Personnellement il y a deux facettes à ce fantasme chez moi :
1. Une face "positive" qui est l'excitation infinie que me procure la vision de la femme de ma vie prendre du plaisir. Mon vrai plaisir ne passe que par là d'ailleurs, mes branlettes solitaires ne me procurent qu'un soulagement physique (très bon aussi quand-même

) alors que quand elle jouit avec moi ou à mes côtés, là c'est vraiment bon. J'ai par ailleurs besoin de partager ça avec elle, les fois où elle est allée voir son amant sans moi n'étaient pas aussi bonnes et ont d'ailleurs renforcé la deuxième facette…
2. Une face bien dont la source est bien plus sombre et négative qui est la transformation d'une frustration, une vraie souffrance, de longue date due à une différence énorme de besoins sexuels entre nous. Pour ma femme, du sexe 1 fois par semaine, et sans fioritures, c'est bien assez. Moi j'en demande beaucoup plus que ce soit en terme de qualité ou de quantité. Cette frustration est une souffrance quotidienne, et je ne veux pas lui imposer mon désir donc je prends sur moi, et ça a fini par me "détraquer" je pense… J'imagine qu'elle prend du plaisir ailleurs, que c'est moi le problème, car je ne peux pas (je refuse) concevoir qu'elle n'aime juste pas trop ça. Quand elle avait son amant, elle le voyait grand max une fois par mois mais c'était l'extase (sodomie, éjac buccale, top qualité quoi

) et du coup elle avait encore moins de désir pour moi, ce qui a renforcé cette facette bien plus "cuckold" de mon fantasme.
Je ne sais pas encore bien s'il faut lutter contre, ou si après tout c'est plutôt pas mal de transformer une souffrance en fantasme et en plaisir. Là où le bât blesse c'est qu'elle ne voit plus d'amant… mais ne me désire pas plus pour autant

cette période est assez rude car je me rends compte que pour mon équilibre j'ai besoin qu'elle m'offre au moins l'un ou l'autre

dur dur d'avoir sa vie sexuelle complètement annexée à celle de sa compagne
