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C'est dans cette section du forum que nous abordons le candaulisme de façon approfondie et réfléchie. Vous êtes invités à engager une discussion sur ce sujet, à poser toutes les questions que vous souhaitez aborder et partager avec les autres membres coquins de ce site. Chacun est libre d'exposer en détail son approche du candaulisme au sein de sa relation de couple. Aucune interrogation n'est prohibée, n'hésitez donc pas à contribuer activement aux différents fils de discussion proposés.

Nous comptons sur votre participation enthousiaste pour échanger de manière constructive sur cette pratique singulière qu'est le candaulisme. Qu'il s'agisse de témoignages personnels, de questions sur les techniques à adopter, les limites à respecter, les plaisirs à explorer ou encore les éventuelles difficultés à surmonter, toute contribution permettra d'enrichir notre réflexion commune sur ce sujet passionnant.

Que vous soyez candauliste occasionnel, candauliste convaincu ou simple curieux, votre avis nous intéresse. Racontez-nous comment vous en êtes arrivé à vouloir partager l'intimité de votre partenaire, ce que vous en retirez comme satisfactions, les sentiments que cela éveille en vous. Interrogez-nous sur les aspects qui vous semblent obscurs ou problématiques. Ensemble, nous parviendrons à dissiper bien des malentendus au sujet de cette pratique et à en comprendre toutes les subtilités.

Le candaulisme est une facette de la sexualité humaine qui mérite d'être considérée sans préjugés ni tabous. C'est ce à quoi nous nous employons dans cette section, avec comme seul mot d'ordre la liberté d'expression et l'ouverture d'esprit. Alors, que les discussions les plus franches et les confidences les plus brûlantes commencent ! Nous sommes ici pour écouter, conseiller, rassurer et surtout partager notre goût pour le candaulisme.
#2582422
Bonjour
Merci pour ton post j’attend les réponses des cocus
Je suis entrain aussi de me poser la même question que toi .
Dois je sauter le pas et proposer à ma femme de m’équiper d’une cage ?
Dois je en parler à ma femme ?
Est ce un levier pour éventuellement la motiver à trouver un amant régulier ?
À suivre ….
#2582964
bonsoir . nous sommes candau depuis quelques annees maintenant ,ma femme ma proposée cette idee l annee derniere .
sur le coup je n ai pas su quoi dire devant la soudainetée de cette demande ....
puis apres reflexion ,j ai accepeté. ce n est qu en fin d annee qu on a fait le 1 er essais hors plan candau . je dois avoir que ce n est pas desagreable comme sensation,melange d excitation et frustration ,sentiment de puissance de la part de la miss . c est melangé mais l experience merite d etre vecue. je ne suis pas de ceux qui souhaitent la porter h24 mais simplement ponctuellement pour des jeux. voila voila pour nous .
maximast, gemini, Jiji21 et 15 autres a liké
#2583016
Bonjour la cage est utile pour vous pas pour votre épouse pour trouver un amant , elle vous rendra plus docile et plus amoureux et acceptant; c’est cela qui pourra lui pourra lui enlever le poids de la culpabilité ou de sa conscience , ce sera long alors bon courage les semaines passent lentement encagé ……
#2583351
Nous avons adopté ce style de vie sexuelle depuis fin 2015. C'est devenu un port permanent mais aussi la découverte d'une tout autre manière de vivre la sexualité.

On ne peut pas généraliser et dire que le candaulisme amène à la cage ou que la cage pousse au candaulisme. J'y ai bien sûr cru, mais non.
Mais c'est sûr que la CMC (Chasteté Masculine Contrôlée) peut être un sacré catalyseur d'excitation quand on l'ajoute au jeu du candaulisme plutôt orienté cuckolding.
#2583407
Bonjour, nous utilisons nous aussi la cage depuis quelques années déjà.
Je suis en cage entre 30 et 70% du temps et quoiqu'il en soit en général une semaine ferme avant une rencontre et deux trois jours après sans libération et toujours présent lors de la rencontre.
La cage a révolutionné notre approche du candaulisme,je vis un rêve et madame se lâche beaucoup plus.
Saxojaune, nizo, Cocucornu et 13 autres a liké
#2583566
Jiji21 a écrit :Oui je comprends comment avez vous commencé?
Etes vous candauliste du coup ? :)


C'est mme qui a suggéré l'emploi de la cage de chasteté. Sincèrement, elle pensait juste que ce serait un jeu "le temps de", mais elle s'est rendu compte qu'elle adorait ça, que ça l'excitait et la rassurait beaucoup.
Pour ma part, je n'étais pas contre et je pensais comme toi que cela la pousserait à enfin franchir le pas.

C'est donc devenu du 24/7, mais cela ne l'a toujours pas décidé à franchir le pas du candaulisme. Le seul progrès, c'est qu'elle parle ouvertement et d'elle même du candaulisme, s'amuse à l'évoquer pendant nos ébats (mais ça, surtout parce qu'elle sait que cela m'excite énormément).
Elle a appris à apprécier énormément que je la fasse jouir (plusieurs fois) tout en restant encagé, avec surtout le grand confort de pouvoir jouir en "fontaine" sans avoir de sperme à nettoyer ensuite.

Cette pratique m'a aussi confirmé mon côté candaulisme puisque je prends un plaisir comme je n'ai jamais eu à la voir jouir sans pouvoir la pénétrer.
niclous69, coc31, Bernard68 et 9 autres a liké
#2583583
Il y a de cela 20 ans. Je venais de passer la quarantaine et mon épouse avait elle 35 ans. Nous étions un couple banal de l'ouest parisien.
Comme nombre d'hommes de mon âge j'avais de temps en temps des aventures extra-conjugales. Il arriva qu'une fois cela revint aux oreilles de ma femme. S'en suivit une crise qui ébranla notre couple. Une crise sérieuse qui dura bien deux à trois mois, à tel point que nous ne nous adressions plus la parole que pour l'essentiel, et que je dus aller prendre mes quartiers dans le canapé du salon.

Lorsqu'un soir elle me dit que nous devions parler. je croyais alors que les choses allaient enfin s'arranger et que nous reprendrions un cours normal de notre vie de couple.
Elle me dit qu'elle avait bien réfléchi, que j'avais bien abîmé notre vie de couple, et qu'elle ne pouvait pas supporter que cela continue ainsi.

Voici ce qu'elle me dit : "Je suis prête à reprendre notre vie de couple mais à deux conditions. Je veux de ta part une fidélité totale, dont je m'assurerai en prenant le contrôle de ta sexualité pour une période de 2 ans, d'une part. Et d'autre part me concernant j'aurai sexuellement une liberté totale. Donc je te renverrai la monnaie de ta pièce en te faisant ouvertement cocu. C'est à ces conditions que je reprendrai notre vie commune dans laquelle nous aurons encore des relations sexuelles dont la pénétration sera totalement exclue, car tu porteras une cage de chasteté, qui t'empêchera toute érection, et dont je serai la détentrice de la clef. Si tu n'acceptes pas ces conditions alors nous nous séparerons. Cette proposition est non négociable et tu as 48 heures pour accepter ou refuser. Fin de la discussion !".

Je ne désirais pas mettre fin à notre couple, mais je n'imaginais pas être confronté à une telle sanction de sa part. Je pensais bien qu'elle allait se refuser à moi pendant un temps, mais que les choses rentreraient progressivement dans l'ordre. Mais là accepter d'être encagé en permanence pendant deux années, c'était beaucoup. Pendant les deux jours je n'ai pensé qu'à çà, incapable de prendre une décision. Puis à la dernière minute ne voulant pas perdre ma femme et tirer un trait sur tout ce que nous avions fait ensemble, je lui ai dit que j'acceptais la sanction, bien que je la trouve assez lourde. Elle me répondit que cette sanction était à la hauteur du mal que je lui avais causé et qu'elle ne reviendrai pas dessus. Et me demanda aussi de renouveler mon acceptation de cette sanction, sur laquelle il ne serait pas question de revenir pendant la durée totale de son exécution. Sachant que pendant cette période elle seule aura le pouvoir sur mon sexe. Je devrai porter sans discontinuer une cage de chasteté, l'abstinence sexuelle sera mon lot pendant toute cette période. Je pourrai retrouver ma place dans le lit conjugal, mais que je ne me fasse pas d'illusions il n'y aura plus de pénétrations, au mieux lorsqu'elle le demandera je devrai lui donner du plaisir avec mes mains et ma bouche. Comme je l'ai fait à son égard, il sera possible qu'elle me cocufie, mais cela ne se fera pas derrière mon dos, j'en serai averti, tenu informé et de fait publiquement connu puisqu’elle ne cachera pas d’avoir des relations extra conjugales.
Je lui ai confirmé mon acceptation d'exécuter la sanction pour les 2 années à venir, et ce sans espoir de remise de peine.

Le soir même j'étais autorisé à réintégrer le lit conjugal, à la condition de ne pas tenter un rapprochement plus intime. Avant de nous endormir elle me signifia que dans deux jours, nous irions chercher la cage qui enfermera mon sexe et qu'elle me sera posée. Alors que nous étions au lit nus tous les deux cette échéance me causa une drôle d'impression et mon sexe qui commençait à bander se mit à se relâcher. Et les deux jours qui suivirent je ressentis à la fois une excitation ,et aussi cette impression de ramollissement de ma virilité.

La veille de la pose de ma cage, mon épouse me dit qu'elle voulait que je me fasse épiler le pubis, les couilles et la raie culière. Ajoutant que cette perte de virilité n'était pas bien importante, puisque j'avais accepté qu'elle soit la seule à voir mon sexe. Elle me donna l'adresse d'une esthéticienne chez laquelle elle avait pris rendez-vous pour moi.Bien qu’humilié de devoir me faire épiler les parties intimes, je n’osai pas rechigner et acceptais la chose. En sortant du bureau je me suis rendu à l’adresse indiquée, et j’ai longuement hésité à entrer. Lorsque je poussai la porte et m’identifiais auprès de l’hôtesse, elle me fit remarquer que j’étais en retard. Et qu’à l’avenir il me faudrait respecter les horaires. Elle me fit ensuite entrer dans une cabine me demandant de me mettre nu, car sa fiche précisait qu’elle devait me faire un sexe de petit garçon. Elle commença par une tonte courte à la tondeuse pendant laquelle mon sexe ne résista pas à bander plus ou moins. Cela la fit sourire et elle me dit qu’il en serait tout autrement lorsqu’elle passerait la cire à épiler. Ce fut effectivement le cas sous l’effet de l’arrachage des poils, ma bite perdant alors toute sa prestance. Ensuite elle me donna une crème adoucissante pour calmer le feu qui me dévorait le pubis, les couilles et la raie culière. Rentré à la maison, le soir mon épouse me demanda à voir le travail qu'elle trouva à son goût. « voila une belle petite bite d’eunuque » me dit-elle.

Le lendemain matin elle me dit de rentrer pour 19 heures car nous devions aller chercher ma cage. Le soir j'étais à l'heure dite à la maison et nous sommes partis pour Paris. En cours de route elle me donna les instructions m'indiquant que nous avions un rendez-vous avant d'aller chercher la cage. Nous nous sommes rendus dans un bar où nous attendais notre rendez-vous, une superbe femme d'une cinquantaine d'années qu'elle me présenta comme étant son coach dans l'affaire qui motivait cette rencontre. Je ne m’attendais pas à cette rencontre et en étais fort gêné. La femme le sourire aux lèvres m’accueillit en me disant « ainsi c’est vous le mari volage qui va être engagé », le rouge aux joues je me contentais d’acquiescer.
Verre à la main ma femme et elle discutèrent de choses et d’autres un bon moment sans me prêter la moindre attention. Et elles décidèrent qu’il était temps de passer à l’objet de la rencontre. Mon épouse me demanda de les suivre jusqu’au cabinet de sa coach qui se trouvait à quelques blocs du bar.
J’ai donc suivi ces dames jusqu’à un appartement au rez-de-chaussée d’un immeuble. À peine entrés mon épouse me demanda de me mettre nu afin qu’elle puissent m’essayer différents modèles et choisir celui qui conviendrait le mieux. Le rouge aux joues et la queue demi-molle je me suis exécuté devant ces dames qui dégustaient un verre. Après de nombreuses discussions entre ma femme et sa coach, et plusieurs prises de mesures, leur choix s’arrêta sur un petit modèle métallique du 3,5 cm. Au motif qu’en pleine bandaison mon sexe n’atteignait que 15 cm. En conclusion la coach dit à ma femme que ce modèle serait parfait pour sa petite bite de mari. En refermant le cadenas et en retirant la clef, ma femme s’adressant à moi me dit : « Mon chéri ta bite est maintenant à moi. Ta punition commence et ne compte pas sur moi pour faiblir ». Ensuite les problèmes d’entretien furent évoqués. Puis je fus autorisé à me rhabiller, et mon épouse et moi avons repris le chemin du retour. Pendant ce retour elle se blottit sur mon épaule l’air apaisée et heureuse. Alors que nous étions dans notre chambre et que je m’apprêtais à passer mon pyjama elle m’interrompit d’un « Non maintenant tu dors à poil, que je puisse voir ta nouille en cage, ça m’excite de te voir en mon pouvoir. Aller l’homme sans bite viens me bouffer la chatte et fais moi bien jouir ». La cage me comprimait la bite qui se trouvait ainsi empêchée de grossir. Excité par la situation je l’ai léchée, sucée, j’ai tété son clitoris jusqu’à la faire jouir et j’ai reçu sa liqueur en bouche. Le lendemain matin alors que nous prenions le café elle me dit qu’elle était heureuse de se sentir maitresse de ma sexualité. Que désormais c'est elle qui déciderait quand et comment elle utiliserait mon sexe, soit pour son plaisir soit pour le vidanger, car elle comprenait que je ne puisse pas rester indéfiniment sans éjaculer. Elle me dit aussi que ma prochaine vidange aurait lieu dans 15 jours à la condition que je la satisfasse sur tous les plans pendant cette période.



La première vidange eut lieu effectivement 15 jours plus tard. C'était un dimanche matin. Apparemment joyeuse elle me dit qu'elle allait me libérer pour que je puisse me vider. Mais qu'il ne fallait pas espérer que ce soit elle qui me branle, ni qu'elle allait accepter que je le fasse moi même. Ajoutant que ce n'était pas une partie de plaisir, mais un simple acte hygiénique, elle me présenta un sex toy qui allait me permettre de me vider les couilles. Une fois libéré de la cage elle me fit mettre à 4 pattes et enfila l'engin sur ma bite pour me traire. Ajoutant que si cela prenait trop de temps je réintégrerai la cage sans m'être vidé. Je me laissai alors faire et j'ai assez rapidement expurgé mon sperme, et je ressentis le vide m'envahir. Après la traite j'eu droit à une petite toilette par les soins de ma femme qui pour l'occasion avait enfilé des gants de ménage. Elle examina l'état de mon épilation, et jugeant que la repousse commençait à se voir elle entrepris de me faire une propreté à l'aide de mousse à épiler. Puis après une petite douche bien froide mon sexe a retrouvé sa cage. Satisfaite d'elle elle contempla son ouvrage te me claqua une bise sur les lèvres avant de me dire : "viens donc me lécher la chatte et le cul.", ce disant elle s'assit sur mon visage pour que je lui donne son plaisir. Ce après quoi je dus aller nettoyer le sex-toy qui avait servi à me vider les couilles.


Six mois ont passé, notre couple fonctionnait maintenant sur ces nouvelles bases. Et paradoxalement, le fait que mon épouse règne en maîtresse sur ma sexualité m'avait rendu plus amoureux d'elle qu'auparavant. Tous les quinze jours j'avais droit à une traite à l'aide du vagin artificiel que je devais ensuite nettoyer moi même. Progressivement je me suis mis à décharger de plus en plus tôt, et je me trouvais mal à l'aise après ces libérations. Notre vie sexuelle comportait presque exclusivement des caresses et des cunis, que j'appréciais énormément. Une à deux fois au cours de cette période elle me libéra pour que nous puissions avoir une relation complète, mais elle insistait pour que je fasse vite, et la première fois elle me remit en cage avant que je n'arrive à éjaculer. Puis nous avons recommencé quelques jours plus tard et là j'ai très vite joui. Elle m'en félicita et me fit lui nettoyer mon sperme, en me glissant à l'oreille qu'un bon mari se devait d'être un bon cocu nettoyeur. La semaine suivante le jour de la traite, elle décida de me branler en me disant :"Je te laisse 2 minutes pour te vider, si tu n'y arrives pas tu retourneras en cage pour 2 semaines !". Pour ma part j’avais bien compris que son but était de me rendre plus précoce, mais je me laissais faire frustré par de longues périodes d’abstinence.
Chaque fois qu’elle m’accordait une pénétration je n’arrivais plus à me retenir et j’éjaculais à l’entrée. Ce qui lui permettais de me demander de la faire jouir avec ma langue et d’avaler mon propre sperme. De même lorsqu’elle acceptait que je me masturbe et que je décharge sur elle, je devais la nettoyer et avaler mon sperme.


Après 6 mois de ce régime nous avions trouvé un nouvel équilibre de couple où elle régissait totalement ma sexualité, et où nous avions retrouvé une forte affection. Elle avait progressivement introduit de nouvelles exigences, comme augmenter ma participation aux tâches ménagères, l’assister lors de son bain du soir, lui prodiguer des massages du corps et des pieds. Mais parallèlement elle exigeât que j’abandonne toute pilosité « tu es mon eunuque et je te veux impeccable ». Et mes libérations étaient de moins en moins fréquentes. Souvent elle se moquait de la taille de mon sexe, devenu de plus en plus petit. Ajoutant « cet appendice ridicule ne t’est plus d’aucune utilité, à ta place je ferais retirer tout ça ! »

C’est à cette époque qu’un soir elle me dit : « Je suis heureuse que tu aies accepté la punition que je t’ai imposée, punition que tu méritais d’ailleurs. Je t’aime ainsi dévoué et soumis à mon plaisir. Tu es à moi et je te façonne à mon goût en eunuque. Mais ta punition n’est pas encore achevée, je t’avais promis de te rendre la monnaie de ta pièce en te cocufiant à mon tour. Je vais le faire maintenant. Je vais le faire parce que je t’aime tel que je te façonne, et parce que j’ai besoin d’être bien baisée ce que je ne peux pas faire avec toi. Tu m’as trompée moi je vais faire de toi un cocu à petite bite. Je vais te cocufier ouvertement sans me cacher. Mais sache que je t’aime et que je te veux ainsi ». Voyant ma tête elle ajouta « Oui c’est ainsi, tu n’es déjà plus un mâle et jusqu’au dernier jour de ta punition tu resteras eunuque ».

Peu de temps après elle me dit avoir rencontré un homme avec lequel elle avait envie de coucher. Elle se mit à sortir de plus en plus souvent avec lui. Puis un soir alors que nous étions au lit alors qu’elle venait de jouir sous ma langue elle me dit : « J’ai passé une bonne journée tu viens de me donner du plaisir et cet après-midi j’en ai pris avec M qui est particulièrement bien monté et qui m’a bien baisée. Tu es bel et bien cocu. »

Elle voyait M plusieurs fois par semaine en journée et en soirée. Et à chaque fois elle ne manquait pas de me dire qu’elle sortait avec son amant. Puis un soir elle me dit : « Maintenant que tu es mon époux réduit à l’état d’eunuque, il faut que tu saches que M est mon mâle et moi sa femelle. Tu as certainement remarqué que je ne mets plus de soutien-gorge ni de culottes. Car il aime que sa femelle soit rapidement à disposition. Cette situation m’excite fortement. Il est très exigeant sur ce point. Et je prends plaisir à me plier à ses exigences qui parfois me surprennent. Mais maintenant que je t’ai réduit à l’état d’eunuque, je tire plaisir à n’être pour lui qu’une femelle à la disposition de son bon plaisir. Le prochain week-end, nous irons nous reposer dans un charmant hôtel de la côte normande, où nous retrouverons M. Et compte sur moi pour te cocufier ouvertement ».

Le vendredi suivant en fin d’après-midi nous avons pris la route et 2 heures plus tard nous étions arrivés. Avant de descendre de la voiture elle me dit : « tu vas vivre ton premier week-end de cocu, et je compte sur toi pour bien te conduire », ce disant elle me claqua une bise sur la bouche et ajouta « En avant mon cocu ». A la réception elle nous annonça comme mari et femme, la réceptionniste nous donna les clefs de notre chambre, ajoutant que Mr M avait demandé à être prévenu de notre arrivée, et qu’il nous attendait sur la terrasse, où elle nous conduisit aussitôt. C’est là que pour la première fois j’ai vu ma femme embrasser M à pleine bouche sans se soucier de qui pouvait bien être présent.

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