hubby a écrit :@utoeuta :
Je n'éprouve pas le besoin d'assister, et ce depuis le début.
Il est vrai que nos relations sexuelles se sont modifiées avec l'arrivée de l'amant régulier. Lorsqu'elle a souhaité se réserver pour lui, j'ai bien compris ses motivations. Elle avait besoin de vivre pleinement cette relation et n'avait pas envie que nos propres relations interfèrent. Par contre sentimentalement et psychologiquement rien n'a té modifié entre nous. Au contraire le fait que je l'accompagne sur le chemin de cette relation et que je partage avec elle la montée de ses sentiments pour l'amant nous a rapprochés encore. Elle ne m'a jamais rien caché et ses confidences étaient régulières. Elle a très bien compris et apprécié que je ne souhaite pas assister, mais nous avons toujours conservé une activité masturbatoire réciproque pendant ses confidences. Avant ses rencontres avec son amant elle a toujours tenu à me masturber amoureusement avant de le rejoindre. Et nous avons toujours gardé ce rite, au demeurant fort agréable.
La distance que tu sembles avoir avec les relations de ta femme et son amant m'étonne un peu.
L'amant régulier te remplace complètement sexuellement. C'est dans ma logique des choses et cela ne me gène pas.
En revanche, je suis étonné de ce que votre complicité se limite à des confidences masturbatoires.
Vous semblez tous deux gênés de cette situation ?
Ne pensez vous pas - toi et elle - vous priver d'un plaisir qui serait bien supérieur à celui qui est actuellement le vôtre ? J'ai un peu l'impression que vous n'arrivez pas à franchir les étapes que chaque couple candauliste a vécu.
Ma femme a fini par prendre du plaisir à faire l'amour devant moi, alors qu'au début cela lui a été très difficile. Autant elle était habituée à "s'envoyer en l'air", autant son amant a été son premier partenaire en dehors de moi auquel elle avait envie de s'offrir. Elle n'a pu vaincre sa gène, son embarras qu'après presque un an et demi de relations qui se faisaient en dehors de ma présence. Au début je n'étais pas convié. Puis, peu à peu, j'ai fait partie de leurs jeux. Mon excitation primitive qui faisait rire ma femme a finit par la gagner elle aussi. Au cours de leurs ébats les plus récents, ma femme est devenue ma parfaite complice. Tout m'était montré. Je pouvais tout entendre. Les poses les plus osées. Les tendres baisers. Un florilège de positions, d'attitudes, d'émois, de cris, de mots, l'orgasme bruyant, partagé, le lit trempé de cyprine, son sexe remplit de sperme. Le proverbe est vrai "Là où il y a de la gène, il n'y a pas de plaisir".
Je pense que l'un comme l'autre auriez à gagner en complicité en y réfléchissant...
(sommes cpl les 2 bi. Ch. Mâle pour elle...et lui)