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C'est dans cette section du forum que nous abordons le candaulisme de façon approfondie et réfléchie. Vous êtes invités à engager une discussion sur ce sujet, à poser toutes les questions que vous souhaitez aborder et partager avec les autres membres coquins de ce site. Chacun est libre d'exposer en détail son approche du candaulisme au sein de sa relation de couple. Aucune interrogation n'est prohibée, n'hésitez donc pas à contribuer activement aux différents fils de discussion proposés.

Nous comptons sur votre participation enthousiaste pour échanger de manière constructive sur cette pratique singulière qu'est le candaulisme. Qu'il s'agisse de témoignages personnels, de questions sur les techniques à adopter, les limites à respecter, les plaisirs à explorer ou encore les éventuelles difficultés à surmonter, toute contribution permettra d'enrichir notre réflexion commune sur ce sujet passionnant.

Que vous soyez candauliste occasionnel, candauliste convaincu ou simple curieux, votre avis nous intéresse. Racontez-nous comment vous en êtes arrivé à vouloir partager l'intimité de votre partenaire, ce que vous en retirez comme satisfactions, les sentiments que cela éveille en vous. Interrogez-nous sur les aspects qui vous semblent obscurs ou problématiques. Ensemble, nous parviendrons à dissiper bien des malentendus au sujet de cette pratique et à en comprendre toutes les subtilités.

Le candaulisme est une facette de la sexualité humaine qui mérite d'être considérée sans préjugés ni tabous. C'est ce à quoi nous nous employons dans cette section, avec comme seul mot d'ordre la liberté d'expression et l'ouverture d'esprit. Alors, que les discussions les plus franches et les confidences les plus brûlantes commencent ! Nous sommes ici pour écouter, conseiller, rassurer et surtout partager notre goût pour le candaulisme.
#95814
[quote=car ce sujet risque vite de devenir une grande foire à la broquante et cela risque de friser avec les règles élémentaires de la morale internet de base. ..............................De plus, réserver ce topic aux demandes ou témoignages des couples me semble une bonne idée car il n'en sera que plus exitant et plus intéressant à lire.
Tout ceci n'engage que moi.[/quote]

Je crains hélas que couple 75 n'est eu raison ... une foire à la brocante, dommage le sujet est interessant et mérite mieux..
#95820
Bjr,

Pas de témoignage plus intéressant que ceux ci-dessus pour notre part, mais par contre une certitude, dans au moins deux ou trois témoignages il s'agit bien sans contexte de Proxénétisme, et même aggravé pour l'un deux ..
Mieux vaut éviter tout écrits dans ces cas là ....
sourires.
#96675
Ce que l'état n'aime pas, c'est le fric non déclaré qui échappe aux impôts et donc bien les dames qui accumulent espèces sonnantes et trébuchantes non déclarées.

Dans le cadre d'un service manuel (plomberie, ramonage...) effectué hors du cadre professionnel et sans rémunération, il s'agit d'un service.

Je ne vois pas ce que la loi peut y opposer, hormis peut être l'incitation à la débauche ?
#96682
D'un point de vue juridique, c'est limpide.
Soit la contrepartie est symbolique, et cela reste un jeu.
Si la contrepartie ne l'est pas c'est de la prostitution, et donc du proxénétisme.

Encore faut il se retrouver devant le juge, et que celui-ci retienne la qualification pénale. :|
#96832
Couple75 a écrit :Pour une incitation à la débauche, il faudrait inciter une personne qui ne l'est pas à se débaucher. Comme sœur Thérésa ou ma voisine ?
Ceci étant, dans notre cas, comme celui de tout ceux qui fréquentent ce forum, il n'y a pas grand chose à inciter :)
NOUS SOMMES DES DÉBAUCHÉS HEUREUX DE L ÊTRE :)

lol
certains plus que d autres :lol: :lol: :lol:
#98558
cpledu34 a écrit :Nous avons également ce fantasme : mme faisant la vraie p..e un soir dans un coin en voiture où son " client " viendrait la baiser sur le capot de la voiture ou contre un arbre ....mme sans culotte en cuissarde comme les vraies!! mais jamais réalisé à ce jour car pas évident du tout à ce qu'on peut lire sur ce forum.


Détrompez vous réaliser ce fantasme occasionnellement est beaucoup plus facile qu'on ne le croit.
#110873
Hé bien moi, comme je vis seule, je me suis échangée toute seule...contre des pneus ! Je n'e n'avais pas la nécessité financière, c'était un jeu. je l'ai fait une fois, je ne le ferai sans doute pas deux !

En voici le récit, tel que rédigé dans mon blog :

En début de mois, vous vous souvenez, j’avais été « dépannée » par un homme très laid, mais très « serviable ». Comme il avait mon numéro de portable, communiqué par l’Assistance pour me retrouver sur la route, il n’arrête pas depuis de me relancer, pour recommencer.
Mais comme je le dis souvent, pour moi, c’est une fois, et puis, basta.

Toujours est-il qu’il m’a encore appelée hier. J’ai profité de cela pour lui demander où trouver les pneus les moins chers de la place. Il a réfléchi, et m’a proposé de me rappeler plus tard.

Ce qu’il a fait une heure après.
Il m’a indiqué un garage et m’a demandé :
« Es-tu prête à payer de ta personne ?
- Ca dépend, du lieu, de qui demande quoi…
- Tu verras, si tu es ok, fais un signe au patron. Il saura de quoi tu parles. »

Bon, je savais à quoi m’attendre, et cette possibilité me faisait déjà mouiller... Je compte bien profiter de mes trois derniers jours de liberté pour continuer mon overdose de sexe.

Je me rends donc dans le garage indiqué. Là, tous les volets roulants sont clos, sauf un. Je rentre, cinq hommes sont là. Tous des mécanos, au vu de leurs tenues et de leurs mains bien noires de graisse…
Ce que je vois me convient. Ils ont des bonnes tètes. Je me fais peut-être des idées, mais je suis sure d’en voir un bander…

La patron s’approche, me demande de le suivre près de la voiture, pour la taille des pneus. Il me glisse à l’oreille :
« Pour vous, c’est gratuit, Jo m’a parlé de vos talents. Vous me proposez quoi ?
- Je m’exhibe, vos ouvriers me matent, se branlent, mais ne me touche pas. Ou juste de la langue. Leurs mains sont trop sales. Je ne les touche pas non plus. Pour vous, on fait la totale. Devant eux ou sans eux, comme vous voulez. Mais tenez-les !
- Ok, pas de soucis, ils obéiront. Je vous prends devant eux.
- Et aussi, j’exige la plus grande discrétion sur ce marché. Si un de vos mecs parle, je dis que vous m’avez violée…»

Il rentra, ordonna d’un ton sec de changer mes pneus. Jamais je n’ai vu cette opération se dérouler si vite !!!

Puis il prit une planche, un coussin trouvé dans le bureau, et les posa sur le pont.

Je compris où il voulait en venir. Je m’assis dessus, et il leva l’engin. Il le stoppa quand la planche fut à hauteur des yeux de tous. Je portais une jupe noire, ample, sans culotte dessous. Pas la peine, vu ce qui m’attendait !

J’étais assise à la hauteur de ces inconnus, et je devais leur en donner pour leur argent ! Le parton leur rappela brièvement les conditions, ils acceptèrent tous.
Alors, j’ouvris mes jambes, pour leur exposer ma chatte épilée trempée. Ils s‘approchèrent, et en baissant les yeux, je voyais qu’ils commençaient à se branler.

Jolie brochette de bites…

De voir leurs yeux exorbités m’a excitée à mort, tout autant que de les voir se masturber à fond. J’en ai fait autant, titillant mon clito, ouvrant largement ma fente à deux mains. Je coulais bien, trop excitée par la situation. J’ai toujours adoré m’exhiber comme ça.

Un des mecs, un chabin, se passait la langue sur les lèvres, je lui demandais donc de venir…
Il obéit immédiatement, et bonheur de la situation, avait sa langue pile à la hauteur de ma grotte. J’ouvris à nouveau bien grand ma chatte, et il plongea dedans, avec une langue puissante et bien dure.

Du coup, les autres se branlaient encore plus fort. Un premier n’y résista pas, et jouit. Je vis le sperme blanc s’écraser mollement sur le sol noir du garage.
Moi non plus, je ne résistais pas. J’eu un premier orgasme, assez fort, sous la bouche experte du mécano.

Du coup, il but mon liquide intime avec avidité. Ce qui le fit jouir, lui aussi.
J’en avais déjà achevé deux…

Soudains, je vis la lumière du soleil apparaitre. Un peu inquiète, j’ai rabattu ma jupe. Fausse alerte, ce n’était que le dépanneur, bien décidé à profiter aussi de la situation.

Très vite, en habitué, il vint aussi me dévorer l’abricot, prêt à éclater. Les mots crus ont commencé à fuser, et dans cette situation, j’adore ça…
« Putain, la blanche, elle est bonne !
Quelle salope, elle en veut !
Je veux bien la baiser à fond, lui défoncer la chatte !
Une garce comme ça je veux la planter avec mon pieu, etc… »

Je jouis encore, plus fort cette fois. Le patron s’approcha, avec un morceau de gros tuyau, recouvert d’une capote. J’attrapai ce gode improvisé, et me l’enfonçai sans problèmes dans ma chatte avide… Après deux orgasmes, j’avais trop besoin d’un gros machin pour me labourer un peu.
En me voyant me pistonner toute seule, deux autres explosèrent. Un lâcha vraiment pas mal de foutre. Je suppose qu’il n’avait pas éjaculé depuis longtemps !!!

Seuls le patron et le dépanneur n’avaient pas joui.

Le boss fit descendre le pont. Il l’arrêta à la hauteur de son bassin, juste un peu plus bas.

D’abord, il me fait allonger sur le dos, les jambes posées sur ses épaules. Il avait les mains propres, et avait enfilé une capote. D’un seul coup de rein, il me pénétra, assez fort. Mais j’avais besoin de cette poussée, besoin d’un gros pieu chaud et vivant. Le tuyau n’était pas le mieux…
Il saisit mes hanches pour leur imprimer un puissant mouvement de va et vient. Les ouvriers se sont approchés pour mieux voir comment il me baisait. Du coup, je les ai tous vus rebander illico !

J’étais bien, là, bien pistonnée, et avec sous les yeux de jolies queues prêtes à jouir. Le dépanneur passa sous le pont, et me présenta sa bite à sucer. Je le fis pour le remercier de m’avoir offert cette superbe partie d’exhib. Il éjacula très vite, comme la dernière fois. Je laissais sa crème couler de mes lèvres.

A ma grande surprise, je vis le patron cueillir cette semence, et la manger… Jo était aussi ahuri que moi !!!

Alors, il redoubla son pilonnage intensif, ce qui me provoqua mon quatrième orgasme. Il jouit aussi, si fort que je sentis le liquide chaud à travers le latex.

Épuisée mais comblée, je me relevais, et descendis du pont. J’allais m’assoir dans la voiture, pendant que les mécanos me demandaient tous de me voir seul, ou à plusieurs, mais pour un vrai gang bang. Je ne sais pas encore si je vais dire oui.

Ce matin, j’y réfléchis encore !


Sophie de R.
http://sophie973.erog.fr
#111335
Sophie973 a écrit :Hé bien moi, comme je vis seule, je me suis échangée toute seule...contre des pneus ! Je n'e n'avais pas la nécessité financière, c'était un jeu. je l'ai fait une fois, je ne le ferai sans doute pas deux !

En voici le récit, tel que rédigé dans mon blog :

En début de mois, vous vous souvenez, j’avais été « dépannée » par un homme très laid, mais très « serviable ». Comme il avait mon numéro de portable, communiqué par l’Assistance pour me retrouver sur la route, il n’arrête pas depuis de me relancer, pour recommencer.
Mais comme je le dis souvent, pour moi, c’est une fois, et puis, basta.

Toujours est-il qu’il m’a encore appelée hier. J’ai profité de cela pour lui demander où trouver les pneus les moins chers de la place. Il a réfléchi, et m’a proposé de me rappeler plus tard.

Ce qu’il a fait une heure après.
Il m’a indiqué un garage et m’a demandé :
« Es-tu prête à payer de ta personne ?
- Ca dépend, du lieu, de qui demande quoi…
- Tu verras, si tu es ok, fais un signe au patron. Il saura de quoi tu parles. »

Bon, je savais à quoi m’attendre, et cette possibilité me faisait déjà mouiller... Je compte bien profiter de mes trois derniers jours de liberté pour continuer mon overdose de sexe.

Je me rends donc dans le garage indiqué. Là, tous les volets roulants sont clos, sauf un. Je rentre, cinq hommes sont là. Tous des mécanos, au vu de leurs tenues et de leurs mains bien noires de graisse…
Ce que je vois me convient. Ils ont des bonnes tètes. Je me fais peut-être des idées, mais je suis sure d’en voir un bander…

La patron s’approche, me demande de le suivre près de la voiture, pour la taille des pneus. Il me glisse à l’oreille :
« Pour vous, c’est gratuit, Jo m’a parlé de vos talents. Vous me proposez quoi ?
- Je m’exhibe, vos ouvriers me matent, se branlent, mais ne me touche pas. Ou juste de la langue. Leurs mains sont trop sales. Je ne les touche pas non plus. Pour vous, on fait la totale. Devant eux ou sans eux, comme vous voulez. Mais tenez-les !
- Ok, pas de soucis, ils obéiront. Je vous prends devant eux.
- Et aussi, j’exige la plus grande discrétion sur ce marché. Si un de vos mecs parle, je dis que vous m’avez violée…»

Il rentra, ordonna d’un ton sec de changer mes pneus. Jamais je n’ai vu cette opération se dérouler si vite !!!

Puis il prit une planche, un coussin trouvé dans le bureau, et les posa sur le pont.

Je compris où il voulait en venir. Je m’assis dessus, et il leva l’engin. Il le stoppa quand la planche fut à hauteur des yeux de tous. Je portais une jupe noire, ample, sans culotte dessous. Pas la peine, vu ce qui m’attendait !

J’étais assise à la hauteur de ces inconnus, et je devais leur en donner pour leur argent ! Le parton leur rappela brièvement les conditions, ils acceptèrent tous.
Alors, j’ouvris mes jambes, pour leur exposer ma chatte épilée trempée. Ils s‘approchèrent, et en baissant les yeux, je voyais qu’ils commençaient à se branler.

Jolie brochette de bites…

De voir leurs yeux exorbités m’a excitée à mort, tout autant que de les voir se masturber à fond. J’en ai fait autant, titillant mon clito, ouvrant largement ma fente à deux mains. Je coulais bien, trop excitée par la situation. J’ai toujours adoré m’exhiber comme ça.

Un des mecs, un chabin, se passait la langue sur les lèvres, je lui demandais donc de venir…
Il obéit immédiatement, et bonheur de la situation, avait sa langue pile à la hauteur de ma grotte. J’ouvris à nouveau bien grand ma chatte, et il plongea dedans, avec une langue puissante et bien dure.

Du coup, les autres se branlaient encore plus fort. Un premier n’y résista pas, et jouit. Je vis le sperme blanc s’écraser mollement sur le sol noir du garage.
Moi non plus, je ne résistais pas. J’eu un premier orgasme, assez fort, sous la bouche experte du mécano.

Du coup, il but mon liquide intime avec avidité. Ce qui le fit jouir, lui aussi.
J’en avais déjà achevé deux…

Soudains, je vis la lumière du soleil apparaitre. Un peu inquiète, j’ai rabattu ma jupe. Fausse alerte, ce n’était que le dépanneur, bien décidé à profiter aussi de la situation.

Très vite, en habitué, il vint aussi me dévorer l’abricot, prêt à éclater. Les mots crus ont commencé à fuser, et dans cette situation, j’adore ça…
« Putain, la blanche, elle est bonne !
Quelle salope, elle en veut !
Je veux bien la baiser à fond, lui défoncer la chatte !
Une garce comme ça je veux la planter avec mon pieu, etc… »

Je jouis encore, plus fort cette fois. Le patron s’approcha, avec un morceau de gros tuyau, recouvert d’une capote. J’attrapai ce gode improvisé, et me l’enfonçai sans problèmes dans ma chatte avide… Après deux orgasmes, j’avais trop besoin d’un gros machin pour me labourer un peu.
En me voyant me pistonner toute seule, deux autres explosèrent. Un lâcha vraiment pas mal de foutre. Je suppose qu’il n’avait pas éjaculé depuis longtemps !!!

Seuls le patron et le dépanneur n’avaient pas joui.

Le boss fit descendre le pont. Il l’arrêta à la hauteur de son bassin, juste un peu plus bas.

D’abord, il me fait allonger sur le dos, les jambes posées sur ses épaules. Il avait les mains propres, et avait enfilé une capote. D’un seul coup de rein, il me pénétra, assez fort. Mais j’avais besoin de cette poussée, besoin d’un gros pieu chaud et vivant. Le tuyau n’était pas le mieux…
Il saisit mes hanches pour leur imprimer un puissant mouvement de va et vient. Les ouvriers se sont approchés pour mieux voir comment il me baisait. Du coup, je les ai tous vus rebander illico !

J’étais bien, là, bien pistonnée, et avec sous les yeux de jolies queues prêtes à jouir. Le dépanneur passa sous le pont, et me présenta sa bite à sucer. Je le fis pour le remercier de m’avoir offert cette superbe partie d’exhib. Il éjacula très vite, comme la dernière fois. Je laissais sa crème couler de mes lèvres.

A ma grande surprise, je vis le patron cueillir cette semence, et la manger… Jo était aussi ahuri que moi !!!

Alors, il redoubla son pilonnage intensif, ce qui me provoqua mon quatrième orgasme. Il jouit aussi, si fort que je sentis le liquide chaud à travers le latex.

Épuisée mais comblée, je me relevais, et descendis du pont. J’allais m’assoir dans la voiture, pendant que les mécanos me demandaient tous de me voir seul, ou à plusieurs, mais pour un vrai gang bang. Je ne sais pas encore si je vais dire oui.

Ce matin, j’y réfléchis encore !


Sophie de R.
http://sophie973.erog.fr

c'est beau l'imagination mais faut rester dans le vraisemblable ... ces fantasmes sont plutôt ceux d un mec qui se pare de l'identité d une femme, enfin c'est l'impression que ça me donne

et...si non e vero....
#111477
Comme cité plus haut, moi je suis pour et nous pratiquons souvent. Demain ma femme va chercher sa nouvelle voiture à 120km de chez nous; je suis absent pour raison professionnelles et c'est l'un de ces amants qui va l'a conduire. Cout de l'opération: une fellation ...
y a pas de mal de lier l'utile à l'agréable !!!
#111716
fundelle a écrit :Comme cité plus haut, moi je suis pour et nous pratiquons souvent. Demain ma femme va chercher sa nouvelle voiture à 120km de chez nous; je suis absent pour raison professionnelles et c'est l'un de ces amants qui va l'a conduire. Cout de l'opération: une fellation ...
y a pas de mal de lier l'utile à l'agréable !!!


pas cher payer pour 120kms
meme si c est une fellatrice hors pair

c est toujours mieux que rien
#112541
lobservateur a écrit :
Sophie973 a écrit :Hé bien moi, comme je vis seule, je me suis échangée toute seule...contre des pneus ! Je n'e n'avais pas la nécessité financière, c'était un jeu. je l'ai fait une fois, je ne le ferai sans doute pas deux !

En voici le récit, tel que rédigé dans mon blog :

En début de mois, vous vous souvenez, j’avais été « dépannée » par un homme très laid, mais très « serviable ». Comme il avait mon numéro de portable, communiqué par l’Assistance pour me retrouver sur la route, il n’arrête pas depuis de me relancer, pour recommencer.
Mais comme je le dis souvent, pour moi, c’est une fois, et puis, basta.

Toujours est-il qu’il m’a encore appelée hier. J’ai profité de cela pour lui demander où trouver les pneus les moins chers de la place. Il a réfléchi, et m’a proposé de me rappeler plus tard.

Ce qu’il a fait une heure après.
Il m’a indiqué un garage et m’a demandé :
« Es-tu prête à payer de ta personne ?
- Ca dépend, du lieu, de qui demande quoi…
- Tu verras, si tu es ok, fais un signe au patron. Il saura de quoi tu parles. »

Bon, je savais à quoi m’attendre, et cette possibilité me faisait déjà mouiller... Je compte bien profiter de mes trois derniers jours de liberté pour continuer mon overdose de sexe.

Je me rends donc dans le garage indiqué. Là, tous les volets roulants sont clos, sauf un. Je rentre, cinq hommes sont là. Tous des mécanos, au vu de leurs tenues et de leurs mains bien noires de graisse…
Ce que je vois me convient. Ils ont des bonnes tètes. Je me fais peut-être des idées, mais je suis sure d’en voir un bander…

La patron s’approche, me demande de le suivre près de la voiture, pour la taille des pneus. Il me glisse à l’oreille :
« Pour vous, c’est gratuit, Jo m’a parlé de vos talents. Vous me proposez quoi ?
- Je m’exhibe, vos ouvriers me matent, se branlent, mais ne me touche pas. Ou juste de la langue. Leurs mains sont trop sales. Je ne les touche pas non plus. Pour vous, on fait la totale. Devant eux ou sans eux, comme vous voulez. Mais tenez-les !
- Ok, pas de soucis, ils obéiront. Je vous prends devant eux.
- Et aussi, j’exige la plus grande discrétion sur ce marché. Si un de vos mecs parle, je dis que vous m’avez violée…»

Il rentra, ordonna d’un ton sec de changer mes pneus. Jamais je n’ai vu cette opération se dérouler si vite !!!

Puis il prit une planche, un coussin trouvé dans le bureau, et les posa sur le pont.

Je compris où il voulait en venir. Je m’assis dessus, et il leva l’engin. Il le stoppa quand la planche fut à hauteur des yeux de tous. Je portais une jupe noire, ample, sans culotte dessous. Pas la peine, vu ce qui m’attendait !

J’étais assise à la hauteur de ces inconnus, et je devais leur en donner pour leur argent ! Le parton leur rappela brièvement les conditions, ils acceptèrent tous.
Alors, j’ouvris mes jambes, pour leur exposer ma chatte épilée trempée. Ils s‘approchèrent, et en baissant les yeux, je voyais qu’ils commençaient à se branler.

Jolie brochette de bites…

De voir leurs yeux exorbités m’a excitée à mort, tout autant que de les voir se masturber à fond. J’en ai fait autant, titillant mon clito, ouvrant largement ma fente à deux mains. Je coulais bien, trop excitée par la situation. J’ai toujours adoré m’exhiber comme ça.

Un des mecs, un chabin, se passait la langue sur les lèvres, je lui demandais donc de venir…
Il obéit immédiatement, et bonheur de la situation, avait sa langue pile à la hauteur de ma grotte. J’ouvris à nouveau bien grand ma chatte, et il plongea dedans, avec une langue puissante et bien dure.

Du coup, les autres se branlaient encore plus fort. Un premier n’y résista pas, et jouit. Je vis le sperme blanc s’écraser mollement sur le sol noir du garage.
Moi non plus, je ne résistais pas. J’eu un premier orgasme, assez fort, sous la bouche experte du mécano.

Du coup, il but mon liquide intime avec avidité. Ce qui le fit jouir, lui aussi.
J’en avais déjà achevé deux…

Soudains, je vis la lumière du soleil apparaitre. Un peu inquiète, j’ai rabattu ma jupe. Fausse alerte, ce n’était que le dépanneur, bien décidé à profiter aussi de la situation.

Très vite, en habitué, il vint aussi me dévorer l’abricot, prêt à éclater. Les mots crus ont commencé à fuser, et dans cette situation, j’adore ça…
« Putain, la blanche, elle est bonne !
Quelle salope, elle en veut !
Je veux bien la baiser à fond, lui défoncer la chatte !
Une garce comme ça je veux la planter avec mon pieu, etc… »

Je jouis encore, plus fort cette fois. Le patron s’approcha, avec un morceau de gros tuyau, recouvert d’une capote. J’attrapai ce gode improvisé, et me l’enfonçai sans problèmes dans ma chatte avide… Après deux orgasmes, j’avais trop besoin d’un gros machin pour me labourer un peu.
En me voyant me pistonner toute seule, deux autres explosèrent. Un lâcha vraiment pas mal de foutre. Je suppose qu’il n’avait pas éjaculé depuis longtemps !!!

Seuls le patron et le dépanneur n’avaient pas joui.

Le boss fit descendre le pont. Il l’arrêta à la hauteur de son bassin, juste un peu plus bas.

D’abord, il me fait allonger sur le dos, les jambes posées sur ses épaules. Il avait les mains propres, et avait enfilé une capote. D’un seul coup de rein, il me pénétra, assez fort. Mais j’avais besoin de cette poussée, besoin d’un gros pieu chaud et vivant. Le tuyau n’était pas le mieux…
Il saisit mes hanches pour leur imprimer un puissant mouvement de va et vient. Les ouvriers se sont approchés pour mieux voir comment il me baisait. Du coup, je les ai tous vus rebander illico !

J’étais bien, là, bien pistonnée, et avec sous les yeux de jolies queues prêtes à jouir. Le dépanneur passa sous le pont, et me présenta sa bite à sucer. Je le fis pour le remercier de m’avoir offert cette superbe partie d’exhib. Il éjacula très vite, comme la dernière fois. Je laissais sa crème couler de mes lèvres.

A ma grande surprise, je vis le patron cueillir cette semence, et la manger… Jo était aussi ahuri que moi !!!

Alors, il redoubla son pilonnage intensif, ce qui me provoqua mon quatrième orgasme. Il jouit aussi, si fort que je sentis le liquide chaud à travers le latex.

Épuisée mais comblée, je me relevais, et descendis du pont. J’allais m’assoir dans la voiture, pendant que les mécanos me demandaient tous de me voir seul, ou à plusieurs, mais pour un vrai gang bang. Je ne sais pas encore si je vais dire oui.

Ce matin, j’y réfléchis encore !


Sophie de R.
http://sophie973.erog.fr

c'est beau l'imagination mais faut rester dans le vraisemblable ... ces fantasmes sont plutôt ceux d un mec qui se pare de l'identité d une femme, enfin c'est l'impression que ça me donne

et...si non e vero....


Désolée de e contredire, je suis bien une femme ! Et cet été , j'avais décidé de me faire un marathon sexe. Cet épisode a fait partie de mon "marathon" !

D'ailleurs, si tu lis mes autres interventions sur le forum, tu comprendras à ce que j'écris que je suis bien une femme !

Si tu veux, tu me laisses ton tel en privé, et je t'appelle, tu verras bien qui je suis !

Ps : qu'est-ce qui est "invraisemblable" dans cette histoire ? SI je m'étais fait prendre par tous le mecs, oui, pour moi, c'aurait été invraisemblable !
#112544
sofredo a écrit :du meme avis


Même réponse !!! pourquoi les hommes ne nous croient-ils pas quand nous avons l'initiative de choses plutôt "hard" ???

Messieurs, vous n'avez pas l'apanage des idées et des pratiques crues et osées !!!

En attendant, mis à part ne pas me croire, vous ne dites pas si cet échange de "services" est bien ou pas !!!!
Modifié en dernier par Sophie973 le 22 oct. 2010, 20:08, modifié 1 fois.
#112555
Sophie973 a écrit :
sofredo a écrit :du meme avis


Même réponse !!! pourquoi les hommes ne nous croient-ils pas quand nous avons l'initiative de choses plutôt "hard" ???

Messieurs, vous n'avez pas l'apanage des idées et des pratiques crues et osées !!!

En attendant, mis à part ne pas me croire, vous ne dites pas si cet échange de "services" est bien ou pas !!!!
#112683
amantnantais a écrit :Laisse tomber Sophie :roll:

Ces débusqueurs de fantasmeurs tuent ce site à petit feu.

Moi j'aime beaucoup tes récits. ;)


Oui, laisse tomber.
Ils n'ont pas encore compris que d'opposer fantasmeur / réel n'a aucun sens. C'est un débat stérile
S'ils n'y avaient aucune histoires de fantasmeur, le site serait assez triste. Y'aurait de temps en temps une annonce pour une rencontre suivi par des échanges en MP. C'est pas avec ca qu'on ferait un forum sympa.

candaule
http://candaule.erog.fr
Modifié en dernier par coquin le 30 oct. 2010, 13:25, modifié 1 fois.
#113079
jfembiencpl a écrit :Oui c'est juste…on fantasme tous beaucoup…
Ensuite on tente de vivire des choses le plus proche possible de nos rêves!
Pour le réel : marousse.erog.fr

C'est très en dessous des fantasmes.


je suis d'accord avec toi ! je ne mets pas à exécution certains de mes fantasmes, qui sont tout à fait invraisemblables ou qui pourraient se révéler dangereux.
mais bon, ce n'est pas le sujet du topic !
#113526
oui mais on peut fantasmer qu on aimerait ceci ou cela mais sans vraiment être capable d'accepter de le faire si l'occasion s'en présentait, ds des moments d excitation on peut fantasmer par exemple sur des séances URO, ZOO, et autres mais sachant qu'on ne le fera qd meme jamais, des actes ou situations de soumission ou de domination etc etc, mais c'est bon quand même de l'imaginer de l'envisager...sans suite..et parfois a friche d inventer on paut arriver a faire certaines choses, sucer un autre homme par exemple ou autres
#114263
janculer a écrit :ohla mes amis (es) y a erreur, je ne suis pas du tout contre le récit de tous ces fantasmes au contraire, mais comme j'aime vraiment " ça " je voudrais y croire a 100 % et certains récits me semblent relever d'une imagination débordante et de scénario invraisemblable, allez donc réussir certains de ces exploits...
Bon, ok, vs avez raison apres tout ce sont des fantasmes, d'ailleurs moi meme je fantasme beaucoup, mêlant souvent une partd e vérité a une part d'imagination, de désirs, tantôt avec plus de réalité tantôt avec plus d'imagination
et pour toi Sophie, ok, tu es une vraie femme et c'est excitant de lire tes posts, ça nous fait connaitre ( à nous les hommes) a quoi rêvent les femmes, enfin ce qu'elles sont capables de fantasmer et ça ne finit pas de nous étonner et de nous ravir BISOUS mes chéries...continuons allègrement...


Ravie de t'avoir convaincue, et au plaisir de discuter au téléphone avec toi !!!
Bisous libertins
#114919
voici une vraie histoire (et pas un fantasme) à ce sujet avec une de mes ex-copine.
C'était au début d'internet, dans les année 1997-1998, je passais parfois du temps a chater avec MIRC a l'époque. Je fantasmais voir ma copine faire la pute sans osez lui en faire part. Un jour, elle s'est intéressée à MIRC et le chat internet (A l'époque les filles étaient encore rare à chater sur internet), je lui ai montrer comment faire et j'ai aussi tout de suite penser à comment je pouvait en profiter. Claudia (c'est son nom) venait principalement le week end dans mon studio, elle faisait 5 heures de train pour venir me voir. Quelques heures après lui avoir montrer comment marchait le chat, je lui ai prétexté un travail urgent à faire chez mon employeur pour la laisser seule quelques heures chez moi. Elle m'a dit qu'elle souhaitait chater pendant ce temps, je lui ai donc laisser mon laptop et je lui ai créez un nickname et je l'ai connecté dans une chat room locale. (elle avait encore des connaissance d'internet très limitée.). Sorti de chez moi, je me suis précipité dans un internet café à deux rue la et bien sur je me suis connecté avec plusieurs identité (un vieux, une fille de son âge et aussi un mec la 30aine). Je l'ai d'abord abordé avec le pseudo du vieux, et je me suis présenté..comme par hasard, je venais de la même ville qu'elle. Bien sur, rapidement je dévie vers des questions sexe qu'elle répond avec assez d'honnêteté. Je lui pose aussi indirectement des questions sur sa situation financière (je sais bien quel est souvent fauchée et que c'est une de ces préoccupations). Elle semble intéressée sur mes propositions rémunérée, nous passons quelques temps a négocier sans arriver a tomber d'accord (le "vieux" lui avait dit qu'il était "riche"-->elle veux en profiter). En même temps de ce chat, je discute aussi via le nick de la femme (son rôle est de faire croire qu'elle a michetonné avec le vieux et qu'il est généreux) et aussi avec via le nick du mec de 30 ans (qui me permet de lui poser de question sur son vécu intime+lui proposer un plan à 3 gratuit). Après 1 heures et plus, je dois revenir a la maison pour ne pas lui mettre la puce a l'oreille.
Arrivé à mon studio, elle me parle bien qu'elle a chater mais sans rentrer dans les détails (le cybercafé étant près de chez moi et donc étant rentrer vite par rapport à si j'était au travail (ou il avait une connexion internet), elle ne s'est pas doutée du tout que je la piégeait)
Le lendemain (un dimanche), je lui fait le même coups et je lui dit que je doit voir rapidement un membre de ma famille. et de nouveau, elle me demande de lui allumer le laptop pour allez chater. Même situation que le jour d'avant, je suis allez illico dans le cybercafé. Le "vieux" la recontacte et la, on avance dans les négociations, elle est d'accord de me rencontrer pour 100 euro et si tout se passe bien, de passez une fois par mois une nuit entière pour 600 euro (mais elle précise qu'elle doit demander à son copain aussi..lol). je (en tant que "le vieux" fixe les conditions: entièrement rasée, bottes noire, mini-jupe, pas de sous vêtement - j'avais bien sur chater au sujet de ces habits que je savais qu'elle avait), on se rencontrerai dans un bar et on irai dans un restaurant à coté et pour me montrer qu'elle était de bonne volonté, qu'elle me montre en fin de soirée son corps (déshabiller) + pipe dans des chiottes public). elle a accepter ces conditions. Je lui laisse l'email adresse du vieux. Elle doit écrire si elle est sérieuse.

De retour chez moi, elle me parle de cette conversation de façon soft (un mec est près à la voir et l'a payé pour allez au restaurant - elle me parle pas du coté sexe). Je lui demande bien sur plus de détail (sans en avoir vraiment plus) et je lui dit après un moment de discussion et devant son insistance qu'elle peut organiser son rendez vous mais que je l'a suivrait à distance....

Il me reste donc plus que une semaine (voir deux) pour organiser ce rendez -vous (qui consiste de trouver un vrai vieux qui est prets a payé...

La suite si vous êtes intéressé...

PS: J'ai écris une autre histoire sur Claudia, vous pouvez chercher dans les archives de ce site...

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#115079
genereux500 a écrit :voici une vraie histoire (et pas un fantasme) à ce sujet avec une de mes ex-copine.
C'était au début d'internet, dans les année 1997-1998, je passais parfois du temps a chater avec MIRC a l'époque. Je fantasmais voir ma copine faire la p--e sans osez lui en faire part. Un jour, elle s'est intéressée à MIRC et le chat internet (A l'époque les filles étaient encore rare à chater sur internet), je lui ai montrer comment faire et j'ai aussi tout de suite penser à comment je pouvait en profiter. Claudia (c'est son nom) venait principalement le week end dans mon studio, elle faisait 5 heures de train pour venir me voir. Quelques heures après lui avoir montrer comment marchait le chat, je lui ai prétexté un travail urgent à faire chez mon employeur pour la laisser seule quelques heures chez moi. Elle m'a dit qu'elle souhaitait chater pendant ce temps, je lui ai donc laisser mon laptop et je lui ai créez un nickname et je l'ai connecté dans une chat room locale. (elle avait encore des connaissance d'internet très limitée.). Sorti de chez moi, je me suis précipité dans un internet café à deux rue la et bien sur je me suis connecté avec plusieurs identité (un vieux, une fille de son âge et aussi un mec la 30aine). Je l'ai d'abord abordé avec le pseudo du vieux, et je me suis présenté..comme par hasard, je venais de la même ville qu'elle. Bien sur, rapidement je dévie vers des questions sexe qu'elle répond avec assez d'honnêteté. Je lui pose aussi indirectement des questions sur sa situation financière (je sais bien quel est souvent fauchée et que c'est une de ces préoccupations). Elle semble intéressée sur mes propositions rémunérée, nous passons quelques temps a négocier sans arriver a tomber d'accord (le "vieux" lui avait dit qu'il était "riche"-->elle veux en profiter). En même temps de ce chat, je discute aussi via le nick de la femme (son rôle est de faire croire qu'elle a michetonné avec le vieux et qu'il est généreux) et aussi avec via le nick du mec de 30 ans (qui me permet de lui poser de question sur son vécu intime+lui proposer un plan à 3 gratuit). Après 1 heures et plus, je dois revenir a la maison pour ne pas lui mettre la puce a l'oreille.
Arrivé à mon studio, elle me parle bien qu'elle a chater mais sans rentrer dans les détails (le cybercafé étant près de chez moi et donc étant rentrer vite par rapport à si j'était au travail (ou il avait une connexion internet), elle ne s'est pas doutée du tout que je la piégeait)
Le lendemain (un dimanche), je lui fait le même coups et je lui dit que je doit voir rapidement un membre de ma famille. et de nouveau, elle me demande de lui allumer le laptop pour allez chater. Même situation que le jour d'avant, je suis allez illico dans le cybercafé. Le "vieux" la recontacte et la, on avance dans les négociations, elle est d'accord de me rencontrer pour 100 euro et si tout se passe bien, de passez une fois par mois une nuit entière pour 600 euro (mais elle précise qu'elle doit demander à son copain aussi..lol). je (en tant que "le vieux" fixe les conditions: entièrement rasée, bottes noire, mini-jupe, pas de sous vêtement - j'avais bien sur chater au sujet de ces habits que je savais qu'elle avait), on se rencontrerai dans un bar et on irai dans un restaurant à coté et pour me montrer qu'elle était de bonne volonté, qu'elle me montre en fin de soirée son corps (déshabiller) + pipe dans des chiottes public). elle a accepter ces conditions. Je lui laisse l'email adresse du vieux. Elle doit écrire si elle est sérieuse.

De retour chez moi, elle me parle de cette conversation de façon soft (un mec est près à la voir et l'a payé pour allez au restaurant - elle me parle pas du coté sexe). Je lui demande bien sur plus de détail (sans en avoir vraiment plus) et je lui dit après un moment de discussion et devant son insistance qu'elle peut organiser son rendez vous mais que je l'a suivrait à distance....

Il me reste donc plus que une semaine (voir deux) pour organiser ce rendez -vous (qui consiste de trouver un vrai vieux qui est prets a payé...

La suite si vous êtes intéressé...

PS: J'ai écris une autre histoire sur Claudia, vous pouvez chercher dans les archives de ce site...

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biensur que l on veux la suite du recit
#116862
Sophie973 a écrit :
amantnantais a écrit :Laisse tomber Sophie :roll:

Ces débusqueurs de fantasmeurs tuent ce site à petit feu.

Moi j'aime beaucoup tes récits. ;)


Merci, cher "amant" d'une ville si chère à mon cœur !!!


pleins de baisers belle Sophie d'un département qui me fait tant rêver ;)

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