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par papillons
#34551
C'est un peu long, mais très intéressant...

La science du cocufiage

Par Susan Gower – sexo-thérapeuthe et conseillère en relations de couple

Après avoir étudié des années durant la sexualité humaine, il est devenu indubitable pour moi qu’une relation de cocu (dans laquelle la femme a une activité sexuelle avec un ou plusieurs hommes pendant que son mari lui est fidèle) est compatible avec l’évolution humaine. C’est en s’écartant de cette relation humaine de base que l’on a connu tant d’incompréhensions et de conflits entre les sexes.

A la base un principe simple, la compréhension du besoin psychologique de la femme d’avoir une variété de partenaires. Psychologiquement nous sommes différentes des hommes. Un femme a un comportement sexuel dualiste. Le premier est centré sur le fait de trouver un compagnon pour nous soutenir dans la vie. C’est pourquoi l’amour est si important dans le désir sexuel féminin. Le second c’est le désir d’obtenir le meilleur matériel génétique pour produire le meilleur enfant. Ce second désir commence à croître lorsqu’une femme a trouvé son compagnon pour la vie et va croître de plus en plus fort au fur et à mesure que le temps passe avec son compagnon. Parfois ce comportement peut devenir plus puissant et l’emporter sur le désir sexuel pour son compagnon. C’est pourquoi le désir sexuel féminin pour son mari diminue avec le temps. Dans le même temps son désir sexuel d’un autre homme augmente. Souvent ce désir d’autres hommes devient si fort qu’elle ne peut le dénier.
Cela ne la rend pas immorale, ou ne signifie pas qu’elle n’aime plus son mari, c’est tout simplement inscrit dans son code génétique.

Les différences physiologiques entre hommes et femmes rendent aussi le cocufiage comme idéal pour le mariage. Les femmes n’atteignent pas leur « sommet » sexuel avant la trentaine, alors que les hommes l’atteignent dans leur vingtaine. Dans un mariage « typique » une femme est généralement plus jeune que son mari, ou du même âge. Dès lors l’appétit sexuel de la femme s’accroit, cela étant dû à son comportement sexuel biologique, lui donnant de plus grands besoins que son mari. Elle a besoin de relations physiques en plus grand nombre, plus longues, et de plus d’orgasmes. Son mari (du même âge ou plus âgé) en demande moins que sa femme, et le temps de son orgasme diminue en perdant intérêt pour le sexe, ce qui laisse la femme insatisfaite et frustrée. Le mariage se poursuivant, le fossé des besoins sexuels augmente en général jusqu’au moment ou la femme trouve secrètement un amant en dehors du mariage. En dehors des deux points cités ci-dessus, la femme a également capacité à expérimenter en bien plus grande quantité l’intensité et la variété du plaisir sexuel et de l’orgasme.

La femme peut donc expérimenter une large palette de plaisirs sexuels, et de diversités d’orgasmes. Le plaisir et les orgasmes proviennent de stimulations manuelles, orales, et coïtales du clitoris féminin, les trois sont nettement différents, permettant à une femme d’atteindre des sensations de plaisir complètement différentes, et des orgasmes différents. Une femme peut même atteindre l’orgasme en stimulant de manière appropriée ses tétons si elle a atteint l’excitation suffisante de la région clitoridienne. La stimulation du clitoris et des tétons en même temps va lui procurer un orgasme intense. Le sommet du plaisir est trouvé dans la titillation orale ou manuelle de son clitoris, tout en connaissant une pénétration profonde. C’est la manifestation de la supériorité sexuelle de la femme, sa capacité à connaître de multiples orgasmes, et des expériences orgasmiques dans tout le corps.

Les hommes sont plus simples sexuellement. Stimuler leur gland suffit à l’éjaculation. Les hommes atteignent le même niveau de satisfaction en se masturbant qu’en accomplissant l’acte sexuel. La masturbation n’apporte à la femme qu’un soulagement temporaire. Les femmes ont besoin de relations sexuelles pour être pleinement satisfaites, y compris psychologiquement.
Le mâle a aussi un comportement sexuel plus simple. Il veut simplement s’accoupler avec n’importe quelle femme qu’il trouve désirable. Plus on lui refuse les relations sexuelles, plus son désir grandit, et plus les critères selon lesquels il trouve une femme désirable baissent. Puisque la femme décide si elle l’autorise à avoir des relations sexuelles avec elle ou non, son désir d’elle est également lié à son approbation. En devenant plus interessé à elle, le désir de lui plaire pour obtenir une relation sexuelle va s’accroître jusqu’à l’emporter sur toute autre considération pour lui. C’est pourquoi vous voyez des hommes agir si stupidement devant les femmes qu’ils désirent, même s’ils n’ont aucune chance d’avoir avec elle des rapports sexuels.

C’est aussi pourquoi, une fois marié, l’homme tient sa femme pour une garantie, maintenant qu’il a une opportunité facile d’obtenir des relations sexuelles elle devient moins désirable.
On pourrait penser que c’est un bon argument pour un mariage « ouvert » dans lequel l’homme et la femme trouvent des partenaires sexuels en dehors de leur mariage. Les interviews de couples dans cette situation ont montré que ces mariages conduit le plus souvent à une compétition entre les époux. Une femme la gagnera toujours d’ailleurs, parce qu’il est plus facile à une femme de trouver un partenaire sexuel que pour un homme. Mais cela peut devenir dégradant, et souvent cruel. On peut dépasser sa volonté pour gagner la compétition et avoir plus de relations sexuelles qu’on ne le souhaite, l’homme va sentir grandir un sentiment d’inutilité
puisqu’il ne peut lutter avec sa femme. Cette sorte de compétition détruit pratiquement toujours un mariage.

Cette idée prend en compte une notion erronée selon laquelle l’homme a besoin de partenaires variées. Tout à l’évidence indique qu’une femme mariée a ce besoin, alors qu’un homme marié non. Le code génétique d’un homme c’est l’excitation de la conquête, pas la variété. Lors d’études cliniques on a pu démontrer que les hommes sont subjugués par leurs épouses dès qu’elles utilisent l’excitation et la dénégation sur eux. Ces techniques instillent l’incertitude chez le mari, ne sachant plus s’il pourra accomplir l’acte sexuel avec elle ou non. Etude après étude, les désirs des maris se concentrent sur leurs femmes, exclusivement, perdant tout intérêt pour les autres femmes. Les femmes furent même capables de faire varier le niveau d’intérêt de leur mari en augmentant ou diminuant l’application et l’effet des techniques d’excitation et de dénégation. Il fut même démontré que lorsque ces mêmes femmes revenaient aux pratiques sexuelles d’avant avec leurs maris, leurs maris perdaient à nouveau leur intérêt pour elles, et recommençaient à regarder les autres femmes comme des partenaires sexuels possibles.

C’est pendant l’ère victorienne que fut employé un mélange de cocufiage et d’excitation et dénégation sexuelle sur les mâles. On croyait à cette époque que des éjaculations excessives étaient cause de maladies. Selon eux la perte de sperme contribuait à l’éclosion de maladies comme l’asthme, tout comme à des maladies mentales. On observe à cette époque la prescription de ceintures de chasteté masculines. Cette pratique prit tant d’ampleur qu’il fut déposé près de 200 brevets de ceintures de chasteté masculine pendant cette période. Dans le même temps on pensait que la femme par manque de satisfaction sexuelle pouvait souffrir d’hystérie. Une thérapie orgasmique était prescrite pour le traitement et la prévention de l’hystérie féminine. Les médecins procuraient aux épouses manuellement, où par d’autres moyens des orgasmes à l’épouse. Le plus souvent
c’était la femme mariée qui avait recours à cette thérapie, parfois trois fois par semaine. Des journaux de médecin de l’époque, notent que la demande grandissait tant qu’ils dûrent déléguer cette tâche à des assistants.
Une pratique structurée de la satisfaction sexuelle féminine et de la dénégation masculine grandit rapidement. Les femmes avaient du temps libre, et tiraient tous les bénéfices de la thérapie « orgasmique » et de la chasteté de leur époux. Les hommes n’étant pas capables d’auto-discipline les femmes détenaient les clés de leur ceinture.

Une société secrète s’est même créée : les détentrices de clés (Key Holders). Les femmes détenant les clés pouvaient refuser des activités sexuelles à leurs maris, pendant que les médecins, ou leurs assistants, ou un autre homme avec qui elles avaient une liaison les soulageaient. Ces clubs de femmes introduisirent dans ces pratiques d’autres femmes insatisfaites par leurs maris pour leur recommander la ceinture de chasteté pour leurs époux, et le traitement contre l’hystérie pour elles mêmes.
Un médecin trouvant une femme désirable pouvait aussi prescrire la même chose afin d’accéder à elle. Des journaux intimes de cette époque racontent leurs exploits avec leurs médecins, assistants, ou d’autres hommes. La légende du postier et du laitier, livrant plus que du lait ou du courrier s’enracinent à cette époque. Toute une société s’est développée autour du fait que des femmes avaient des relations sexuelles avec d’autres hommes pendant que leurs maris devaient leur rester fidèles et étaient interdit d’éjaculation.

On trouve des extraits tels que : « Merveilleuse journée aujourd’hui. Après une visite des plus satisfaisantes de l’assistant du Docteur Elbridge. J’ai passé ensuite délicieusement le temps à observer mon pauvre mari et son désir au pinacle alors qu’il doit s’abstenir de perdre sa semence. Ses suppliques m’ont amusé, et ont augmenté mon désir. Comme toujours il m’a prouvé sa dévotion en me procurant du
plaisir de cette manière si délicieusement française. »
Un autre journal raconte l’excitation d’une femme dont le mari faisait les tâches ménagères, une pratique peu courante dans cette époque ou les rôles entre hommes et femmes étaient si rigides, illustrant ainsi comment l’excitation et la dénégation sexuelle peuvent complètement modifier le comportement masculin. D’autres racontent l’attention nouvelle de leurs maris, et le plaisir de connaître le plaisir leur mari étant « verrouillé dans sa cage ».

Les médecins de l’époque victorienne avaient mis le doigt sur le besoin féminin de relations sexuelles avec différents partenaires. Sans surprise puisque les structures sociétales humaines sont matriarchales, les
sociétés qui vivent selon des méthodes proches de nos rôles féminins et masculins ne souffrent pas des dommages physiques et psychologiques du stress. Ces sociétés, loin du monde moderne, sont encore proches du matriarcat. C’est la femme qui contrôle la propriété, les affaires familiales, et l’activité sexuelle dans ces sociétés. Ces femmes ont plusieurs maris et amants. Un ou deux des hommes apportent la nourriture, la sécurité, la protection, d’autres leur procurent les relations sexuelles. Ce genre d’accouplements est non seulement acceptés, mais normal. Dans certaines sociétés des mâles étalons servent exclusivement une femme, dans d’autres les femmes partagent, échangent et parfois font commerce de ces étalons. Les hommes de ces sociétés sont heureux de leur rôle subordonné aux femmes. Il y a quelques incidents de jalousie, mais ni violence, ni crime, ou de perversion sexuelle. Les hommes se concentrent sur la satisfaction de leurs femmes au lieu de vouloir impressionner les autres femmes, ou d’entrer en compétition avec les autres hommes. La seule subsistant étant la capacité à donner du plaisir à qui les femmes conservent un caractère plaisant. Les hommes concentrés sur ce genre de compétitions ne concourrent pas avec d’autres, conduisant à des amitiés mâle/mâle plus solides.

Une confirmation du caractére approprié du cocufiage dans les relations humaines, a été découvert dans l’étude des primates. Les chercheurs sont parvenus à trouver deux influenceurs anatomiques de la fidélité chez les primates. L’une était la différence de taille entre les sexes, l’autre le ratio entre la taille du sexe, et la masse du corps.
Chez ces espèces la femelle est plus grande que le mâle, et elle a de nombreux partenaires sexuels et de liens avec aucun. Lorsque la taille de la femme et du mâle se rapproche la femelle se lie avec un mâle. Ce mâle lui reste fidèle mais elle continue à entretenir des relations sexuelles avec les mâles avec qui elle n’est pas liée. Cela ne se confirme pas dans l’autre sens lorsque le mâle est plus grand que la femelle.
En ce qui concerne le ratio entre la taille du pénis, et la masse corporelle, dans les espèces où la taille physique a une différence légère entre les sexes (comme chez les
humains) le ratio de la taille du pénis sur la masse corporelle augmente le comportement sexuel dominant de la femelle. Plus petit est le pénis par rapport à la taille du corps, plus les mâles sont restreints à des activités avec leur compagne, alors que les femelles se lient avec les petits pénis, et ont des activités sexuelles avec des mâles mieux pourvus, et non liés. L’activité la plus courante entre femelles et leurs compagnons est le nettoyage et les repas, les activités sexuelles surviennent plus fréquemment entre femelles dotés d’un compagnon, et des mâles sans compagnes.

Les femelles ont également des relations sexuelles avec des mâles ayant une compagne, mais n’étant pas leur propre compagnon. L’activité sexuelle la plus fréquente des mâles avec compagne est la masturbation.
Cette étude m’intrigue particulièrement parce qu’elle est en corrélation avec ma propre expérience. J’ai aidé bien des couples dans des relations de cocufiage. Parmi mes patients, les maris avec de petits pénis n’étaient pas seulement plus en accord avec le cocufizge, mais le suggérait même. Ils étaient parfaitement conscients de leur incapacité à satisfaire leurs femmes sexuellement. En acceptant les liaisons de leurs femmes avec d’autres hommes ils étaient débarrassés de la pression de la réussite.

Ce comportement est présent chez les humains depuis qu’ils sont des primates dont la différence de taille entre les sexes est faible, et que le pénis masculin est petit comparé à la masse corporelle. Les femmes, comme les autres femelles primates s’engagent rarement dans des liaisons sexuelles avec des hommes mariés. Pour un mari le mariage agit comme une ceinture de chasteté féérique. En contrepartie le mariage d’une femme compte peu, et quelquefois même encourage la recherche par les hommes. Cela illustre bien la propension humaine pour des relations tenant compte du cocufiage, sachant que génétiquement cela vient de très loin.

Notre morale moderne, et les rôles imposés (aux mâles et aux femelles) par notre société ne sont pas seulement aberrants du point de vue du comportement par rapport à nos données génétiques, mais psychologiquement malsaine, et moralement manquant d’éthique. Il n’est pas juste qu’une femme soit forcée de réprimer un comportement sexuel qui est ancré génétiquement dans sa psyché. La plupart des femmes mariées ne peuvent tout simplement pas le faire. On ne peut mesurer combien de femmes ont de relations seuxelles avec des hommes en secret parce que notre société n’accepte pas leurs besoins naturels.
A quel point sommes-nous passés d’une société matriarcale à une société patriarcale qui a tant perverti nos rôles sexuels masculins et féminins ? Nous avons tant inversé la sexualité humaine que nous en sommes venus à penser que les femmes ont peu d’intérêt sexuel par rapport aux hommes alors que c’est l’inverse qui est vrai. Nous pensons que les hommes devraient être libres d’avoir des relations sexuelles, alors que ce sont les femmes qui devraient l’être. Nous avons créé une société dans laquelle les femmes luttent contre la culpabilité et la frustration.

Ce comportement mène au stress, la dénégation de notre programmation sexuelle naturelle nous conduit à des émotions cachées ou non-dites générant des problèmes comportementaux. Combien de divorces sont causés par l’injustice faite aux femmes concernant leurs besoins sexuels ? Pour protéger l’homme de l’humiliation, on ne dit pas dans notre société policée que la raison du divorce d’un couple tient au fait que la
femme a trouvé de la satisfaction sexuelle en dehors de son mariage. Si nous pouvions être honnête, et ouvert, à propos des besoins féminins, et que ce n’est pas la faute des maris si elles doivent satisfaire ces besoins en dehors du mariage, alors nous pourrions titrer profit du cocufiage comme une norme sociale saine, et sauver ainsi beaucoup plus de mariages.

J’en ai sauvé en introduisant l’idée et la pratique du cocufiage dans des couples se déchirant. J’ai vu mes patientes féminines qui avaient des liaisons hors mariage avecl’acceptation de leurs maris et l’assurance que leurs maris leur restaient fidèles devenir plus calme, confiante, et équilibrée. De la même manière, les maris, une fois dépassés les affres de la jalousie, et la peur de ne pas être à la hauteur, devenaient plus calmes, plus mûrs, et n’adoptant pas de comportements juvéniles. Même leur intérêt pour la pornographie reculait alors que leurs femmes leur racontaient leurs exploits. Leur participation à ces rencontres lorsque c’était le cas, les excitaient plus que l’excitation artificielle de la pornographie.

Lorsque mes clientes ajoutaient le principe d’incertitude liée à l’excitation et à la dénégation, elles parvenaient à rappeler à leurs maris les premiers jours de leur rencontre. Les maris étaient mieux concentrés sur leurs femmes et ne souffraient plus de sentiments frustrants causés par le désir d’une femme inatteignable.
Un mariage de cocu peut évoluer dans un grand nombre de préférences. Personnellement j’ai vu des mariages ou les femmes apprécient d’assujettir leursmaris à l’humiliation et à la punition, ceux dans lesquels les femmes ont des relationssexuelles devant leur mari, jusqu’à ce qui se situe entre ces deux extrêmes. La plupart des couples que j’ai assisté ont des mariages pleins d’amour, avec des jeux d’excitation et de dénégation, qui semble une convention sauf au moment des rendezvous.

Il est regrettable que les relations basées sur le cocufiage, comme aux temps victoriens n’aient pu évoluer comme une manière ouverte de vivre dans notre société moderne. J’espère qu’un jour ce sera le cas.


Cet article est une traduction de l’article trouvé à cette adresse :
http://cuckoldcouple.wordpress.com/the-science-of-cuckoldry/


Qu'en pensez-vous ?
par lyonkokin
#34591
De Lyon également.
Merci pour ce long travail / transcription de qualité qui ouvre le débat sur de nombreux points.
Au plaisir de parler via MP ou autre.
Cordialement.
Avatar de l’utilisateur
par utoeuta
#42781
Merci. Tout à fait remarquable.
Pouvez vous nous donner l'autorisation soit de copier coller (en vous citant) soit de faire un lien sur cette page depuis notre blog : http://utoeuta.erog.fr ?
Par avance merci.
par reverencieux
#1193459
je tombe par hasard sur ce post, en fait c'est l'éloge du candaulisme
je suis d'accord pour une plus grande liberté sexuelle naturelle des femems mais pas d'accord avec le mode de vie que voudrait imposer cette bonne femme

à chacun, chaque h, chaque f, chaque couple de décider de ce qui est bon pour lui, elle... eux

c'est évident qu'une fememe a beaucoup plus de possibilités sexuelles qu'un homme mais assez peu en profitent vraiment car bridées par leur éducation et aussi par le fait qu'une f a plus besoin de sentiments qu'un h pour faire l'amour
et peu donc dépassent ces obstacles pour s'envoyer en l'air autant qu'elles l'aimeraient dans leur for intérieur, la meilleur preuve étant que lorsque le mari a reussit a amener sa femme a lechangisme, triolisme,cocufiage etc, quand elels sentent qu'enfin elles ont acquis, en toute securité, le droit de laisser libre cours a leurs envies et d'avoir autantd e rapports sexuels avec autant d'hommes qu'elle le desirent, alors elles se déchaînent laissant loin derrière elle leur pauvre petit mari dépassés
par elles

en tout cas c'estc e qqui est arrivé pour mon couple, ma femme épousée vierge n'avait jamais connu d'autre homme que moijusqu'à ses 34 ans et c'est pcq j'ai insisté pendant plus de 3 ans qu elel a enfina ccepté de coucher avec un autre homme Elle a eu de la chance (et moi aussi) de tomber sur un super bon coup, tres ntelligent etd implomate de surcroît) qui lui a ouvert grand des horizons qu'elle ne soupçonnait même pas, à commencer par le plaisir décuplé avec lui , puis par la conscience de l'énorme pouvoir que cela lui donnait sur moi Elle a a profité dès la premeiere année, nous sommes alles tres souvent ds des partouzes et comme je l'accompagnais j'ai pu compter le nombbre de ses artenaires les deux premières années à la suite, j'ai comptabilisé pendantc ette courte période plusde 100 "amants" en plus du premier devenu son regulier Apres j'ai arrêté de compter car il y en avait trop et aussi parceque elle multipliait les aventures en dehors de moi en plus de ceux en ma presence et daprès des conversations avec d'autres maris c'est une chose courante que nos femems une fois qu'elles se sont libérées de toute morale se livrent a de veritables orgies que nous soyons alors d'accord ou pas elles s'en fichent
par mohican
#1196495
Si on veut s’attaquer à une analyse critique du texte, remarquablement traduit (merci), il serait nécessaire de produire un « roman ».

Je me permettrais quelques observations cependant.

Tout d’abord, ce propos est éminemment sexiste, à la limite de la caricature. La femme est tout, l’homme n’a pour vocation que de la servir.

Ensuite, la référence à des fonctionnements sociétaux identifiés dans des espèces proches de la nôtre relève de la pure fantaisie. Le discours est bien mené et l’argumentation intelligente, mais s’appuie sur un principe de base complètement discutable. En outre, il faudrait pouvoir consulter la bibliographie de référence pour évaluer la pertinence des publications exploitées. Une illustration qui n’a rien à voir : un couple de chercheur a démontré, dans les années 70 je crois, que le soutien-gorge était un catalyseur des cancers du sein en se fondant sur des données hémodynamiques (considérées comme valables) entres autres. L’étude sembla sérieuse et motiva un certain émoi jusqu’à ce que l’on démontre que les éléments sur lesquels elle s’adossait étaient irrecevables. Elle fut discréditée et les études ultérieures, associées à des protocoles plus solides, n’ont jamais confirmé ce fait depuis.

Nous sommes certes tous tentés de faire des généralisations d’ensemble à parti des quelques exemples qui nous entourent. Force est de constaté que la puissance statistique de ces « études familiales » est, pour le moins, insignifiante. Les conclusions que nous en tirons sont, par conséquent, passablement contestables. C’est un sujet d’une grande complexité qui a peu de chance de faire l’objet d’études sérieuses puisqu’il n’est pas attendu de retombées économiques à terme ! Cependant, il y a autour de la sexualité de nombreuses publications fascinantes. Sans doute, certaines sont-elles plus folkloriques que scientifiques. On aurait ainsi démontré, avec une sensibilité importante, que les jeunes femmes en période d’ovulation - et donc fertiles - se détournaient de leur père en réduisant leur relation (démonstration réalisée à partir de mesure des durées de conversation téléphoniques entre eux avant, pendant ou après la période concernée). Il a aussi été proposé que les femmes, au même stade du cycle sexuel (ovulation donc) s’apprêtaient davantage instinctivement et se rendaient plus attirantes (la présentation de photographies de ces femmes, à différents moment de leur cycle, montre que les hommes trouvaient plus séduisantes les clichés présentant des jeunes femmes en ovulation – iles n’étaient évidemment pas informé de ce détail lorsque le cliché leur était présenté). Troublant, non ? J’en passe, et des meilleures…

L’auteure se propose donc de démontrer que la femme à des besoins sexuels que la société entend museler pour satisfaire un système fondée sur la « suprématie » masculine… Généralisation audacieuse que la référence aux sociétés matriarcales d’un côté et de primates de l’autre, ne risque pas de prouver… ce qui ne signifie pas que ce soit faux… soyons rigoureux jusqu’au bout ! Notre « animalité », notre cortex primaire, nous gouverne bien plus que nous ne l’imaginerions, comme tente à le démontrer les deux études choisies en illustration (si elles ont une quelconque valeur ce que j’ignore, encore une fois).

Le début de l’argumentaire présente une contradiction assez amusante. On nous suggère, dans un premier temps, que la femme choisirait un partenaire de vie, puis se tournerait vers un autre, détenteur d’un capital génétique attractif : c'est-à-dire qu’elle va choisir l’intellectuel soigné et cultivé, capable de lui apporter confort et sécurité d’abord, (n’ayons pas peur de la caricature) pour se tourner ensuite vers des « mâles » bien virils (si on admet, et c’est bien une caricature, que les deux sont incompatibles, ce qui est limite insultant, mais bon, c’est pour l’histoire !). Fort de cette constatation, on nous dit que cette recherche irait crescendo avec le temps ?? C’est curieux puisque la première phase d’une vie de couple c’est, il me semble, la conception d’enfants. Le père sera « invariablement » (enfin, pas toujours ! lol) le candidat retenu en première intention (si vous me suivez, donc le « gringalet » attentionné et patient !). La notion de recherche fondée sur la « génétique » et en particulier le phénotype (l’apparence), ne relèvera donc qu’exceptionnellement de l’aspiration à la fécondation, mais, au contraire, sur la recherche de l’épanouissement et/ou la complémentarité et/ou la compensation d’une frustration sexuelle ! La motivation génétique ne serait donc pas basée sur la conception d’enfants avantagés (génétiquement : plus forts, plus résistants….), mais par des pulsions plus sexuelles, contrairement à ce que prétend l’auteure. Et un simple échantillonnage de notre environnement démontre qu’en effet, et heureusement ou malheureusement pour l’humanité, les notions phénotypiques, susceptibles de fournir à leur bénéficiaire un avantage sensible pour sa vie futures, ne sont jamais privilégiés.

Si on veut bien regarder un peu autour de soi, et en particulier au sein des déchirements de couples, il est facile de constater que les reconstructions qui suivent sont le résultat – le plus souvent – d’un besoin de changement, rien d’autre (« le changement c’est maintenant « !!). Une femme qui a épousé un type drôle et instable, recherchera la stabilité et la tranquillité. N’avez-vous jamais entendu des : « il ne me fait plus rire », lâchés avec amertume, alors qu’elle ne jurait que par son humour… autrefois. Une autre, qui aura un modèle un peu ennuyeux et plan-plan, sera davantage séduite par un aventurier imprévisible. Un intellectuel un peu « fin » de corpulence et raffiné adopté dans la jeunesse sera remplacé par un musculeux peut-être plus primaire, mais physiquement plus solide et rassurant (syndrome Chabal !)… Le contraire s’observant, naturellement (c’est du vécu, dans ma propre sphère familiale : l’homme viril et solide, pas trop instruit, a été remplacé par un intellectuel cultivé mais physiquement singulièrement moins imposant !). Que la frustration sexuelle s’ajoute aux déconvenues sentimentales est plus que probable. Mais, croire que seuls les « petits sexes » sont « cocus » c’est d’abord faire insulte aux femmex, et ensuite se fourvoyer lourdement.
Admettons que la femme ait besoin de variété dans sa sexualité (et plus crument de « gros sexes », puisque finalement tout tourne un peu autour de cette notion), ce qu’encore une fois il est difficile de nier avec certitude parce qu’il est tout simplement compliqué de prouver le contraire, il est surtout vrai que nous nous lassons de tout dans une société fondée sur la consommation et la satisfaction immédiate de nos désirs, et que ça, c’est une donnée relative à un changement d’époque… nous exigeons tout et tout de suite, pour la fortune des vendeurs de crédits à la consommation… « L’insatisfaction » sexuelle guète tous les couples à plus ou moins long terme, par le seul fait de la lassitude. Prétendre que parce qu’on peut prétendre à des mensurations au-delà de la moyenne met à l’abri de cette évolution inévitable, c’est absurde ! Que les hommes y soient moins sensible que les femmes… pourquoi pas ? Qu’il soit difficile d’entretenir une relation de couple épanouie avec une sexualité torride sur plusieurs décennies… c’est un fait acquis pour tous… De là à conclure que les femmes sont de perpétuelles frustrées dans la dénégation de leur frustration…. Il y a plus qu’un pas, il me semble. Les femmes aiment les attentions. Le contexte est au moins aussi important que l’objet du désir. L’atmosphère prime sur le physique, les sentiments sur les sensations… Pourquoi les femmes préfèrent les films érotiques au hard pur et dur ? Parce qu’elles sont plus sensibles à l’ambiance qu’à la vue en gros plans de sexes dégoulinants (bien sûr, c’est une généralité, donc elle méprise de très nombreuses exceptions). Peut-être qu’avec le temps et les « frustrations », certaines femmes inversent cette lecture, mais sont-elles représentatives de l’ensemble ? Suivent-elles un instinct naturel, les autres s’étant laissées enfermées dans un carcan social et moral trop prégnant pour réussir à s’en affranchir ? Ce mode de fonctionnement (liberté sexuelle pour les femmes), est-il un modèle à poursuivre pour conduire à leur épanouissement tandis que nous serions, en tant qu’hommes, d’ignobles dictateurs les conduisant à une vie d’infortune ? La complexité humaine n’est pas de dimension « humaine ». Il n’y a pas, dans l’univers, deux individus semblables. Même les clones que sont les vrais jumeaux se différentient, un jour ou l’autre, dans leur interactivité avec leur environnement, puis se marginalisent de leur frère ou sœur physiquement.
Mettre au point un modèle de fonctionnement sociétal à l’encontre de ce que la société a construit, c’est audacieux mais passionnant. Que ce modèle réponde davantage à ce à quoi notre nature profonde correspondrait, j’en suis nettement moins convaincu par l’argumentaire, pour la simple raison de nos différences individuelles et aspirations. D’accord, nous sommes bien contraints d’homogénéiser nos comportements en société pour pouvoir, si ce n’est vivre ensemble, vivre côte à côte dans une harmonie relative. Notre modèle n’a rien de parfait mais il fonctionne plus ou moins. Prive-t-il les femmes de leur potentiel amoureux que les primates auraient réussi à conserver ? Cela suggèrerait alors que notre animalité deviendrait prioritaire sur notre humanité. Certes, en tant qu’homme, j’ai/nous ?, avons le beau rôle, dans l’histoire. Il est donc intéressant de s’interroger, mais de réponses définitives, il n’y en a point d’attendues !
Nous lisons tous les propos d’autrui à la lumière de nôtre propre histoire. La mienne m’invite au scepticisme, d’autres seront immédiatement convaincus. C’est comme en politique. S’il existait une option idéale, il n’y aurait plus de débat et tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes. Mais ce n’est pas le cas et il y a de perpétuelles confrontations d’idées. Idem pour les religions, pour lesquelles la confrontation passe parfois par les armes pour un Dieu (ou un Autre) que personne n’a jamais vu, en plus !! C’est peut-être pour ça que Rousseau prétendait que « la démocratie est faîte pour les dieux » !
Avatar de l’utilisateur
par Candaul84
#1196642
@mohican, vivant depuis plusieurs siècle dans une société patriarcal, je crois qu'au niveau des libertés accordées aux femmes, nous pourrions beaucoup progresser ;)
le raisonnement de Susan Gower est sexiste, certes, mais à l'envers de la société occidentale (voir "l'égalité" homme femme en francophonie : http://genre.francophonie.org/spip.php?article104 )

Et j'ai noté que mohican a passé sous silence la période victorienne ... (et voilà encore une étude "biaisée" : http://www.maxisciences.com/homme/l-039-homme-serait-plus-heureux-en-effectuant-des-taches-enageres_art25668.html :lol: ainsi que le nombre de dépôt de brevet pour des ceintures de chasteté masculine :roll: :roll: :lol: (c'est d'ailleurs à cette époque que fût inventé le vibro !!!)

En tout cas c'est intéressant de voir que des interrogations à propos du candaulisme ne laisse pas indifférent, c'est 8-)
par mohican
#1196676
Candaul84 a écrit :@mohican, vivant depuis plusieurs siècle dans une société patriarcal, je crois qu'au niveau des libertés accordées aux femmes, nous pourrions beaucoup progresser ;)
le raisonnement de Susan Gower est sexiste, certes, mais à l'envers de la société occidentale (voir "l'égalité" homme femme en francophonie : http://genre.francophonie.org/spip.php?article104 )

Et j'ai noté que mohican a passé sous silence la période victorienne ... (et voilà encore une étude "biaisée" : http://www.maxisciences.com/homme/l-039-homme-serait-plus-heureux-en-effectuant-des-taches-enageres_art25668.html :lol: ainsi que le nombre de dépôt de brevet pour des ceintures de chasteté masculine :roll: :roll: :lol: (c'est d'ailleurs à cette époque que fût inventé le vibro !!!)

En tout cas c'est intéressant de voir que des interrogations à propos du candaulisme ne laisse pas indifférent, c'est 8-)


@candau84, merci de votre lecture critique de mon propos... c'est déjà très généreux de votre part d'avoir eu la patience de le parcourir intégralement :lol:

En effet candau84, j'ai passé sous silence l'époque victorienne, mais pas que..... J'ai été bien long déjà et très audacieux (pardonnez la vanité du bonhomme qui évitera de se déprécier lui-même :D ) de m'attaquer à ce pavé très dense qualitativement parlant. J'ai juste commenté à partir du ressenti général à l'issu de la lecture ce texte passionnant ; et un "ressenti" n'est que cela, rien de plus ;). Je suis donc tout à fait d'accord. Ma lecture est parfaitement subjective , même si je pointe du doigt certains paradoxes et faiblesses dans le choix de quelques arguments proposés. Cependant, même si l'illustration victorienne interpelle, est-ce que le sens que prétend lui donner l'auteure est le seul ? Sa grille de lecture est destinée à appuyer son propos. Une analyse avec moins de parti pris serait sans doute pertinente : Lévi Strauss ! si tu nous entends depuis l'au-delà, nous avons un petit travail éthologique à te soumettre !! ;)

Il y les faits et ce que nous choisissons de croire.... et c'est ce choix qui nous définit, pas les faits. Mais, bien sûr, il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis (et les cons qui en changent tout le temps, mais c'est une autre histoire ;) ) !
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par Misepan
#1196755
Il y les faits et ce que nous choisissons de croire.... et c'est ce choix qui nous définit, pas les faits. Mais, bien sûr, il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis (et les cons qui en changent tout le temps, mais c'est une autre histoire ;) ) ![/quote]

Sauf si l'on considère que la plupart du temps on est influencé... et qu'il faut une sacré dose de caractère et d'ouverture d'esprit pour arriver à non pas changer d'avis mais à se laisser convaincre du bien fondé de l'avis de l'autre (parfois...) L'homme sage prend conscience qu'il ne sait rien... qu'il à tout à apprendre et que de toute façon il aura tout oublié :mrgreen: (Dixit Mr et Mme Michu doctorat de concièrge, et lui diplomé via le café des Sports et Vox-populi) :mrgreen: :mrgreen:
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par Candaul84
#1197051
Il est évident que la grille de lecture est orientée, mais cet article à l'avantage de nous pousser à réfléchir, et ça, c'est inestimable ;)

J'avoue aussi, humblement, que l'épisode de l'ère victorienne m'était complétement inconnu, et je dois reconnaitre qu'il est très instructif, surtout à mettre en parallèle avec la dérive cuckold de certain ;)
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par Candaul84
#1202015
@haribo, à propos de l'ère Victorienne, il n'est pas sûr que l'ouvrière ait eu le temps décrire son journal. 12h de travail par jour, ça fatigue.

Par contre, pour le reste du texte, je ne suis pas sûr d'avoir tout compris ....
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par utoeuta
#1202227
Au secours !
Quelle idée saugrenue d'introduire dans ces discussions une 'dimension sociale' (comme le disent les sociologues de mes...) !
Voila un cliché qui vient de l'industrie pornographique, où la limousine, le yatch et la piscine sont incontournables pour l'orgasme !
Si bien sur quelqu'un qui meurt de faim aura d'autres 'chattes à fouetter' et de fait surement des troubles de la libido, s'il est un bien un domaine où il y a inégalité : c'est le sexe !
Il n'y a pas les riches ou les pauvres, il y a des nanas ou des mecs qui ont ou n'ont pas les qualités physiques et psychiques pour trouver leur épanouissement sexuel.
L'un des hommes qui a le mieux (et régulièrement) baisé ma femme était un black chauffeur de bus. Celui qui n'avait l'air de rien, un look de crevette, un peu efféminé et précieux, toujours dans un costume à 3.000 euros et qui a l'une des queues les plus grosses est blanc et banquier, qui ne baisait pas de façon mémorable au demeurant.
S'il est un bien un domaine où l'inégalité est de mise c'est bien le cul.
Heureusement que le candaulisme est là...pour permettre à ceux que la nature a moins gâtés de trouver du plaisir...quand même.
Et au final, comme Alphonse Allais disait 'qu'il faut prendre l'argent là où il est : chez les pauvres. Ils n'ont pas beaucoup d'argent, mais il y a beaucoup de pauvres, je vais transposer cette vérité.... Comme il y a plus de pauvres que de riches, vous avez - les filles - beaucoup plus de chances de vous faire bien baiser par un pauvre que par un riche :mrgreen:
Alors heureuses ? :lol:
par mohican
#1203070
utoeuta a écrit :Au secours !
Quelle idée saugrenue d'introduire dans ces discussions une 'dimension sociale' (comme le disent les sociologues de mes...) !
Voila un cliché qui vient de l'industrie pornographique, où la limousine, le yatch et la piscine sont incontournables pour l'orgasme !
Si bien sur quelqu'un qui meurt de faim aura d'autres 'chattes à fouetter' et de fait surement des troubles de la libido, s'il est un bien un domaine où il y a inégalité : c'est le sexe !
Il n'y a pas les riches ou les pauvres, il y a des nanas ou des mecs qui ont ou n'ont pas les qualités physiques et psychiques pour trouver leur épanouissement sexuel.
L'un des hommes qui a le mieux (et régulièrement) baisé ma femme était un black chauffeur de bus. Celui qui n'avait l'air de rien, un look de crevette, un peu efféminé et précieux, toujours dans un costume à 3.000 euros et qui a l'une des queues les plus grosses est blanc et banquier, qui ne baisait pas de façon mémorable au demeurant.
S'il est un bien un domaine où l'inégalité est de mise c'est bien le cul.
Heureusement que le candaulisme est là...pour permettre à ceux que la nature a moins gâtés de trouver du plaisir...quand même.
Et au final, comme Alphonse Allais disait 'qu'il faut prendre l'argent là où il est : chez les pauvres. Ils n'ont pas beaucoup d'argent, mais il y a beaucoup de pauvres, je vais transposer cette vérité.... Comme il y a plus de pauvres que de riches, vous avez - les filles - beaucoup plus de chances de vous faire bien baiser par un pauvre que par un riche :mrgreen:
Alors heureuses ? :lol:


Théorie de l'évolution façon Uto ! Amen ! :lol: ou comment à partir de statistiques échantillonnées sur un entourage NON représentatif de la population générale par manque d'effectif (ça c'est évident) d'une part, mais surtout avec un recrutement totalement biaisé des sujets (puisque sélectionnés à partir d'une population "atypique") d'autre part, nous voilà informé sur le fonctionnement sexuel de toutes les femmes sur terre ! Merci Uto ;)

On peut donc classer les hommes en plusieurs groupes :

Sexe en érection > 20 cm. permis de baiser octroyé sur tous les continents, sans restriction de type d’origine (africain, asiatique, amérindien, caucasien, mongol…). Des précautions sont recommandées sur le type asiatique, réputé plus étroit, afin de prévenir les accidents éventuels.

Sexe en érection de 17 à 20 cm, permis autorisé sous condition de performances associées, mesurées sur une échelle de 1 à 10 d’intensité d’orgasme, obtenus sur un panel de femmes d’origines différentes (excepté le type africain, considéré comme plus large anatomiquement). Des épreuves sont organisées 3X par ans pour les candidats qui le souhaitent.Une moyenne de 6 minimum est requise. Le type africain fait l’objet d’un permis spécial pour les candidats avec tests spécifiques à l'appui (définis à l'annexe 3 du présent règlement, la note de 8 est impérative sur ce dernier test réputé très difficile d'accès aux 17-20 cm).

Sexe en érection de 13 à 17 cm. Permis restreint à leur seule partenaire attitrée (épouse ou concubine) qui peuvent toutefois décider de le suspendre à tout moment et sans préavis ni limitation de durée (laissé à leur seule discrétion). Des revenus substantiels peuvent toutefois permettre une extension des limites habituelles d'application du permis, sous réserve.

Sexe en dessous de 13 cm. Rapports sexuels exceptionnellement consentis et limités en durée et possibilités (pénétrations anales et fellation partielles ou complètes prohibées), sous condition de ressources uniquement, même avec la/le partenaire officiel. En revanche, possibilités de contraintes, type système de chasteté ou pénétration anale (pour lui), sans que le recueil du consentement préalable du sujet ne soit exigible. Les effets sur l'érection du sujet parfois irréversibles lors du port trop prolongé du dispositif de chastetés sont considérés insignifiants compte tenu des performances observées avant l'apparition de l'impuissance.

Les femmes sont autorisées à choisir dans n’importe quelle catégorie au gré de leurs désirs. Elles sont néanmoins habilitées à exiger les permis des cibles éventuelles afin de ne pas être trompées sur la marchandise retenue, ce qui serait assimilé à un dol et donc accessible aux sanctions pénales prévues par le législateur. Les juridictions compétentes, tribunal d’instance du département concerné, ne fonderont toutefois leur jugement, en cas de plaintes estimées recevables, que sur l’obligation de moyens et non de résultats, pour éviter de sanctionner des aléas uniquement imputables aux circonstances et/ou état d’esprit des partenaires (et/ou des tentatives d'abus de la législation pour obtenir des dommages et intérêts indus) et non sur des données anatomiques objectives.

Ouf ! On est sauvé ;)

C’est bien évidement de la science fiction et une caricature, cher Uto. :D .Cependant est-ce si éloigné de votre perception de la sexualité (attendu que les 17 cm sont tirés de votre propre expérience). Est-ce la société que vous envisagez pour nous, cher Uto ? :evil:

Je sais l'obsession d'Uto, et de beaucoup d'autres ici, pour les gros machins, mais ce n'est pourtant pas la préoccupation de beaucoup (?) de femmes et Dieu sait (et Uto aussi :lol: ) qu'il y a mille et une façon de conduire une femme au plaisir sans avoir à lui enfoncer un bifteck de 3 livres entre les cuisses en l’agitant énergiquement… (Mince, je crois que l’image est un peu grossière).

Par ailleurs, j’irais un peu plus loin pour ceux qui se considèrent éjaculateurs précoces. Ça n’a jamais été une fatalité, à moins de se complaire dans cette situation. Il y des solutions et une prise en charge efficace résous la grand majorité des cas ! ça ne fait pas grossir le sexe mais ce n’est pas le plus important (à moins de souffrir de micro pénis)… pour toutes… quoique certains l’affirment… S’il y a des inégalités évidentes, elles sont dans les individualités qui conditionnent nos préférences et attentes… qui évoluent avec le temps. Il ne faut pas confondre fétichisme et besoins physiologiques objectifs. L’inégalité vient du fait que je n’ai pas les mêmes fantasmes que mon voisin (ni les mêmes besoins), ce qui m’excite lui est indifférent. Ce qui excite une femme, laissera froide une autre, je n’ai pas inventé l’eau tiède… il y a des adorateurs et adoratrices (je me demande s’il n’y a pas plus d’adorateurs que d’adoratrices d’ailleurs, à creuser :lol: ) du dieu phallus surdimensionné et celles qui ne peuvent pas même supporter d’en voir un (lesbienne, certes) et ne sont pas nécessairement sexuellement frustrée…

L’exemple ne fait pas la preuve, il n’est qu’une illustration. Uta n'est pas les femmes (sauf tout les respect que je lui dois), la mienne pas davantage, et les femmes qui s'amusent divinement en club ou qui évoluent dans les milieux libertins, pas plus. Donc, s'il n'est pas acceptable d'introduire (sans jeu de mot) la "lutte des classes" dans la sexualité, il est aussi ridicule - à mon sens - de s'acharner à vouloir considérer l'anatomie comme LE critère objectif par essence. Je vais me permettre d'être délibérément provocateur. Nous pouvons apprécier sue le forum des photographies de femmes aux mensurations et lignes parfois fort éloignées des critères généralement admit comme étant esthétiquement une référence. ça prouve bien que la beauté se rencontre dans tous les êtres pour celui ou celle qui sait regarder et apprécier. ça veut dire aussi que notre diversité constitue une richesse et non un handicap. Alors décider que seul les BBC (pour faire, court -sans allusion toujours- il y a des caucasiens très avantagés et d'autre types phénotypiques également) ont le droit de baisers et les autres de se tripoter en les regardant faire pour avoir l'impression de participer, c'est consternant. Cela étant dit, on a tout à fait le droit d'être excité par ce genre de pratiques et y trouver un plaisir considérable. De là à déclarer qu'eux seuls sont capables de faire jouir une femme pour de vrai et par conséquents auraient seuls le droit de saillir !!! Désolé, je n'adhérerai jamais, parce que c'est faux. :evil:

Puisque la tendance est aux statistiques calculées à partir d'échantillons très étroits et/ou familiaux, je vais y aller des miennes. Dans mon entourage féminin (épouse et amies de mon épouse, donc échantillon pléthorique et très représentatif :lol: ), les dimensions du démonte pneu ne sont jamais considérées comme un élément déterminant à la réussite de leurs relations sexuelles. Alors on peut opposer qu'elles n'ont peut-être pas essayé de BBC pour se faire une idée de ce qu'elles manquent. Sauf qu'elles n'en éprouvent pas le désir. Comme si on voulait obliger quelqu'un à consommer du cannabis. Désolé, en ce qui me concerne, l'expérience ne m’intéresse pas et je n'ai pas le sentiment que cela constitue un vide abyssal dans ma vie !! ;)

T'inquiète pas candaul84, dans qlq jours je n'aurai plus de dispo donc... je bassinerai moins ! :lol: :lol:
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par Candaul84
#1203160
mohican a écrit :T'inquiète pas candaul84, dans qlq jours je n'aurai plus de dispo donc... je bassinerai moins ! :lol: :lol:


Ce n'est pas ça le problème, c'est que ce que tu dis est souvent (pas toujours sinon en plus de nous pondre des textes à rallonge, tu vas avoir les chevilles qui enflent :D )intéressant. Donc on doit te lire :?

Je suis, moi aussi, toujours surpris par la prépondérance de :
1) la pénétration
2) la taille de l'engin
dans les ébats sexuels.
Une minorité de femme jouissent grâce à la pénétration vaginale (peut être parce qu'elles ne sont pas éduquées mais c'est une autre histoire) et on nous fait tout un pataquès avec la dite pénétration. PFUIt c'est pénible.
Notre organe sexuel c'est le cerveau, le reste ne sert que de capteur (désolé de dépoétiser la chose :lol: ) donc, pour jouir, ce qu'il nous faut, une fois que les capteur sont réglés (rôle de la frénésie de fornication de la jeunesse), c'est une bonne histoire, un bon fantasme de manière à lancer la machine.

Et ces histoires, elles puissent dans le vécu de chacun, des couples, elles sont donc souvent différentes tout en ayant un petit air de similitude.

Le problème avec le cerveau, c'est qu'il peut tourner en boucle et se focaliser sur un fantasme particulier ... Comme le candaulisme :lol: :lol: :lol:
Avatar de l’utilisateur
par Candaul84
#1203742
haribo a écrit :Réponse de Mme Haribo Mes copines pensent pareil , c'est une légende votre truc et moi je crois que les gros sexes ça fait surtout fantasmer les hommes candaulistes oui :lol:


Ben non justement, voir le post au dessus du vôtre ... :lol:
Mais il faut avouer que la majorité y pense, un reste de cerveau reptilien peut être ????
par reverencieux
#1203762
ohlala ça part en vrille, attention à l'aterissage !!
il n'y a pas de SCIENCE du cocufiage,
c'est juste un instinct ou des pulsions si vous préférez qui nous poussent à avoir des relations sexuelles, c'est NATUREL, nous sommes programmés pour...
mais l'homme (terme générique) complique tout par son cerveau reptilien ou pas (ça cest encore une invention du Dr Laborie!!! allez vérifier !!!),
mais comme nous sommes des animaux évolués(sisi) il faut qu'on se tarbiscotte le ciboulot pour chercher le pourquoi du comment etc etc, tout ça parceque notre conditionnement par les religions, les moralistes etc etc fait que nous ne trouvons pas normales nos pulsions de jouir de voir nos femmes jouir avec un autre mâle, quelque part on se persuade que l'on enfreint une règle et on se cherche des excuses
mais fi de tout ça et sans plus nous préoccuper des causes , des tenants etd es aboutissements, profitons donc d e la vie comme elle nous est donnée, comme on dit "ne nous prenons pas la tête" et jouissons chacun et chacune à notre goüt...selon nos envies et nos convenances !!! ;) :P
Avatar de l’utilisateur
par Candaul84
#1203799
reverencieux a écrit :mais fi de tout ça et sans plus nous préoccuper des causes , des tenants etd es aboutissements, profitons donc d e la vie comme elle nous est donnée, comme on dit "ne nous prenons pas la tête" et jouissons chacun et chacune à notre goüt...selon nos envies et nos convenances !!! ;) :P


Tout à fait d'accord mais on aime bien se torturer l'esprit pour savoir le pourquoi du comment ...
Mais au final : HAVE SEX HAVE FUN ;)

On est tous des BONOBOS... BONOBOS POWER 8-) 8-)
par reverencieux
#1204693
Candaul84 a écrit :
reverencieux a écrit :mais fi de tout ça et sans plus nous préoccuper des causes , des tenants etd es aboutissements, profitons donc d e la vie comme elle nous est donnée, comme on dit "ne nous prenons pas la tête" et jouissons chacun et chacune à notre goüt...selon nos envies et nos convenances !!! ;) :P


Tout à fait d'accord mais on aime bien se torturer l'esprit pour savoir le pourquoi du comment ...
Mais au final : HAVE SEX HAVE FUN ;)

On est tous des BONOBOS... BONOBOS POWER 8-) 8-)


yes my dear,
cependant j'espere que ns ne sommes pas tous des bonobos car ces singes jouissent en 30 secondes et hop c'est parti,
sans ça qui ferait jouir ma femem, ou trouverais je les amants necessaires pour la combler car moi je suis un vrai bonobo au lit hihi
Avatar de l’utilisateur
par Candaul84
#1204710
reverencieux a écrit :yes my dear,
cependant j'espere que ns ne sommes pas tous des bonobos car ces singes jouissent en 30 secondes et hop c'est parti,
sans ça qui ferait jouir ma femem, ou trouverais je les amants necessaires pour la combler car moi je suis un vrai bonobo au lit hihi


Ma comparaison avec les bonobos n'était pas des plus réussie, car au niveau de la durée, ce n'est pas 30 secondes mais : si la fréquence des rapports est exceptionnelle dans le règne animal, et supérieure à celle de tous les primates, les accouplements sont rapides et furtifs, sans aucun geste préparatoire, et ne durent en moyenne qu'une quinzaine de secondes.

15 secondes c'est peu quand même ... Madame reverencieux ne va pas s'y retrouver :lol:

Source wikipedia :https://fr.wikipedia.org/wiki/Bonobo
HAVE SEX HAVE FUN
par reverencieux
#1204721
Candaul84 a écrit :
reverencieux a écrit :yes my dear,
cependant j'espere que ns ne sommes pas tous des bonobos car ces singes jouissent en 30 secondes et hop c'est parti,
sans ça qui ferait jouir ma femem, ou trouverais je les amants necessaires pour la combler car moi je suis un vrai bonobo au lit hihi


Ma comparaison avec les bonobos n'était pas des plus réussie, car au niveau de la durée, ce n'est pas 30 secondes mais : si la fréquence des rapports est exceptionnelle dans le règne animal, et supérieure à celle de tous les primates, les accouplements sont rapides et furtifs, sans aucun geste préparatoire, et ne durent en moyenne qu'une quinzaine de secondes.

15 secondes c'est peu quand même ... Madame reverencieux ne va pas s'y retrouver :lol:

Source wikipedia :https://fr.wikipedia.org/wiki/Bonobo
HAVE SEX HAVE FUN


bien sûr que si que mme reverencieux s'y retrouve grâce a la complaisance de son petit mari bien cocu aud epart et devenu un bon petit mari candauliste et qui lui amene ou lui facilite les amants qui la comblent
remarques que je la fais qd meme jouir car je suis tres fort en preliminaires et ne la penetre que lorsque que je l'ai amenée au bord de l'explosion par mes doigtages et mes léchouilles, j'ai juste le temps d'entrer ma petite bite et on explose ensemble.Bon elle en voudrait encore apres mais ça c'est pour et avec un autre moi je peux plus apres, alors y a toujours un brave mec pour prendre le relais..ouf et puis elel n'a pas besoind e moi our trouver chausure a son pied en dehors, elle a toute liberté pour cela
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par Candaul84
#1204887
reverencieux a écrit :je la fais qd meme jouir car je suis tres fort en preliminaires et ne la penetre que lorsque que je l'ai amenée au bord de l'explosion par mes doigtages et mes léchouilles


Voilà un homme doué de raison ;)

A que c'est bon d'avoir un mari bricoleur et habile de ses doigts ;)
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par utoeuta
#1207680
Well, well, je suis désolé mais sans évoquer ceux - passionnés et passionnants de Mohican - je persiste et signe.
Que ces dames, demoiselles, messieurs et jeunes gens le veuillent ou pas, on ne rentre pas une grosse queue dans une petite chatte sans lui faire mal, et à l'inverse une queue normale ou petite dans une grande chatte cela n'a jamais fait jouir une nana. C'est sans doute décevant, mais c'est aussi bête que cela.
Après, oui (et heureusement) d'autres facteurs rentrent en ligne de compte. Les sentiments, l'excitation, l'ambiance, etc... Cela étant tout l'amour que je peux sincèrement éprouver pour ma femme, et celui qu'elle me porte (tout aussi sincère en dépit des apparences) ne m'ont jamais permis de la faire jouir avec ma queue, qui si elle n'est pas grosse n'est pas pour autant ridicule. Elle est "normale". Le mot est à la mode, non ?
Cette même queue, la mienne, a fait jouir quelques femmes, et en a laissé indifférentes plus d'une... Je compense. Ouf ! Bien sur une femme ne jouit pas qu'avec une queue, normale ou grosse.
Je fais jouir beaucoup ma femme, mais à nouveau JAMAIS avec ma queue.
Des couples s'en accommodent. Par ignorance souvent. Ces dames ne jouissent pas et font semblant. Et puis un jour elles découvrent qu'un mec les fait jouir, et observent "Tiens il a une queue plus grosse que mon mari". Bon. En général dans ce cas là, elles quittent leur mari. Lequel, le plus souvent est souvent persuadé que sa femme est un mauvais coup, parfaitement inconscient de ce que si sa femme ne jouit pas...c'est parce qu'il ne sait pas la faire jouir.
Pour en revenir à la "Science du cocufiage", c'est effectivement un "art" pour l'amant que de gérer la femme et le mari. L'amant doit être "complet" si je puis dire... :mrgreen: Pas idiot, bien équipé car c'est que vous le vouliez ou non souvent par là que cela commence (et passe !), et pervers pour affirmer sa domination sur le couple. C'est en quelque sorte une vraie science !
Des petits "trucs" sont à connaître par l'amant. S'il est bon le mari devient candauliste et tout le monde est content. S'il est mauvais, le mari devient jaloux. Je parle évidemment de la façon de s'y prendre !
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par Candaul84
#1207983
utoeuta a écrit :c'est effectivement un "art" pour l'amant que de gérer la femme et le mari. L'amant doit être "complet" si je puis dire... :mrgreen: Pas idiot, bien équipé car c'est que vous le vouliez ou non souvent par là que cela commence (et passe !), et pervers pour affirmer sa domination sur le couple. C'est en quelque sorte une vraie science !
Des petits "trucs" sont à connaître par l'amant. S'il est bon le mari devient candauliste et tout le monde est content. S'il est mauvais, le mari devient jaloux. Je parle évidemment de la façon de s'y prendre !


Je suis d'accord pour dire que c'est un art, ou plutôt un artisanat car l'amant travaille avec ses outils non ?

Par contre, le passage sur la domination me laisse perplexe. Pourquoi toujours ramener le sexe à la domination ? Et pourquoi pas au partage ....
Partage d'une femme entre ses deux amants qui n'ont qu'un seul but, la faire jouir le mieux qu'ils peuvent ...
par mohican
#1208003
D'accord avec candau84 pour l'aspect domination... à mon sens sans fondement. Il y a systématiquement une confusion. Un dextérité sexuelle n'est rien d'autre qu'une qualité particulière qui ne préfigure rien d'autre que cela, pas plus que la taille ou le poids !

D'un mot cher Uto (je sais que je ne sais pas faire court mais je vais m'y employer :mrgreen: ). Le vagin, je n'apprends rien à personne, n'est pas un orifice atone, il est musclé, parfois très musclé (n'est-ce pas Uto). Il épouse donc parfaitement le sexe de l'homme (dans les limites usuelles... ;) de "normalitude")... Uta est particulièrement musclée et capable "d'éjecter" ce qu'elle veut. On ne peut pas dissocier le ressenti physiques des émotions qui l'accompagnent.

Madame Haribo, ses amies, ma femme (ses amies), les publications... convergent vers une absence de légitimité de cette affirmation. Au risque de me répéter, suivant son vécue, ses fréquentations, le milieu dans lequel on évolue.. les expériences diffèrent et nous nous forgeons une opinion : la votre, la mienne, à la faveur de nos histoires respectives. Nous pouvons donc tous argumenter indéfiniment, c'est d'ailleurs très intéressant, sans parvenir jamais à nous convaincre réciproquement (comme en politique, mais n'avez-vous pas une lecture politique de la sexualité, cher Uto ?). Comme une poitrine lourde et charnue tend à faire fantasmes le majorité des hommes, elle n'est pas une nécessité absolue à son plaisir mais participe à son excitation et peut contribuer à améliorer l'intensité de la tension sexuelle donc de l'orgasme. Il en va de même de nos phallus... dans certaines limites, certes.

Et puis les couples se séparent pour une multitude de raisons y compris sexuelle, mais l'absence de remise en question d'une situation jugée acquise, en est une, accompagnée d'un absence de dialogue sincère entre ses membres. Mais c'est difficile. Au demeurant, après l'effort naît le réconfort et parfois une renaissance ! Cela a été le cas pour le notre, mais cela ne s'est surtout pas arrêté à ce qu'il se passait sous la couette, même s'il en a été question. Nous avons sonné l'heure de la révolution, changé de vie, de continent (2 fois !)... nous ne saurions le regretter un seul instant !

J'ai oublié de préciser dans mon précédent post que les permis de baiser étaient à retirer en préfecture sur simple présentation d'un certificat obtenu auprès d'un médecin agrée dont la liste est disponible dans toutes les mairies :lol: .
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par utoeuta
#1210076
Pour Mohican et Candaul84
Oui, le candaulisme et bien davantage le "cuckoldisme" induisent une notion de domination.
C'est un simple constat, et au moins pour ce qui me concerne cela n'était pas une recherche ou un besoin.
Il me semble que beaucoup confondent allègrement candauliste/cuckoldisme avec une simple relation libertine.
Déjà nous ne pouvons pas parler d'échangisme, puisque le Candaule ou le Cuckold sont inactifs. Ils regardent leur amour faire l'amour ou baiser.
Je dirai que le Candaulisme induit un rapport de type amoureux. Je m'en tiens là, car ma femme le conteste, mais ceci est entre elle et moi ! :mrgreen: Le cuckoldisme ne relève pas de la même démarche. Le "sujet" est excité par le fait d'être humilié, c'est pourquoi la pratique relève ou peut relever de la simple baise.
Dans le cas du Candaulisme le "sujet", même si ce n'est pas du tout sa recherche primaire, ni forcément celle de l'amant, va obligatoirement se retrouver humilié. C'est là où cela devient intéressant. En effet, je ne me sens que rarement humilié, alors que bien des hommes se sentent humiliés quand leur femme jette un simple regard sur un autre mec qu'eux...
Je ne me sens pas humilié quand l'amant de ma femme éjacule dans sa chatte ou dans sa bouche. Bien des mecs se sentiraient tellement humiliés par ces situations qu'ils en deviendraient des meurtriers.
L'humiliation se produit en fonction des circonstances. Dans certains cas le Candaule ressent l'acte comme une humliation, pendant que dans d'autres situations il vit l'acte comme quelque chose d'absolument normal, d'anodin.
Deux exemples très concrets. Quand ma femme passe la nuit avec son amant, et qu'après avoir pu les regarder je sens qu'il est temps que je regagne ma chambre et les laisse continuer à faire l'amour sans le poids de mon regard, je trouve normal de laisser à ma femme de l'intimité avec son amant. Je n'ai nullement été humilié de les regarder jouir de concert. Le fait de devoir quitter notre chambre qui est devenue la leur me peine parfois. L'humiliation ne vient pas du fait que c'est lui qui vient de faire l'amour à ma femme sans que je ne puisse la toucher, mais du fait évident qu'elle préfère passer le reste de la nuit lovée dans ses bras. Cela m'indiffère de les entendre faire l'amour après mon départ, mais je n'ai plus l'impression de participer, et dès lors je me sens écarté. Cette mise à l'écart m'humilie car je ne suis pas mis à l'écart sur un plan sexuel. Je suis par défaut à l'écart du plan sexuel. Je suis en fait mis à l'écart dans un domaine où je peux me mesurer : celui de la tendresse. Je n'oublies pas que sexuellement je "ne fais pas le poids". Donc l'humiliation ne résulte pas de la préférence sexuelle que ma femme marque pour lui, mais du fait qu'elle préfère dormir avec lui. Dormir, l'enlacer, l'embrasser, la caresser...je fais aussi bien que son amant !
Le second exemple est celui de la soumission imposée par la situation. Je pense cet exemple si ce n'est sous cette forme, commun à tous les couples dont les maris sont candaules. L'amant s'impose au couple, c'est à dire à sa maitresse et au mari de sa maitresse. Oui, c'est de domination dont il s'agit. Je ne suis aucunement soumis à quiconque dans ma vie "verticale", pas plus à l"égard de ma femme qu'à l'égard de tiers. En revanche au lit...elle me domine (ce qui est naturel pour elle avec moi comme avec tous ses partenaires sexuels). Ma femme est donc "dominante" avec 99,99% de ses partenaires, moins 4 ou 5 dont JJ son ex amant. Cela se voit sans ses positions, ses attitudes, ses gestes, sa façon de jouir... Lui prend le dessus sur elle physiquement, et comme avec tous ceux ou celles - très rares - qui y parviennent ma femme s'en trouve incroyablement excitée. A partir du moment où elle se sent dominée, elle devient vulnérable.... Alors qu'elle peut dans une même soirée baiser avec 10 mecs et 3 nanas (c'est à peu près la proportion qu'elle aime), et n'être pas un instant gênée que je la regarde, Uta a été horriblement mal à l'aise lors de ses premiers rapports "naturels" avec son amant. Le fait d'avoir des relations sans préservatif, surtout pour une femme de sa génération (la cinquantaine même si elle parait moins, ou beaucoup moins quand elle baise :lol: ) témoigne de "l'attachement" qu'elle éprouve pour son amant. Là, sur ce point très précis, elle a l'impression de me tromper alors qu'elle sait pourtant que je suis d'accord pour qu'elle fasse l'amour avec son amant. Et bien c'est par l'humiliation que son amant, JJ, avait résolu le problème. En une seule "séance", alors que ma femme rechignait depuis des mois à ce que j'assiste à ses coïts sans préservatif, il résolvait le problème en nous dictant nos positions. Moi allongé sur le dos, tête au bord du lit. Ma femme accroupie sur le lit, le minou juste au dessus de mon visage. Je vous laisse imaginer la suite, na !
Aussi efficace qu'humiliant. En voyant que j'acceptais cette position, de soumis total, son amant marquait à la fois sa supériorité physique (et psychique au lit !) sur moi, et ma femme n'ayant pas protestée...elle devenait sa complice. Dès le lendemain de cette scène ma femme n'hésitait plus à faire l'amour avec lui devant moi, et au fil du temps elle prenait du plaisir à me faire contempler son minou 'plein'.
Depuis voir le sexe de ma femme dégoulinant du sperme de son amant est banal et donc ne nait aucune humiliation de cette situation, qui en fait lui fut pénible juste à elle !
Disons donc, que - parfois - l'humiliation est nécessaire, mais c'est vraiment ce qui distingue le Candaule du Cuckold. Je me sens Candaule, parfois avec des fantasmes de Cuckold, mais ce n'est pas de mon éventuelle humiliation que nait mon plaisir. Celui-ci est (je pense comme tous Candaules !?) de voir ma femme aimée en avoir.

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