- 04 mai 2010, 19:25
#36899
Je découvre ce site et je voulais vous faire part de ce témoignage qui, semble-t-il fait écho à d’autres…
Ma femme et moi sommes mariés depuis 20 ans.
Il y a une dizaine d'années, après une dépression de ma part, elle s’octroya un écart amoureux avec un collègue de travail qui l'a courtisait. Au bout de plusieurs semaines, j’appris leur relation en tombant sur des mails. Face aux preuves, elle m'avoua tout. J'étais anéanti.
Tout cela est très banal, hélas. Ce qui l’est moins, ce sont les conséquences que l’événement eut sur notre relation et que ni elle ni moi n'avions prévues. Devant l’étendue de ma souffrance, devant mon incapacité à la quitter et ma peur absolue de la perdre, sans doute prit-elle conscience de son pouvoir sur moi et des avantages qu’elle pouvait en tirer. Les mois qui suivirent en furent la démonstration. Non seulement, elle continua à voir son amant, mais elle ne s'en cachait plus. Elle sortait souvent, s'amusait à tester mon incapacité à lui résister, usait de ses charmes sur moi pour aller toujours plus loin. J’étais à ses pieds. Je me voyais sombrer en même temps que ma fascination pour elle grandissait.
Quelques semaines plus tard, le jour de mon anniversaire marqua un tournant : nous devions sortir tous les deux, mais elle passa une grande partie de la journée au lit avec son amant et lorsqu'elle revint, elle m’allongea sur le sol, baissa sa culotte et colla son sexe sur ma bouche d’où perlait encore du sperme. Ce fut un choc émotionnel inouï : je pris conscience que mon amour pour elle n’avait plus de limite. Notre relation candauliste commença ainsi. Depuis, ma femme a des aventures multiples. Si les chiffres sont vulgaires, ils donnent une idée : près de 300 amants en dix ans. Loin de l'éloigner de moi, sa liberté sexuelle m’a rendu plus dépendant d’elle que je ne l’ai jamais été. Il me faut l’admettre : jamais aussi elle n'a été plus belle, plus rayonnante, plus courtisée. C’est comme si elle était née une seconde fois. C'est une garce absolue, mais d'un genre très particulier. Une sorte de putain romantique, qui ne craint pas d’éprouver de l’amour pour ses amants. Notre relation baigne dans un érotisme électrique permanent où il n’y a plus ni bien ni mal et la hauteur de mon désir est à la mesure des gouffres dans lesquels elle me plonge : vertigineux. Peut-on sortir indemne d'une telle vie ? De cette absence de limite dans "l'enfer" qu'elle déclenche ?
Ma femme et moi sommes mariés depuis 20 ans.
Il y a une dizaine d'années, après une dépression de ma part, elle s’octroya un écart amoureux avec un collègue de travail qui l'a courtisait. Au bout de plusieurs semaines, j’appris leur relation en tombant sur des mails. Face aux preuves, elle m'avoua tout. J'étais anéanti.
Tout cela est très banal, hélas. Ce qui l’est moins, ce sont les conséquences que l’événement eut sur notre relation et que ni elle ni moi n'avions prévues. Devant l’étendue de ma souffrance, devant mon incapacité à la quitter et ma peur absolue de la perdre, sans doute prit-elle conscience de son pouvoir sur moi et des avantages qu’elle pouvait en tirer. Les mois qui suivirent en furent la démonstration. Non seulement, elle continua à voir son amant, mais elle ne s'en cachait plus. Elle sortait souvent, s'amusait à tester mon incapacité à lui résister, usait de ses charmes sur moi pour aller toujours plus loin. J’étais à ses pieds. Je me voyais sombrer en même temps que ma fascination pour elle grandissait.
Quelques semaines plus tard, le jour de mon anniversaire marqua un tournant : nous devions sortir tous les deux, mais elle passa une grande partie de la journée au lit avec son amant et lorsqu'elle revint, elle m’allongea sur le sol, baissa sa culotte et colla son sexe sur ma bouche d’où perlait encore du sperme. Ce fut un choc émotionnel inouï : je pris conscience que mon amour pour elle n’avait plus de limite. Notre relation candauliste commença ainsi. Depuis, ma femme a des aventures multiples. Si les chiffres sont vulgaires, ils donnent une idée : près de 300 amants en dix ans. Loin de l'éloigner de moi, sa liberté sexuelle m’a rendu plus dépendant d’elle que je ne l’ai jamais été. Il me faut l’admettre : jamais aussi elle n'a été plus belle, plus rayonnante, plus courtisée. C’est comme si elle était née une seconde fois. C'est une garce absolue, mais d'un genre très particulier. Une sorte de putain romantique, qui ne craint pas d’éprouver de l’amour pour ses amants. Notre relation baigne dans un érotisme électrique permanent où il n’y a plus ni bien ni mal et la hauteur de mon désir est à la mesure des gouffres dans lesquels elle me plonge : vertigineux. Peut-on sortir indemne d'une telle vie ? De cette absence de limite dans "l'enfer" qu'elle déclenche ?