- 25 oct. 2012, 17:02
#1223998
Candauliste (et pas caudaliste, qui ne veut rien dire en l’espèce), qui ne fait pas de moi, pour autant un « cocu », ni de ma compagne, une « cocufieuse », puisque je suis pleinement consentant, mais de plus présent et participant, lors de ses parties de jambes en l’air et sauf à se tromper (sans jeu de mot…) sur le sens de ce mot, un « cocu », c’est pas un type qui est trompé par son épouse, évidemment à son insu ??? (et vice et versa).
Le candaulisme n’est pas un fourre-tout équivoque où on va y fourguer, au gré des phantasmes et des orientations sexuelles propres à chacun, ce qu’il voudra bien y mettre, ici la tromperie (le « cocufiage »), là la domination / soumission, ailleurs le gang-bang, même s’il est vrai que les candaulistes peuvent fort bien partager en même temps d’autres tendances sexuelles, la frontière étant quelque fois ténue entre ces différents sentiments confus, voir ambigus, pour le moins troubles, qui toutefois ne change en rien à ce qu’est le candaulisme.
C’est marrant comme on peut changer le sens des choses et des mots par glissades successives, juste pour alimenter ses phantasmes !
La grande différence entre ces 2 situations réside dans le fait que si l’on maitrise le candaulisme (d’une façon, il est vrai, toute relative), il en va tout autrement du cocufiage que l’on subit.
Même si certain (ou certaine) peuvent le vivre avec ravissement, néanmoins, il (ou elle) ont été placé, à un moment donné, devant le fait accompli : leur femme (ou leur mari) le (ou la) trompe, sans qu’il (ou qu’elle) en ait été l’instigateur (ou l’instigatrice), puisqu’à aucun moment il (ou elle) n’a décidé de quoi que ce soit, avec qui que ce soit, où que ce soit, embarqué dans l’aventure, malgré lui (ou malgré elle).
Et dans le cas de figure de l’acceptation de la situation que l’on vit avec la délectation d’être cocu (e), qui se traduit par un état d’excitation sexuelle, il faut bien admettre qu’on est déjà dans le champ des jeux de la soumission/domination et toujours pas du candaulisme.
Vous me direz que dans cette situation, l’intelligence et le ravinement qui devrait caractériser l’espèce humaine du 21e siècle, devrait la conduire au candaulisme et pas au divorce, ou pire à sortir le fusil. Et pourtant…
Prenons exemple sur les primates, dont nous sommes les descendants, qui cultivent la paix sociale en forniquant
Lugdunum
Le candaulisme n’est pas un fourre-tout équivoque où on va y fourguer, au gré des phantasmes et des orientations sexuelles propres à chacun, ce qu’il voudra bien y mettre, ici la tromperie (le « cocufiage »), là la domination / soumission, ailleurs le gang-bang, même s’il est vrai que les candaulistes peuvent fort bien partager en même temps d’autres tendances sexuelles, la frontière étant quelque fois ténue entre ces différents sentiments confus, voir ambigus, pour le moins troubles, qui toutefois ne change en rien à ce qu’est le candaulisme.
C’est marrant comme on peut changer le sens des choses et des mots par glissades successives, juste pour alimenter ses phantasmes !
La grande différence entre ces 2 situations réside dans le fait que si l’on maitrise le candaulisme (d’une façon, il est vrai, toute relative), il en va tout autrement du cocufiage que l’on subit.
Même si certain (ou certaine) peuvent le vivre avec ravissement, néanmoins, il (ou elle) ont été placé, à un moment donné, devant le fait accompli : leur femme (ou leur mari) le (ou la) trompe, sans qu’il (ou qu’elle) en ait été l’instigateur (ou l’instigatrice), puisqu’à aucun moment il (ou elle) n’a décidé de quoi que ce soit, avec qui que ce soit, où que ce soit, embarqué dans l’aventure, malgré lui (ou malgré elle).
Et dans le cas de figure de l’acceptation de la situation que l’on vit avec la délectation d’être cocu (e), qui se traduit par un état d’excitation sexuelle, il faut bien admettre qu’on est déjà dans le champ des jeux de la soumission/domination et toujours pas du candaulisme.
Vous me direz que dans cette situation, l’intelligence et le ravinement qui devrait caractériser l’espèce humaine du 21e siècle, devrait la conduire au candaulisme et pas au divorce, ou pire à sortir le fusil. Et pourtant…
Prenons exemple sur les primates, dont nous sommes les descendants, qui cultivent la paix sociale en forniquant

Lugdunum