

Ma bouche était à présent descendu le long de son cou et mes mains caressaient ses seins lourds…. Elisabeth caressait mes cheveux....

Au bout d’un siècle de quelques minutes je me détachais de sa douce bouche, et je la regardais avec des étoiles plein les yeux..

Elle était si belle … si désirable... je me tournais vers son mari qui me fit comprendre que je devais continuer, qu’ils n’allaient pas se contenter de cela..

Dans un élan d’audace je pris Elisabeth par le cou et je lui fit une légère pression dessus pour l’incliner vers mon entrejambe… pour ne rien vous cacher ma pression fut intitule car elle se pencha vers moi avec un plaisir certain…

Elle dégrafa mon jeans et baissa mon boxer pour en laisser sortir ma verge…

Alain s’est approché de nous et à également sorti son sexe, sa tige était longue et fine surmonté de grosses bourses aux poils entretenus.. tandis que mon sexe est très épais et plus court que le seins.

Elisabeth me prit en bouche avec ardeur, chacune de ses caresses buccales me transportaient, je regardais Alain qui la caressait délicatement et il lui glissait à l’oreille « je t’aime mon amour, continu ma chérie, oui je t’aime ma chérie »

Je ne comprenais pas comment un homme pouvait ressentir du plaisir, dire à sa femme « je t’aime » alors qu’elle suce un homme devant lui… et pourtant c’est ce que mon directeur murmurer à sa femme.

La pression de la situation associée à la peur et au stress ont fait que je n’ai pas pu me retenir davantage

« Elisabeth, je vais jouir »

Elle s’activa sur mon dard avec encore plus d’excitation ce qui entraina une explosion de jouissance, de longs jets de sperme jaillir de ma verge….. je me suis même demandé depuis combien de temps je n’avais pas jouis pour offrir autant de sève à cette femme..

Alain bandait fort et se masturber de plus en plus vite, il avait sa tête collait dans le creux de l’oreille de sa femme, pendant quelques secondes j’ai pensé qu’il allait lui aussi me prendre en bouche tant il était près de mon sexe, ce qu’il ne fit pas…

Elisabeth me nettoya le sexe comme une petite chatte nettoie ses chatons, pas une seule trace de ma jouissance n’apparaissait…

Elle se releva et me dit « tu as bon goût »

Alain resta debout face à elle le sexe dressé comme une matraque, elle s’avança et englouti le sexe de son mari avec amour.

J’avais le regard figé sur cette longue queue fine qui allait et venait dans la bouche d’Elisabeth, là à seulement quelques centimètres de moi….

Bien entendu, j’avais totalement débandé et je savais parfaitement que je devais assurer à nouveau… mais l’émotion était si forte que je me demandais comment j’allais pouvoir à nouveau bandé

A suivre…..
par MaverickTG
#104704
Quel recit tres bien ecrit!! une plus erotique et une situation d'une perversité tendrement delicieuse et divinement jouissive!! un regal a lire et une impatience succulente regne pour la suite!
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par EPSILON92
#105370
Histoire très excitante et enivrante ! Nous aimerions tous être à la place de l'un ou l'autre ( selon les gouts de chacun )
Il ne manque plus que quelques photos pour agrémenter cette aventure
Vivement la suite
par corsica2
#105438
Excellent. Un régal. Et comme le dit "tirailleur42" très peu de fautes d'orthographes donc très plaisant à lire. La situation décrite est très érotique, heureusement que l'on peut lire sans les mains......
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par Opium
#106094
Elisabeth s’activait sur le sexe tendu de son mari, tandis que sa main gauche lui masser délicatement ses bourses

J’avais les yeux rivés sur cette verge qui s’enfonçait au plus profond de sa gorge.

J’admirais Alain qui se retenait malgré la langue experte de sa femme, ses mains puissantes étaient posées sur la tête d’Elisabeth où il prenait un malin plaisir à appuyer dessus.

A travers ses sourires complices, ses regards vicieux, j’ai compris qu’il avait un message à me faire passer : son épouse aimait être prise violement, fougueusement, que sous ses allures de femmes bourgeoise et distingué il y avait une épouse gourmande et coquine…

Il accéléra le mouvement, balançant son bassin de plus en plus vite, sa respiration était plus perceptible, puis il bloqua la tête d’Elisabeth et poussa un cri rauque.

J’étais là, assis à un mètre de mon patron, je le voyais jouir dans la bouche de sa femme et je n’étais même pas choqué, comme si c’était normal… je fus surpris de ma réaction…

Elisabeth laissait couler la sève de son mari à la commissure de ses lèvres, il y avait une quantité de sperme impressionnante… elle continuer à saisir fermement ce dard recouvert de sperme et s’amuser à le faire passer sur ses joues… elle me regardait tout en souriant…

« Tu vois Olivier, c’est ça qu’elle aime ma petite femme chérie »

Il se pencha vers elle et l’embrassa passionnément… j’étais abasourdi, il se délectait de son propre sperme…. En ce qui me concerne j’avais toujours refusé ou éviter un baiser de mes ex après avoir été sucé.

Alain se redressa, et malgré sa jouissance son sexe était toujours à moitié tendu, il retourna sur la table de salon prendre un verre.

Elisabeth se leva, caressa le bout de ma queue avec son doigt et me dit le plus naturellement du monde : « je vais me faire une beauté et je reviens, tache d’être dur à mon retour »

J’étais en panique car je n’avais toujours pas rebandé, p**** qu’est ce qui m’arrivait ? ? ? sans doute l’émotion, la surprise de cette proposition, le stress, quoi qu’il en soit je devais absolument honorer cette superbe femme et je ne bandais pas !!!

Alain buvait un whisky tout me regardant avec un petit sourire moqueur

« C’est la première fois que tu fais cela à trois ? »

« Euh…. Oui…. »

« Laisses toi aller, détends toi, tu es ici pour partager du plaisir, des émotions, lorsque tu vas rentrer chez toi ce soir tu auras de belles images qui vont hanter ta nuit…

Tu sais, il ne faut pas confondre le candaulisme et le libertinage, il s’agit de deux mondes totalement différents, nous n’avons jamais été libertins.

J’aime ma femme au point ou je n’ai jamais eu envie d’aller voir une autre, même si les tentations sont grandes au bureau, je te dirai peut être un jour celles qui m’ont clairement fait des avances…
Mais je n’ai jamais trompé Elisabeth et c’est cela qui nous unis, le fait de prendre du plaisir en toute complicité, de ne pas rechercher du plaisir mécanique.

Alors pourquoi le candaulisme ? Sans doute pour me sentir encore plus fort, plus grand à ses yeux, le Maître de la situation…

Tu dois te demander comment une femme aussi belle accepte t elle ma perversité ? Elle le fait car nous le désirons, elle le vit car nous en avons envie, et ensuite nous nous aimons encore plus fort, après chaque rencontre elle est amoureuse de moi comme au premier jour..

Je t’assure qu’après une après midi comme celle là, je suis capable de l’emmener dîner dans le meilleur restaurant de Paris, de lui offrir un champs de roses… quant à elle ? elle peut me faire la surprise et me réserver une escapade d’une nuit dans un bel hôtel en Normandie, passer me prendre au travail pour m’emmener au théâtre..

A travers le candaulisme on vit un amour perpétuel et constant, rien ne se fane entre nous contrairement à la grande majorité des couples mariés de notre âge....


Aujourd’hui encore, malgré les six mois qui se sont écoulés depuis ce fameux dimanche, chaque mots fait échos dans ma tête… il me parlait comme une sorte de professeur qui me prenait par la main pour me dévoiler cet Univers particulier et oh ! combien fantastique..

A suivre…
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par Opium
#113308
Janculer est un sous hommes qui pense que je fantasme ? qu'il aille au diable... J'ai réellement eu la chance de vivre cette Histoire avec ce couple.

La seule chose dont je suis sur c'est que Janculer est une véritable grosse M.....
par corsica2
#113322
Il ne faut pas exagérer mon cher opium et rester correct. Tout le monde a le droit de critiquer. Le mieux que tu aies à faire c'est de continuer à écrire ton histoire qu'elle soit vraie ou pas. Ceux qui l'aiment continueront à te lire avec plaisir, fautes d'orthographe ou pas. Cela dit, je ne suis ni hypocrite, ni analphabète (enfin j'espère), n'en déplaise à ce cher "janculer". Je n'ai jamais caché que je préférais un texte sans faute, pour autant tu racontes très bien cette expérience (réelle ou pas on s'en fout) et peu importe le style. Personnellement j'ai tout compris. Mais il est vrai que je ne suis pas Einstein..............
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par Opium
#1061616
cette petite ordure de Janculer n'est plus sur ce site depuis 2011 ?
dire qu'il a eu l'impudence de me critiquer lui qui vivait de fantasme !
une merde de moins sur ce site

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