Voilà, enfin un moment seul où je vais pouvoir vous racontez un peu tout ça.
Jeudi soir ma femme est rentrée du boulot à son habitude et pour une fois avant moi. La elle s'est montrée très avenante et n'a cesser les allusions holé-holé toute la soirée. Peu après le dîner et la douche (où j'ai resister fortement à l'envie de lui sauter dessus... un peu de patience que diable!), je ne tiens plus, on s'embrasse langoureusement puis fougueusement. Peu à peu, je glisse mes mains sur elle puis lui hôte lentement ses vêtements. Elle fais de même et nous voila rapidement en sous-vêtements sur le lit. Le jeu en reste aux caresses à travers les tissus. Je l'embrasse entre les jambes et vois bien l'excitation qu'est la sienne à voir sa culotte mouillée. Je remonte, m'allonge à ses côtés mais je passe cette fois ma main dans sa culotte alors qu'elle continue à caresser la bosse que forme mon sexe en érection sous le caleçon.
Là je saisi ma chance et lui propose de lui raconter un fantasme que j'ai fait il y a peu et qui ma curieusement beaucoup exciter.
Inutile de préciser qu'il s'agissait là de lui narrer mon premier désir candauliste. Bref, elle acquiesce et me voila à lui raconter:
Moi: "Nous étions en forêt, garer sur un petit sentier et exciter comme tu 'est aujourd'hui tu étais sortis de la voiture, fais le tour, puis, accroupie devant moi pour me faire une fellation".
Elle: "Hummmm" assortis de petits gémissements de plaisir.
Moi: "Au bout d'un petit moment on voit sortir discrètement d'un buisson un homme qui fort impressionner par ta prestation n'a pu s’empêcher de sortir sa queue pour se caresser. Tu as eue un petit sursaut puis t'est remise à me sucer comme si de rien été."
Elle: "Ouiiii, continue"
Moi: "L'inconnu s'approche peu à peu et se trouve bientôt tous près de toi. Tu me regardes les yeux de plus en plus pétillant et je te propose alors de prendre le sexe de l'inconnue en main pour le branler. Tu ne te fais pas prier une seconde et à peine ma phrase fini que tu t’exécute déjà."
Elle pousse des gémissements de plus en plus forts et comme je continue à la caresser pendant mon récit, je sens qu'elle mouille de plus en plus.
Moi: "Au bout d'un petit moment, je remarque que tu ne cesses de regarder la queue de l'autre pendant que la mienne est dans ta bouche. Je te demandes si tu veux le sucer et tu hoche la tête pour un me dire oui. Je te donne le droit et tu files engloutir cette bite dans ta bouche. Tu la suces comme jamais de bas en haut jusqu'à faire jouir l'inconnu dans ta bouche et que tu n'en perde pas une goutte. Puis l'ayant bien vider tu reviens à ma queue pour également en recueillir le jus.
Ma femme n'en pouvait plus, son corps se tortillais et depuis que je parlais de la faire sucer l'inconnu, elle mimer des coups de langue comme si elle y été. Là alors que je ne m'y attendais pas elle me chuchote: "Et après?"

Je lui précise que je m'étais réveiller à ce moment mon sexe dure comme la pierre mais que si elle le souhaitais je pouvais imaginer. Elle n'hésita pas un instant et me le demanda.
Moi: "Après nous avoir bien vider tu as sortis une capote que tu as enfiler à l'inconnu puis tu t'es mis à quatre pattes de façon à continuer de me sucer et à présenter ta chatte à l'autre homme. Il te pénétra d'un coup sec. Au bout d'un moment tu me demandas de sortir, je m'allongeais par terre, tu vînt t’empaler sur moi et dit à l'inconnu de te prendre en double pénétration. Tu pris un pied d'enfer et jouis comme une folle."
Ma femme avait déjà sortit ma queue et la branlait de plus en plus vivement. Mes doigts étaient emplis de mouille et elle me dit entre deux gémissement: "Encore!"
Moi: "On peut imaginer que l'homme se vanta et que la semaine d'après, revenu au même endroit ce n'est plus un mais plusieurs hommes qui y étaient. Tu en imagine combien? Six?"
Elle: "Non c'est trop"
Moi: "Quatre?"
Elle: "Oui"
Moi: " Tu t'agenouillas au milieu d'eux puis commença à les branler puis les sucer les uns après les autres. Ils étaient tous tellement exciter que tu les pompaient sans réserve."
Je sentais ma femme sur le point de jouir, il était temps de finir le fantasme. "Peu à peu tu les fis gicler dans ta bouche un à un. Le sperme dégouliner le long de ta bouche pour s'échouer sur tes seins."
Ma femme jouis dans soupir magnifique.
Cette petite épopée me laisse entrevoir un espoir de son ouverture au candaulisme plus sereinement qu'auparavant. Même si cela était du domaine du fantasme, elle a aimé imaginer une telle situation et n'a pas été choquer qu'un tel fantasme m'excite! Peut-être que je me trompe mais bon.
Qu'en pensez-vous? Sa jouissance devant une telle déclaration n'est-elle pas plutôt bon signe?
Je vais très vite faire un second post pour vous raconter le soir qui suivis.