- 16 nov. 2010, 00:28
#133677
C'est la première fois que je rencontre un forum sur ce sujet particulier.
Voici une série de faits véritables que je vous livre, à titre de témoignage sur une variante d'un candaulisme léger, à toute fin utile.
Nous, ma femme et moi, nous sommes connus adolescents. De la bonne petite
blonde de lycée, elle est devenue une superbe femme. A notre quart de siècle, nous vivions ensemble nos jeunes années d'étudiants.
Un jour, au réveil dans l'après-midi, d'une nuit de sortie où elle était rentrée à l'aube, l'ayant confrontée à toute une série de faits et de questions sans réponses, elle m'avoua que pendant les trois années précédentes, elles avaient vécu de nombreuses escapades sexuelles avec différents partenaires dans différentes circonstances. ( je reste vague, je sais.)
Concrètement, constamment confrontée à la séduction masculine, elle avait cédé par phase succèssive à trois mecs. Il s'agissait toujours d'hommes de notre génération, qui la draguaient plus ou moins ouvertement, et qu'elle
cotoyait quotidiennement dans les petits jobs qu'elle exercait à l'époque.
Les escapades n'ont pas été suivies, ni l'objet d'une quelconque remise en question des sentiments qu'elle éprouvait envers moi.
Pendants les jours qui suivirent cette confession, passé le choc psychologique, pour la survie de notre couple auquel nous tenions tous les deux, si je lui ai demandé d'éviter les récidives, je lui interdisais par dessus tout de me confronter à d'autres mensonges de ce style. Donc, si dérapage il y avait, j'en voulais être informé directement.
De plus je lui demandais pour mon propre équilibre, de reconstituer toutes les étapes des mensonges qui m'avaient été faits et de me raconter la vérité. Quoique fort dubitative sur le résultat d'une telle entreprise de vérité, elle joua le jeu pour la survie de notre couple. Pendant plusieurs semaines elle eut le courage de répondre à toutes mes questions. Je remarquais moi-même que peu à peu, je désirais ardamment connaitre et mentalement construire le film pornographique de ces escapades. Peu à peu, elle se mit à se livrer sans trop de concessions et à se retrouver parfois fort excitée par l'excitation que cela faisait naitre chez moi. "Je suis parfois une salope, mais t'es aussi un sacré pervers" me lança-t-elle un jour. On a recommencé à baiser comme des dingues.
Elle avait couché deux trois fois avec l'un, avait expérimenté diverses embrassades et caresses poussées avec l'autre, ou les deux avec un troisième. Les circonstances avaient été diverses : Un lunch improvisé dans un parc pendant un été, deux ou trois sorties nocturnes préméditées "entre filles" où son collègue la rejoignait, des propositions inatendues de cinq à sept après le boulot dans une voiture...
Les histoires elles mêmes étaient forts différentes : elle avait cédé par pitié pour le premier qui tombait amoureux fou, elle avait jeté son dévolu sur le deuxième parcequ'il était trop migon mais très con, et elle s'était fait surprendre à son propre jeu d'allumeuse avec le troisième en cherchant à savoir si elle pouvait exciter ce dernier.
Dès ce jour, je me suis mis à lui réclamer la vérité sur tous évènements similaires qui pourraient se produire dans le futur, convaincu qu'il était inadéquat après ce genre de révélations de tenter d'étouffer cet tendance adultèrine. J'entendais laisser à notre couple déjà hors du commun pour sa longévité par rapport aux statistiques, des libertés propres basées sur des limites et des règles de confiance.
Je n'ai pour ma part, jamais failli. Et ce pour une bonne raison : je suis celui par qui la transgression et donc la survie de notre couple est possible. je m'explique : Prohiber les futurs potentiels passages à l'acte de ma femme,
déjà commis pendant les infidélités passées, reviendrait à emprisonner des pulsions contre lesquelles elle luttaient déjà intérieurement par le passé en silence. Cela aurait mené à l'implosion naturelle d'un couple banal, encerclé de carcan sociaux où les jardins secrets n'ont plus rien de commun. D'un autre coté, devenir un couple libre ( genre "échangisme/libertinage"), n'aurait eu comme conséquence que d'hypothéquer, de parasiter la reconstruction d'une
fondation de couple basée sur elle et moi. Cette position de domination d'Etre Unique, qui maitrise la situation et prodigue la confiance et le réconfort devant la culpabilité éprouvée à chacune de ses escapades aurait été directment remis en question, si, comme tous les autres hommes, je m'étais alors abandonné banalement, fangeusement, à mes pulsions avec d'autres femmes. D'autre part, ma femme m'excite déjà assez comme ca. Je lui voue un culte de salope hibernante.
A l'abri des regards, j'ai donc emprunté le sentier du sens unique, où de manière permissive, je n'interdisais pas formellement à ma femme de recommencer mais je l'enjoignais plutot à me faire partager ses émotions, ses récits afin que plus aucun mensonge ne viennent contaminer notre besoin de fusion.
Ce qui fut fait et établi. Voilà expliqué mon parcours vers ce candaulisme léger qui caractérise le titre de mon post.
Depuis maintenant plus de treize ans, ma femme a vécu quelques escapades; moins d'une dizaine où il fut question d'un pasage à l'acte. Ce genre de situation tend meme à s'estomper. Voilà plus de 18 mois qu'il ne s'est rien passé. Les passages à l'actes ont été deux fois prémédités, d'autres sont devinés par les situations ( exemple : "je pars en séminaire, X va y aller aussi. Ne t'inquiète pas, il ne passera rien, ca fait trois mois qu'on s'est plus parlé, il ne me regarde meme plus et j'ai vraiment pas ce genre d'idée en tête pour l'instant". Néanmoins elle rentre en piquant un fard puis m'invite rapidement à la prendre fort "parce qu'elle n'a pas été sage").
D'autres épisodes ont été improvisés alors que tout était calme depuis des mois: "Euh, j'ai qqch à te dire au fait. Ce midi, X m'a envoyé un texto pour savoir comment j'étais fringuée. A mon avis, ca fait longtemps qu'il a pas baisé sa femme, il devait être chaud. Pour rigoler j'ai dit que j'avais pas de culotte. Evidemment, il a demandé à voir et... bon, euh, ben je lui ai montré dans l'ascenceur et il a commencé à m'embrasser et..."
Généralement, si elle accepte un dérapage, je sais que je peux m'attendre à trois jours de frénésie sexuelle pendant lesquels j'ai tout le plaisir de la soumettre à tous mes jeux et elle à me faire baver et exploser dans tous les sens.
Elle s'étonne toujours de mon intérêt obscène à vouloir connaitre, outre les contextes certains détails sexuels de ses aventures, à m'en fournir toute l'intimité. De ce côté je suis le voyeur. Notre couple évolue de ce coté là.
Elle me livre les détails. J'aime bien. Ici, à la différence du candaulisme pur et dur, il n'y a pas de véritable humiliation, plutot une confession interdite livrée à un interdit confident. Le plaisir est double et partagé, tout en retenue mais elle mouille et je bande.
Je connais les limites de ces jeux de dominants/dominés. Je crains comme la peste la possibilité qu'un jour un amant prévale sur moi sexuellement. Ce serait la fin. L'amant est ici un jouet dans notre triangle, il est trompé car il ne sait pas que je sais. Et en aucun cas je ne peux prendre ou aimer la position du mari soumis. ( J'ai rien contre les soumis, je ne les comprends pas. C'est tout). Ici je partage et tolère, et j'apprécie à sa juste valeur la liberté de la transgression.
Néanmoins, de fil en aguille, il m'arrive d'imaginer avec elle comment elle pourrait séduire prochainement son collègue ou quelle serait les meilleurs stratégies pour vivre une prochaine escapade. Si j'en m'en amuse, je remarque qu'elle ne passe plus à l'acte. La situation évolue peu à peu, les discussions sont plus ouvertes et le souffre est toujours la.
Je ne pense pas vraiment vous conter la suite ou l'évolution de notre couple comme certains le font sur ce forum. C'était un témoignage vu que le sujet est plutot tabou et opposé au grand standard ( quoiqu'ayant certaine presse pour l'instant). Il m'a fallu du temps pour gérer tout cela. Cela ne se fait pas en un jour.
Désolé pour mon style un peu aride et mon manque de pornographie textuelle.
Bonne continuation à tous.
J.
Voici une série de faits véritables que je vous livre, à titre de témoignage sur une variante d'un candaulisme léger, à toute fin utile.
Nous, ma femme et moi, nous sommes connus adolescents. De la bonne petite
blonde de lycée, elle est devenue une superbe femme. A notre quart de siècle, nous vivions ensemble nos jeunes années d'étudiants.
Un jour, au réveil dans l'après-midi, d'une nuit de sortie où elle était rentrée à l'aube, l'ayant confrontée à toute une série de faits et de questions sans réponses, elle m'avoua que pendant les trois années précédentes, elles avaient vécu de nombreuses escapades sexuelles avec différents partenaires dans différentes circonstances. ( je reste vague, je sais.)
Concrètement, constamment confrontée à la séduction masculine, elle avait cédé par phase succèssive à trois mecs. Il s'agissait toujours d'hommes de notre génération, qui la draguaient plus ou moins ouvertement, et qu'elle
cotoyait quotidiennement dans les petits jobs qu'elle exercait à l'époque.
Les escapades n'ont pas été suivies, ni l'objet d'une quelconque remise en question des sentiments qu'elle éprouvait envers moi.
Pendants les jours qui suivirent cette confession, passé le choc psychologique, pour la survie de notre couple auquel nous tenions tous les deux, si je lui ai demandé d'éviter les récidives, je lui interdisais par dessus tout de me confronter à d'autres mensonges de ce style. Donc, si dérapage il y avait, j'en voulais être informé directement.
De plus je lui demandais pour mon propre équilibre, de reconstituer toutes les étapes des mensonges qui m'avaient été faits et de me raconter la vérité. Quoique fort dubitative sur le résultat d'une telle entreprise de vérité, elle joua le jeu pour la survie de notre couple. Pendant plusieurs semaines elle eut le courage de répondre à toutes mes questions. Je remarquais moi-même que peu à peu, je désirais ardamment connaitre et mentalement construire le film pornographique de ces escapades. Peu à peu, elle se mit à se livrer sans trop de concessions et à se retrouver parfois fort excitée par l'excitation que cela faisait naitre chez moi. "Je suis parfois une salope, mais t'es aussi un sacré pervers" me lança-t-elle un jour. On a recommencé à baiser comme des dingues.
Elle avait couché deux trois fois avec l'un, avait expérimenté diverses embrassades et caresses poussées avec l'autre, ou les deux avec un troisième. Les circonstances avaient été diverses : Un lunch improvisé dans un parc pendant un été, deux ou trois sorties nocturnes préméditées "entre filles" où son collègue la rejoignait, des propositions inatendues de cinq à sept après le boulot dans une voiture...
Les histoires elles mêmes étaient forts différentes : elle avait cédé par pitié pour le premier qui tombait amoureux fou, elle avait jeté son dévolu sur le deuxième parcequ'il était trop migon mais très con, et elle s'était fait surprendre à son propre jeu d'allumeuse avec le troisième en cherchant à savoir si elle pouvait exciter ce dernier.
Dès ce jour, je me suis mis à lui réclamer la vérité sur tous évènements similaires qui pourraient se produire dans le futur, convaincu qu'il était inadéquat après ce genre de révélations de tenter d'étouffer cet tendance adultèrine. J'entendais laisser à notre couple déjà hors du commun pour sa longévité par rapport aux statistiques, des libertés propres basées sur des limites et des règles de confiance.
Je n'ai pour ma part, jamais failli. Et ce pour une bonne raison : je suis celui par qui la transgression et donc la survie de notre couple est possible. je m'explique : Prohiber les futurs potentiels passages à l'acte de ma femme,
déjà commis pendant les infidélités passées, reviendrait à emprisonner des pulsions contre lesquelles elle luttaient déjà intérieurement par le passé en silence. Cela aurait mené à l'implosion naturelle d'un couple banal, encerclé de carcan sociaux où les jardins secrets n'ont plus rien de commun. D'un autre coté, devenir un couple libre ( genre "échangisme/libertinage"), n'aurait eu comme conséquence que d'hypothéquer, de parasiter la reconstruction d'une
fondation de couple basée sur elle et moi. Cette position de domination d'Etre Unique, qui maitrise la situation et prodigue la confiance et le réconfort devant la culpabilité éprouvée à chacune de ses escapades aurait été directment remis en question, si, comme tous les autres hommes, je m'étais alors abandonné banalement, fangeusement, à mes pulsions avec d'autres femmes. D'autre part, ma femme m'excite déjà assez comme ca. Je lui voue un culte de salope hibernante.
A l'abri des regards, j'ai donc emprunté le sentier du sens unique, où de manière permissive, je n'interdisais pas formellement à ma femme de recommencer mais je l'enjoignais plutot à me faire partager ses émotions, ses récits afin que plus aucun mensonge ne viennent contaminer notre besoin de fusion.
Ce qui fut fait et établi. Voilà expliqué mon parcours vers ce candaulisme léger qui caractérise le titre de mon post.
Depuis maintenant plus de treize ans, ma femme a vécu quelques escapades; moins d'une dizaine où il fut question d'un pasage à l'acte. Ce genre de situation tend meme à s'estomper. Voilà plus de 18 mois qu'il ne s'est rien passé. Les passages à l'actes ont été deux fois prémédités, d'autres sont devinés par les situations ( exemple : "je pars en séminaire, X va y aller aussi. Ne t'inquiète pas, il ne passera rien, ca fait trois mois qu'on s'est plus parlé, il ne me regarde meme plus et j'ai vraiment pas ce genre d'idée en tête pour l'instant". Néanmoins elle rentre en piquant un fard puis m'invite rapidement à la prendre fort "parce qu'elle n'a pas été sage").
D'autres épisodes ont été improvisés alors que tout était calme depuis des mois: "Euh, j'ai qqch à te dire au fait. Ce midi, X m'a envoyé un texto pour savoir comment j'étais fringuée. A mon avis, ca fait longtemps qu'il a pas baisé sa femme, il devait être chaud. Pour rigoler j'ai dit que j'avais pas de culotte. Evidemment, il a demandé à voir et... bon, euh, ben je lui ai montré dans l'ascenceur et il a commencé à m'embrasser et..."
Généralement, si elle accepte un dérapage, je sais que je peux m'attendre à trois jours de frénésie sexuelle pendant lesquels j'ai tout le plaisir de la soumettre à tous mes jeux et elle à me faire baver et exploser dans tous les sens.
Elle s'étonne toujours de mon intérêt obscène à vouloir connaitre, outre les contextes certains détails sexuels de ses aventures, à m'en fournir toute l'intimité. De ce côté je suis le voyeur. Notre couple évolue de ce coté là.
Elle me livre les détails. J'aime bien. Ici, à la différence du candaulisme pur et dur, il n'y a pas de véritable humiliation, plutot une confession interdite livrée à un interdit confident. Le plaisir est double et partagé, tout en retenue mais elle mouille et je bande.
Je connais les limites de ces jeux de dominants/dominés. Je crains comme la peste la possibilité qu'un jour un amant prévale sur moi sexuellement. Ce serait la fin. L'amant est ici un jouet dans notre triangle, il est trompé car il ne sait pas que je sais. Et en aucun cas je ne peux prendre ou aimer la position du mari soumis. ( J'ai rien contre les soumis, je ne les comprends pas. C'est tout). Ici je partage et tolère, et j'apprécie à sa juste valeur la liberté de la transgression.
Néanmoins, de fil en aguille, il m'arrive d'imaginer avec elle comment elle pourrait séduire prochainement son collègue ou quelle serait les meilleurs stratégies pour vivre une prochaine escapade. Si j'en m'en amuse, je remarque qu'elle ne passe plus à l'acte. La situation évolue peu à peu, les discussions sont plus ouvertes et le souffre est toujours la.
Je ne pense pas vraiment vous conter la suite ou l'évolution de notre couple comme certains le font sur ce forum. C'était un témoignage vu que le sujet est plutot tabou et opposé au grand standard ( quoiqu'ayant certaine presse pour l'instant). Il m'a fallu du temps pour gérer tout cela. Cela ne se fait pas en un jour.
Désolé pour mon style un peu aride et mon manque de pornographie textuelle.
Bonne continuation à tous.
J.