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Je me permets de copier/coller le poste que j'avais mis dans la section présentation

Bonjour à tous,

Moi, Y, 43 ans et elle, V, 46 ans.

Nous nous sommes rencontrés au lycée il y a 26 ans. Nous sommes notre première fois pour tous les 2. Parents de 2 filles adolescentes adorables.

Une vie confortable financièrement et matériellement.

Comme beaucoup de couples de notre configuration s’étant rencontré très jeune, j’ai au bout de 10 ans de relation commencé à développer un fantasme candauliste. N’étant pas vraiment doué au lit, je visualisais ma femme prendre un plaisir infini dans les bras d’autres hommes sous mes yeux ébahis.

Outre ce fantasme, j’étais obsédé à l’idée qu’elle ne puisse connaitre que mon corps de toute sa vie, alors qu’elle est belle comme un cœur et que beaucoup de très beaux hommes la désiraient. J’avais l’impression qu’elle était enfermée dans une exclusivité physique avec moi qui n’avait pas beaucoup de sens. Surtout que notre amour était absolument robuste et que je n’avais pas vraiment peur pour notre couple de parenthèses physiques endiablées avec des amants redoutables. Je n’avais qu’une crainte. Que sur son lit de mort, elle regrette de ne pas en avoir profité quand elle le pouvait.

Nous sommes très complices et échangeons beaucoup. Je n’ai donc pas hésité longtemps à lui faire part de mon fantasme et lui expliquer l’ensemble de mes réflexions.

Elle n’a pas vraiment été choquée, ni été jugeante. Elle comprenait la démarche. Pour autant elle m’a clairement fait comprendre que c’était hors de question. Qu’elle n’en avait pas l’envie, que je lui suffisais et que pour elle il était impossible de dissocier baise et amour. Et comme elle m’aimait… impossible de coucher avec un autre.

Pour autant j’ai essayé très rapidement durant nos ébats d’insérer l’idée qu’un tiers ressemblant à un dieu grec se joignait à nous pour lui faire l’amour. Je pouvais alors constater une excitation certaine.

Puis, quelques mois (années ?) plus tard je lui fis découvrir chatroulette. Après moultes hésitations elle accepta de regarder de beaux hommes s’exhiber devant elle. Elle-même accepta quelques exhibitions des plus excitantes. Mais très rapidement elle m’expliqua vouloir cesser cette expérience. Frustration évidente pour moi, ayant l’impression de prendre un stop définitif. Il est vrai que ce site est un repère d’hommes mal éduqués et avant de tomber sur le bon il fallait y passer des heures… ce qu’elle n’appréciait pas du tout.

Je tentais alors une nouvelle approche avec l’idée de découvrir le naturisme sur les plages du Var. Ce qu’elle accepta volontiers. Voir ma femme nue sur une plage bondée n’a fait qu’accentuer mon fantasme. Je prenais déjà beaucoup de plaisir. Et elle, appréciait ce moment de liberté totale.

En parallèle, je la tannais sur le ton de l’humour d’essayer les clubs libertins. Ce qu’elle refusa bien évidemment. Ce petit jeu de relance dura plusieurs années.

Le candaulisme est un véritable marathon…

Puis à force d’échanges, il y a 4-5 ans, je finis par percevoir au fond de ses yeux comme une hésitation. Je lui avais montrer l’existence d’une boite de nuit, traditionnelle en première approche, qui réservait des coins câlins à l’étage. Elle me dit être prête à tester. Mon cœur battait la chamade comme jamais. Afin de la rassurer définitivement, j’édictais une règle. C’est elle qui commandait. Si elle se sentait mal, même après avoir franchi tout juste le seuil de la porte, et qu’elle demandait à faire demi-tour, je devais m’exécuter immédiatement. Aucune négociation possible. Je conseille cette simple règle à ceux d’entre vous qui s’avèrent être encore en « négociation » avec madame.

Habillée d’une robe noire courte avec décolleté plongeant, elle entra avec moi dans cet établissement. Nous nous y sentîmes très rapidement à l’aise. L’âge moyen était relativement jeune. Ce n’était qu’ouvert aux couples. Pas d’hommes seuls. Des gens très beaux et très sexy dans l’ensemble. Aucune approche de mort de faim qui aurait pu l’importuner. Nous avons visité les coins câlins et fait un peu de voyeurisme. Elle m’emmena dans une cabine qui se fermait à clé. Nous avons fait l’amour de manière très intense. Elle était hyper excitée. Expérience validée ! Nous avons depuis recommencé dans cette même boite et même dans des saunas libertins, étant adeptes de naturisme.

En revanche c’était toujours le même scenario. On se balade, on regarde mais on finit entre nous dans l’intimité d’une salle fermée. Elle était toujours énormément excitée.

Nous sommes également devenus des accros du naturisme en prenant nos habitudes sur l’ile du levant, où quelques coins peuvent s’avérer être très chauds. Nous n’avons plus peurs de les fréquenter. C’est notre parenthèse annuelle. Au final nous réalisons 2 à 3 sorties par an dans des lieux coquins. Peu d’excès. Tout en contrôle. On finit toujours exclusivement entre nous.

Voilà 15 ans d’évolution, lentes, mais réalisées dans la confiance, le respect et l’amour. Beaucoup d’excitation et de plaisirs. Mais toujours aucun passage à l’acte avec un autre homme.

Et puis…et puis, survint l’année 2025, l’année de la révolution… (suite au prochain épisode).

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Suite...

Il faut savoir que V avait subit un traumatisme enfant qui lui avait généré beaucoup d’angoisses, crises d’anxiété, agoraphobie etc… Il lui était très difficile d’entrer en proximité avec des hommes (inconnus notamment) sans collapser. Elle devait à tout prix sécuriser son espace personnel. De fait nous sortions assez peu au restaurant, boite etc… où elle se sentait en insécurité.

Dans notre sexualité, même si nous étions très complices, je me refusais de la brusquer et lui laisser quasi intégralement l’initiative de nos câlins et diverses expériences. En revanche j’alimentais sans cesse la machine à fantasmes en évoquant tous types de scenarios. Bref, j’étais un créatif non exécutant. Je proposais. Elle disposait. Nous avons co-construit notre sexualité ainsi. Je n’avais pas vraiment le rôle d’homme alpha dominant. Au mieux un scénariste hors pair. D’autant plus que ni mes mensurations, ni mon endurance ne le permettaient.

Plus le temps avançait plus je sentais qu’elle rêvait de se faire baiser par un homme dominant. Mais il y avait toujours ce blocage lié à ce traumatisme d’enfance.

Je lui proposais alors d’entreprendre une thérapie. Ce qu’elle fit fin 2024, début 2025. Force est de constater que cette démarche a totalement transformé ma femme. Toutes les craintes qui l’habitaient volaient en éclat. Elle affirmait vouloir pleinement profiter de la vie. Elle qui détestait la moto se lance le défi de passer son permis. Elle accepta enfin les propositions de sorties en boite avec ses copines. Elle me confia avoir accepté de danser avec un homme de manière collé/serré… Je n’en croyais pas mes oreilles. L’homme a même essayé de l’embrasser mais elle a détourné la tête car il ne lui plaisait pas. Elle accepta même de tirer une taffe sur la clope d’une copine. Bref, la transgression semblait devenir son totem. C’était fou.

Pour autant, aucun changement dans nos sorties coquines. L’issue était toujours la même.

Ma femme pratique la boxe française dans le club de notre petite ville depuis plusieurs années. Elle fait 2 séances par semaine + d’éventuelles sorties de course à pied avec plusieurs membres les WE. Essentiellement des hommes. A la fin du printemps, je sentis qu’elle me parlait de plus en plus d’un jeune homme présent dans son club. Un certain L. Ils boxaient régulièrement ensemble à l’entrainement. Il lui racontait des anecdotes et la faisait rire. Elle m’avoua qu’elle le trouvait très charmant.

Puis vinrent des sorties de courses à pied uniquement entre eux 2 le dimanche. Petite précision, le jeune homme n’a que 27 ans. Pratiquement 20 ans d’écart avec V. A la fin du printemps, en déplacement professionnel, je décide d’envoyer un mail nocturne à ma femme. « vous flirtez ensemble, n’est-ce pas ? Si oui, il va bien falloir un épilogue à ce flirt… » Elle qui se couche toujours très tôt me fait une réponse également nocturne « Oui. Nous n’avons rien fait mais voyons où cela nous mène ». Je n’en croyais pas mes yeux. Autant vous dire que je n’ai pas dormi de la nuit.

Dans les semaines qui suivirent, ma femme continuait de le voir régulièrement et d’échanger avec lui des textos. Au cours d’un des échanges elle m’avoua qu’il lui avait dit qu’il la trouvait très belle. Elle lui a retourné le compliment. Il lui a répondu « attention cela peut devenir un jeu dangereux ».

Une explication devenait nécessaire avec ma femme. Elle m’avoua qu’il était difficile de se projeter pleinement dans mon fantasme candauliste, à savoir faire l’amour avec un inconnu devant moi. En revanche l’idée de faire l’amour à L l’excitait beaucoup. Elle le connaissait et se sentait sécurisée. Ok la thérapie avait marché mais il lui fallait encore quelques repères.

Etais-je prêt à déroger à mon fantasme de la voir baiser de mes propres yeux pour la laisser vivre pleinement sa liberté sexuelle ? Il ne m’a pas fallu longtemps pour répondre oui à cette question et accepter l’idée de devenir cocu. Je l’invitais même à aller parler rapidement à L, ce qu’elle accepta.

Un jeudi de juillet 2025 ils se retrouvèrent après la séance de boxe. Elle lui a alors avoué qu’elle avait envie qu’il devienne son plan cul. Je vous laisse imaginer mon état à la maison durant cette séquence…

Malheureusement ce jeune homme a refusé l’obstacle. Ils se sont tournés autours plusieurs semaines dans l’été. Mais le fait que madame soit en couple était visiblement rédhibitoire pour lui. Je crois qu’il avait vraiment un coup de cœur pour elle et il lui était difficile qu’elle ne lui soit pas exclusive. Qu’elle puisse rentrer à la maison et avoir des relations sexuelles avec moi après qu’ils se soient vus. Il ne la voulait que pour lui. Il l’a souvent interrogée sur l’état de notre couple, si nous étions heureux et si nous avions encore des rapports sexuels. Il ne s’est donc rien passé. Si ce n’est la naissance d’une énorme frustration pour elle comme pour moi.

Fin septembre, alors qu’elle était en déplacement professionnel pour 5 jours, elle me confie que son prof de boxe (qu’elle trouve canon depuis toujours. 54 ans. Un physique taillé dans la roche) lui a envoyé une photo de lui en vacances, torse nu sur la plage… et qu’il aurait bien aimé une photo d’elle en échange. Elle ne s’est pas faite prier pour retourner une photo à C. Ils ont entretenu ainsi des échanges très chauds durant les 5 jours. Contrairement à notre jeune hésitant, C était très cash et lui a fait comprendre qu’il avait envie d’elle.

RDV était pris 5 jours plus tard, chez nous (avec mon accord).

J’avais alors la certitude que mon fantasme, vieux de 15 ans, était sur le point de se réaliser.
V était d’accord pour tout me raconter. Si elle ne voulait pas baiser devant moi, elle avait conscience qu’il fallait alimenter mon fantasme en me narrant un maximum de détails.

Nous nous sommes levés ce jour-là, et je l’ai sentie étonnamment très zen alors même qu’elle s’apprêtait à gouter seulement sa deuxième bite de toute sa vie. Moi je suis parti au boulot la boule au ventre, un brin fébrile mais terriblement excité.

Nous avions convenu qu’elle m’envoie un texto à la fin de sa partie de jambe en l’air avec un code 0 pour « nul à chier » ; 1 pour « bien sans plus » ; 2 « très bien » et 3 « nirvana ».

Ayant une réunion importante, j’ai pu occuper mon esprit et ne pas trop penser à cette séquence si excitante. J’avais laissé volontairement mon téléphone sur mon bureau pour ne pas être pollué par d’éventuels textos et resté concentré.

Ma réunion se terminant vers 11h30, je cours vers mon bureau et découvre une série de texto. Le premier indiquant « 1 ». Puis « bof, c’est fait, j’ai gouté à un autre homme, j’espère que tu es apaisé par rapport à tes angoisses ». Je décidais de l’appeler pour avoir plus de détail. Elle m’explique alors qu’en arrivant il demanda un café. Et puis ils parlèrent durant 1h. Cette heure de discussion a clairement fait retomber la pression dans la culotte de madame, elle qui espérait qui lui saute immédiatement dessus pour être dévorée. Il s’est même levé pour partir en lui disant « on prend notre temps ? » Elle lui a répondu « non », ce qu’il a pris comme le top départ.

Ils se sont alors embrassés puis dirigés vers le canapé. Se sont déshabillés. Il l’a doigté. Elle l’a un peu branlé. Sa bite lui semble légèrement plus épaisse que la mienne. Elle l’a trouvée belle. Après quelques caresses, il enfila la capote (seule règle que j’impose et qui s’avère non négociable) puis l’a baisée en missionnaire avec jambes relevées. Elle m’a dit ne pas avoir pris particulièrement de plaisir. Qu’il embrassait moins bien que moi. Il apparaissait un peu maladroit. Après quelques minutes il a joui, s’est rhabillé puis s’est barré. Elle espérait une baise plus intense avec un pilonnage en bonne et due forme (ce que je fais très rarement). Détail qui tue, il avait gardé ses chaussettes. Elle me dit que ce n’était finalement pas si difficile de sauter le pas et de dissocier cerveau et plaisir physique.

J’étais aux anges même si un peu déçu qu’elle n’ait pas pris son pied alors qu’elle a su sauter le pas. Ce qui me semblait encore improbable il y a encore quelques semaines. Me voila officiellement cocu… et content ! On a baisé hyper intensément le lendemain. J’avoue avoir un peu appréhendé. Entre la théorie et la pratique, je ne savais pas comment mon cerveau allait régir à l’idée de bouffer sa chatte remplie d’une autre bite la veille… RAS, j’étais dure comme du bois. Elle m’a juste indiqué avoir un peu de temps pour se reconnecter à moi. Et je lui laisse clairement carte blanche, même si je mourrai d’envie de lui sauter dessus le jour même.

Très rapidement elle a été prise d’angoisses. Elle n’avait pas réfléchi à l’après. Est-ce qu’il ne va pas chercher à s’attacher ? Alors qu’elle ne veut qu’un plan cul. Dès le surlendemain au cours d’un échange de textos, elle lui explique qu’elle a besoin de réfléchir et pas forcément remettre le couvert. Il dit comprendre et n’en prend pas ombrage…

Sauf que le monsieur a de la suite dans les idées. Il lui envoie régulièrement des textos. D’abord soft, puis de plus en plus tendancieux. Elle se laisse reprendre au jeu. De nouveau des échanges de photos intimes circulent. Elle se laisserait bien retentée. Une nouvelle invitation est lancée 3 semaines après leur première fois. Toujours avec mon accord. Mais elle le prévient, « cette fois ci on ne parle pas. » Elle lui envoie une photo en lingerie et lui dit « je t’attendrais habillée comme ça ».

Lundi 3 Novembre matin sera leur seconde fois. Même code que la dernière fois 0-1-2 ou 3, en espérant que ce sera bien mieux cette fois-ci. Je suis beaucoup moins stressé que la première fois. J’attends impatiemment ses textos. 11h, je reçois enfin ses messages. Et là je vois un « 2 – j’ai joui ». Mon cœur s’emballe comme jamais.

Ni une ni deux je décide de finir la journée en télétravail pour pouvoir discuter plus en détail avec elle à la pause déjeuner. Elle me raconte tout. A peine a-t-il franchi le seuil de la porte qu’elle lui a sauté dessus. Ils se sont roulé des patins de fous. Elle trouvait qu’il embrassait bien mieux que la première fois. Très vite ils se retrouvent tous les 2 à poils sur le canapé. Elle m’a dit qu’il lui a fait un cunnilingus d’enfer où elle a joui très rapidement. Puis il l’a doigtée et a rejoui très fort. Elle était détrempée. Je bandais dure dans mon pantalon. Il décidait alors de reglisser sa bouche sur sa chatte tout en orientant son sexe vers la tête de V. Elle comprit alors le message et se mis à le sucer. Ils ont fait un 69. Incroyable. Je sais qu’elle n’apprécie pas particulièrement cette position. Et puis elle m’avait dit que l’idée de sucer un autre homme ne l’excitait pas plus que cela… Elle m’a avoué trouver très agréable le fait de le sucer.

Après de longues minutes comme cela, il enfila la capote puis la baisa en missionnaire avec ses jambes calées sur ses épaules. Cette fois -ci il décida de la pilonner très fort. Encore une fois elle jouit en gémissant. Il a enchainé en lui demandant de s’empaler sur sa bite en Andromaque. Là, il lui a mis des fessées claquées très forte. Elle a littéralement adoré. Je n’avais jamais osé une telle caresse ! Elle baisse son pantalon et me montre les traces qu’il lui a laissé. Mes yeux sont écarquillés d’excitation devant son fessier meurtrie des paluches de C.

Enfin après de longues minutes de baise il la positionna sur le canapé en levrette. Encore une fois il l’a pilonnée à fond. Elle me confia qu’il lui a tiré les cheveux et mis encore des fessées. Là aussi elle a adoré. Ma gorge devenait toute sèche devant tant d’exploit et de lâcher prise de ma douce. Il finit par jouir dans la capote après 30 minutes de pilonnage incessant. Exploit que je n’ai jamais réussi à faire en 26 ans de mon côté.

Ils ont enchainé par une douche, un café, puis il s’est barré.

Je lui ai demandé s’il s’agissait de la meilleure baise de sa vie. Par pudeur elle me répondit « non, mais dans le top 10 ». Je savais en regardant ses yeux qu’elle pensait tout le contraire. Elle était très surprise de la transformation de C entre les 2 séances de baises. Il faut savoir que lors de la discussion avant leur première fois elle lui a avoué que c’était la première fois qu’elle commettrait un adultère en 26 ans. Je crois qu’il a voulu être très prévenant, ce qui ne correspondait pas aux attentes de ma belle. Puis à travers les échanges de texto, il a sans doute compris qu’elle voulait du hard et être dominée. Ce qu’il lui a donné. Elle était aux anges. Elle a même revu la note à 2,5… Et moi j’étais ravi de savoir qu’elle avait enfin perdu pied face à un homme alpha.

Suite au prochain épisode.

[Miurfield]

Ha ha. Et puis 2025?? Que se passe-t-il donc cette année là?
Raconte nous vite!

[Miurfield]

Maglifique. Et il.y a encore une suite. Les evenements s'accelerent on dirai. Des rdv de pris avec lui a nouveau?

[zztop]

Bravo… elle gère comment 15 jours après?? Envie de recommencer ?

[vedder69]

Elle a recommencé... plus d'une fois... Je vous raconterai tout ça.

Elle qui ne voulait pas s'attacher, devient accro à sa bite.

[zztop]

N’hésite pas à tout raconter