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Que vous soyez candauliste occasionnel, candauliste convaincu ou simple curieux, votre avis nous intéresse. Racontez-nous comment vous en êtes arrivé à vouloir partager l'intimité de votre partenaire, ce que vous en retirez comme satisfactions, les sentiments que cela éveille en vous. Interrogez-nous sur les aspects qui vous semblent obscurs ou problématiques. Ensemble, nous parviendrons à dissiper bien des malentendus au sujet de cette pratique et à en comprendre toutes les subtilités.

Le candaulisme est une facette de la sexualité humaine qui mérite d'être considérée sans préjugés ni tabous. C'est ce à quoi nous nous employons dans cette section, avec comme seul mot d'ordre la liberté d'expression et l'ouverture d'esprit. Alors, que les discussions les plus franches et les confidences les plus brûlantes commencent ! Nous sommes ici pour écouter, conseiller, rassurer et surtout partager notre goût pour le candaulisme.
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par boomerangducoeur
#1287809
Bonjour à tous,

Sachez que ce topic va me servir d'exutoire avant tout mais que j’apprécierai grandement les avis de ceux qui auront eu le courage de lire jusqu'au bout ! (Inutile de répondre en MP par contre, je ne peux pas voir les messages privés)

De ce fait, ce post va être un gros pavé résumant plus ou moins l'histoire de ma vie de couple actuelle et des diverses expériences de ma courte vie (j'ai 27 ans) afin d'en arriver à mes questions : suis-je vraiment candauliste ? (Ou bien plus précisément est ce que mon envie de candaulisme est réelle ou juste un fantasme ?) Dois je franchir le cap avec ma fiancée ?

Si vous n'aimez pas les pavés immense, digne d'une nouvelle, alors allez directement à la fin, j'ai fait une version très synthétisé de mon histoire.


Sinon, pour les plus courageux d'entre vous, voici ma vie sentimentale et sexuelle racontée en 12 "chapitres" qui sont les suivants :

1) La première fois.

2) Première rupture.

3) Remonter la pente.

4) Nouvelle relation.

5) La souffrance.

6) La découverte.

7) Internet.

8) La vie continue.

9) Le "jeu".

10) La séparation.

11) Le retour.

12) End of the line.

12 bis) Synthèse.




***


Alors... par où commencer ? Peut être par ma première fois.




I) La première fois.


J'étais très jeune. Elle ? La trentaine. Pour éviter de rentrer dans les détails et les question d'éthique je n'en dirais pas plus. Aussi, pour des raisons pratiques et pour garder l'anonymat, nous dirons qu'elle s'appelle "M".

Avec M on bravait un peu l’interdit et les tabou lorsque nous flirtions innocemment. C'était intriguant, excitant. J'étais inconscient et naïf. De plus, elle était déjà avec quelqu'un lorsque je l'ai rencontré (mais je ne l'ai su que plus tard). Au fur et à mesure que notre complicité évoluait je devenais son confident, puis bientôt son amant.

Pas pourvu par la nature plus que la normale, j'étais toutefois très endurant et imaginatif. Je ne lui avais pas avoué qu'elle serait ma première fois. Au début, timide et tremblant, j'ai mis un moment avant d'entrer en elle. Ensuite, au rythme de mes premier coup de reins frénétique, je sentais ses contraction et l'ondulation de ses hanche me crier que son plaisir montait.

Excité par ses gémissement et les mouvements de son corps, j'y allais de plus belle. Je changeais de position sans m'en rendre compte, je l’agrippais fermement et la dominais et ça j'en étais vraiment fier car c'était ma première fois et c'était bien mieux que tout ce que j'avais imaginé jusque là. Beaucoup plus exaltant que tous les porno minables que j'avais vu jusqu'à présent.

Ce premier rapport a duré pratiquement un bon moment, elle était épuisé mais j'en voulais encore, je n'étais pas parti, je n'avais pas joui, pas physiquement tout du moins. J'en avais a revendre et je voulais l'impressionner aussi quelque part, je pense. On a remis le couvert à nouveau pendant la nuit, je l'ai même sodomisé et c'est là que j'ai joui en elle pour la première fois.

Nous avons passé une semaine comme ça, chez elle, à faire l'amour tous les jours et c'était de plus en plus excitant. Nous ne vivions pas dans la même ville et j'ai du repartir de mon côté au bout de cette semaine de folie. Là, j'étais pris. J'étais amoureux, je n'en démordais pas. Non seulement on s'entendait à merveille, elle était ma première mais en plus c'était génial sur tous les plans.

J'ai ensuite appris qu'elle avait, en réalité, un conjoint. Je suis tombé de haut ce jour là... A priori il ne la satisfaisait pas, ni au lit ni dans la vie de tous les jours. Elle restait avec lui car elle se sentait responsable de lui, il était plutôt fragile et avait déjà fait une tentative de suicide par le passé. Elle avait peur qu'il ne supporte pas qu'elle le quitte.

Pourtant, bien qu'attristé par cet état de fait, j'ai vraiment cru que notre amour était solide et concret, je pensais qu'elle m'était réservé. Elle m'a promis qu'elle le quitterait, le moment venu, mais pas pour l'instant. Elle m'avait aussi promis qu'elle ne ressentait rien d'autre pour lui et, implicitement, qu'il ne se passerait rien de physique entre eux.

Notre relation a continué. J'ai fini par découvrir qu'ils couchaient toujours ensemble. Elle m'avoua qu'elle le laissait pénétrer,et qu'elle était inactive, elle le laissait faire pour "lui faire plaisir" bien qu'elle même n'en prenait aucun.

C'était douloureux, j'ai eu du mal à digérer ça. Pourtant, au fond de moi, malgré ma jalousie et ma tristesse, je me sentais fier. Après tout, j'étais l'amant. J'étais celui qui la rendait heureuse et lui donnait du plaisir. Pas lui...

Finalement, elle le quitta 2 ans après m'avoir connu et nous pouvions enfin être ensemble, former un véritable couple.

Ça n'a pas duré longtemps, peu après avoir rompu avec cet homme, elle m'avait déjà trompé avec un autre qui, apparemment, la convoitait depuis longtemps au point de s'en rendre malade et de la harceler. Je l'ai su pratiquement aussitôt et je n'ai pas compris. Là encore, elle m'avoua que c'était seulement pour faire plaisir à cet homme et qu'il se calme vis à vis d'elle mais qu'elle n'a pas pris plaisir à le faire, que c'était très rapide. Elle m'a juré qu'elle ne le reverrais plus. Toujours amoureux, je l'ai cru sur parole.

Malgré tout j'étais aveuglé par mes sentiments qui s'étaient mélangé à deux ans de prise de tête : j'avais changé.

On était enfin ensemble mais j'étais devenu égoïste, au lit, dans la vie, dans mes sentiments. Je me disais qu'après toutes ces galères je pouvais bien profiter un peu et me laisser aller. J'étais toujours aussi endurant mais je me concentrais aussi sur les choses qui me plaisait sans penser à elle. Elle aimait toujours ce que je faisais mais c'était moins torride qu'avant, j'étais un peu dépassé par la situation et le comportement qu'elle avait eu.

Pendant cette période elle était retourné vivre chez ses parents car son appartement appartenait à son ex-conjoint. De ce fait, on ne se voyait pas tous les jours. Elle fit face au décès de sa mère peu de temps après, du coup on ne se voyait presque plus, elle restait auprès des siens pour tenir le choc.

Au bout de deux mois environs, afin de se retrouver et d'avoir un peu d'intimité, on a décidé de partir en voyage, c'était redevenu bien. Mais j'étais très excité de la revoir. Je l'étais tellement que lors de notre première nuit ensemble après tout ce temps de séparation, j'ai joui après 2 minutes de va et viens sordide en elle dans le premier hotel minable qu'on avait trouvé. Elle était très déçue. Et puis j'étais épuisé, par le voyage, par son absence, par les évènements récent. Je n'avais pas la force de lui rendre son plaisir ce soir là. On s'est disputé le soir même à ce propos. Après cet épisode, nous avons continué notre voyage mais sans pouvoir faire l'amour, ce n'est qu'au bout d'une semaine qu'elle s'est offerte à moi mais dès que je l'ai pénétré elle a eu mal et nous n'avons pas pu continuer.

Elle devait rentrer chez elle, ses proches l'attendaient, nous avons donc mis fin à ce voyage mais nous étions toujours ensemble et devions nous retrouver par la suite.

Peu de temps après, j'ai appris qu'elle m'avait de nouveau trompé, avec le même homme qu'elle avait vu et, selon elle, pour les mêmes raisons, mais que cette fois ci c'était fini avec lui pour de bon. Là, c'était trop. J'en devenais malade. Notre couple s'est alors dégradé, j'étais trop triste pour vivre une relation saine et épanouissante, alors encore moins la rendre heureuse.
#1287810
2) Première rupture

De plus, je commençais mes études, dans une autre ville, et beaucoup plus loin d'elle qu'auparavant. On s'appelait souvent. Une relation à distance qui n'a pas duré car, sans prévenir, du jour au lendemain, elle ne m'a plus jamais appelé et ne répondait plus à mes messages. Je me doutais qu'elle revoyait cet homme.

J'en devenais fou. Au point de ne plus manger pendant plusieurs jours. Puis, j'ai décidé de prendre les choses en main et de l'oublier. Mais comment ? Un ami m'a emmené à l'étranger, on devait voir un maximum de filles et de prostitué en un minimum de temps et vivre un bon moment pour que je l'oublie. Un peu fauché, ça ne s'est pas déroulé comme prévu.

Au cours de ce voyage, j'ai rencontré cette fille de joie, elle était mignonne mais elle semblait vraiment triste. J'ai voulu lui rendre son sourire, ce n'était pas de la pitié mais une réelle envie de ma part d'être respectueux et de lui donner du plaisir. Pourtant elle avait connu des centaines d'hommes, comment faire la différence ?

J'ai été très tendre, langoureux, je suis resté longtemps. Pas que pour le sexe, je crois que je n'avais même pas envie de satisfaire mes désirs au début. Je voulais juste qu'elle passe un bon moment (pourtant c'était mon argent qui y passait !).

Elle était étonné, elle ne comprenait pas où je voulais en venir, ça l’agaçait même un peu, au début. Puis, j'ai baissé la tête, je l'ai léché (oui c'était pas malin de ma part mais j'étais con à l'époque), je me suis occupé d'elle, je l'embrassais, dans le cou, sur les seins, dans le creux de ses bras, sur les lèvres. Au bout d'un moment, elle a fini par se laisser aller, je pense. Elle se frottait contre moi, me rendait mes baiser, me chuchotait des mots doux (je crois) au creux de l'oreille, dans une langue que je ne comprenais pas. Je découvrais quelque chose qui m'étais quasiment inconnu jusque là : les préliminaires.

(En fait, mon ancienne copine, quand la relation se passait bien, me sautait toujours dessus très vite, c'était sauvage, soudain, je n'avais pas vraiment connu de préliminaire et je ne savais pas que c'était important).

Elle avait fini par prendre les devant et me montait dessus, toujours en se frottant contre moi et en continuant de m'embrasser, dans le cou, sur le torse, partout. Je ne tenais plus, il fallait que je la prenne comme je savais le faire. Alors je l'ai prise, sauvagement, comme à l'époque de ma première fois. Et mes coup de reins étaient fort, brusques. J'accélérais au rythme de ses gémissement et de ses râles. j'évacuais toute ma tristesse, je déposais mon fardeau, je tournais la page. Je jouissais.

Le voyage avec mon ami s'est donc terminé ainsi, fauché je n'ai pas vu d'autre fille de joie ni d'autre fille d'aucune sorte ce jour là. On est rentré en France.

J'étais libéré, j'ai repris les choses en main. J'avais le sourire. Je me sentais bien. La femme qui m'avait trompé, trahie et humilié était loin de me pensées.

Je reprenais mes cours à la FAC (que j'avais momentanément interrompu) et je trouvais un job à mis temps pour payer mes études et mes sorties. Tout allait bien. Mais un jour, j'ai reçu un appel de M. Elle était en pleur, elle me suppliait de revenir, elle me demandait pardon, elle s'en voulait de m'avoir planté, de ne plus m'avoir donné de nouvelles, elle m'assurait que j'étais l'homme de sa vie et qu'elle avait fait une erreur en me trompant. Elle m'avoua que durant tout ce temps elle avait vécu avec cet homme, celui avec lequel elle m'avait trompé. Elle me jura qu'elle n'aimait que moi et qu'elle n'avait jamais aimé que moi.

J'étais dévasté. Après avoir enfin réussi à me relever, voilà qu'elle venait me planter un couteau dans le cœur. J'ai pleuré, longtemps. Très longtemps. J'étais mal, je ne savais plus quoi faire, je la questionnais, lui pardonnais, lui en voulait, tout cela en même temps.

Le lendemain de cet appel téléphonique, je recevais un SMS qui disait "je ne veux plus qu'on se voit", sans autre forme d'explication. Puis, le même cinéma que la dernière fois : plus rien, plus de réponse, ni aux messages ni aux SMS.

La semaine suivante je me faisais tabassé par une bande de jeunes à la sortie d'une gare. Ils m'avaient pris mon mobile.

Un mal pour un bien ? Je ne savais pas, toujours est il que je n'avais plus le numéro de M.
#1287811
3) Remonter la pente


Le temps passait. J'avais tout de même rencontré quelques filles, des histoires sans lendemain mais l'essentiel était là : j'avais de nouveau réussi à franchir le cap de ma relation douloureuse avec M. Et puis elle ne risquait pas de me rappeler, mon portable ayant disparu et ma carte SIM avec, j'avais directement changé d'opérateur, donc de numéro.

Entre temps j'avais abandonné mes études pour me consacrer à ce travail à mi-temps et aux sortie en boite. J'avais changé à nouveau. Je vivais au jour le jour. En plus, au lit, j'étais plutôt performant, malgré un ou deux raté. Je me faisais une mission de faire jouir mes partenaires. Et j'y parvenais souvent.

Je prenais de l’expérience, je tachais de découvrir ce qui faisait plaisir à l'une ou à l'autre, les envies n'étaient pas les mêmes selon les femmes que je rencontrais et je sentais à leur souffle, aux battements de leur cœur, aux mouvements de leur bassins, à la contraction de leur vagin et de leur fesses, aux frissons sur leur peau, ce qui leur faisaient du bien et ce qui les laissaient de marbre.

La boîte dans laquelle je travaillais fit faillite et je me retrouvais sans emploi. Sans avenir aussi, car j'avais stoppé mes études. Un peu perdu, je continuais mes sorties et peu à peu je m'étais assagis. Déterminé à retrouver un boulot, j'ai fini par tomber dans une boite d'import/export, je travaillais dans les bureaux. C'était sympa, l'ambiance était bien et surtout il y avait beaucoup de femmes dans cette entreprise.

Pourtant, je n'ai eu aucune relation avec qui que ce soit dans la boite pendant 6 mois.

Et il y a eu cette fille. Que nous appellerons V. Un jour, je l'ai vu en pleur, j'ai appris par des collègues qu'elle s'était séparé de son copain mais qu'elle pleurait car il la harcelait, je n'en connaissais pas les détails et, même si elle était mignonne, les problèmes de couple, très peu pour moi. J'avais déjà donné.

Les mois passaient, et sans m'en rendre compte, je discutais de plus en plus avec cette fille. Elle avait de gros seins, des lèvres fines, des hanches larges et une jolie paire de fesses pulpeuses comme je les aime. En fait, elle était très sexy.

En plus, elle était vraiment drôle, on s'entendait bien. Et puis, on se cherchait un peu. Elle me chauffait. Je n'avais pas connu de minou depuis des lustres mais, étrangement, je ne me sentais pas en manque.
#1287812
4) Nouvelle relation

Puis à l'anniversaire d'un ami commun, n'ayant pas de véhicule et la personne qui m'avait emmené étant un peu éméché, V me proposa de me raccompagner... chez elle !

J'étais comme un gamin, j'en tremblais de partout, elle était si belle, si naturelle. Elle s’effeuillait devant moi et je ne pouvais plus me contenir, je lui sautais dessus et l'embrassait langoureusement. Elle se glissa dans le lit, se frotta contre moi et stoppa, net.

Elle se refusa a moi, prétextant qu'elle ne couchait jamais le premier soir. J'étais frustré, et excité par la même occasions. Je pense qu'elle s'en délectait et qu'elle était contente de voir que je la désirais autant.

Nous ne sommes pas allé plus loin ce soir là. Elle me proposa de rester le soir suivant aussi. Je ne rentrerais plus jamais chez moi. J'allais entrer dans sa vie et elle dans la mienne.

Pourtant, moi qui habituellement n'avais pas de mal à donner du plaisir et à faire jouir mes partenaires, je sentais que quelque chose clochait au lit avec elle.

Au début je ne me doutais de rien, j'étais ravis de pouvoir faire mienne cette femme qui m'avait résisté et avec qui je m'entendais à merveille. Cependant, souvent, lors de nos rapport, après quelque minutes, elle s’arrêtait de gémir langoureusement, elle frottait toujours à moi mais de manière plus mécanique, son vagin ne se contractait plus et elle se laissait faire. Elle ne prenait jamais les devant non plus, j'avais l'impression de devoir tout lui apprendre et que malgré tout ce que je faisais elle ne ressentait pas de plaisir. Ou bien tout du moins elle n'en ressentait plus après les premières minutes.

J'ai mis longtemps avant d'en discuter avec elle. Au début elle feignait l'ignorance et me disait que j'imaginais des choses, que tout allait bien mais que parfois, elle avait un peu mal, que mon engin était peut être trop gros.
#1287813
5) La souffrance

Ça n'avait pas de sens pour moi, aucune autre fille ne m'avait jamais fait ce genre de réflexion d'autant plus que ma bite était plutôt dans la moyenne. Toujours est il qu'elle avait mal, parfois mal au point d'arrêter en plein milieux de l'acte et de me demander de finir "tout seul". C'était humiliant mais pris dans l'excitation je le faisais parfois.

Nos rapport étaient fréquent au début mais ils le devenaient de moins en moins. J'avais, entre deux, appris que j'étais son deuxième homme, qu'elle n'en avait connu qu'un avant et que sa bite était si fine et courte qu'elle n'avait rien ressenti lors de son premier rapport avec lui. Ni durant les suivant d'ailleurs.

Elle m'avoua qu'elle n'était pas trop portée sur le sexe bien que ses rapports avec moi lui procurait des sensations et que c'était incomparable avec les déceptions qu'elle avait connu auprès de son ex.

Mais voilà, elle avait mal durant nos ébats et c'était un problème majeur pour moi. La seule femme que je me surprenais à aimer profondément (car notre relation, en dehors de ce problème, évoluait bien et devenait très sérieuse) ne pouvait même pas recevoir le plaisir que je voulais tellement lui offrir.

C'était une frustration immense. J'étais perdu. J'ai cru qu'il s'agissait des préservatif, alors j'en changeais. Peut être n'était elle pas assez lubrifié ? Alors j'en rajoutais lors des préliminaire, puis j'ai carrément acheté du gel. On a fini par complètement stopper l'utilisation du préservatif après avoir fait des test MST. Le problème persistait. Je lui proposais d'aller voir un gynéco, peut être s'agissait il d'une maladie ou d'un problème physique quelconque ? Au début elle me disait qu'elle irait consulter mais les mois passaient et elle reportait sans cesse son RDV avec le médecin.

Au fur et à mesure que le temps passait, je perdais confiance en moi, incapable de la satisfaire tout en sachant qu'elle avait mal lorsque je la pénétrais, c'était inconcevable. Et pour ne rien arranger je devenais de plus en plus en manque et en même temps de plus en plus excité car je la voyais tous les jours, nue, le soir, collé à moi et elle me plaisait autant qu'au premier jour. Nos rapports s’espaçaient de plus en plus. Parfois elle simulait légèrement pour feindre qu'elle n'avait pas mal, mais je le sentais. Je savais qu'elle faisait semblant pour me faire plaisir. Je me vidais en elle, tristement, dépité de ne pouvoir combler la femme que j'aimais.

De son côté, n'ayant connu aucun autre homme que moi et son ex à petite bite, elle ne ressentait pas vraiment de manque puisqu'elle n'avait jamais vraiment connu l'extase.

Je redoublais d'imagination par moment, mais rien n'y faisait. Puis, elle se décida à voir un gynéco, 2 années avaient passé depuis notre rencontre. Je l'aimais toujours plus chaque jour, tout autant que ma frustration grandissait. Le gynéco n'avais rien trouvé. Tout était en ordre d'après lui.

Je dois aussi préciser qu'elle n'aimait pas que je l'embrasse, pas avec la langue, elle ne supportait pas la salive ni lorsqu'elle "mouillait" au lit. Elle s'essuyait très rapidement après nos rapport aussi. J'avais le sentiment de la dégoûter.

Parfois, de temps à autre, elle prenait un peu de plaisir, je sentais son corps légèrement lâcher prise mais ma joie était de courte durée.

Une année de plus passa sans que la situation ne change vraiment, nous en étions à notre troisième année de couple, je voulais la demander en mariage mais par manque de moyen sur le moment je me fiançais avec elle à la place, en attendant le grand jour.

Elle voulait des enfants tout de suite, moi non, ce n'était pas un sujet de dispute, elle était patiente bien qu'elle me montrait son envie d'en avoir. J'étais hésitant, j'avais peur que ce problème de sexe nous gâche la vie sur la durée, tant pour moi que pour elle. Même si elle ne s'en rendait pas compte, je savais qu'il lui manquait quelque chose d'essentiel à son épanouissement : du sexe, du vrai.
#1287814
6) La découverte

Un jour, par mégarde, je trouvais : elle jouissait, abondamment, une giclée d'un liquide incolore se répandait sur les draps par flot ininterrompu pendant que son bassin remuait frénétiquement et son premier gémissement sincère sortait. Je n'en revenais pas, j'avais déjà entendu parler des femmes fontaine mais, avant de me renseigner, j'avais toujours cru à un mythe véhiculé par l'industrie du porno.

Elle, de son côté, pensait avoir uriné et était honteuse de ce qui venait de se produire. De plus, comme elle déteste les fluides, après avoir repris ses esprits, prit le soin de se nettoyer rapidement. Moi je n'avais pas jouis puisque notre rapport s'était arrêté là. Mais j'étais si heureux de ma découverte, si heureux de la voir enfin prendre du plaisir, si heureux d'avoir pu partager ce moment que j'attendais depuis trois ans, que je me fichais de ne pas avoir jouis.

Il y avait tout de même un bémol, je ne l'avais pas fait jouir avec mon sexe. J'avais joué de mes doigts et de ma langue pour y parvenir. Bien que ma satisfaction d'avoir réussi à la faire parvenir au 7ème ciel était grande, je n'en étais pas moins déçu d'avoir encore échoué à un certain niveau.

Bon, le résultat était là, il ne me restait plus qu'à reproduire la chose et la faire jouir régulièrement. Et ça n'y manquait pas, c'était une super période de notre couple en un sens. Je sentais qu'à chaque fois, elle résistait, elle se retenait de venir inonder les draps. Mais elle finissait par céder, souvent. Pas toujours.

Par contre, l'invariable dans ce domaine c'était que je n'y parvenais jamais avec ma bite. Ce pénis que je commençais presque à détester car je n'arrivais à rien avec. En plus, avec mes doigts et ma langue, la femme de ma vie n'avait pas mal, mes doigts étaient fin et ne la faisait pas souffrir, ça lui procurait un réel plaisir.

Souvent, je ne pouvais pas la pénétrer lorsqu'elle jouissait de la sorte, elle se sentait vidé et me refusait l'entrée de son sexe, elle me le refusait aussi avant la jouissance mais pas toujours. Elle refusait car mon sexe lui faisait mal.

Elle ne me suçait pas non plus, j'en souffrait car je trouvais que sucer était une belle preuve d'amour puisque qu'on se donne à l'autre mais je ne lui en voulais pas car je savais que c'était plus par peur du contact avec les liquides et les sécrétions que par manque d'amour à mon égard.

Je ne la sodomisait pas non plus, c'était bien arrivé quelques fois, par contre elle n'a pris du plaisir qu'une seule fois lorsque j'étais à cet endroit J'avais d'ailleurs jouis en elle à ce moment. Les autres fois elle aimait que je rentre mes doigts des ses fabuleuses fesses rebondies mais tout en me laissant la frustration de ne pouvoir aller plus loin.

Le temps passait à nouveau, je devenais de plus en plus frustré et elle acceptait de moins en moins de se laisser aller sur les draps, parfois elle le faisait sur mon ventre pour me faire plaisir. Et moi, perdant ma fougue et ma frustration grandissant de nouveau, je devenais précoce. Le peu de rapport "normaux" que nous avions, je jouissais souvent en 5 à 10mn. Parfois moins, mais rarement. Je n'étais plus sauvage non plus, de peur de lui faire mal et qu'elle se refuse à moi de nouveau.

Notre relation, hormis nos rapport sexuels, allait plutôt bien malgré quelques hauts et quelques bas. Mais il y avait toujours cette routine au lit, alternée entre rapport normaux, qui s’écourtait à cause du mal qu'elle ressentait et à cause de mes jouissance rapides, et les rapport de "frotti" que je lui donnais à l'aide de mes doigts agiles pour la faire jouir de temps en temps.

De mon côté je me masturbais souvent, pour compenser. Je lui demandais parfois si il y avait quelqu'un d'autre, si le problème venait de moi, ce que je pouvais faire pour changer. Mais elle répondait toujours par la négative et que c'était comme ça, qu'il était inutile d'en parler et qu'il n'y avait que moi dans sa vie. Je souffrais.
#1287815
7) Internet

Il y a bien eu un soir, où, par curiosité, elle s'est rendu sur un site de webcam aléatoire célèbre dont je ne citerais pas le nom. Elle est tombée sur plusieurs hommes qui se masturbait et ça la faisait rigolé. Sur le ton de la plaisanterie je lui ai dit qu'elle n'avait qu'a montrer ses seins pour les "aider".

Il faut croire qu'elle m'a pris au mot, cachant son visage, ni une, ni deux, elle dévoila ses seins au premier venu. Elle semblait prendre un malin plaisir à voir les pauvre énergumènes se masturber vigoureusement devant leur PC. J'étais un peu jaloux mais ça m'excitait aussi, de savoir que d'autres hommes trouvaient ses seins joli au point de jouir à la vue de ses petits obus.

Je pensais que ça s’arrêterait là mais quelle ne fut pas ma surprise quelques jours plus tard, en regardant l'historique de son PC (je ne fouillais même pas, je cherchais juste à retrouver l'adresse d'un site que j'avais visité la semaine précédente), je m’aperçoit que chaque jour, religieusement, lorsque j'étais au travail (elle était au chômage à cette période) elle se rendait sur ce fameux site ainsi que des sites pornos divers.

Je lui ai parlé et elle m'avoua qu'elle ne se masturbait pas en regardant les sites porno et la webcam mais que, simplement, ça la stimulait de flirter en virtuel sans aller plus loin. Pourtant nos rapports avaient encore diminué pendant cette période. Il est arrivé une fois qu'un couple la stimule au point qu'elle veuille me faire l'amour devant eux, je la voyais petit à petit se dévergonder un peu et ça m'excitait au plus haut point. Ce couple l'avais même presque convaincu de me sucer alors que depuis toute ces années elle le refusait catégoriquement; finalement ils ont coupé leur caméra quand j'ai commencé à la pénétrer et nous avons donc fini sur un rapport "classique", avec mes petits doigts en guise de sextoy pour elle.

Finalement, elle rencontra un autre homme sur internet, toujours via ce site de webcam, mais cette fois ci en ma présence. Il lui avoua qu'elle avait de la chance d'avoir un homme qui n'était pas jaloux au point de laisser sa copine montrer ses seins à d'autres hommes (elle n'allait pas plus loin), elle acquiesçait avec lui et me le fit savoir.

Mais c'était faux, j'étais terriblement jaloux, c'est juste que je ne le montrais pas. Et puis après tout ça m'excitait aussi. Ils ont discuté longtemps et ont rigolé un bon moment, puis l'homme dégrafa son pantalon, il avait un engin énorme, je n'avais jamais vu ça, à faire pâlir les acteurs porno.

J'avais remarqué, entre ses jambe, assise en tailleurs, qu'elle mouillait, ma copine qui se refuse à moi si souvent, qui est si innocente d'habitude, mouillait abondamment devant ce type, cet inconnu à la grosse bite, j'étais furieux et très excité à la fois.

Sans savoir pourquoi, j'ai baissé la caméra, au niveau de son entrejambe, elle était déjà sein nu, depuis que ce type avait montré sa queue. J'ai donc baissé cette caméra et lui ai dit "vas y". Je m'en voulais, je m'en voulais mais j'aimais ça aussi. J'étais brûlant de désir pour elle mais elle ne s'en souciait guère. Elle ne voyait que ce type. Et là, sans que je puisse y croire réellement, elle enlevait son jogging moulant qui était humide, et laissait apparaître sa culotte trempée.

Je n'en revenais pas, je ne lui avais jamais fait autant d'effet. D'autant plus que le gars était bien foutu à tout les niveaux. Et il se branlait, devant ma fiancée, et elle lui rendait la pareille... elle se caressait devant lui, elle gémissait légèrement et prenait du plaisir au point qu'une crème blanche de s'écoule de l'entrejambe de ma moitié. Je l'avais déjà vu jouir mais ça c'était encore autre chose.

Je devenais fou, de désir, de tristesse, de sentiments divers et variés, c'était les montagnes russes dans ma tête et dans mon boxer. J'en venais à détester cet enfoiré qui, sans même toucher ma chère et tendre, parvenait à lui donner plus de plaisir à la simple vue de sa bite que tout ce que j'ai pu faire réellement avec la mienne.

Puis, j'ai choisi. J'ai décidé que je ne voulais pas souffrir de voir ça. Alors j'ai choisi le plaisir à la place. J'ai commencé à me masturber, à les regarder se masturbait l'un avec l'autre. Au bout d'un moment le type joui devant elle. Je pense que de son côté ma chérie avait déjà joui deux fois. Moi, j'étais à la ramasse, pour une fois j'avais mis du temps à jouir. Ma petite V avait même oublié que j'étais à côté et ce n'est qu'après avoir éteint la caméra qu'elle s'est rendu compte que je me touchais, et que j'avais assisté à la scène impuissant, juste à côté. Elle s'est allongé sur le ventre, a soulevé sa croupe, comme pour m'inviter à la pénétrer. Avant que je n'ai pu m'approcher elle me disait "Je suis rincé mais tu peux me regarder pour t'aider à partir, si tu veux".

C'était tout ce à quoi j'avais le droit ? Après l'avoir laissé jouir en direct avec un inconnu ? J'avais les restes ? Son excitation n'était elle pas suffisante pour m'autoriser à lui faire l'amour ? Visiblement non.

Je me résignais et jouissais pathétiquement quelques minutes après.

Après cet épisode elle devait se rendre compte que ça m'avait blessé, je suppose, car elle n'est plus jamais retourné sur ce site. Ou peut être était ce la concrétisation de son fantasme, un fantasme que je ne connaissais pas, qui s'achevait ici.
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8) La vie continue

Toujours est il que les choses sont revenu plus ou moins à la "normale", nos relation au pieu n'avaient pas évolué ni régressé, c'était plutôt au point mort malgré quelques rapport régulier, un ou deux par mois, se soldant toujours par ma main autour de mon sexe après avoir trifouillé son minou jusqu'à ce qu'elle ait un peu de plaisir. Elle n’inondait plus les draps non plus. Je l'aimais toujours, j'étais simplement triste et je m'en voulais de ne pas savoir quoi faire, je me sentais humilié à chaque fois que je partais tout seul, en la matant.

C'était devenu une habitude pour elle, sans penser à mal, quand elle me voyait chaud bouillant, elle s'allongeait, relevait sa culotte et attendait que je jouisse.

Puis, un soir, elle invita 3 de ses amies. Elles devaient toute voyager le lendemain pour voir un concert d'un groupe connu, plusieurs heures de route en perspective les attendaient donc elles se sont couché assez tôt.

Ma petite moitié, V, est venu se coucher prêt de moi, pourtant c'était différent, elle remuait son petit postérieur rond contre ma bite. Je ne savais plus trop quoi en penser étant donné notre situation au lit. Je tentais ma chance tout de même en allant plus loin. Nos mur ne sont pas épais, j'avais peur que ses copines nous entendent car elles dormaient dans le salon. C'était aussi un peu excitant pour moi, et visiblement c'était TRÈS excitant pour V. Elle se laissait faire et mouillait, plutôt bien même.

Elle finit par se retourner et me sauta dessus, je l'avais rarement vu comme ça, elle se frottait contre moi, elle m'attrapait le sexe avec ses mains et l'enfournait dans son minou juteux, et elle me fit même ma première branlette espagnole avec ses deux obus. Finalement, le rapport n'a pas duré longtemps, sous le coup de l'excitation et du manque je suis parti au bout de 10mn, au premier abord ça n'a pas eu l'air de la déranger car elle avait gémit et j'avais senti son vagin se contracter fort et un liquide sortir un peu pendant nos ébats, on avait continué juste après ça jusqu'à ce que je jouisse en elle à mon tour. En tout cas j'avais trouvé ça très fusionnel et elle qui ne dit jamais rien m'a précisé après coup que c'était super.

J'étais heureux ce soir là, un regain d'espoir m'envahissait. Le lendemain, elle prenait la route comme prévu avec ses amis. C'était un 13 juillet. Je m'en souviens bien, je vais vous expliquer pourquoi.

Elle est revenu deux jours après comme prévu, nous n'avons pas eu de rapport à son retour. Ni la semaine qui a suivi. Ni le mois qui a suivi. Ni les 6 mois suivant.

La situation avait empiré, au bout de plusieurs moi je doutais terriblement, avait elle franchi le pas lors de cette escapade ? M'avait elle trompé ? J'en suis venu à la questionner, puis un soir même, pratiquement prêt à la quitter. Mais je l'aimais trop. Je lui ai demandé d'être honnête, je lui ai juré être prêt à lui pardonner pourvu qu'elle soit franche avec moi.

Je la connais bien, je crois sincèrement qu'elle ne mentait pas quand elle me certifiait qu'il ne s’était absolument rien passé. Elle m'a aussi assuré que si un jour il se passait quoi que ce soit, elle me le dirait mais que de toute façons elle n'a jamais eu l'intention de me tromper et qu'elle n'en avait pas envie malgré notre situation d'abstinence.

Je l'aimais toujours, encore plus qu'avant, elle aussi me montrait, d'une autre façons, par d'autre geste, qu'elle m'aimait encore.

Pourtant, je souffrais et elle le voyait, cette impuissance me culpabilisait et m'humiliait. Je voulais au moins retrouver un peu d'intimité avec elle.
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9) Le "jeu"

Alors, on a commencé une sorte de "jeu". A défaut de pouvoir lui faire quoi que ce soit, je voulais qu'elle s'implique, elle ne me laissait même plus la regarder pour que je parte seul et ça c'était le signe que ma relation sexuelle avait touché le fond jusqu'à la roche. Je lui ai dis que ce n'était plus possible, que j'en souffrais beaucoup. Elle ne savait pas quoi répondre, alors je me suis allongé de mon coté du lit, allongé sur le ventre.

Elle a commencé à me caresser le dos, ça faisait du bien, je me suis laissé aller, mon excitation montait peu à peu puisqu'elle me touchait enfin. Je crois qu'elle ne l'avait pas remarqué et pour me détendre, elle est venu, nue, sur mon dos, s'allonger, comme si j'étais un matelas.

Ça ne m'a pas fait plus d'effet que ça jusqu'au moment où elle a commencé à remuer son bassin, je sentais sa vulve s'ouvrir sur ma fesse. Elle mimait une sodomie, elle faisait semblant et rigolais, je rigolais aussi. Toutefois, ça ne m'a pas laissé de marbre car j'ai senti qu'elle mouillait. Pourtant il n'y avait pas de raison, je me suis dis que son clitoris devait se frotter contre ma peau pendant ce type de mouvement et que ça lui plaisait.

Et ça m'excitait de plus en plus, j'ai donc relevé le bassin, comme pour qu'elle me prenne plus facilement alors qu'en réalité c'était juste pour dégager mon sexe qui était coincé sous mon ventre et qui devenait de plus en plus gros.

J'allais me retourner mais V a saisi cette occasion, je ne sais pas ce qu'elle a cru mais toujours est il qu'elle a saisi mes hanche avec ses deux mains et qu'elle m'a tiré vers elle, toujours dans cette position de levrette dans laquelle j'étais. Et elle a tâté mon engin avant de s'exclamer tout en rigolant "Hé bein ! Je te fais de l'effet on dirait ! Tu serais pas un peu homo?" sauf que non, je ne l'étais pas, mais vraiment pas, aucune attirance pour les hommes bien que cette situation de domination commençait à me plaire de plus en plus. Je lui ai donc dis d'arrêter que je m'en fichais et que c'était juste son contact, quel qu'il soit, qui me faisait de l'effet.

Elle ne m'a pas écouté et a continué à mimer une sodomie, tout d'abord tendrement, je me laissais faire, sans mentir c'était tout de même agréable cette sensation, et son contact. Puis, en voulant plus, mais toujours sans penser à autre chose que son corps, et toujours en maintenant ma position de levrette, je lui ai attrapé les fesses avec une mains et je parcourais sa jambe.

Je pense qu'elle a du prendre ça, encore une fois, pour autre chose qu'une simple caresse et elle a accéléré le mouvement jusqu'au point de claquer son bassin et sa vulve contre mes fesses. J'aimais beaucoup cette sensation de claquement et de dominé. Pourtant, je n'avais qu'une envie, c'était de me retourner, de la mettre ELLE en levrette et de la prendre sauvagement, comme jamais je l'avais prise. Mais au fond de moi je savais que c'était peine perdue et qu'elle me laisserait me finir tout seul à nouveau.

Alors plutôt que de subir une humiliation encore plus grande et souffrir à nouveau, j'ai préféré profité d'avoir enfin un moment d'intimité avec l'amour de ma vie pour me laisser porter par le rythme de ses coup de reins.

Moi qui avait longtemps adoré pénétrer les femmes dans cette position, moi qui ne voulait qu'une chose : prendre ma fiancée, moi je me retrouvais là, pris en levrette par ma conjointe qui mouillait et gémissait de me culbuter ainsi.

J'ai commencé à me masturber, sentant qu'elle jouissait je ne voulais pas me finir tout seul comme à une époque. Alors j'ai décidé de finir avant, j'ai jouis en 30 secondes après avoir commencé à me toucher. Quand elle l'a remarqué, elle a stoppé et est revenu s'allongé sur mon dos. Elle est resté là un moment. Je me suis retourné et elle s'est endormie dans mes bras.

J'avais tellement apprécié ce moment qui venait pallier à des mois de frustrations, que j'étais décidé à recommencer.

Nous n'avons plus eu aucun rapport pendant 6 mois à nouveau, mais régulièrement, elle venait se frotter contre moi de cette manière. Ça comblait parfois mes frustrations car au moins j'avais un contact physique avec ma moitié que j'aimais toujours autant.

Mais j'étais toujours triste. Au boulot, j'ai bien eu le droit aux avances de quelques femmes mais je n'ai jamais voulu aller plus loin, sauf une fois où l'une de mes collègue insistait au point de me caresser la nuque et les bras, à l'époque ou je n'avais aucun contact physique avec V et je vous avouerais que la tentation était grande, que j'y ai songé mais me rappelant le mal que j'avais subit lorsque M m'avait trompé dans ma jeunesse, je m'étais juré de ne jamais tromper les femmes avec lesquelles j'étais, alors encore moins celle que j'aimais profondément.

C'est pendant cette période, celle où V me "prenait", que j'ai abordé le sujet de l'échangisme pour la première fois. C'est aussi à ce moment que l'idée de candaulisme m'est venu à l'esprit bien que je ne savais pas que cette envie avait un nom. Je pensais être le seul.

En fait, à défaut de pouvoir la satisfaire et combler mon désir, je voulais au moins la voir heureuse, épanouie dans sa vie sexuelle. Alors je lui ai demandé ce qu'elle pensait d'aller en club libertin. Elle a d'abord refusé. Catégoriquement.

Puis j'ai insisté, de temps à autre on en parlait, l'idée à fait son chemin mais sans pour autant que ça se concrétise. Uniquement jusqu'au point qu'elle me dise "un jour, pourquoi pas, mais juste pour voir, pas plus!".

D'un côté j'en suis ravis car je crois que si elle avait tout de suite accepté, sans que je la "force" un peu, j'aurais été blessé, encore plus que je ne l'étais déjà. Entre temps elle m'avait autorisé quelque rapport "classique" qui m'avaient fait beaucoup de bien, mais pas autant pour elle.

Quoi qu'il en soit, pour d'autres raisons indépendante de notre volonté, nous avons dû récemment nous séparer, vivre chacun de notre côté. Le soir de notre "séparation", nous avions passé une nuit dans un hôtel à faire l'amour, c'était la meilleurs nuit que j'avais passé depuis plus d'un an.
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10) La séparation

Le soir de notre séparation, nous devions remettre le couvert pour "se dire aurevoir" mais elle s'est de nouveau refuser à moi, prétextant un mal de tête.

Finalement on s'est quitté comme ça, sans même faire l'amour d'une façon ou d'une autre. Mais on a maintenu le contact et nous sommes toujours fidèle l'un à l'autre. Je lui ai précisé en partant qu'elle pouvait couché avec d'autres hommes si elle voulait, à condition qu'elle me raconte tout si ça arrivait.

Je lui ai dis ça en pensant que, peut être, un autre arriverait à la libérer sexuellement ou au moins à lui fournir une expérience autre que moi et son ex, les deux seuls hommes qu'elle ai jamais connu. Pourtant, je ne voulais pas ça, je voulais que ce soit moi qui le fasse, que ce soit moi l'homme qui la rende heureuse, à 100%, mais il fallait se rendre à l’évidence, je n'y étais jamais vraiment parvenu sur le plan du sexe.

Elle m'a dit qu'elle ne le ferait pas, malgré mon autorisation, j'ai eu beau insister elle m'a juste laissé entendre que si elle était vraiment trop en manque, peut être, mais sans garantie.

Vu que je ne l'avais jamais vraiment vu "en manque", je doutais de ses paroles.

Notre séparation a été bénéfique, puisque plus les jours passaient, plus on s'appelait, on se manquait. C'est vrai qu'en y repensant, depuis le jour de notre rencontre, jusqu'au jour de cette séparation, nous ne nous étions jamais quitté plus de deux ou trois jours, et c'était arrivé très rarement.

Elle devenait coquine au téléphone, et me chauffait, allant jusqu'à m'envoyer des photo d'elle en petite tenue et me demandant de lui envoyer des photo de moi en érection.

J'étais un peu libéré d'un poids, ma frustration avait diminué avec la distance car, comme elle n'était pas prêt de moi en permanence, je n'étais pas tenté par son corps sublime au jour le jour.

Je devenais donc un peu plus distant avec elle, je crois que ça l’émoustillait de savoir que je me passais d'elle.

Pourtant, dans ce même laps de temps, j'en venais à fantasmer de la voir dans les bras d'un autre, prise de plaisir, prête à se donner à un homme même si ça devait en être un autre. J'ai commencé à me questionner sur ce genre d'envie que je trouvais déroutante, j'en venais à me masturber à cette idée et je m'en voulais et culpabilisait après avoir jouis rien qu'en l'imaginant dans les bras d'un autre. Je consultais les forum, internet, les sites libertins et me rendait compte que je n'étais pas seul à avoir ce désir si spécial. L'idée se concrétisait au point que j'ai discuté avec un homme de sa région, pour savoir si il accepterait de draguer V, je lui échangeais quelques photo, en prenant soin de masque la visage de ma tendre conjointe, sans aller plus loin toutefois, ayant pris peur au moment ou ça semblait se concrétiser.
#1287819
11) Le retour

Ensuite, on a décidé, 4 mois après notre séparation, de se revoir. Je suis donc revenu chez elle, pour plusieurs jours. C'était temporaire, mais on s'est retrouvé comme jamais. Le soir même elle m'a sauté dessus, je l'ai embrassé langoureusement, sur les sein, d'abord je lui léchais les tétons, qui durcissaient, elle me rendait mon baisé et s'est même autorisé à pratiquement me sucer, elle n'a pas touché au gland mais a léché le reste de ma queue. Tendrement.

On s'aimait encore, on se manquait, et en plus je découvrais ma petite V comme jamais je ne l'avais vu avant, entreprenante, sauvage presque et tendre à la fois. Elle me montait dessus et je sentais qu'elle mouillait. J'avais repris confiance en moi, l'éloignement m'avait fait oublié l'humiliation de ne pouvoir la satisfaire alors je l'ai pilonné sans penser à autre chose.

Ça a durer longtemps, mais pas aussi longtemps que quand j'étais plus jeune, c'était tout de même torride, c'était doux aussi. Elle s'était rasé le minou complètement et elle se foutait de couler partout sur les draps. Malgré mon excitation extrême je n'ai pas jouis tout de suite, j'ai attendu et me suis contrôlé pour qu'elle jouisse d'abord. Et ça n'a pas manqué, je sentais qu'elle n'avait plus mal, qu'elle se laissait allé, ses contraction étaient différentes, son bassin bougeait vraiment au rythme de son plaisir, elle ne simulait plus.

J'étais aux anges, ça a duré comme ça 4 jours de suite. Puis, un doute me hanta subitement, m'avait elle trompé ? Était ce la raison de ce changement d'attitude au lit ? Ou bien était ce la distance qui l'avait changé ?

Au cinquième jour, sous la douche, elle s'appuya contre moi, ses fesses étaient toujours aussi ronde et moelleuse, elle s'était embellie, elle avait perdu beaucoup de poids sauf dans les fesses qui étaient resté bien lisses et tendres.

Comme elle se frottait contre moi, mon excitation grimpait, elle sentait et a mimé une pénétration, mais subitement elle s'est interrompue, prétextant que c'était juste pour me faire "un peu" de bien sans aller jusqu'au bout.

Mais c'était trop, j'étais pris d'une envie inébranlable (c'est le cas de le dire :roll: ) et à la sortie de la douche, après l'avoir séché, ce qui m'excitait encore plus, je l'allongeais sur le lis, dans une position de missionnaire, elle ne voulait pas vraiment faire l'amour tout de suite mais se laissa faire, cette passivité soudaine de sa part, après 4 jours d'amour intense, me rappela la douleur de notre relation et j'ai pris peur.

Je pensant qu'elle ne voulait pas, pour ne pas l'ennuyer, je lui ai dit qu'on remettrait le couvert ce soir et elle a approuvé. Mais l'excitation aidant, lorsqu'elle a voulu se lever le frottement m'a fait jouir, très fort, j'ai jouis encore plus que pendant nos ébats sauvages.

Elle m'a regardé tendrement, le mal était fait, je me sentais à nouveau humilié de n'avoir pu me retenir malgré l'endurance dont j'avais fait preuve les jours précédents et elle l'avait remarqué. Le soir même, bien qu'elle avait promis de remettre le couvert, il n'en fut rien. Elle se sentait "fatigué" et a promis de remettre au lendemain.

Je sentais bien que j'avais tout fait foiré. Le lendemain, se refusant de nouveau à moi et voyant ma frustration, elle me proposa de me prendre en levrette comme avant. J'étais trop excité d'avoir attendu toute la journée et de l'avoir désiré autant que je n'ai pas pu lui refuser.

Elle me pris alors, et je me masturbais en même temps. Cette fois elle ne mouillait pas, elle le faisait mécaniquement bien que je remarquais qu'elle y mettait du cœur, avec l'excitation et l'envie de me soulager devenant urgente, je jouissais à nouveau pathétiquement en 5 minutes.

Tout redevenait comme avant, je m'en voulais tellement. Elle me prenait comme ça, chaque matin, pour me calmer durant la journée. Le jour où je suis arrivé elle s'était d'ailleurs prise tout un tas de tenues sexy pour me faire plaisir. Je me suis dis que c'était dommage. Alors j'ai repensé à cette idée de club libertin, je lui ai de nouveau proposé, et elle m'a dit oui, elle m'a dit ok nous irons dans la semaine mais il ne se passera rien, on regarde et c'est tout. Pourtant, au dernier moment, le jour même elle m'a dit qu'elle avait ses règles en avance et que ça tombait mal pour aller au club. Effectivement, j'ai vu son petit ventre gonflé caractéristique et elle avait vraiment mal au ventre. Je n'ai donc pas insisté.

Bien entendu, je respecte ces périodes là et je me débrouille tout seul dans ces cas là pour ce qui est de me satisfaire. Je voulais aussi toujours lui faire plaisir et la faire jouir mais il fallait remettre ça a plus tard.

La fin de mon passage chez elle arrivait, et quand on pouvait à nouveau envisager cette fameuse soirée, il y a eu un dégâts des eaux, m'obligeant à partir plus tôt que prévu.
#1287820
12) End of the line

Du coup, me voila, revenu ici, avec mes doutes et mes envies, à étaler ma vie sur un forum, au yeux de tous pour être jugé, conseillé, ou même juste être lu.

Je me sens un peu mal d'en parler comme ça mais c'est aussi un grand soulagement. Depuis que je suis revenu chez moi, loin de ma fiancée, mes envie candauliste sont revenues aussi.

D'un côté je me rend compte que toute ces frustrations ont peu à peu détruit mes performances, au point que je m'en sente humilié, d'un autre côté je veux voir ma moitié heureuse et épanouie sexuellement. Même si c'est dans les bras d'un autre.

Mes craintes sont qu'elle tombe amoureuse d'un amant, qu'elle me quitte réellement, nous avons pour projet de nous remettre ensemble dès que possible et de fonder un foyer, j'ai peur de l'avenir, j'ai perdu toute confiance en moi alors que je n'en manquais pas il y 6 ans.

Et j'ai peur de ne pas supporter la voir dans les bras d'un autre, peur aussi qu'elle perde le respect qu'elle a pour moi si je la laisse entre les mains d'un homme plus doué. Mais aussi excité à cette idée.

Dois je franchir le cap ? Dois je tenter de la convaincre ? Allons nous en souffrir ? Je ne veux pas briser notre couple, je l'aime tant.


Voilà, si il y a eu des courageux qui m'ont lu jusqu'au bout, alors déjà bravo, et ensuite : vous connaissez toute l'histoire de ma vie sentimentale. Si vous avez des avis, un mot, quoi que ce soit, n'hésitez pas.

PS: Désolé pour les fautes, j'ai écris ça d'une seule traite et ne me suis relu qu'une fois.


****
#1287821
Version courte :

1) J'ai connu ma première fois avec une femme plus âgée et expérimentée, elle avait déjà quelqu'un dans sa vie. Elle a été aussi mon premier grand amour et une grande passion sexuelle et mentale, elle a fini par me tromper, plusieurs fois, j'ai eu du mal à m'en remettre. Puis elle m'a quitté.

2) J'ai connu quelque autres femmes ce qui m'a guérit de mon premier amour, je suis plutôt doué au pieu avec mes diverses partenaire. J'aime donner du plaisir, arriver à mes fins.

3) Je rencontre ma fiancée actuelle, elle a des soucis avec moi au lit et je ne parviens pas à la satisfaire, ce qui ne m'était jamais arrivé. J'en viens a en souffrir cruellement, j'arrive finalement à la faire jouir un jour mais avec les mains uniquement, je découvre qu'elle est une femme fontaine mais par la suite elle me prive de contact physique pendant 6 an après un voyage avec des amies et pendant 6 autre mois nous avons des relations physiques très limité, qui se concrétise par de simple caresse. De part cette souffrance j'en arrivais à jouir très vite, trop vite, lors des peu de rapport réel que nous avions.

4) Je me rend compte que je n'arrive à rien, pour des raisons tout à fait différente nous devons vivre séparément de manière temporaire, elle me manque et je lui manque. Je pense au candaulisme pour que ma conjointe connaisse une vraie satisfaction mais en même temps j'ai peur de la perdre.

5) Nous nous retrouvons plusieurs semaines après 4 mois de séparation, c'est torride et fantastique les premiers jours, mais après une grande excitation j'ai jouis trop vite lors d'un début de rapport et après ça nous sommes revenu en arrière dans la relation et nous nous contentons de nouveau de simple "caresses". Je propose d'aller en club libertin, elle accepte mais refuse qu'il s'y passe quoi que ce soit. Pour diverses raisons ça ne se concrétise pas et je retourne chez moi.

6) Nous prévoyons de nous revoir et de fonder un foyer, j'ai peur de retomber dans la même situation malgré que je l'aime encore plus qu'au premier jour. Je pense au candaulisme mais j'ai des doute et j'ai peur, j'ai perdu confiance en moi. Et je pose sur ce forum pour recueillir vos impressions et surtout me libérer de tout mon ressentit en écrivant mon histoire.
#1287822
Comme je ne peux pas éditer les post, juste pour correctif :

A la fin du chapitre 9, il faut ajouter [jour précédent le], ce qui donne :

Le [jour précédent le] soir de notre "séparation", nous avions passé une nuit dans un hôtel à faire l'amour [...]


Désolé pour l'oubli. J'ai passé 3 heures à écrire tout ça, il est tard et j'avoue être peu concentré. Il y a aussi quelque fautes de frappe mais qui n'ont pas d'incidence sur le récit, j'ai trouvé que cette partie méritait clarification car ça peut porter à confusion au chapitre suivante.


***

Bonus :

J'en profite pour rajouter un passage qui a peut être son importance, mais V m'a aussi avoué un jour, pendant la période ou nous avions des rapport régulier mais sans pénétration, qu'après avoir repris contact avec une amie lesbienne elle était tombé amoureuse d'elle, qu'elle voulait la voir.

L'idée m'excitait mais si elle le faisait, je voulais être présent, je voulais la voir avec cette fille mais je ne voulais pas que ça casse notre couple. Elle m'a assuré que non, que malgré ses sentiments pour cette fille, qu'elle ne l'aimait pas autant que moi mais qu'elle voulait tenté l’expérience d'être avec une femme, elle ne m'autoriserait toutefois pas à être présent, qu'elle me raconterait à son retour.

Les choses ne sont pas produites ainsi, finalement son amie lesbienne s'était mise en couple avec quelqu'un d'autre avant que ma fiancée n'ai eu le temps de lui avouer ses sentiments.

Elle a un peu déprimé pendant quelques jours mais m'a précisé, qu'au final, c'était simplement une passade et qu'elle s'en serait voulu d'avoir couché avec.


J'ai donc tourné la page de cette histoire assez rapidement à l'époque.
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par Valentin84
#1287823
Malgré mon insomnie du jour, je vais être honnête, je suis passé du chapitre 1 au dernier.
Donc si j'ai bien compris, avant tu étais performant avec tes anciennes relations et avec ta fiancée actuelle ce n'est plus le cas ?....entre autre parce que tu jouis vite ?
#1287824
Valentin84 a écrit :Malgré mon insomnie du jour, je vais être honnête, je suis passé du chapitre 1 au dernier.
Donc si j'ai bien compris, avant tu étais performant avec tes anciennes relations et avec ta fiancée actuelle ce n'est plus le cas ?....entre autre parce que tu jouis vite ?


Oui, pour être sommaire c'est plutôt ça.

Avec ma fiancée au début on avait des rapport fréquent donc j'étais performant en soit mais je ne pouvais pas lui faire l'amour longtemps car elle avait mal lors de nos rapport.

Du coup, la fréquence a baissé, et par obligation je les écourtais jusqu'au point ou finalement les peu de rapport que j'avais avec elle je jouissais vite. Ma plus grande frustration a été de ne pas réussir à la faire jouir vraiment, sauf avec mes mains et ma langue mais la situation a fini tout de même par se dégrader au point d'en arriver a une longue abstinence.

On s'est séparé, retrouvé et tout allait bien les premier jours, mais rebelote après une grosse excitation j'ai jouis rapidement et tout s'est rapidement retrouvé au stade ou en était avant la séparation.
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par Valentin84
#1287826
Et puis question importante : c est idée de candaulisme c est surtout pour satisfaire un éventuel futur fantasme de ta part ou surtout pour que ta chérie soit épanouie sexuellement même si ça passe par le fait qu'elle le soit avec d'autres hommes ?...ce qui serait tout à ton honneur, c est important de se soucier du plaisir de la/sa femme....il y a tellement d'hommes égoistes et/ou qui se prennent pour des bons baiseurs qu'ils ne sont pas (c est pas moi qui l'invite, ,c est des paroles de femme) et qui ne comblent pas leurs partenaires.........
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par Valentin84
#1287828
Valentin84 a écrit :Et puis question importante : c est idée de candaulisme c est surtout pour satisfaire un éventuel futur fantasme de ta part ou surtout pour que ta chérie soit épanouie sexuellement même si ça passe par le fait qu'elle le soit avec d'autres hommes ?...ce qui serait tout à ton honneur, c est important de se soucier du plaisir de la/sa femme....il y a tellement d'hommes égoistes et/ou qui se prennent pour des bons baiseurs qu'ils ne sont pas (c est pas moi qui l'invite, ,c est des paroles de femme) et qui ne comblent pas leurs partenaires.........


....pardon pour la faute, je voulais dire " c est pas moi qui l'invente"
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par Valentin84
#1287829
Chaque personne,chaque couple est différent, tout comme les motivations et les chemins empruntés pour en arriver au candaulisme.........par conséquent il n y pas de recette miracle.
Quand il y a des problèmes dans le sexe, comme au quotidien, faut arriver à s expliquer les choses sans aucune gêne et sans aucun tabou....ça permet de résoudre beaucoup de choses....
As tu déjà eu des conversations sérieuses et constructives sur le sexe avec ta chérie, depuis qu'il y a des soucis j'entends ?
#1287830
Valentin84 a écrit :Pour commencer, as tu testé une bonne masturbation avec éjac avant un rapport avec ta chérie ?.....genre la veille, qq heures avant ou juste avant ?


Disons que pour elle, comme elle avait mal, plus ça se finissait vite mieux c'était du coup c'était plutôt l'inverse, il fallait que je jouisse vite.

Ce n'est qu'une fois que j'arrivais à la faire jouir avec mes mains et ma langue que le problème se posait mais plus pour moi que pour elle car de toute façon à ce moment de nos vie elle ne voulait pratiquement que des cunni/doigtements, elle avait toujours mal lors des pénétrations.

Ensuite vint la période d'abstinence, sans contact physique. Il y a bien eu quelques rare rapport par la suite mais bien que je me masturbais régulièrement ça n'y changeais rien, c'était si rare que je jouissais vite.

A nos retrouvailles, j'ai réussi à la faire jouir avec ma bite et j'avais plus du tout ce soucis d'endurance et visiblement elle n'avait plus mal, il y a eu juste un incident ne se serait pas reproduit je pense, vraiment le coup d'une grosse excitation mais après ce faux pas elle a refusé tout autre rapport donc je n'ai pas vraiment eu la chance d'essayer à nouveau quoi que ce soit.
#1287833
Valentin84 a écrit :Chaque personne,chaque couple est différent, tout comme les motivations et les chemins empruntés pour en arriver au candaulisme.........par conséquent il n y pas de recette miracle.
Quand il y a des problèmes dans le sexe, comme au quotidien, faut arriver à s expliquer les choses sans aucune gêne et sans aucun tabou....ça permet de résoudre beaucoup de choses....
As tu déjà eu des conversations sérieuses et constructives sur le sexe avec ta chérie, depuis qu'il y a des soucis j'entends ?


Pour répondre à ta question, oui c'est principalement pour que ma femme puisse s'épanouir, je veux qu'elle connaisse la jouissance qu'elle mérite. Moi, le fantasme c'est secondaire, c'est devenu un fantasme plus pour éviter d'en souffrir si j'en venais un jour à la voir dans les bras d'un autre.

Si j'avais une baguette magique je voudrais être celui qui la comble sexuellement et la rende heureuse; vu que je n'y arrive pas j'en viens à avoir des envie candauliste. Mon plus grand plaisir c'est de voir la femme que j'aime en prendre, justement, du plaisir. Et ça n'a été que trop rarement le cas dans mes bras. Pour de multiples raisons exposé dans mon topic et certainement d'autre qui m'ont peut être échappé.


Au début, les premières années, elle refusait d'en parler, elle me disait que c'était rien, qu'elle était pas porté sexe en plus du fait qu'elle avait mal.

C'est qu'après les première fois ou j'arrivais à la faire jouir à "la main", qu'on en a discuté sérieusement, rien de vraiment concret n'en est ressorti. Elle le voyait pas autant comme un problème que moi, bien que j'en souffre de ne pas lui apporter de plaisir, mais aussi, de manière plus égoïste, de ne pouvoir avoir des rapport avec celle que j'aime.

Sa libido a été très variable, allant d'un extrême à l'autre, donc je sais plus sur quel pied danser, est ce vraiment moi qui me prend la tête pour rien ? Est ce si peu important qu'elle vive sans plaisir charnel réel et intense ? Je pense que c'est important pour l'équilibre d'un couple mais c'est possible aussi que j'y accorde trop d'importance.
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par Valentin84
#1287834
boomerangducoeur a écrit :
Valentin84 a écrit :Pour commencer, as tu testé une bonne masturbation avec éjac avant un rapport avec ta chérie ?.....genre la veille, qq heures avant ou juste avant ?


Disons que pour elle, comme elle avait mal, plus ça se finissait vite mieux c'était du coup c'était plutôt l'inverse, il fallait que je jouisse vite.

Ce n'est qu'une fois que j'arrivais à la faire jouir avec mes mains et ma langue que le problème se posait mais plus pour moi que pour elle car de toute façon à ce moment de nos vie elle ne voulait pratiquement que des cunni/doigtements, elle avait toujours mal lors des pénétrations.

Ensuite vint la période d'abstinence, sans contact physique. Il y a bien eu quelques rare rapport par la suite mais bien que je me masturbais régulièrement ça n'y changeais rien, c'était si rare que je jouissais vite.

A nos retrouvailles, j'ai réussi à la faire jouir avec ma bite et j'avais plus du tout ce soucis d'endurance et visiblement elle n'avait plus mal, il y a eu juste un incident ne se serait pas reproduit je pense, vraiment le coup d'une grosse excitation mais après ce faux pas elle a refusé tout autre rapport donc je n'ai pas vraiment eu la chance d'essayer à nouveau quoi que ce soit.


si elle a mal un gynéco peut peut être lui donner des explications.....et avec ses anciens patenaires ça arrivait ?
#1287836
Valentin84 a écrit :
si elle a mal un gynéco peut peut être lui donner des explications.....et avec ses anciens patenaires ça arrivait ?


Elle n'a connu qu'un seul autre homme à part moi, elle n'a jamais rien ressenti avec lui d'après ses dires, elle m'a dit que son pénis était beaucoup trop petit et qu'elle ne le sentait pas en elle, que ça l'a beaucoup déçu de ce qu'elle s'imaginait sur le sexe.

C'était aussi une des raisons pour lesquelles j'avais envie qu'elle essaye un autre homme.

Et elle a consulté un gényco après 2 ans de vie commune, à forcer d'insister, j'étais pas encore sur d'où venait le problème, après avoir éliminé d'autre possibilité elle s'est rendu voir ce médecin qui lui a confirmé que tout était en ordre. Elle lui a longuement parlé de ses problème, qui d'après elle sont bien réel, mais le gynéco n'a rien dit de plus qu'elle ne voyait pas de quoi il s'agissait. Des test sanguins et d'autres osculations n'ont rien donné non plus.

A noter qu'après toutes ces années de vie commune la seule fois ou elle n'a pas eu mal c'est quand je l'ai retrouvé après notre séparation et que nos rapport se sont bien passé les premiers jours.
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par Valentin84
#1287838
boomerangducoeur a écrit :
Valentin84 a écrit :Chaque personne,chaque couple est différent, tout comme les motivations et les chemins empruntés pour en arriver au candaulisme.........par conséquent il n y pas de recette miracle.
Quand il y a des problèmes dans le sexe, comme au quotidien, faut arriver à s expliquer les choses sans aucune gêne et sans aucun tabou....ça permet de résoudre beaucoup de choses....
As tu déjà eu des conversations sérieuses et constructives sur le sexe avec ta chérie, depuis qu'il y a des soucis j'entends ?


Pour répondre à ta question, oui c'est principalement pour que ma femme puisse s'épanouir, je veux qu'elle connaisse la jouissance qu'elle mérite. Moi, le fantasme c'est secondaire, c'est devenu un fantasme plus pour éviter d'en souffrir si j'en venais un jour à la voir dans les bras d'un autre.

Si j'avais une baguette magique je voudrais être celui qui la comble sexuellement et la rende heureuse; vu que je n'y arrive pas j'en viens à avoir des envie candauliste. Mon plus grand plaisir c'est de voir la femme que j'aime en prendre, justement, du plaisir. Et ça n'a été que trop rarement le cas dans mes bras. Pour de multiples raisons exposé dans mon topic et certainement d'autre qui m'ont peut être échappé.


Au début, les premières années, elle refusait d'en parler, elle me disait que c'était rien, qu'elle était pas porté sexe en plus du fait qu'elle avait mal.

C'est qu'après les première fois ou j'arrivais à la faire jouir à "la main", qu'on en a discuté sérieusement, rien de vraiment concret n'en est ressorti. Elle le voyait pas autant comme un problème que moi, bien que j'en souffre de ne pas lui apporter de plaisir, mais aussi, de manière plus égoïste, de ne pouvoir avoir des rapport avec celle que j'aime.

Sa libido a été très variable, allant d'un extrême à l'autre, donc je sais plus sur quel pied danser, est ce vraiment moi qui me prend la tête pour rien ? Est ce si peu important qu'elle vive sans plaisir charnel réel et intense ? Je pense que c'est important pour l'équilibre d'un couple mais c'est possible aussi que j'y accorde trop d'importance.


Ca n'engage que moi, mais c'est VITAL le sexe et le plaisir sexuel pour la solidité et la longévité du couple.....alors crois moi tu fais bien de t'en soucier.

Eventuellement du candaulisme avant tout pour elle, pour qu'elle soit épanouie......c est bien ça c est tout à ton honneur comme je te disais précédemment......

Tu disais " c est plus un fantasme pour éviter d'en souffrir " ....je te comprends mais dans toutes pratiques sexuelles il faut que chacun y trouve son compte et prenne du plaisir même s il est différent de son/sa compagne.....même si tu veux qu'elle soit épanouie ta chérie si demain elle acceptait d'aller baiser ailleurs et que toi tu en souffres, c est pas bon non plus car tu te retrouves devant un nouveau problème......

Le candaulisme quelque soit les motivations, ça reste particulier comme pratique....

Avant de lui parler de ça et que l'idée fasse son cheminement dans sa tête à elle, il faut que le cheminement se fasse aussi dans ta tête à toi.....le candaulisme doit t'apporter quelque chose de positif, je me répète, sinon tu ne feras qu'en souffrir....

Les envies et les fantasmes évoluent avec les années, il y a quelques années tu m'aurais parlé de candaulisme, je t'aurais emmené direct à l'asile.........à ce jour c'est l'inverse......

Dans l'immédiat, un maitre mot : réfléchir et ne pas précipiter les choses........
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par Valentin84
#1287840
Concernant son vécu sexuel, effectivement c est plus que light....elle a quel âge d'ailleurs ?

Si un jour tu étais prêt à franchir le pas (ce qui n'est pas le cas actuellement pour les raisons que je t ai évoqué plus haut) et si elle aussi était prête....ça serait interressant qu'elle essaye avec un autre homme....

Mais ce jour là, il faudrait VRAIMENT trouver un partenaire de qualité, qui soit attentif,attentionné, délicat,qui se soucie avant tout de son plaisir, quelqu'un d'expérimenté et libertin avec tout ce que ça sous entend en matière de respect,courtoisie et bonnes manières.....et surtout pas un bouffon qui se prends pour ce qu'il n'est pas...

Et si celà arrive, ben restera à faire un bon débriefing et voir...........
#1288125
Valentin84 a écrit :

Ca n'engage que moi, mais c'est VITAL le sexe et le plaisir sexuel pour la solidité et la longévité du couple.....alors crois moi tu fais bien de t'en soucier.

Eventuellement du candaulisme avant tout pour elle, pour qu'elle soit épanouie......c est bien ça c est tout à ton honneur comme je te disais précédemment......

Tu disais " c est plus un fantasme pour éviter d'en souffrir " ....je te comprends mais dans toutes pratiques sexuelles il faut que chacun y trouve son compte et prenne du plaisir même s il est différent de son/sa compagne.....même si tu veux qu'elle soit épanouie ta chérie si demain elle acceptait d'aller baiser ailleurs et que toi tu en souffres, c est pas bon non plus car tu te retrouves devant un nouveau problème......

Le candaulisme quelque soit les motivations, ça reste particulier comme pratique....

Avant de lui parler de ça et que l'idée fasse son cheminement dans sa tête à elle, il faut que le cheminement se fasse aussi dans ta tête à toi.....le candaulisme doit t'apporter quelque chose de positif, je me répète, sinon tu ne feras qu'en souffrir....

Les envies et les fantasmes évoluent avec les années, il y a quelques années tu m'aurais parlé de candaulisme, je t'aurais emmené direct à l'asile.........à ce jour c'est l'inverse......

Dans l'immédiat, un maitre mot : réfléchir et ne pas précipiter les choses........


Oui, je vais prendre le temps d'y penser, je ne sais pas du tout comment je réagirais si ça se concrétisait un jour mais je m'en veux aussi beaucoup de ne pas pouvoir la combler et ça me ronge.

Encore une fois, l'idée m'excite aussi mais pas au point de dépasser mes craintes pour l'instant.

Valentin84 a écrit :Concernant son vécu sexuel, effectivement c est plus que light....elle a quel âge d'ailleurs ?

Si un jour tu étais prêt à franchir le pas (ce qui n'est pas le cas actuellement pour les raisons que je t ai évoqué plus haut) et si elle aussi était prête....ça serait interressant qu'elle essaye avec un autre homme....

Mais ce jour là, il faudrait VRAIMENT trouver un partenaire de qualité, qui soit attentif,attentionné, délicat,qui se soucie avant tout de son plaisir, quelqu'un d'expérimenté et libertin avec tout ce que ça sous entend en matière de respect,courtoisie et bonnes manières.....et surtout pas un bouffon qui se prends pour ce qu'il n'est pas...

Et si celà arrive, ben restera à faire un bon débriefing et voir...........


Elle a un an de moins que moi, après oui, au delà du cap à franchir encore faut il trouver un partenaire idéal pour elle, là j'en suis pas encore au stade où j'y ai pensé. J'avais pris contact avec un homme pour qu'il la drague mais j'ai rapidement abandonné l'idée, ne sachant pas ce sur quoi ça risquait de déboucher. Je pense avoir bien fait en n'ayant pas été plus loin.


Merci d'avoir pris le temps de me lire et me répondre, ça fait du bien de pouvoir en discuter.


Bonne journée.
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par Valentin84
#1288399
Evidemment que tu as bien fait d'abandonner vite l'idée....c'est mettre la charrue avant les boeufs....
Comme je t ai dit, les choses doivent être dans cet ordre :
1) que toi tu prennes du plaisir dans ce genre de jeu, faut pas que ça soit une contrainte
2) tu en parles à ta chérie, longtemps s'il faut
3) si elle est ok, tu engages les recherches

A+
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par Candaul84
#1288693
boomerangducoeur a écrit :Merci d'avoir pris le temps de me lire et me répondre, ça fait du bien de pouvoir en discuter.
Beau récit. Pour ce qui est de l'éjaculation un peu précoce, tu n'es pas le seul, ça peut arriver et plus on y pense plus ça arrive vite :(
Il faut réussir à reprendre confiance en soi et ça, tu ne peux le faire qu'avec l'aide de ta compagne.
Est-ce que vous vous parlez franchement de vos problèmes sexuels ? Il y a t il du dialogue entre vous ?
C'est le plus important, pouvoir expliquer à l'autre ses problèmes est essentiel dans un couple.

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